Revue de presse
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Fujifilm lance la première édition de son concours photo et plonge ses candidats au cœur de trois univers exaltants: la musique, la mode et l'art contemporain. Fortement touché par la conversion du marché de la photographie, passant de l’argentique au numérique, la société japonaise Fujifilm a essuyé une forte crise début 2000, suite à la chute des ventes de ses pellicules photo et l’arrivée sur le marché des industries électroniques et de téléphonie mobile. Depuis, la marque s’est reconvertie dans la nouvelle génération d’appareils : les hybrides. Souhaitant toucher une clientèle plus haut de gamme et se différencier des concurrents, c’est dans ce contexte que le concours Talents Nomades est né, déclare Christophe Eisenhuth, responsable marketing et communication relations publiques de Fujifilm France. Initié par l’agence Pschhh, fondée par le pertinent Jules Guillemet, ce concours est avant tout une initiative de brand content aux dispositifs innovants et alternatifs. Sous forme d’un web documentaire de 12 épisodes, diffusés un à un chaque semaine sur la chaîne étudiante MCE et WAT.tv, Talents Nomades a rassemblé huit candidats sélectionnés par casting. Ces amateurs de photographie, tous issus de parcours différents ont dû révéler leur potentiel à travers trois sessions plus qu’originales et alliant trois univers : la musique avec le festival de rock indé Cabaret Vert, la mode dans les backstages de la Fashion Week avec le créateur Manish Arora et pour la finale, le vernissage de la Slick Attitude, le off de la Fiac. Au huitième épisode, le concours comptabilisait déjà plus de 90 000 vues. Chaque série de photo est soumise au jury dont la composition réjouit autant que les partenariats : Diego Buñel en tant que président, (Les Nouveaux Explorateurs), Agnès Grégoire, rédactrice en chef du magazine PHOTO, Renaud Monfourny, photographe et membre fondateur des Inrockuptibles et Jean-Baptiste Simon, fondateur de la galerie Sakura. Des yeux aguerris donc, mais surtout séduits par l’envie de voir de jeunes talents éclore. Le gagnant, dont le nom sera dévoilé courant novembre, lors du dernier épisode, bénéficiera d’un tremplin aux ressorts bien tendus: il remportera le dernier appareil Fujifilm, le X T1, deviendra ambassadeur de la marque, ses œuvres seront présentées à la galerie Sakura et figureront en double page du magazine PHOTO. Une interview par les Inrockuptibles est également prévue. Des connexions plus qu’intéressantes et inattendues de la part de Fujifilm mais qui correspondent exactement au nouvel univers que la marque souhaite adopter et que la pétillante agence Pschhh a su lui ouvrir. Les prochaines éditions de Talents Nomades sont prévues pour les années à venir et des extensions à d’autres domaines comme la danse ou le sport sont envisagés. Ça bouge chez Fujifilm ! T a g s : T a l e n t s N o ma d e s , f r a n c e , Fu j i f i l m, P sc h h h Après une compétition d'agences, l'agence Pschhh remporte la stratégie digitale et trade marketing de deux marques sur le marché des nettoyants ménagers du groupe Unilever: Cif et Sun. www.strategies.fr 07/11/2014 En UNE : marques en vue Cif et Sun dans l'escarcelle de Pschhh DIGITAL. Suite à une compétition, le groupe Unilever a confié à l'agence Pschhh la stratégie digitale et trade marketing de deux de ses marques pour 2015: Cif et Sun, leaders nationaux sur le marché des nettoyants ménagers. Les derniers articles sur Unilever Publié dans Satellinet n°220 du lundi 10 novembre 2014 L’agence Pschhh remporte la stratégie digitale des marques Cif et Sun (Unilever) Sélection de budgets de communication en ligne remportés par les agences. Semaine du 3 au 9 novembre. [suite de l'article sur abonnement] Date : 20/11/2014 Pays : FRANCE Page(s) : 6-7 Diffusion : (10000) Périodicité : Hebdomadaire Surface : 8 % Myfujifllm.fr Met en scène son produit phare, le livre photo HD. Réalisé par l'agence lagence Pschhh, le film montre un décor de laboratoire dans lequel trois professionnels semblent interpellés par un objet, jusqu'à même les émouvoir aux jusqu à larmes... Cet objet n'est est donc finalement que le livre photo HD, qui met en valeur la photonumérique sur du papier n La photographique. campagne est diffusée sur les chaînes nationales et la TNT (France TV et TMC) et est également relayée sur le web. Tous droits de reproduction réservés À quelques semaines des fêtes de Noël, Myfujifilm.fr reprend la parole en TV. L’agence Pschhh, qui a accompagné la marque dans la conception, la réalisation et la production de cette nouvelle campagne, signe ici un film original, en rupture avec l’univers traditionnel des acteurs de l’impression photo numérique. Fujifilm, reconnu pour son savoir-faire et la qualité de son tirage papier depuis 80 ans, a lancé en 2011 Myfujifilm.fr, son offre de développement de photo numérique et d’impression en ligne. Aujourd’hui challenger sur un marché devenu très concurrentiel, la marque souhaite affirmer son expertise et mettre en scène son produit phare, le livre photo HD, à l’approche des fêtes de fin d’année. L’agence et la marque ont souhaité développer un film proposant un univers radicalement différent des autres acteurs du marché. Dans un décor de laboratoire trois professionnels semblent interpellés, stupéfiés, par un objet soumis à observation. Jusqu’à même les émouvoir aux larmes… Cet objet au cœur de toutes leurs attentions se révèlent être finalement le livre photo HD, un produit de haute qualité mettant en valeur le meilleur de la photo numérique sur du véritable papier photographique. Imaginé et produit par l’agence Pschhh, qui accompagne Fujifilm dans sa stratégie de communication globale, ce film a été pensé pour valoriser l’expertise historique de la marque et la qualité exceptionnelle de son tirage photo. A propos de Pschhh Créée en 2007, Pschhh est une agence 360 qui défend une approche de la communication et du marketing centrée sur un brand content généreux, un storytelling fort et une bonne dose d’advertainment, créateurs d’expériences et de relations entre les marques et leurs publics. Dirigée par Jules Guillemet et Sébastien Brocandel, l’agence associe sa vision stratégique (conseil et activation) à son énergie créative (production 360, studio de création propre), au service de clients tels que Adidas, Google, Chevignon, Timberland, GDF Suez, EDF, Carrefour, Décathlon, Fujifilm, Heineken, etc… Pschhh compte aujourd’hui une trentaine de collaborateurs. Site web : www.pschhh.com Page Facebook : www.facebook.com/pschhh. Crédits Responsables annonceurs : : Angela Berbentia, Christophe Eisenhuth, Franck Portelance et Séverine Rivoisy Equipe commerciale Pschhh: Jules Guillemet Equipe création Pschhh : Sébastien Brocandel, Thomas Zavrosa Production : Margaux Eschalier Maison de production : Pschhh Réalisateur : Benoit Tetelin Mallory Strategies.fr PRODUCTION réalisateur: Benoit Tetelin Mallory production: Pschhh AGENCE agence: Pschhh directeur de création: Sébastien Brocandel directeur de création: Thomas Zavrosa tv prod: Margaux Eschalier CLIENT client: Fujifilm Date : 20/11/2014 Pays : FRANCE Surface : 19 % Mots : 128 > Lire cet article sur le site web Myfujifilm.fr met en scène ses Experts A quelques semaines des fêtes de Noël, Myfujifilm.fr reprend la parole en TV. Fujifilm a lancé en 2011 Myfujifilm.fr, son offre de développement de photo numérique et d'impression en ligne. L'agence Pschhh, qui a accompagné la marque dans la conception, la réalisation et la production de cette nouvelle campagne, signe ici un film original, en rupture avec l'univers traditionnel des acteurs de l'impression photo numérique. Dans un décor de laboratoire trois professionnels semblent interpellés, stupéfiés, par un objet soumis à observation. Cet objet au cœur de toutes leurs attentions se révèlent être finalement le livre photo HD. La campagne (15") sera diffusée sur les grandes chaînes nationales + TNT (France TV et TMC), et sera également relayée sur le web (en format 20"). Tous droits de reproduction réservés CBNewsletter Pas de fête de fin d'année sans photos ? L'agence Pschhh accompagne Myfujifilm.fr pour un spot TV chargé d'affirmer son expertise avec son produit phare : le livre photo HD. Le spot met ainsi en scène trois professionnels dans le laboratoire-maison qui découvre l'objet de la convoitise. Titre "myfujifilm.fr" Agence Pschhh Campagne myfujifilm.fr Annonceur Fujifilm Marque myfujifilm.fr Communication Agences 360 ou digitales, geek ou stratégiques ? Complémentaires aujourd’hui, confondues demain, chacune défend ses atouts : la vision stratégique des agences 360, contre la réactivité et la maîtrise technique des pure players Si les domaines de compétence d’une agence de communication traditionnelle et d’un pure player se rejoignent de plus en plus, il existe encore de réelles distinctions. La première se démarque par sa capacité accrue en stratégie globale et en expertise marketing, alors que le second possède une réactivité et une maîtrise technologique que les grosses structures n’ont pas toujours. À l’annonceur de cerner ses besoins : plutôt stratégiques, plutôt techniques, ou plutôt les deux. Par Julien Lamotte D epuis quelques années, le digital est devenu le principal moteur d’une campagne de publicité. La communication online emporte tout sur son passage, elle est devenue une clé incontournable de la réussite d’un projet. Le marché publicitaire tout entier est désormais sous l’emprise numérique, à tel point que l’on peut parler, comme sur une scène de crime, d’empreinte digitale. Pour tenter de déchiffrer cette empreinte, deux modèles d’agences s’opposent : les pure players d’un côté, et les agences dites 360 de l’autre. Ces dernières sont celles qui ont intégré la notion digitale à leurs services de communication déjà existants (print, spots TV, etc.). Comme leur nom l’indique, elles sont capables de traiter toutes les problématiques inhérentes à une campagne via une pluralité de canaux. À l’opposé de ces agences multifonctions, les pure players se distinguent par une activité uniquement dédiée au “tout en ligne”. Des souris et des hommes Devant l’émergence de ces agences ultra-spécialisées et technologiquement très en avance grâce à la compétence des “nerds”, ces petits génies de l’informatique, les grands groupes de communication n’ont pas tardé à réagir en rachetant ces pure players pour les intégrer à leurs services (lire encadré). Mais le marché, en perpétuelle mutation, continue de faire la part belle à ces petites structures qui rivalisent avec les mastodontes de la publicité. Si leur vision de la place à accorder au digital diffère souvent, tous les acteurs de cette lutte se rejoignent néanmoins sur un point : il serait tout à fait réducteur de résumer la distinction entre agence traditionnelle et pure player à une opposition entre communicants d’un côté, et “nerds” de l’autre. Denis Pilato, directeur associé et fondateur de l’agence généraliste Care, prophétise : “mettre dos à dos pure player et agence 360, c’est la photographie d’un marché actuel en train de disparaître. D’ici deux ans, on ne fera plus le distinguo. Ces structures sont complémentaires aujourd’hui et demain fusionnelles”. Un constat repris par Frank Farrugia, cofondateur de Re-mind, agence média exclusivement digitale, lassé des clichés autour des “geeks”, supposés constituer la moelle épinière des pure players : “chaque univers est tombé dans la caricature. Il faut prendre le meilleur de chaque système. Le digital a aussi besoin de moyen terme”. “Si leur vision de la place à accorder au digital diffère souvent, tous les acteurs de cette lutte se rejoignent néanmoins sur un point : il serait tout à fait réducteur de résumer la distinction entre agence traditionnelle et pure player à une opposition entre communicants d’un côté, et “nerds” de l’autre” Le phénomène est constaté par tous : de plus en plus de pure players incluent de la stratégie marketing à leurs prestations techniques alors que dans le même temps, les agences 360 digitalisent au maximum leur offre. D’où une certaine confusion des genres. “Les pure players vont muter en agence pluri-systèmes, avec des connexions de plus en plus poussées avec leur client afin de mieux les connaître pour mieux les servir”, prédit Franck Farrugia. La page d’accueil de Re-mind ne dit d’ailleurs pas autre chose, en promettant d’injecter du temps réel dans les médias traditionnels et de la vision long terme dans le digital. Pour autant, et même si chaque modèle empiète sur les plates-bandes de l’autre, on observe une forme de respect mutuel, presque de crainte, entre pure players et agences généralistes. “Ce n’est pas qu’une lutte entre deux systèmes. Certes, le marché est compétitif et il faut remporter des compétitions, mais les agences 360 comme les pure players ont également bien perçu l’intérêt qu’ils peuvent avoir parfois à collaborer” fait remarquer Élisabeth Billiemaz, directrice générale de l’agence Les Gaulois, née de la fusion de deux filiales du groupe Havas. Cependant, si ces collaborations sont de plus en plus fréquentes, elles n’absorbent pas toutes les différences entre les deux types d’agence. Pure players, la temporalité explosée Souvent constituées en petites structures, les agences entièrement online se distinguent par leur souplesse et leur vitesse de réaction. C’est le cœur même de leur métier qui veut cela. Franck Farrugia analyse : “on constate une mutation de la fonction marketing très fortement impactée par le digital qui bouleverse tout à travers deux points : le premier, c’est la lisibilité de la performance. Avec cette nouvelle donne, on est beaucoup plus au courant de ce qui se passe. Le second point réside dans le fait que le digital explose la notion de temporalité. On ne raisonne plus en termes de mois, de trimestre, nous sommes dans l’immédiat”. Ce dernier poursuit son raisonnement : “en combinant ces deux points, l’annonceur possède beaucoup plus de données, il est plus ‘intelligent’ et du coup, il est en droit de demander plus de réactivité. Cette temporalité immédiate offre également des opportunités, car on sait tout de suite ce qui marche ou pas, elle laisse la place à l’erreur car on a la possibilité de corriger le tir en quelques secondes”. C’est donc bien cette capacité d’adaptation qui fait l’une des forces majeures des pure players, leur autre atout résidant bien entendu dans la grande maîtrise technologique dont font preuve ces agences. Pour Jean-Philippe Martzel, directeur général adjoint de DigitalLBI, la plus-value s’exprime en termes de moyens humains : “la vraie différence, c’est qu’à l’intérieur des agences purement digitales, il y a un tiers des personnes, des ingénieurs pour la plupart, qui s’occupent d’intégrer des codes, alors que dans les agences dites intégrées, on va rechercher des prestataires extérieurs”. Passé d’un média traditionnel à une structure entièrement vouée au numérique, ce dernier explique que “les ingénieurs de DigitasLBI sont invités à la réflexion, ils ne se contentent pas de rentrer du code ! Ces ingénieurs d’un nouveau genre, appelés creative technology, sont sans cesse sur la piste de nouvelles solutions informatiques”. Des arguments de poids auxquels doivent répondre les agences 360. Agences traditionnelles, la stratégie des belles histoires La riposte des entreprises de communication traditionnelles a déjà débuté par l’acquisition de certains de ces pure players. Mais la digitalisation de leurs services n’est pas une fin en soi, les agences 360 doivent également capitaliser sur leur savoir-faire pour convaincre des annonceurs éventuellement tentés par l’expérience pure player. S’il reconnaît que “plus le sujet est pointu, plus la prestation d’un pure player sera affinée”, Vincent Leclabart, président de l’AACC (Association des agences-conseils en communication), affirme que “les 360 possèdent la maîtrise de la marque, de l’idée créative. Les geeks ne l’ont pas”. Pour Élisabeth Billiemaz, le nouvel enjeu se situe dans le lien créé avec le consommateur. “On peut envisager qu’un annonceur confie les clés de sa communication globale à une agence intégrée qui va piloter le projet grâce à sa vision périphérique, puis ensuite ce même annonceur peut faire appel à un pure player pour décliner les applications numériques par exemple” Le digital, et en particulier les réseaux sociaux, ont en effet inclus une notion d’interactivité qui n’existait pas auparavant. “Désormais, la communication se fait de chaque côté du tuyau entre l’annonceur et le public. La marque n’a plus cette fonction d’émetteur exclusif, elle est redescendue un peu de son piédestal. Et pourtant, même si le consommateur joue désormais un rôle actif, il a encore envie qu’on lui raconte de belles histoires. C’est là que l’expertise et l’expérience d’une agence tout-terrain trouvent leur terrain d’expression. Mais cette dernière doit avoir à l’esprit que le consommateur, si enclin soit-il à s’émerveiller, doit être intégré au processus de création, il est en quelque sorte le co-réalisateur d’une campagne.” La directrice générale de l’agence Les Gaulois défend son modèle : “la plus-value d’une agence traditionnelle se situe plus que jamais dans le conseil et le sens marketing. Dans un monde publicitaire en pleine mutation ouvert aux quatre vents du digital, il s’agit de créer une véritable identité pour l’annonceur, il ne faut pas que le message véhiculé perde sa cohérence. La stratégie joue donc un rôle primordial pour répondre aux problématiques des marques, pour définir avec précision leur terrain d’expression”. Un avis partagé par Jules Guillemet, fondateur et directeur général de l’agence Pschhh : “L’époque est au multicanal, mais le message ne doit pas être altéré par les intérêts divergents de médias issus d’une culture différente. La télé et Internet sont en effet régis par des codes dissemblables et pourtant, ils doivent trouver un terrain d’expression commun pour que le message véhiculé reste cohérent. C’est là que l’expertise d’une agence traditionnelle est primordiale”. Jules Guillemet va même plus loin et ose brancarder le tout-puissant numérique. “On constate aujourd’hui un phénomène de ‘back to basics’ où l’on se rend compte qu’une pub télé ou une belle affiche c’est bien aussi, rappelle-t-il. Cette tendance, appelée ‘digital detox’, suit la réaction sociétale des gens lassés d’être assistés par les nouvelles technologies. Les marques ont suivi le mouvement. On réalise que le digital n’est pas non plus l’Eden absolu, qu’il n’est pas la réponse à tout.” Devant cette forêt de visions contradictoires, dans un écosystème digital de plus en plus complexe, comment l’annonceur pourra-t-il alors choisir objectivement à qui confier sa campagne ? Guerre éclair ou longue campagne ? Denis Pilato annonce en préambule qu’ “un annonceur qui veut faire du digital sans stratégie de marque ne sera pas pertinent. Son action manquera de souffle. D’ici peu, les coups réalisés en one shot, sans réflexion profonde derrière le projet, auront disparu du monde publicitaire digital”. Jules Guillemet délimite quant à lui les domaines de compétences d’un pure player : “si c’est pour une mission de community management par exemple, une agence traditionnelle sera peut-être un peu limitée. Il en va de même pour la refonte d’un site Internet, d’une application iPad ou téléphone mobile, bref des domaines qui nécessitent peu de stratégie. Ces pure players sont pleinement efficaces pour la production pure, ou bien pour des missions d’e-réputation avec infiltration de forums par exemple. Ils maîtrisent parfaitement les contraintes de l’e-RP car ils ont une connaissance parfaite des blogueurs”. A contrario, selon lui, s’il faut challenger une marque ou créer un plan de communication, une agence traditionnelle est parfaitement qualifiée. “De plus, il y a un vrai ras-le-bol des annonceurs avec ce morcellement où chacun tire un peu dans tous les sens. Les clients veulent des mécaniques bien huilées, fluides, avec un même message. Une mission qui correspond assez bien aux compétences d’une agence 360…” Élisabeth Billiemaz tente elle aussi de clarifier les positions : “si le client est une enseigne avec une grande maturité, habitué aux contraintes d’une campagne, il devrait se fier à l’expérience d’une agence 360. En revanche, pour un site d’e-commerce par exemple, aux demandes extrêmement spécifiques et techniques, la maîtrise technique d’un pure player pourrait s’avérer très utile”. Et de proposer en conclusion : “on peut également envisager qu’un annonceur confie les clés de sa communication globale à une agence intégrée qui va piloter le projet grâce à sa vision périphérique, puis ensuite ce même annonceur peut faire appel à un pure player pour décliner les applications numériques par exemple”. Le choix de la sagesse ? Franck Farrugia porte aussi le débat sous la lumière financière : “pour l’annonceur, le prix est un facteur d’exclusion si l’agence est trop chère, mais en aucun cas un facteur de choix car sur les compétitions, il y aura toujours des agences aux mêmes tarifs. Ce qui va forcer la décision, ce sont donc les compétences, un supplément d’âme, un service irréprochable”. En cette ère numérique, savoir que le facteur humain joue toujours un rôle décisif est finalement rassurant. Des petits indépendants contre les puissants La réaction a été lente mais retentissante. Ancrés dans leurs schémas de communication “à l’ancienne”, les grands groupes de publicité ont perdu un temps considérable à l’arrivée des pure players sur le marché. Ces structures traditionnelles ont bien failli rater le coche du digital, mais leur puissance financière leur a permis de combler leur retard grâce au rachat et à l’incorporation de ces nouveaux acteurs. C’est le groupe Publicis qui a le premier tiré la sonnette d’alarme en acquérant, dès la fin 2006, Digitas, puis Business Interactive, W Cube et Phone Valley en 2007. En 2009, Duke et Razorfish sont également tombés dans l’escarcelle de Publicis et depuis, toutes les grandes enseignes de communication lui ont emboîté le pas et possèdent désormais leur cellule digitale. Ces absorptions massives signifient-elles pour autant la fin des pure players indépendants ? “Le juge de paix, c’est la finance, rappelle Franck Farrugia. C’est elle qui décidera de l’avenir, et on y est déjà avec l’acquisition de petites structures performantes par les plus grands groupes. Ceux-ci ont de tels moyens qu’ils ont pu se permettre de rater le virage du digital et de se relancer en rachetant des pure players. C’est le sens de l’histoire. Désormais, ces grosses sociétés publicitaires possèdent les armes pour gérer cette mutation, cette hybridation.” Et d’ajouter, fièrement : “ce qui n’empêche pas les pure players de continuer à rivaliser avec les agences généralistes. À 50 personnes, nous parvenons à remporter des marchés devant des sociétés 360 extrêmement puissantes financièrement”. Pour Vincent Leclabart, ces petites structures qui résistent à l’envahisseur ne sont pas vouées à disparaître. “Les agences exclusivement online se posent la question de leur avenir car la plupart sont rachetées, note-t-il. Mais le marché est tellement innovant qu’il arrive de nouveaux acteurs tous les jours, lesquels remplacent les pure players intégrés aux grosses écuries.” Services marketing et DSI, sous le drapeau du digital, la trêve Les services marketing et informatique sont de plus en plus amenés à collaborer main dans la main pour digitaliser les prestations d’une agence. Une étude récente d’Accenture (2014) illustre bien cette nouvelle donne, avec ses avantages mais aussi ses contraintes. Ainsi, les responsables de ces deux départements sont plus que jamais conscients de l’importance d’unir leurs efforts pour mener à bien la transformation numérique de l’entreprise, notamment dans sa version marketing. Il ressort ainsi de cette étude une convergence accrue autour des technologies appliquées au marketing, puisque plus de la moitié des directeurs marketing (52 %) et des DSI (53 %) placent les technologies appliquées au marketing au sommet ou aux premiers rangs de leurs priorités. Néanmoins, cette nouvelle ère de coopération ne va pas sans heurts et des difficultés de mise en œuvre doivent être surmontées. Il apparaît en effet que certains professionnels du marketing doutent de la capacité de la fonction informatique à suivre l’évolution des demandes du marketing dans la sphère numérique. Parallèlement, 43 % des DSI estiment que les exigences du marketing changent trop fréquemment pour pouvoir y répondre. Là encore, la solution se trouve dans l’interaction de compétences humaines puisque, selon l’étude, les deux fonctions doivent s’attacher à renforcer leur coopération, les responsables marketing en recrutant davantage de collaborateurs dotés de compétences numériques, et les responsables informatiques en embauchant davantage de profils techniques possédant une expérience du marketing. Plus précisément, Accenture recommande une transformation des perceptions : de transactionnelles, les relations entre les deux fonctions doivent devenir stratégiques, les équipes marketing et informatique devant dorénavant piloter conjointement de nouveaux services conçus selon un modèle et une approche numériques. Publié le 14/01/2015 PAYS : France RUBRIQUE : Mouvements PAGE(S) : 7 DIFFUSION : 9455 SURFACE : 12 % 15 janvier 2015 - N°15.01.2015 PERIODICITE : Quotidien ThomasZavrosa, directeur généraladjoint stratégieset développementde Pschhh AGENCE . Thomas Zavrosa arrive au poste nouvellement créé de directeur général adjoint de l agence ' Pschhh, chargé des stratégies et du développement . Diplômé de l Edhec Business School et titulaire ' d un master en management du sport , Thomas Zavrosa a débuté en 2005 chez Young ' & Rubicam Paris et a été durant deux ans consultant freelance auprès d annonceurs et d agences. ' ' Tous droits de reproduction réservés URL : http://www.strategies.fr/ PAYS : France TYPE : Web Grand Public 16 janvier 2015 - 00:20 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne Thomas Zavrosa, directeur général adjoint stratégies et développement de Pschhh. Thomas Zavrosa arrive au poste nouvellement créé de directeur général adjoint de l'agence Pschhh, chargé des stratégies et du développement. Diplômé de l'Edhec Business School et titulaire d'un master en management du sport, Thomas Zavrosa a débuté en 2005 chez Young & Rubicam Paris et a été durant deux ans consultant freelance auprès d'annonceurs et d'agences. Tous droits de reproduction réservés DIFFUSION : 9455 PAYS : France PAGE(S) : 41 SURFACE : 1 % 22 janvier 2015 - N°1798 PERIODICITE : Hebdomadaire PSCHHH .Thomas Zavrosa arriveauposte nouvellement créé dedirecteurgénéral adjoint. Tous droits de reproduction réservés PAYS : France PAGE(S) : 6 SURFACE : 9 % 16 janvier 2015 - N°226 PERIODICITE : Hebdomadaire Pschhh recrute Thomas Zavrosa en tant que DGA L agencePschhh, dirigée par Jules Guillemet et Sébastien Brocandel , accueille Thomas Zavrosa au poste crée de DGA en charge nouvellement des stratégieset du développement . Pour Jules Guillemet et SébastienBrocandel, associés de l agence: «Nous sommes ravis que Thomasnousrejoigne dans l aventurePschhh. Nous sommesaustadeou l agencene cessede progresseret se avecunecroissance développe . [ ...] Nous avonsbien significative l intention de créer des opérations et des campagnes360 encorepluspétillanteet à notre image, celled uneéquipede 30 collaborateurs , hyper-motivés. ' ' ' ' ' ' Tous droits de reproduction réservés PAYS : France RUBRIQUE : La publicite et ses dirige… PAGE(S) : 16 DIFFUSION : (600) SURFACE : 20 % PERIODICITE : Quotidien 19 janvier 2015 - N°15804 M. Thomas ZAVROSA est nommé directeur général adjoint en charge des stratégies du développement de l agence Pschhh ' M . Thomas ZAVROSA, précédemment directeur de clientèle chez Young Rubicann, est nommé directeur général adjoint en charge des stratégiesdu développement de l agence Pschhh. Il agit d une création de poste. Il y a quelque chose en plus chez Pschhhqui ne a pas fait hésiter sur mon choix. Entre advertainment, brand content et opérations à forte résonance médiatique, les projetsdéveloppés sont ceux d une agencetrès prometteuse , explique M . ZAVROSA. & ' s' " ' m' ' " Diplômé de l EDHEC BusinessSchool et titulaire d un master en management du sport, M . Thomas ZAVROSA commença sa carrière en 2005 chez Young RubicannParis (WPP) où il occupa les postes de chef de publicité puis de directeur de clientèle , en charge notamment des comptes Décathlon, Grand Optical et Kronenbourg. En 2009, il intégra le collectif Enjoy ADS en tant que directeur conseil et développement où il remporta plusieurs compétitions comme LacosteLive, Rip Curl Europe ou Bering. Depuis 2012, il avait quitté Enjoy pour devenir consultant freelance auprès d annonceurset d agences. ' ' & ' ' Tous droits de reproduction réservés URL : http://www.ladn.eu/ PAYS : France TYPE : Web Grand Public 15 janvier 2015 - 00:01 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne Thomas Zavrosa rejoint l'agence Pschhh L'agence Pschhh accueille Thomas Zavrosa au poste nouvellement crée de Directeur Général Adjoint en charge des stratégies et du développement. Diplômé de l’EDHEC Business School et titulaire d’un master en management du sport, Thomas débute sa carrière en 2005 chez Young & Rubicam Paris. Chef de publicité puis directeur de clientèle, il a notamment géré des grands comptes comme Decathlon et l’ensemble de ses marques propres, Grand Optical ou Kronenbourg et s'est également occupé pendant 5 ans de la communication de Surfrider Foundation, ONG environnementale. En 2009, il intègre le collectif Enjoy comme directeur conseil et développement. En charge des prospections de l’agence, il remporte plusieurs compétitions comme Lacoste L!ve (retail), Rip Curl Europe (Digital) ou Bering (Pub). Il assure également la supervision de plusieurs comptes nationaux (Wonderbox, Destination Nature, Bering, Russian Standard Vodka) et internationaux (Havaianas Europe, Rip Curl Europe). Après 2 ans passés comme consultant freelance auprès d’annonceurs et d’agences, il rejoint l'aventure de l'agence Pschhh en tant que DGA en charge des stratégies et du développement. Tous droits de reproduction réservés RUBRIQUE : Nomination PAYS : France PAGE(S) : 3 SURFACE : 4 % PERIODICITE : Quotidien 16 janvier 2015 - N°1889 - Edition Paris Centre-Ile-de-France 75 / Pschhh : Communication Après 2 ans passés comme consultant freelance auprès d annonceurs et d agences, Thomas Zavrosa intègre l agence PSCHHH / T : 01.43.72.52.23 en tant que Directeur Général Adjoint en charge des stratégies et du développement, poste nouvellement créé. www .pschhh .com ' ' ' Tous droits de reproduction réservés RUBRIQUE : Communication conseil PAYS : France PAGE(S) : 3 SURFACE : 7 % 16 janvier 2015 - N°1192 PERIODICITE : Hebdomadaire PSCHHH Thomas Zavrosa cette rejoint agence conseil en communication au marketing , nouvellement crée , de - poste directeur général en charge des stratégies et du adjoint développement. Edhec (2005.), ma.ster en management du sport, il débute, en 2005, chez Young Rubicam Paris, comme chef depublicité puis directeur de clientèle, avant de rejoindre, en 2009, le collectif Enjoy, en tant que directeur conseil et . Dernièrement, il était développement consultantfreelance etcoach sportif & & Tous droits de reproduction réservés URL : http://www.cbnews.fr/ PAYS : France TYPE : Web Grand Public 14 janvier 2015 - 18:44 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne Thomas Zavrosa chez Pschhh Thomas Zavrosa rejoint l'agence Pschhh et se voit confier la Dga en charge des stratégies et du développement, un poste nouvellement créé. En 2009, il a intégré le collectif Enjoy comme directeur conseil et développement où il a décroché des comptes comme Lacoste L!ve (retail), Rip Curl Europe (Digital) ou Bering (Pub). Il était dernièrement consultant freelance Tous droits de reproduction réservés Et pschhh, ça fait une nomination ! L’agence de communication et de marketing Pschhh vient d’annoncer le recrutement d’un nouveau Directeur Général Adjoint qui sera en charge des stratégies et du développement de l’agence. Pour ce faire, c’est Thomas Zavrosa qui a été choisi ! Découvrez-le par ici ! A chaque jour sa nomination, vous connaissez la chanson ! Hier, Air of melty vous annonçait la nomination d’Aline Bonnet au sein de l’équipe Brand Activation. Aujourd’hui, c’est au tour de l’agence de communication et marketing Pschhh, qui "défend une approche de la communication et du marketing centrée sur un brand content généreux, un storytelling fort et une bonne dose d'advertainment, créateurs d'expériences et de relations entre les marques et leurs publics" et qui a déjà travaillé pour des marques telles qu’Adidas, Google, Timberland ou encore Décathlon, de faire parler d’elle aujourd’hui pour une nomination de taille en son sein ! Thomas Zavrosa rejoint l’agence au poste nouvellement créé de Directeur Général Adjoint, sous la direction de Jules Guillemet et Sébastien Brocandel. A ce poste, il sera en charge des stratégies et du développement. Diplômé de l’EDHEC Business School et titulaire d’un master en management du sport, Thomas Zavrosa a débuté sa carrière en 2005 chez Young & Rubicam Paris, où il a été Chef de publicité puis directeur de clientèle, avant de rejoindre le collectif Enjoy en tant que directeur conseil et développement. Après 2 ans passés comme consultant freelance auprès d’annonceurs et d’agences, il rejoint donc l'aventure de l'agence Pschhh en tant que DGA en charge des stratégies et du développement. Thomas Zavrosa a expliqué qu’"il y a quelque chose en plus chez Pschhh qui ne m'a pas fait hésiter sur mon choix. Entre advertainment, brand content et opérations à forte résonance médiatique, les projets développés sont ceux d'une agence très prometteuse et les grands clients qui ont rejoint Pschhh ces dernières mois, ont tout de suite compris qu'il pouvait se passer quelque chose de nouveau dans le monde de la communication". Jules Guillemet et Sébastien Brocandel, associés de l'agence Pschhh, se sont également exprimés au sujet de cette nouvelle arrivée : "Nous sommes ravis que Thomas nous rejoigne dans l'aventure Pschhh. Nous sommes au stade ou l'agence ne cesse de progresser et se développe avec une croissance significative. 