ETUDE DU MECANISME – Croix de Malte – Lanière K – 2PC
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ETUDE DU MECANISME – Croix de Malte – Lanière K – 2PC
CROIX DE MALTE MATHEMATIQUES MECANIQUE INFORMATIQUE Mécanique JP. BROSSARD Mathématiques Informatique J. TA BOY A. AYIVIES A.VALENTIN © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés La Croix de Malte a très lfinsigne rappelle des Chevaliers souvent 4 rainures et sa forme générale de MALTE. • tlrmx fie Malle h quatre nrrôts. On l fappelle de cette aussi ville f s en mécanisme servaient en ce domaine une grande On la trouve lement dans les machines grand nombre de variantes de Genève car pendant dans les boites longtemps à musique et il les horlogers avait acquis réputation. aujourd'hui automatiques dans de nombreux dispositif 3 caméra etc mais le principe » « « Il s3 en existe de fonctionnement est principaun très toujours le même. © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés Les solides (Sj) et (S 2) sont en rotation autour dfaxes parallè? les. Le solide (Si) porte un ergot (en fait un galet) qui s engage dans une rainure du disque lie au solide (S%) * Lorsque l1fergot est dans la rainure l1'arbre (S2) est entraîne par l1farbre (Sj) • Le système se comporte exactement comme un couple dfengrenage mais avec une loi particulière. Lorsque lfergot 1 n est pas entraîne bien précise positivement dfarrêt» bre 2 dès qufîl n1'est pas engage dans une rainure3 n'est canisme sa forme Aussi » En gênerai on veut obtenir le mécanisme prévoit plus entraîné. une l9immobilisation Ce dispositif (2) position de lfar- de blocage donne au mé- caractéristique» Le disque de blocage sur l1'arbre placée sur l1arbre adaptée à la cavité Sur la figure le disque 1f (a) l arbre la position sur la figure la position de la figure (c) soit de tambour (2). (2) est bloqué. (b) lfarbre (1) est une portion Lorsque le disque de blocage (2) est libre de tourner jusqurâ atteint ce que atteinte. © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés ETUDE MÉCANIQUE-ET MATHÉMATIQUE I. RELATION DE LIAISON ENTRE ty et $ On démontre que T o n a pour une croix à z rainures / sin ^ sin c|> tg ty = _ L _ I 1-sin ^ cos $ J TF n 71 TT © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés Désignons par (j)1 la vitesse angulaire de l1 autre (Si). La période de rotation de ( S ^ (durée pour faire un tour) est j 2 TT _ = Lorsque (S2) tourne de 26 l'arbre-(Si) tourne de 2a. La durée de rotation de (S2) est donc (temps de mouvement) t =lâ t = LJL m " 4,' Z -2 2z Le temps d'arrêt de (S2) est . = t un rapport - 2g = 2 TT a On constate 2TT .j,' Z + 2 2z donc que le temps de mouvement et le temps dfarrêt bien détermine. Cfest un inconvénient de la croix sont dans de MALTE. © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés On peut représenter le fonctionnement de la croix de MALTE sur un diagramme ou figurent phases d1arrêt et phases de mouvement. exemple croix à 3 rainures. RELATION ENTRE LA VITESSE DE LfARBRE DE SORTIE ET LA VITESSE II. DE L'ARBRE D'ENTREE On démontre que : r <f)§ ^ s i n | ( c o s <> f - sin | ) 1 - 2 sin l cos <f) + sin 2 1 z z © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés sin£ p maxi " T~~7~ "TF 1 - sin — III. ACCELERATION DE L'ARBRE DE SORTIE LORSQUE L'ARBRE D'ENTREE TOURNE A VITESSE CONSTANTE <|>f = a) On démontre que : m» a)2 sm - c o s — s m <> j / 1 - s i n — c o s <J> + s i n 2 - S - - \ 2 © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés On démontre que : d fr\ -IL I 3L. \ W = - sin | 2s1n|cos2* + (l+sin2f-)cos*-4s1nf z* 2 COS - ' - ( l - 2 2 sin \ cos <>j + s i n - | j Les extrêmum sont solutions de l'équation : 2 sin ! cos 2 <J> + (1 + sin -=-) cos * - 4 sin - = 0 Seule la détermination correspondant au signe positif est à retenir 1 + sin 2 -^ cos * = ^ 4 sin J • rïTTTûFÇy^ + J K + 2 4 sin | La résolution donne <|>M et * © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés IV. VITESSE DE ROTATION DE GALET (voir exercice de cinématique) © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés J - MISE EN OEUVRE DES SOUS-PROGRAMMES DE TRACES SUR IMPRIMANTE A) Principe Les imprimantes sont capables de donner une.