Rasha Khoury : une jeune chef d`entreprise à suivre de près
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Rasha Khoury : une jeune chef d`entreprise à suivre de près
Les Libanais dans le monde lundi 18 mars 2013 Rasha Khoury : une jeune chef d’entreprise à suivre de près 5 Success story Une jeune Libanaise installée à Londres a lancé un site Internet de mode à succès destiné au Moyen-Orient. ILLINOIS, propos recueillis par Pauline M. KARROUM Rasha Khoury est une chef d’entreprise dynamique, qui a lancé récemment le site Internet DIA-style.com. Un vrai succès pour cette entrepreneure d’origine libanaise installée à Londres, qui a compris à quel moment le Moyen-Orient était prêt à acheter des habits de luxe en ligne. Rasha vient de visiter Beyrouth où elle a participé à la sixième édition du Forum de la femme arabe. Après des études à la Brown University, Sciences Po et l’Insead, Rasha Khoury débute sa carrière chez JP Morgan à New York. Quelque temps plus tard, elle devient analyste spécialisée dans les produits de luxe et travaille pour Merrill Lynch et UBS, à Londres. En 2012, elle lance son site qui s’adresse à la communauté en ligne du Moyen-Orient passionnée par la mode : cette initiative débute la toute première plate-forme de ce genre dans le monde arabe. Chaque description d’un article sur DIA-style est en arabe et anglais. De la sorte, Rasha a presque créé le premier dictionnaire en arabe comportant des termes de mode. Ce site est un tel succès que Rasha est régulièrement invitée à en parler lors de conférences mondiales : Londres, Qatar, Beyrouth... Voici l’entretien qu’elle a accordé à L’Orient-Le Jour : OLJ. Vous êtes d’origine libanaise mais vous n’avez jamais vécu au Liban. Quel rapport entretenez-vous avec ce pays ? Rasha Khoury. C’est en raison de la guerre et des affaires de mon père que je n’ai jamais vécu au Liban. Mais j’ai eu la chance de grandir dans une famille qui est demeurée fortement attachée à ses racines. À la maison on parlait arabe, et on mangeait de la « kebbé bi laban » ! Aussi souvent qu’on le pouvait, on se rendait au pays pour voir la famille et les grands-parents. Vous avez longtemps vécu à New York. Quels souvenirs gardez-vous de ces années ? Ayant grandi à New York, j’ai eu la chance d’être entourée par des personnes de cultures diverses et variées. Cela a été très enrichissant pour moi. Que ce soit lors de mes années de formation ou lorsque j’ai travaillé dans le secteur bancaire. Les Libano-Américains ont également joué un rôle très important dans ma vie et dans celle de mes parents. Je me souviens que l’ambassade du Liban était à proximité de notre domicile, nous nous y rendions régulièrement. Des événements associatifs étaient aussi organisés par des Arabo-Américains. On se sentait bien entouré par la famille ou par des amis qui avaient eux aussi quitté le pays à cause de la guerre. Le fait que vous soyez libanaise vous a-t-il encouragée à envisager une reconversion professionnelle et à lancer le site DIA-style.com ? Le fait d’être libanaise a eu des effets positifs sur ma façon de penser et d’agir. J’ai grandi dans une maison très fière d’être arabe. Cela m’a encouragé à suivre la passion que je ressens pour cette région du monde et à lancer ce site. Par ailleurs, vu que je parle français, anglais et arabe, une caractéristique que je partage avec beaucoup de Libanais, cela m’a donné la possibilité de communiquer avec un groupe diversifié de personnes. En outre, les Libanais sont connus pour leur esprit d’entreprise. Ces compétences innées ont sans doute forgé mon esprit d’entreprise. DIA-style a-t-il attiré beaucoup de clients libanais ? D’où proviennent leurs commandes ? Notre toute première commande a été passée par une dame qui réside à Broummana (Metn, Liban). En fait, les Rasha Khoury n’a jamais vécu au Liban, mais elle est très attachée à ses racines. Libanais ont toujours adoré la mode. Ils se sont vraiment intéressés à ce site car ils peuvent facilement parcourir plus de 50 000 produits créés par plus de 1 200 designers comme Burberry, Michael Kors, Nina Ricci... Beaucoup d’entre eux ont choisi DIA-style parce qu’ils n’ont pas trouvé ce qu’ils cherchaient dans les boutiques au Liban ou ailleurs. L’ambassadeur