2015 sera l'année Pschhh ou ne sera pas ! Nous avons bien l'intention de créer des opérations et des campagnes 360 encore plus pétillante et à notre image, celle d'une équipe de 30 collaborateurs, hyper-motivés et convaincus que la nouvelle création publicitaire passe aussi par des modèles d'agences hybrides à l'image de Pschhh". Bonne nouvelle aventure à lui ! RUBRIQUE : Livres PAYS : France PAGE(S) : 35 SURFACE : 59 % PERIODICITE : Bimensuel 30 janvier 2015 - N°412 FCB PARIS étoffe ses équipes. ' Après l arrivée de son nouveau directeur de création Julien ' Rotterrnan , l agence FCB Paris recrute Virginie Clerget au poste de directrice des stratégies et du développement . Elle était auparavant chez Clm bbdo et Havas Paris . FCB Paris recrute également le concepteur-rédacteur Benjamin Caillé afin de développer ' l expertise de creative technologist . ce nouveau poste , il aura pour mission d' apporter aux clients et prospects de FCB Paris « des réponses sans cesse plus novatrices et des idées toujours plus connectées comme FCB Paris vient de le faire pour Nivea Perles de Q10 avec Oculus », selon les termes de ' l agence. CÉCILE ROQUELAURE est nommée directrice communication d' Empruntis. Le spécialiste du courtage en crédit ' Empruntis l intègre au poste de directrice communication et études . En 2001 , Cécile Roquelaure initialement collaboré ' rejoint le groupe Caisse à l implantation en d ' Epargne en tant que France de la marque de barbecue Weber à responsable produits/ marché ( assurancevie , épargne , IARD , gestion privée) au sein de la Caisse lie-de- France Ouest puis de la Caisse ' Côte d Azur , où elle devient responsable communication clients en 2008 . En 2012 , elle intègre l ' organe central des Caisses d ' Epargne , BPCE, en tant que responsable assurance non-vie ( AR D et prévoyance) , elle occupait poste avant de rejoindre qu' Empruntis. JEAN CHRISTOPHE GROS est le nouveau directeur marketing de Toupret . JeanChristophe Gros ' rejoint l entreprise la fin des années 90. PAUL MAZLOUM opérations. responsable comptes ' clés d enseignes et de directeur grandpublic commercial . Depuis 2011 , il encadrait les équipes ventes et GUILLAUME TALON directeur marketing et communication ex-directeur sur les différentes France de Mazars . Il était auparavant chez général ' adjoint de l agence Australie et ancien BNP Paribas Wealth senior partner chez Havas Paris , Management en tant que responsable et Pierre-Antoine Allain , ex-Capgemini marketing digital , après avoir été Consulting , rejoignent le cabinet de conseil responsable marketing produits et services de 2005 à 2013. MARIE BOUQUILLON ' intègre l agence ESV Digital en tant que (Chief Operating Officer) . Elle aura pour mission de gérer l ' ensemble des équipes de fonds et de décoration , en tant que directeur marketing et communication. Digital liées aux offres de l ' agence dans les secteurs Précédemment du data analytics , du branding et de l ' achat média . Elle a auparavant passé six travaillé pour le groupe Materis après avoir projet spécialisée dans les problématiques technologies et les fonctions de est nommé au poste nouvellement créé de française Toupret , spécialisée dans les enduits de préparation sein du groupe suédois Husqvarna , il a aussi & marketing produits en tant que directeur de division IT Consumer opérationnelles en ' France et d assurer ' l application des nouvelles ' méthodologies d ESV directeur marketing et communication au conseil en stratégie McKinsey Company en tant que chef de ans au sein du pôle Business Technology Office du cabinet de Equancy en qualité de directeur et consultant senior . Guillaume Talon sera en charge du développement de la practice branding d ' Equancy Paris. Pierre-Antoine Allain vient quant à lui ' renforcer l expertise marketing stratégique du cabinet. ANGELO D AMBROSIO ' est nommé directeur ' général d Acer France Il remplace Daniel Trachino qui occupait la fonction depuis 2007 et qui prend la gestion de la région du Moyen-Orient dans le groupe . Angelo ' d Ambrosio a intégré la société Acer France en 2006 . Il a occupé lignes de produits (PC, portables , netbook , tablettes , moniteurs et vidéo-projecteurs) . KARINE PATOLE GUEDON se voit confier la direction adjointe de AdCity , le du groupe pureplayer Havas dédié aux problématiques locales et multi-locales . Sa principale mission la responsabilité du bureau régional de Puteaux (92) et le développement de l ' implémentation de la data AdCity auprès des clients du groupe directrice du pôle Communication BtoB & Local) . THOMAS ZAVROSA rejoint Pschhh est en tant que DGA stratégies et C' développement que Thomas Zavrosa ' rejoint l agence . Il débute sa carrière en 2005 chez Rubicam Young Paris en tant que chef de publicité puis directeur de & clientèle . En 2009 , intègre le collectif Enjoy comme directeur conseil et développement. Avant d' intégrer Pschhh , il a passé passé deux ans comme consultant freelance auprès ' d annonceurs et d 'agences. Havas. Elle était jusqu' ici la directrice du développement de la marque BFM Business . Elle était auparavant global account director chez Mediacom , après être passée à la direction commerciale de Vizeum et Carat Fusion (où elle était Tous droits de reproduction réservés PAYS : France RUBRIQUE : Conseils PAGE(S) : 5 DIFFUSION : 9455 SURFACE : 14 % 28 janvier 2015 - N°28 01 2015 PERIODICITE : Quotidien Pschhh entre à AACC ' MARKETING SERVICES . L Association des agences-conseils en communication accueille Pschhh parmi les agences membres de sa délégation Customer marketing . Pschhh est une agence-conseil communication en globale créée en 2007 , dirigée par son fondateur Jules Guillemet et Sébastien Brocandel , directeur associé en charge de la création . Elle compte parmi ses principaux clients Adidas Group , Carrefour , Chambord , Chevignon , Decathlon , Easy Jet , EDF , Fujifilm , GDF Suez , Google , Jardiland , etc . Les derniers articles sur Pschhh Tous droits de reproduction réservés PAYS : France PAGE(S) : 8 SURFACE : 8 % 28 janvier 2015 - N°229 PERIODICITE : Hebdomadaire PSCHHH rejoint ' AACC L Association des AgencesConseils en Communication ( AACC) annonce l arrivée de l agence PSCHHH parmi les membres de sa Délégation Customer Marketing . PSCHHH est une agence-conseil en communication globale créée en 2007 qui défend une approche de la communication centrée sur un brand content généreux , un fort et une bonne dose storytelling d advertainment . PSCHHH ses parmi principaux compte clients : adidas Group , Carrefour , Chambord , Chevignon , Decathlon , easyJet , EDF , Fujifilm SUEZ , Google , , GDF Jardiland , Legrand , Mister Cocktail , MSA , Nikon , OTIS , Poliakov , Unilever ( sur les Cif et Sun) , marques Timberland .. . ' ' ' ' Tous droits de reproduction réservés PAYS : France RUBRIQUE : Informations diverses PAGE(S) : 14 DIFFUSION : (600) SURFACE : 9 % 28 janvier 2015 - N°15811 PERIODICITE : Quotidien Pschhh/ AACC / intégration : L Association des agences-conseils en communication (AACC) a ' annoncé hier l intégration de l agence Pschhh au sein de sa délégation Customer Marketing . Pschhh est une agence-conseil en communication globale créée en 2007 et dirigée par MM . Jules GUILLEMET , fondateur et directeur général , et Sébastien BROCANDEL , directeur associé en charge de la création . Pschhh compte parmi ses principaux clients : Adidas Group , Carrefour , Chambord , Chevignon , Decathlon , EasyJetou encore EDF. ' ' " " Tous droits de reproduction réservés JOURNALISTE : Le 27/01/2015 À 1… PAYS : France PAGE(S) : 12 SURFACE : 11 % 28 janvier 2015 - N°28 01 2015 PERIODICITE : Quotidien Ca Pschhh à AACC ' Le 27/ 01/ 2015 à 16 :42 par Carole Soussan s en publicité , est à la délégation Customer Après les arrivées cette semaine à AACC de St John' marketing de enrichir d un nouveau -et 23ème- membre : Pschhh . L agence conseil en communication globale a été créée en 2007 par Jules Guillemet , fondateur directeur général et Sébastien Brocandel , directeur associé en charge de la création . Une façon , pour eux , d aider nos métiers dans leurs intégrations et évolutions au sein de l écosystème dans lequel nous progressons" ' c' ' ' s' ' Tous droits de reproduction réservés PAYS : France RUBRIQUE : Marques en vüg PAGE(S) : 2 DIFFUSION : 9455 SURFACE : 11 % PERIODICITE : Quotidien 18 mars 2015 - N°20150318 Les casinos Partouche mènent une compétition PUBLICITE . Les casinos Partouche mènent une compétition , orchestrée par le cabinet Pitchville , concernant leur charte publiciaire . Les agences en lice sont Le Fil , La Famille XXL , Pschhh , Enjoy et la sortante Complus . L agence choisie aura pour rôle de définir une charte , qui sera ensuite déclinée ' au niveau local par les casinos du groupe. Tous droits de reproduction réservés URL : http://www.strategies.fr/ PAYS : France TYPE : Web Grand Public 18 mars 2015 - 11:55 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne Les casinos Partouche mènent une compétition publicité, orchestrée par le cabinet Pitchville, concernant leur charte publiciaire. Les agences en lice sont Le Fil, La Famille XXL, Pschhh, Enjoy et la sortante Complus. L'agence choisie aura pour rôle de définir une charte, qui sera ensuite déclinée au niveau local par les casinos du groupe. Tous droits de reproduction réservés Le brand content est sur toutes les lèvres, mais de quels contenus s'agit-il, et à quelles fins ? Quelle mouche a donc piqué le monde de la publicité et du marketing ? Pas une agence aujourd'hui qui ne se revendique du "brand content", des annonceurs qui challengent leurs plans média TV car ils souhaitent développer leur proprecontenu de marque... Un tel enthousiasme, aussi spontané qu'excessif, impose une certaine prudence. Tendance ou traquenard ? Illusion ou révolution ? Le "brand content" ne serait-il pas devenu un contenant sans contenu... ce qui serait quand même un comble ! Des contenus tornade Web chamboulés par la Si le stylisme et les personnages de la série "Mad Men" nous paraissent d'un autre temps, que dire alors de leur vision de la publicité ? La tornade Internet est depuis passée par là, rebattant les cartes et repensant tous les usages sur son passage. Conversation, co-création, information, personnalisation... autant de verbes d'action que le Web a radicalement redéfini et dont le dénominateur commun est l'interaction. L'existence même d'Internet est conditionnée par ce que les utilisateurs y créent : si l'interaction y est possible, c'est parce que les "users" y génèrent du contenu(UGC). Le "brand content" répond en toute logique à cette structuration fonctionnelle : si une marque veut exister sur le Web, elle se doit d'être un internaute comme un autre et de générer à ce titre un contenu déclenchant ou autorisant l'inter-action. Internet procure les interfaces (sites, moteurs de recherche, réseaux sociaux...), les "users" les font vivre en y injectant le contenu dont elles ont besoin pour vivre et se développer. C'est un cercle vertueux reposant sur une dépendance mutuelle. Le problème est qu'aujourd'hui, du fait de la typologie des plateformes pour lesquelles les marques développent habituellement du contenu (sites internet, blogs, réseaux sociaux), celui-ci n'est en général envisagé que d'un point de vue éditorial, avec pour objectif principal d'exister à tout prix dans l'écosystème digital. Posts, tweets, articles... sont souvent perçus comme des occasions supplémentaires de gagner en visibilité, le contenu restant lui, très autopromotionnel. Mais alors quel contenu générer ? Et surtout à quelles fins ? Vous avez dit "performatif" ? Ce qui réunit les agences de la délégation "Customer Marketing" de l'AACC, c'est une conviction profonde : le consommateur doit toujours être placé au centre des écosystèmes de communication/promotion créés par les marques. Le contenu envisagé au travers de ce prisme "customer centric" pose la question du bénéfice que ce dernier en tire. Pour qu'il y ait bénéfice, il faut qu'il y ait effet, modification d'un état de fait : d'où l'idée que le contenu a probablement un rôle "performatif" à jouer. "La performativité", explique Wikipédia, "est le fait, pour un signe linguistique [...], de constituer lui-même ce qu'il dénote, c'est-à-dire que produire [...] ce signe réalise l'action qu'il décrit. Par exemple, le simple fait de dire " je promets " constitue une promesse." Un brand content d'inspiration "performative" exaucerait en même temps qu'il la formule la promesse qu'il sous-tend. Un tel contenu produirait une valeur ajoutée tangible pour le consommateur final, si ce n'est d'un point de vue fonctionnel (création de services à la "Nike +"), au moins émotionnel (création de programmes de divertissement tels que ceux développés par Lego). Et maintenant, action ! A lire aussi : La vidéo, dynamiseur de brand content, première partie et deuxième partie Le brand entertainment renouvelle les contenus publicitaires L'auteur : Issu d'une famille d'entrepreneurs et passionné de théâtre depuis sa plus tendre enfance, Jules Guillemet, a d'abord étudié la philosophie et développé parallèlement des projets de fiction (écriture, réalisation et production de 4 courts et moyens métrages). Il décide de mettre ses compétences narratives et son goût pour le storytelling à profit pour les marques et crée l'agence Pschhh en 2007, à l'âge de 21 ans. Directeur général de Pschhh, il en assure aussi une partie de la Direction Conseil pour certains des principaux clients de l'agence (GDF SUEZ, Fujifilm, Ben&Jerry's entre autres). Nous poursuivons, dans cette deuxième partie, notre enquête sur la vidéo, indispensable média de brand content. Découvrez, si vous l'avez ratée, la première partie du dossier ici. YouTube, Dailymotion ou Vimeo ? Quelle plateforme choisir pour publier sa vidéo sur le Web ? YouTube se présente comme la plateforme référente. Propriété de Google, elle assure un référencement optimal au contenu vidéo. Pour Jules Guillemet, "YouTube a plus un rôle d'hébergeur de vidéos que de réseau social.On y met en ligne sa vidéo puis on la diffuse en plus sur des plateformes périphériques (sites affinitaires, blogs...)". Mais rien n'empêche de publier également sa vidéo sur Dailymotion, afin d'optimiser son référencement naturel (SEO). Vimeo, quant à elle, est uneplateforme très prisée des artistes et des créatifs. Elle permet de toucher un public plus jeune, particulièrement sensible à la qualité de l'image. Le hashtag Le hashtag est intéressant à utiliser pour relayer son contenu vidéo sur le Web,surtout pour un dispositif avec un message fort ou une cause particulière.La reprise du hashtag par les utilisateurs de Twitter, habitués à cet outil, permettra à la vidéo, et à l'opération dans laquelle est intégrée, d'optimiser sa visibilité sur le Web. "Pour la viralité, une vidéo qui a récolté un nombre de vues limité mais aura permis la diffusion du hashtag pourra quand même être considérée comme réussie", note Jules Guillemet. Quels KPIs ? Comment évaluer les résultats de son contenu vidéo ? Tout dépend de l'objectif suivi. Sur le Web, on peut suivre le nombre de partages de la vidéo sur les réseaux sociaux, ou la typologie des commentaires (positifs ou non). " Attention toutefois à pondérer les résultats : un like n'est pas à mettre au même niveau qu'un partage ou un commentaire, plus engageant ", précise Jules Guillemet. De plus, les KPIs changent en fonction du sujet abordé. Pour l'opération "La Vérité sur les Filles" pour la nouvelle Renault Twingo, la marque et l'agence Marcel ont suivi le nombre de vues générées par conversation, autrement dit l'engagement : "Nous avons voulu répondre aux questions suivantes : la conversation générée était-elle positive ou négative pour la marque ? Y a-t-il eu approbation ou rejet de la vidéo ?", explique Jérémie Bottiau. Hormis l'engagement, d'autres KPIs peuvent être suivis, tels que le gain de notoriété ou la conquête d'une nouvelle cible. Cas pratique : l'Effet Papayon d'Oasis En 2014, Oasis diffuse sur YouTube "L'Effet Papayon", une web-série en quatre épisodes de 2 minutes 30 chacun. Chaque vidéo présente le même schéma scénaristique, autour de l'arc narratif global : l'histoire d'amour entre Ramon Tafraise et Frambourgeoise. Pour faire patienter les fans entre chaque épisode, Oasis y a intégré des Easter Eggs, comme le site YouPomm ou le jeu vidéo Fruit Fighter, parodie du célèbre Street Fighter. "Ces clins d'oeil, cachés dans chaque épisode, ont rendu plus engageant le visionnage des vidéos, remarque Jérémie Bottiau. L'internaute les regarde une première fois par plaisir, puis une deuxième fois pour découvrir les bonus cachés". Résultat : 7 millions de vues sur YouTube pour les trois premiers épisodes. Passant de 24.000 à 105.000 abonnés, Oasis est devenue la première chaîne YouTube de marque en France. A RETENIR : Ne pas copier-coller un succès Dupliquer une idée qui a fonctionné n'est pas la bonne solution : celle-ci a déjà été vue partout (exemple : la vidéo interactive "L'ours et le chasseur" signée Tipp-Ex). Il n'y a pas de formule toute faite en brand content : à vous d'innover ! Le bon dosage Il est important de trouver le bon rapport entre un contenu original et audacieux, et le message à diffuser. Beaucoup d'annonceurs souhaitent une vidéo décalée, en oubliant le réel enjeu : proposer du contenu en accord avec l'ADN de la marque. Une question de cadre Au moment du tournage, on ne choisit pas le cadre d'une vidéo de la même manière selon le support choisi (TV, Facebook, YouTube...). Plus on va vers un petit écran, plus on doit simplifier l'arc narratif et le cadre du contenu. Il est donc important de travailler sur cet aspect dès la phase de conception, au moment du choix du support de la vidéo. Avec le digital, les possibilités pour les marques de diffuser du contenu se sont considérablement développées. L'opération Red Bull Stratos, en 2012, a prouvé qu'on pouvait créer un contenu puissant, visible et stratégique, grâce à la vidéo. La même année, la web-série "Les Dumas", de BouyguesTelecom et l'agence DBB Paris, a cumulé 10 millions de vues tous players confondus, et rencontré un vrai succès populaire. Aujourd'hui, rares sont les opérations de content marketing où la vidéo ne joue pas un rôle majeur. Hébergée sur YouTube, elle permet de dynamiser le contenu et de le partager rapidement sur les réseaux sociaux. Ses multiples formats (tutoriel, storytelling, web-série...) en font l'outil idéal pour trouver le ton juste auprès de sa cible, tout en proposant une durée adaptée au support que celle-ci utilise (une vidéo Vine de six secondes sera visionnée sur mobile alors qu'un film de vingt minutes pourra être diffusé au cinéma). Attention toutefois à ne pas oublier le principal : raconter l'histoire de la marque. Et intégrer la vidéo au sein d'un écosystème plus large de contenus. La vidéo, une part de l'écosystème Si elle a parfois le premier rôle, la vidéo ne doit pas rester isolée mais faire partie intégrante d'un ensemble de contenus. On ne peut ainsi pas concevoir des vidéos sans penser à l'écosystème digital. Pour son client Renault, l'agence Marcel a intégré la vidéo au reste du dispositif "La Vérité sur les Filles". "Le but des trois films diffusés sur YouTube était de donner envie et relayer l'ouverture d'un pop-up store, l'événement principal de l'opération, explique Jérémie Bottiau, directeur de création chez Marcel. La vidéo n'est ici que l'élément déclencheur de la viralisation de la campagne. Sur cette opération, ce sont les jeunes femmes qui créent le brand content, en proposant des phrases que l'on va imprimer ensuite sur des teeshirts, pas la vidéo". Quel objectif ? Le brand content vidéo répond à un objectif précis. Les marques doivent savoir à quoi le contenu vidéo va leur servir. Exemples d'objectifs derrière des opérations de brand content vidéo : l'opération digitale "La Vérité sur les Filles" (Renault) a pour but de créer un point de rencontre entre la cible à conquérir (les jeunes femmes) et la voiture (nouvelle Twingo). "Comment créer du contenu créatif qui fait déplacer les consommateurs ?, se sont demandés Jérémie Bottiau et son équipe. La réponse : ouvrir un pop-up store où ces derniers sont invités à faire un