2) La génétique de Mendel
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2) La génétique de Mendel
2) La génétique de Mendel Hérédité et génétique Mendel, père de la génétique Le matériel de Mendel La méthode de Mendel Ses croisements monohybrides VS les déductions qu’il a fait à partir du croisement La notation de Mendel et quelques termes « génétiques » Ses croisements dihybrides VS les déductions qu’il a fait à partir du croisement Gry 1 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Généralités et historique • Hérédité • Génétique • Deux concepts de l'hérédité : par mélange et par particules HÉRÉDITÉ PAR MÉLANGE Avant l'époque de Mendel HÉRÉDITÉ PARTICULAIRE À partir de Mendel Les parents apportent du matériel génétique qui se mélange ; ceci donne des résultats intermédiaires qu’on ne peut plus séparer par la suite (comme deux pots de peinture qui se mélangent). Les parents transmettent des unités héréditaires distinctes qui restent distinctes chez les descendants (comme les billes que l'on retire de deux seaux et que l'on place dans un troisième seau). • Unités héréditaires d En Mendel Lien: ne Campbell, parlait pas deReece,2 gènes mais éd./Biologie./chap.14 d'unités héréditaires ou de facteurs héréditaires 1 La génétique de Mendel Gregor Mendel, père de la génétique • • • • • • Dans les années 1860 Gregor Mendel élabore une théorie particulaire de l'hérédité Basée sur des expériences menées sur des pois (de 1857 jusqu'………..) Publication des résultats : 1865 Résultats non reconnus par ses contemporains Seront redécouverts, quelques années plus tard, vers 1900, par 3 chercheurs de 3 pays différents En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Le matériel de Mendel : des pois de lignée pures 1) Pourquoi des pois ? Le pois a des caractères faciles à observer 2) Chaque caractère n’a que 2 formes 3) La fleur est fermée et donc à l’abri de la pollinisation extérieure Pourquoi des pois de lignée pure? Comment a-t-il obtenu ses pois de lignée pure? En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 2 La méthode de Mendel • PREMIÈRE GÉNÉRATION PARENTALE (P1) Il croise, lui-même, deux variétés pures de pois • Différant par 1 caractère : croisement monohybride • Différant par 2 caractères : croisement dihybride Il récolte les graines puis les sème Les graines deviennent des plants adultes Il observe la génération fille F1 La pollinisation est suivie naturellement de la fécondation croisée et les graines sont produites • DEUXIÈME GÉNÉRATION PARENTALE (P2) F1 P2 Il laisse les plants de la F1 (devenue adulte) s’autopolliniser puis s’autoféconder Il récolte les graines puis les sème Les graines deviennent des plants adultes Il observe la génération fille F2 A fait des croisements de façon contrôlée A observé et noté tous les résultats A fait de nombreux croisements du même type afin d'obtenir un vaste échantillon d En Lien: Campbell, Reece,2 éd./Biologie./chap.14 Un croisement monohybride de Mendel Campbell : 260 (1eéd. Fr) — Figure 13.3 Campbell : 265 (2eéd. Fr) — Figure 14.2 • En F1 Mendel observe la disparition d’un caractère parental • En F2 Mendel observe la réapparition du caractère disparu chez 25% des descendants • Mêmes résultats pour tous ses croisements monohybrides d En Lien: Campbell, Reece,2 éd./Biologie./chap.14 3 Les 4 hypothèses que Mendel a émises pour expliquer les résultats de ses croisements monohybrides 1. Un caractère peut présenter 2 formes différentes Les formes différentes de Mendel sont les allèles ou gènes homologues 2. Un organisme hérite de 2 facteurs pour chaque caractère Les facteurs héréditaires de Mendel sont les gènes 3. Le facteur dominant masque le facteur récessif Mendel a noté le facteur dominant à l’aide d’une majuscule et l’autre, le récessif, à l’aide de la même lettre mais en minuscule 4. Les deux facteurs se séparent durant la formation des gamètes = LOI DE SÉGRÉGATION Correspond à la séparation des paires de chromosomes homologues durant la méioseReece,2déd./Biologie./chap.14 