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MUilU LIBRARY UNC-CHAPEL HILL CHEFS-D'ŒUVRE CLASSIftUES DE LOPÉBA FRANÇAIS :\. <A TRAGEDIE LYRIQUE EN Paroles de l'Abbe 5 * ACTES «cUN PROLOGUE PEU "Q mièrs foispar Mcadéiuls Rojale ée RECONSTITUÉE ET REDUITE POUR fi fP: PAR Charles i PIANO ET CHANT ,-\ '1 ,0 po]5oT 'arion d'Orctidre aravée par de rf GLAND, revue parlMeur 'A ^i\ri PRIX: 151^ m ^ Al Agence Internationale des /rV'^-^-^-^-^"»-^ NET Aoteurs, Compositeurs etîcnVams THEODORE MI CHAELIS, EDITEUR PARIS-^S-^y-RUE DE MAUBEUGE BROUDE esOTHCRS 56 W. 45tti T., H. Y. ]9 -ÎS-ÎZ- PARIS 0^^^.^...^..^ ;m/.i'.«/&»«<te'te CHEFS-D'ŒUVRE CLASSIQUES DE L'OPÉRA FRANÇAIS LULLY, CAMPRA, RAMEAU, PICCINNI, SALÏERÏ, GRÉTRY. etc. HIPPOLYTE ET ARICIE De J. Th. RAMEAU INTRODUCTION I/ippohjle el est le pi'emier oiiYniui' il'' l'ianieau représente à l'Acaniusidéraljle im[)ortaiiri> et, à ce titre, il a une, maitve et dans l'histoire de notre [ireniière scène lyrique. Aricii' ilémie royale de musique, dans r(euvre du .Jusqu'alors Gambert, LuUy et Canipra avaient tenu le répertoire, et surtout le second de ces maîtres, dont la féconde coUaljoration avec Quinault représente en musique ce qu'on peut a[)peler le stijU' Loiii^i AYT, c'est-à-dire la noblesse et la granfbmr, qualités qui n'excluent pas toujours ua peu de uiunotcnie. Gampra, provençal distingué, représenti^ à nos yeux, l'époqiie do la Régence, cDuirae après lui Rameau personnilie par son élégance non dépourvLie d'énergie le stjjle Lniii.'i Xl\ réunion eharinante et rafiinée de toutes les délicatesses du dix-huitième siècle. Rameau, provincial i|ui avait voyagé en Italie et dans le midi de la France, qui avait appris à Mont[iellier la règle de l'octave d'un nommé Lacroix, s'était fait connaître par de délicieuses pièces de clavecin, par des cantates importantes, par des motets à grands chœurs, où la science et le talent d'exi)rimer les paroles rivalisent à l'envi. Son graml traité iTharmonie, écrit à Clm-mont, en Auvergne, le faisait passer a tort pour un théoricien farouche qui ne voyait rien en dehors de la basse fondamentale et de la résonance du corps sonore. Dévoré du désir ardent de cueillir les palmes du théâtre, il s'était essayé à la Comédie française et à rO[i(''ra-Gomique, en collaboration avec; son compatriot(> l'iron. Mais c'était le grand opéra que son génie dramatii[ue voulait aborder, et les librettistes d'alors n'étaient guère plus faciles ([ue ceux d'aujourd'hui. Roy et Danchet rid)utaient le com[)ositeur, et llouilart de la Motte, membre de l'Académie française, n'accueillit pas mieux la lettre suivante que nous tenons à reproduire, d'après le Mercure de France de 17(55 (page oG). Ainsi s'exprimait le futur auteur de Casior, de Darfl'inus, des Fèle^ d'IJébé et d'une foule d'autres ouvrages qui tinrent au répertoire de l'Opéra une place si importante : 527298 —2— » « Quelques raisons que vous ayez, monsieur, pour ne pas attendre de ma musique théâtrale un succès aussi favorable que celle d'un auteur plus expérimenté en apparence dans ce genre de musique, permettez-moi de les combattre et de justifier en même temps la prévention où je suis en » ma » » » » >> « » » » » » « )> » )> » » » » » » » » » » » » n " » n » » » » » n » r> « » » » » » " » » M >) faveur, sans prétendre tirer de ma science d'autres avantages que ceux que vous sentirez aussi bien que moi devoir être légitimes. » Qui dit un savant musicien, entend ordinairement par là un homme a qui rien n'échappe dans les différentes combinaisons des notes; mais on le croit en même temps tellement absorbé dans ces combinaisons, qu'il y sacrifie tout, le bon sens, le sentiment, l'esprit et la raison. Or ce n'est là qu'un musicien de l'école où il n'est question que de notes, et rien de plus de sorte qu'on a raison pour lors de lui préférer un musicien qui se pique moins de science que de goût. Cependant celui-ci, dont le goût n'est formé que par des comparaisons à la portée de ses sensations, ne peut tout au plus exceller que dans de certains genres, je veux dire dans les genres relatifs à son tempérament. Est-il naturellement tendre? il exprime bien la tendresse. Son caractère est-il vif, enjoué, badin, etc.? mais sortez-le de ces caractères qui lui sa musique y répond pour lors sont naturels, vous ne le reconnaissez plus. D'ailleurs, comme il tire tout de son imagination, sans aucun secours de l'art par ses rapports avec les expressions, il s'use à la fin. Dans son premier feu, il était mais ce feu se consume à mesure qu'il veut le rallumer, tout brillant lui que des redites ou des platitudes. Il et l'on ne trouve plus chez serait donc à souhaiter qu'il se trouvât pour le théâtre un musicien qui étudiât la nature avant que de la peindre, et qui par sa science sût faire le choix des couleurs et des nuances dont son esprit et son goût lui auraient fait sentir le rapport avec les expressions nécessaires. Je suis bien éloigné de croire que je sois ce musicien; mais du moins j'ai audessus des autres la connaissance des couleurs et des nuances dont ils n'ont qu'un sentiment confus et dont ils n'usent à propos que par hasard. Ils ont du goût et de l'imagination, mais le tout borné dans le réservoir de leurs sensations, où les différents objets se réunissent en une petite portion de couleurs, au delà desquelles ils n'aperçoivent plus rien. La nature ue m'a pas tout à fait privé de ses dons, et je ne me suis pas livré aux combinaisons des notes jusqu'au point d'oublier leur liaison intime avec le beau naturel qui suffit seul pour plaire, mais qu'on ne trouve plus facilement dans une terre (jui manque de semences et qui a fait sur tout ses derniers efforts. Informez-vous de l'idée qu'on a de deux cantates qu'on m'a prises depuis une douzaine d'années et dont les manuscrits sont tellement répandus en France, que je n'ai pas cru devoir les faire graver, puisque j'en pourrais être pour les frais, à moins que je n'y en joignisse quelques autres, ce que je ne puis faire faute de paroles; l'une a pour titre VEnlèvcmcnt d'Oriihie il y a du récitatif et des airs caractérisés; l'autre a pour titre: l'hctis, où vous pourrez remarquer le degré de colère que je donne à Neptune et à Jupiter, selon qu'il appartient de donner plus de sang-froid ou de possession à l'un qu'à l'autre, et selon qu'il couvieut que les ordres de l'un et de l'autre soient exécutés. Il ne tient qu'à vous de venir entendre comment j'ai caractérisé le chant et la danse de ces sauvages qui parurent sur le Théâtre Italien, il y a un an ou deux, et comment j'ai rendu ces titres les Soupirs, les tendres Plaintes, excités les Cijclopes, les Tourbillons (c'est-à-dire les tourbillons de poussière par de grands vents), l'Entretien des muses, une Musette, un Tambourin, etc. » Vous verrez pour lors que je ne suis pas novice dans l'art, et qu'il ne paraît pas surtout que je fasse grande dépense de ma science dans mes productions où je tâche de cacher l'art par l'art même; car je n'y ai en ; ; ; : ; : » " » » " » vue que les gens de goût et nullement les savants, puisqu'il y en a beaucoup de ceux-là et qu'il n'y en a pivsi[ue point de ceux-ci. Je pourchoeur oi^i vous rais encore vous faire entendre des motets à grand reconnaitriez si je sens ce que je veux exprimer. Enfin, en voilà assez pour vous faire faire des réflexions. » Je suis, avec toute la considération possible, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur. » Rameau. » Cette remarquable lettre, datée du 25 octobre 17:27, resta probablement sans réponse, et le plus grand compositeur français du dix-huitième siècle n'aurait pas abordé hi scène qu'il illustra par ses succès, s'il n'eût rencontré le financier la Popelinière, à la femme duquel il donnait leçon. Ce riche fermier général entretenait un orcliestre à ses frais et donnait de splendides soirées tant à Paris, dans son hôtel, qu'à Passy, dans sa luxueuse maison de campagne. Du moins, dit Solié (cf. le Siècle, 1852), cette vanité de l'opulence avait-elle son coté utile et loualjle. La Popelinière se mit en tète de faire la réputation du mai(r(^ de clavecin de sa femme il obtint de Volle livret de taire, ce courtisan toujours iulule du pouvoir et de la fortune, Samson. Rameau se mit au travail, et plusieurs morceaux répétés chez son protecteur obtinrent l'aiiprobation générale. Mais Thuret, directeur de l'Académie royale de musique, refusa de faire jouer une pièce dont le sujet était pris dans la Bible. Voltaire, dit La Harpe, jeta les hauts cris. Quant à Rameau, il allait décidément renoncer à un dessein pour lequel le sort se montrait si peu favorable, lorsque la Popelinière réussit à arracher de l'abbé Pellegrin le poème à'Hippohjfe et Aricie. ; Pellegrin, dont on disait que Le maliu Il dîne : catliolique et le soir idolâtre, de l'autel et soupe du théâtre, ans quand M. de la Popelinière lui demanda un poème pour un jeune compositeur qui atteignait la cinquantaine. On prétend qu'il ne voulut confier son livret Rameau qu'à condition que celui-ci avait près de soixante-dix cà une 11 est juste de reconnaître l'audition préalable oljtenu [lar le compositeur chez «Monsieur, quand on fait de si la Popelinière, le librettiste dit à Rameau belle musique, on n'a pas besoin de donner de garanties; voici votre billet; ne réussit pas, ce sera ma faute et non la vôtre. » Et devant si l'ouvrage tout le monde, il déchira l'obligation souscrite par Rameau. lui souscrirait qu'après le oljligation de 5 à COO livres. succès de : octobre 1733 marqua dans les fastes de l'Opéra. Les imitateurs de Lulli comme Cotasse, Desmarets, de Blamont, Mouret, etc., faisaient une vive opposition au nouveau venu. Ce qui étonnait surtout, dit Adolphe Adam, dans le tome IV de la Revue contemporaine, c'était la nouveauté et l'imprévu de la modulation, la force de Pharmonie et les combinaisons de la nouvelle instrumentation. Rameau avait abandonné l'ancien système de Lully il faisait faire des rentrées aux flûtes, aux hautbois, aux bassons, sans interrompre le jeu de la symphonie; il donnait à chaque instrument une partie indépendante et distincte; il assignait à chacun un rôle tout spécial, faisant en un mot l'essai de ce qui s'est constamment pratiqué depuis. Rameau est donc le père de l'instrumentation moderne, et il a joué à son époque le rôle que Berlioz et ^Vaguer jouent dans la nôtre. C'était un novateur puissant. Aussi y eut-ii le cam[) des Ramistes et celui des LuUistes, comme plus tard nous trouverons le camp des Gluckistes et celui des Piccinnistes, et au xix'' siècle, la célèbre querelle des romantiques et des classiques. Au fond, c'est la vieille et élernelle question de l'idée et La soirée du 1''' ; de la forme. T;e public fut d'abord étonné de cette musique bien plus chargée plus fertile on images que celle qu'il avait coutume d'entendre. On partagé à l'occasion du nouveau genre; néanmoins on par l'applaudir chaudemenl. s'était on et finit Ajiros la première représentation, Campra répondit demandait son avis sur le nouvel ouvrage lui goûta au prince de Gonti qui : y a dans cet opéra assez de musique pour en faire nous éclipsera tous. » la prédiction se réalisa complè- Monseigneur, « » le et dix.; il cet lionmie tement. Signalons mainlenaut aux lecteurs de notre nouvelle édition spécialement attirer leur attention. Ce sont doivent ci'aux. (jui mordans le les : prologue, le joli chœur des nymphes, jiar lequel s'ouvre la partition, l'air de Diane « Sur ces bords fortunés », l'invocation de la même déesse, la descente de .lupiter et son beau récit, puis la charmante gavotte chantée « A l'amour rendons les armes », d'un rhythme si vif, si carré et si précis. : Au iiremier acte, il faut citer le bel air d'Aricie « Temple sacré », le duo avec Hippolyte « Tu règnes sur nos cœurs », le chœur des Prêtresses « Dans ce paisible séjour », l'air gracieux et doux « Dieu d'amour, pour nos « Périsse la vaine puissance », le asiles », l'air de Phèdre beau chœur « Dieux vengeurs lancez le tonnerre », et l'elîet de tonnerre qui le suit. Les récitatifs de Phèdre et d'OEnone terminent bien cette première partie. Ij second acie (celui des Enfers) contient toute une révolution musicale. L'air de Thésée avec accompagnement de violons en arpèges, est d'une coupe toute nouvelle. Puis les récitatifs de Plutou, les airs des Furies, les chœurs de Démons, et enfin l'admirable trio des Parques, prouvent « Vous qui de toute la puissance du génie de l'auteur. Le récit de Pluton l'avenir percez la nuit profonde», a un cachet de grandiose et de sombre : : : : ' : ). majesté, digne de i-jvaliser avec les plus belles inspirations des maîtres de « Où vas-tu, malheureux ? » toutes les é[ioques. Le passage enharmonique est d'une hardiesse extraordmaire et d'un effet sublime. Au commencement de la scène cini]uièrae, nous trouvons un Prélude à l'unisson qui a devancé de bien des années le célèbre [irélude de rAfricaine. : Dans l'acte trois, il y a un bel air de Phèdre, une scène importante entre «Que ce rivage retentisse », de celte reine et Ili[)polyte, un beau chœur fugué « Puissant jolis couplets cliantés par une Matelote, enfin l'air de Thésée maître des flots », suivi du frémissement des vagues. : : L'acte quatrième renferme un air expressif d'Hippolyte, une belle scène entre ce prince et Aricie, un joli chœur de chasse, la scène dramatique Fuyons d'Hippolyte avec le monstre, puis l'air de Phèdre où me » cacher ? les enfers s'ouvrent sous mes pas. » : .• ! « Grands dieux débute par l'air de Thésée de quels puis l'air d'Aricie qui s'éveille dans des sens déchirer jardins délicieux, précède un joli chœur de bergers et de bergères; Diane revient au milieu de ses peuples; Hippolyte n'est pas mort les zéphirs le rau)ènent et la déesse unit les deux amants. Le dernier acte » remords : me je ! ! •> ; La musette en cieux. « Il est In suivi majeur de la dernière scène forme un chœur très gratl'une chaconne développée et de l'ariette vocalisée Rossignols amoureux », qui a été exécutée par Mlle Séveste et le flûtiste 187G, à l'occasion de l'inauguration donné à Dijon en du monument élevé à Rameau. Tatl'anel au festival Chapitre de Cheiiôve, par Dijon (Côte-d'Or). Ce />•' octobre 1881. Charles Poisot. ET ARICIE HIPPOLITE' TRAGÉDIE LYRIQUE EN CINQ ACTES ET EX PROLOGUE Paroles PELLEGRIN. de l'abbé Musique de J. Ph. RAMEAU. -<? î3r~ï:»Cï- PREMIERE REPRESENTATION: JEUDY ACTEUUS lU' INTFIII'UÈTES l'illILdClK. IIE 1733. LA CIIÉATIO.N : L'Amouii La demoiselle Eukmans. Le sieur Jélyotte. hnnle-conlre. JvpiTKii Le sieur Diane .