selfie pour avoir la chance de gagner un vêtement personnalisé. La vidéo joue alors le rôle de relais vers le point de vente éphémère". Le film "L'Odyssée de Cartier", diffusé en TV et au cinéma et qui dépasse les trois minutes, devait justifier d'un savoir-faire et communiquer sur le patrimoine de la marque. La vidéo représente dans ce cas un écrin pour la marque. Une approche customer centric Cela peut paraître évident, et pourtant... Il est primordial, au moment de concevoir une opération de brand content, de se poser la question de l'intérêt pour le client. Créer du contenu vidéo, c'est bien, encore faut-il se demander quelle sera la valeur ajoutée au final pour le consommateur. La web-série "Mon Projet Plus" par GDF Suez Pro, par exemple, a pour but d'accompagner huit candidats (boucher, boulanger, carrossier ou créateur de start-up) dans leur projet professionnel et leurs investissements. "Le contenu est mis en valeur dans des vidéos mais aussi dans un magazine ou des fiches pratiques, mises en ligne sur le site Web, explique Jules Guillemet, directeur général de l'agence Pschhh, en charge du projet. A travers ce contenu pédagogique, le client peut trouver une réponse à ses questions concernant l'énergie". Le succès du tutoriel De plus en plus utilisé par les marques, le tutoriel vidéo est un format efficace pourdémontrer son expertise et développer sa notoriété. Leroy Merlin propose de nombreux tutoriels sur sa chaîne YouTube, où elle montre, en situation, comment utiliser ses produits (comment poser une gouttière ou monter sa porte de garage par exemple). Dans un souci de simplicité du message véhiculé, Leroy Merlin a mis en place un système à base de marteaux pour annoncer, en début de vidéo, le niveau de difficulté (1 marteau étant le moins difficile sur une échelle de 3). Ces tutoriels vidéo sont également relayés sur le site Web de la marque où, à droite de chaque vidéo, sont proposés les produits nécessaires à l'installation présentée. Les images cliquables renvoient alors vers les fiches produits correspondantes. Si des secteurs comme la beauté ont recours depuis longtemps à ce format (comme récemment Garnier Fructis qui vient de confier l'animation des tutoriels coiffure "Ose ton #hairfie" à la youtubeuse Andy Raconte, via l'agence No Site), le tutoriel vidéo est désormais utilisé par tous, du secteur IT (Sage qui fait témoigner ses collaborateurs) à l'habillement (la marque américaine d'outdoor Sierra Trading Post qui montre en vidéo comment enrouler correctement une corde d'escalade), en passant par les mixeurs professionnels (les célèbres tutoriels vidéo humoristiques "Will it Blend ?" signés Blendtec, où le p-dg, habillé en savant fou, s'amuse à détruire le dernier iPhone ou la dernière tablette pour prouver l'efficacité de son produit). La web-série Le format de la web-série (diffusion sur Internet de saisons découpées en plusieurs épisodes, sur le modèle des séries TV américaines) n'a jamais été aussi populaire. On en trouve des centaines sur le Web, touchant des univers aussi différents que la banque ("Les Colocs" de BNP Paribas, réalisée par Riad Sattouf) ou la téléphonie mobile ("Les Dumas" de Bouygues Telecom). La web-série est un format qui répond à une fonction de branding et d'image de marque. Toutefois, il ne fonctionne que si la marque n'apparaît que de façon homéopathique et très subtile. Ici, le contenu ne doit pas être centré sur le produit. Conçue par l'agence DDB, la web-série humoristique à succès "Les Dumas"suit, en douze épisodes, la vie numérique d'une famille lambda, sans présenter les services de l'opérateur téléphonique derrière le dispositif (la marque n'est citée qu'en début et en fin d'épisode). L'ensemble des épisodes a généré 10 millions de vues tous players confondus et une majorité de retours positifs, avec 96% de likes sur YouTube. Réseaux sociaux : à chacun sa cible Les réseaux sociaux sont intéressants pour relayer sa vidéo de brand content "car, sur ces sites, c'est l'utilisateur qui va viraliser lui-même le contenu, explique Jules Guillemet. Beaucoup investis par les influenceurs, ils représentent un levier intéressant pour mener une stratégie d'influence". Attention toutefois à respecter les spécificités de chacun. Instagram, réseau social dédié à l'image, où il est possible de publier des vidéos de 15 secondes, vise un public jeune, mais moins que celui de Snapchat, application de messagerie mobile où la vidéo ne peut être vue qu'une seule fois avant de disparaître. URL : http://veillebrandcontent.fr/ PAYS : France TYPE : Web Grand Public 25 mars 2015 - 05:40 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne Cif et Sun proposent conseils et cadeaux avec l'opération « Joyeux ménage » Veille effectuée par 25 mars 2015 2 Commentaires Les marques de nettoyants ménager (Cif) et de produits lave-vaisselle (Sun) du groupe Unilever ont lancé en mars 2015 la plateforme « Joyeux ménage », proposant des astuces pour le ménage tout en donnant la possibilité aux internautes de gagner une soirée d’anniversaire. La campagne a été créée à l’occasion des 50 ans des deux marques. Le site dédié comporte un onglet « Trucs et Astuces » donnant des conseils de nettoyage, particulièrement utiles pour des lendemains de fêtes. Les internautes peuvent ainsi remporter une soirée d’anniversaire en participant à un jeu interactif, ainsi que d’autres cadeaux et bons de réduction. Un quiz en ligne est également disponible. L’opération a été conçue par l’agence Pschh. Dans Blog, Conseils pratiques/ coaching, France, Jeu · Cif, hygiène, maison, Sun Tous droits de reproduction réservés RUBRIQUE : Événements PAYS : France PAGE(S) : 8 SURFACE : 19 % PERIODICITE : Hebdomadaire 20 mars 2015 - N°244 EVENE1VIENTS Cif et Sun célèbrent avec Pschhh Pour célébrer leurs 50 ans , Cif et Sun , accompagnés par leur agence Pschhh , lancent l opération « Joyeux ménage» . Les 2 marques du groupe Unilever offrent l opportunité leurs consommateurs de gagner une soirée d anniversaire mémorable. ' ' ' La campagne prend forme en magasin et via la plateforme .fr . Sur ce site événementiel , joyeuxmenage leurs 50 ans les internautes peuvent amuser via un jeu interactif pour tenter de une fête d anniversaire d une remporter valeur de 3 .000Euro . Pour célébrer avec leurs consommateurs ce cinquantenaire , Cif et Sun les invitent également à répondre en ligne au quizz viral « quelle genre de fête êtes-vous ?» , afin de les accompagner dans l organisation d une fête d anniversaire. s' ' ' ' ' ' Tous droits de reproduction réservés PAYS : France PAGE(S) : 1 SURFACE : 94 % PERIODICITE : Hebdomadaire 20 mars 2015 - N°244 LE CHIFFRE CLÉ 603 628 C est le nombre d emplois généré par le média TV en Europe. ' médiaComi La lettre des professionnels de la communication Les secteurs culture* et européens , générateurs de croissance Source Entretien avec... Raphaël de ANDREIS CEO de Havas Media Group France : lance le «One Data» Publicité Havas : bénéfic net en hausse de 9,4%% en 2014 4 Inditex (Zara) un résultat net en hausse de 5%% sur 2014-15 CAMPAGNE: Campagne nationale sur la prévention et gestion des déchets : France : les voient l avenir de manière e-commerçants positive Des chanteurs qui font le bonheur des publicitaires Par temps de crise du disque , placer ses chansons dans des publicités ou des films est devenu une source de revenus recherchée par les artistes. Certains groupes , pas forcément très connus du grand public , sont même devenus des spécialistes. Les Français Make The Girl Dance et If The Kids font partie de ces groupes dont les noms apparaissent pas en n' haut des charts mais dont les publicitaires raffolent Le premier , groupe électro-dance révélé en 2009 grâce à clip de peuplé jeunes filles déambulant nues en pleine ? DISTRIBUTION : Chronodrive très brièvement , dans la DISTRIBUTION : La SNCF veut développer plus de services des commerces dans les gares ? DISTRIBUTION lance «Fnac concept store NOMINATIONS Arnaud Montebourg président 8 : un nouveau : Habitat nommé vice- VISION : Le replay de plus en plus apprécié des telespectalems Sun : Cif célèbrent leurs 50 ans avec Pschhh mécliaCom' - La lettre des professionnels télévision Pierre Mathieu , de groupe dance oor qui publiera début mai son second album ( Extraball» ) . « Vous avez une visibilité que vous auriez jamais par des moyens normaux» , confirme n' bandeson du film de Luc Besson , « Lucy» , et a été entendu dans des jeux vidéo Le second , duo électro-rock , a récemment rythmé ces dernières années des publicités pour un parfum rose , une voiture espagnole ou du prêt-à-porter pour femmes et enfants Loin d avoir le sentiment de «vendre leur âme au diable» ou d être de simples « groupes à pubs» , ces artistes recherchent ces partenariats pour se faire connaître et trouver les moyens de financer leurs productions à une ' ' de la communication ' de contribué à vendre des Mousquetaires : les ventes en hausse de 110/ en 2014 lance son service C' journée dans une me parisienne ( «Baby Baby Baby» ) , a : Pologne/ Les DISTRIBUTION carrière . « est plutôt gratifiant , et cela nous apporte une exposition qui rassure les programmateurs de concerts» , explique Greg Kozo , membre de Make The Girl Dance aux côtés de l ex-animateur MAKETHE GIRLDANCE des téléphones , crèmes anti-rides ou des glaces . Il aussi , apparaît ' époque où il est devenu périlleux de miser sur les ventes de disques pour faire - N°244 -Vendredi de promotion Brice Montessuit , membre d the Kids , dont le premier album ( « Set You free» ) paraîtra le 15 juin . Ce groupe est offert une petite carrière ' s' internationale en 2010 quand Lacoste a choisi l une de leurs chansons pour une diffusée en Europe mais campagne également au Brésil ou au Canada . «Il y a de vrais pics d audiences sur nos clips dès ' ' une campagne passe quelque part» , constate le compositeur. qu' 20 mars 2015 Tous droits de reproduction réservés marketing-pgc.com URL : http://marketing-pgc.com / PAYS : France TYPE : Web Grand Public 27 mars 2015 - 10:55 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne Cif et Sun, 50 ans de lendemains de fêtes Quoi de pire que le ménage les lendemains de soirée? Cif et Sun s'asso cient pour vous accompagner dans ce moment difficile et pour fêter leur 50 ans dans une campagne baptisée « Joyeux ménage « .Partant du constat que les lendemains de fêtes et d'anniversaires rimaient souvent avec ménage, notamment pour la vaisselle (Sun) et les sols et surfaces (Cif), Unilever choisit de positionner ses marques comme les partenaires indispensables des lendemains de fêtes.Cette campagne, orchestrée par l'agence Pschhh, est déclinée en trade et en digital. Elle permet de gagner une soirée d'anniversaire « éclatante » et mémorable d'une valeur de 3000euro, organisée par un birthday planner.Les objectifs marketing de la marque derrière cette campagne sont double. D'abord, accroître la préférence de marque de Cif & Sun en leur assurant une visibilité originale dans un secteur fortement concurrentiel. Mais également dépoussiérer la marque auprès des plus jeunes en créant l'émulation à l'occasion de cette opération anniversaire, alibi parfait pour les reconquérir.Pour arriver à toucher le plus efficacement possible une cible jeune, Unilever n'a pas hésité à miser sur une plate-forme web alliant deux concepts marketing :- l'advertainement : sur le site on retrouve un jeu invitant à nettoyer en 30 secondes une cuisine « post-anniversaire » avec 6 produits des gammes Cif et Sun. Un moyen simple et efficace de communiquer le bénéfice clé de chacun de ces produits.- le brand utility : au travers d'une rubrique Trucs et Astuces assez fournie permettant de rendre service aux consommateurs les moins habitués du ménage .On note une volonté de positionner le ménage non comme une corvée mais comme une activité pouvant se révéler fun.Pour donner une visibilité digitale maximum à cette campagne , on retrouve un quiz « quel genre de fête êtes-vous ? » qui permettra de drainer du trafic sur la page Facebook notamment auprès des jeunes friands de quizz et autres sondages online.Au total c'est plusieurs milliers de bons de réduction qui sont mis en jeux chaque mois et 16 anniversaires sur mesure d'une valeur de 3000 euro chacun. La campagne s'étend jusqu'au 31 décembre 2015, avec des tirages au sort chaque mois afin de maximiser l'effet dans la durée de la campagne. Tous droits de reproduction réservés http://www.lsa-conso.fr/ Les deux marques du groupe Unilever Cif et Sun fêtent leurs 50 ans. Pour l’occasion, l’agence Pschhh a lancé l'opération "Joyeux ménage", qui offre la possibilité via un site dédié de gagner des cadeaux et même une soirée d'anniversaire. Pour célébrer leurs 50 ans, les deux marques vedettes du groupe Unilever Cif et Sun ont fait appel à l’agence Pschhh. Afin de fêter cet anniversaire dignement, l’opération "50 ans de joyeux ménages" a été dévoilée le 19 mars 2015. Dans cette campagne, les deux marques jouent sur le double sens des mots. Du ménage, c’est ce que l’on fait généralement au lendemain d’une fête mémorable et les deux produits sont utiles et complémentaires à cette occasion. Un ménage, c’est aussi un couple, ici composé de deux marques unies depuis 1965, année de leur création. La campagne joue également l’antinomie des termes fête et ménage en donnant à ce dernier un aspect positif et ludique, loin de l’image de la corvée. CAMPAGNECIF ET SUN DÉCLINÉE EN TRADE ET EN DIGITAL La campagne prend forme en magasin et via la plateforme web joyeuxmenage.fr, qui offre des cadeaux à gagner. Sur ce site événementiel dédié, les internautes peuvent participer à un jeu interactif pour tenter de remporter une fête d'anniversaire "éclatante", d'une valeur de 3 000 euros. En tout, 16 anniversaires (10 anniversaires à gagner via le site événementiel et 6 autres dans des opérations en magasin) sont à gagner jusqu’au 31 décembre 2015. Les internautes sont également invités à répondre à un quiz en ligne afin de les accompagner dans l'organisation d'une fête d'anniversaire. Enfin, des conseils, trucs et astuces de nettoyages sont mis à disposition des consommateurs, histoire de renforcer l’image experte de ces deux marques. PAYS : France RUBRIQUE : Informations diverses PAGE(S) : 22 DIFFUSION : (600) SURFACE : 8 % PERIODICITE : Quotidien 19 mars 2015 - N°15847 Cif et Sun anniversaire : Pour fêter leur cinquantième anniversaire , Cif et Sun ( Unilever) , accompagnés par leur agence Pschhh , lancent l opération Joyeux Ménage . La campagne est déployée via le site Internet joyeuxmenage .fr , site événementiel qui permet aux internautes de jouer pour tenter de remporter une fête d anniversaire . Cif et Sun proposent également des astuces pour organiser une fête d anniversaire , adressant ainsi à un public jeune , cible inhabituelle sur le secteur. Pschhh ' ' ' s' Tous droits de reproduction réservés Cif et Sun célèbrent leurs 50 ans de "joyeux ménages" avec Pschhh Pour célébrer leurs 50 ans, Cif et Sun, accompagnés par leur agence Pschhh, lancent l'opération "Joyeux ménage" : les deux marques du groupe Unilever, partenaires indispensables des lendemains de fêtes, offrent ainsi l'opportunité à leurs consommateurs de gagner une soirée d'anniversaire mémorable... La campagne "Joyeux ménage", imaginée et orchestrée par l'agence Pschhh, prend forme en magasin et via la plateforme web joyeuxmenage.fr Sur ce site événementiel, les internautes peuvent participer à un jeu interactif pour tenter de remporter une fête d'anniversaire "éclatante", d'une valeur de 3 000€. En tout, 16 anniversaires avec birthday planner sont à gagner. (10 anniversaires à gagner via le site événementiel et 6 autres dans des opérations en magasin, du 24/02/2015 au 31/12/2015). Pour célébrer avec leurs consommateurs ce cinquantenaire, Cif et Sun les invitent également à répondre en ligne au quizz viral "quelle genre de fête êtes-vous ?", afin de les accompagner dans l'organisation d'une fête d'anniversaire. Joyeuxmenage.fr combine ainsi advertainment et brand-utility, puisqu’il propose de nombreux trucs&astuces de nettoyages et la possibilité de remporter des bons de réduction. Date : 02/04/2015 Pays : FRANCE Page(s) : 47 Rubrique : OPINIONS Diffusion : 9455 Périodicité : Hebdomadaire Surface : 85 % PRÉFÉRENCE DE MARQUE ET NOUVEAUX USAGES, EMBARQUEMENT IMMÉDIAT CONSOMMATIONl imaged Air Franceet son«wifi onboard» avecsa conciergerie d Applepour sonprojet d automobileconnectée , autantdeservicesqui valorisentloffre produit onpeut interrogersur la notiondepréférence de marqueduconsommateurIIconvientdebienidentifiercesleviersdecréationde valeurnaissants. ' ' ' ' s' ont en commun Apple , qui des développerait voitures connectées , Air France , qui associe à Orange pour proposer le «wifi on board» , et BMW avec sa conciergerie? Tous cherchent à valoriser leur offre produit historique en l enrichissant de services ou d objets qui génèrent une valeur ajoutée pour le consommateur final. Effet de mode ou révolution? De quoi cette dynamique est-elle le u' ' s' JULESGUILLEMET fondateur et directeur général de l agence ' ' ' ' symbole? Pour décrypter ce phénomène , il faut revenir à une question apparemment basique mais essentielle: pourquoi un individu consomme-t-il une marque plutôtune autre? En effet , sur quoi repose la fameuse préférence de marque qui est sur les lèvres de tous lesdécideurs marketing depuis quelques années? qu' Pour ' ' qu' qu' ' VENDRE (DU)MIEUX . Le consommateur est , in fine , préoccupé que d une chose: son bénéfice individuel . il consomme n' ' « Le consommateur est , in fine ,préoccupé que d une chose : son bénéfice individuel » n' ETSEDISTINGUER. CONNU il y ait préférence de il y ait marque , il faut identification , différenciation puis adhésion à celle-ci . Problème: le consommateur ne nous déclarera son amour que si nous sommes intimement connus de lui et à la condition que ce que nous lui proposons nous distingue suffisamment des autres prétendants ! Là où sera l identification notamment assurée par des éléments visuels (logo ,packaging , charte graphique ...), la différenciation senourrira de toute opportunité pouvant mener à l adhésion. La publicité , et son formidable pouvoir de présence à l esprit , et la