du Brésil revient sur une histoire d’amitié entre deux pays Coopération Le nouvel ambassadeur du Brésil au Liban, Affonso Emilio de Alencastro Massot, s’est installé début 2013 dans la capitale, accompagné de son épouse Yolanda de Arruda Botelho. Roberto KHATLAB Diplomate de carrière, Affonso Emilio de Alencastro Massot a occupé le poste d’ambassadeur aux Pays-Bas, en République tchèque et en Grèce. Détenteur de plusieurs médailles brésiliennes et internationales, dont celle de grand officier de l’ordre du Cèdre au Liban, il a assumé de nombreuses autres fonctions, aussi bien au ministère brésilien des Relations extérieures qu’à l’étranger, en tant que secrétaire, chargé d’affaires ou consul général, à Rome, Bogota, Nairobi, Dar es-Salam, New York, Lisbonne... L’ambassadeur Massot, diplômé en droit de l’Université catholique de Rio de Janeiro et en diplomatie de l’Institut Rio Branco, où il a également enseigné, a été membre du Conseil de la Cour permanente d’arbitrage à La Haye (Pays-Bas). Dans cette même ville, il était le représentant permanent auprès de l’Organisation pour l’élimination des armes chimiques (OPAQ). Discours au dîner de l’Association d’amitié Liban-Brésil L’Association d’amitié Liban-Brésil, présidée par Regina Fenianos, qui avait été fondée en 1954 par Jean Abou Jaoudé à l’occasion de l’ouverture d’ambassades entre le Liban et le Brésil, a reçu l’ambassadeur Affonso Massot au cours d’un dîner de gala organisé en février dernier à Beyrouth. À cette occasion, le nouvel ambassadeur a prononcé un discours d’ouverture, au cours duquel il a retracé l’histoire de l’émigration libanaise au Brésil : « Je dois vous dire que c’est pour moi un grand honneur d’avoir été désigné ambassadeur du Brésil à Beyrouth. Avant cela, j’étais représentant du ministère des Relations extérieures à São Paulo, une ville qui, à mon avis, est la capitale mondiale de la diaspora libanaise ! Après tout, le Brésil compte parmi ses citoyens presque 10 millions de descendants de Libanais, dont une grande partie se trouve à São Paulo ! Mon séjour dans cette ville m’a confirmé l’importance et les défis que représente cette mission au Liban. » La visite de l’empereur Dom Pedro II en 1876 L’ambassadeur Massot poursuit : « Cette relation précieuse dont nous témoignons aujourd’hui entre nos deux pays a débuté en 1876, avec la visite effectuée par le deuxième empereur du Brésil au Liban. C’était un monarque illustre, philosophe et curieux, et vous pouvez imaginer quelle grande aventure fut son déplacement depuis l’Amérique du Sud jusqu’au Moyen-Orient, il y a presque 140 ans, avec un entourage de dizaines de personnes. C’était une époque où les chefs d’État ne quittaient pas leurs pays et, quand cela arrivait, c’était seulement pour visiter un pays voisin ! En arrivant ici, Dom Pedro II fut ébloui par le Liban, par son histoire et ses merveilles. Mais il a été surtout conquis par son peuple, ce qui l’a encouragé à lancer un appel pour que les Libanais émigrent au Brésil, en leur assurant que le Brésil les recevrait les bras ouverts. » « Et il en fut ainsi ! Des dizaines, ensuite des centaines de milliers d’ancêtres et des parents libanais résidents parmi vous sont allés vers l’inconnu, brisant de nouvelles frontières et conquérant de nouveaux horizons. Ils ont été littéralement des pionniers ! Dans un pays aux dimensions continentales, la colonisation portugaise, à quelques exceptions près, s’était faite presque exclusivement sur la côte atlantique. Au XVIIe siècle, seuls les pionniers de São Paulo, que l’on appelle “ban- deirantes” au Brésil, étaient allés plus loin à la recherche de l’or et d’autres richesses. » Le parcours exceptionnel des Libanais au Brésil M. Massot ajoute : « Les Libanais, cependant, ont exploré beaucoup plus l’intérieur du pays, en se dirigeant vers les endroits les plus reculés, depuis les extrémités de la région amazonienne à l’extrême-sud du Brésil et jusqu’à la frontière avec la Bolivie. Ils ont emmené dans leurs bagages leur savoir-faire en commerce, transmettant les nouvelles de la capitale et du monde, et – pourquoi ne pas le dire – un peu de la civilisation. Une civilisation qui se matérialisait dans divers produits qu’ils vendaient. De cette