-idée, approximative d'une fonction y = f(x). 11 faudra toujours cependant faire 1"impression des valeurs y4 = f (x.-) pour obtenir ces valeurs avec précision". ; Pour faciliter la mise'en oeuvre du tracé sur imprimante9 il est mis à .disposition deux-sous-programmes : 5PT1 trace I courbe,, " y = f(x) .sur I feuille SPT3 trace 3 courbes y p y 2 î y 3 sur la même feuille La convention de représentation est la suivante : sur 1 feuille de l'imprimante : Sur chaque.axe,, l'échelle est écrite automatiquement. Les y sont répartis sur 50 lignes et les x sur 100 colonnes.. 3) Séquences d1* appel : (dans le programme Fortran) ? \ »/ r*?-i ^ p r i wf-.iLu or f ^ (y [ A 9 v s5 M\ ijy Y est m tableau réel simple précision de dimension N dans lequel se trouve les valeurs y. = f ( x i ) © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés 10 X est un tableau réel simple précision de dimension N dans lequel se trouvent les valeurs x.. N est le nombre de couples (x-, y-)- H i ê st inférieur à 100. Avec i H = 50 ou 60, on obtient déjà de bons résultats pour un prix de revient machine acceptable. Les points de la courbe sont représentés avec *« b) CALL SPT3 ( Y p Y 2 , Y 3 , X, N) Y p Y A 5 Yq sont trois tableaux contenant pour les mêmes valeurs x. les valeurs yl(x.)9 X et N yz(x.)9 y 3 (x i )* ont la même signification que dans SPT1* Les points de y, sont repérés par + Les points de y^ sont repérés par . Les points de y^ sont repérés par * C) Mise en oeuvre à programme Les sous-programmes SPT1 et SPT3 se trouvent dans des bibliothèques sur disque afin de permettre à chacun de les utiliser* Pour indiquer à l'or- dinateur où ces sous-programmes se trouvent et comment les incorporer à votre programme, il est nécessaire de donner certaines instructions-système* Afin de vous faciliter cette mise en oeuvre, il a été créé une procédure qui s'appelle LNK et qu'il faut utiliser comme suit : © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés exemple : Col .1 S J0Bf TAkkkk,INSA,2304GRXX kkkk = nom du conférencier XX = numéro du groupe 1EXEC LNK c c NOM de l'étudiant, groupe n°^ c (A veut dire espace ou blanc) prograrwne Fortran CALL SPT3 suite (Y,Z,T,XfN) programme Fortran appel tracé 1 courbe CALL.SPT1 CX,Y,N) fin du programme appel tracé de 3 courbes Y s Z f T s X sont des tableaux. Ils doivent être mis en DIMENSION Fortran END IE0D JPTÏ0N A(UNSAT,BIB) IE0D I cartes données JE0D © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés II. TRACE DES COURBES CARACTERISTIQUES DE LA CROIX DE MALTE Le travail demandé en programmation se fera en simple précision de manière à pouvoir utiliser les mêmes programmes de tracé SPTI et SPT3* '/ETUDE DE LA CROIX DE MALTE DEMANDE LA CONNAISSANCE DE : 1°); t3 gY i l-s»cos ^ ^ ^ —4> 2°) $1(j)s avec s =eJ = sinzJ z nombre de gorges avec a) = 0 = constante = S(CQS (j) - s) 1 - 2s»cos c()+s2 3°) ^ oo 2 = 1^1j^J^LlD_ (l-2s.cos (J)+s2)2 4° ) y* S ?1n - ^ 8 [ 1 + S(CQS ^ ^ " e ' ^ 1 2 a l-2s«cos (J)+s ^l-2s^côs^+P J PROGRAMMATION 1°) Pour des valeurs de z valeur 3,4,5,6, tabuler puis tracer : pour 0 e L- ( 2 - - ) , y - 7 L y. : \\J en fonction de (j) z d>' il;" y 3 : , Afin de comparaison, les courbes y-., y 2 5 y 3 seront tracéessur la même feuille. 2°) pour z = 4 uniquement -| = 10 et tabuler puis tracer -U- pour les valeurs ue (J) appartenant à [ - ~ + - , ~ - [ Pour calcul manuel donner les valeurs de y 1 pour les bornes cf), = - j + — ; cf>2 = 2' " 7 ainsi que pour 0 = 0 Vérifier sur la tabulation de y \ © [Jean-Pierre Brossard],[1980], INSA de Lyon, tous droits réservés