\ijmph('s de Diane, acteurs r>E de luiliilans EA IDAGEKIE. lu l'il PiiÈDiiE HippoEiTE Aricie De\>,e Œnone Pi.niiN trois Parques. — Dun', basse. forêt d'Enjmanle. Suite de l'Âmnur. LNCII'AI X Le La Le La La La Le Thésée Les OCTOBRE 1^ Les sieurs (t I.NTKIU'RKI ES sieur de DE EA CREATION : (.'ijassé. demoiselle Antier. sieur Trirolt. demoiselle Pélissier. demoiselle Eremaks. demoiselle Monvilee. sieur Dln. h, nier. Jéi.kitte et Cevillier. Arcas. Tisypiio.ne. Neptune, Mercure. Ballet: Les demoiselles Mariette, Camarco; les sieurs Dupré, Dumoulin. seeiie f.a xe passe a Trezene . dan-< /ex Enfers, et dans la fnrél d'Arieie. — Le catalog-ue de noire nmi Th. de Laiarte (;>'' période, page 172) indique cinq reprises (ou remises à la scImic) d'llipp(dite et Aricie : .\. II. i" 2" iJ" i" H" Le Le Le Le Le mardi 11 septembre [~ii. vendredi 2o février 1757. . . . mardi 4 octobre ]7.')S .... mardi 24 mars 17(J7 mardi 9 juin 17(37 . . . (Changemcus considérables au o'" acte). (Douze représentations). (Quatorze repiéseutations). (Cinq représeulalionsj. (Xouvcile série de neuf représentations'). HIPPOLYTE ET ARICIE DES MOaCEAUX TABLi; Pages. 1° là Ouverture (en ré niiueun PROLOGUE i" Chœur des nymphes de Diane 3" A" Entrée des habitants de la forêt Air de Diane, avec chœur. lia 17 5" Scène IS à 24 (')° duo (Diane, l'Amour) Invocation de Diane k Arbilre souverain » Descente de Jupiter. Récits Scène quatrième Diane, l'Amour Scène cinquième Récit et air de l'Amour Air en rondeau pour les Amours (joue, puis chaulé) Gavottes en ré majeur et mineur (jouées et clianlées) Menuets, récit de l'Amour et Marche et H" [)° 10" 11° 12° à 8 9 à 10 à 26 57 à 29 à 31 32 à 34 3o à 38 à 38 à 43 'âo : 7" -i — ;30 : ; ... il 40 ACTE PREMIER 13° Air d'Aricie Temple sacré « : 14° Scène deuxième Vi" Duo 16° Marche en d'Aricie et Hippolyte 17" Chœur de 18" Premier 19° Deuxième sol » Aricie, Hippolyte : ; Tu règnes sur nos cœurs « Prêtresses « : air joué, ])uis air (eu sol 22° Dans ce paisible séjour chaulé par une Prêtresse mineur à trois : temps) 23° 24° 23° 26" 27» : > : : o3 oi à o6 à CO 61 à 63 S8 ) « Dieu d'amour . 64 grande Piètresse, avec chœur Scène quatrième les Précédents, Phèdre, (Euone Chœur « Dieux vengeurs, lancez le tunuerre Tonnerre (symphonie) Scène cinquième les précédents, Diane Scène sixième Phèdre, (l'hione Scène septième les mêmes, Arcas Scène huitième Phèdre. Œuoue : 46 47 à o7 20° Air de la 21° "..... majeur 44 à 6o à 68 69 à 7o 76 à 83 8i à 86 87 à 89 90 ; 91 à 92 : 93 à 96 ACTE SECOND Pages î»' Ealr'acte . tiD" Sccue première 30" Duo Air de Thésée Scène troisième iii" Airs infernaux 3)° Chœur 3G" 37" 38" 30" 4(1" 41° 42" . : à 104 lOo à 109 >' 110 Pour prix d'un projet téiuéraire Plutou et les Parques : 97 08 ConteuLe-loi d'une vicliiue « Thésée. Philon. les Parques : « : 33" . Thésée, Tisyphoue : (Lasse et ténor) SV Scène deuxième 0-2'' . ». à 114 llo a 117 . i[8 l\ 120 127 à 129 , « Pluton commande » Scène quatrième Thésée et Tisyphonc Trio des Parques « Du destin le vouloir suprême « Air de Thésée « Puisque Pluton est inflexihle Chœur « Non, Neptune aurait heau t'eutendre » Scène cinquième Mercure et les précédents Célèbre trio des Parques « Quelle soudaine horreur Scène sixième Thésée 130 : 138 >^ à 140 141 à 143 : 144 à 148 : : 133 136 à 137 : : à loi à 133 : 148 à lo7 " 138 : ACTE TROISIEME 43" Eutr'acte eu sol 4io Air de Phèdre majeur : 43" Scène deuxième 40" Scène tmisième 47o Duo : 139 a 160 « Cruelle mère des aniouis : Phèdre, Œnone les >4ill h « mêmes, Hippolyte (Phèdre, Hippolyte) « Ma 163 166 167 à 171 fureur va tout eutroprendie - . . . . 172 à 176 48° Suite et fin de la scène troisième 177 à 181 49° ISl 30» 31" o2" 33" 54° 33" 30" 37" 3S" 39" 60° Scène quatrième les mêmes, Thésée Scène cinquième Thésée, Hippolyte Scène sixième Thésée, Œnone Scène septième Thésée seul Scène huitième Marche (en sol majeur] Cha^ur « Que ce rivage retentisse » Premier et second air des Matelots Premier et second rigodons Couplets chantés par une Matelote Thésée (scène neuvième) Air de Thésée « Puissant maître des Ilots Frémissement des flots : 182 183 à 18 i : 183 : 186 : : : à 182 : • . . 187 à 205 206 à 207 208 200 210 à 212 " 213 à 210 à 213 218 . ACTE QUATRIEME Pages. 61" Enlr'acte (eu sol majeur) 62° Air d'Hippolyle 63° 64° 65° 66" 67° 68° 69° 70° 71° Ah 219 qu'uu jour k. Scène deuxieuie Aricie, Hippulyle Air d'Aricie « Dieux pourquoi séparer deux nœiirs Duo (Hippolyte, Aricie) « Nous allons nous jurer » Chœur de chasse « Faisons partout voler nos trails Deux airs de ballet (en rê majeur) « Dieu des cœurs > Couplets d'une chasseresse Deux menuets (ré majeur et ni mineur) Bruit de mer et veuts. Chœur en si hémol Scène quatrième Phèdre et le chœur « : faul-il ! • . . . . : : ! > : : 220 à 222 223 à 22o 226 à 227 230 à 233 23() à „ 243 à 242 244 247 à 248 : 249 — à 2o0 2ol à 2o8 2o9 à 264 : ACTE CINQUIÈME 72'J Entr'acte (en sol mineur) 26o Scène première Air de Thésée « Grands dieux 74° Scène deuxième Neptune, Thésée 75° Scène troisième k Où suis-je ? Air d'Aricie 73° : : ! de quels remords < : : 76° Chœur de bergers et 288 à 289 290 à 291 292 à 299 : : : 268 281 à 287 >. : 78° à 27o à 280 » de bergères Diane « Peuples toujours soumis Scène sixième Diane. Aricie 79° Scène septième Diane, Aricie, Hippolyte 80° Marche et chœur « Chantons sur la musette 81° Air de Diane « Bergers, tous allez voir « 82° Chœur « Que tout soit heureux « 83° Chaconne en lu mineur 84° Ariette de soprano « Rossignols amoureux » 85° Deux gavottes et /(/ majeur en en la miueui86° Fin de la dci-nière scène 77° Air de 266 269 à 274 : 300 à 303 » 304 à 306 307 à 312 313 à 316 317 à 320 : : : I.IIPRMBRIE CHAIX, 20, RDK BERGERE, PRES DU DOULEV.IRD .MONTMARTRE 321 322 — 253*6-1. à 324 Jmp . Y^u.'Si, / Tfodier 06 Pgris HIPPOLYTE ET ARÏCIE TRAGÉDIE LYRIQIE. Paroles de r.mé Musique de (1733) PELLEGRIN 1663 — J. 1745. Ph RAMEAU — 1683 1764. PROIOCilE. Le Théâtre représente la foret d" Erymanle. OIVERTURE. PIANO. ,( W^^ ^-(f-"r-i^ m ^ m^^ êî^làfe Ss S: tH ^ i + .+ Paris; T. MICHAELIS, 45 a 47, Hue de M..uh, ug. . ^^ ^ ^ — Plus t>0 I r^ ^^ vite. ^P^i -rm ^xssz ^-h ï Ê ià^- ÉëJ J'jj^jiiJJ I i^.M^-jFH^ 9^ 1,-t^-M ^^ r? pî p i ^^ É :±£ ^m mm ^tFH tî^ ^ « g?£j-j^jlj fg^s^^ "^ ^ tt^î^m ë —p-F^ -i ^P ^^m. i=i^ + w ^^ #-(» ^^^ m- g y* *-»-* ^^ • • • -# s s^ pp #^^=i^ iP i ^s ï ^ ' . Èm f'-fr- m » * • ^^ g^^s #^-^ -'^ P^^ É^ gi^ ^ F~¥^g T. M m i ^ft^ • -m TXT" zaz ^^ i ^^J±Hr^^^^ 3 ' p ^ i m » P f m B ^ <-= ^ _±_ E£ t!rt'— > P- 4# r r j ^^ ^ y-y-p ^ J JtJ a ^f^^ 0- ^^ ^ ^ 5i -xr --t ?=y ? iiEEEÊ ê 4 ^ P I'' ^ ^ p É toif ^j?3 p ¥^^^^=ii ^ ^^ I y^=ëa/LL£^ ( M- pT- p ^ m^ ;xî_ ^ nr: — PROLOG€E. CHŒLR DES WYMPHES. Scène f* SOPKAM. CONTRALTI. gh ^ /^" ^ ^^ :, DIANE, Nymphes 1^ J-, Ac _ coLi tt de Diane. ^^^^-^^^L^J _ rez ha_ bi_tauts dts bois- i^^^^^^ X LC _ ha rez COU _ bitanls des ^ PIANO. ^^rrt-T- éMz ^=^ £ # ^^^H^^^f^f^^gl ^ Ac_cou _ rez_ Ac_cou _ rez_ ^>-^ ^ bois__ f ^^ # ^ #^^^ #---:fc ^P=M-^ :e . W ^ ^^-t^^ ^^^ ^ *'\+fj ha_bitiiits des bois Rendez hom mage a vo_tre ha_bitants des bois Rendez hom_maj;e a vo_tre _ Rei ^ ne: ^ =t^ p^^^^^ Rei ne; ^ T. 31 * N J- t ^ ^^ m^p^ ^^ Qu'il e>t duiix, i ^;^ :±=^kz ^?: qu'il est ^^ ^t IS ^Ep3p;f _ la Mi ^ V y ' Ijle soii_ve _ r.ii _ lue sou_ve _ r.ii li,i_ i«= De cette ni — ( ^^ ne _ _ Ac_eou _ ne # bi_tants des . COU ^^ ^ m^^ '+ ' _ 0- ac_c<ju hois, E^^ X m^ cjiï= lois u^^— AC ^ cette. li. zzï; ^^^^T^ rez De —^^^S:^^ ^ douxd't'tre suusies i> luis =±_ i iiiii les ^pS ::f^ /y^.g—-^ _ -f» i^ ^E^^ 1^^^ douxd'èfrr nou> «ju'il est ^ rez h _ rez ^E^E3 ha_bi_tant,s des ^^^ È^5 è ha- bi-l uiln des # P bois. ac- cou _ ^^^ m^^ — -g J^ r Ifet r Ren _dez 1)01 5=^5 hoiii _ ^^ ma te a - ^ ^ «: . ha_l)ilants des T'^m bois, ne, _ ac _ cou ^HvW^^ at^S l ha _ bi _tants des rez jt :+ ^J ^^ M=H^ rez pi? y ^ g^'^T^^^^ t i^ Rtcl vo _ tre ac _ cou _ bois f t J i^ ^ ha _f)i_tants des rez ^^ M- F bois. Rendez f=rf=M^ honi-ma_gea vo_lre =^ ^ ^Cc Rei ^ ^S^ t^- Rendez honi_ma ge a Rei vo -tre ^ iS^ ^ W^ ^ 1» (^u'il ^ ^^ est f^ ne. (^u'il ^ — ¥m ne. i » est r-^ ^ ^^^ f^ :^ doux d être sous £ les t ?s^=¥ doux d être sous les ( hs=^- ^ ^ m » T. » . + ffep^^f^^g^j^^EJ^JH^^^ y/;« Do loi^ cette ai _ m.i _ hie sou_\e n 4.-^v^>4v T' M 0' ' * Do lois cette ai _ in.i _ ble É ^(•_«ou. <l ij ^ : r^i É=^ "^ 1 m * I sou_\e _ Wf^^ wm =^ r,ii M^^4=^- ^ ^ :a Ér-g- - m /^ «u P F r r P i f TrP 41 ff A g-p p I r ha_bi_tants des bois, rez^ f^^f^ Rendez hom É^ g^ —nr- J ;? Ac_coii _ rei_ b,i_bi_tants des J ^PPP ^S sa; ^ t # ma _ i _ >o _ tre _ ::(• ^ ne. m ^ vo _ tre Rei _ On'il ê e>t doux 4v=t; Oiul ne. Iêî^S; É Rendez bom m. ^=N^^ a <i m i^ R ei ^ m. ^^-^-^=^ y" ma e bois. 5=£^5 -^j :cT::f=ï —w^^mm ge à —ji^— '^ • -3 iS= .-1 i jâ~.-wL ^ # ^,^Efe^ f|^^^j^--g=% l d è_ire sous les ( cette ai_ ma :?=:ff t=- _ ble sou_ve _ ne. r,) ^^^î^^^^ m^ PP^ doux De lois |t=ft d'è-tre sous les De lois cette ai _ ma — É*i #-=- Ê^-fc^ ^^^ m J IF =^i^ ^ii ife Qu'il est d'è _ tre sous les doux. "r= lois -0^ • ^^^^4^^g^^^^P^^^^^=^^ » ^iT a Vi ne _ ble sou_\e _ rai Ê=i^ ^=:4t De cette ai #S^^^^=^^ ' ' l }u''il tm^^ est B doux d^è_ tre sous f^' les Lr rJ - lois De P^ ^^ i ..^4^+ 9 _ ma _ l)le — « E sou _ ve _ ne. r,ii ^m^^^ m 'tm N^- _ ma _ ble cette ai sOU _ ve _ rai ne. .( ^E^ r^^^^^5 ^^^ p^ T. M ElîTREE DES HABITANTS DE LA FOKE T ^ PIANO ^^^ m a m iï*î5F-S . ^^ ^ ^m mm ^ f^^^^^ i^i^=#=£ g¥ £= m- i =É ^ËPP i f^r^T^ ^P #^ ^^ ?^ p^ ^ ^E ^ y-^ ^ ^ E ^EfEâ ^ ^ ?!• ^ ^sjEf: É P^ ~o- 31; lu ^ ^s ^=i*» ^^ ^ =r- I 1 ! é é ë p f- * • Sp ^^ ta-- ^^ £â 4- ^ P "^ 'iu *^' 3 "xr ^^ ^ ^ É ^^ :»*î£-± P iW Pl :& -^-' P tt (£ J J ^ -^p^ 9 !eÊ tSB g ^ «=:^ ^ f=^ ES ^ i^ ^F=?*= -j ^ .Es* P 3SE;3E iëE i^^ Efe' m ^m # k ^^>s P roi ~cr- ^ -=t- #=F #^ i £-£f£=p^ 1^ — -I i t — —O ~i ^ I r .JX. -o- * H i DIVNE. 35s ^ 1¥=W « X — Sur #i^s^ PIANO. m^^ê ;inl: nés I É^ je _ ^ne net_ ^ P^ # p fais ré P^Î=^T^ la p^ ^—TT ^t ^ paix^ ^ Qu'el_le ^fe^ ^l^^lp r- lui 9. _ £=3Lfa ^ ^^ lfc^>^^ t» for _ lu l)urd> F1-. ^^m ° ces ks,ya'i;lle gi#^ #^ ver_sf siir ^ t2 ÉM vous + ^^ ïï «les I dou _ e ct'ur», nel _ tei 1^h^-€mfê mm i1^^^ dê= i^g^^i^=^ Vkus ne l.i per _ drez ja tj^ #^4^=^^^^=^ SEEE _ mais si ##^ :4ï W^ vous m'è i E E tes tou_joui\s f-» > Jl i I m rtis, si Vous m'è _ tes tou -jours fi _ de ^ ^#N=t^fa (•xc) mé -ê-^- li -L-LJ'r Jl-A- /g _ ^^=.=.ÔS=Q I -^ a # • • : ^ ^ 13 5S^ p- I vous Si les; Iv-J^l J ^' r p p m'êtes tou -jours i ii _ -v^ _ les. _ _ ^^ ^ iî=^~ de >- ^ m DIANE. ^^-y 7 - £^^^^ Vous pr_^, è _ tes (! dans ces F-^4,^J^f mêmes ^ t P ?ipi lieu\,Ou sur un monstre fu_ri ^ tz»__i3L s= ^ s *=f= s^ #-^ eux _ ^ ^ ^ ( SsEf; Un fiU ^^s^^^^^ dle Ju _ pi _ ter ^ la vi< ^ i? 7 ^^ E Ï ^ £ un _ toi _ re, ]>Iais É^ P¥^ r-=^"^^=tTy rem_por_t por_ta W^'^' ^ ^-=1^ mous _tre ^ plus ^i=S * fier £ Ej le soumit a •^ ^ 5 f ï :3E son « .14 i m^ :xi: ^^^s^^ Duplus grand tour; m wm des he _ ros vous ef_fa_cez ^^ s ? 7 ,^ ^ rloi *==i* xr re, Quand t3 f= 3SI :£ _ la vous )us _ tri oni _ K • f «6 h 1^ de phez l'A ^ *. mour. m zssz ^ 4 -a ï^ SE DIANE. ? Quels r —j m riz ^ ^ f=^f=^ feEi^E* ^ ^' doux con _ certs it se font 1 en — — p j 15 CHCEl'R. DIANE. ^^^^^^m ^M^^-^^^^^J^ ^ ten Que dre? _ ^ pour nus cccui's ils ont (Basses) ï t at=*i caurs nos ont ils d'.<p _ l^z* i^ 4t=r±: je? vois # » # -• £=L^Ed^ ê ^ ±_-=ni ^ l'A c'est _ \e niour! t mes sui _ vez nez, a M EteÊ # ^Ita: P pas^ (< Ce n'est qu'en le luy _ ant ^ P¥^ 3x: )ç c «* - t'en _ r Mais ^^ —— M>hr-^ r^Hî ^ ^ \ 1 dre. «jue — —— — — —s que vous l'on y R V fuy _ — — f, o •1 peut ^ <) s'en dé — ' ^ ez l —15 - " ^^ =K «=ê iP^t=js=^ "X5- 1 ^ g fe M 1 _ p^^£E^ p -nr S -^ r- ^ ( P l^-ft p,i S "o ^^ Qut p,i i^à ?^-i Que pour d'ap _ en •r &f _ te _ t» ^ 7 Q IB_ — 16 i^ -ment (cHoliLR.) K—^—U jfe^^^ J* t£=l- B. ^ Ê £ Nous ta _ chons de vous suivre ÉËË^ ^^tf-r Nous ta _ est "^ ^fcS M H^ r pos_ _ si Ijle^ P^ ^ j / chons de vous suivre au _ tant qu'il est pos _ si _ SE ble-. ^ I ^Œ '» J Mais J^ J'^ ^ t- peut -on s'em_pè _ cher i ^j2jt i y ble. Ouand on i^? -voir M s'eni_pè r-J _ ^^ un ca'ur sen ^ I- cher d a r f^s-^^^ uncoeursen- è P^^^g^ EEÈ ^ r ^ u r ^ voir d'à f-4-P Mais peut-on ^ ^^ tt P^^^ é -jàz S /] {-^ au _ tant qu'il qu.md on voit, ? si Eé 2i=fc _ hle, fefe quand on voit un Dieu ^-^^f voit un ^ É^ Dieu si char. m >i È char- 17 ^^ DIANE. h nunt V -t=^==^^ f'^^-T Ah! que vous luy _ ez le It riE _ nient. mant _ ^ p Ps *» i ^ (CHŒXJK. ^ s. J^ J' P^ peut-on s'eni_pè Ah! _ cher P^ ^^ ^ i T~ LX-L-/ _ ^ da cher J: r ^ ^g^ 4m=Mes;^^ si - ble, ^Uund on ^ w^^m^M un u^ur sen » i i E peut -on s'em_pê ih! p un coeur sen. voir d'à s V É^ :i ^3^ f _ si ê r^rr'r^ E qiwnd on voit, I M • r ^ Tr _ ble voit ^=F^ quand on voit ^ r^^ p un Dieu si char_ niant. -m-p- È un Dieu si char _ S ni.int. fe^ 18 Scène i¥ ^: DIAISE, L'AMOUK, ^ l'AMOI de Diane Suiti IWi. Uir.ne.) y y etdeTAmour. ^^m ^^^ Au doux pen_ch,int qui ÎS^ en. les i r^ ^ g^â^ Ê DIANE. - —_ ^ 1 tr.tî _ lU' p. f Ne prétends f=^-^^H^•^vt-"^i^ pas I es Des lieux ou cher. rir _ r.i ^*- ^^ 4-'^--fr^ mande est- ce d toi d^ap_pro ^ 4 | f a M -r^=f=^-M4-^-^f^^-,^ ^ ^ëà # 9--g S ^ ^f^ _ cher, _ Va, fuis, ton seul as ^ ±: (f I r E ^ L AMOl m pect vient re-dou_bler ma liai lE "^^ H. ^ i=f=M t-O _ coni. je ^=à E5 ^ :3; ^ :E ^ j2. ^ _ ne Pour ^ # 19 r» f _ quoi J P ff nu' J^ bannir in: dv ers Quoi! lieux, s m t=i= FI: P§ ^ t * £ * -* num f * En <* Ier_ re el l,t lo; 4-. â^ ^lEtf£=^ ^=* (sir) jfe^^ T ( * PP^ ^^^ a ) A -muur JE^J^^^ ter_ re É r r p'f r r » À± ^ et un e _ ^ P~ datant honi 0- _c» _ ma _ f:e, ^2 Le» En # mm i=i Tout Cieux les r LiJ =^ PPe^+^-^^ 1!=ff: Cieux, lout doit rendre #- • p^pp doit ren_dre à 1 a ^Ëê -T .jS. LinU. i? '^^—^' F mour m I ^ d _ ters, - ni _ ru r * ^c? Les ^^ U-_u r ^^^ p.ii v.i>._ ^ ÎS — ^5 _ vei> n'<'Nl_il pas ce un t- — -p p -^ cla -tant hoi É ^i 3 r ma louldoit ê J>o ^+_ IV-p-t m^ -0- w^ LcHt. • # ^^ —— 20 s dre leil .