En Lien: Campbell, Interprétation du croisement monohybride quant à la couleur de la fleur (1 caractère) Phénotypes P1 P 1 Fleurs violettes Fleurs blanches v v V V Génotypes P1 Gamètes V V V v Phénotypes et rapport phénotypique de la F1 Génotypes et rapport génotypique de la F1 100 % de fleurs violettes 100 % V 1 V v v v V v v Échiquier de Punnett (Tableau de fécondation) V v V v F 1 P 2 Fleurs violettes Fleurs violettes V v V v v V V V v V Phénotypes P2 V v Génotypes F2 V v vv F 2 Phénotypes et rapport phénotypique de la F2 Génotypes et rapport 75 % fleurs violettes et 25 % fleurs blanches 3 fleurs violettes : 1 fleurs blanches 25% V V : 50% V v : 25% v v 1 VV d : 2 V v : 1 v v En Lien: Campbell, génotypique de la F2 Reece,2 éd./Biologie./chap.14 4 Notation de Mendel et vocabulaire génétique Notation de Mendel Notation de l'allèle dominant Par la première lettre désignant le caractère, en majuscule Violet domine blanc donc allèle violet = V (grand V) Notation de l'allèle récessif Par la même lettre désignant l'allèle dominant, en minuscule Blanc est récessif donc allèle blanc = v (petit v) Homozygote ou pur Individu ayant deux allèles identiques pour un caractère donné Homozygote dominant VV Homozygote récessif Hétérozygote Individu ayant deux allèles différents pour un caractère donné Hétérozygote Vv Grille de Punnett Méthode pour croiser les gamètes et prédire les résultat (Tableau de fécondation) Phénotype Apparence de l'individu (fleurs violettes ou blanches) Génotype Constitution génétique de l'individu (VV, Vv ou vv) Phénotype et rapport phénotypique Proportion de chacun des des phénotypes ; en % ou en chiffre 75% violettes : 25% blanches ou 3 violettes : 1 blanche Génotype et rapport Proportion de chacun des génotypes d génotypique En Lien: Campbell, 50% Reece,2 V v : 25%éd./Biologie./chap.14 V V : 25% v v ou 2 Vv : 1 VV : vv 1 vv Un croisement dihybride de Mendel • En F1 Mendel observe la disparition de 2 caractères parentaux • En F2 Mendel observe la réapparition des 2 caractères disparus chez 6 % des descendants Mêmes résultats pour tous ses croisements Endihybrides Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 • 5 Les hypothèses que Mendel a émises pour expliquer les résultats de ses croisements dihybrides Les 4 premières hypothèses plus une autre 5. Les paires de facteurs se séparent de façon indépendante les unes des autres = LOI D’ASSORTIMENT INDÉPENDANT Correspond à l’assortiment indépendant des paires de chromosomes homologues à la métaphase 1 de la première division méiotique En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Qu’est-ce que la ségrégation indépendante ? Campbell : 281 (1eéd. Fr) — Figure 14.2 Campbell : 291 (2eéd. Fr) — Figure 15.1 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 6 Interprétation du croisement dihybride quant à la couleur de la fleur (2 caractères) Phénotypes P1 Génotypes P1 Phénotypes et rapport phénotypique de la F1 Génotypes et rapport génotypique de la F1 Phénotypes P1 4 types de gamètes à cause des assortiments indépendants Génotypes P1 Campbell : 265 (1eéd. Fr) — Figure 13.8 Campbell : 270 (2eéd. Fr) — Figure 14.7 Phénotypes et rapport phénotypique de la F2 déd./Biologie./chap.14 et rapport génotypique de la F2 EnGénotypes Lien: Campbell, Reece,2 Un truc simple pour trouver les gamètes (Dans un problème donné de génétique donné) SÉPARER LES PAIRES ET GARDER UN MEMBRE DE CHAQUE PAIRE Quels sont les gamètes d’un individu ayant le caryotype Aa Bb ? Aa Bb Aa Bb Réponse : 25% AB, 25% Ab , 25% aB , 25% ab Quels sont les gamètes des caryotypes suivants ? A a 50% A et 50% a A A 100% A AaBbCc AaBbCcDd AaBBCc d Faire un tableau du genre si 3 paires de chromosomes En Lien: Campbell, Reece,2 éd./Biologie./chap.14 7 3) Généralisation de la génétique de Mendel En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Croisement de contrôle Croisement d’un individu de phénotype dominant (au génotype inconnu) avec un individu de phénotype récessif (génotype connu) But Déterminer le