e-business on demand
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e-business on demand
IBM Global Services e-business on demand : le nouveau modèle informatique “ [L’e-business on demand] est le prolongement naturel de l’externalisation. C’est l’aboutissement de trois évolutions majeures : le développement considérable des réseaux ; l’avènement d’une informatique fondée sur des standards ; et les exigences croissantes des infrastructures e-business… En fait, le recours à des prestataires de services n’est pas une nouveauté : cela s’est produit, par exemple, avec le développement du réseau électrique. Quand les premiers générateurs sont apparus, il y a seulement quelques décennies, les entreprises qui voulaient de l’électricité devaient construire leur propre centrale. Elles n’avaient pas le choix. De même, depuis 40 ans, les entreprises couvrent leurs besoins informatiques en achetant leurs propres ressources, dont elles doivent assurer la gestion. Il existe désormais une autre approche possible… Le marché est sur le point de connaître un profond bouleversement – tant dans son mode de fonctionnement économique que dans sa dynamique concurrentielle. ” — Lou Gerstner, IBM Chairman of the Board1 Le modèle “ e-business on demand ” Donner à l’informatique sa juste place Partout dans le monde, les entreprises doivent incompatibles, des logiciels développés en interne évoluer dans un environnement en constante ou achetés dans le commerce, et des départements transformation, incertain, et sont confrontées à une informatiques pléthoriques sont très vulnérables face série de nouveaux problèmes cruciaux : restrictions aux progrès rapides des technologies, aux fluctuations budgétaires, ralentissement économique, inquiétude du marché, aux aléas de croissance et aux conséquences des consommateurs… Pour survivre et gagner des des fusions-acquisitions. De fait, les infrastructures parts de marché, il leur faut en faire plus avec moins de e-business modernes, qui gèrent et exploitent de gros ressources, s’adapter à des demandes imprévisibles, volumes de données, exigent une bande passante réagir rapidement au marché et prendre sans cesse pratiquement illimitée, une capacité de stockage toujours l’initiative. Les impératifs de la compétitivité obligent de plus grande, des technologies souples et ouvertes, et des nombreuses entreprises à mettre en relation des systèmes compétences pointues. incompatibles, à adopter de nouvelles technologies, à intégrer et à diffuser l’information, et à rebondir Tous ces facteurs compliquent la tâche de dirigeants constamment dans un contexte économique en mutation qui aspirent à améliorer leurs relations clients, à intégrer permanente. tous les processus dans leur entreprise, à optimiser leur productivité et à réduire leurs coûts. D’après un article du National Post Online, “ vers le milieu des années 1990, En même temps, les chefs d’entreprise découvrent que la l’infrastructure informatique est devenue dans la plupart technologie n’est pas une panacée. Si personne ne doute plus aujourd’hui des avantages d’Internet, les ressources de gestion sont comptées alors que le facteur temps n’a jamais été plus crucial. Dans ces conditions, le maintien d’une infrastructure e-business capable de prendre en charge des contraintes nouvelles peut absorber des ressources financières, humaines et technologiques qui seraient pourtant mieux employées à la consolidation des capacités métier de l’entreprise et au renforcement de sa compétitivité. Les environnements informatiques caractérisés par des matériels propriétaires, des systèmes 2 Le modèle “ e-business on demand ” des entreprises une ressource sous-productive qu’il “ D’ici un ou deux ans, nous verrons arriver faut élaguer de façon rigoureuse pour lui faire gagner une profusion de nouveaux services Internet en souplesse et en performances. ”2 On comprend aisément que l’idée de posséder, de gérer et de maintenir qui permettront aux entreprises de réaliser sa propre infrastructure perde de son attrait, au profit des économies substantielles par rapport d’investissements informatiques directement associés à aux systèmes internes