\ + 1 A 111 . r^^^f^ o « # ou r un e 32. cla_tant é^ ^=^^ É ^ É r^-^=W^^-^ 1 +^ îtILtf: hoiii _ IJIXNE. - En ma ^ ÊEEE^ i ëg . M lu_ni irré _ vers. I *: v,±_ ^ ^ êE^ il—f^^ ^^-^=M^ \l,iis Ion chiii_nc k re.s_pec_te l' ct^ ou bois ^ ^ je i^ mon em tiens j^ j If p-^ pi _ _ . n non,_ re, f7 # • E r les eu urs '7 p f' que I)i _ nne È —r-^HH^ T ins _ pi _ ne re por_te ^^^—^^^^^ ^ f 3^ X y ^ P ^fc^^ rrr-TTTT y^^=f=Y^t ront ja_ mais m PE te» 1ers; uon,_ ^g-^g- 11" ^^ ^ -^e X- les coeurs que Di-.ane ^^ J É ins n ^^ _ 21 7: ^^^ N ¥ •m Ne pi _ re C J (^ por_te _ roiii J^ y j,i_ni,iis ^mî. P^ Ne pur _ te _ rniit i^ t'VMOUR. F=g^a ]<t_ui,u> ti >uLii _ fri i :t Non, iers,. > g=g o p==p=p ne non, l)i- :*ne in^ ^^ î ^ ^ rv. cuurs que ^ë=gPq »a^ Ci f "^j^ PE^^ Je» leis:, * m =j PE _ pi _ re ^^^m^=^ tes p ' > I -y ^ ^ _ pas r.ii ^ ^ ë non. iu Ils • 4 non. je é _ ' ne -^ — :3c= #- soûl _ fri _ r.«i =§= P ^ * D. Tf f^i.-^f-^-^|;=lJ|^ l'A. g,<r ï _ dent leur in _ dit _ te _ ren ^^ J' uPils per -çy- -fr^ non ce _ dent J' leurs P^ J'^ in _ dii - fé — — ^ 22 f -(^-+ - IX Çi non, D. ^^ "fe" r je ne . ^ —^-F^F^ T V r souf_lri _rai / - ren - i0 r —w • w ¥==P^ --i ne souf-tri Je non, pas, ^^^^ é ^ ce _ • • non. non non, ^ non, Je ne ^ soui_lri _r,ii ^ 1^ _ rai m b 'm * — É r<v. pas u (' fï=^--^ * # -#^ gar _ tient qu'ils 8 <i- r leur in _ dif_ ren i'é t g pas qu'ils per _ dent P F leur w ( ^:g p n'est &~ cr m C* r^^ que sous ma nun, -3 cej non, ce ^ ï puis_ p^r^p^ san_ce ce — P ^ # qu'on peut trou. qu^on peut trou _ ver, ^^ t _ non, ce P ren - P m I ce; P in _ dit _ fé r-fi ir _ .+ . Ir l'A.. "^ r ' n'est que sous ^9 i ma puis =^ _ san _ ce ë qu'on :fe ë - peiil trbu_ ^— '2Z "É "r r de ver i¥ p vrais ap vrais non. pa _ ^ de ver _ É P ^ ap pas; _ ce ^^?^ P non, ce n'est que ^^=i ^ y tt I» n'est D. 1^ san _ f ^ » ma que sous r r P ce qu'on peut * * (» t^-^-TH^^^ puis _ san _ ce M qu'on peut trou _ r qu'on peut Irou _ver ^ vrais ap ^^^ ? -^ # — 1/ non, non,. je (• I» k k / ^ ne souf_Jri_rai f4L^.-0 _ pas, w^ non, th=^ 0~ 3K 2 te f non, — je ne soul_tri_rai ra^"^ É non. "i? de ap ip^ "cr TA. _p, é ë r trou _ vir # ^ de vrais £ x> pas; —i-^t ver i—:^ PE puis. ^ -d^ r l'A. ma sous Ê je '' «^ é ^ ne souf_tri_rai ^ 24 l'A m^ ^~+^ i» -p , pas qu'ils g:Hr _ i J pas denl Itur . JM> per _ dent leur qu'ils F! P in _ dif _ J^ fé ^ _ i ^f in_ dif _ le ren _ ce _ 3S: l'A r n'est que ce i^È=È que sous ma puis_ ¥^^^ r sous F'F^ san _ ce t3- E ÏSËp c7 * ^ 3: -w 5 iii te m— —j tp vrais. _ pas. .+ i :xc: 5È i^ =^^=3^f=^PF^ pas; ^ ap ^ _ver_ n. ^^^ de vrais qu'on peut trou- ver ï ^ qu'on peut trou- at==*=2=¥=ïm^. r l'A t^^-T nin puis _ san _ ce »5 pE ce M ^ i n'est ^ non, ^ non. D. _ et E^ J^ Ter ^ m en qu'on peut trou _ ver de vrais _c_*- ^ ^^ ^^:^ t^ ap M'_ ps Il 25 lAVOCAl ÏO\. W^ ^ Gravement. ï^i P ^^ d- è PP? ^F DUNE. i¥ Al bi _ _ • «I i _ rdin f^ ^^^^sfe du & ^ P É P* Se;=£e£ i^ ^^^^î^ T^^c: souve {r<' —"^ S Ciel de et ia ter- re, Dieu puis. ^ jx Si tti ^E -©- "O i 0- 1» tt^^PFTFFP^^^^^^ 3£ saut dont tiens je ^ jiuir. le ^ J- Pourras - tu «.uul_trir i E^K A. ^ ^ ? o nidur I ^S_ ^p^^ i^i^^^:*^ «jue ^ #• * =?^>=i^ ^^ ^^^^-'»'-3J^^^ fe Jusfju'.iux lieux ou je rc _ gne o ^à _ se por_ter ia El- i 7 (t W^^ r WEÂz - 3: EEÎ^. 26 D. î J $ *E guer_ re; ^ T' B=4=f C'est qui m'as don toi né _ 1 1 ni_pi _ r rets, Et if ?! p sou_te tu dois ^ É r- p =2ê ^ les S ^ ^ nir _ io ^^ ^ i)-9F=p re des 4i W ^^ ^ ^=i^ r^'-f-F^ p dons que tu f m'as faits. feËEÉ ESE f 6 4 5 -ga:i^^=J ( ^ On entend un bruit sourd de Tonnerre.) D. Mais P V ma voix \\-t dans Cieux le» P p p vient de se faire de _ des cen ^ F en D. ten - dre;, drci Tremble, superbe A - mour, Ju_pi_ter 1 K ^^ SE m ^ va _ dre. 27 DESCENTE DE JIPITER. Scène 3: JUPITER, DIANE, l'amour, suite ^ fct-r^^ pSEEg ^^m ^ 5ïdfc £^ JUPITER J. ^ ^>j j- r É C Diane) ^^^w^i' Di Hel^iane eldeTAniour. I _ 1 r a _ ne, r^ F J'é _ t.iis i^^js^ H^^^ dé prêt _ feii dre ^ tes |i&^^ ^ If: o ^ ^A^^^ - i ^-^ar p-t-r droits Contre ^^^ rc H -p---^- -f^-nrT unDieu pluspuis_sant que tousIesDieux en â 3t E^ seni _ ble^ Mais 28 ^ BgSfep^sf^^Ff^J^i^ îIXl^J^^=:t le Dos tin,soiis (jui tout ^JL E i^tt i^^EEBE o loi-i; m # ^- Il ne veiilp.ts qufloncon> ^ pi _ le ('on _tie _ le lE ^^î^ Et cceiirs-. M^ * justju'au tend rgr bois des tt Ê ou tu * f tiens ton em _ ^ ^ ^ ^^Fi"-^ s-^ î ias^;^rf^:;^= pi_ie, 11 É ^=^.-P=frf pré tend »{ue lA _ mour m 5;H^Fa ce ses traits vain. l.tn -G 6 4 5 P douxpenchant des W —G- ^^^ ^r- ( re ses rn^^W^^^^^^^^^^^^^^ -ML^ i _ I s^ Plâ ^mÈ de nous prescri trt'nible,Vienl S '1t^ DIA.!SE. Jl L'A.M()UR. PITEB. s ^^^teaë55piipyt);^-f.a=Lfe .Hueuis.(^)iielle É l ^^ hon_le! QueLle vie _ toi _ re! A.moutjpmirjouir de ta W S É lE T. «9. 29 P'A.-.p p Le Des-lin iloi_re. jour. tous Mais un ez e _ clai _ re. qu'un île ^m ma Vous, SE^: « ^ ï^^ îîrî=^ ^ _ ^MW4 Pi^ÏF t'.ic-tur _ ^^4 jour que l'hirnen m P ne nns lis ^ ^ ^ P-Lj^ ^z rrf' . t y ni d ses ^ ^ =t ^fe^ ^=i=t JE l f , ne lois. soy _ ez point con 3^; -« -«- p^ rr^ trai_re. P - ? ' JE JLi_f-^r En fa_veurde l'hi _ ^-^-p^-rrH • men s fa -tes gràee i à — l'A _ mour. tX É P •* ^ i^ r g 4 7 ICE -hi m 30 Scène DIANE, l'amour, suite -4: ^e niane et de l'Amour. DIANE. fi. f -H- ^--e-i^- aux ?^)iu_ phes, s *EÎ ^ ^gp^ m sort fe^ 1 t* % ^s — ?; '; is-se; _ i # (^ ¥^ P Je mets des ^ [Xf *4L "^ESl p que je téi ^ i; f" P ^fPI^EE^ d hui vos cuurs :n 11 SE - P ne dois pas, É ma a_bais_ser tant _ f a; P i fcî r z^ ^* -té it 1^ ?^^ Jus qu'a voir a— u E ne fier. 6 a 1 A ^ _ mour il h- ^ t * s J> , 1 lE pro ^ t î S ^ P^ fè _ te ^ 5t^ Si 7 ^^^ _ >=è=:^^da ^ 1'-^ pour -b er m S ^ afc^TT: D. ^ j'o _ bé - > ^£ f ^ ^ I» au jour _ =?iC ^ iS=t= faut ?^^^^ PP ^ , il tzzJOi: 2rzc « p r !du lois « f * S ^ 31 D. ^j^j, ^,^^^_^_^.i^^3g J^ H ip_ po _Iy_ _ pi _ ce. t ^ M^^ :M A_ ri :»].-•' ^^rir, :s _ M: ï ]i ;^ Ne M'que V dent fun P '^ moi sur ^ ^ leur der_ niere ^^ S M^=^r^ Con ce. s ^ es_pé S _ tie u P^^^^^^^HH-p ^ ler\_ce, m :5 :« lE #=^^ ran ^ i r _ nein_jus _ te P^ \i i— i* (.1 pé à S- i^i=t D. pu _ ses ^ ^S^ fcfc _ =fï= ^ D. ex ir ^ t J^ ^ cie _ I i:: PS^ ^ ^'i ^-" te, « C'est à moi; - » moi c'est a ^^^ Jt" ^ y de «I les > ii se-cou I I _ rir, =1: :iE ï 351 l y 32 -Scène lwnour, 5-. suit? .i, l'Amoi, ,» .i.- Di,ne. L'AMOUR. S f" - -t-ÎL ^ Peu i P r Di.i_ae, _ pies, s — ^'-t tii ^^ ÉÉ^ P ' lin, vuusli _ _ ma à pui» i =f^=r; îE 4 W^(^ vre ft ^^ ? « lîi: P feÉ=]£=^^^^^^-l^--Fp^ Il - ce. vuuspomuz Et ai _ mer au jrré de vos dé - 5-gJt EE h: I lE 4- 17 ^^^ SÈ^fe ^ ^ <^2-^ I I ^ 7 —^=^ vais par les plus doux plai ?^ ^ —r~ 1^ f^ j| _ sirs Vous con_so _ i t* -*-—#: _ 1er (le È >un f al) „ ¥=¥Sïs >en_ce. tf==t# î^ ( É 2^==: -5- -f— ÊS iï :i: ït*- — ^ 53 rA.MOCR. P^ gnez. _ ^^ ^ .+ fc3= li #=::& Siî i î %¥ I X ^m^ J^^ gnez dans !fX " ^^^^^ W^ j; -g-» - -niable ces ^-U lu _ rets, # W^t h&- Qu'a nos vœux paix, Rè i=to 5 — £ ^ em_nre.s_ses s vo _tre ^ i ii -^« •g 1 ^^ :zz tt: .-f sg:fej:£ ±B r^^f^= ^ ze _ le re _ pon ^8;;*= - y y ^^ m t^ Et ^M#^fH J^ ^ ¥E ï--S^^^^ i I vous ^^ ten _ dres A _ nipurs iipurs |r_Lj E^ ï T _ , TA. ^'^ ' -^ 'A. _ TA. pend • PP le f I : r7 ^S=fcr$ §p boiiluur f¥^ w E f pend Iebon_h(urdu mon L£-(^f4^ Dont dé traits. _ ^ rrtri 1 X y j: ;: TA ^ ^ s î ^ _ ^ pend le bonheur ?^ ^" *?J= f (lu 1 i^ssh r mon f-^-^=^ i é ;> »' m ^^ :^ Dont de '^ • 1 ^ SE trait-- u-^. ,JJ. . 5i^ 1 l^f^-MM du ^ Tt: — 5.V AIK E\ R01\DEAL. POLI! LES AMOUKS. (iracieusf'meiit. PJAM). Toui ^^ ^m ^^^ ^^ F1-. séïi r 5* i 3A ^ 1 . j M ^ l\epri-,o Ëi ^ i ffn-F^ ^ *^ W mm ^i #if Éi S^ ^ ,+ ^ rr rff ^^ ^ FI; ^ m ^ m ^ yo) m ^ ^ ' ^-1^ 1 ^ r i #4- i tr^ g^rf^ Ê ; !»* I» . -yI E£; r — ^^Ê^m é \*^ To U S . ^ =;^ i£î ÏS- i^V m J^ Jr_ ^^^ m - sr#— l{cpri>e ^^ 1 i"t^t- ishI=^ iséi Ê îq" i È ï *^ (Tous. &É^m T mi^m mm i ^ f^^^fe^^ i œ=S5 :S É^ a^é^ mm p^ ^ ^ i^ Èi V ^ + SI9. » 37 UN AMOUK (H*5 Cuntie) 1.% ^3lÉÉfei PLii sirs, _ S5 ic: «5 P^#T^ ar mes „ doux vain _c|ueurs qui à les 7 4 ^^ EÈ r<nd ^ 1 rr G tout ^i Ench^inez -g-tt- --^=^ s -5* 6 p ^ >:: < h G 7 5 5 « -e- 4 g^ÈE^ ê=É=i f ^^ ÊE^ coeurs; Plai ? F^^^^^^^^^^ sirs _ doux vain _queurs K,ss_ sem _ blez tous vo -f^^-C- f* f ;£ »"^ î!^ r :5 I ^M^-U: ^ 3?t charmes, Enehaiil» ^ i ^^ i i=i 'uê=mm tous z_ • 7 Pi p 1 — r4 4 <i ^^^ g^d^^--^ it_jt :«»; rj -y â 7 ^ les ^- •i* t' â coeurs. FIN. Pie fcL t±^^=^ _ (ez - moi ap vos 9 Ê y gnez, _ ^ ^.^A De pas \o_ ^ =^p? i'^t^*: -- ne cts_stz W^ ^—fr -1 m f Re pas, _ — m f ^^^^^^m ^^=M ne ler_ -.ur mes pas pa iM E^EE^ ggg^ ^^ aux t^ ^ ^ ^^^— qu'on sdu _ *. MHfV^^ r mon ^ lir eni _ pi _re. Qu'aussi «L ï *^- _ pi _ Lon le y soit heu _ reux On rtin(ii<1 r V i 1 f o r^ lpS' T P- 1. dt-s mut Fin. Aiiiniirs: FLaisiTS..'y\sK\\C.yv\ i t >;',' * ^3t ^ I ne -6- !^ 5 # I S 6 ^ ^^ tôt r F jcu^ D'emlxl H- * îfc± «-5 I"' aux Ris, c'est 'ÇTTg—f ?^ ati:=g f^y-r^Pf^t' C'est l J(S JS D.C. iia:e j7 :^ Cr\¥OTE. É^^^ ^ ^g; m^ +^ ^^^^ ^^^ ^ ^^ ^ =cc --^ Êî^ — p^ — ^ sy És at ^^ ^^=tt ^P^ W ^2 ^ Pif ^ S 1P== ^ m ^S CIKKIR So^): —• • A 1 A _ muLir rendez (B.is-fs.) g^vrT \ A gTtf^-J^-B-^TFi Dun ^f jr r ^^ ar_ine> les mour rendons 4 ^ s 7 scz_ T' jus _ qu'à mes jt JM.^^-^ ît=i= l.ir- iiies^ mes _ a 5Bi^ cne i mo_ments. tous nos lui ^ê ÊE^ P^^^g^pp=Fi _ ino _ nients. f ,tr_mes Doniiiui^ les m I^ n^ tous vus 1111 «z5: l'A _ ihi'_ _ nez P l,ir_mes; Ont des 1»—c 1»- I»-' ^EÉÉE^ _ ris _ sons ]us _ <ju',t ses lHr_mes-, ses a lar-nies;, _ £ des Ont i 3^?— yr; tt 6 i: f — I» fe^ -^ ^ £ char_mes; Tout ? est :^ doux f^^^^F^rTn^r ehat.mes^ Tout m ^ est s doux pour pour «=# 6 5 ^r p-r l'i #— \_! ^F^ les 1 ,i _ m. mis. ^F^^ f les a _ manis. s ??" La Svmplionie la ;: 1 2*: Gavole, Amour 1^ ( joue et lianli' ensuite allernaiive- -nn lit et la a\ee le rlneur Sympimnie. io a? VOTE Z*: j^s^skS;;^ê:^=^^^f3.^m^Ei^=i^f^H^ - La li. dil trKii_quillc' in _ ^^m _ \ La trao-quillf in dil _ i=^ ( 6 6 fé _ Ni rtn_cf _ IV' P^^ Na rtn_ce _ quo d ennuyeux p!ai_sirs. i*¥ s ^m ""^^^ pLi.sirs. arr* -ep- 6 6 que d enmiytux i:> 6 5 4 7 F=^, ^pEÊEEgEEJE£E3^^;EEE^ ^I,ii>quels biens I Amour ^^g^^^^ V Mais quels : se ~ m. Pour prix —• des dis_ pen _ se Pour prix des G <î i^ fiit naî- tre l'es — V 11 l'ait _ ^ iiaî_lreres _ pé f pé _ ran_ce Aus _ fti _ tôt que ï^^ les de_sirs. -S^ ^ ran_ce Aus si _ tôt que les de _ ^ 4) i h gf- ^ EEt^ 7 -«• ir—F 3^ Éîi^iii 4:# ^^ # ^ premiers sou -6^ si suu 1» ^¥f t^m e i E£ £=^4é^^^^ ^ Il premiers #-^ a- i ^^^g^ ^5=^^ IÊîr _ *" t.é^ ^^feEÊ .pirs:, peu :£ » -pirs; _ -m hiens lAnjour I^t=^ t^ fli> *; ^^is -tr ï sirs. 1. m^ PIAINO. MEM ET. 4i ^^. w :ëëê ^^ ^ ^^ f-* =ç i^ s « P» FI ï M^ ^ J. É EifM PS ^ a! :^»+p-. S 4- KIN. (9-—. :?^ ^ ME M ET. i PIAINO (5 Ëâ Eê tA ii^ î^i^W^V-r-^ S r y S; ^ ^^ PP Eé fe^ ifczS; f tr ^^m ^ m 0' i^ Ê ^É^i^ t^rs If 5 ^E^ ( *^ On reprend m 1. =^r^ Meniul.) B^^ i-pTi^ m f -7J le PPgfF :*== e-=- 42 L AMOUR. SE-^Em »-^-Hi-P-Mg^irnFp P,ir de nouveaux plai_»iis couronnons ce grand ^ÊS ir-M- r que faut il je vous r i F gui _ th ^ de-, p p A la ^^1 fê _ te a _ vec £ i ^ a j Hi s ^jiz^p men 1 fr ^m _ &9. Au temple de S t ^ jour^ Tf 7 sa. ^ ^ ^mm m moi -^ P ^ con_sens je (ju'il V pré \ _ m -^-^-f-Hri^ p ^ _ Que de^ son flambeau 6 gB^g E i^ -lunic aux ^t P # m^ ^5 f^=^^^= flam_mes de_ ^ l'A y _ mour ?H 6 ^7 5 93^^ f Q" î s'al- Que !£ h. son i' >. flam_beau j s'al J- ^ 3. J'^ ».ï>-y^- Que son flambeau B: 1^niotir;, f F ». 1 s'al _ r,% p- I ^ ^ It ^ ni' lume anxllam -6- -6- ^ e^fe f m es I^zt:: ir g p ri i aux i lam ^ ^ mes de l'A rf ga?^ •"8 » P ê rrrrnJ i PIMVOK r rfff | f r ^ 6 4 -f-^£- fei 6 4. » ^ ta* ^ i ^ 5 -o- 5 t^ — S mour. à MAKr.lIE. ^ _ ^^ mm j^^^ 3^ _ r^^ rr- ^ g S=F ? 3~ jr ^j P -^g — ^^ <? # m 9^' ^ f r ttr-' + ?^ï^ l r^ irSz + ê + + m Ê i ê èié f ".9" (On reprend l'' è FIN. U: w* ouverture, pour Entracte.) Fin du Prologxu i^4. ACTE Lt^ Théâtre représente un Temple de Diane;on y voit un autel dressé. Scène 1-. ARICIE PréliKlf, ïï I ^is è^ ( fcr^rri^ y "> ^F^r^ S f=rf ^ + f , f-J-fL nn^ i 3-~ I ^ g?i^ H IÉ Ê f â ^^ f ^a ^.g^; t*^ î â iM -1^- ^ * i ^ r ^m S FI: P^^^^^s^g ^^ ^^ œëâ i ï *T157~^7^ «j. «ji ->^i^ < ^.&À^à^ ^e-^ Tend^r'ëment. PIA^iO. ^ (<n cha.seiesse) m iw^ V? I :È I ^ v-^ p il ^ =p 45 ARiriE. •S" 4^: Teui jjle ' Pf=^=È sa _ cré. se ^ i^F^=^ ^ ij i?^ :s ^ P Di où —#^-7^ É^ :: v?' ^:^^ -f d hui _ re_ va P et- _\oir mes ? P ï •)•- i^^F:^ ^^ m Voeux; A mun ^^3 ^^ cw'ur a _ ^i ^^t^^ È mmw m _ té F1-. m l^^^ii ^ ^ dai _ ^'iie MT-vir 1^- • 1»- • d'à • î> Ê ii ï- ^ Con le _ Ire un a £f^=^ _ malheu trop moui\ 4 ÈÊ==m m •^^ --jL ^ #4=à^ >> lr<.n_quil_le, ^ ne rtujour ^;>-g, -jour s^ -^mm^ Fi. i X X W ^^ r 9~^ FIN | reux. ff ri 19 . <* 5'f r ^ çT + FIN N^ 1^ i^^ f 46 ^m f^y^-^^fVr~^prft=^ moi rap_pel_ ma ? Et loi dunt maigre X y y je ^ ^ P-^^ i #^^ Prin _ —7^ ce, y X mes y _ m ^ i jt rj vœux A. i ï 3: ^ ^ Du ferts. ïzz»£ Si fe ^ £ moms J ^z i _ 8 ff;i ^ X ^ ge. i. -jg fe--.L— ^ 1 f^ hom . ^ P P ^' ^^^ A la Dé -^ 1 _ es _ se que tu sers. -m r^- p Y- i ï ^ rt r3 J , J /j V ne. É te ±^ ^S ^ L^^ por ^£l?J: • ma iA ap f * ^^ 3 :s^ en of ^ M • #- 4—1 ^ sont pas te É: ê (i »¥ J -t-# ne J W f_ j E^f fcè ir Fh V.^' ^ si Cher ge, _ _ l'i É ; 2V ^lï le Temple sarre.. •^- Page 45 jusqu'au mot Fin f T. 1 7 Scène ^ i <: ABICIE,HIl'POLrrE. HJPPOLÏTE. n 4tz: Prin _ ces _ ^ quels se, np prêts _ t ^^ ^ p— I me lrap_pent dans ce «— S S AKICIE. . 1 I tein_ple? TV Di -tlnH^ ^^ "^ / 1 ne préside en ces _ a _ Lui con_sa_crermes lieux, W ^t=FF "T ^ P%H^ ^ UÏPPOLTTL'. Um^P^-Jl-A^jours, c'est sui _ vre votre e M xeni.ple. s f 4 p _ w s :>p p Non, w vous les im _ nio 3 T a 3 ^ lez, È^ P¥^ p'r p ces jours si * eux ^ Je _ xe _ eu _ te s du ^-o- W O f ^ r Roi ^î^ ^ ^ _ ci C3: 3E ^F3 M^^ f pre ARICIE. p la H » E ff ^-^ ^: vo_ Ion _ te su ^ P me, a prè _ a ^^: _ ' P I r he-sée, I 9 ^ H a JT son 48 ^ HIPPOLITK ^f=^=¥ .[fesE ces iiU fin^^^^ juui-i sont eux. o _ di vuu^ IMiii, ha E ^"t^n^^^^PB —rr 9 6 C5tl= 1 -ff ^____l ^ ARK - .b l'x^.j- ^ à ir, (juelle injustice ox t ^B^^EEE^ 1^ lE. |.,,^^^^p..|^-^w-^trft'°'^^^ ciel! 6 ±i P me? tre _ _ je ne suis point I ob. 3^S3 -5- WEÎE ^tr^- HIPPOLTfTK i tf r _ jet de ii votre i-ni _ nii - lié. me. _ ^^m « — i-i Quoi! ii I» ^^ u _ ne pi -^ ^^^^^^ ^ HIPPoLTTE. AR/( It. — ?• s gs 3»: ^ËËp ^^^ Je sens pour vous ^^ :fc -•il E^ P^jH^^^-^^ le fier Hippo _ ly _ te... Hé _ l.\si lasi Jfe quatre trop n'en ai que ^ ^ nr W^ T. i9 ^ ^^,.