denis colin

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denis colin
REVUE DE PRESSE
MAJ sept. 06
DENIS COLIN
SOMETHING IN COMMON
CLASSICA
Pétri d'émotions et d'envies, de révoltes et d'espoir, ce disque salutaire est aussi la
preuve qu'aujourd'hui encore la musique peut être porteuse de sens et toucher
directement au cœur.
Recommandé par Classica.
Olivier Gasnier, septembre 2002
JAZZMAN (Choc de la Musique)
Chaque Mélodie est ici sublimée, traversée par des arrangements qui en
prolongent le mouvement, tout en intégrant les perspectives élaborées depuis dix
ans par le trio. Donnant à "Something in Common" tout son (bon) sens, les uns et
les autres s'y retrouvant, sans gommer leur originalité. Bien joué.
Jacques Denis, septembre 2002
B-IN
Un superbe album qui devrait intéresser tous les amateurs de classiques et de
bonne musique.
Septembre 2002
JAZZBREAK.COM
Avec une énergie pure, et un son génial, Denis Colin et ses acolytes se baladent
librement d'un style à l'autre [reggae, avec Diallo (seule composition actuelle), en
hommage au jeune noir américain mort de 41 balles tirés par une patrouille de
police alors qu'il sortait son portefeuille de sa poche -, rock avec If 6 was 9
d'Hendrix ou jazz comme Jungoso de Sonny Rollins ou Amen de Coltrane...] et
témoignent leur reconnaissance et leur amour de ces musiques avec un grand
savoir faire, de l'imagination et surtout beaucoup d'émotion.
Kat, septembre 2002
WANADOO.FR
Sous la houlette du producteur Jean Rochard et en compagnie de ses deux
partenaires Didier Petit (violoncelle) et Pablo Cueco (zarb), le clarinettiste Denis
Colin s'est donc envolé vers les terres d'un Prince et, autour d'un répertoire mêlant
figures du saxophone et grands noms de la musique noire, qu'elle soit soul ou
rock, y a invité quelques voix du cru (Wayne McFarlan, Snap G en "spoken
vocalist" litanique et fascinant ainsi que le triangle des Dirty Bandits dont il est l'un
des piliers, la famille Steele -un patronyme, cinq chanteurs- et Gnew Matthews) et
la guitare électrique de Mike Scott. Chaleureuses, essentielles, ces neuf reprises de
Hendrix ( If 6 was 9), Rollins, Shepp (Blasé), Stevie Wonder, John Coltrane
(splendide Amen en conclusion) ou Marlena Shaw donnent à entendre un brouet
REVUE DE PRESSE
MAJ sept. 06
dépaysant et luxuriant de sons et de voix admirablement menées par une
clarinette basse aussi riche qu'à l'accoutumée (bouillonnante, parfois rauque).
Août 2002
CHRONICART.COM
Colin mène sa barque au coeur d'une Black Music dont il perce l'esprit et, une fois
encore, rompt les haies et barrières placées entre des champs musicaux qu'il se
refuse à parcourir séparément, voire entre le champ musical au sens large et
d'autres dimensions -historiques, politiques, humaines- qui, démontre-t-il en
définitive, ont là-bas something in common.
Bernard Quiriny, août 2002
ROUGE
Des Invités viennent compléter le trio sans briser ce voyage véritablement
initiatique.
Nicolas Beniès, 25 juillet 2002
AMAZON.FR
L'origine de ce respect et de cette entente mutuels et palpables, c'est également
ce fond humain qui, ayant jadis rendu Colin sensible à cette musique de l'âme et
des tripes, permet au clarinettiste basse et à ses deux partenaires de se sentir
comme chez eux dans ce creuset originel de l'idiome bleu et de la pulsation
ternaire et au milieu de leurs thuriféraires.
Thierry Quénum, juillet 2002
IMPRO JAZZ
Interview par Franck Médioni, Juillet 2002
JAZZ NOTES
Interview 2 pages intitulé "Le parcours de l'arpenteur" (avec photo) par Franck
Médioni, juillet 2002
VIBRATIONS
Le pari est réussi : sans perdre l'originalité constitutive du trio, sa signature sonore
qui fait toute la pertinence du propos, Denis Colin a su réincarner et transcender
ces thèmes pourtant fort chargés, bien souvent écrits dans l'urgence d'une
époque.
Jacques Denis, juillet 2002
JAZZ MAGAZINE (Jazz d'émoi)
Ce disque est une brillante réponse au monde qui nous entoure. (…). Derrière
toutes ces émotions, tous ces destins et ces "nouvelles de la jungle" urbaine où se
débat ce peuple noir depuis si longtemps, se dessine ce "quelque chose en
commun" qui fait de nous tous des étrangers, mais qui nous rassemble.
Olivier Gasnier, juillet 2002
REVUE DE PRESSE
MAJ sept. 06
LES INROCKUPTIBLES
Dans le sillage de maître Portal, trois des frondeurs les plus militants du jazz
hexagonal sont allés à Minneapolis frotter leurs ailes aux rayons brûlants du funk
et de la great black music.
Juillet 2002
LE QUOTIDIEN DES MEDECINS
L'alchimie entre les divers éléments, apparemment disparates mais possédant
une âme commune, la culture noire américaine, est formidable et le résultat fait
de ce projet insolite un objet de désir.
Didier Pennequin, 17 juin 2002
VIBRATIONS
Denis Colin s'en sort avec les honneurs, naviguant dans des eaux pourtant bien
chargées d'histoire.
Pierre-Jean Critin, juin 2002
VIRGIN MEGAPRESSE
Avec la complicité de chanteurs de rap, gospel et rythm'n'blues, Denis Colin
prend ici un malin plaisir à rendre hommage aux ténors qui l'ont influencé et
visiter à sa manière libre des compositions de Stevie Wonder et Jimi Hendrix.
Vivifiant.
Pascal Anquetil, juin 2002