génotype de l’individu de phénotype dominant Phénotype dominant Phénotype récessif VV Phénotype dominant vv Vv Homozygote récessif v Vv V v v V Vv Vv Vv Toutes les fleurs sont du phénotype dominant Conclusion L’inconnu est un homozygote dominant v V v vV vV vv vv La moitié des fleurs montre le phénotype dominant et l’autre moitié, le phénotype récessif Conclusion L’inconnu est un hétérozygotee Campbell : 263 (1 éd. Fr) — Figure 13.6 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Campbell : 269 (2 éd. Fr) — Figure 14.6 e e 8 Complément sur les allèles Allèle pour la couleur violette • Les allèles sont les gènes homologues V 1 • Les allèles sont situés sur les mêmes locus des chromosomes homologues • Locus Lieu précis sur le chromosome Deux chromosomes homologues Allèle pour la couleur blanche v 1’ • Les deux allèles déterminent (ou contribuent à déterminer) l'apparence de l'individu pour ce caractère Les allèles sont les versions alternatives d’un gène En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Campbell : 267(2 éd. Fr) — Figure 14.3 e Relation entre les allèles et le phénotype qu’ils déterminent TROIS TYPES DE RELATIONS ALLÉLIQUES 1) Dominance complète d’un allèle versus la récessivité de l’autre allèle 2 possibilités de phénotypes 2) Dominance incomplète d’un allèle par rapport à l’autre 3 possibilités de phénotypes 3) Codominance des deux allèles 3 possibilités de phénotypes En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 9 Relation allélique Dominance complète d’un allèle versus la récessivité de l’autre Groupes sanguins 1) L'allèle récessif est un allèle mutant qui ne code pas de protéine ou qui code une protéine inactive 2) L'allèle normal code la version fonctionnelle de la protéine en quantité suffisante pour assurer le phénotype normal 3) La présence des deux allèles produit un phénotype normal Génotype A A A A Génotype A O A O Groupe sanguin A Groupe sanguin A Groupe A Groupe O A A A Deux phénotypes possibles (cas de parents A ou O) Tous les individus sont du groupe A peut importe qu’ils aient 1 ou 2 allèles A O A A A O A A A O L’allèle A code pour une protéine A à la surface du globule rouge, en quantité suffisante L’allèle O ne code pas de protéine à la surface du globule rouge Deuxdéd./Biologie./chap.14 phénotypes possibles En Lien: Campbell, Reece,2 Relation allélique Dominance complète d’un allèle versus la récessivité de l’autre Couleur de la fleur du pois Deux phénotypes possibles Vv Vv v L’allèle V code pour un pigment mauve en quantité suffisante V V V V v V v Vv Violet Blanc La fleur est mauve peut importe qu’elle ait 1 ou 2 allèles violet v v L’allèle v ne code pas de pigment La fleur est blanche seulement si elle possède 2 allèles blancs (En effet, si elle avait un allèle violet, elle serait violette et non blanche) déd./Biologie./chap.14 En Lien: Campbell, Reece,2possibles Deux phénotypes 10 Relation allélique Dominance incomplète d’un allèle par rapport à l’autre R R r r La couleur de la fleur du muflier Trois phénotypes possibles Rouge Rose Blanc r R R r R 1) L'allèle récessif est un allèle mutant qui ne code pas de protéine ou qui code une protéine inactive 2) L'allèle normal code la version fonctionnelle de la protéine en quantité insuffisante pour assurer le phénotype normal 3) La présence des deux allèles produit un phénotype intermédiaire R r r L’allèle R code pour un pigment rouge en quantité insuffisante Les fleurs sont roses parce qu’elles n’ont qu’un seul allèle codant R r R r R r R r R r Les fleurs rouges ont 2 allèles codants Elles sont homozygotes RR R r R R R r r R r r L’allèle r ne code pas de pigment Les fleurs blanches ont 2 allèles non codants Elles sont homozygotes r r Trois phénotypes possibles Campbell : 267 (1 éd. Fr) — Figure 13.10 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Campbell : 273 (2 éd. Fr) — Figure 14.9 e e Relation allélique Codominance de deux allèles 1) Les deux allèles codent pour une version fonctionnelle mais différente de la protéine 2) La