classiques tout en leur une plus-value métier et à la qualité du service client – une offrant des possibilités d’interaction inédites. approche qui sera bientôt incontournable. Les managers avant-gardistes envisagent aujourd’hui l’informatique Lentement mais sûrement, nos conceptions différemment, en lui donnant sa juste place dans en matière de gestion informatique seront l’environnement opérationnel : celle d’un “ service de base ” totalement bouleversées. ” vital dans un monde connecté et actif 24 heures sur 24. — Harvard Business Review3 3 Le modèle “ e-business on demand ” Rentabiliser directement les investissements informatiques Selon un récent article du magazine américain Il n’est donc pas étonnant qu’une idée s’affirme Business 2.0, le volume des informations numériques rapidement : celle de pouvoir acheter les processus générées dans le monde double tous les deux ans et, informatiques et opérationnels dont on a besoin, quand dans les grandes entreprises, le stockage des données on en a besoin – un peu comme pour l’électricité ou devient rapidement le poste le plus lourd des budgets le gaz. Ce concept, qu’IBM appelle “ e-business on informatiques – captant jusqu’à 30% des investissements. demand ”, recouvre la “ distribution ” d’infrastructures, Ce fait est en soi suffisant pour freiner ceux qui voudraient d’applications et de processus standardisés via le réseau, développer et déployer des stratégies e-business viables, sous la forme d’un service. L’e-business on demand mais il leur faut encore savoir transformer les données en s’appuie sur une infrastructure souple, faisant l’objet d’une connaissances exploitables, qui puissent être intégrées “ personnalisation de masse ”, et accessible à toute une et partagées à l’échelle de l’entreprise étendue. Et les série d’entités dans un environnement hautement sécurisé. difficultés ne s’arrêtent pas là : nécessité permanente Les entreprises peuvent ainsi “ consommer ” de la bande d’enrichir les fonctionnalités, quête de performances passante, de la puissance de traitement, de la capacité toujours plus élevées, adaptation des systèmes classiques, de stockage, des applications et des services e-business réduction des coûts, capacité de réagir vite face à un comme un service de base dont il devient possible de marché imprévisible… rentabiliser directement les coûts et l’utilisation. 4 4 Le modèle “ e-business on demand ” Comme le souligne un article récent d’InformationWeek, e-business on demand “ nombre d’entreprises achètent plus de puissance de calcul qu’il ne leur en faut, afin de pouvoir faire face à des pics d’activité – une approche d’emblée inefficace. ” L’article cite Jim Pierce, Director of Business Systems Mutualisation Les entreprises sont servies simultanément et en souplesse, de façon automatisée. Development chez Anixter, un fabricant de systèmes de câblage qui réalise un chiffre d’affaires de 3,8 milliards de dollars : “ Pourquoi payer une capacité de traitement d’appoint qu’on n’utilise pas ? ”5 Effectivement. Et les chefs d’entreprise le savent bien : le contrôle des dépenses est Standardisation Les services, clé en main et configurables, ne requièrent qu'une personnalisation ou une intégration minimes. un point de passage obligé pour atteindre et maintenir la rentabilité. Il importe également que l’infrastructure demeure en phase avec les nouvelles technologies – qu’elle soit fondée sur des technologies et des services Évolutivité La capacité est fournie à la demande, en fonction des besoins. ouverts, performants, porteurs de valeur ajoutée, mobilisés uniquement lorsqu’ils sont nécessaires. 