promotion , qui augmente les ventes à l aide d incitations financières , assurent-elles pour autant aux marques une préférence durable et solide? ' S' le produit , est il y trouve un intérêt , mais son désir est volatile et pour le fidéliser , il faudra sûrement faire plus que simplement le séduire avec de belles promesses . Pour vendre plus , il faudra vendre (du) mieux . Et générer ainsi de la valeur ajoutée pour celui que nous cherchons à toucher le consommateur final. La guerre de territoires que nous constatons encore souvent entre les départements communication et marketing c' qu' aura alors plus lieu d être , car les actions promotionnelles seront intrinsèquement liées au produit jusqu' àl enrichir directement. Cette création de valeur pourra passer par exemple par l amplification de l expérience consommateur grâce à des connectés , par la création objets de services additionnels et , par un complémentaires de la marque sur des accompagnement problématiques périphériques à son offre produit ... Il devra dans tous les cas en résulter un bénéfice fonctionnel et/ ou émotionnel suffisant pour que cela génère une adhésion pérenne. Comment appréhender ces nouveaux usages et quelle méthodologie adopter pour identifier ces leviers de création de valeur ? Paradoxalement , est souvent en partant de nos expériences personnelles de manière ultra concrètes et quotidiennes . Les meilleures idées ne sont-elles pas celles qui nous convainquent , car elles répondent à des besoins évidents ? Repensez-y la prochaine fois que vous pourrez poster vos photos de vacances sur Facebook depuis votre vol retour! ' n' ' ' ' c' Tous droits de reproduction réservés EMISSION "A VOS MARQUES" - DIMANCHE 5 AVRIL 2015 Les secrets marketing des marques de légende L'émission dédiée aux marques et à leur communication. David Dauba reçoit experts et chroniqueurs de la publicité en plateau pour dérouler l'actualité marketing de la semaine. http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/quand-volkswagen-ecorche-volontairement-sonnom-valery-pothain-jules-guillemet-et-christophe-lafarge-13-0504-489339.html http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/les-francais-sont-ils-publivores-ou-publiphobesvalery-pothain-jules-guillemet-et-christophe-lafarge-23-0504-489349.html PAYS : France RUBRIQUE : Atelier direct et digital PAGE(S) : 68-70 DIFFUSION : 8530 SURFACE : 241 % JOURNALISTE : Xavier Foucaud PERIODICITE : Mensuel 1 avril 2015 - N°184 ATELIERDIRECTET DIGITAL/ vidéo , une part de l écosystème La ' Raconter deshistoires grâce à la vidéo Avecle digital , les possibilitéspour les marques de diffuser du contenu sesont considérablementdéveloppées.L opération Red Bull Stratos, en 2012, a prouvé que l on pouvait créerun contenu puissant,visible et stratégiquegrâceàla vidéo.La mêmeannée,la web-série LesDumas , de BouyguesTelecomet l agenceDBB Paris,a cumulé 10millions de vues, tous playersconfondus,et rencontré un vrai succèspopulaire. Aujourd hui ,raressont les opérations de content marketing où la vidéo ne joue pas un rôle majeur. Hébergéesur YouTube, ' " " ' ' elle dynamise le contenuen le partageant rapidement sur lesréseauxsociaux.Sesmultiples formats (tutoriel storytelling , web-série...) en font l outil idéal pour trouver leton juste auprès desacible,tout en proposant une durée adaptée ausupport que celle-ci utilise (unevidéo Vine de 6 secondesseravisionnéesur mobile, alors un film de 20minutes pourra être diffusé au cinéma). Attention , toutefois, à nepas oublier le principal: raconterl histoire de la marque et intégrer lavidéo au sein d un écosystèmeplus large decontenus. XAVIER ' qu' ' ' 1 Si elle occupe parfois le premier rôle, lavidéo ne doit pas resterisolée mais faire partie intégrante d un ensemblede contenus On ne peut , ainsi , pasconcevoir des vidéos sanspenser à l écosystème digital . Pour son client Renault l agenceMarcel a intégré lavidéo au restedu dispositif La vérité sur les filles . Le but des trois films diffusés sur YouTubeétait de médiatiser l ouverture d un pop-up store, événement principal de l opération . La vidéo estici que l élément déclencheurde la viralisation de la campagne. ' ' ' " " ' ' ' ' n' Chefde groupecréatifchezGrey Paris, avantde rejoindreMarcel directeur de création, lvlarcel en 2012entant que directeur création. créé,notamment de @leblogE la série [ effet Papayon" pourOasis. JérémieBottiau, " Jules Guillemet , directeur général, Pschhh @JulesGuillemet Aprèsavoirréaliséet produit des courts et moyens-métrages , Jules Guillemetacréé l agencePschhh, en 2007 Dg, il assureégalementla directionconseil pourcertainsclients. ' Quel objectif? Le brand content vidéo répond àun objectif précis. Les marques doivent savoir à quoi le contenuvidéo va leur servir. Exemples d objectifs derrière des 2 ' Tous droits de reproduction réservés PAYS : France RUBRIQUE : Atelier direct et digital PAGE(S) : 68-70 DIFFUSION : 8530 SURFACE : 241 % JOURNALISTE : Xavier Foucaud PERIODICITE : Mensuel 1 avril 2015 - N°184 FOURNISSEURS MOYEN Criteo, AdMoove, SmartAdServer, UrbanAirship, Tapvalue, Facebook, Twitter L AVISDELA RÉDACTION DURÉE De 000à 150000 Euro Astuce n°1: ne pas copier-coller un succès Dupliqueruneidéequia fonctionné estpasla bonne solution.CHle-d a déjàétévue partout (exemple : 2 vidéo de l ours et du classeur signéeTipp-Ex). Il y a pas defounule toute faite en brand content:à vous d innover! n' ' n' ' ' Dequatre à sixmois La vidéo doit répondre à un objectif précis et apporter une réellevaleur ajoutée.Si elle estsouventl aspectle plus visibled un dispositif de brand content, elledoit être intégrée au restedu dispositif ' poser une gouttière ou monter sa porte de garage, par exemple). Si dessecteurs comme la beautéutilisent depuislongtemps ce format (pour destutoriels maquillage , par exemple),le tutoriel vidéo estdésormais utilisé par tous, du secteur IT (Sage, qui fait témoigner sescollaborateurs) à l habillement ( la marque américaine d outdoor Sierra Trading Post, qui montre en vidéo comment enrouler correctement une corde d escalade), en passantpar les mixeurs professionnels ( les célèbrestutoriels vidéo humoristiques -Will it blend? signés Blendtec,où le p-dg , habillé en savantfou , amuse à détruire le dernier iPhone ou la dernièretablette pour prouver l efficacité de son produit) . ' ' ' opérations debrand content vidéo :l opération digitale La vérité sur les filles" (Renault) a pour but de créerun point de rencontre entrela cible à conquérir ( lesjeunes femmes) et lavoiture (nouvelle Twingo) . Comment créerdu contenu créatif qui fait se déplacer les consommateurs? Réponse: ouvrir un pop-up store où ces derniers sont invités à faire un selfie pour avoir la chancede gagner un vêtement . La vidéo joue , alors, lerôle personnalisé de relais vers le point de vente éphémère. Le film L odyssée de Cartier , diffusé enTV etau cinéma et qui dure plus de trois minutes ,devait justifier d un savoir-faire et communiquer sur le patrimoine dela marque. La vidéo représente, dans ce cas, un écrin pour la marque. pour le client.Créer du contenu vidéo, estbien, encorefaut-il se demander quelle sera la valeur ajoutée, aufinal , pour le consommateur. La web-série Mon projet plus , par GDF SuezPro , par exemple, a pour but d accompagner huit candidats ( bouchers, , carrossiersou créateurs boulangers de start-up) dans leur projet professionnel et leurs investissements . Le contenu estmis en valeur dansdes vidéos mais aussidans un magazine ou des fiches pratiques,mises en ligne sur le site web. À travers ce contenu pédagogique, leclient peut trouver une réponse àses questions concernant l énergie. Approche centrée client De plus en plus utilisé par les marques, letutoriel vidéo estun format efficace pour démontrer son expertise et développer sa notoriété . Leray Merlin propose de nombreux tutoriels sur sachaîne YouTube, où elle montre ,en situation ,comment utiliser sesproduits (comment ' " ' " ' Cela peut paraître évident , et pourtant ... est primordial , au moment de concevoir une opération de brand content, de seposer la question de l intérêt 3 ' c' " " ' ' Le succès du tutoriel 4 " s' ' La web-série Le format dela (di Fusion sur Internet de saisonsdécoupées enplusieurs épisodes, sur le modèle dessériesTV a jamais été aussi américaines) populaire . On en trouve des centainessur le Web, touchant desunivers aussidifférents que ' la banque ( Les colocs , de BNP Paribas)ou la téléphonie mobile ( LesDumas , de BouyguesTelecom). La web-série est un format qui répond à unefonction de branding et d image de marque .Toutefois, il ne fonctionne que si la marque apparaîtque de façon homéopathique et trèssubtile. Ici , le contenune doit pasêtre centrésur le produit Conçue par l agenceDDB, la humoristique à succès Les Dumas" suit , en 12épisodes, la vie numérique d unefamille lambda,sansprésenterles servicesde l opérateur derrière le dispositif ( la téléphonique marque est citée en début et en fin d épisode). ensembledes épisodesa généré10millions de vuestous playersconfondus et une majorité de retours positifs, avec96%% de likes sur YouTube. " " " " ' n' ' " ' ' n' qu' ' Réseaux sociaux: à chacun sa cible 6 n' Les réseauxsociaux sont intéressants pour relayer sa vidéo de brand 4 Astuce n°2: Le bon dosage Il estimportant detrouverlebonrapportentre un contenuoriginaletaudacieuxetle message àdiffuser.Beaucoupdannonceurssounaitent unevidéodécalée,enoubliantrenjeu:proposer ducontenuen accordavecl ADN dela marque. ' Tous droits de reproduction réservés PAYS : France RUBRIQUE : Atelier direct et digital PAGE(S) : 68-70 DIFFUSION : 8530 SURFACE : 241 % JOURNALISTE : Xavier Foucaud PERIODICITE : Mensuel 1 avril 2015 - N°184 des histoires grâce à la vidéo Raconter 4 content car, sur cessites , estl utilisateur qui va viraliser lui-même le contenu . Beaucoup investis par lesinfluenceurs , ils représentent un levier intéressant pour mener une stratégie d influence . Attention toutefois à respecter les spécificités de chacun . Instagram , réseau social dédié àl image , où il est possible de publier des vidéos de 15 secondes, vise un public jeune ,mais moins que celui de Snapchat, application de messagerie mobile où la vidéo ne peut être vue une seule fois avant de disparaître. l objectif fixé . Sur le Web , on peut suivre le nombre de partages de la vidéo sur les réseaux sociaux , ou la typologie des commentaires (positifs ou négatifs) .Attention , toutefois , à pondérer lesrésultats: un like est pas à mettre au même niveau un partage , et encore moins d un commentaire , qui demande de prendre le temps de laisser son avis, donc plus engageant. De plus , lesKPI changent en fonction du sujet abordé. Pour l opération La vérité sur lesfilles» pour la nouvelle Twingo , Renault et l agenceMarcel ont suivi le nombre de vues généréespar conversation , autrement dit l engagement.Concrètement , il a fallu répondre aux questions suivantes: La conversation généréepar chaque vidéo était-elle positive ou négative pour la marque ?Y a-t-il eu approbation ou rejet des spots de la part desinternautes Hormis l engagement,d autres KPI peuvent être suivis , tels que le gain de notoriété ou la conquête d une nouvelle cible. a ' ' c' ' n' qu' ' ' Leffet Pa ayon , COasis En2014, OasisdiffusesurYouTubeLeffet Papayon, uneweb-sérieen quatreépisodesde2 minutes30. Chaquevidéoprésentele mêmeschéma , autourdel arc narratifglobal : l histoired amour entre scénaristique RamonTafraiseet Frambourgeoise .Pourfaire patienterlesfans entre chaqueépisode,Oasisy a intégrédes eastereggs , commelesite YouPommou lejeu Fruit Cesclins d oeilrendentplusengageant le visionnagedesvidéos. Résultat: 7 millionsdevuessur YouTube . Passantde24 000à 105000abonnés, pourlestrois premiersépisodes Oasisestdevenuela premièrechaîneYouTube de marqueenFrance. ' qu' " ' YouTube , ' ' " ' Dailymotion ou Vimeo ? Quelle plateforme choisir pour publier savidéo sur le YouTube se présente comme la plateforme référente. Propriété de Google , elle assure un référencement optimal au contenu vidéo. Mais rien empêche de publier également savidéo sur Dailymotion , afin d optimiser son référencement naturel (SEO) . Vimeo , quant à elle, est une plateforme très prisée des artistes et des créatifs . Elle permet de toucher un public plus jeune , particulièrement sensible à la qualité de l image . Attention , donc, à choisir la plateforme la plus adaptée à ses objectifs. ' n' ' Le hashtag Le hashtag est intéressant à utiliser pour relayer son contenu vidéo sur le Web, surtout pour un dispositif avecun messagefort La reprise du hashtagpar les utilisateurs de Twitter , habitués à cet outil , permettra à la vidéo , et à l opération dans laquelle elle est intégrée, d optimiser savisibilité sur le Web. Pour la viralité , une vidéo qui a récolté un nombre devues limité mais aura permis la diffusion du hashtag pourra quand même être considérée comme réussie. " ' ' ' ' ' ' XAVIER FOUCAUD LES VIDÉOSCITÉES ' ' Astuce n° : une question de cadre momentdu tournage,on nechoisitpasle cadred une vidéo delamêmemanièreselon lesupportchoisiPlusonvaversun petitécran, Quels plus on doit simplifierl arcnarratif etlecadre du contenu.Ilestdoncimportant detravailler sur cetaspectdèsla phasede conception. Au ' L effet Papayon (Oasis) La vérité sur les filles (Renault) ' ' Comment évaluer lesrésultats de son contenu vidéo ? Tout dépend de Mon projet plus (GDF Suez Pro Will it blend? (Blendtec) Tous droits de reproduction réservés URL : http://www.strategies.fr/ PAYS : France TYPE : Web Grand Public 23 avril 2015 - 18:36 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne Les douze binômes du Startup Project dévoilés PartenariatL’AACC, Cap Digital et l’Udecam ont révélé les douze partenariats agences-start-up de la saison 3 du Startup Project, programme se présentant comme un «accélérateur d’accès au marché de la communication». Initialemment, 25 start-up avait été sélectionnées parmi les 57 candidatures à l’appel à projets.Les douze binômes sont:- Smart Tribune (outils de relation client communautaire) et Australie, - Ubudu (plateforme de marketing microlocalisée, pour les enseignes notamment) et DAN Paris, - Sépage (personnalisation automatiques de l'affichage des offres sur les sites web) et Fullsix, - Feeligo (plateforme de native adversting qui permet aux marques un accès ludique au coeur des conversations de leur audience grâce à des «brands stickers») et Havas Media, - Tangible Display (interaction tangible via des écrans multitouch ou de la vidéoprojection) et Les Gaulois, - Flamefy (plateforme fédérant tous les supports, services, canaux et contenus afin d’optimiser la relation entre une marque et ses consommateurs) et MEC, TVTY (plateforme SAAS de moment marketing, qui permet aux utilisateurs de choisir une temporalité et de synchroniser leurs campagnes digitales existantes) et Mindshare, - Simbals (logiciels d’identification audio et de recommandation musicale pour la musique numérique et les médias connectés) et Ogilvy, - Leankr (solutions pour rendre la télévision plus interactive) et Pschhh, - The Bubbles Company (recharge de smartphones ou de tablettes qui sert de canal de communication) et Publicis Consultants, - Data2content (solution pour la création de contenu textuel unique et pertinent) et Rapp, - Audiogaming (innovations dans le domaine du son et de l'interactivité) et We are social.Dans les neufs prochains mois, ces start-up vont bénéficier d’un mentorat par leur agence partenaire et de l’hébergement de leur équipe si elles le souhaitent. Ces agences accueillantes, quant à elles, s’engageront à intégrer les services ou technologies des start-up dans leurs propositions commerciales. Tous droits de reproduction réservés URL : http://www.offremedia.com/ PAYS : France TYPE : Web Grand Public 30 avril 2015 - 08:58 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne Havas Media, Mindshare et MEC parmi les 12 duos agences/startups sélectionnés pour le Startup Project de l’AACC, l’UDECAM et Cap Digital Pour cette 3ème saison du Startup Project de l’AACC, l'UDECAM et Cap Digital, 12 binômes ont été formés suite à des pitchs et des speedmeetings organisés entre les 18 agences membres de l’AACC ou de l’UDECAM, et les startups. Parmi les duos constitués, 3 concernent des agences médias : Havas Media est associée à Feeligo, une plateforme de native advertising qui permet aux marques un accès ludique au coeur des conversations de leur audience grâce à des Brands Stickers. MEC (groupM-WPP) s’est rapprochée de FlameFy, une plateforme fédérant tous les supports, services, canaux de communication et contenus afin d’optimiser la relation entre une marque et ses consommateurs. Mindshare (groupM-WPP) et TVTY, plateforme de synchronisation publicitaire, fonctionnent en binôme. Parmi les autres couples formés figurent : Australie et Smart Tribune ; FullSIX et Sépage ; Les Gaulois et Tangible ; Ogilvy et Simbals ; Pschhh et Leankr ; Publicis Consultants et The Bubbles Company ; Rapp et Data2Content ; We Are Social et Audiogaming. Dans les neuf prochains mois, ces startups vont bénéficier d’un mentorat par leur agence partenaire et de l’hébergement de leur équipe si elles le souhaitent. Les agences accueillantes, quant à elles, s’engageront à intégrer leurs services ou technologies dans leurs propositions commerciales. Par ailleurs, parmi les 57 candidatures à l’appel à projets, 25 startups, labélisées Startup Project, ont été sélectionnées et intègrent d’office la place de marché dédiée à la valorisation des participants au programme. Tous droits de reproduction réservés L'agence Pschhh a imaginé et produit une opération de brand content pour GDF Suez Pro : "Mon Projet +". L'idée : un programme multi-canal, une web-série qui présente le quotidien de 8 professionnels (issus de la boulangerie, de la restauration, d'une start-up, etc...) coachés par des personnalités référentes dans leurs secteurs. Ainsi, Eric Kayser aide-t-il un jeune couple de boulangers à reprendre un fonds de commerce et Amandine Chaignot, anciennement chef de l'hôtel Raphaël et jury de l'émission Masterchef en 2013, accompagne-t-elle Valentine Davase, créatrice du foodtruck "Le Réfectoire", dans le lancement de son premier restaurant en dur. Chaque aventure