présence des deux allèles produit un phénotype intermédiaire (entre les deux phénotypes parentaux) Groupes sanguins Génotype A A A A Génotype B B B B Groupe sanguin A Groupe sanguin B B A A B A B A B A B Tous les individus sont du groupe AB car ils produisent les 2 protéines à la surface de leurs globules rouges A B L’allèle A code pour une protéine A à la surface du globule rouge L’allèle B code pour une protéine B à la surface du globule rouge Trois phénotypes possibles En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 11 Les allèles multiples ou polyallélie 1) Plusieurs allèles possibles pour le même locus dans une population (plusieurs allèles possibles pour un gène) 2) Une personne n'a jamais plus de 2 allèles à la fois car elle n'a que 2 chromosomes homologues Exemple des groupes sanguins (Trois allèles A, B et O dans la population) A Génotypes A AA B B BB i i OO A B AB A i B AO i BO Phénotypes Groupe A Groupe B Groupe O Groupe A B Groupe A Groupe B En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 La pléiotropie (gène pléiotropique) 1) Un gène situé à un locus influence plusieurs caractères De tels gènes impliquent une voie biochimique commune dans plusieurs organes 2) Presque tous les gènes sont pléiotropes car chaque gène codant pour la synthèse d’un polypeptide, il influence le déroulement d’une chaîne métabolique et donc, la physiologie globale Deux exemples 1) La drosophile possède un gène responsable de : tête aplatie, petits yeux, thorax et abdomen tordus, ailes chiffonnées 2) Une race de chat possède un gène responsable de : yeux bleus et surdité En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 12 L’épistasie (Un cas de super-dominance) 1) Un gène à un locus masque l’expression d’un autre gène à un locus 2) S'il faut 2 gènes épistasiques pour masquer l'autre gène c'est une épistasie récessive 3) S'il faut 1 gène épistasique pour masquer l'autre gène c'est une épistasie dominante Dans l’exemple qui suit, les souris sont normalement noires ou brunes mais le gène épistasique les rend albinos car il empêche le dépôt du pigment dans le poil. En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Épistasie récessive Épistasie dominante Gène épistasique noté en minuscule Deux gènes épistasiques sont requis Gène épistasique noté en majuscule Un gène épistasique est requis N = Noir C = dépot du pigment N = Noir C = pas de dépot du pigment n = brun c = pas de dépot du pigment n = brun c = dépot du pigment NNCC nC nc nnCC NNcC nNcC nncC NNCc nc nNcC NnCc nncC Nc NNCc nNCc NncC nc NnCc nnCc NNcc nNcc Nncc nC NnCC nnCC NNcC nc nnCc NNcc nNcc nNCC Nc Nc nNCc NncC NNCC nC nC NnCC nNCC Nc NC NC NC NC NnCc NnCc N n C c N n C c Nncc nncc nncc Campbell : 270 (1 éd. Fr) — Figure 13.12 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Campbell : 276 (2 éd. Fr) — Figure 14.11 e e 13 La polygénie (Gènes cumulatifs ou quantitatifs) 1) Plusieurs gènes situés à plusieurs locus influencent un caractère. 2) Un caractère dépend de plusieurs gènes dont les effets s'additionnent pour produire différents résultats intermédiaires. 3) Gènes qui produisent la variation continue d'un caractère. Couleur de la peau Deux exemples La taille Campbell : 271 (1 éd. Fr) — Figure 13.13 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Campbell : 276(2 éd. Fr) — Figure 14.12 e e Un cas d’épistasie complexe Deux gènes épistasiques différents peuvent masquer la couleur de la peau Ces gènes sont récessifs Copyright ©The McGraw-Hill Companies, Inc. Permission required for reproduction or display Merci Parents pigmentés Trois enfants albinos Parents albinos En Lien: Campbell, Enfants pigmentés Reece,2déd./Biologie./chap.14 14 Notions minimales de statistiques Chaque allèle a une chance sur 2 d’être tiré Vv Vv X Règle de la multiplication La probabilité d’un événement génétique se trouve en multipliant la probabilité des gamètes de cet événement 1/ 2 Règle de l’addition Si un événement génétique peut se produire de plusieurs manières, il faut additionner