5 Le modèle “ e-business on demand ” L’e-business on demand complète l’externalisation classique L’externalisation classique et l’e-business on demand ont en commun de délivrer l’informatique sous la forme “ La demande est déjà presque aussi d’un service fondé sur la capacité du prestataire à importante pour les solutions hébergées, mettre en œuvre une plateforme informatique fiable et gérées et délivrées via le réseau que pour les rentable. L’e-business on demand ajoute à ce modèle performant une série d’importantes innovations couvrant services d’externalisation délivrés de façon des aspects essentiels de l’infrastructure : processus classique. ” opérationnels ; bande passante ; matériel, middleware et logiciels ; gestion des services et expertise des processus. — Gartner, Inc.6 Ces composants sont délivrés “ à la demande ” à une L’e-business on demand est le prolongement naturel de communauté autorisée et connectée, chacun accédant l’externalisation classique, qu’il complète. L’externalisation aux fonctionnalités en fonction de ses besoins. consiste à fournir une infrastructure, des technologies et des services dédiés et personnalisés répondant L’apport fondamental de l’e-business on demand réside aux besoins spécifiques d’une entreprise, pour un prix dans le changement d’optique radical qu’il représente par déterminé. Ce modèle implique fréquemment le transfert rapport aux modèles classiques : au lieu de se polariser de ressources humaines et d’équipements du client au sur le coût de l’informatique, il s’attache aux retombées prestataire, ressources que ce dernier “ loue ” en retour opérationnelles. Reliant “ tous les fils ” – gestion, au client. technologies, processus et coût –, il offre une approche e-business globale axée sur la rentabilité. 6 Le modèle “ e-business on demand ” Tendances et perspectives Il n’y a qu’une seule temporalité en e-business : celle L’e-business on demand est un développement logique du temps réel. La bande passante – la capacité de de l’e-business. Ce modèle – qui consiste à donner aux transmission de données numériques dans un temps entreprises la possibilité d’exploiter les investissements déterminé – devient rapidement une “ denrée de technologiques et le capital de savoir-faire d’IBM, et de base ”, disponible à volonté et à moindre coût. Ce sera payer en fonction de l’utilisation – s’inscrit parfaitement progressivement le carburant de la nouvelle économie, dans l’évolution de l’e-business, qui repose sur des comme l’essence pour les voitures. Tandis qu’Internet technologies élaborées, gérées et supervisées selon des se généralise sur le marché mondial, les besoins standards optimisés et mutualisés. opérationnels et informatiques vont augmenter de façon exponentielle. La diffusion des informations et des L’étude de viabilité de l’e-business on demand est d’une applications n’aura de limites que celles des réseaux et simplicité extrême : il permet aux entreprises d’accéder rendra plus nécessaire que jamais les développements rapidement à des fonctionnalités et à des outils nouveaux applicatifs axés sur les réseaux. Le changement ne se qui leur confèrent un avantage compétitif et une réactivité manifestera plus sous la forme d’événements ponctuels : supérieure sans supporter les risques généralement il sera dynamique. Les gains d’efficacité et de vitesse, les associés : investissements initiaux, délais de mise économies d’échelle et l’optimisation des compétences en œuvre, tests, recette, etc. Il s’agit d’une approche resteront des priorités. La virtualisation des serveurs et intrinsèquement efficace, visant une corrélation directe du stockage permettra aux entreprises de partager des entre “ consommation ” des technologies de l’information infrastructures informatiques sans que ce soit au détriment et gains opérationnels. de la sécurité ou de la continuité, les faisant bénéficier d’avantages économiques inédits. 7 Le modèle “ e-business on demand ” On comprend aisément que de nombreuses entreprises Elles disposent ainsi d’une plateforme prête à l’emploi soient séduites par la rentabilité du modèle e-business on et payable “ à la consommation ” pour conduire des demand, qui leur fournit les composants fondamentaux activités de commerce électronique, développer et gérer de l’infrastructure informatique – matériels, logiciels, des applications, et faire des économies – tout en se applications opérationnelles et services –, ainsi que déchargeant des problèmes techniques. Des entreprises l’espace virtuel dont elles ont besoin pour stocker, gérer, de toutes tailles s’appuient déjà sur ce modèle pour des diffuser et partager les données. activités aussi importantes que la gestion