^_J^^^^^.,j_-p^=p=|;E ^ S ne m'tn re_pents je dit, JU::34=^ Mon rj, trou mes hle, _ a _vez d.iigne m'enlen 3 ^^ Œ 3: ¥ dre, \oas :si E t^ t pas, p^E^^ 4 i^ r^-^ sou _ pirs, r-f^p p malheurs, vos vus ap L i F^ ^î » 1^ ^ h 77 17 ^^^ ^^ ^ r f^ i ^^^ g-i^^^ ^^ fei^"->H^J^=^^f.^^^f cœur tropsensi pas tout vous annonce un _ =âA n-- i— 1* zut ^ s ^ 6 ARICIE. H.. 7 î j=#4 f=f=P=f A-^-(-^ Ah! dre. que ve_nezvous de ^ Lie et trop 7 irr-F: fc? ten ;:3S^^ a t 5 SÉ ^É m ap_ prendre? C'en ? g est fait W pour ja _ =3E ^^ ^ g^^^ ^ JE •-^ ^^ W ^ _ 7 ^ — mais ^=^ mon ^^ i re _ pos est per du: I 4 ^^ ^^ 50 AIR. \RICIE. » ^ Ptul tre votre in _dii ^ f ï ^^^ 3^ me _ fé V^^' Faurtit l #^ en e.>it ÎS ren_ du,M,iis votre a_ fait, pour S mon repos p p"^ë 6 6 J 4 5 W m f 4 est 6 6 g^g^ E port de ^ monà ^^ _ me s'em pa - ? S f 7 :±ê S f^ re! <' ^ a i^^ Ou_bli_ez vous qu'on nous w^m E -6r ^?i^te: _ I per_du. Quentends-jePQuel trans. A.RICIE. 1^ E É Z2=Z??ï HIPPOLTTE. ? BE ^ # mour m'en o-teTespé- ran ^ ja- mais 3 =^^F^ ^^É ou tôt JHrr-^ pP?^M^M^r^fr^ =j^ ^=^î ce;(' B ^ 5^ * "1 - ce ï ( r _ P -jJ^— ^•i{,, ren - -^^- ^^^ J^ t.ird p-r P \> ^^ ^^^ m «F S se _ É 3 *t S * pSg=^^^^:^,>pJ_ir^^L^iA^==a re; ^ ^ï Dans ce tem_ple -J ï fa _ tal quel sort ^ e ii ^ ^ se_ ra % e mien ; 51 A W^^ CI E I m ps ±± Hip_po ^ _ ly _ (c H_moii_roiix ^^ ;â ^^Pileê FTT ? P^^ W p^-'r- 5 ces , J^r p de De ^ tels la â^ ^m f mW ^:^i Kf _ e» _ se a Et F^=^ p Je ^=^ ^—i~ Pr PP F des au sen(i_rai \T=T ^ mon cœur rc _vo i J: w ^^^ é^rfnff^ ler_ m ^ «rrat vers son jti^è ^^-M?- . F^ ^ ^^^^^i t::^^ ^ £EEEl ê^^ Ê '^^^^tJl^- _ » se, «ffrf ^ ^ r^=a^Ti f / p r r cu_pe _ ra sans ^See^ I ma bien-. =*? i Si ^i- Jyj^^F « Et j'y I J • ^ .J' B ^^^^^^ tri ?; C mon hon_ heur rc_gret_te _ lai f*^ et y sien. le i a^ ^ i Éw rSrt 1^ - Iy_lo ^^ :^ ^^ -^^ T - f =t. 15=ê m'oc-cu_nf_ rasant peux iiiiou- ^É^ ,gf?ffn rtrf>J Q^-T" ' m *^^ Œ ï =22 È H^-f^ Hip_pu ^ is i ces , m M f F^j Et ^e, 9 - • P y ^ f> ^ je re_gret _te_ é ¥^ V S ( =/-^^- n t^ i ^M tfi—f- HIPPOLTTE. FS ^^^^f^^^r^^^tf~P 9 - mon bon r<ti _ heur et le sien. Je ^ ^' I- vous af_franchi J é'"^' ^" U/ i ^ A.R1CIE. I^ ^' 'J d rai p ii_ ne -r-H*^t^-HH^p r lui . j P^Ë^^ !^z^ j/;^ ^ _ /i "r ^ (fp r — « _ ve a ti sur ab_ ^ii^x-r^— ^— ^ c Oue F==P=1 4^ nous de sei -l r, #2 j /v -Ti^ ^ 1» r^^ s 1 »"" lus, so —— 6 S S / V des dr Oils cap s<i É -MJ g '^ «* Phe_dre le. 3E —=t—r-hi , a ^ el _ ^ ^^ t^^=^=^ 1 cru SI r^^ p p _ — ai -fl- 1 ,. — s-it aW— r HIPPOLTTE. ^, r' ^ s È^Pf mer. nous ig> ne nous ver_rons W ^3îl -t^ plus. ïIj ^^^^=r=f^ U T)i te _ l> ï ge ^ ^ g^ ^^W^^^fH^^^-p^ .a u_ ne ilam J _ J me si bel_ ^Œ le. u _ nellammesi »f ^ ^P 6 7 P^ "^ 19. J -5- ^ "XT" ne! pro — ^ l'^^^^^^^ _ T t 7 a É=^: '* W^, t^ _ -r » ^ bel 2^^ 6 4 jCE 54 DUO. ^^ ARICIE. Tu re - Tu ^ cœurs, nos d.tns to_ comme dans nos fo —«7!^ 6 5 _Q_ 31] P -ife 5fo= f rets;Pourcom_b,it_ tre l'.i _ r rt^? r rets;Pour com-bat _ tre i comme 7 ^1° ^ ^ _ W rr-f-^tT Ê re _ gnessur nos n^ il t=oz i«^ W :xx: le. PIANO. f—1» gnessur nos coeurs, ±^ HIPPOLTTE i l'a mour mour nous prè _ i tu nous prè _ tes des ifcat ar_ mes, tes des tu nous ê fTt ^ ^ TJ- 8S ^ tu 35= _ ^m^ ?:=:::^z ar_ mes, tu nous ^§^ 7 » _Ct- ^^=^"^ ^ f-^^-^ M prè tes _ - « pre tes t=-. I -w-^ 9 5 des ar P is^ des m -tf 6 mes —cr E^.l mes ar Mais J. quand J^ la ver _ =S^ 6 4 3ï= zssi ^ f tu 19. ss ^ w^ en vient lan.cer m- même maisquandla ver_tu -7^ w^ Pr me é^~* - G me _ — ^« o'^ I y —P f^ a P tD= * ""l 1 I - jqî#=# Uc ^ ) 31ais quand la ver_tu n\è _ ttp — p p è ^ cer_ les l'-Y^-f niè _ me en r iŒ ^ ^ "XT" traits, cer^ en (d&— vient lan _ p » » ^ 5^^ — =-^ =^ r^ vient lan - pr P Mais quand laver_tu char_mes har_mes? « CSÏ= ^ en vient lan- r f ses a me M ^§r P d. é^fé fJ char_mes? ses £S=f2 fi peutré_sis_ ^ PP _ ter £ 31; + ter £ u P— f> P-^ r-i9 traits,(^ui =8: gng tt — — les ?^ f' trHits,Qui peut ré_ sis. les P m r'-^ r en vient lan _ cer_ ^^ o cer. fe^ les #3 traits, ^ en vient lan 56 ^^^=:l .0 p I ]i= l ^ en vient Lui les traits, -« i^ p. 0~m~^ :t=: #-"-=^ ll> _ cer_ Ie< g ^ a^H^^^^tm cer. envtentlan. les traits, ïr- Éi fiJF= ^ -o- =e= j (sir) 6 g^ /•, 7^ 5 IDE O w g^ 311 ¥^^^ Qui peut ré_ tr,ut>; ^^^^ cer sis _ ter a chnr ^^^È î:^ traits;Qui peut re_sis - ter les ses a ses char Lent. Pi nies. ^^ Qui peut ré_ Lent. -S=t mes. '-=tdr f=f=P^-h"-^r-T 1» si-- _ ter ,( ses —( Qui peut re_ >s? mes char e=a= ^ sis _ t( r ses -o- -o- char me s? a o 4-S- î o Lent. ( P o (. 7 =^ MARCHE. scène «$. hippoltte, aricie.l,! _ oi,n.df p,èt.e^^. V.'" et FI ÉÉÊÉ a ~à ^^±, o (iracieusernent. ^i^ a y r ^a I I J«^ 7J o 0^ i=è î + ^ f^r ^ËÉ ~d^^i-é AiE^ ^^g m -«- *: ^ i,r.upe inupe de pi * gg^p ^te+ -P -o- ^ ^^ ^=^ti9 ^^ a^ . I ^^i^ o + . r r 1 d!=é ^m £: PK-LcsMi -i= f=F ^^ 3X: 35:: ^^-^- '-xw^ ^ ¥^ -£_ di,,,,,, + t _-t o ga^i^=^^^^ ^ r— ,). M u "S" i^ j ( î z^zzzi ^' A ». d <j ^ f=t — J 0^A ^ — P I i»_A ^ + ÊEÉ^^g iS^ È=S^ 3ig r-^ i? ?^ '+ -1 ^ r- o ^^ ^ w m Pig=É3 ^mSE P ^m — -+ 1^^ P^ ^^^ 4-- ^^P -o- 58 CHGEIR DE PRETRESSES. SOPRANOS fe " •_! » » *i I pal si _ _ ^ r , P , + # P- 2E^ t: Dhiis ce MEZZOS. • bk' se _ jour Re_gne ^ l'ai _ bit- ^ ^ Dans ce pai -si- ble ni# _ »é - jour é inno Rè <* CONTIiA.LTOS, ^=^J Dansée pai - ^ ^- 1^ _bl e si se _ Ï^ 3EÈ j PIANO. V?" et FI: ^ ce II _ Rè c e; gne lai- #;^^^1lPÉ '^^ ^j:r~j-' jour ^m ^9^^ Re _ _ - P i il 1 a-^ ^ \ m f^^w Q^ _ - _ ma _ gne ai- ma * _ ai _ ma • ' ! - I * P at ble inno_cen_ce; rjs J-"ij I ble inno-cence; Les ^ M-j :2t gne ^ f É ^^^^^^^ =f^ :e± _ è^ ï -<< 5^ é- ble inno-cen-ce; ^ ^ S" ^^ #^^ g=^ TTfT' r ^ que traits i X 59 lan X i ;c que traits * I Les c ^s l'a moui* sur _ p i^ lan _ ce l'a _ nous n'ont T~nr^rv • mour sur nous n'ont ± w ^m H- tp=i2° L^ i p San ^ ^ f iifJ^J ' _san I _ I l -a~. san —« ce. u • 5 ^£$ ^^^rhr^^-n-^ ^-^ M^-> «' • l .l _ce nousjouis- sons i^J' ~ s -zr _ sons a I a f 1 % 1 t iï É Des doux -mais. ^ Nous jou_is (» f :£ )ai\. F==rp ir^^ - sons ja - mais à Des doux iEzrt-fHTT"^^^r=i char _ mes de la paix, des doux J^- -s— ^^m i p^^^ la r 1» doux ^-ë~. la ja_mais. a E^ T-TT Des de ja_ mais Des doux char_ mes de ^ ^W rr^^M^ # _ 2° ^3=5 paix. Nous jou_is 1» pp ja_maisDes doux char mes 4-^J> * « I f m ' ^ ^^ _ce nousjouis _ sons a ce. 'i- ^ — É _ce nousjouis_ sons a ce. _ r >. de puis_ point iW . de puis_ point m 2ZZZZ de puîs_ point p^= ^ fV traits S • J I !a_ mour sur lan _ ce I que nous n'ont ^ ^' «^ p p Les ce _ - » s ^^ a fef^ ^^ char - -J mes^ I J f p p 60 Jn * *=r^ . m ^f-T^-p I char_ mes de la r p p char_mesde Ja P I de À fWY^ — ^rrff^fT^ m a Des doux ja_ mais. a ^ ^M : ^^ ja_mais, a t=t m "-^ P charmes de F I" ^^ — ^^^ la f lE f^^^^ charmes de P ^ paix. Nous jou_i:^ paix. Nous jou_is - sons la EEË charmes de * W "3- i "4 O char mes de _ P v r char =^2= i^ ip _ P de m ^m ,_A — la la ^^ ï ï rr paix, des la =p= paix, des r'Tr+i mes de ^ Des doux W: ^ les doux P paix. « char doux j» - mais Des à P * Ê '^fJ ^ ?j P^ fe ^-^^--^ j^^ Des doux ja _ mais Des a -i^=^^ ^ g Ê f^ _ sons r ^^^ ï é ^1 -f ^ ^ r if -^^-S- 5^=^ r ja _ mais w ^ F=FR s i ja- mais Des doux ja_ mai^.^ a r^^F paix. Nous jouJs- sons ^^ rv fa g^^P ï ife^ m itt ^ la i^ t —À- paix. Nous jouJs _ sons ^ fea: ^^ p * paix.NousjouJs-sons • r r r char_ mes doux ^ E^^*^ r î £3E ï g • de \ J' i"^^g^ la la iSL-^ paix. ^^ ^^f^i^ -^ la l4—^ -^M : "^ paix. ^ ^=^ char_mes de doux f g -^ char_mes de doux t^ paix, des '^ * f paix. 61 1/AIR. .( ^^^ f f^ -vt-;^f m êe=Ç é r=Pf ^ T i firnciensenit'nt et doux. gy^T=^ tmhiM i 3S3^ ^^ àss Y-0—m ^ tiJ^ iSî ^ ééM -Ef ^ ë^ É ê. f^±^ ff J2 i a ^W ^^ fei J^S ^^m ^Z*^ f 2- ^ PP^ ^ Tous fort. #^ i t* 33: g-. HE ï ^^ ^^m s ^ É î?3 ^ ^>- â: P?^ fi$ !i 1 ^ ^ E èï; ^^«U * 1^ 3 doux. I ' ^ îi* doux. É ^ ^ FI: (sic) ^^^ i wcr^ É*irt ^ ^ i ^m P¥ ^^ 1^ ?^ j i («2 ^ UNE PRETRESSE. ^^^ Dieu d'A ¥=^¥=^ _ mour poui ^^ |gf f-» nos a _ si -les Tes mens ne sont pas toui- _ pp -0m^^ ^ É=i ^^ Fh doux ^ ^3E t ^3 faitsi ^^^TT ï ^Vv m^ :S^ Tous les coeurs y Tes sont ti'an_quil_les. dt ( JTT-rr et _ fortssont EiE iW^^^S: ^ i ^ r pt nu i ^ ^ ï ^^ tl_l es non,nun, É3S5 èê P=e^Sê i t] tu n'en ^E^ Tit*-^ p non, non, 2zdr i f 5^ Pï ^ peux troubler Ù i É N L. , ^ TÏ la (^ ^^^^^^ ^=ÈP^ paix. Tes a - Inr. mes ont des charmes Pour qui + =F: ^ 1 P=f É=t ^^ P — r- -•C 63 g b man. J', lue de rai - »^ ff son nos à _ F^ flammes tes Re_con r^=^=f ^ 331 3x: ?=^fr^ ^-^^^-r^ PP^ _ naissent le mes De £ ^-^-^v- ?^ 1 'te IVI.iis N^^ m fi f- poi-son^ Va, fuis, perds lespe _ rance. Va fuis, loin de nos m^ ^^ :<t= :oeurs; i^rAr^ t ^-V i con_tre notre in-dif_lé _ (jueurs, ^ a ft p^^ _ ren_ce tu n'as point de fraits vain ^J :±JL PP "?r ^ k ^-Mt Con_trc — i*-« ^^g f f-f-f-^^^=J ren_ce _ ±=^ ; J =^^^ "g—f"^ notre indif_fe' ^ Tu n'as â— -j^-^g-^-f point de traits vainqueurs. ^ d T dzi ^rff =E =¥ ^ 6A a^ AIR (T„u,.) .^ Un peu gai. ^tE ÎF=g=f= P ii ^ K ^ F r tiS=^ ^ f m -fe 5" J ^—J i^^^-^ ^ ^ i=z: ^Bi?i^ m R^fe=#: i & -1» doux. ^ m « tf , ^ ^ Ti.uv. ^ — ei p r-1» I ^ s^ ^^^ =?2 ^ F1-. w ^ F fE^ Mé ^ lÉ ^^ T/vV; j ^ i m f- s s .^Eêiis ^ï^rf #=4F irw^ ^^m ¥~^-^^i il + ,+ m^ ^m ? ^ ips^ s ff P ^ ;t* FI-. ^ ^ ^P ^^ïp^ T. ]1 / 6S LA GRANDE PRETRESSE. Ren p^ un _ dons é _ ter _ 1^ ^ ~Tm r h om nel ma m ii M. Fit J _ se I^ a"^>.-__ i> =^ doux. m^ P^^^ ^ i ^ 19-^ ^ fe - di vi f _ ni qui te _ « <S^ re _ gne ^ nos »ur j ^J ( HŒtR EN Ren _ ^ 3 J J DtO. dons ^^ un é _ ^^^W^ nel ter hor nom ma _ g€ C«ntrriltos. S Ren _ dons :^.ft--y ii f h " é un ^ ê e è^i _ ter _ nel 3f^ P-^^ F^*P^ f ï r 66 tir^ A M p p la di_ — w^^ t^ _ VI _ ni p qui té _ ene ^^^^^ f A la ' i di_ ^ t C , vi _ ni sur cœurs. nos — S=3£^ "• — ^ I te qui r,^ C _ r I re ""^O gne sur nos r r r I cœurs. ttp i=F ^^ LA O't'' PRÊTRESSE. gs^ P Mais p pourme_ri I ter _ ^s^ -tTTT- j'' ^ j) ses fa PE ^^ r w tels -J- i iriri: I _tels Que des ^ cœurs sans -J ^^ ^ par ^ ta _ ge, m Wof J au m f=^ ^ ses au _ *=EË ^ cœurs. sans par - fc4M ta ^ ^ ^^ ' _ frons à -^^M-f^ r^T^'t? des ses ï m^'^m ^^ que a l i^ rj-^t-tr^-^-^ IW- ^ veurs, IN'of _ Irons ^ ^ mm t re I» J- f-# # ^ J ^ b7 ^4-.— p ^, m^ f^->-JM4 J' Mai^ poui- iné_ri ter _ ses la veurs,]N of _ frons _ #4^-^-;^J^-4^f^^ Mais pour nié- ^ _ ri ter w ses **-: ta veurs,]Nuf _ frons _ a ses au ses au #S a ^ -mL =*=ï LA G"!"" 4- PRÊTRESSE. M=S Mais pournie_ri _ ter ses '-^^ m I tels I v~ tefs ^=^ \ ). $ jÊ cu'urs sans par > > ^ des î _ veurs, • ta _ , ? N ot « ge à ses au - ^ m N of _ Irons i ses au 1^^ — IN of _ frons a ses au ^.r^rp^ p -à _ frons ^ ta_ ge coeurs sans par m w^. ta ^^ Que des Que g=^^^ =3^ i 'i- ii-r 68 .tels > /) ^^ feg^ m que cœurs sans des ^=^ tt ^S==P que des ^m ï que des tels tels par _ te f par- te N'of ge, N'of _ É; coeurs sans _ mm coeurs ge, sans * par _ ge, ta ^ N'of :^^ ^^ i i 5 i= r • _frons / S^ ^ f #—« r-» t à ^ ses M frons a ses au _ tels Mr au _ p^m frons a t ses tels que r que a au _ tels des ^^^^^^ P^ cœurs ge. _ ta ^ ^^^ des cœurs des par _ sans s i que par sans sans par ge- ta — ^ i±i» coeurs ^^ _ ta ë-^ _ ge. 919. scène 4! PHEDRE. Prin _ ces _ 3^ ^ i' im=^^^-ft ce grand se, par des nœuds e _ ter jour, i^ ^ J^Çïf=^ :£ * h ^ n :i i> bî) Les Précédein,PHEDRE,CEINOINE f ^ PHEDRE. ARICIE, AKICIE. * ^ous u_nir aux neIs,Y,i E £ i t iinmor_ ï i^ il tels Moi i -# Pour sui_vez. Je 3 g- ( 533 ^^ |^«-1^-^^ crains que ne ciel le é^^ ¥ con ^ (V -^J-^^^=jrF por_te auxpieds des saints au _ to ^ %7i ^ p ^ ne 1 homnia ge _ tels; ^^-j^^^-j^ discours? à Di ! ^ ARICIE s,in> re _ mords ('om_ment puis-je en ces ^ -o73 m j'ap m ^^ a _ ne! (^uels ^ que p p Quel coeur viens-je offrir ï tir PHEDKE. _ _ E 3 ^ ?; f^=J^"r dam _ -i5 Pfs ÉÊÊ^ 1 ^ :4ti: 70 CHŒXJK. ^=^f=^MFH--=^^r^^iEïèEE^ 9-W=' I lieux of_frir un cœurquel Ion cp g Non, non, pri _ nie. un cceurfor. (Contr) ïa ^ - ^ Ei5 w^-ar m INon, non, i W-t ce M' F pas di n'est _ Él^ i gne des un coeur sa _ cri _ ti _ ce,en esl un Le sa_cri _ fi _ ce, en est un fe^^=^5 *— ^ #• "N ce n'est pas d gne des Dieux, i^^^jEà^ a p^ *L r]o f PHEDRE. ^^m cri _ nie. (j)uoi! ^^ Ion A ^ o _ se K bra_ver m le m. su_pre i - _ nie. W^=^ ^ w (.):, S » E£ M lîft _^ en ^ ^^ 5^ M à ^ E nJ»--:^^ Dieux, Le for. _ me pou ^ H-H 71 CHŒUR. _ voir _ be _ is _ a «^=15^ aux sez ^—ë— i 5^5 y 5 ï -K^^^^ <^ -« *- « bé _ is _ sez Dieux ^- J' C'est Dieux aux C î:^ pre.mier de le ^ —— ï' S Ji- est i =^==^=te ^^—^t- pre_niier de le ^^^m^ ^E \ J ^r- . 0_ J W¥^ r ï=^ s m i _ PHEDRE c \> tM^fr~tt^ ^* '' ^' ' ^S ^rrp ^-' Et vo_tre pe_re Prince, vous soutirez<|u on ou_fra _ ge, _ voir ^-' et vo_tre X voir C b(^ t "i d P ^ ^^^ , â± ÏE 3^ HIPPOLTTE. r^r^ Roi. f^ Vous jL^-^-^p sa _ vez quel p resipect ^P^i^ Di _ a a -] i' P ne _ m'en Ém m^ p=^^' _ ga _ ge. ^ P <») :, P W y p Des . pp-^^f^^^^f-^-g ^ mes plus [vi\ _ dres ans je lui donji Il ni a ^^ ^ lE E l'i PHEDRE. H. ^"^"^^^ foi. ÉËÉ ^ Dieux! The _ en see, SEEf son ^^^^^^F^^ trou _ ve un su_jet fils re ï^ S -»- \ ^^ £ HIPPOLTTB Ê Fqr=|-^N.r 1 s^ doi s; / S Mais ne puis - je pour lui *> A /^ J 5 y ^ -r r tt^ P fa i r--^^ È U mon _ re é _ c -ter _,^ r» -» '' Ui- >>-L (r -a o "^^^ 1 1 ^ ^ le Ê Qu'en =^: 3^ l^t ou _ tra _ géant —^^ y V une un _ mor ^^m si 6 g ^ ï ï P 1^ E PHEDRE. M^J ^^ _ tel ^î ^ î^ ,,^^ J^^J^^c:^;;^^:^!^^;^!:^^,,^^,^.^ _ le. Laissez des =r«= dé_tours su_per if ^^^ _ ^ ^ flus; La ver- tu quel-que- ' — # ^^^P#^HIPPOLITE. PM. i^^ ^f^^^ sert fois ^3 \ ^ (if : pré _ fex_(o ^^ au cri _ me. Quel ^ F w PMinRE. cri _ine? Je n< la vie 2;: ^ ?^ ^n-^-r-^vous tou _che qui sais Efe &^ ou l'au-tel de £1^ t Jr de plus le -^ rp • i==# ±ï-: ? t i'^^t^^-^^^^H^ài^^^-f^^W HTPPOLYTE. _ _ li me. Du moins pard injus_(es ri - gueueurs Je ne i9=5 for_cer les ^ 3?I 1 ^ pas s.tis i- lOI îf PHKURE. 4* ^ *- ^ (^" P Je coeurs. I^ ^ ^^ feE?% :£^Ei vous en _ tends, he i^^H * 1» que la ^EZ _ bien! É ï tr()m_p<'t - T5: -e- :C f-r--^ ^^ P^^ gEÈ^ le i^v^^V^ son _ ne i *=î: tf =^ Que le si_gnal aifreux se don :É^*aÉ i t 4 fPg^^^ 7* l'H ^ p^ leTemple Et ' et I au _ £ r-t ^' ^ lel vont ^^^ tomber ma a Trem voix^ i -^1^^ -0-m—é 25 ^i^n 3X: -j'-^-m blez. Jii supre_voir * m r-é-w—g—é ^ y 00 • & ^m ^ • I _ le _ i 7 i t=ï » Pe _ ris _ se la — ^^^ ^^^^ vai _ ne puis ( _ san _ ce Qui F^^^~j=^^ s'é - \iulet ve P ^ CUï * con_tre j^-- ^ les Rois^ ^^^ Ipg _ ^* G 4 7 f^^^-v^rrni P r deso_bé_is la ^5^E* - é'¥ san _ ce. s ^^m «•I 4^ M i ^ ^ Trem tr. ^ _ — • # :: 1» ^S m ^ r=f^ M ean _ ce, Trem- blez Jrem_blez, ^ É T:rem _ ^ 75 H. . blez, re_tlou_tez ma =^=^Pz m ç ma vont tomber \ ^ ^ -&* ^^5 lel'emple voix, et le et _ (tl vont ^ t^-niple et l'au _ m ,iii I ^È=^ÈSi T~0- ^^ £E£EEE? tel Et ce. p ( É _ vhii _ jrertn m ^^^m ^ ^ f4^^^h^=M=-H"^^ m tomber ^ Trem_blez, Treni _blez su J'ai ^^m ^ ^^^ ^^^ de _ so _ be _ is t ^=^ \ _ ^^ san ( Pc ce; _ ^^ t^J:=J^^^È^ _san 5^5EE5 « ^^3^tt 0- _ ris _ se _ 6i^ \^m ce Oui s'e _ le _ ^g; _ p ?