façon, ils ont été les nouveaux “bandeirantes” du XXe siècle ! Ces immigrants et leurs descendants, au fil des années, ont constitué une présence significative dans le commerce en gros, en détail et dans l’industrie – en particulier du textile –, une activité qu’ils ont été pratiquement les premiers à développer au Brésil. « Il ne faut pas oublier leur rôle dans la finance, la diplomatie et les professions libérales, ainsi que dans la vie politique où les Libanais occupent les postes les plus élevés de la nation. Parmi eux, citons le vice-président de la République Michel Temer, le vice-gouverneur de l’État de São Paulo, Guilherme Afif Domingos, l’ancien maire de São Paulo, Gilberto Kassab, et l’actuel, Fernando Haddad, ainsi que Paulo Skaf, président de la Fédération des industries de cet État, qui regroupe 150 000 industries. Ils sont tous des fils ou des petits-fils de Libanais... et ont construit une réalité socioéconomique harmonieuse et tolérante, travaillant ensemble et vivant en paix, créant Le nouvel ambassadeur Affonso Massot, un homme engagé dans le partenariat Brésil-Liban. un exemple pour le monde. » Un grand nombre de nouvelles mesures Pour terminer, l’ambassadeur Affonso Massot a annoncé une série de mesures en cours d’application : « Je pense que les Brésiliens et les Libanais n’ont pas encore entièrement conscience de l’importance du potentiel culturel, commercial et politique de ce partenariat bilatéral, tant pour le Brésil au Moyen-Orient que pour le Liban en Amérique latine... Dans le but d’approfondir et de renforcer ces liens, j’ai déjà présenté au gouvernement libanais des projets d’accords réciproques, portant sur les prolongements de la validité des visas d’affaires et de tourisme pour cinq ans, avec plusieurs entrées, la suppression des visas pour les passeports diplomatiques, officiels et de service, ainsi que la création d’un mécanisme de consultations politiques bilatérales. Toutes ces propositions ont été très bien accueillies. » Il conclut : « D’autres initiatives suivront dans les domaines du commerce et de la culture, et j’espère compter sur l’appui de tous les amis du Brésil, pour faire en sorte qu’en travaillant ensemble nous puissions, d’une façon croissante, être à la hauteur de cette amitié et de ce partenariat si spécial, je dirais même unique, qui existe entre le Brésil et le Liban ! » Brèves du monde Nouvelle visite du patriarche maronite Béchara Raï en Amérique latine Un an après sa visite au Mexique (lire notre édition du 21 mai 2012), le cardinal Béchara Raï est attendu du 23 au 25 avril en Uruguay, où il sera reçu dans la capitale Montevideo ainsi qu’à Minas et à Tacuarembó. Cette visite annoncée par père Antonio el-Féghali, de la paroisse maronite Notre-Dame du Liban à Montevideo, permettra de renforcer les relations entre les Uruguayens et les descendants de Libanais catholiques dans les départements du nord de l’Uruguay notamment. Au cours de ce nouveau déplacement en Amérique latine, le patriarche maronite visitera d’autres pays, principalement l’Argentine, le Brésil, le Venezuela et le Costa Rica. Quatrième festival culturel arabo-sudaméricain La IVe édition du festival culturel arabo-sud-américain se déroulera du 18 au 31 mars à São Paulo, Rio de Janeiro, Brasilia, Curitiba et Buenos Aires. Réalisé par la BibliASPA (Biblioteca América del Sur Países Árabes) présidée par le professeur Paulo Élías Farah, ce festival très varié permettra de présenter de nouvelles archives photo et vidéo de fils d’émigrés en Amérique du Sud ainsi que des talents (auteurs, orateurs, artistes) qui se produiront dans les diverses villes choisies pour accueillir l’événement. Plusieurs manifestations culturelles et festives ponctueront ainsi ce festival qui prend de l’ampleur au fil des années. Contact : [email protected] La France et le Liban, parcours : des archives à la BD, à Aix-en-Provence L’exposition « La France et le Liban, parcours, entre archives et BD (bande dessinée) », organisée du 28 mars au 8 juin en partenariat avec la Bibliothèque départementale, l’Office de tourisme d’Aix-enProvence et « Les Rencontres du 9e art » (festival de BD d’Aix), fait voyager le visiteur à travers une thématique originale : le lien entre