des salaires. e-business on demand Hébergement e-business, "services essentiels" (utility) Externalisation transformationnelle Nouvelles fonctionnalités, applications étendues Services e-business Commerce électronique, travail collaboratif à l'échelle mondiale, nouvelles applications opérationnelles, mobilité Centre de production informatique classique Gestion des serveurs et des logiciels, services distribués, applications stratégiques 1996 1998 2000 2002 2004 2006 Infrastructure intelligente Sans-fil Projet eLiza* Pixie dust 8 Informatique autonome Le modèle “ e-business on demand ” Identifier le prestataire L’e-business on demand n’est pas une offre morcelée. Il Il faut un savoir-faire considérable pour mettre en serait extrêmement risqué à tous points de vue – financier œuvre des infrastructures étroitement imbriquées et et autres – de considérer qu’il s’agit d’une série de abolir en même temps les contraintes de capacité, composants “ en vrac ”. La mise en œuvre concrète surtout quand on considère le rythme de l’innovation de ce modèle suppose des capacités qu’il est très technologique et les incertitudes pesant sur le monde difficile d’acquérir. Pour identifier un prestataire, le chef des affaires, qui peuvent entraîner à tout moment une d’entreprise doit prendre en compte un large éventail révision du cahier des charges. La mise en œuvre des de critères : méthodologies les plus performantes, étayée par une vaste expérience et par des compétences attestées • Grande expérience dans la résolution de problèmes dans l’externalisation et les services informatiques, est opérationnels et techniques un paramètre essentiel dans l’équation de valeur de l’e- • Savoir-faire fondé sur les meilleures méthodologies business on demand. Le fournisseur doit aussi posséder • Historique démontrant que l’entreprise est digne de une connaissance approfondie de la dynamique et confiance et pérenne et qu’elle s’attache à offrir une de l’environnement du marché et du secteur d’activité réelle souplesse à ses clients considéré. Il doit encore démontrer le savoir-faire requis • Intégration des compétences requises – économiques, pour intégrer des applications et des processus disparates sectorielles et technologiques (systèmes “ front-end ”, “ back-end ”, propriétaires…). • Engagement en faveur des technologies ouvertes, Autres exigences : assurer la sécurité et la continuité étayé par des résultats tangibles opérationnelle, avec des capacités de supervision et de • Capacité de fournir et de gérer l’infrastructure reporting. informatique et ses applications sous la forme d’un service intégré Avant de choisir un prestataire, les entreprises doivent en • Capacité de déployer les services en fonction des outre vérifier que le fournisseur a noué de solides relations besoins, de façon rapide et dynamique, avec une totale de partenariat avec des sociétés dont les offres complètent fiabilité et enrichissent la gamme des services proposés. Et que la • Solidité financière responsabilité de l’ensemble des services est centralisée • Présence mondiale. sur un seul interlocuteur présentant des garanties de sérieux maximales. 9 Le modèle “ e-business on demand ” e-business on demand : le modèle IBM IBM a développé un modèle e-business on demand qui des applications et des composants d’infrastructure permet aux entreprises de tout secteur de recourir à une appropriés et de renforcer leur capacité d’intégrer, offre intégrale de services informatiques distribués sous la d’exploiter et de gérer ces ressources. Ce volet de notre forme d’un “ service essentiel ” (utility) – et, potentiellement, offre e-business on demand assure la diffusion de notre de bénéficier des avantages de ce modèle. expérience dans le domaine de l’externalisation et des services, à l’échelle mondiale. Il est adossé à plus de 175 centres informatiques, à IBM Research (l’un des plus E-BUSINESS ON DEMAND THE NEXT UTILITY * * grands organismes de recherche dans les technologies de * e-business à la demande. Le nouveau service essentiel l’information, avec une moyenne de sept brevets par jour), à l’IBM e-business Innovation Institute et à l’IBM Advanced Le