= _ ^ _ i jp I _ la MH i ^^^ vai_ne puis• • W ^^ ^^ "^m i ^ T^-^^^T^Y^ ^^ff—ff la pre _ m 'ià^^k^=^^ -voir nia Eî È^ voix; a r _ _ vc F f^ coii_lre les ^^^ Roi 76 Tronipetle • T*.:, u cj* 35.-^J^ • n ** P- S- ^ S. JS- Jt ^ jg. A Ll 1t^ cii(*:vR. (LA SOI'JiA.N<)S. G'!' lE^ a: PKKTRESSE — ^5EE5 • -• Pieux van Ch.nle.) f^^r^-HH rez _ geurs. i.m _ Dieux v,ui a; TENOKS. 1^ i^^ lUS-^Ks. ^^ 3E PIANO. ton ^^ 3E C()NJll,VLT()S, le •< iJbngL-iTai- a I" ^ ^ *•: S P^ r* 77 _ ner ^=Ë^:É^ T. Dieux B. V ui _ g.eurs l.iii_ ^ cez le r--=f-^F=iR ^ s- Dieux van Q ner ton _ reurs lan_ce/, ton tt # ?; il B=r=ffq *i ? * LA X i G'!'" pT=^-^n^|=^j;#-;^-Hr4 ^^ _cez, lan_cez le ton _ ner_re, lancez le ^ ton _ ner _re^ W^--^ ^EE^E^l±^:^I±-.^^^^^EE^ re, n iaTi _ cez lan _ cez le ton _ner_ re^ ^^m^^^^^ _ re, lan _ cez lan _ cez le PIIFTRF.SSE. y Lan .9, le Ion _ ner _ re; .cez 78 mJt± ^##f le yn ** ï f o 11 _ n f ^ Ihii ^^^ i re. p; _ p^ ^^=^:=:fc cez lrtn_cez le ton _ ner _ re. P^~ -^==^^^^^1 w m^^ ^ ^^ V^ ^ " _ cez lrtn_cez le ton _ ner re. an _ cez lan-cez le ton _ ner re. ^ £JL.jL_^ lati m cez zz: UM^p ^ÉEÉ l>^ tUi f- #- f; p^ ^ ^ 1» ÈÊ N lan cez _ lan_ cez ner le ton _ ^Ê #^£aI[J i le ton_ ner a Jt >— p I cez lan 4-5- ^^^ - l,(n_cez lan re •f f lan_cez le * P -- E 'j cez lan_cez _ =£=p 1-.^^-^— — lan :sHE _ . I » , I P ton _ n er ^^^-UUUl^M^ lan cez lan_cez _ F 7 P" le ton _ ner s Ëp le f ton _ ner 1? i f I ^ lan f _ re. _ cez lan_cez le ton _ ner _ cez -# ^ re,lan_cez ï^3^ re, lan J^^-^ re. lan é ^^^^^ re. lan . 79 r^ ^^ ^ ^^^^^ î^=r=H%_^ lan_ cez le ner_ ton _ i re, lan_cez r lin i^, _ _ ton ]an_cez le (on _ le (on cez £^ï • i cez lan _ cez fe i^p 1^ .ce z lan _ cez ner lan \ ton_ner_re, lan le S.1US la ('/. ' J4 _ U ner _ Pe re. ii'! _ (on =1 _ r!s_ sent les _ re. mor £ _ s. '^i^^±mà^^ j Je Prttiesse. |^-M-fH^^-^fJg=^ *5E=S* ner mm _ cez re. _ Trio _ é Ian_cez -^^-f^t^-4 cez _ cez_ _ ,in ^ ^ le W an yij cez, lan_cez ^¥=^ lan - cez _ .^.j.j Pe_ris- ï' ]^ j^ senties mi)r _ rH=rf a - tels qui vous li_vrent la i^-i^-i^>^Na telsqui vous li_vreiit la Con(raifo. ^fz^^r^r^,^— Ji é'' ^ V ')19. ner _ _ re I Pé _ ;, é- —-^— TJ^T^Hi^ry^ ^ P ë^ é' ris _ sent !<> ^> nior _ tels ^' wj * ^) qui vous li_vrent la n^ ^uer_ re; ~y~ t Fe Pe ris _ >t-nt _ le», /e>, Jc vou Ji_vrent qui vous riior_ tels ^ ES guer l;i f^=fFff^^^^^;^fcfc^3^=:^ guer_rei Pe _ ris _ senties mor_ tels mf^ qui vous li 1 _ vrenl la • é - gu^^i îf^^^n^Tf^^^ I?^ Pe i^^M^ — _ ris _ sent les -y^ p I Pe _ P VV mor_ mer 9-- Lan ? ^l i g^^^^^^^^ cez lan .cez -:lrr~^"T^ ^ Dieux van re. re. guer S^^ P- iï ^ rf _vrent la Af^ guer PRETRESSE. IH^ re. li -- È L,. G'^*' qui vous _ tels <=* ^^ï^=^ ^^ vous li_vrent la P^44_l_lr V ris _ senties tels qui -;es — J^ _ geurs lan _ cez le ton Ji^^^+J^^ ^-i^-^^ Dieux van.geurs lancez le ton _ ner_ re, Ian_cez le ton. mP re. ^ ^* ^ E^ f-r r ^ ^ 81 m^^^ ton _ ner le ^^5 — i — Dieuxvau x- -y re rr^'-tf^w lciM_ner _ geurs l,(n_cez le ^g^^^^^^^ J^-^-IH-^^^^ ner re, lan _ cez ^Hp i— » ner re, lan _ cez Lmcez [ i' lancez If Ion _ ner re, _ _ cez lanrez- le ton. cez lancez ?=s — •^ f-f le ton _ lan ner re, lan _ _ ^m ^^ f^^^-=j^^=^^'^^4M^à^:E^^=r^^^ lancez Dieux van_ geurslancez le ton _ ner re, lan _ _ cez le ton le ton. i m^^ p^p ga Ê ^ Smm. ^.^^"£f ï^ lan -ccz. ^ ^^ re^ ^g^ E ton _ le n.er ^^^Ë^^^^^^^^^ 1,1 cez n lan_cez le ton- ^=^7^^^^=^ ner _ re^ _ re-. ^^ - 9. - _ ce/. lan _ _ cez #^ « ner lan ner_ re: lan_cez le ton. ^p^^^PP lan-cez le ton_ --Ê=M=Mi lan W ^ 1 ÊEEè :ez lan_cez le ton_ 82 ^=m ^—y — Ln re-, ^ cez. _ - ner £ lan re. cez _ l izrzatI lan re. _ P ±=^ X ^^ _ ner (on _ le y ; ner Wi «nt J^ I cez _ (• p lan-cez > _ ner re. lan V _ re. iW t-» y i y ? I _ re, lan p cez p ^ - ner -P— lan _ cez ^ le Pc m ^ ner ^ V Pe re. re. ii^ ner - re. ^ ? ion. i'^ le ton. 7 ^ ton. le M-1 Ian_cez le tûn_ ner ton _ _ r ^ Pé ris p _ p sent les ^ nior h—^ t - le M P lan_cez ^ ^=rtT- re. p p P- -P_ zrt ner cez _ ^ ï ^ cez _ .|7 lan ê-t- ¥ J^ ^2 fe :Cp5c£: ner ^ X- -T J^ lan_cez é=ii %#^ p )» ris _ sent les mor _ ris _ sent les mor _ ^^ 3pS^SS t-^^r-TT _ ris _ sent les mor _ «" =ï; i X T y I lan re. qui vous _ tels li _ vrenf _ guer la P cez P "T' f ^i lan _ cez ton _ le ^ Pé re, m ^-^_-ji-g^^^ —a qui vous .tels li _ guer vrent la ¥é re, 4h^^h~r-^=i^ qui vous .(els li _ vrent la guer vrent la ^ guer ^ qui vous -tels r~P ; li _ F p ^ ^ i ner ^J^F-^ _ rjs _ sent r p P les mor i j. ris _ sent les i'. *EEè Pé re. Jl ^ f ^' P re, lan _ P jr cez le ËEËH Ton _ ner re. m _ tels qui vous n^ tels _ li _ JU' qui vous li _ vrent la > ^ vrent la guer — P ^p ris _ f p sent les _ g P • L I p mor #q^ ^ ^ 9. sent les _ tels <jui J^ i' tels vous i' qui vous f r li _ J^ li vrent la J^ _ ^ ^ "S guer re. _ _ _ ^^^f^g'-r^t-r^-r^-Hr mor _ ris _ i l^=ï= IP^^^i^-H=^ j> mor f: re, • al _ guer re. re Ji vrent la è ^S I guer _ J^J' re. 84 TOÎ%f?«EKRE, ^ -à i ^^^^ V^^a**#ïî«^ hh^ -<4:-3 — Ni J jjjg 1 1 • 5 * 5 « y -ê :i i :i ;^ ^ ir 9 3~ • • zfci: 1 ^ i «t ••- • , « -• .|-l * X-\ 1 1 • • J 1 «1 1 • T. 85 87 L\ prêtresse. g4'^ P^^ w No s y ^ r p cris sont mon _ jus _ tes —3 g f qu kux — y- -4^. 4'-» 4^^—" P y (^ ^=H4-7^:?=|^#j^^^ ' P La Cieux, P p Dc_es _ ±3 au_da_ci Tremblez des _ cend. se / Scène 5Î dune et lei * ' !T eux. _ W ^^^Tt "W^ SE^ ^. Préreilfn». i ^E ^ u 1^ ifc^ Prélude. iê f-^ ^ ii DI^^E. e: («ui. n ^^ ^n^-j-f^ Kt- p vous F r-n-^ I p -nj-z ^^^s PiètresMs) " Ne t ^ffi? fcB p P a_lrtr_mez ^ ^ ^ pas d'un pro_jet ^ te_me _ ê -t-7- X5Z ^T=g i^ #T-^^rf^^ï^^7^=^^^^^^^=ffj^ ma _ rai_re, Tran_quiLles coeurs qui vi_vez sous r~ ^ loi; "Vous voyez Ju_pi _ w * FP^^ ^^ ï 5 88 ï m^^^i=-1Hrir~t-ï^^ mon se ttr_ r#-t Pe rtr (Je_cl,« _ re, _ ^ ^^ ^S ^^ i ^ sa fou _ dre ^ °=Fr^f^ (i Phèd>e) EEÏ E^ E vo le p p I de_vant moi. Toi, * m: « fe Trena_ble, ^^:: ^^^ "^-^ J—^^J^ m Roi ne _ s.» _ cri _ ^^^jj^ m'ho_no P»ii^ses4ii ^ ?^*=^ _ rer par d injus _ tes ri _ ^ ^ ffcr«i i le_ge, f¥ ^ Qï Ç^ ^m^^^^^^È^^^^^^ » f» gueurs, Ap-prends «juc Di_.« ne pro _ te _ ^c la li_berlé ^^^ =t* Â-î .. 6 1^ ^ *S ^^^ ^ t ,1 Aricle: de:^ . ^ ) ¥^ cœur». iViÈ^E^ v)-^- El toi, ^^ ) tris;_ te vie . ti_nieà me ^ sui 9^ J^z£5£ ^ë;ï *S i^ vre fi _ ^ f 7 = EI«= - «i 89 °- ff*^Jt:ii^E^=^'-=P^ de _ _ le. ^ Fais toujours ex_pi ^^m f m rer _ nions _ 1res les sous les Èm «> w ^ ^ ^^ ^ ^ é- traits; 4 ^ r. ^ ^TnrfF^^J^^^T^^^ même r. On peut « servir Di - aiie ,«_vec le Dans son Temple ou zè _ le S t 6 5 SP î£ ^ -19- DIANE. AlUCIE r=^ dans # 0- ''sj'TT^'^'f^^^^^^^""^-^^^^^^ les De_es to _ rèls _ se par- don _ nez Yo _ tre ver_tu m'est HIPPOLTTE. * ^ f^f-f-frf-f De ^S g^ se par don nez nsr ^ :s ^^^^^ r-^=ë= M ¥^ ehe_ es -^s- o 7 19 ZCE re. Et c'est î p^^^^^^^:|zî=ima au cri_me seul que je dois ro _ le ^^ re. 90 Scène phedre, œnone. 6-. PHEDRE. ^^ i^ £E Quoi! Prélude. Ici terre et £ le ^^ -À ^ 311 6 iSEBES ÎP^ P^ M^ ^P^ p~i;—i"f' moi ccia_tre Ciel % i ar sont _ t p Mh mes ^ ri _ va _ m'e le r=t f 3 E#^^4^^=H^=^-^^-p^^ ir chap_pe; El _ ^5 le suit Hip-po _ ly _ te? Ah! plus leurs vois je É *=f w $ — 1» ^^ rii» p coeurs I rrnrrw^^^- -i ^ rs^ 'f ï gi ^ty'^^HrU^ Maison vient, 6 ^^^ s'ir_ri_te. -^-«- ^ 5 P^ÉE^ ^ f -s-^ w c'est ^ #—( ^—tn^ ^Ë^ Ar_cas Ciel! Quel trouble i X ,( "xy Ë tb S 5 mon jalouxtransport un pourlautre enflammes, Plus ^ë « ^ ^. ^ s \ » 5 s=iF i l'a _ Xr ^ gi -te? 91 scène 7*: Les mêmes, arcas. CËNONE. AHCAS. ^ r r ^ rj Ô O mal-heur! ^s^-;eE5E^ Ar_Ccis,qu«' vieiis-lu nous sori 5; ^^ r^-m w^^ fu_nes_te <)j) fl • • • ï^ AKCAS. ^^=^^-f-^pf:p=T Ah! pren_dre? ^ ^^ fy^ ^ j P r.^=pz^.^^»l I eu fris- sonne en _ cor, vienl de «les _ v f{f ^ PHEnnK. i Roi le (KÎSONE. ^ ppp f^^Ym^^^^ff^m H^-i-^ = ccn_dre ÏSn T),ins I 1 aifreu_se nuit .1 de mort. l* i I ^ O Dieux!Ar_ ti l c.*s, qu'osos-tu g =?* ^^ 4 ^7 I, 6 8 ? "CT" A.KC\S. f^^^^f^^4lrri-p di _ re? ^^= t ? ife E^ &! -'' p p Ce qui vient de frapper mes -= yeux. :xt: ^§r f :^Ê=d I lor Pour qt^ ^ suivre un tendre i a 952 :r'gi -V _ mi ditiis I f^ P fi in_fer_nal Eni _ ^ ^^ î^ pi _ re. quit Il _ te poui' ja #^ W^^^-c ^ Wi^ 6teE3 nirii.s la ^^ lu _ ^ S 1 mie I _ rc 5^5 g T=^^^ rRTT iÇ^=^ ter _ re sous sespas H ^ ^r^ M ou g 6" ?F^ S ï g^^^_^^j^^r--^->^y^ n^^T? ve r_te La Cieux^ des ^^ §S n^=^ 3^ A la_vo_ri_sé ses Et d'affreux hurJe el _ torts, £^ g^ t —U s -« i^ f^ mens sor_ tis des ^^ som _ bres irTT^i3 Du bords. plus grand des hé _ ^ M=¥ f^^^ m^ÊMm ^^ m JJL f^ É PHEDRE. fc^riê \k ^F==^ ros m'oiil con_fir_me la pei- _ te. Ceii est as _ sez. 93 Scène S: phÈdre, c*:^'o^E, Œ?iONE. P^ ^ ^-^-^ B::^ ^ Prélude. SI #i <rr^^ fei yeux « ïi: 5 xn ^^PP commen pfpzHlZ^ lFf^l E -ceiil d entre _ voir \ w r^rr fc E Mt que \ous pouvez brù_lerdune ardeur le_g:i_ à 7 7 ^ r=^ PHEDRE. 4^'^^^W^^T^^^~^"^^''^^t'^ En Quand mon amour se_rail sans ti_nie. m à r=T g^ lî g^ ? j r p ^ÎF -, P É llal_ter... s non, il moin-, sans es _ & ^ ^ p Mr^^l t comment me se_rail-il r r poir? Eh! t ^ cri_mo, -^^^ n'est PPiê pas pos-si £ _ ble. É — ?^- AIR. 94 CENO>'E. pltWT^^^in> I J . yeux n'attciquenlplus un coeur Vos i ^£ *i r=T g : Au r I ^' T" tendre a.mour W ^ in_ac_ces_ b * ê t^-^=E ^ il i i c J^ J' Ê + f^ J SI i"' ^ ^ n p I Une ble, n au _ tre ren_ du la S ^ fe P P sen _ si _ ble; Vous pou_ ^E 6 ê ^Cp^ i È^ f vez f^^^ I ar_ra _ ^ S; à ^ t=g: vez cher :£ lar_ ra _ cher ^^ k son premier vainqueur, ^É son ^ ^^^^^^ ^ 1 pre_niier fe Vouspou- vain _ ^ fe^ 95 PHEDRE. t' Ma queur. _i i' ^ ,{ ri va _ _ tou-jours le au _ ra les mè _ mes i — c. . ^^^zf=^^=^=?^^i^^^ ^ w. P EÊ 'é (Al H.) ŒNONE. f^7=^^^^^yrTTi^"T"n^^"^^'^ char_tnesQui m'ont ibr_ce de lui ren_die ar les _ mes. Il *'' X^^?-^ » * i i::^ • -6r P ^= ^ j ron j. - ne; ^^ ^ tM^ j Lob de _ jet son a j _ mour ^ff r~f^r n'a qu'un cc<urj» don_ner. :^ 2ë=^ ^ 4 ^ =S= j^' ^=# «^^_ 33ç^ ^ ^""^ Et 96 CE. fe ^ u _ n«- cou_ ron ' rdfe5 ^f=fTPf^ <= Phè- die a_vec son cour pix)_ met t t= ^ 6 5 S P V S itft PHEDRE. f$*=r=^-? Puur _ ne. i^r-^-^rrr=pHH^ ^^ la se_con _ de fois ^^ tu pio_Ion ^5 :? _ ges mes jours; 9- 17 !76 rf—»^T^ -"p ?^"n/ M y si ^ É^ j ai _me, Te-clat P & La mort du r.uig su J^z$: _ prè _ me ftr^»» Ne peut rien suri ingrnt que m^^ ^ es t N.B. Le dernier Air des Prêtresses pour mon der_ ni er Entr'.-.tcfe. -r re 'Fin du cours. 1 Acte./ I 97 EIVTR'ACTE. ( Tous f^ ) ^^T=F| : PIANO. «Ma IC Vil j)eii gai. mm Piâ E^ite^i B.C. ^ ' PPi ^ êfe; I 5^ ^^^ ^ ^^ T I Trio doux. - > »-i 1^ T pî f^ m iè m l^^~ lEEt \ fc^=i^=3É ^ i^ifa^ E^-" m 33^ B.c. l^^ftefjgfj^ t ^^E^ ï=t^-#^=t^i=--^ i ^ ^ r^.Tr ^ ^m F!-. ï ^^ ^^F^^^P^ fToMS.) • .^:^£ «» ïii ^ i^a^ 98 ACTE II. L^ Théâtre représente Scène l'. é * é PIANO. Ritourntlie. ] ^ THÉsÉE,TISTPHnNK Vite. i les Enfers. . i P^ ^m^~ S ff*» » M n=^zir\n-inn7.^n^ ^^ m 19. 'J9 ^ gfCTn m pp y :^ m » ^^ ^dn m P^ ^ pg; ±_ m s iE^3 jn ^ *^ ^#f^=g ^ ^^ É^Ê= ^fe^ ^ luo THESEE. TISYl'HONK (Tén.i) P^^^pg^4^a.j^f-^-|r+^-^FT^^^^ ri _ Nul! e ^mm 3EÈÉ W^ 5lè a ^t * ^ B v.iin se _ jour jie ^=^ ^=5=?^ _ mit, C'est k- _ ne _ breux en (.'e»t ^^ ^ + ff-^ g qu'on «l.ins le en "^m ^^ ^ vain que Ion cri ^ ^^ ^^ Et les lU 102 THESEE. p ^ Dieux! ( ^p^F—pHt^T IN est _ ce _ hs jias J' ^ que des m<*ux sez _ J :^ ~ï^ souf. j'ai -^^^ ^ ^ p -r ferl>-, * vu J'ai Pi ii_tho _ _ de _ chi _ ré iis ^-f par Ctr P P zêz -t ^m ^ 4^ re, J'ai mi V ? be _ ^ r, ce mon^frc al _ [Mi^- - J I Ireux g tran_cher des jours si fc 1 # (I h^\, r • rrirr^iiEp^ chers. Sans È a d. ligner dans inuii h -^ ?^ sanj^ sa as_sou_vir eu _ le t ^ -g- ( — ir—^-4Lf p :^ ^^ * p p ' à,^^ ^ ï^ ^' h r 7t • r f' r gEE r. J'at_fen- 103 ^^ m^ ^--v- fefc^-A: d.iis l.i #^ mort s.ins ef _ ^—^ ^ ^ Et luy_ail ^ froi, la iiiurl TISYPHONE m Xi ' - r „ ' f moi, El ^l Flf BJ ; rajl ^9-^ nioit fuyait \a loin île 7 6 » que tie tes W o; ^ Le mo_ment fnt^-^-^uJU^^ de mort ta ^ tt S Innl? ip 1^ sh le der_nier ins _ i ^^ ^ fut I SS ^ Croy_rtis- lu « gup-i:^ pci _ nés. —— rTTTtES ^=î É^ ^^2 > F f—T^ :^r=^ / de J^ t=t i|E^ ( loin (Téno.) l> P moi. Eh! i ri _ ri Bï]^ - iho.. [h ^ nit p sous ^ p -^ d e_ter_nel _ les * T b1^ EiîE:^^ lu^ ^ chaî ^ _ nts; ^ ^^fe Treni hle^ le iiiO_me sort t'at It-nd. _ ^ w w ^ JLi. 2^^ o- 1» :t?= JÇ-7:i^ tp f^ l THESEE. ^^^,^^ grc£=M:^-gÉEE|E^=^=f^=fe^E Ah! (ju'avec je lui par _ le ta _ ge; Ce sort <jue tu viens m'annon. hz <M- « — r ^ b6 5 ^.)=j^ . r cer, iJ ^ # r ^ ^'—~f lUnd> moi tE —f Pi _ _ lis. V V' re a ta ^ lI: S^-^ 3: ^^J^^4=_-^^p;;fsfE:^^^ P^EéEJEffEl;; ra_ ge, Mais sur lui, .s'il se fU'ul, ces _ se de fe-xer 5i W^ ^ E^E^r^ ri_lho 6 7 -^ ES cer. - ^EE> b * , SE 105 DIO TISTPHONE (Teiuu-.) w^^ 1^^ ^ ('ef>l as Pii du_ne peu pour moi vie Q. THESEK. ^W^^=^^^^^=^^^^fe#^^=^^-T^ : ConJen-fi' _ (oi ^3 ^ w=^ ^ fe£ 3t^ PIANO. ?^=^=B^ ^ d'u _ ne ^a &^=J=Irien me; Quoi!. ^ g^^ non, me-, _ ti w; se lin vie _ lien n'a_ ^' p.ii P _ se ^lE% ni,» lu çd ^£^? n'a_pai _ se ta fii Quoi reiir. ^ ^^t==£: -^Vy j r-^-,17- ^ Ei^ reur, è -f non. — — v- P5 ^ rien n''a_pai_se -sm ^^ quoi; Il j i^ ^^ frjrr p^fTirf=y^ -fr ii'a_pai_se fu ff ta _ f u _ reur. ^ _ reur; (jjnJen L fe^ ^ p ma =8= ^ ^ ^^ _ te I lub i fe nun. rien toi ) ^ y^ d'il _ Il f vie fu ^ _ ti _ JUOl nie. i 4 m J ï F^6=*= i^=^ a i nun. feL^ ^ rlL^^\ ^ ^m ? ^^^^ rien n'rf_pHi_ »e ^ e=^ ^ n'a _ pai _ >e i^ Li nid iii _ ^ reur. fli «lUOl 3 #^ izi: T ^^E^ i _ reur; C 9 ii ^=£^=^& t»i^ riin n'ii *S est _ p.ii _ se ^ ^ p?^ ^ ^^ ^^-^ ^- i fej ^1 reur. i ma tr^ ^^ 9Wf n'a _ pai _ ^e ptii ntti i.^ moi p our m -t.^ d'u iË: è ta tu _ reur, rien M ne È^PE^ n',t_p,ii_se ta vie ^ lu 10/ I& s li _ é^ P P"^^P mn rien n'apaise fu Rien «juoi?^ n'aptii ^2 "CT" 4 : reur. _ ^EEtefei ± tm zz: reur, ^S ' Non me. ^m :H ^ se - fu ta i * y \ fe «,^ ^ fh doi» por ter _ par ( ^ rt'ur, ^eul ?