entrepreneuriale est filmée puis montée sous forme d'épisodes qui sont autant d'étapes clés du projet. Les épisodes sont diffusés sur la plateforme digitale dédiée http://monprojetplus.gdfsuez-pro.fr/ et des fiches thématiques complètent et enrichissent le contenu délivré par les vidéos. T a g s : w e b s é r i e , P s c h h h , E n e r g i e , G D F S u e z P ro , f r a n c e PAYS : France RUBRIQUE : Marques PAGE(S) : 19 JOURNALISTE : Carole Soussan SURFACE : 58 % 25 mars 2015 - N°25032015 PERIODICITE : Quotidien MARQUES ACCUEIL> Pschhh crée le Projet GDF Suez Pro Le 24/ 03/ 2015 à 13 : 12 par Carole Soussan IMON PROJETJ PRO WEO-SERIE FICHES CONSEILS + ACTUALITÉS V MON PROJET + EST LE PROGRAMME OUI C' ACCOMPAGNE PROS ! En mettant TOUS LES son energie au service de ta vôtre , GDF SUEZ PRO grâce Mon projet vous accompagne dans conduite de tous vos L artisanat , l apprentissage , les petits métiers ... De nombreuses initiatives sont prises pour revaloriser ces voies parfois sous estimées . Tel est le cas de GDF Suez Pro avec son opération de brand content , et même de « brand utility », menée par l agence Pschhh , qui part pour une seconde saison. L idée : un programme multi-canal , une web-série qui met en scène le quotidien de 8 professionnels (issus de la boulangerie , la restauration , d une start-up , etc ... ) coachés par des personnalités ' ' ' ' ' référentes dans leurs secteurs . Ainsi , Eric Kayser a aidé un jeune couple de boulangers à reprendre un fonds de commerce et Amandine Chaignot , anciennement chef de l hôtel Raphaël et jury de l émission Masterchef en 2013 , a accompagné Valentine Davase , créatrice du foodtruck Le Réfectoire , dans le lancement de son premier restaurant en dur . Chaque aventure entrepreneuriale ' ' " " est filmée puis montée sous forme d épisodes qui sont autant d étapes clés du projet . Les épisodes sont diffusés sur la plateforme digitale dédiée et des fiches thématiques complètent et enrichissent le contenu délivré par les vidéos . Par cette opération , GDF Suez Pro estime entrer dans une relation de partnership avec ses consommateurs , via un brand content qui est plus seulement éditorial mais qui contribue à une mission de brand utility . GDF Suez pro et Pschhh travaillent d ailleurs au lancement ' ' n' " " ' d une saison 2 pour Mon projet + avec l ouverture d un casting de nouveaux entrepreneurs. ' ' ' Tous droits de reproduction réservés URL : http://topcom.fr/ PAYS : France TYPE : Web Grand Public 15 avril 2015 - 12:22 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne Chevignon lance une chasse au canard sur les réseaux sociaux Petite piqûre de rappel. En novembre dernier, Chevignon et son agence Pschhh lançaient l’opération #UrbanHunt, une chasse artistique au cours de laquelle 10 créatifs ont été repérés par Yoann le Creurer, responsable du style de la marque et ont ainsi intégré le bureau de style de Chevignon pour y créer une collection capsule de t-shirts. A quelques jours du lancement en magasin de cette collection, la marque propose au public de Paris, Lyon, Lille et Toulouse de gagner un de ces t-shirts collector. Une vidéo, imaginée et produite par l’agence Pschhh, a été mise en ligne aujourd’hui sur les médias sociaux de la marque. Le film, qui met en scène un personnage à tête de canard tentant de se cacher dans des lieux improbables, annonce la prochaine ouverture de la chasse #UrbanHunt… Le samedi 18 avril à partir de 10h, à Paris, Lyon, Lille et Toulouse, les internautes sont invités à scruter les réseaux sociaux de Chevignon et à suivre des indices disséminés un peu partout sur Facebook,Twitter et Instagram. Tous droits de reproduction réservés LES CREATIONS http://www.nuwave.marketing/publicites/chevignon-est-de-retour-avec-la-chasse-urbanhunt/ CHEVIGNON EST DE RETOUR CHASSE #URBANHUNT… AVEC LA LE 15 AVRIL 2015 PAR MICHAEL GALMICHE EN NOVEMBRE DERNIER, CHEVIGNON ET SON AGENCE PSCHHH LANÇAIENT L’OPÉRATION #URBANHUNT : UNE GRANDE CHASSE ARTISTIQUE INTERNATIONALE AU COURS DE LAQUELLE 10 CRÉATIFS ONT ÉTÉ REPÉRÉS PAR YOANN LE CREURER, RESPONSABLE DU STYLE DE LA MARQUE. LES CHANCEUX ONT AINSI PU INTÉGRER LE BUREAU DE STYLE DE CHEVIGNON POUR Y CRÉER UNE COLLECTION CAPSULE DE T-SHIRTS. A quelques jours du lancement en magasin de cette collection inédite, la chasse reprend de plus belle. Cette fois-ci, c’est au public de Paris, Lyon, Lille et Toulouse de jouer pour tenter de gagner un de ces t-shirts collector. Une surprenante vidéo, imaginée et produite par l’agence Pschhh, a été mise en ligne aujourd’hui sur les médias sociaux de Chevignon : Le film, qui met en scène un curieux personnage à tête de canard tentant de se cacher dans des lieux improbables, annonce la prochaine ouverture de la chasse #UrbanHunt… Le samedi 18 avril à partir de 10h, à Paris, Lyon, Lille et Toulouse, Chevignon vous invite à scruter ses comptes sur lesréseaux sociaux et à suivre des indices disséminés un peu partout sur Facebook, Twitter et Instagram. Vous pourrez alors partir à la recherche d’un trophée caché dans chaque ville, détenu par Jean le Duck, mystérieux personnage à tête de canard, qui peut se trouver partout : dans un bar, un salon de tatouage, une galerie d’art, une salle de concert… Si vous avez la chance de dénicher le précieux sésame, il vous suffira de vous rendre en magasin dès le 23 avril afin de vous faire offrir un t-shirt de la collection capsule UrbanHunt de Chevignon, aux accents résolument urbains. D’autres dotations sont à gagner auprès de Jean le Duck, notamment des bons de réductions, des goodies et un coffret créatif UrbanHunt. Parallèlement à cette opération, vous serez aussi challengé pour déterminer qui est le meilleur canard danseur…. Chacun sera alors invité à réaliser une vidéo, muni de son t-shirt UrbanHunt et de son masque de canard, pour proposer sa plus belle « Duck Dance » et peut-être gagner un voyage à New York. Bonne chance à tous ! PAYS : France PAGE(S) : 4 SURFACE : 9 % 15 avril 2015 - N°251 PERIODICITE : Hebdomadaire et Pschhh Chevignon misent sur la chasse urbaine#UrbanHunt En novembre dernier , et son Chevignon Pschhh agence l lançaient CHEVIGNON opération rbanHunt : une grande chasse artistique internationale au cours de 10 créatifs ont été repérés laquelle Yoann le par Responsable du style de la marque . Les chanceux ont ainsi pu intégrer le bureau de style de pour y créer une collection Chevignon capsule de t-shirts . A quelques jours du lancement en magasin de cette collection , la chasse reprend de plus belle . Le samedi 18 avril à partir de 10h , à Paris Lyon , Lille et Toulouse les internautes sont invités à les réseaux sociaux de scruter et à suivre des indices Chevignon disséminés un peu partout sur Facebook ,Twitter et Instagram. ' Tous droits de reproduction réservés 32 000 likes Facebook 28 800 followers Twitter La marque française de vêtements lance la collection capsule #UrbanHunt et vous invite à la chasse. Le 18 avril dernier, Chevignon invitait le public à participer à une chasse au canard géante dans les rues de Paris, Lyon, Lille et Toulouse. Invité à suivre les réseaux sociaux de la marque, le public devait retrouver Jean Le Duck, emblème de la collection temporaire, dans des lieux insolites des villes selectionnées. À la clé, les participants qui arrivaient à retrouver ce fameux canard se voyaient recevoir un t-shirt de la collection. Parallèlement à cette course à l’oiseau,Chevignon a mis en place un concours de danse, incitant le public à faire sa plus belle « Duck Dance » et de la partager sur les réseaux sociaux. Concrétisation de l’opération #UrbanHunt lancée en novembre dernier avec l’agence Pschhh, cette campagne renouvelle l’esprit de la marque avec une idée décalée. À la rédaction, on a déjà retrouvé Duck Norris et Kahn Arlaqué. L'agence Pschhh lance l'opération #UrbanHunt pour Chevignon : une chasse urbaine connectée dans les rues de Paris, Lyon, Lille et Toulouse. L'objectif : tenter de trouver "Jean le Duck", mystérieux personnage à tête de canard, et tenter de gagner un t-shirt de la collection capsule UrbanHunt de Chevignon lancée prochainement. Samedi 18 avril, à partir de 10h, les internautes sont invités à scruter les réseaux sociaux de Chevignon et à suivre les incides disséminés un peu partout sur Facebook, Twitter et Instagram. Ils pourront alors partir à la recherche d'un trophée caché dans chaque ville, détenu par Jean le Duck. Dans un bar, un salon de tatouage, une galerie d'art, une salle de concert... L'heureux détenteur du précieux sésame pourra se rendre en magasin dès le 23 avril et se voir offrir un t-shirt de la nouvelle collection. Parallèlement à cette opération, le public sera aussi challengé pour déterminer qui est le meilleur canard danseur.... Chacun sera invité à réaliser une vidéo, muni de son t-shirt UrbanHunt et de son masque de canard, pour proposer sa plus belle "Duck Dance" et peut-être gagner un voyage à New York. http://www.influencia.net/ Sur fond de chasse au trésor, Chevignon et l'agence Pschhh lancent le deuxième volet de leur opération #UrbanHunt. Objectif: réinvestir le milieu urbain et afficher ouvertement l’esprit communautaire de la marque. A partir du 18 avril, si vous habitez Paris, Lyon, Lille ou encore Toulouse, il se peut que vous croisiez de mystérieux canards. Mais rassurez-vous, il ne s’agit pas d’une invasion de «palmipèdes » mais plutôt de la deuxième étape de l'opération de Chevignon, baptisée #UrbanHunt, une chasse urbaine connectée. « Au mois de novembre, nous avons lancé la première étape avec un concours international de créatifs. Nous avons reçu quelque 470 dossiers et 10 ont été retenus par Yoann le Creuer, responsable style de la marque, pour confectionner une collection capsule de t-shirts. Alors que les modèles seront bientôt disponibles à la vente, une chasse au canard est organisée pour gagner l'une de ses créations », témoigne Sébastien Brocandel, directeur création de l’agence. En ressortant du placard le fameux concept de la chasse au trésor, une valeur sûre pour ce type d'opération en ville, Chevigon mise avant tout sur la participation pour y donner de l'écho. Le jeu est un atout indéniable quand on cherche à fédérer une communauté. Un bon scénario bien mis en scène et bien écrit et le travail se fait tout seul ! Tel un fin limier, il faudra mettre la main sur un certain « Jean le Duck » et son trophée mystère qui doit certainement vous attendre dans un bar, un salon de tatouage, une galerie d’art ou une salle de concert... " Derrière ce dispositif, il est question pour la marque de se réapproprier le territoire urbain et d'accompagner l’homme moderne, nomade et tribal », explique Sébastien Brocandel. Exit le personnage iconique à la sauce cow-boy et place à un homme "’anti mouton ". Vous n'avez qu'à jeter un œil au site dédiépour vous en convaincre. Troisième et dernière étape de cette opération : réaliser une danse endiablée pour gagner le droit de migrer à New York. En effet, en suivant scrupuleusement le très sérieux manuel de « la danse des canards » (voir ci-dessous), la vox populi décidera d’envoyer aux USA celui qui fera le plus beau déhanché. « Nous voulions que cette opération dure dans le temps, ce qui est une première pour la marque. Avec ce concours de créatifs, cette chasse au trésor et ce voyage, on est vraiment dans le customer centric, avec une volonté d’accompagner cette nouvelle vision de l’homme. On ne s’interdit pas non plus de lui donner une suite », conclut Sébastien Brocandel. Mais alors, le canard de Chevignon ne serait-il pas quelque part un véritable Phénix ? Descendue en flamme au début des années 90 pour un lancement produit douteux, (« Car il y a eu des clopes Chevignon. Drôle d’idée, mauvais coup marketing. Mais c’était l’époque », peut-on lire sur le site) la marque a accédé au panthéon de la " hype " en 2011 en passant chez Colette et continue son ascension en renforçant sa communauté. Le site canardssauvages.com est un bon exemple de la stratégie développée. C’est sûrement Georges Lewi, mythologue, qui parle le mieux dans INfluencia de ces marques qui ont connu une histoire digne des montagnes russes, avec le cas Marlboro notamment : « Les oiseaux surnaturels imitent le cycle solaire, les planètes, les nations, les idées se consument pour mieux se transformer, pour nous permettre de nous renouveler. C’est précisément ce que font les grandes marques, jouant tour à tour de fidélité et de rupture ». Bon vol… CB NEWSLETTER 15/04/2015 En novembre dernier, Chevignon lançait, avec Pschhh, l'opération #UrbanHunt, grande chasse artistique internationale destinée à repérer 10 créatifs qui ont depuis intégré le bureau de style de Chevignon pour y créer une collection capsule de t-shirts. A quelques jours du lancement en magasin, la chasse reprend. c'est au public de Paris, Lyon, Lille et Toulouse de jouer pour tenter de gagner un de ces t-shirts collector. Une vidéo a été imaginée et mise en ligne aujourd'hui sur les médias sociaux de Chevignon. Elle annonce l'ouverture de la chasse et invite les internautes à scruter les réseaux sociaux et à suivre des indices disséminés un peu partout sur Facebook,Twitter et Instagram. 17/04/2015 Pschhh publie son trend book du printemps. Trendbook de Pschhh : chaque saison, ils délivrent leurs meilleures adresses food, clubbing, drink, shopping, etc... PAYS : France RUBRIQUE : Dossier PAGE(S) : 24-26;28 DIFFUSION : 9455 SURFACE : 345 % JOURNALISTE : Anaïs Richardin PERIODICITE : Hebdomadaire 7 mai 2015 - N°1813 MAIKETING Une incitation et ciblée juste Le digital a-t-il sonné le glas desflâneries du samedi? Le showrooming côtoie désormais le webrooming et lorsque l on est en magasin , est smartphone en main . Le shopper marketing change : exit le point de vente , est sur l ensemble du «journey» que les marketeurs interviennent , avec un double impératif: la pertinence et la personnalisation. ' c' ' c' ANA%% RICHARDIN ?A_Rtchardin nfidèle , volatile , insaisissable ... Les qualificatifs de l inconstance du consommateur ne manquent pas. En réalité , est surtout un être protéiforme , qui est , selon le contexte, ni tout à fait le même ni tout à fait un autre . Avec le numérique et son lot de révolutions comportementales , le concept du « shopper» , cet individu moderne qui passe en caisse plus facilement mais qui y laisse moins facilement pousser , est né il y a quelques années . «Le customen est le client au sens de l individu , clarifie Catherine Michaud , directrice générale de l agence Integer France (TBWA) , tandis que le shopper , est le consommateur en posture d achat .» Seulement , il est de plus en plus complexe de déterminer à quel moment le consommateur devient shopper . « L étape où un consomnzateur décide de passer à l achat est Mais l élargissement est aussi spatio-temporel et il faut considérer le shopper avant , pendant hui beaucoup plus diffuse ,confirme Jérémy aujourd Dahan ,président-fondateur de l agence et après l achat .» hors-média Globe Groupe . en est fini de la dictature du Cela passe par de nouvelles pratiques . Pour Jules Guillemet , fondateur de l agence magasin: le consommateur peut décider d marketing acheter à importe quelle heure et importe où.» Pschhh , la solution est simple: «Le custonzer En février 2015 , 84%% des Français ont ainsi marketing , est une vision du consommateur. acheté au moins une fois en ligne (source : Le shopper marketing , est une méthodologie , des process menant à la conversion .» Et pour Digitas LBI) . Anne-Typhaine Gruat , planneusè chez Matador , agence spécialisée dans inciter à l achat , rien de tel que de créer « une stratégique la communication des foncières commerciales , connivence entre la marque et le client , ce qui est bien placée pour savoir que l expérience est aujourd hui la mission première du shopper marchande est désormais éclatée . «Il y a un marketing» , constate Philippe de Mareilhac , du prisme du shopper marketing , directeur élargissement général de Market Value. affirme-t-elle . est une notion qui dépasse le Pasde connivence sans connaissance . Le retail et qui intéresse aujourd hui tous les lieux est ainsi devenu un one-to-few de plus en one-tomany de passage , comme les gares , voire les stades. plus fin . Un nouveau paradigme rendu possible ' c' s' c' ' ' c' ' ' ' ' ' ' ' C' ' n' ' n' c' c' ' ' ' C' ' Tous droits de reproduction réservés PAYS : France RUBRIQUE : Dossier PAGE(S) : 24-26;28 DIFFUSION : 9455 SURFACE : 345 % JOURNALISTE : Anaïs Richardin PERIODICITE : Hebdomadaire 7 mai 2015 - N°1813 par « la connaissance client augmentée- , basée non seulement sur un mix de données structurées fournies via l historique d achat et les habitudes de consommation , mats de plus en plus complétées par les données non structurées que génère " ' ' le consommateur sur les réseaux sociaux exemple» , complète Jules Guillemet. par nuum , concept déposé par Integer , envoie valser l antique parcours d achat . Découpé en quatre phases: « Connect» , « Consider» , « Convince» et « Continue» , ce shopper continuum permet aux ' ' annonceurs de mieux « comprendre et agir sur l ensemble du parcours de décision des clients» . La première phase , « Connect» , est celle de l amorçage de la relation , celle où le shopper montre de l intérêt pour un produit . Une étape est durant laquelle l importance du numérique mais où certaines ficelles grandissante sont encore efficaces . Le prospectus , par ancestrales ' ' Appétence pour ta promotion Si les traces laissées par les individus sont suivies à la loupe , les annonceurs misent surtout sur les études marketing . Les budgets études de connaissance du consommateur ont explosé en 2014 (+ 12 points par rapport à 2013 , selon Market Research News/ Callson) , de môme que les études sur la satisfaction et la fidélité (+ 16 points) . du Science du comportement , compréhension parcours d achat , ou plutôt des multiples parcours d achat . Les annonceurs cherchent à ce qui leur échappe . « Cette comprendre du shopper , de la marque et du transformation 1etallernous a obligés à repenser notre mission , ' ' constate Agnès Ruig , directrice générale adjointe de l agence MRM-McCann . Nous sommes dans la gestion des contenus et des davantage interactions . Nous sommes entrés dans l ère du ' ' customer experience management , ou Le CXM balaie d un coup de baguette numérique le bon vieux CRM . Tout comme le shopper conti ' ' ' exemple , reste , selon Frédéric Morin , directeur marketing et commercial de Sogec , spécialisée dans le marketing relationnel , « l un des des Français ont acheté au moins ' premiers médias utilisés par les consommateurs» « 51%% des Français les consultent 31%% les emmènent même en magasin» , rappelle-t-il. Une appétence pour la promotion directement . une en février fois en ligne 2015 (source Digitas LBI) . fiée à la crise qui , selon Frédéric Morin , «a obligé de façon conjoncturelle les marques à remettre la promotion au centre de leur attention . Pour elles aient le droit de communiquer avec leurs consommateurs , il fallait elles soient qu' généreuses .» Une stratégie payante : la promotion est encore aujourd hui un véritable levier . Selon Sogec , 23%% des consommateurs driveto-store effectuent leurs achats en fonction des coupons qu' ' Tous droits de reproduction réservés PAYS : France RUBRIQUE : Dossier PAGE(S) : 24-26;28 DIFFUSION : 9455 SURFACE : 345 % JOURNALISTE : Anaïs Richardin PERIODICITE : Hebdomadaire 7 mai 2015 - N°1813 LESCENTRES COMMERCIAUX entrent dansunelogiquedeprogrammation dévénements à linstarducoursde ils obtiennent et 18%% sontmême prêts à yogagéantorganiséparBeaugrenelle changer de magasin pour une promotion .Mais cette enavril. phase se caractérise aussi par la recherche d informationsen ligne (le fameux « zero moment of truth» de Google) .