modèle IBM comprend les composantes suivantes : e-business Council. Infrastructure on demand – la plateforme sous- IBM investit massivement dans le développement de jacente, est un environnement informatique mutualisé ses centres d’hébergement internationaux, qui joueront et évolutif couvrant les services essentiels standardisés le rôle de “ pivots ” pour l’e-business on demand – avec et les services de gestion. Les premiers fournissent la notamment le centre de Montpellier, centre de traitement “ capacité à la demande ”, et notamment les processus, informatique d’avant-garde permettant d’accueillir le stockage et la bande passante ; cette offre bénéficie des architectures haute disponibilité. Nous concluons du soutien des puissantes alliances conclues par IBM également des alliances avec des éditeurs de logiciels et avec des géants des télécommunications tels qu’AT&T, des compagnies de télécommunications de premier plan Qwest Communications, Equinix et Telecom Italia. Les pour optimiser la délivrance de nos services. Nos offres services de gestion assurent l’exploitation, l’optimisation et e-business on demand se concentrent actuellement sur l’administration de la plateforme technique, qui est à la fois trois axes : mutualisée, sécurisée, évolutive, ouverte et fondée sur des • Achats électroniques (e-procurement) standards. • Commerce électronique (e-commerce) • Business intelligence Business process on demand – permet aux entreprises • Services de gestion et d’hébergement d’applications de disposer rapidement d’applications e-business, et (Application and managed hosting services) même de processus complets, via le réseau, payables • Solutions de stockage (Managed storage) “ à la consommation ”. Ces services, qui mettent en œuvre • Diffusion de contenus (Content distribution) des logiciels préintégrés d’IBM et d’autres grands éditeurs, • Échange de données et de documents (Data and couvrent des processus horizontaux (achats électroniques document exchange) et business intelligence) et verticaux. De nombreux projets en cours nous permettront d’étoffer Know-how – le savoir-faire englobe les services de encore nos capacités et nos offres. conseil d’IBM et de ses Partenaires Commerciaux. À travers notre entité IBM Global Services, leader des IBM aide déjà des entreprises de tous secteurs à tirer parti services dans le monde, nos consultants sont en mesure de l’e-business on demand. d’assister des entreprises de tout secteur dans le choix 10 Le modèle “ e-business on demand ” Le modèle e-business on demand d'IBM Know-how Propriété intellectuelle Brevets Processus Méthodologies Services e-business Industrie Distribution Communications e-commerce e-procurement e-learning (formation en ligne) Gestion des licences Facturation Intégration applicative Gestion du stockage Business process on demand Services verticaux (sectoriels) Service public Finance Services horizontaux (transversaux) Business intelligence Ressources humaines Infrastructure on demand Services de gestion Gestion des applications et des processus Infrastructure ASP (Application Service Provider) Administration des utilisateurs Services de gestion d'infrastructure (réseau, serveur, stockage) Gestion des performances Passerelle sans fil Réseau privé virtuel (VPN) Configuration et installation Sauvegarde et restauration Sécurité Diffusion de contenus (d'applications) Vidéo Internet Échange de documents Traitement (serveurs) Stockage Connectivité (bande passante) Supervision et reporting Services à valeur ajoutée Services administratifs Services "de base" Source: Mercer Consulting, IGS Analysis, IBM Research 11 Le modèle “ e-business on demand ” Des résultats tangibles Santé Grâce à l’offre IBM Managed Storage Services, ChartOne ChartOne, leader de l’administration et de la gestion ne paie que les ressources de stockage dont la société des dossiers médicaux, travaille pour des organismes a effectivement besoin. “ Nous devions faire un choix en de santé de tous les États-Unis. La société scanne les amont, explique Sharad Patel, Chief Technical Officer dossiers papier des patients de ses clients pour qu’ils de ChartOne : mettre en