^ loin le ^ÏS^ l.orsqueparlout ie\ois ra_va _ge it et 1 tout le §S^ ^^^^g^ seul jt.' prends ra_va _^e et î 1 hor. ^ hor_reur quand sur moi É^^ ^ * le en me; _ ^W^~n^ Quand surmoi m- xt: te=5^^ ti^^ 19. _ ^^ S ± Û y^ plus m t # feEÈEEiZ £ ^ ^^' ^fif-f- =^3 I & por_ter Uo is ^^ É V ^ Je -tu y reui- _ ^^ FF=^ y le tri _ f^ Je -3g ^I Dois - tu por_terplus me;, Ç==fÊ ^ *g^ ^^^^ 108 ^~f'7^£5J;=P^-=i^#^fr^B"^^^^p - ! (luis por_ ter par _ ^ toul li' rH_v,i_^cet 1 (iurr*-iir,Lors«ju<'j>artoutje vois le é^^E=^Ê=È^^^m Dois -tu loin pur _ plus tel- loin :|##^^ -i -c—1» Lurs_<jUf par -tout je vois If *_4- B^^F^g^?^^^ Quand sur moi i^^^g 1^ ^^^ ê t-tlhor. ne vie _ me. ^^ fiT i=i iipg^iip d\i _ ne vie _ li _ Con_ten_te_ me. _ i -> me :^ i^ du- j;e •- cri seul je prends le ci ?«= Cest peu pour moi .loi ra-va_ — g_p- fe=£3=^ ^p^g^M reur, le m —pi^g g^ITTLj cri _ uu', ^ '-^ n r ^l^b^ i p i=± ti me, quoi; w ^ ^^ ^^-^=f^ rieiin'apai _se ta -9 W^- -ïï- fu _ 109 "^'y ^ non, ^ ^ . reur, rien ^mm^^m -^ non, rien n'a _ jui _ se ^#^ feE^feEfesf; n'. i_pai_.se ta lu ni,t 1 hF _ lu reui\ (jllo i? 'é &: b S F^ti^^fc^i 4i EE ^^ ^^^ ii reur, rien n'apai_se ma ' ^. _ reur, rien na _ non. non, HH-H- -f^->^^ ^ 5îi ï g^^^ * fu ï pai se lu t.'i reur, .. ( l.i-nt. o- g^^^^^EE^ -Y- rien ^ n''.i[),use nia ^ f "~r a {u_reur, rien n'a_ pai Lent. xr: quoi! r£=^ eE m i ( quoi E^:i^ ^ ? rien ^ n''a_ 17f— -e- pai_se ta m 311 ^^ '-rrv se ma _ fii_reur. ^ lu.reur. S^ ^ Lf^ji^. ^^ ^^§Ej^^i^ DDC 110 Scène 2»: assis, environné Li'Thrntre représente de de Piut(n. Ce Dieu y est. If troue Cour; les trois Parques sont assises au pied du s<i Trônei les acteurs de la Scène \)recédenle restent. Prélude de Basses aver ^s Violons a lés 1 unisson. zz: Stfi^ pia.no. j.g | rgra4^-^^ m i^w ^^^ ^-rqj h ^ TT^ m ^«;^ ^^m ^:^LBj.,SiJ^%=^ -• mr « P^ — - ^p P0m THESEE 1 ^ a X ^ f à ^=^ ^ .f f- gffi ^m ^^^ tm =F^ « m-JL ^B * ^P ** tem jct: M riutun.) r If#^^ ^ ^^ r ?i I I_iie_xo-ra_ hie Roi T^ ^^ de rEiii_pi-rc in_ fer 3E ^ 3=^ -fi ^ 2, ^3E m P #_• É ^ ' ' ^ ^ — (L ^ tre_re et di _ g,ne Digne _ nal, ri _ " ^ vaL ^ * ^ qui Dieu Du C' i^^ Km _ <(> ;£ le -s- ton t<< 9^J ^ ? _ ner ta — Est ro; - de nions., très di tz: Ê y ^ ••a^P ' r vers. (fe ce dune puui\an_ger tant 6* ^ \ pf^H^-^^H^ ' ' '^ ; =pt; ^ ^=r=M=F^^-==4 P-^ r Dont ee - hr.ts ,i pur_^e ter_re, la Ion (j)ue me S livre en ^ * ^ ^ ^ ^-a- i=Ê ^ proie Mons _ 1res des En aux ^^^^ PLU (IN. S É^^2=^ P ^ Si Icrs. _ e\_nloits sont tes ±z: ^ ^=^ 9rf: * I —M-J^ grands. Vois o-p (juelle en est la I r fr^ gloi _ rc, Ton % TT -O-O- ( P 1^ i=p^ « ^^ nom sur le tre _ ^EgE;^ ^^-^p=f ^=^ g"^^^=rr~Ml=t - pas ri nipor _ te la vie _ toi _ re; Coni_me nous il est ini_ni / Éf=t t \ A f «_ il'i ^ ^ S Mais tel^ — _ git puisqu'il nidin le laut m^ xr -^g pen _ se P Ef pei _ ne et la P^ ^ -i^f—v=^ Ff=HHn^ ir- Idi re_com_pen_se; ^ Ji 'J dis _ S -e- É qu'on "^ ^ ^^ _ r~t ^^^^T d u _ ne e _ Nattends plus de ^ Plu _ tgr "&- tœ: ^ -^^=rqu'un ton tour_nient $w é ter _ _ î trop ^ -ET ggvi;E:fEfeëF=4=r=^^^-^-f--fV--] trop i'i _ de a kl. î mi cou_pahle -(Ç- t4 ^¥ D'un nel; _ le com _ pli Tu _ ce, dois ^ p parta_ger p ^ son sup % i zoz ^ w^ "^ -!ro^ THESEE. :iirjzzjs: .pli 'ÉÉ 5K _ ete. Je consens à le par_'a i^=i^=^ 6- 3 ^ 5 _ ger, La_nii_fié qui nous HZ 4==t g^-~r"y joint m'en -X# p un bien J.iil pre _ »u _ me^ Non, \-m ri._tho Pi _ tic ^ 3k W=ïi ¥ :$=:=^ ^4» pp^^ p p W r-rr JC i_ f?^^^ us peux ne fu * ^4=1^ »• van _ te m - ger sans È me pu n :^^ te W g me. Sous les drapeaux de ^~Eft^ ^ o » _s JTrxLir ^ ai vu 5 U rr "P I 4, 5 Mars, ^ TT=f^ u _ nis par la va lia b P p #-M^-^MLt^— 1 ^jf ^ S^rat Je . t2^ 5 '^ - leur. nioi-niè 'iir id ^^^^^^^-f^U^ «g ^P _ sur mes H^ feE? :! fcfc pas E :*»: (I fi^ ?Ei SdUs |(^ drapeaux de ^ g^M=^fp-n^-^^-f- P=s 3Iirs, u_nis parla va _ leur, Je lai vu sur mes 114 Tll ^^^^^^4 pas P^ it vo_ltr 3é vie _ toi Li a p Je re; ^ I « ( r p r-r Ê ~3 5^ S E >- ; f~ hfur, Conun»' i ^ il par_ta a jn m 1 re Je F ^— pe _ w^m Ê T?^ #r-_.r_ :- par_td_ger son mal UJ m • glui ^ 4r^ p E :r«i _ t^ ê ma et rils p dois fUJ ^ - ^ mes ge ^=p^-^-f-^=fc=^ lEÉ yr- _ p p mal- 'ILU ^^=^=f=^ es l' # ^^^=r[rTT^ fe^ _ mn dois par_ta_ger son î ÈE^ S; ^ ^±±1 êEzfc — pp ^^ ^ n-T :f# heur Comnie il a par_ta -j j- p ^r ^rrri f^ PLITON. ^^^ (& mes 5i r pEfE pé _ rils et 3r: zaz ma é^ è^ ^ P ^^ taLl.ut- il i ^tdz m -«? la ter _ 3Iais ^ cet_te gloire,eji- S 33= f 1^ jcn xtz g:r~?^^u^-?^^-T^ lin. re. gloi Ë;£EÉ nir? r r "cr H» Par À P le ~rr- 22= - r cri P _ me ^ W. f ~=P: 'i I ^' même a - il t t r p du vous I'- [> ï î F Aux En p _ f cv^ a :3 SI a _ ï vec m'a contraint lui f t T., 1^ p p Est - ce ^-M fur le là ;, I ^ ^ ^ _ a tu P Pourprix d'un projet te_me_rai _ 2E Ê_. _ re m ^ fe ^ ^é Ton malheureux ^ ^^ =? P^ g=f=f=P^g=J^^ e_ prou _\e ^ =ï pu ri _ % ^ _val f prétends i ^¥^ ^ ptrrr^if^ 32: o P que ^-"^l^^ r nir. lait 37 1 y p >r"TTf^ SE A\\\. ^ des à i ^; ^ J si . i ^: w J m^ t mi ,nr _cen_dre;, SË^ a _ 3^ î îS "--)'• d un JlZ_ '" ^ ^ pe_ril S ÉEEg W' ten _ dre, Le i^ s f rr^'H^^'r r nir? u É F m lib THESEE. 5^" la co _ le _ re, Mais ^i^E i: :i^ ^^ f=fc trop fa_tal P Sï — r- -Tf ii van =1tJ î il6 yrp^ f de geur p ^ quoi y niour i^—i -s- :t CS=C^ ^ 1 ^ Nest-el. nie, g » '3' , 5J: 11 - _ Q f * i :i?=z=i^if=S ^ ah! si son a - mour ^ un fgHlf; ^ :Sz=^ La_mi -7—3 est f=ffl^f£m-g^ ÏEfeè me, • j=^Ji^^jS| i<ft =g ne ver -tu, ¥ 1=^ 7 N'es(-el_ le • m-M en 3î ne ver _ tu. _ ^^ r m''a _ EE2 # IT^ë^ pas 5s== qui pourlui tié ^ ^ g^^ tfr r _ ^Pi^S u I * L'a_mi « pas le ;f^=^ P \n^ r 4^^^=^^ g P'-Vfr-FT'T«p ni _ ^ fc^^^^^TT^^^^ me, ?^ S'^t' son a _ SI rtffftH^ ^ ï T-^ Ah! ^^^g un est ^ .-44a= 2 â W ^ ' j)u_nis - tu? nie X ^ — _ -:»-_f ÎC* 'gt^ ^ ^ ê ^ _ tié - X ^=:fc m. :gEEg ËE qui pour lui m'a _ Ê^ Ê^ ni _ ^^^^^£g£ ^ N y ^ i r nie, Nesl-el_le H9. 117 pas _ 11 ne P—p- ta= ^ v( Nest-eUe r _ (u ^^ l i^ m ^ Ef ^^Etist \ Ss C¥F :p PLUTOIN. W =*=^ fe -p^mm p.ts .çg- \X Je bien! U ni.» (i 5^ _ me, «^ ¥^ fci^z _4 L f ê^^Ë=Ê5^=fe^ pn-zgi:? vie _ ne \tr " S ^^^—i^ reiin u _ 1» Aii\Ju_£es a P >,ou_ve _ P * ^ ^^ 311 n Ë= _ rains de I wm _ Il i f-*^- ^ _ Euipi _ re y ,1e -s :^E r ^^ 1» ni(jrls,Va, sors, ta_han ^ don- ne en .< at_ten_d«nt rJ fe.s re f ^w I — 1» ^Ej^feii ^^^Ë^^ y me, des ^ ^ ~r iT un ar_rèl jOr _ mords. !r '^^ le _ g m 118 Scène ». PLUTON, Troup..- de DiTinifc'.Infernales, les trois. PLUTCiN. ^3E ^^ ^ ^g S" m m ser_vir mon cour Qu'di ^^ ^m PIANOA Parque». ^ ^y^^=[ Basiez. y ^'V'ij p g V r^^^ ^^ roux tout I i Enfer P se pré P F ^i=i= ^^ iT r,v[; _ n^^'^^n: # * g; If (^uerA_ver pa _ re, p - _ ne ,p (^ue le T-1- É I -^ < "r- r i^gtjjiïg #==*=i=ï K^ le - sê^ M ^^^^^ m ^^^¥^^^^^= Quel A_^er ton; ne, que If ll'l i-J-^-f Te_na _ . mJl S T=f^ 7 . M ^ ^-il fe, le Phlége y ^ _ <on; rc, P,ir ce (ju'il le Co. ^^m ifté^-t^ S¥^ _ f y pi^ :& ont ïi^^r^^# ^ C P Se ): â M â z^ f, g ^ r [P'-^^TT^fc^^ ^^Tp^^^^ \,iii_gent Proserpine el Plu _ton fW^^W^^ t g^fr^=N4^N^=pii Van_ gent Proserpine et Plu _ ton > 1^0 ^^ 1;;^ tf, ^^y ( E le Plilff^f _ (uiJ, * • ^^^^^^^^ i P.ir ce C[u'il.s ont Ï^I^S r:^^3==^^^ ^^ ^l^'fH^-^j^ re Jf:_ :p:;;b; E |/' ^ps tMM V'aii-fitnl Pro.s( r_pin»- tl P^^ ^^iiB isi y.tn-icnl Proserpine -^ Plu _ ton. et Plu _ ton, de plus bar li^l LES TROIS PAÏîyiES. — H** CONTRE l'ii COINTRALIO ffe^Tf» yr.ï4^- j^^#j^#tf='-n^=^^^ UuerA.vt'r _ <jueleTé_na ne _ Le €o_ re, -V-n- acra: i^EEé 1 TENOR. QueIA_>er W x i/j ir- y •bï BASSE. ^^^ ^-i: - fc A_ ver ^ ne que loTé_na _ _ ne quelelé.-U.» ij^ JSi*^^ ^ ^^ -é^ Le Co. re, ^ Pf r#P .-ytI^iM^--^ ^ ^ Quel : _ _ Le Co re, ^=^=*#^*f PUNO. ^ ^^^ c. ^ ^ - T. t-y '*^ ^ J ^ ^S ^^ S;£^ te, le Phle^e _ li*^^ fe ^^z^g^ ton, Ï1 P.ir ce qu'ils ont P «'' ji!ii>ljar 1» cy te, lePhle^^é- ton, Parce qu'ils uni de plus bar_ cy le, lePhlegé_ Parce qu'ils ont de plus bar. ^ ton. i'2'^ C.È ^^^^^^m ^ 3^ re P^- V.iii r^^^+rrpi^^ re 11 ^ . Van re - _ gent IVosecpiiupiiu- et m _ gent Prostr_piiie et Plu _ tfin m W PS X ^^^^^g Mj *5* y ^ -é—ê- ^ w i=à. % ¥^^P^ Plu _ ton. .-Tr=mFp=pi i (kie l'A _ ver T. a "^ \ mJ' 1). i _ gciit Pro.st'r_piiic et Plu _ ton. Té (jue le bfc ^â f^^^^ ^c>- (Jue S^ 1 A_ver_ne,que fe le le re, le ir^^^ _ \\a _ -re, ^^^^^#-J^-^r^ ue rAjer_ne,que le ^^ rt Co :^ ié _ n le. m ^sTFfJW Œ 'n=H~i-^-^ ^-f '^•liï ey _ T. yr^ _ _ te, le. le , Phle_ge (on, que lA_ver_ne, que le Te PI Phle-gé _ ton, que lA_ver_ne, que le Te ^ (.0 - cy _ te, le S ^^ Le, ) ' ( o _ cy _ îe, le PhK'-i:e _gé '7 ^1^^ ^ ^^=^r^^^ jÂ^E^E^ P Le, >, li ^r ;^^rT=^ _ ton, ^ que lA_ver_ne, que ÊÈ le Te iu: c. ^^^^^^^^ m r-r-p-M=M=Trq ii.i _ rt', Co kl _ cy _ te, Phlégé It' _ ^i^ P,tr loii, _ re, de ont S ~ 9^-ont m^-^ ^ -ton, T. le, Phlogé le * -ton, ».^ -ton. de de Ydn m _ van _ gent gentProser_pine et Plu _ - gent '^m ^^^ fe^ V.n gent, Vau-gent, F^Wf^FT^ Van _ gent, van Plu r^—fit fjf=p^i Van re, Plu_ ^ _ gent Proser^pine et re, r' . y ± \an _ * _ ^ent Pni>«r_})ine et ^ ^' H ^^ gent ([u'il.s f=^^tr=T^ V.m 1 plus bar _ ba _ ce j T' V.m re, plus bar _ ba j Par ton, ' m riT _ ^^^^^^^m r plus bar _ ba ^E^l ont B. _ ^mm c.^^fe I^ Co _ cy le ^lu'il fiHM'^ ae ni { t' Proserpine et ^ Plu - ton 1 1 U4 ('. fepP^J^^^Qp f t'nl Proserjune et Plu _ (un. ztf-rt. ^#^#;pi^ v.m .- 1^ k genl Proserpine et Plu i^^^Ép ï v,»n _ fient Proscrpiiie et .'ÈÈË Plu _ ton. ^ ?3^a=--=?^J Que TA- ver ne, _ que m le le' _ ^"^^~rK rï^i ^^=^ QuelA_ver_ne.,que le Que A_ver_ne,que 1 le re. E^S S? ££ t^^Ji-^ ^ ^f^^ Phié- gé ton. riF^H^f^f^ Ion, te, le (,t) _ ey le _ te Té _ -^-^ na re. le Phlé_gé ^ que i=fc Ifer^ — j**j*j't»*^ BS^ ^±ES=: _ na ^ ^ï;^^»ï,T»t*=» T. Té S P~|~^-"~f~^^ §gEE c. Co_ le i-e, i l'A 125 ^1^^ ££ C. que ne. _ ver ré le re. n,i m^^^^^mmm m^ £ i quf l'A B. ne que _ ver Té le re. llH g^=-^M^f^l^^^ <jue 1 A_ ne que ver -•)' Te le _ Co le — y- na m^^m C. A#^= -"T-T^fe - e> T. ^ F^ le te, ^ Phlegé _ ~^E^^^^ le .€o_cy _ le te, èÉ^^a-^^?^^ Par ce qu'ils ont ton Parce ton _ ^^^ ^g ^^ ^ ^p- Phlégé de plus bar qu'ils de plus bar ont gE^iEEÎ le t t£E Co_cy _ te, le tefc ^^ _ba 91*(. — -d^T _ i:^: =tF S^i ipp^ Van_gentPr<iserpine re. ^- > y el Plu _ ton #fe^ g Proserpine Van _ gp.nt re, >-f-^ .*:-i^_ g^ ^ î==3i=^ de plus bar. qu'ils ont ^ ^ — T^-^~V ba Parce ton _ r p ^ I lF _ ^^Î^^^^Î^^^^P^^ » M^ Phlégé et Plu _ ton ^^m^'^^^Van-gentProserpiiie et Plu _ ^- dm 12« ^^rfff^^^ mmî^ * :?= gent Proserpine et Plu. van Van_g^enl Proser_pine et Plu _ tun, # T. ' P- E v.m _ gent, v^n-gent Proserpine ttPIu_ Vnn-eent Proser_pine et Plu _ (on, Vnn-gent (oi ^ iiïn\^v^ ^^=^^--^^-f-H^^ - Se Vrtii rrrrg /.^ Vctn_geut Pioserpinc et Plu. gfnt, _ m ^^ ^ g^id^ -ton. ^l;^3ii_ §§^ .ton. ^ ^^^z^Yj^-m i v.m p^i .ton, ^ J=é _ gent, vnn _ gent Proser_pine et Plu _ ton. É p—p^^"^F r^^p^f=^ VKIl _£ent, gent Proser_pine van et Phi ton. ^—^f^qg^^EE^ vm _ gent Proser_ pino et Plu 7 _ 11 ton. T. M 19 127 l\ ^ AIR l\FER]\AL. i^ %• i^ Ê Gravement d^ gg^a^ ^=^g^ ^^f :^^ ^J^-f- :^ + 'J* É ^ ^^^^ m (•_! ^ 1^ ^-Kr ^J f i^ m è m -'y. '^m 5 + #-^ te^g^^ s m^m ^m É f* J K lÉ ^ + .api = -jg-^ TgY^ / 'f^^ ^^ii*p p — - m4 ^e -3g-y^ a ¥ i^^ p Éïi^ m. S :^ ^ é » l'* p i feï 2Z .. ri ^3^ 2" 1^8 PUINO. Si3= m^ ^ 7^'^'^ 'EÊ£ ^ ^• ^^^P ^ h É • » S ^^^ î ^ ^iSi SÉ: 1 . 129 i^^^ ^?^=#g fe i^ ^^ iif*îï *^ ^ p-.^^ -t^^ ^ w + :P^ :£Efe^ S'* S- fT ^^^^ -fi^ :^3 -*-* J»^i_ i^ga ? & -s m :^^ y- Pour finii'. 1 ^X^^=S= 130 (IKFIR H*rcONTKE >/ (UiSTRALTOS tÊ^3^ ^ Plu _ (uji Plu _ ton iiiiiii _ df. r cuin _ ^ fe:^ BASSES. coin _ ^PP i ^E TENOKS. i ^ ni, m é Va f _ df, ^Kn _ ^^^^ Plu _ (on coin _ ni,(n _ de. Van PIANO. I J ::eons J iu> _ J 3E "J (re Roi. Plu j- _ ton W ~r é com _ num com _ m.ui _ de, _ de. Soi _ 1^1 _ geons no _ tre Iloi, Plu _ ton f: j â5 de ^i Roi ^ Plu _ ton com _ man Sui *^ j_ _ de, Sui 131 ^ '-^— — I •' 4 j5- sa _vons ^ . ES Qu'i loi. O « 9^ ré _ 'le pan _ de Le _ de É^^ _ ^^^^^-^ 1 on re _ pan f- Le i^S ^ ^ =¥= - froi, Tel _ Iroi. iVoi. i froi. 1=^=^^ trou_ ble et l'ef _ fei A JNc ^ ^^ • (,<r_ dons tir _ (Ions pas, pas, li-s far_ dons nio P P les mo _ pas, les mo mens " d i sont trop "q 1 _ -^ ï Ne î2Z froi. —— • Ne ^m^^ ^m H froi. Pî ^ 11 l'el • fr()U_ l)lc et ?i _ ri P p trou _ ble et \ l'on Le pan jLL J 1 ci re ï^ ^ i sa on f^ Qu'i _ loi 5^^^ g 1 P^^^^ V'iqs S Oi;'i loi, mens sont trop j^^^^^^^f^^^^f^ _ mens sont (r(jp ^p ^i=}- ^^ cliers, chers, itns ino K'> Nont fï trop (3 mo chers; È3i^^ +t-. —P— #— _ _ vers p- gouiîres di coulTres di cent Que cent gouftresque cent ^=^ -» ^ i mÊÊ=k Que j^s^^ les ;oul très di =^^ • chersi Aux ^ards re soient ot" soient of •— • 4: _ vers. Aux. re gards _ EËEiEgEE _ Aux vers. re #=^=4 _ gards soient ot j ^=^=? ^_ fertsi fe^ ^ D;ifins ^ï^^ ^î^^# les FF^ En _ ters, que tout É — .^ \ ferts Dans les En _ ttrs, que tout fer/s- Dans les En _ fers, que tout fe^ SfeïM]^ ^Êi=^É i I w trem ^ ^ Qu'on ble! m trem -1 Qu'on hle! ^ y J ras J r y ras feux * et f I P i et les # 1» et les ble les ^ t)i* 77~^ fers! et les é é feux fers! et les fer->! les fers! ^ ^i feux fers! et i2« ^^ _ s( 111 % S- :^ï? los 2 feux fers! v- feux bJe _ » É feux sem _ #^4 =Jt les les Ea ras % * ble . ^=Êg=i Ë Qu'on blf>! Hp ê a' sem _ ^ trem ^ hk - ^ ifciJÈ: i n4 .scène TlSïlMKtM,, THliSKE, -4. .,„, ^e? a.t.urs f)p'l,i scè.ir prérédente. THÉSKE. ^f^~F i* que Dieux! d'in_fur _ lu nés _ i-j P ge _ mis _ sent dans ces Pl\>0> £ In litux, ^ de se seul _ robe mes a f cris re_dou. f â -^•- 5^=^ i_ m ~CT" ^i^ i P I^EEè _ hies vai ï ( Par mes ^eux; f P 1» • ft ^ _ne_ment £ P je Tap ^ ZE£ pel _ _ le, ^P *Ë i ne sonl cris i>Ies ^ — F^ J- ». j ^ g^^^^e^ pas en_ten - dus: fe^ rcTz ^ ti « vous qu^* f3EF i£ 1 aspecl Pl^ d\in ^ Pi_ritlKi _ e^ a ê 3^ de 11 r-n 3 *=i=;^ fe 4^ ^ lE 3L _ 3 Craignez iisi ^ É ^--Jm Èi JL__4_JiL ^ aFT^' £EE '^^ niunlrez-nioi afi! ^5 ^=33; ^^ESp^ ^ 1. * t ses tour — ^r m X- m . imns t^ W l3^ .^> sus peu soifiil lie Ê: ^¥^^^ Ti aine-moi jusqii'a clu> ÉÉïfe^==^i ^^^^=3 t-^'^W^ï L * gVl^^^e^ *=i=itl^i-,^^^'^— ^^^^^=TT-==^ n^^EE^E^EB^E^^EE^^E^^B re_dou_tal)le lui, ^ = l' Eunié _ m Yuns, _ de, je prends (on I l.unhecui 3aE M i r 4 ^ — TI.STPHO^E. P # ^ ^fc^ gui È _ de. Lci mort, droit ?» f=F de vous É3 u -9- G _0- THESEE. •• ^P ^ 17 F *- pro _ pi _ mort ce l.i _ vo _ ra 6 Œ i^=T^-f=^=FH^:=#=^^=TH' 4^ tt Mort nir. - l»le. ii Pour me ^ -t 5^ i ^ ^ Vh mort sou _ le l.i « "TT- o 5 i ï^^ f^ =F= irc P pour S \ ^ ^^^ 5^ "O f~^'~^~^ ^^--^^-^^-^^E^^f^Z^I^^^^ V ren_dre moins mi_se <'i -s- "H 6 6 -e- * é J _ ra _ ble, (Jinimen_ce i ^ donc =^ à w X me pu _ nir J36 TRIO DE8 H. < Lent. (oiitif on(r. ^^ '.to ï=^ e- Du ^ TEN OU. de.