« On voit de plus en plus que la partie home canal" se développe et que le parcours commence sur le numérique , estime Hélène Gombaud-Saintonge , directrice générale de l agence Fullsix Data . Les taux de conversion en sont aussi plus importants en ligne magasin .» physique Ce succès explique en partie par l accessibilité de l information . Les fiches produit renseignent de manière quasi-exhaustive sur les des biens et , en trois clics , les notations et caractéristiques « Les marques voient ont plus aucun avis d autres consommateurs une augmentation secret pour le shopper . Un élément on ne peut de %% du plus important aujourd hui pour ce taux de conversion dont on ne cesse d épingler la défiance à consommateur elles publient l égard de la publicité et des discours marketing. lorsqu' les avis clients «Quelle que soit la note moyenne d un produit , il sur une fiche produit » y a une augmentation exponentielle du taux de conversion enfonction du nombre d avis . Mieux: Aurélien Dubot ,responsable marketing chezBazaarvoice les marques voient une progression de 80 à100%% produitpourrEurope du taux de conversion lorsqu' elles publient les avis clients sur unefiche produit» , assure Aurélien Dubot , responsable marketing produitpourl Europe chez Bazaarvoice , expert en avisconsommateurs. Sans compter que ,désormais , les sites d e-commerce adaptent àl internaute pour lui offrir une interface unique et personnalisée . « La person ' ' qu' ' " ' qu' ' s' ' ' n' ' ' ' ' ' ' ' ' s' nalisation marketing est la clé de l engagement client et la condition sine qua non pour séduire les consommateurs», revendique Benoît Énée , directeur des solutions produit chez Experian on ne cesse services France . Une vérité marketing d assénermais que tous appliquent pas encore. ' qu' ' n' Appréhender le contexte Au-delà du comportement du consommateur , cette connaissance passe aussi par l du contexte dans lequel il se trouve. «Ce il appréhension faut avant tout savoir , est à quelle étape de son purchase journey le shopper se trouve martèle Patrick Faure , directeur du planning de Geometry Global , agence-conseil en stratégique activation de marque . Est-ce que est une personne qui a choisi un produit mais qui a pas encore choisi une marque?Est-ce que est quelqu' un qui est à deux doigts de passer àl achat? Etc.» Si les algorithmes et les solutions technologiques permettent de déterminer ces éléments , le parcours d achat en reste pas moins semé d embûches pour le marketeur et constellé de tentations pour le shopper . «Le shopper marketing a longtemps pensé point de vente . Aujourd hui , il exprime sur tous lesmédias à partir du moment où une personne est passée en mode achat» , observe Patrick Faure. est ainsi que le passage à l acte a revêtu de nouveaux habits . Rue du commerce a installé des bornes de shopping dans des boutiques Re' qu' c' " c' n' c' ' ' ' n' ' s' ' C' Tous droits de reproduction réservés 7 mai 2015 - N°1813 PAYS : France RUBRIQUE : Dossier PAGE(S) : 24-26;28 DIFFUSION : 9455 SURFACE : 345 % JOURNALISTE : Anaïs Richardin PERIODICITE : Hebdomadaire «Les magasins débordentde créativité pour créer une signature relationnelle particulière et pour emmenerleclient sur le terrain del émotionnel», ajoute Philippe de Mareilhac . Le shopper annoncerait-il la fin du marketing marketing opérationnel traditionnel? est ce que semble penser Eric Montazel, directeur retail&shopper insights chezTNS Sofres:« Lepoint de venteest une occasion deconvertir le visiteur enacheteur mais est aussi un bonnombre d occasionsmanquées. 70%% desPLVne sont pas remarquéespar le client . » ' C' c' ' Suivi à la trace Aujourd hui , l expérience de marque « passe par l espace, l accueil, la relation qui va être générée avec le shopper la manière dont on va le considérer à travers des actions quine sont pas forcément de la promotion» , ajoute Jules . Et là encore, pour considérer leclient ,il faut Guillemet le connaître ! Si l on ne parle que de beacons , ces petits capteurs qui « trackent» le client (lire p 30) , de nouvelles technologies voient le jour il passe les pour reconnaître le shopper dès il soit inscrit portes du magasin , pour peu dans le programme de fidélité , et qui ne nécessitent aucune action de sa part , comme le d une application. téléchargement « On ne peut plus vendre des produits , on doit pousser les consommateurs à acheter le produit» , revendique Jérémy Dahan . Offres personnalisées et ciblées au moment où le shopper approche du rayon , conseils de vendeurs basés sur les précédents achats sont ainsi délivrés dans une « logique d incitation juste et ciblée» , précise Lionel Aboudaram. Et puisque les shoppers ont tendance à utiliser leur smartphone en magasin pour obtenir plus d informations , distributeurs etmarques testent des rayons et des packagings intelligents qui en facilitent l accès. En scannant le code-barres ou le packaging d un produit , le consommateur obtient instantanément des avis clients mais aussi des informations comme l histoire du produit , sa provenance,etc . Une incitation de plus à garnir son panier. Mais le shopper marketing ne arrête pas à la caisse. Charge à la marque ,ou à l enseigne ensuite , d entretenir le lien ,notamment via les réseaux sociaux et les communications personnalisées . «Ce qui permet defaire la différence aujourd hui , est la pertinence, qui crée de l , conclut Hélène Gombaud-Saintonge. engagement Unconsommateur qui aune influence sur les réseaux sociaux et qui sefait ambassadeur de la marque aune grande valeur, même il est pas un grand shopper.» ' ' ' ' ' COMPTOIR DESCOTNNIERS afait dechaque sup ondepublicité unpointdeventepot ntiel, endéveloppant une pplication quipermetdacheterparQRcode. ' qu' qu' en gares. Comptoir descotonniers a fait de lay vitrines de sets table et de descatalogues connectés géants.Selectionnist permet d acheter en un clic lesvêtements et accessoires présentés dans les pages des magazines féminins . L affichage « intelligent» permet de faire sescourses dans le métro .Une nouvelle relation aux marques , rendue possible par le mobile ( 22%% des Français utilisent le t-commerce- à partir d une tablette et 19%% le m-commerce , selon Digitas LBI) et les technologies développéestous azimuts. ' ' Entertainment et expérientiet Dans ce contexte , les lieux commerciaux ont perdu l apanage de la relation marchande . «Ils doivent se penser autrement que dans leur seule fonction marchande, insiste Lionel Aboudaram , président de Matador.Les centres commerciaux sont devenus des médias qui monétisent leur audience. Ils racontent une histoire et est ainsi ils entrent dans une logique de programmation ils ouvrent aux loisirs , d événements, ils font venir des services publics , pourquoi pas même, des logements ou des bureaux.» Cette logique d entertainment et d expérientiel se traduit par une hausse des budgets annonceurs , comme le révèle Jérémy Dahan qui a «une croissance exponentielle des remarqué budgets marketing opérationnel Avant , on avait un dossier supérieur à un million d euros par trimestre . Aujourd hui , est un par semaine.» ' des Français utilisent le commerce mobile . (source : Digitas c' qu' ' qu' s' qu' ' ' ' ' c' ' s' ' ' ' ' ' s' ' ' ' ' c' s' n' Tous droits de reproduction réservés L’émission phare des années 80 lance son spectacle avec son animateur Marc Toesca. L’agence Pschhh gère la conception de la campagne de communication de cet événement qui débutera le 25 février 2016. Pour le volet offline, l’agence a créé le visuel de la tournée, qui sera relayé en campagne d’affichage 4×3, ainsi que la signature « Partez en live ». En ce qui concerne le online, l’agence a prévu des opérations spéciales, des jeux concours, des quizz et des applications sur les pages Facebook et Twitter du spectacle. Les internautes seront par exemple invités à poster des photos d’eux de l’époque (fluo et épaulettes à l’appui), des publications rendant hommage aux expressions désuètes ou des news annoncées via les moyens de transmission de l’époque (minitel…), Le teaser de la tournée est à découvrir ici : www.strategies.fr DÉCIBELS PRODUCTIONS PART EN TOURNÉE AVEC PSCHHH événementiel 12/05/2015 Décibels Productions confie à l'agence Pschhh la communication de son spectacle musical sur les années 1980, Top 50. L'agence a réalisé l'identité, la signature et le visuel de la tournée présentée par Marc Toesca, ancien animateur du hit-parade télévisé, et accompagnera l'événement d'un dispositif social media (jeux-concours, application, opérations spéciales) supporté par le hashtag #ToutRedevientPossible. Pschhh a par ailleurs participé à l'élaboration de la vidéo teaser du spectacle. Megane Gensous 18/05/2015 et aussi... Le 42e Grand Prix de la communication extérieure sera dévoilé le 19 novembre. Le jury se réunira le 12 novembre à Paris, sous la présidence de Gabriel Gaultier... Le groupe Prisma Média va mettre en place à partir du 18 mai une rédaction unique pour ses trois magazines de télévision, Télé loisirs, Télé 2 semaines et TV grandes chaînes, baptisée Newsroom TV... Lagardère Active a vu son chiffre d'affaires progresser au premier trimestre, de 1,1% en données brutes et de 2,8% en données comparables, malgré la baisse des recettes de la presse magazine (-7,4% en diffusion, -5,3% en publicité)... L'agence Wellcom a été désignée «French Consultancy of the year» par le Holmes Report, spécialisé sur le marché des relations publics... Cap & Cime PR annonce cinq nouveaux clients: l'Agence nationale de développement économique de la NouvelleZélande, la filière interprofessionnelle de l'agneau gallois, la foire aux vins d'automne Simply Market, le magazine Le Pan et la start-up Wedzem... Décibels Productions confie à l'agence Pschhh la communication de son spectacle musical sur les années 1980, Top 50... PAYS : France RUBRIQUE : La publicite et ses dirige… PAGE(S) : 12-13 DIFFUSION : (600) SURFACE : 26 % PERIODICITE : Quotidien 6 mai 2015 - N°15879 Décibels Productions pour la communication fait appel à Pschhh globale du spectacle Top 50 Décibels Productions a fait appel à l agence Pschhh pour la stratégie de communication globale du spectacle Top 50 , en tournée à partir du 25 février 2016. ' événement et fidéliser une communauté aux dates de concerts . L agence a ainsi conçu le visuel de la tournée , qui sera relayé en campagne d affichage , et a pensé la signature Partez en live . Décibels souhaite faire connaître Productions ' jusqu' ' ' " " Pschhh a également mis en place une stratégie social media qui permettra de créer de l engagement autour du spectacle et fédérer une communauté d ambassadeurs, Des opérations spéciales , jeux concours et applications seront également lancés sur les pages Facebook et Twitter du spectacle, via le hashtag #ToutRedevientPossible. ' ' Enfin , Pschhh a participé à l élaboration de la vidéo teaser du show , déjà diffusée sur les espaces de billetterie en ligne. ' Tous droits de reproduction réservés "TOP 50" le spectacle choisit l'agence pschhh pour sa stratégie de communication globale L'agence Pschhh a été choisie par Décibels Productions pour la conception et mise en place de toute la campagne de communication de cet événement, on et offline. Pour le lancement de la billetterie de la tournée "Top 50", Décibels Productions a amorcé une campagne de communication. La signature : "Partez en live". L'agence Pschhh a été choisie par la production pour l'accompagner dans l'élaboration et la mise en place de la stratégie de communication globale de l'événement. Outre son implication en amont dans le positionnement et l'identité du spectacle, l'agence a imaginé le visuel de la tournée, qui sera relayé en campagne d'affichage 4x3. Pschhh a également pensé une stratégie social media : opérations spéciales, jeux concours, quizz et applications viendront rythmer les pages Facebook et Twitter du spectacle jusqu'à son lancement en xx. Le tout accompagné du #ToutRedevientPossible. URL : http://www.presseedition.fr/ PAYS : France TYPE : Web Grand Public 1 juin 2015 - 19:02 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne Vite dit Communication d'Entreprises Presse Edition 03/06/2015 Depuis 2011, Les Trophées du Média Courrier consacrent chaque année les meilleures campagnes de marketing direct réalisées par les entreprises, agences de communication et collectivités locales, qui sont récompensées pour leur innovation, leur créativité et leur efficacité. Le dépôt des candidatures et la présentation des campagnes (réalisées entre janvier 2014 et avril 2015) sont ouvertes sur www.tropheesdumediacourrier.fr. Le 10 septembre prochain, un grand oral permettra aux nommés de présenter leur campagne au jury, avant la remise des Trophées le 30 septembre au cours d une soirée de gala à Paris. Début 2014, LIDL avait confié à Starcom Mediavest, le conseil média et l'achat pour ses campagnes TV. Suite à l'appel d'offres lancé fin 2014, Starcom Mediavest a non seulement été reconduit, mais a également vu son territoire d'intervention élargi, puisque l'agence média du Groupe Publicis gèrera désormais l'ensemble des campagnes de l'annonceur. La Caisse d Epargne organise une consultation d agences pour faire évoluer son territoire de communication. Les agences en lice sont, l agence sortante BDDP & Fils, Altmann + Pacreau, Havas Paris, Herezie et Leo Burnett. Décibels Productions a choisi Pschhh pour la conception et la mise en place de toute la communication globale (on & offline) du spectacle Top 50, présenté par l'emblématique Marc Toesca. La toute nouvelle agences, les brunes étoilées, créée par Sophie Phitoussi forte de près de 20 ans d expérience dans les métiers de la communication, annonce deux nouveaux budgets : L Hôtel Renaissance Paris Le Parc Trocadéro et son restaurant orchestré par le chef Stéphane Duchiron et lamarque allemande, Dr Schutz. L agence conseil en image et opinions Wellcom a remporté le trophée Consultancy of the year, excellant par la qualité de son accompagnement et la pertinence de ses actions. Le Holmes Report décerne tous les ans le prix de la meilleure Agence conseil, s appuyant sur une analyse exhaustive du marché. Les 1er et 2 mai derniers, Atout France a organisé à Dubaï la 2e édition de Marhaba France, son opération de promotion de la destination France. Plus de 2.000 rendez-vous d affaires ont ainsi été enregistrés entre les 60 professionnels du tourisme français ayant fait le déplacement et les 120 tour-opérateurs venus de 10 pays du Moyen-Orient. Depuis le 13 mai dernier, Bonne Maman s'affiche avec beaucoup d amour. Affichage national, 15.000 panneaux et 3 visuels. Exclusivement en format Abribus, extérieur, quais de gares, couloirs métro. Responsable du budget chez Andros, Nathalie Hervy, Directrice Marketing. Agence : Dufresne-Corrigan-Scarlett. Alors que l espace retail se transforme, que les enseignes cherchent à recréer une relation in-store personnalisée en jouant avec les sens et en offrant des expériences uniques à leurs clients, l UDA souhaite accompagner ses adhérents pour flairer les tendances et propose un Retail tour d une journée à Londres le 10 ou 16 juin prochains. L Argus de la presse s associe avec ConsumerLab, institut d étude marketing en innovation et expérience client du groupe Colorado, pour lancer la nouvelle édition 2015 du Book des tendances Think Forward. Jeudi 21 mai dernier, lancement du label Fleurs de France sur Marché de Rungis, par le Ministre de l Agriculture Stéphane Le Foll, en présence de Stéphane Layani, Président du Marché Tous droits de reproduction réservés URL : http://www.presseedition.fr/ PAYS : France TYPE : Web Grand Public 1 juin 2015 - 19:02 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne et de Benoît Ganem Président de l Interprofession horticulture. Le label Fleurs de France est désormais accessible à tous les horticulteurs, pépiniéristes et producteurs de fleurs coupées et certifie au consommateur l origine française d une fleur, d un arbre, d une plante ou bien encore d un bulbe. Sur un marché où la concurrence étrangère ne cesse de croître, la mention Fleurs de France valorise la production horticole nationale et incite les Français à préférer des végétaux produits dans l Hexagone favorisant ainsi le maintien de l activité économique et des emplois. Tous droits de reproduction réservés URL : http://topcom.fr/ PAYS : France TYPE : Web Grand Public 3 juin 2015 - 14:41 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne Francetv zoom : l’appli vidéo sur-mesure de France Télévisions France Télévisions vient de lancer l’application Francetv zoom. L’application propose une sélection de programmes et vidéos de France Télévisions et l’édite de deux manières : une chaîne