place nos propres ressources soient aisément accessibles, via Internet, aux organismes de stockage et en assurer la gestion et la maintenance, autorisés. Mais, face à l’augmentation constante des ou rechercher un partenaire capable de le faire pour volumes de données, la société a besoin d’une capacité de nous… La seconde solution nous évitait de gros stockage toujours plus importante. ChartOne s’est adressé investissements initiaux, ainsi que l’achat d’une capacité à IBM pour disposer d’une solution souple et sécurisée de de réserve destinée à faire face à une augmentation stockage “ à la demande ”, avec des services de gestion imprévue de nos besoins de stockage. ” des données. Le service de “ capacité à la demande ” a été opérationnel en très peu de temps (beaucoup En contrepartie d’une redevance mensuelle, IBM fournit plus rapidement que si ChartOne avait dû le mettre en une technologie et des processus d’identification place en interne), générant plus de 4 millions de dollars perfectionnés, une disponibilité élevée et des services d’économies sur les dépenses informatiques. Les services performants de sauvegarde, de sécurité et de reprise. sont dispensés aux clients de ChartOne par l’un des 175 centres IBM e-business Hosting. 12 Le modèle “ e-business on demand ” Enseignement Industrie Memphis Schools – qui gère le plus grand district Avec un chiffre d’affaires de 14,5 milliards de dollars, académique du Tennessee et le vingtième des États-Unis Goodyear Tire & Rubber Company est l’un des plus – voulait optimiser de façon significative la fiabilité et gros fabricants de pneus du monde, et commercialise des la rentabilité de son réseau, qui compte 180 sites et pneus et d’autres produits à base de caoutchouc, ainsi que 2000 postes. Ayant estimé qu’il lui faudrait des années des produits chimiques et des équipements pour l’industrie pour rassembler les quelque 20 à 30 spécialistes réseau et l’automobile. Goodyear voulait pouvoir communiquer nécessaires pour un tel projet, Memphis Schools s’est plus efficacement avec ses grossistes et offrir un service tourné vers IBM. En partenariat avec NetSolve, IBM assure plus performant à ses nombreux distributeurs et détaillants, la gestion du réseau par des services de télésurveillance du magasin familial aux plus grands centres commerciaux. facturés mensuellement. La solution IBM-NetSolve La solution : XPLOR, un système Web hébergé par IBM supervise le réseau et transmet les informations collectées qui permet aux revendeurs de consulter les catalogues à l’équipe informatique du client via un portail Web. Tous produits, d’émettre et de suivre leurs commandes, les mois, les informaticiens de Memphis Schools font le d’interroger les tarifs et les stocks, et d’obtenir des services point sur les performances du réseau avec les experts après-vente – en temps réel. Les fonctionnalités e-business d’IBM Global Services et discutent des possibilités du système s’appuient sur la technologie IBM WebSphere. d’amélioration. La solution IBM a optimisé les taux de disponibilité Grâce au service d’IBM, Memphis Schools a pu libérer des tout en réduisant considérablement les coûts annuels ressources humaines et matérielles qui peuvent désormais d’impression, de port et de communication. Elle se consacrer à la mission première de l’organisme : la a également raccourci le cycle de traitement des gestion des écoles. Ce système permet aussi à l’organisme commandes – qui se fait maintenant en temps réel d’offrir de nouveaux services, par exemple un cours de au lieu d’un délai J+1. “ Nous avons bénéficié de la russe dispensé sur Internet et accessible au plus grand technologie, du savoir-faire et de la vision à long terme nombre. “ IBM nous a apporté une solution qui réduit les d’IBM, commente Duane Hand, E-commerce Manager risques et garantit la fiabilité de notre réseau, pour laquelle for Extranet Systems chez Goodyear. La forte implication nous payons un forfait mensuel très économique ”, conclut d’IBM à nos côtés a été et reste un élément décisif. ” Linda Mainord, directrice informatique de Memphis Schools. 