> te^< «^^^•^^ - _ f^ r des mis en _ tre ^ en mis ^ mis p Mais • ' le f,t I» » le EL r p p-f^ e vou_loir I su le m. tins l,i - i seau _ Qu'au _ tal _ seau N'en IN'tn lii^ES Qic'^u ^* j me - de tes ci _ _ ins _. seau tant qu'il tant qu'il Je N'en a a fi de nie _ tra jhn _ jour- tes jours; ^=è tra me _ de tes =^ P^^ tran_cher peut peut tran cher . jours; JH le eours, le eours, peut tran mar_<jue _ cher ]^lui wm mai_qut' ^ t.uil qu'il a mar..que ê * lui . pipg -^ re.,dfiu-t,iMe A ^iî^ g EEÎg re_dou_ table — ,-, 6 • re_dou_tal)li' ins # pre su _ ^^^f^E^=^ W^ Qu'au ^^ ^^ I F^r=fT=f^ -#- ci ^ËÈ c. nie; _ EEE5 ei fa _ ta! f,i pre _ F ^ Mais Ë^ f tr<i 1,1 A me. feE|Eé.=J=^^ m~- • pre _ 'J la m. tins nos t.ti I» w^ ^ * _ u s — m.iins ^ en _ tre * vou_loir i^ nos ff È^^ le F tre _ vou_lo ir rr^'^ g *.• T nos p r £ I ^^^^^ tin _ N (in I ^^ < U # !< tin _ des Du Mus ^) EifEEEÈ^ I)(i T. P\R<i)rES. lui cours, le mm <=r—+-^ -o- me me: :t* me; n\e *, tce: ^ ^ 3=g 311 niè nie «37 i s^ 4 ¥ Mnis le * la _ tal le l'a _ tal peut n'en stMU U-^J' i^~^ Mais -o- d I é^^ seau _ Cl n'en peut Iran _cher h ^P a^F^HEE^ tran_chcr cours. cours. le 6 g j 'l Mais tV^ L d Qu'au ^ p le J 1 ^^^-P"^~r 'r *^ i. ;> la _ tal seau _ ci ? qu'il a Qu'au re_dou_tal)Ie ins _ tant 9r J . > > J J ^. 1 ^- qu'il a J .J 'r'' r r p p r r Qu'au re_tlou_tahle in.s _ tant qu'il 'J' 3ar t^=^K ^^ #^--* marqué T. r \. r peut tran_ cher n'en ^ é' é' é • re_dou_tal)le ins _ tant "J 'ra j'r marque lui 3t ^~ rj *- ' i me ^ lui cours. me, :-^^ me _ aa: _ me. jy=^J ff=^^ p r. marque 7. P. ui mè _ me. iË Qu'au T. re_dou .table m£Efe * I£ Qu'au Pr à in> _ tant ^E * tant CS= P >. JOZ qu'il a : mar_qué mar_qué * Qu'au re_dou -table ins _ tant Pî^ a lui ^^^^v^-j— iEi^Hi J re_dou_table ins_ • qu'il â . i cju'il J5 a tf lui mè _ s< _ _ me. 33= me. 31= U mar_qué mè "xr lui tt mè me =8= naz Efe "xir f:s8 THESEE. ^ Bg=^-^^^f--^-^^ S »^ Ah! qu'on dai _ ^nt- du (• 1» eu m'ouvranl n1()iIl^ ^ :£ les ^ En ?z: 7 g^^ m^ p ^p Vi .fers, Rendre uii E# ^•S £E M^ vangcur *i_^A— ëS à I :^ ^ ê Dieu des Mers. # iS»-^ est c'est a quej je le toi 35®: r-r F-r 1 Que re-cou _ rir: ^ ^'fT' -é P—f--^ E père ^^^- _ j))ou\e en son é m PP tr^^- un r(eiirsen_si _ Trois l»le; PPW y^^^^ î A f^jL lils P*^^^^ r=T^ ^ ton jgg^g^ ;£ ±=ÊZ W^^ in_fle- Ê — "sm ,^ i^ Eî i^^pfe tes ^: -^, la i9- pp^^ j"~ j= dois S ?=p^ * ! 1 ï Puisque Pluton uni -vers ._. 1,1. ^ r~j~v 3 ^ ^-^J^^ 4- i ï i^ — -• •*- i^i=i^ it^ ii'J + ^^ ê^ fois dans iiR's m -W=M=R -^ lêz maLhcur-' nu' (luis (il ^i^ Rg^# #^^ ^ S f^ Le % ^ ^ r^r <|u'ilsn'o_sen< Le i^^ Stix a re - — 3^ ru (on i i P g vai_ne_ a(tes_ter ser _ 1 y;(2- iiu'iit. ^^ — ^^^~J M^ dr mes voeux ^ ^ î -^g— £ ^ « ï #- fe^Hêi ^ i (< I Aupre_nii(r j mais J=^ te: SEEt$ 5Ç iiics * ^ I -# _ 3œ: «zir; ;£ 5^ EE _ j.*. I _ment. mè j2_ :& P^ dieux ^ i^^^t^^^'^i p ^P r F Et blc, ^Ê • f ,uix É 3^± ^^>-^ i^-g p ^P^ ~- -t. 4 .»^ llcu-ve — ^fcffl^tfft '' zsn f P /^ 9 w K r— g fï sŒ -^ # 4^ ^ ^ _riri se_co'.i pp^ ^ tu 140 ^ é=t xr-X d'è _ $ EE ^ ^ i£ tat tre fi _ de ï^£ -5- t; vert Fir mr^m g^ ^ se _ jour f^ atlreux 1 Y ii ^=^ rè _ K'it' -*« u_ne =^f=:^ f^ nuit é _ ter. î ^==- C-!^::- W ' .- M f^r tz^ ^SS TOI iH' ^ -o- ^ i-r k f é dai- gne me rendre au jour; ^^^ 1 P .t=i ^2 H ^ P Grand ^^Ljfej ^r r-r Lt^'^f P P 1^ t \A TK ' dai.gneme ren Dieu s^ irW P^ Dieu, ^f ^ J ' rir.uid ^^ :e ^^^i^^^^^'Pr - I le i !^ ; ^^ ^^^ ^H ^rt^fe P Pa ji I ~rr- nei ^ H^^ f ou #-« :_ -^ ^ ^^^^ ' •— ou _ ^ ^ f Tu m' as le - - ^r-r tfcit r r dre au ^^ W^ ' jour. ^^ ig-^ 3l^ Frrrr"t: r-r r-r 141 R CllORT Vite, H*/tONTHE ^eE^ ou « Nc'p _ tuiif aurait INon. P fefii TENORS. Nop ^SE i Nep ^^^^^É £ _ tune aurait (en Ixmu t'en. Ê î; Non, Vite. hc.ai i P ]Non, BASSES. É^;^^ — ^ CONTRALTOS. _ tune aurait ^ ? beau ÈEiê tê?iiê PIANO. f^=^ fSi=^ t* — j ten J^-H^-4-J^ «=* _ dre, Le.>, En.fers malgré Éî=ÉÉ ÊE55 # lui sau_raieiit ferete _ nir; Hf^m -ten _ Le.sEn_t<rs maigre dre, lui #-- \ _ ten _ Les En_ters malgré dre, f Eiê iEi — ^ (•—#^ sau -raient le rete _ nir; ^^ ^^ ^^ ^ lui es sau _ raient te rete _ nir si=ii^s.ilM. PS gg l'en _ PT^ iii^ ii2 ^m ^ ê On é • mm peut ai_sé_nieiit On df's_cen y ^ î •& g --V _ ^^ peut ai_sé _ ment y dre, =^ des_cen _ dre, cen _ drt dre, i SteE ee i On ^^^^^fe ^^ ne peut en ^IjL^LZp^iiJ Mais on ne _ e ^ P 7f î • P f^ ^ 4* u g=^~r-^-g Mais on des ni y V (les î 1 S P ^^^ peut aLs*'_m< re. ve _ nu^i p^^^ ^ re_ve peut en _ nir,^ On peut ai_sé -nient y \ -^-jg- On ^ r T? — peut ai_se ^ff=^ « -cendre On W^ g^ 1 / X ^ is _ — r ^ I ment y des _ y des - cen 1» £z _i^ - dre; Mai-» on ne drc; 3Iiis on ne p p- on ne ^f"^ dre Mais Eê peut m m ^s X i* î ^ ^ oen tf—j— peutai-se - nient cen U I I # iles_ 14.3 ^m. «n re_ve _ peut m K 1 m ^ • P ^ P P [^ I en re-ve ixut .li _ se _ niciil v <:!<- ^pi^^^^^ ~m-^m-p- peut peut on nir. des ai _ se _ nient y I3M on re n\> J J 3 Il ve _ Oi^ P¥ ^fcfc on nir. • --^ _ dre, ^m^Ë* cen dre. # _ dre, p J # J ^ Maison ne ^JJ 3 ISf> > . peut en vv vo _ ^^^ îi^ peut en re ne ^ peut en re ^ t^^^^^-y 5^*?^^^ _ =ps ::^^ W^ peutenre_\e .^l.il^nn ve _ nir: Maison ne ;a ve i^ii TJ-lS^ _ Mais on nir; n( p j^^ âs o^l» a ^^^aasF I\îaisonne nir, ^ Mais un ne _ nir. IVlaison ne _ nir, ^^^g — — ^^ 1^^^^^ . m nir; fca peut en re_ve _ nir. ggÊ^=TJ~fc&lg-i peutenre_ve È^ ^g^^ ^- ^^^^ ^ ^ t=t^m 3X2 _ £=Ntt^ ^+f^-î^ Maison É^ è ^ Mdiioii ne peut en re_ve des. ai _ se _ nient y =^ JH-J _ peut i^P^ é^^^ een on nir. _ • •- J l-J-'M peuteure_ve_ nir. p^^ ^ peut en re_ve _ nir W^^^^^ i^ri^ :i^* 144 Scène MEBCIRE 5. tl les «cteurs ^ ^^i m Prélude PIAAO. à 1 H(- la scène précédente. m *¥ unisson. CE=^ P ±à. * i Sa ** rr.rrrl^ w MERCLRE. S^ (il ^ feè ^^^ — Eg^ « -o ^^^^^^^j^r^^-'-^^^=^=fi _ ne vous (.Itinari-de m gra _ ce Pour un fils « ^ rj # trop au_da _ci # o af ^ 5H^ PLUTON. ^^r eux. "'-^ j P- ISn-t'il * r~7"rT pas par _ ta _ ge ^ ^^ HÉl "P son crime 5= P r::a: ^ ^ pr et son au _ 145 ^ # PfI^ 0~ En _ ce, (J.i ; sous ûii_viM!ii pas st-s ë^Ë lis roii _ de tes ces i^^N=# i ^¥ tei P— i> ^=g^^]j^=fa ; ;^ MF.KCLJiE. asEMEl;EÈi;i^jgËËg^-4«^t^ fh Sur lieux lieu _ le ve sa crc _ i ^s^ ^^ x; 3E± S£ r^ S ^ ^ nou tils de son re lour _ a m r) Ion _ dé ÏE ±ie E les ^ _ p _ ce. 3 ^ î ^^i^-r^= \ les =^ 5^ ran liem_l>ler ^t rt ^ rS Ittit ^rTT i^:EÉ=^=ÉI=* dieux, qui g:^^ - Ah! Ti^=g=^B= ^^ î si JNep_tune a trop o _ Fau_dra-Cil se qu'il soit ac_cu à w -4- i5_ plito:n. l^^-^-ferrrrR se ou de par^u _ re, ou d'inipuis_sance. i ^^ '"^ P i ^ Non, ^-Hm^f^ B je dois punir qui ni'of _ a -11- f E3 146 MERCURE. r~rrf ^v^^-f=r^rrP Ju _sc. _ {en 1er tient les _ _ pi sous (!ieux son o _ljé _ ^m ! Nep_tu ce, ^ ^^r ne _ f^ j g^ë^^ ^ _ f g= ^ EÉ -^ =£ sfeg Plu _ ton peut ai son m î^ #=T^ p^ ^ - 7' 1 f ri f^^^ EEÏ gré si_gnA _ 1er sa van _ IW^=G ^ » 'j ^^ ' Dans gean _ ee ^ ^ 3t m ^È£ £ Mais ^ _ (ers; le l> f' F le noir se _ m I r~f jour ^ des En à ^ Ê W-T^r, É^ :e^3 ^^^^^^ bon_heur de Tu-ni T m ^=M =r rfc:^ _ vers De_pend p * r 5H7-I» s ^ • m ^ ^'F+r g p de votre ^ ii ^ P ï=# l^r k» ^p mers, re _ gne sur les ë 5 is nÉ ^s _san ±w in_tel_li _ in_tel_Ii 3=5= 6 ^ -»-^ J gen_ce, 2;; ^^ '^' dé _ pend de =3 W' ^^ votre intel_Ii I n -*: 6_ g 147 ^ PLUTON. ' p - ll ^^yTrix' p Ccn est fait, iiu Jt* ^ t ES «-^ 4 •, T^ «en ^ -^z m y ss 7 ^ gp 4 ^^^^|.^_gLl^„JL4=^yki rfnd>, mon sur ^ »^ jus _ te • cour_rûux Le bien ^-p por _ De te; I r em Jif P^^ ^~~i" ±:±i 1 i* ^ V ^ iÇï lu_ni_vers de pj^r^ r- iu_rer_ na _ le PT^r ^ que ce coupa nuit _ hie :i^ -b 3x: ££ EE 2±±r::rïz: F=^g= 7 ^s ^^ ÏE ï ^ g r P sor _ te; ^'^J^^^^f^^ Peut-è _ tre son des |..,f _ tin P ^ ^..g^^iiiÂz:^ n'en se_ra pas plus dou> tv ^^Wt-H _Ql_ - 6 ^^ ^ PLUION lUi JL n^ 6_ _5 "rj Z_ Païq. Vous u w ^ ^^ ^«^ W EE l^i^t^^ (jui de 1 ,i_ve _ nir =8= 35Z per _ il^ H^' cez la nuit pro I > J _ ton ^ 351 _ de ^ ^^ Qui te _ 1+8 _ nt'z e ,__• ,- . vos t:n ludins la ei t» A__t p: «. vie et s^ ^-T mort; \a ^3^E irt ^ i=^^ Vuiis qui re _ =8= -^&- ^^ -»- ~a~ ^g=g= ?^ glez le sorl du mon _ de, lor iiii Par _ an_ non (jues _ cez f. _4 ^^ JOC son Par sorl. i^-f*»- 8^ ^ m _ an_ non _cez ques. J.-^ J TCt ^>î^tiï= »«- i =tv lui son W O TRIO DES PARQUES. 1 !» •!=pc=t Cg—ÎTf^ 'Uj* ^^=fT U^ * ' tS V 3^*^rg^ ^ j^ Éë^ ^^ 9. ±i: P¥^ -a d^t ^; P " m- mj-n Tf=r^. 150 „t. H. . ,. (.onire ou r (.onfiallu ,. LES TROIS PAKQIES. ' , . B^ :£ ^W=¥ Quel le son _ ne d,' h or IViu,. ^ reur _ T. .^ » B. _ le sou _ hor daine _ reur (on des _ P^ 5 y y ^ ^ tin nous ^ » • Quel le. B. ins ^ 0- Qufl nous le sou ddint ^ re; ins :^ 1 _ reur fe^^;^^ ho r - 119. 151 Eï^ C. _ p' ^ _ pi B. S uu cours-tu, f riT"' ^v^ ¥ Miilheu ou cours-tu, ^ W 53: P' _ - «t^ re; lù ^ .reux.'' '=ô=T~ ^i' ^ -j^ #^^^ p=p= J J^ Tirem _ T-^^^^^^^^p^ is±^ Ireniis d\'\ _ hie! ^mm y=°= _reux? B. §^S umIIkii cours-tu, U^ lij^ Vtt là ^ m a 'heu. re; re; _ ^5m •— Trem _ _ _ _ l)le irémisdVf _ ^m i'iy c. d: _froi! T. ^ f froi! ^ . ^=4= Ou froi! ÇïSfl ïB¥ <\ ** ôf ^= ^i^ ^ ^ niaiheu »lheu cours -tu M T. ou m -tu -51» â &^ 5- mH ^ ggr ê Trem reuxr ^ «?Ç m alheu cours-tu _ reux?. ff«- £ iiial_htu _ reux? ^ '- hbit! ^ h» ^^^ bit! — \^ m frémis dcf ^ -i^= î é h #- bit! J^o froi! ïré ^ é- _ mis • • V V mis fré ir i ;i- ——— Trt'iii Trt B. _ ^=g ^ c. ï£^ fc*: ^TtF-r f>*^ # ë ^^ t^jè: ^>-^l» OU B. i^ cours- _ d''cf _ — froi! :^ëz V dtf _ froiL 15-> ihhz c.^ i — v— ^y=^ ^ m Treni _ ble! _ îi Trem Trem p bic! ^M ^5=5^ 5 ik B. ^ :az £ T. -O- r - froi! ^ , j froi! p- d'éf _ froi! ^t^ froi! fré_mis ^ yy fré_ mis ble! 5E i^t - X I Trem mis d'tf _ ble,frt'mis d éLtroi! ^ Trer mis p p fré _ Trem T. _ p. p "W — —r m fre ble! d¥f y^ fre_mis dVf iV* ^^ & ^ quit_fes i BE i l'in _ ^^ fer _ Em _ n,tl r lu Tiu_ r quit _ tes 1 ï ' Tu (1^ « l'in _ fer _ ». ^F=?, les J j, en -fers ;^ 3^ chez toi; ^^i-~^^ gp ver i Em _ _ Pour trou re. j j' pi re, m -^i Pour trou -C 8 l ^^P cifcfc ver ^ 4 5P jlt* _ J nal pi _ i^^W — I3r 6 ver Em ^ quit _ tes Pour trou _ ^^^EEE2 r fer _ nal Ppï m: * re, pi ë -y- les quit_tes ^^^""TT ^ 1 IZ2 _ fers chez toi; en _ fers chez tui; en Tu Tu in _ quit _ (es Pp les m^ ^ i r _ nal i» Tu em ^ l'in _ fer P^ quit _ tes wn 4 Jr ^ 3S5 H^=f f> ^^^ ^t i^ pi ^ _ r i Pour tr(iu_ver ^ El nal * pi les ^=y=^ *• _ re, i SE 7 _ ver i _ fer chez iers _ toi. t^^-^ ^"TT Pour trou 3^ Pin en Em les en _lers, i ,p-^ Pour trou ^^^^ re, ^=^^=^ Pour trou Pour trou _ 155 feS^SE ^^^ _blc! T. Ire _ mis d'él _ froi! Trem _ Jroi! Trem _ t* i^ ^^-^>^— 2 ^? v^^^-^ M # £ fre i ^5 y y ble! b ^—j^ ' ff ^ fre _ mis d'éf ble! c. i # • ble! »^ ^^^=^ ble! _' — mis ^ 1^ _ li'ef froi! S^E5 • * fre _ mis — m p I» fré_mis d'ef _ ( F=^ £ d'éf _ ^^5 g^^ fré_mis Tuquillcs froi Tu froi Xt d'ef _ quittes l'in-fer. li froi pgF^ ^ 11 156 4 1 rt. se Eiii p» ÈËÈÉ Pour trouver re s p Pour trou S3 in_ fer_n.iI E Eni _ pi quit_fes k^^^FP^f' (T^ les en-fers chez -^^H^#=p^ toi; 1 TT Pour trou _ver ^:f enfers chez tu i ^=0- les i^ toi;. B. eniers chez -o- =tft fré_niis d él _ froi! c. les i=Bg3^ -^m nal Pour trouver re Ein infer_nal ÊEÏt re _ ver les en_fers chez ^^i^^^ Pour trou _ ver les en^fers chez 19. 157 ¥=. C. Pourtrou_vtr toi: Pour trou_ver lui: ^^ ^ les eiilers ehez Pour troujver Ê SE ^m À c. les eniers ehez toi. râzà-- w'^^^m^ ver les enfers chez toi. "^ enfers ehez (oi^ f^^^^n^ .ver les eniers chez toi, ki^ Pour trou_ Mi Pour trou. ^^^ w^^ i^ ^& ver les ^ Pour trou_ ^m PP^=|^i^^g tJt B. lui; ÎÏE loi T. enfers chez f^ ÈÉ^É=É i ^^ I le» ^^^j 158 Scène 6! thksée, ^S t-^^—^^ ^ Je m trou * m ±Êi ^^^EE^ £ _ve_ rais moi chez En ce> j« r PIANO? xr: # — £=&=£;:^ 3Œ ^^2 ^m Œ 1» que _ fers É=É w s= ^^ :£ r^ # (» quit_te, dh! je «— cède a 1 reur hor _ Ei (• f=¥=t=^ dont jo me sens s gla SE =i r s •. [/ /y EE ^ cer. iJEEfe^ ^^^-fa-f^ Dieux, de_lour_nez les es P è^ iiiÉÉ _ s ^ ,^i cer; Et sur tout j)re_nez maux qu'on i soin • È • de Phèdre vient ^ de m'an_ non — p et d Ilippo _ ly _ te Fin de Pacte 2? 15» EXTR'ACTE. ^ PUNO. m^ m t& r^r-r^-m É ^ m w- 5^: ^ ^2" •S- w. gfa m^ ê p^^ ^ ^^ ièïa f :±r ff 160 ^feF^ ëWW ^m ^^m V ?^ ^^a ^^^ É^ gg^ -M ^JE^JESEEEE^ 1»-H» i ^FF^ S^ E^ Pt^ ^.f: ^^:g ^ £^ ^ * gi& g^ ^ i2* ^JÉS pB? S- X X pmfffi^ S ^^3^ 161 ACTE Lr Théâtre III. une parlie du Palais de Thésée sur reitrescnti^ .seène l! le rivaijede tamer. phèdre. m^m ^^^ ^, PIANO. S- fm ZSTL B.c. z^m.^ g :g^ S^^g i r " m— tfc -^ 1 J^ X 3t ;^—X- 1 fe I PHKDKE. $ zlz m Cru. ei_ie + <- -•- JJ Ei^ «pc me i^ <9-r- mm-J^EE^y f='' H^-^^^î!^^R^=f W ^ re des a _ nmiir-i. 1,1 van-gp-iiioe <i ^ pcr _ du ^ FI: Ê^ i Jfcl «f 162 y X ma trop cou-pable ra_cei ]N en suspendras-tu point le ^^T^gy l^[£jt^ sp^HE » ej6pa ^ 3m i ~0^ i P^ P 1= Viol. i ^^ip^ ^t=p Ah! du cours? % J i J ^, Wf^ ^^^ ( :.):i} Z2^rr p Phe moins à ^ :i^^ tes a que yeux hÇ ta ^ ^ÉÉ^ ? ^S _ dre trou_ve <*^ ^îzzja # trà ah! ce; -X—% flS tip du moins tes a 7^ m % -f^ '• -^ K C. : -rà :^ P ^ ïê j^-^ yeux «^ â ^^^^^^ que Phè_dre trouve ^E3 ce grà flaj — p^ - - ji p qu( r ^ r 163 cM. ^^^^ feëi Phè trou_\c dre _ J. =^ 'J X Je ne te "»'. gr." Sf^fe^ J J^ H ^ ^P: J'' I J È J i-?^^rr^ 5fe^ Wi^^m -t re _ pro _ che plus rien, si rend.s a tu vœux Hip_po- mes -^à r É $ pi» « EE^ » ^^ ^ ^^ - Ij =8=«: _ te sen _ É ^^ ^ ^ ^ ble, >i ES ^g- Mes f tf ! teux i J) _5_ i M.is. «d-p 1= ^^fli 9^ _4. t .I f. me fonthor_reur, f^=i 6 fi f^^ Lu i ^ mon ÈË=È, X ^^ crime ^^ est le tien; y Mfc^fc^ Tu jtiri « iJ. dois ces • 1G4 ^ g^j ^ — ^^ VJ ^'; ' d'être ml le _ ser P^ ^ :;-^' -*:a Tu _ble. xi L/ r d'é_tre iaJlé _ dois ces_ ser ^ i^J fs^ Q3" s ^ • i9 À aj^"^ ? ÎE i ^=3 t^ 1.1e. XI FI: ^ i ^M^J^S -^m â -ftp- ï ^^ rHOur^,l<i ^ ^^p r=^pM"[7f mm 1 P fc^ Ma vrtn_^oancea per_du _ i» !^ trop cou -pable viol. r^-gw'i^p A t F va _ ce^ PP i i. f ^ T. 1 165 IN ^^^^^ en suspendras-tu point le W_ cours? Ah! du iÂ^k "^^^^^^ ^ moins pr 1^ a tes yeux j^ ^B^ ^ ^ ^Hf^^fc^ que Phe _ dre trou_\e grâ Ah! du ce; _ :?: ^ y I t* 6 32: :Ê i P ¥ s ^=i SS^Rpp moins H tes yeux que Phè_die trou_ve ^H grà ce tr r^Q^ "m j£_ • -P- ? tdii £at iASi >/ ÈË ^ m^^M ^ teU^Sifl^a =^ que Phè _ dre trou_ve ^rà ce. ll>l> *»cene ^. phèi)ke,<;£inu>e. I'HÈdRE. ïa^si^ È^â=l^ »-' Eh hi( *^SES en vitndra-t'il II! g^ w l~# Ce lieux. ces ^ i 2 2SË É I en _ ne ta_tal |ï fb'.lSOT^E. nu mal-gré moi que do _ j'a re? _ FO Hip _ f^ p po -ly - bien le ?! ^-^9=-, I ^ 5 L=Ê =»= ^ I'HEDRE. - _tut va \)a_iMÎtre à vos ^ i?; \eux. P F \ J e tiein P ~ m "~r ble; a ^ quel a ^ f^r— m*ï=^=*5ï "U ÉÊÉ^ ^g^p ldi"_deur qui nie de ;;l(iire,( nliii, --i XE va me P Au vo _ re. ior _ cer:, ^ O Il =ff= fH^iri; ^ ï^^^g ^ 0^^m ^EEeE '-^- P ZTE Pf PS 1 I nie_pris ma f^^m vient, Dieux, par ou S Cl W B de =g -w ^ commen _cer? f 167 scène 3t PHF.unE.