la France et le Liban. Quels liens entre la France et le Liban ? L’exposition aborde cette question à travers le regard de deux auteures de BD libanaises, Zeina Abirached et Michèle Standjofski, l’une vivant en France et l’autre à Beyrouth, mais aussi grâce à des documents d’archives, comme autant de témoignages sur l’exil et l’attachement au pays. Ces témoignages sont mis en perspective par la brochure de l’historienne Liliane Nasser (lire notre édition du 18 février 2013) et les documents qu’elle a sélectionnés aux Archives départementales, aux archives de la Chambre de commerce et d’industrie de Marseille, au musée d’histoire de la ville de Marseille et dans des collections privées. Le cycle de conférences et spectacles comprendra : – 4 avril, 18h30 : Parcours migratoires entre le Liban et la France : l’exemple de Marseille, par Liliane Nasser, historienne. – 12 avril, 18h30 : conférence de Zeina Abirached et Michèle Standjofski, dessinatrices. – 13 et 14 avril, 9h00 à 18h00 : ouverture exceptionnelle du bâtiment pendant le festival de la bande dessinée d’Aix-enProvence. – 2 mai, 18h30 : concert d’Ameylia Saad Wu et le trio Keynoad (voix et harpe celtique, mise en musique des poèmes de son père Michel Saad). – 14 mai, 18h30 : La guerre du Liban, ou des guerres dans la guerre, par Joseph Bahout, politologue, spécialiste du Moyen-Orient contemporain, enseignant à Sciences-Po Paris. – 24 mai, 18h30 : Récits de vie en temps de guerre, par Jihad Darwiche, poète du Sud-Liban (contes traditionnels de l’Orient). Pour en savoir plus : www. culture-13.fr/presse Dîner de gala de la section féminine de l’ULCM-France La présidente de la section féminine de l’ULCMFrance, Randa LteifStephan, appelle toutes les femmes franco-libanaises actives (chefs d’entreprise, profession libérale, artistes, écrivaines, politiciennes, productrices...) à participer à son premier dîner de gala, qui se tiendra le vendredi 22 mars au « Grand Salon » de l’hôtel Marriott ChampsÉlysées à Paris. Cette soirée se déroulera à l’occasion de la fête des Mères libanaises et en honneur à la femme francolibanaise, sous le haut patronage de l’ambassadeur du Liban Boutros Assaker, avec comme invitée d’honneur l’écrivaine Vénus Khoury-Ghata. Contact : [email protected] Forum sur le tourisme libano-brésilien à Rio de Janeiro Un premier forum sur le tourisme libano-brésilien sera organisé le 4 avril prochain à Rio de Janeiro. Il fait suite au voyage organisé au Brésil au mois de novembre dernier par le ministre du Tourisme Fadi Abboud, au cours duquel une délégation libanaise a rencontré des responsables du secteur touristique brésilien à São Paulo, Rio de Janeiro et Foz de Iguaçu (voir notre édition du 3 décembre 2012). À l’appel du consul du Liban Ziyad Itani et du président de la Chambre de commerce libano-brésilienne Alfredo Cotait, il s’agira de promouvoir aussi bien les voyages au Liban que ceux de Libanais souhaitant participer aux prochains grands événements sportifs que connaîtra le Brésil, à savoir la Coupe du monde de football de 2014 et les Jeux olympiques de 2016. Pour tout renseignement, contacter le consulat du Liban à Rio de Janeiro par e-mail : contato@ consuladogeraldolibanorj. com.br ou par téléphone : +55-21-2539-2125. Congrès mondial de l’ULCM à San Francisco Le prochain grand congrès de l’Union libanaise culturelle mondiale (ULCM) se tiendra du 26 au 28 avril à San Francisco (Californie, ÉtatsUnis). Des rapports seront présentés sur les activités des diverses branches de l’union, réparties dans tous les continents, sous la direction des responsables de l’ULCM, le président Michel Doueihi et le secrétaire général Toni Kaddissi. Plusieurs projets seront également évoqués, comme une plus grande implication des associations sur le Liban dans le travail de l’union, ainsi que l’élection annuelle de Miss Liban émigrés et l’ouverture vers la jeunesse d’origine libanaise. Voyage libano-argentin de l’association RJLiban Seize jeunes Argentins d’ascendance libanaise participeront au prochain voyage de retour aux sources organisé au Liban du 30 juin au 14 juillet 2013, sur invitation de l’association RJLiban. Ils ont entre 21 et 35 ans, sont membres de la Jucal (Juventud de la Union cultural