13 Le modèle “ e-business on demand ” Grid Computing : la perspective d’une infrastructure intelligente et autogérée “ Un grid [informatique] est analogue à un réseau électrique. Son objectif est de fédérer des ressources distribuées et de les rendre accessibles de façon cohérente et peu coûteuse, indépendamment de leur emplacement physique. ” — IEEE Distributed Systems Online7 Pour que l’e-business on demand puisse fonctionner à pleine puissance, l’infrastructure informatique globale doit évoluer vers l’informatique autonome (autonomic computing – des systèmes autogérés) et le partage des ressources. Le “ Grid Computing ” (calcul intensif distribué) prépare l’avènement de cette infrastructure “ intelligente ” en lui apportant la souplesse et la fiabilité, en favorisant le partage collaboratif des ressources et en abaissant le coût de l’informatique. Composé de quantité de serveurs reliés logiquement à Internet par des protocoles et des logiciels Open Source, un réseau Grid permet de constituer une communauté virtuelle sécurisée offrant aux entreprises un accès partagé à des applications, à des données et à de la puissance de calcul qu’elles utilisent en fonction de leurs besoins. Un Grid fonctionne de façon autonome : les demandes et les activités sont gérées sans intervention humaine, d’une manière fiable et sûre, 24 heures sur 24. D’abord mis en œuvre dans des applications scientifiques et techniques, les systèmes et les services Grid seront bientôt étendus au monde des affaires. IBM, qui est impliqué dans plusieurs projets de Grid Computing, est à la pointe des travaux conduits dans ce domaine. La National Science Foundation a signé récemment avec IBM, Intel et Qwest Communications International un contrat portant sur la mise en place d’un “ Teragrid ” d’un coût de 53 millions de dollars. Ce système Grid, qui devrait être achevé en 2003, reliera 3300 processeurs, disposera d’une capacité de stockage de 600 millions de téraoctets et pourra traiter près de 13,5 trillions d’opérations par seconde sur un réseau très haut débit – 40 gigabits/seconde, presque 16 fois plus que les réseaux de recherche existants.8 IBM et MCNC, un organisme à but non lucratif qui a pour mission de fournir des technologies informatiques favorisant le développement économique en Caroline du Nord, ont annoncé une alliance portant sur le développement de l’un des premiers réseaux Grid des États-Unis dédié à la recherche dans les sciences de la vie. Le North Carolina Bioinformatics Grid, auquel contribuent plus de 60 entités du monde universitaire, commercial et biomédical, permettra à des milliers de chercheurs et d’enseignants de Caroline du Nord de conduire plus efficacement leurs travaux en génomique – et d’aboutir plus rapidement à des découvertes susceptibles de faire régresser les maladies et d’assurer la sécurité alimentaire mondiale. IBM va également participer à l’édification du U.K. National Grid et a entrepris le développement de son propre Grid, composé de 50 parcs informatiques situés en divers points du globe. Nous avons en outre bâti un Grid reliant nos différents laboratoires de recherche et développement dans le monde. 14 Le modèle “ e-business on demand ” En France, le 15 novembre 2001, l’AFM et IBM lancent officiellement l’opération Décrypthon. L’objectif ? Faire participer les internautes à un défi scientifique majeur – la cartographie des protéomes – grâce à l’apport des dernières technologies informatiques, notamment le Grid Computing ou informatique distribuée. Parce que l’urgence demeure pour les malades, la réussite de ce projet est essentielle pour l’AFM : la base de données développée et gérée par Genomining doit permettre aux chercheurs de progresser plus rapidement dans la compréhension des maladies génétiques et dans le développement de nouvelles solutions thérapeutiques. Une première nationale : une mobilisation unique des internautes pour un projet inédit en France. La phase de calcul du Décrypthon s’est achevée en mai 2002. Grâce aux 75 000 PC d’internautes et d’entreprises qui y ont participé, ainsi qu’aux technologies et au savoir-faire des équipes d’experts d’IBM Global Services, en partenariat avec Genomining, le défi humain et technologique