mobile sur-mesure pour chaque utilisateur, générée par un algorithme de recommandation, et des playlists vidéos réalisées par l’équipe éditoriale. L’agence Pschhh a été missionnée sur la stratégie de lancement de cette chaîne mobile. L’agence a mis au point un dispositif de ciblage des principaux ambassadeurs et influenceurs. A la rentrée, Pschhh orchestrera différentes opérations à destination des utilisateurs et du public. Un spot antenne, qui sera diffusé sur toutes les chaînes de France Télévisions, est également prévu pour septembre. Tous droits de reproduction réservés 03/06/2015 médias France Télévisions lance Zoom TV pour un usage en mobilité NUMERIQUE. France Télévisions lance France TV Zoom, une application, disponible pour l'instant seulement pour l'Iphone d'Apple, proposant tous les programmes des chaînes du groupe, dans leur intégralité mais aussi à travers les meilleurs extraits. Elle doit répondre à une demande d'usage de la télévision en mobilité et avec un temps d'utilisation réduit à 5 ou 10 minutes. Cette appli, qui propose de la publicité, offre des émissions selon les goûts de l'utilisateur. Le lancement est appuyé par une communication, signée par l'agence Pschhh, avec un film TV qui sera programmé à partir de septembre. FRANCE TÉLÉVISIONS LANCE FRANCETV ZOOM, SON APPLI-CHAÎNE ADAPTÉE À LA VIE MOBILE Le 03/06/2015 «Dans nos vies connectées, le mobile est en train de devenir le premier écran, celui qui nous occupe et divertit le plus», résume France Télévisions. Lancée hier (sur iOS pour commencer), la chaîne mobile francetv zoom de France Télévisions suit les spécificités du média mobile : contenus individualisés, proximité et temporalités variables. Les contenus proposent aux mobinautes des combinaisons d’extraits de programmes des chaînes de France Télévisions soit sous forme de playlists éditorialisées avec un ton qui se veut direct et complice («se coucher moins bête», «plus belle la semaine», etc…), soit avec une playlist individuelle («Ma Chaîne»). Cette dernière propose automatiquement des programmes et des vidéos du groupe France Télévisions qui s’adaptent aux goûts, aux usages et au temps disponible de chaque utilisateur. La vision de chaque extrait s’accompagne de la possibilité d’accéder au programme dans son intégralité (dans la limite des droits du replay à 7 jours). Les contenus individualisés sont construits grâce à un algorithme de recommandation, développé par la start-up Cognik, et s’affinent en fonction des retours d’appréciation du mobinaute. L’ensemble des contenus n’intègre pas les programmes enfants qui restent le territoire de «Ludo». La présence publicitaire inclut des pré-rolls et des mid-rolls diffusés au sein des vidéos avec un capping basé sur la durée d’utilisation. Pour cette première version de francetv zoom, une première présence publicitaire apparaît après trois minutes de consommation, puis toutes les dix minutes, quelle que soit la playlist consommée. Il n’y a pas d’annonce publicitaire à l’ouverture. France Télévisions Publicité envisage également des contenus de marque. D’ici les prochains mois, francetv zoom sera déployée sur web responsive, tablette et TV connectée. La communication du lancement de la chaîne a été attribuée à l’agence Pschhh. PAYS : France RUBRIQUE : Informations diverses PAGE(S) : 17 DIFFUSION : (600) SURFACE : 10 % PERIODICITE : Quotidien 8 juin 2015 - N°15899 FranceTélévisions / Pschhh / précisions Suite à notre article paru en fin de semaine dernière du 5 juin 2015) , précisons que , dans le cadre du lancement presse de FranceTV Zoom , (cf . C. l agence Pschhh a assisté France Télévisions Editions Numériques (FTVEN) dans la réalisation du dossier de presse, du film de démonstration et des éléments de signalétiques à partir de l identité graphique de l application . L événement de lancement presse au Palais de Tokyo - dont France Télévisions est partenaire depuis 2013 - fut en revanche imaginé , réalisé et assuré par les équipes de France Télévisions. " Pub" ' ' ' ' Tous droits de reproduction réservés PAYS : France RUBRIQUE : Informations diverses PAGE(S) : 17 DIFFUSION : (600) SURFACE : 10 % 5 juin 2015 - N°15898 PERIODICITE : Quotidien Francetv zoom Pschhh budget : France TV a choisi Pschhh pour l accompagner sur la de son Francetv zoom . L agence a travaillé sur la stratégie marketing et les stratégie application éléments de langage et a géré la communication avec la presse, les influenceurs et le grand public. A la rentrée , Pschhh orchestrera différentes opérations à destination des utilisateurs et du public , autour de ces nouveaux usages. Un spot antenne , qui sera diffusé sur toutes les chaînes de France Télévisions , est également prévu pour septembre. ' ' Tous droits de reproduction réservés C'est l'agence Pschhh qui orchestre tout le lancement de cette nouvelle application L'agence a été missionnée pour accompagner France TV dans le positionnement de cette application, en travaillant sur la promesse marketing et les éléments de langage. Les équipes ont également mis au point un dispositif d'émergence progressive, du ciblage des principaux ambassadeurs et influenceurs jusqu'au grand public. Elle a ainsi notamment imaginé l'événement de lancement qui a eu lieu au Palais de Tokyo et organisera différentes opérations à destination des utilisateurs et du public à la rentrée de septembre. Egalement : un spot antenne, qui sera diffusé sur toutes les chaînes de France Télévisions, est prévu pour septembre. Francetv zoom, à l'assaut de la génération smartphone Publié le 02/06/2015 par Thomas Pike La nouvelle application "francetv zoom", lancée le 2 juin, regroupe les programmes de France Télévisions dans une chaîne mobile pour iPhone fondée sur la recommandation. Dix-huit mois de développement ont été nécessaires pour développer l'application "francetv zoom", lancée ce mardi 2 juin par France Télévisions sur iPhone. "Pour que le service public reste au service de tous, il était temps de proposer à la génération smarthphone une chaîne mobile fondée sur la recommandation", indique Bruno Patino, directeur général délégué aux programmes, aux antennes et aux développements numériques. Comme d'autres acteurs "historiques " de la télévision (cf. TF1 avec la nouvelle version de myTF1), le groupe public continue d'adapter son offre aux nouveaux modes de consommation de la télévision, boostés par les usages des offres délinéarisées et par l'arrivée d'offres comme Netflix, basées sur de puissants outils de recommandation. La campagne de lancement de l'application a été réalisée par l'agence Pschhh. Pour mettre au point francetv zoom, France Télévisions s'est attaché à résoudre plusieurs paradoxes qui circulent autour de la télévision et de son hyper-offre: "Il n'y a rien à la télévision " mais " je n'arrive pas à regarder tout ce qui me fait plaisir", ou encore "je veux avoir accès à tout" et "je n'arrive pas à choisir". Deux offres sur-mesure ou en playlist Deux modes d'accès sont proposés. Dans l'offre "sur mesure", l'utilisateur renseigne ses thèmes de prédilection (sport, info, culture, musique...), ses émissions préférées et le temps dont il dispose (5, 10, 20 minutes ou plus). L'algorithme de recommandation lui propose alors une offre personnalisée au sein des programmes et extraits vidéo de France Télévisions. La sélection est affinée en fonction de la navigation, des durées de visionnage, des pauses... Le téléspectateur mobinaute peut aussi opter pour des playlists de vidéos éditorialisées selon des thématiques ou adaptées aux différents moments de la journée: "Se coucher moins bête", "Ca part en live !", "Voyage, voyaaaage"... Les sélections sont réalisées par une équipe éditoriale de quatre personnes dédiée à ce service. Une publicité non intrusive Assez logiquement, cette application gratuite propose de la publicité. "Nous avons travaillé avec France Télévisions publicité pour garantir une bonne intégration des écrans dans la navigation et un caping en fonction de la durée d'utilisation. À terme, nous allons proposer des expériences de brand content", indique Élodie Buronfosse, directrices des contenus et services numériques de France Télévisions. Les premiers écrans n'arrivent qu'après deux ou trois minutes de visionnage et ne doivent pas couper les vidéos. Un prototype en évolution permanente Francetv zoom a été conçue selon une démarche de prototypage et à l'issue d'un processus itératif, mis en place avec TNS Sofres. Des groupes tests à Lille, Paris et Bordeaux ont permis de valider le concept et d'adapter l'ergonomie du service en fonction de l'avis des utilisateurs tests. C'est aussi sur ce mode que seront mis au point les futurs développements, annoncés entre l'automne et la fin de l'année: un mode de visionnage hors connexion, des fonctionnalités d'abonnement, de partage de vidéo ou de playlist, des options "voir plus tard" ou "voir sur grand écran". PAYS : France PAGE(S) : 11-12 SURFACE : 112 % PERIODICITE : Quotidien 3 juin 2015 - N°nc : tout France FranceTVzoom Télévisions sur iPhone , pour l instant . . . ' Le 02/ 06/ 2015 à 19 :17 par Thierry Wojciak X Il était urgent de ne plus attendre . L équipe numérique du groupe France Télévisions présentait mardi son nouveau jouet aux ambitions assumées, FranceTVzoom , une nouvelle ' application pour regarder sur son smartphone une chaîne personnalisée composée d émissions du groupe . Pour l heure en version « prototypale » et disponible uniquement sur iPhone , cette ' ' nouvelle offre qui est le fruit d un investissement de 1 ,5 million sur 2014-2015 est pas « un lancement-bilan , au contraire , est un front pionnier » , souligne Bruno Patino , directeur général délégué aux programmes , aux antennes et aux développements numériques du groupe , ' Euro n' c' faisant ainsi référence au changement de président du groupe en août prochain. FranceTVzoom est le « fruit d une intuition et de deux convictions » , explique-t-il . D abord , ' ' est pas un outil mais un mode de que le temps du mobile est avéré et que « le smartphone vie » et , ensuite , « depuis des mois» sont développées des offres non linéaires sur la n' qu' télévision basées sur les recommandations . « Nos recommandations pour FranceTVzoom seront à la fois humaines , sociales et algorithmiques . Notre nouvelle chaîne mobile sera fondée sur de la recommandation contextuelle » , martèle-t-il. Des émissions jusqu' à J+7 Tous droits de reproduction réservés PAYS : France PAGE(S) : 11-12 SURFACE : 112 % PERIODICITE : Quotidien 3 juin 2015 - N°nc Dans les faits , une fois installé , ce nouveau service dont le projet a été initié en janvier 2014 propose au mobinaute une offre « sur mesure » pour répondre « à la douleur du choix» dans une hyper-offre , selon l expression de M . Patino : l utilisateur renseigne ses thèmes de il apprécie prédilection ( sport , info , culture , musique ...) , ses émissions préférées et celles ' ' qu' moins , puis le temps dont il dispose ( 5 , 10 , 20 minutes ou plus) . A partir de toutes ces informations , l application propose automatiquement des extraits et des programmes de France Télévisions . ai 5 minutes , au lieu d aller sur YouTube , on offre une réponse plus ' " ' J' qualitative , estime Elodie Buronfosse , directrices des contenus et services numériques de France Télévisions . A côté de cette chaîne personnalisée , le mobinaute a également accès à des listes de vidéos thématiques ( Se coucher moins bête , Ca part en live ! , Voyage , " " " " " " voyaaaage ) réalisées par une équipe éditoriale spécialement dédiée , toujours à partir d extraits de programmes du groupe audiovisuel public . La publicité y sera également présente sous forme de pré-roll , mais « nous travaillons également sur la possibilité de " ' proposer du brand content » , indique Elodie Buronfosse . En cochant la case ai plus de à J+ 7 , toujours en temps , l utilisateur se verra proposer des émissions intégrales jusqu' " j' " ' fonction de ses goûts . Il agit aussi , souligne Elodie Buronfosse , de faire découvrir des émissions mal connues de France Télévisions . Par ailleurs , est l agence Pschhh qui a été choisie pour orchestrer tout le lancement de cette nouvelle application . Un spot antenne sera s' ' c' même diffusé sur toutes les chaînes de France Télévisions en septembre prochain. En attendant le web et. . . Android A ceux qui pourraient penser que l avènement de FranceTVzoom annoncerait un enterrement de première classe de Pluzz , la plateforme de télévision de rattrapage des chaînes du groupe ' France Télévisions , Bruno Patino dément : « Pluzz reste le coeur de l offre numérique de France Télévisions , de ce il reste à développer . Nous allons apprendre de FranceTVzoom ' qu' ». Quoiqu' il en soit , l application FranceTVzoom , disponible donc depuis mardi sur IOS , arrivera en version web en septembre et sur Android en fin d année. « Il y a 5 ans, le numérique était à côté de l entreprise France Télévisions . Aujourd hui , il est dedans » , sourit ' ' ' ' en coin Bruno Patino . Le sentiment de la mission accomplie ?... Pour la démo , c' est ici. Tous droits de reproduction réservés PAYS : France RUBRIQUE : Informations diverses PAGE(S) : 14 DIFFUSION : (600) SURFACE : 9 % PERIODICITE : Quotidien 29 mai 2015 - N°15893 Pschhh Ben s campagne : Ben&jerry' s a choisi l agence Pschhh pour l accompagner dans sa campagne Quand est fondu , est foutu ! . La marque , qui engage depuis sa création dans de grandes causes, a choisi cette année de se battre contre le réchauffement climatique. Autour d actions de terrain et d événements , l agence Pschhh accompagne Ben Jerry' s dans le but de mobiliser le maximum de fans français . L opération sera relayée sur benjerry .fr/ climat et sur les réseaux sociaux de la marque. ' " " c' ' ' Jerry' & c' ' s' ' & ' Tous droits de reproduction réservés Pschhh, choisi par la marque Ben & Jerry's pour l'accompagner dans sa campagne pour l'environnement "Quand c'est fondu, c'est foutu !" Ben & Jerry’s lance sa campagne « quand c’est fondu, c’est foutu ! ». Objectif : mobiliser 500 000 fans à travers le monde à rejoindre le mouvement. Autour d’actions de terrain et d'événements, l'agence Pschhh accompagnera Ben&Jerry's à agir contre la fonte des glaces, avec pour mission de mobiliser les fans français et les inviter à se rallier notamment à la pétition initiée par AVAAZ pour parvenir à un accord : http://www.benjerry.fr/climat Ils pourront également prendre part à la mobilisation au cœur même des festivals de musique en France : à We Love Green, Rock en Seine ou encore aux Eurockéennes. URL : http://topcom.fr/ PAYS : France TYPE : Web Grand Public 11 juin 2015 - 12:28 Cliquez ici pour accéder à la version en ligne Ben&Jerry's s'engage avec Pschhh contre la fonte des glaces Ben&Jerry’s le sait : 2015 est une année importante pour le climat. Au mois de décembre, Paris accueillera la 21e édition de la Conférence Climat des Nations unies (COP 21). La marque de glace en profite pour s’engager pour le climat. Autour d’actions de terrain et d’événements, l’agence Pschhh accompagne Ben&Jerry’s à agir contre la fonte des glaces, avec pour mission de mobiliser les fans français via #FonduFoutu et les inviter à se rallier à la pétition initiée par Avaaz pour parvenir à un accord… Ils pourront également prendre part à la mobilisation au cœur même des festivals de musique en France : à We Love Green, Rock en Seine ou encore aux Eurockéennes. L’opération est relayée sur Benjerry.fr/climat et sur les réseaux sociaux de la marque. Tous droits de reproduction réservés www.strategies.fr BEN & JERRY'S SENSIBILISE AU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE Publicité 01/06/2015 La marque de crèmes glacées Ben & Jerry's s'engage contre le réchauffement climatique dans une campagne, signée par l’agence Pschhh. Baptisée «Quand c’est fondu, c’est foutu!», elle repose sur de nombreuses actions de terrain et d'événements, ainsi que sur un site, www.benjerry.fr/climat, qui propose aux internautes de signer une pétition lancée par l'ONG Avaaz et qui relaie de nombreuses informations sur le sujet. Un film joue habilement sur la fonte des glaces, montrant aux internautes les effets que peuvent avoir deux degrés de plus sur différents produits de la marque. Anaïs Richardin 01/06/2015 La marque de crèmes glacées Ben & Jerry's s'engage contre le réchauffement climatique dans une campagne, signée par l’agence Pschhh. Baptisée «Quand c’est fondu, c’est foutu!», elle repose sur de nombreuses actions de terrain et d'événements, ainsi que sur un site, www.benjerry.fr/climat, qui propose aux internautes de signer une pétition lancée par l'ONG Avaaz et qui relaie de nombreuses informations sur le sujet. Un film joue habilement sur la fonte des glaces, montrant aux internautes les effets que peuvent avoir deux degrés de plus sur différents produits de la marque. Ben & Jerry's, c'est toute une philosophie. Depuis ses humbles débuts il y a 37 ans, la marque se consacre à faire la meilleure glace possible de la meilleure façon possible. Et s’engage sur des sujets allant du commerce équitable au mariage pour tous. En 2015, son cheval de bataille c'est le climat, normal pour une marque givrée... « Nous ne sommes pas des chercheurs mais nous pensons que, tout comme les crèmes glacées, les calottes glaciaires sont faites pour rester gelées ». Elle a ainsi opté pour l'agence Pschhh et lui a confié sa campagne «Quand c’est fondu, c’est foutu!». Objectif : mobiliser 500 000 fans à travers le monde à rejoindre le mouvement. En partenariat avec AVAAZ, Ben&Jerry’s veut mobiliser et lancer le mouvement #FonduFoutu pour apporter sa pierre à l'édifice de l'accord sur le climat. Autour d’actions de terrain et d'événements, Pschhh accompagnera Ben&Jerry's pour mobiliser les fans français Ils pourront également prendre part à la mobilisation au cœur même des festivals de musique en France : à We Love Green, Rock en Seine ou encore aux Eurockéennes. Toute l'opération sera relayéesur les réseaux sociaux de la marque. 07/06/2015 ÉMISSION "A VOS MARQUES" PRÉSENTÉE PAR DAVID DAUBA Sujet sur la campagne Ben & Jerry's "Quand c'est fondu, c'est foutu". Citation de l'agence Pschhh.
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