argentinolibanesa) et habitent dans diverses régions d’Argentine : Mendoza, Mar del Plata, Misiones, Tucumán, Rosario, General Madariaga, San Juan, El Bolson, Córdoba, Bahia Blanca et Buenos Aires. Ils viennent en particulier à la rencontre de leurs familles d’origine : Caram, Daou, Antonio, Caro et Saker de Beyrouth, Azar et Hadad de Aïn Akrine, Chamas de Amioun, Zgaib, Nasif et Ayub de Zahlé, Cura de Marjayoun, Moussallem d’el-Biri (Chouf), Kaisia de Baakline, Nacif de Mtein, Najmeddine de Lala, Ismail et Salum de Kefraya, Nataine de Daraoun, Abdala de Tripoli, Warde de Baalbek, Saadi de Tabaraya, Tanios et Massud de Fouwara (Chouf), Ghanem et Cheker de Aïn Zhalta. Pour leur première visite au Liban, Mariel Melisa, Jimena, Martín Nicolás, Maria Cielo, Fernando Exequiel, Jorge Mariano, Jorge Lucas, Wanda Lucia, Maria Josefina, Munir, Marina, Pablo Patricio, Vanina, Florencia Isabel, Guillermo et Luciano attendent de voir leurs cousins, qui peuvent les joindre directement en se connectant sur l’Annuaire des amis du Liban sur le site www.rjliban.com, en écrivant à [email protected] ou en appelant au : 03/345528. Dîner de l’association RJLiban à Beyrouth Paula Gattas, une militante pour le Liban à Mendoza en Argentine. Le « Rassemblement de la jeunesse libanaise » a vu le jour en avril 1985 à Paris, soit dix ans après le début de la guerre du Liban. Le pape Jean-Paul II venait de lancer un appel pour une plus grande implication des jeunes dans les affaires intérieures de leur pays, en inaugurant les JMJ (Journées mondiales de la jeunesse) – dont la nouvelle édition se tiendra fin juillet 2013 à Rio de Janeiro. Vingt-huit ans plus tard, notre premier voyage de retour aux sources de jeunes Libano-Argentins, programmé pour début juillet 2013 au Liban (lire nos éditions du 5 novembre 2012 et du 4 mars 2013), coïncide avec l’élection au Vatican du nouveau pape François, de nationalité argentine. Ce voyage ainsi que les diverses actions de l’association RJLiban seront présentés au cours d’un grand dîner qui se tiendra le samedi 13 avril 2013 à Beyrouth. Lieu : VIP Lounge, Holiday Inn – Verdun. Réservations sur le site www.rjliban.com, en écrivant à infos@rjliban. com ou en appelant au 03/345528. Adhésion à l’Annuaire des amis du Liban Les onze nouveaux membres de l’Annuaire des amis du Liban, que vous pouvez joindre en vous inscrivant à cet annuaire consultable en français, anglais et espagnol sur le site www.rjliban.com sont : – en Argentine : Cielo Daou Zgaib, famille Daou de Beyrouth, familles Zgaib et Nasif de Zahlé, famille Cura de Marjayoun (universitaire à Mendoza, participe au voyage RJLiban de 2013), Samir Daou, frère de Cielo (éducation physique à Mendoza), Munir Najmeddine, famille Najmeddine de Lala, familles Ismail et Salum de Kefraya (universitaire à Rosario, participe au voyage RJLiban de 2013), Mariel Melisa Caram, de Beyrouth (universitaire à Mendoza, participe au voyage RJLiban de 2013), Paula Gattas, de Beyrouth (universitaire à Mendoza), Luciano Guidi, famille Caro de Beyrouth (kinésithérapeute et physiothérapeute à Rosario, participe au voyage RJLiban de 2013) ; – en Colombie : Gustavo Maroun, famille Maroun de Bécharré, famille Saab de Bqaakafra (ingénieur informatique à San Gil) ; – en France : Antoine Rizk, de Daraoun (conseil IT), Michel Menassa, familles Menassa et Salem de Ghosta (psychologue, membre fondateur de RJLiban) ; – au Liban : Tala Farran, familles Farran, Nehme et Balaghi de Tyr, et Nahle de Taibé (psychologie du conseil à Beyrouth, responsable en relations publiques de RJLiban), François Hannouche, de Beyrouth (ingénieur en télécommunications, membre du conseil de RJLiban). L’Agenda international sur le Liban Vous pouvez directement annoncer les événements concernant les Libanais dans le monde dans le nouvel Agenda international sur le Liban, nouvellement disponible sur le site www. rjliban.com en français, anglais, espagnol et portugais. Les recherches peuvent être effectuées en fonction de la date, de la ville, du pays, des noms cités ou de la nature des événements. Cette page est réalisée en collaboration avec l’Association RJLiban. E-mail : [email protected] – www.rjliban.com
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