lancé lors du Téléthon 2001 a pu être relevé. La phase de comparaison exhaustive de 500 000 protéines du monde vivant vient de s’achever avec succès. La base de données ainsi obtenue sera validée et mise en forme par Genomining, avant d’être remise aux chercheurs en septembre. La mobilisation des internautes au Décrypthon a été unique : sur 180 000 PC inscrits au démarrage de l’opération, 75 000 PC ont effectivement participé en mettant leur puissance inutilisée à la disposition du Décrypthon. Il a été ainsi possible d’effectuer les calculs liés à la comparaison une à une des 500 000 protéines identifiées à ce jour, en moins de deux mois, un temps record ! Chaque ordinateur a contribué à hauteur d’environ 133 heures, soit plus de 10 millions d’heures de calcul, au total. Pour comparaison, si l’on n’avait utilisé qu’un seul ordinateur standard, ces calculs auraient pris environ 417 000 jours, soit près de 1 170 ans… C’est la première fois en France que les internautes se mobilisent sur le plan national, pour un tel projet scientifique, utilisant les toutes dernières technologies informatiques, notamment le calcul distribué. Un défi rendu possible grâce à l’innovation technologique d’IBM et à l’expertise projet des équipes d’IBM Global Services. Afin de réaliser ce défi, les équipes d’IBM Global Services ont mis en œuvre avec Platform Computing pour la partie logicielle, la technologie innovante du Calcul Distribué sur Internet, permettant dans le cas présent, l’utilisation des puissances inexploitées des ordinateurs personnels de dizaines de milliers d’internautes. Les équipes d’experts IBM ont conçu l’architecture la mieux adaptée pour gérer l’ensemble de ce projet, y compris la mise en place et le suivi des infrastructures et des applications liées au projet. Ainsi, les 21 serveurs IBM ont hébergé l’ensemble des solutions et des données pendant toute la durée de l’opération. 15 Agissez dès maintenant Vous pouvez profiter sans attendre de l’e-business on demand. IBM vous propose une plateforme qui peut faciliter l’alignement des services informatiques sur vos besoins actuels et futurs tout en réduisant leurs coûts. Pour en savoir plus sur les offres IBM e-business on demand, visitez : ibm.com /e-business/fr/ondemand Pour en savoir plus sur IBM Global Services, contactez votre ingénieur commercial IBM (ou, le cas échéant, votre Partenaire Commercial IBM). Vous pouvez également visiter : ibm.com /services/fr 1 Références Lou Gerstner, discours prononcé à l’eBusiness Conference Expo, New York, décembre 2000. 2 “ Making the Case for IT Investments ”, National Post Online, 4 septembre 2001. 3 John III Hagel et John Seely Brown, “ Your Next IT Strategy ”, Harvard Business Review, octobre 2001. 4 Dylan Tweeney, “ The Defogger : How to Beat the High Cost of Storage ”, Business 2.0, juillet 2001. 5 Larry Greenemeier et Martin J. Garvey, “ IT on Tap ”, InformationWeek, 23 juillet 2001. 6 Bruce Caldwell, “ Solutions Outsourcing : Opportunities and Threats. End User Survey ”, 19 novembre 2001, Gartner, Inc. 7 IEEE Distributed Systems Online, 2 octobre 2001. 8 David Orenstein, “ Give It to a Grid ”, Business 2.0, décembre 2001. Compagnie IBM France Tour Descartes - La Défense 5 2, avenue Gambetta 92066 Paris-La Défense Tél. : 0 810 011 810 ibm.com /fr IBM Belgium 42 avenue du Bourget / Bourgetlaan, 42 B-1130 Brussels ibm.com /be IBM, le logo e-business, le logo e-business on demand, e-business on demand, The Next Utility, eLiza, e-business Hosting Centres et WebSphere sont des marques d’International Business Machines Corporation aux Etats-Unis et/ou dans certains autres pays. D’autres sociétés sont propriétaires des autres marques, noms de produits ou logos qui pourraient apparaître dans ce document. Le présent document peut contenir des informations ou des références concernant certains produits, logiciels ou services IBM non annoncés dans ce pays. Cela ne signifie pas qu’IBM ait l’intention de les y annoncer. Toute référence à un produit, logiciel ou service IBM n’implique pas que seul ce produit logiciel ou service puisse être utilisé. 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