la probabilité de chacune des manières 1/ 2 v V 1/ 2 v V 1/ 2 X 1/ 2 = 1/ 4 1/ 2 V V V X 1/ 2 = 1/ 4 1/ 2 Probabilité des gamètes 1/ 2 v V v X 1/ 2 = 1/ 4 v v 1/ 2 X 1/ 2 = 1/ 4 Un événement génétique En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Campbell : 264 (1eéd. Fr) — Figure 13.7 Campbell : 271 (2eéd. Fr) — Figure 14.8 Lignage Un lignage humain est un regroupement, dans un arbre généalogique, de l'histoire d'un caractère particulier d'une famille À quoi sert de faire un arbre généalogique ? Permet de déceler les porteurs d'une maladie dans une famille Permet de prédire la probabilité d'apparition de cette maladie chez les futurs enfants En observant un arbre généalogique on peut déduire si le caractère étudié est dominat ou récessif et s’il est lié au chromosome X ou aux autosomes En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 15 Lignage d’un caractère dominant Les cheveux laineux Principe : Les individus présentant le caractère sont ceux qui sont colorés Les femmes sont des cercles, les hommes sont des carrés Les unions sont les lignes transversales et les enfants sont liés par des lignes perpendiculaires Parent aux cheveux laineux Parent aux cheveux non laineux Des parents laineux Donnent des enfants non laineux Conclusion quant à la dominance du gène ? Dominant Comment seront les enfants de ce En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14couple ? Campbell : 273 (1eéd. Fr) — Figure 13.15a Lignage d’un caractère récessif L'albinisme La mère est pigmentée Le père est pigmenté Deux enfants albinos apparaissent Conclusion quant à la dominance du gène ? Figure 13.15b : 273 En Lien: Reece,2déd./Biologie./chap.14 Campbell : 273 (1 éd. Campbell, Fr) — Figure 13.15b e Récessif Les parents portaient un gène « caché » 16 Lignage d’un caractère : cheveu en pointe Quels individus présentent le caractère étudié ? Les blancs ou les mauves ? Les mauves Caractère dominant ou récessif ? Dominant Les parents montrent le caractère et un enfant ne le montre pas En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Campbell : 278 (2eéd. Fr) — Figure 14.14a Lignage d’un caractère : oreilles attachées Quels individus présentent le caractère étudié ? Les blancs ou les mauves ? Les mauves Caractère dominant ou récessif ? Récessif Les parents ne montrent pas le caractère et un enfant le montre En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Campbell : 278 (2eéd. Fr) — Figure 14.14bc 17 Quatre diapositives pour expliquer la compatibilité ou l’incompatibilité des sangs En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Comment çà fonctionne pour les groupes sanguins ? Les allèles A, B et O dans les chromosomes de nos cellules codent pour des antigènes qui s’installent à la surface des globules rouges Les antigènes sont des protéines Quand un individu présente un allèle donné pour un antigène, il a un autre allèle qui code pour l’anticorps opposé qui, lui, se retrouve dans le plasma Un individu ne peut agglutiner son propre sang car il n’a pas les anticorps complémentaires Campbell : 269 (1 éd. Fr) — Figure 13.11 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Campbell : 275 (2 éd. Fr) — Figure 14.10 e e 18 Expérience montrant la réaction d’agglutination sanguine 2 gouttes de sang de chacun des groupes sanguins sont déposées sur 4 lames de verre Chaque sang est testé respectivement avec les anticorps A et B Conclusion de l’expérience 1 ? Les globules ont les antigènes A et B et se coagulent pas avec des anticorps A ou B qu’on leur ajoute. Le sang est du groupe AB Observations Réactions d’agglutination dans certains cas Pas d’agglutination dans d’autres cas Conclusion de l’expérience 4 ? Les globules n’ont pas d’antigènes et ne se coagulent pas avec des anticorps A ou B qu’on leur ajoute. Le est du groupe O EnsangLien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 Fin Gry 38 En Lien: Campbell, Reece,2déd./Biologie./chap.14 19
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Allèle ailes vestigiales = vg