ŒNo^E, hippolvti ^S ii=È=f Tsz^^ËppF=RFP=;^ HIPPOLTTK. sans lordie ex_près Rci _ ne, #^P f F pel _ le^ le a ï ('ici vous ra _ ^i^ vil K_poux un « 1*1 3E gIo_ri — m as Î •> 7_ ^ ^ g^H^^^^^^^^^f-f eux; $ s f -Mz::^-^^-=^ Quand dans ces lioux m'ap _ ^^^^m f m^-m V P1A^'(). u^ tjui Je res_pec _te_rais h'op ^ vo P _ Ire M dou_leur 5^ mor Si ^ *t ^t=^ 4:V^^-t^'-^-t^^=^-^ -tel _ le. ^ Pour vous nion_trer en cor w ^^^M^^E w^ m È 12: ^t un oh _ jet m o _ di w^ _ 168 PHf DRE. ^fr==f^^^f^-^, t^-- l'ob_jol Vous, eux. ^* (le ma O hai _ ne? Ciel! ^=^ quelle in_j us r—K±t ï 7 ^m _Z -^ ce! _ fi l P- 1^^^ '4t= J'ai su ^^^^f d'une en _ ne mie _ ai ^-^f^^^ _ fee _ 1er la ri ^^ XE i T~m r F =8= S 2E Pi ^^ E3: EE^?^ gueur-,Mais en _ fin fc: il ^ tems est «* XE P f^=r-i=^=^ que je vous e _ EE clai S » ^ ÎI I^5^S ^— n4-i- ^1 jj^ Œ È^^^^^Pi^pËs ^'^r:^ =îf=F5: •• cis _ se, He _ las! si vous cro _ yez que Phè _ dre vous ha 3=JF-'^=te 3eœ PteE ^^ ^ ^ È HIPPOLTTE. EE r is F _ se, r Que p ^É f -f4^pfFFffe=r vous connaissez m^i! son coeur! Q^'en tcnds-je! à ^ nus de za: ' I- ^^ s I ? 3 ro^ |M^ iw.è;^;^E^^eEp^E;É=^=^^g= Phè_drf Nii-.s con iiVst plu> -*-^S"C— ^s Irii _ _n! ,th\ ks gp^ plu.v ftn_(Ii c> é ??=c 3E ^ i T^-r ffea¥^?l=4=f^=g=l=Bgi^^gE;fe^ >oins de votre ,tu_gusle E poux ^ mon c(eur de sor 1S^-'- ê S :f* ?^ PHKDRE. ^ Frmais ^ _ z^ É v~ D.tiis vont re_vi St ^^^^pf^ P p Hll'PdlAJE. A vie pour voii>. Quoi! Prin_ce... _ ¥ IL :e P -4 "'T F fils je FF=F^ tiendrai lieu de È J* È^ËEËÉiËÉ Pe _ re, r(1_ ne,et t T-g^ ! p : [ j _ rai son È PHEDRE. r E3F f^^ J ai_l< r_ nu wm ^m 1 vo _tre F^ ^m p,...i 3t j^f:;|;g r=rz£zi_4^;^^;j_^ en don is _ ne ma foi. r' Vous pourriez ^ m -t^ jus _ que ^ =5»^ 6 _t_ g^F^ 31 170 -^lÈz w^ M f^« r F là vous -M^ al _ pour ten_drir ^ =F^ C en nioir est ^^ 3 ïïzrzt Iro ^^ :t^ ffriTJJ^^ p trop et tro_ne le E ^ ^^f^P P et le fils, et niè _ re, la ^m J^M J p"P p Je ran_ge tout sous vo_tre i z=i5: 9^o~TP Y T r EE=5 =ï¥ HIPPOLTIE. ^ Non, l(ji. /-f^S 1 ^^ \ kJ^ F-K-^^f- -•-^ dans de l'art re _ je ^iier 1 P^ff^ , iii>_trui _ rai ^ #^^ -6- |7 £ Jj—1-. g^^EE^EESsfe#:EgE;;êR,-^7=F^F===f mè _ Je ne conip_te pour rien me. w ^^^ deur, ^=1: ^ A _ i ri _cie * feEJ; est tout ai W # ^=t _ me, ^^ Et Ffi^ .^i je vtux rè _ -*^s 6 4 ^ P^^ gran. -t ^ ^ j la fe li ce que de « p^ • r^p^ e _ elat 1 jf a _ moi I —— 171 PHEDRE. ^- É -^ 33^as Lj" ^^^^^ P Ce _ gner, que n'e»t sur ^-r- Oue coeur son P _ <li F-3^ (es ^ i X5" _t_ _5_ Ht; f# t'P ^' ^ous, o i^i r r p mon quelle é_fait ciel! PPM" -F^^ reur? er _ IVIal_gré mon trône of ^§r i zssz HIPPOLTTE. pt-^~l^r vous _ fort rti J' ,J^ mez ri | _ jH^f^r^T^^- ,J^ _ ci Vo_tre Quoi! e. haine f ^ en i^ -1- ^JSL^ ^ :8xe ^ PHEDRE. i cor _ r=T~ t^ n'est donc pas a _ dou ^ _ i p \ ci e? _ i''=^=-^-f-f^ Trem_blez, craignez pour î 5^ -tTÏ- :â=f ^^p^^^^;;;^ el_ Iw le un courroux e_cla w^ io= ^ Je _ tant; ne ha_Vs la >^ ja_mais 3E mo t 5t^ ^=F^-M«J- -9 - I i -G— fi .'I ^ i7U DtO. PHKDIIE. feïEEÈ t. HIPl'OLYTE ^^^f-^^^^^ PP ¥^=S2 ^J Ma ml. lu _ reui- v,i (ont tn_ Ire _ pi /=t*: en _ dre ^mÊ^m *3^ w (i,ir_ s dcz - vous de rien entre _ ^^W p^A.^o. PH. m 11. p i ^ — trop jours ^ ( pren.dre des tre cou _ tre des i^ P "TT con o jours si I pre_ci eu\. PC w ( PH. ÎÈ i ^E^fEE^SE^E^ÉE^tÉ i3i= $ Fi^rr^ tout H. fu to- ^- p r Ma eu\: di ^Ê ^^ 1» eii_fre _ pren ê G,a_dez — ^' vous _ dre. ^ f de rien Ma (» If ^' tu _ reur r r v,» tout È r ^ en_tre ^ eii_tre _ pren _ dre, Grtr_dez «= 3a: i W ^S Jg 3^- J. i'i * 5 ton preii_drc _ _ tre m vous, ï ^=JF^ des jours • cn_tre rien _ Cou prendre 1^ É wn=Tr trop o _ di _ _ tre de> ^t3f Ton jours _ Ire des È u=r^ i^ jours _ tre de> 9 ^ Con tux, ^=H=F= ^ de i3=i o_< trop — » t_ g=j>-ir-P rcEi ifc=^=:::^ eux. je ne hais rien Èm jours SI pre _ ci eux. tV=Ç mm w- È tant sous les P^ Que cieux P • ff > le sauji, que je veux s P :? Rien ne * up ni'eslsi 3 -o-o"cr É re S^i=p cher s eus les É J74 ^ HE i i que je veux dre, nali riez E£ re _ M ^"^^'mrt^H f Que cieux sang que je le m de veux p an _ à f^ fen dre, _ que le ÏÏ3Œ; *- o ^ i ^ le^ m _ r le sang i que dre, p M que je veux que 1 3^ =8= ^fc: !:i: ;:. h J -dre; i M 0. je veu\ t=l sanf «r > Je r J' ^ r ne hais ^ ^- o^ rë _ gr; pan ^ :^ ^ dé _ feu ^^f^ ^^ LM ' r rien l 'i tant sous les Que cieux It n: dre. tt ^f * ~» ar p 175 ^^ E£ sang que je veux m re _ pd r r [f Car. dez vous tire, 6 M f de p r p rien en_tre _ pren ^^ ^ 6 sous les 4 J Cieux «jue rien ^J i 1^ pan con_tre des S TE ^ sang que le ^ en_tre_ pren_dre ^ t J P r=r=ir¥ de * ^ * -j f! f P je veux re P jours -ft- si ' P _ pré_ci. S -O- ^^ W'T ' dre. f eux. ê^ Rien [îf ne m'est r si P 6 ^ ^^-Ê:ff-f^ 1 , 5^ I^ 19. m. dre, Gar_dez _ § tant vous rien i=^f^l ^ 3Œ « ^^P^ Je ne hais 4 i r cher 3:?= ^CT sous les 4 176 ï^m^ ^ ^— Je Ht- rien hai.s m i deux «jue le f—m- f sang eieu\ soUs les laiit <jue =F=^ veux je de _ h lue ^ len ^^ -» ^^ 5E P^PP É tW- sang que je 33C veux re _ 31: l».ui ^Q^-^^ ^^-^^— 22 Rien dre. P ne m'est é^ cher_ si » ^r^^^ dre ^ r^ ( : * P^ A le sang que f^r r cieux que # que le F je p veux sang que je veux lÈ&f=f--| =Î ^-Z*-4 g: * »- ^ P pan re F'r:,£gii <le _ len : _ ^ - 4:o _ dre. —1#- ^^ dre. 3£ ^ ^ les — f É^ ïz: sous 33Z Eï ^ HIPPOLTTE. ^ w ^ pour ub Miiis i —^_^,-4^Éi^É^ • ipi^ mon dv _ jet ! Qui peut vous nioiir _ ,i ^ iiis- pi wa ^5= 6 ^^ ^ ^S # PHl'DRE. # i 177 p 1»- rer cet _ te M^-^fr—f^^y^l ne _ hrti fa _ El _ le? ta trop le a su tt ^; â ^=^ zst P '^=W^ P pi li _ ' El re 1^ ^' | i' _ le H?^r^a=F-^^--f-f-t^^- en perdra jour; le ^E ) Pui-, - je ;3; j> avec trop d'ar É m ^ w HIPPOLTTE. 1f ^EÎE (leur 5E ^^:E^r:J£=£±-$£^Ë^?^^l^^^^fe^^li ma iin_mo_ler _ val ri _ le Yi> _ lie ri _ va _ le! je Jre _ ^s^ ^^ \ ^^^ m m _ mis! i r5- jfr 6 "^ — --? Ihe _ ^ see # 0- est votre ^^ E _ poux, ^ et ^ TT' 1 ^ J- PP ±«: È vous ai-mez son 1-8 i ^ ^ fils? (. ^^ nh! me je 1 sens £^ 7^T~T _ gl.» hor_reur d'une ce sans e E $ ^F^ ^ >^ -6' Vivement. 1^ ^ X ^ 7 X L J ^' J-' Jm Terri_bles enjie ë'^ m rp 7 ^^ ^ ^ ïê £ ^ Diem nriHins, #• ^ >i ê ^=fcH=f prompts HU_trc - fois ë • m ^ (I — y^i» ^^ p-'^'nt^'jH-f^ pou_dre, lan_cezla Qu'attendez- vous? ^ zi # fou ^ I» ^ïpfp fou_ dre, . ^F^P^ lan _ cez la Ks réduire en ,\ è • W «=ït t g • j M -#-# œP^^ïg » mis des pir_fi_des hu 4=ni (Tous.) Mvement. _ £ p r Qualtendez- jr^ r 179 PHEDRE. VOf ux d al- lu -mer ton- ner_ le E re, é - vcil _ le cla _ te, _ i ( ^^^ s — Mf ^É^ i ff toi. ^\ J sors / > p Qui de $ d'un honte ifti ^ t^r~^ ros ffH'^-ft i' ^ Rends ^ re _ pos, _ 7 très p sans fils d'un he- p-4^ . ^ i^^jH^— ^^ nom di_gnc toi 5* i^ ^> p mons J'b^^ p _ bre dé _ a li _ vré là * =1 i^ Ê 1 ^^^^ ter- re; Il n'en est échappe qu'un seul a ^^ P sa fu T _ reur, iËËÊ^ Frap 180 P^^^ PHEDKE. HIPPOLYTF.. m ^ f tfctrî pe, ^ jVIon>lree>l dans ce mon cœur. Grtiids Dieux! Tu b.ilancesen- i t5 6 # ^^^ i?"-!, E re, J^fp^f^i t^ s: :£=3r _ sa _ tout _ dans fe mon sang hhorre. Je ne pui^ ol)_te ^ m » i fp EE2 _ *[ue 1 le ri _ gueur ^ ^ cours. _ se _ P Irè - p me; - <r Sîi P^ l'ai _ me. Mais ¥ ^ ('ru_el. P^^ hais pour trancher mes tristes i au_tant que je i H-- É^ f^ ^ ^^ P Tu me P 3; ^ O- ê 3E ^ ex j'y ^^Z p ^^ ^^;? p mour que a _ M ce fu_nes_te nir _ r, p un '^^=^-^^tàp^^=^ _ ''p ^ ff jours Je f I I n'ai ; ^=FFt^ be_soin que de moi #= ^ Tl 18! HIPPOM TK. ^m E i^ nir- me. M f# Don _ (Pludre tire Tt-pce rrHipp^UU *, (jni în Tu vous? - fai - tes KDIiK. s^s pFf ^ Que iif! Pli iir.ir- r<< ches ce _ \\\ .iiiMche iuisvitnt de la ni.iin.) ï^: Scène -4! THESEE. Les m.Vi.., . • thÉsf.e. bl Pi*- ï^ r^E^ Que fer. 1^ vois- je? «juel PHEDRE. HIPPOLTTE. -«- * af_freux spec_ta_cle! -À £ Mon S re. pè _ n E Mon -o- * im P rj—^ THESEE. ^^ |£=F^^--"^^ O pou\. m trop f<t_ o t.il ;^^ '^=w^^ w ? _ ra - Je trou cle. mal les 1 s^ ^51- 6 m w la tr-^^E^mî f^^ff^ PEn ^Mff- ^ _ heurs ^ que m'a pré.dits ^^ P^^ ^ b - ve *> E _ Rei fer. ne, f=^^ dé_voi_l ez - ^ ÎE Se d _ ^ :^ o PHEDRE. ^^F^ r8=^^ moi #- g M r^y=f=r=y cet o _ di_eux mis _ VJi' PT^^p r tè _ re. "P N'ap_pro_chez P i plus de i8^ (Elle sort) ^ 2-(^ P. P- :£ moi, la _ niour i ? P r P ou _ tra _ est r I gé. i| p p Que l'a_mour * *?: i^J Scène ^ i ^ b ii THESEE. 5Î ^è K« ^ 4=^^ à* fe^^^^M#=f Sur qui il - 7 6 m^ p soit ma doit toni_ber ce _ lè re, Par_ lez, _ mon par _ fils, w^m "î^^ *-& ï §5 -©- HIPPOLTTE. Ê P ^ïï= nom_mez^ _ lez. cri _ mi le ^S ^^^r Dieux! M que p r vais - je r^ jjb^^f^ ''*' lui di _ P r Per_ mettez re! ^p ^ T ^ F H^^^-f E i te ^3 m _ re. _ m Ou P; # plu-tot P- que j'ob h^ _ tien _ je ff me re L P^^^ ne unE_xil \^^^EEEESf ^6 5 ^ que » 5^^ % ^^ ^ _ -o- ^' m gneur. Sci ff r^ (i rcE izt: -( ^ nel. _ r=^ t C): ^^ ^^^^ ^ e _ ter _ nel. scène 6. THÉsÉE,tE>o>t. THÉSÉE. >JV # a r Quoi! » i^i^g^^^fe^ V-^^^ EEl p Tr tout me . fuit, tout m'a_ban So t^^-r. Mon E_pou_se, _ d(in_nt'. mon -om: ^^ 3- à gKr fils. Ciel! /-i 1 de_ mourez, (> i _ /•' no _ ne; 1 (".''esl 1 .,..1 < \cus seule a à : ni'e_cl,ii r"^ L ^:—& 5 _i „.',' ^ <' 5 ï (l.^()NE. ^ Ah! sau_vons r<u_vons de l.t la Reineet les jours iourset et la aFf=g4=fefe^:i-pu^4^f rer ê sur la tra_hi_son la plus noi re. ^ "¥ ^ J^ P ^^— ^^ -1^ (• gloi _ re. ^ Un p__p ^ P dé_ses_poir f I; f tf_ freu^ ÎF m _ ï^ X — j» f^ ^^^^m pou_\ez vous #, ' ' - g no 184 _ ( Yous rer? n'en a _ vez _ e fiu'un (é '¥^^ ^ ii ii r _ ^ de _ - p ^ ç^ 522 J'J^V>^E^4^=^H'^V Je n'ose rtc_cu_ser le. trop te _ iiioin vo_tre Mais fils; la m 7 4 F Rei _ fi ne... ^ Sei _ t -r mr=^ # i Ce _ gneui' i —•— ^-5-^ ^C 1^ 't' ar_ fer mé «''[! ! con _ Ne tre el _ le â vous en a que trop ap ^ fc OENONE. ^ di Ji ^â THEstE. m fe P Dieux! _pri rf^ i?-?^^^ ohè un ve... a ^T^ _ mour ^^ -o- t Eli THESEE. i w y-y-'^ #- ^» _ nés _ It p C'en F est F as _ | Wp=^ ^i^ r^^^_l^ sez, 11 I m -^ ^ e-p.irg^^ne moi le # res _ ^ ^ 1» te. fu 18: Scène 7f thésée. tEE^^^^^m^ ^^ Bruit *ViTi-tMim< nf ^ De mon heureux tr . & . m^ t (Tous) pEg; ^-^-g ^^ au tour, Dieu HZ ^TTt^ iL^,t^_r=.p^^ p vas_tes des mes Mers, ~c»~ ~ri~ 'i ^ peu _ pies PP^ i=^ ^^ ZE ^rfcfc Et gr.t _ ce; je vou_drais en _ —— ^ cor è _ W^ ¥ ^ i g^^ F f, Ca_chons leur a _ vec soin ^ P i^-i fre d.ms les En m t BL ÏE rr^^^-in^F=^ lers. ren_dre IZ2I EiÈEÊ 4-^ =T PÉS \icn_neiit m o » 1»-" =s -« 6 ^^ ^ o rr £ |E:2:jc les ff cri _ mes ^ -Ht de ma ^ ^S P ^^:S » . -*! P » )• I» — f» (t p 7=^T~V êE ra _ ce, —— p îlt sous un front re se _ rein ^ dé_guisons 3QC nos re - vers. 186 MARCHE. *»Cene s. THESEE, Troupe de Tiézenien» et de Matelots. Ln i¥ ^ fe^ ^ PIANO. (Tous.) Ê g»-^^-^ ^ r } PF )9 i^-J 1»—( ^S? M F=P= II ^ ^^ff â Èp^^^ ^ m 9- m p—p-==^ ^ ^^ Jiijq^ m + P -m —*—d-i3 rf ii P ^Pi ^^ <& ^^ f i ^ gr^ _j 1^ ^ - E^^ (i 1= ^ ^ + ^^ t I. p^^^^ ^f o« 2' 357 31: -e>- • • 107 CIIOEVR. SOPRANOS. CONTRALTOS. Ife^ ¥ $ Sa • Que TENORS. i BASSES. V'-^ ce ri « w va _ £0 re _ ten _ _ tis se De # la sft ^ 3E -^ ^^ PIANO. "O Ijuu ^^^ i Que UTi J i #tt J i —v— Que ^^ ié'|jj m^ p^ II ce ri _ va _ jre re _ ten _ ri De la ' ' re du dieu des gloi ce tis_se De la J flots, ^^ gloi _ 1S8 ^-^^ rTf^=^t i¥= 11 ^.i_ge T^ gliii_rc, re_ten _ ti-._se Bf la il |}^ —«i# -• de =F?=i gloi ^— * * Quece ri du dieu des flots,Que ce ri """* * gloi-re du dieu des flots, la m va _ ge f^ ^^ re du dieu des flots, va _ ge _ ^ Que É ^=4=^ J J J J ^ fW P fe^^-^v^v^^r re du dieu des flots, |i^ tis _ se lis_ se f f é ) De D<' rff f f f f f- du re gloi N >"-J4tI i re du dieu des m^^m ^=^=j re du (lieu Ces jr* gloi ^-LJt£ ^ dieu - "# ^=^4^ i P ^^^^''^-[Hf glu la la r gloi la f f De p Delà • I | _ tis _ se :. Î f ^^ re _ ten ^^-^J-^ f m WW=^ 5 _ va _ ge ce Tuus. 9 re _ ten Ê Sï 5H re _ ten _ — r i^ — » ^ ^ I» ZE±^2 'e du dieu ^a -if — ^- ;a des 1^ Ib'J m ^r^ llols. i ^ Que r ce p^^ ±1^ ^^ va _ ri re _ j:c Qut n _ » 9 ce ri la t'iots. tt »ue se. ti> _ va_ ge re _ (en _ 1 ce ^ É Que ficts 1^^ çm :^ ri va _ ge ir r ^ ce _ =^ .va_ge re_ten _ tis Que ce ri _ m m i Que ^^ I' IS ce ri _ _ r va _ ge ^ ce n ^ va. r re _ ten - r ge f 2 (i s re _ ten _ tis_se. 'r r tis_se, I re _ ten _ tis_se. ~ ) _ * se. ^P r r ^^ps r- Dt r re _ ttn _ se. P^^^ se. r I tis :!= r r _ r 2^^ va _ ge f re _ <en _ r va _ ge _ i i Q„ n n g-^^ f^ Que ce - se. fis • flots. f ^m » ^( > n F f gloi De w la ^ ^=^ De 1< y j r De la gloi gloi rrrrri _ £=fay^ 190 ^{h^ ^ fe ^^[Tt-^^ re ^ ^m la-f du ^5 du re dieu des fi ' du rrrfnf P ef r re dieu des flots. È dieu des ##=4 du flots, ''J gSEgff==F re -o- dieu des flots. " » flots ,bols y ^ » ^E2 p ^m B'.'° 1^à=^ £: â iiA JTTJ J F i ^ >" ^ TO , J J JTT^ i^ .usa ï ^ J r J J77^ 191 ESÉ ( ^ Qu'à ses bi»'n_fHils tout ap_pl,m_dis _ se. Il i ^ ^Me i V Qu'à — m f ^M ^^ ^P (Tous) E^E^ £ sa; g^ rend a Fu-ni ^ _ vers_ ^ 2=t; le » -m # Qu'à ses bien Qu i p£ p —p m dis _ 1 _ se. Il he des rend à SCS bien _ a ap_plau =ttff= f.iits i l'u_ni _ vers loiil ap^p!,ai_ ?m le o ¥ =f^=î; _ m ^ ^m ap_plau grand tout —p #^ £=Cl=g o p .faits tout plus _ faits m V bien w^ ( p ses m plus y2 ^ Jk ^tf- - ros. fSE^r -dis rend Il _ se. J ! I rend Il P à _ se. , l\i_ni _v ers, Pu-ni _ \ers, à — P rend Il hé- II ' ^^ .vers le î^ ^ .^ers plus grand plus rend a 1 Il rend rend à grc<nd -# P— XL =*F hé - ros. des^ des hé ros. 1» © ^ he - ros. des^ o V plus grand l=r^ 331 w&'— —p ,\ Tu -ni p ^f^=t grand u_ni l\i_ni - ver ^ff ^. le ^ ^t rxsi. P le Il W rh^ plus l'u_ni ja_ f^ le a Ê=Ê=k g .v*^rs rend 0, p l'u-ni _ vers, à ros 1 £ m Il (^ ê des P 2E2 W^ grand Ê r-& ^^g^f4 ^^ dis P les hé ros Mj-^ i ^^Pf O r= ç: f~ •. ). 193 i fci= i¥ PE ^^ i i ^^ É fâ3É *f***S OT ^ ï^=^ r ^M f S i I i^E^ # j. j P lAt- m ^ i Qu'il ses i^ bien - laits tout ap_ ^EHS ^^ • - pl.iu _ dis _ se,(2u''H ses Qut te bien ri PE "O m^m^ ^ _ 19* m ES 9 Qu * ï=l 9 ^^ faits tout _va_£;e H se. _ rend Il (» _ tis _ se ap _ plau _ dis a ^S: » De 1 se. . f u-ni _ vers, Il ^ p (» re du dieu des pIoi la II m— p ^m pE •w Que ce m 9 _ #^-# ^ ap^plau_dis re_ten ses bien _ f.uts tout ri va _ ge _ re_ten — p p (Xou.) P^ ^ pE (Tous ^ f=T=n r r Pt^ ne Il rend à Pu-iii _ vers 0- o m - l'iid à l'u_ni_ vers. ^5 ê rend a ru_ni -0 _ vers *¥ tiz le flots. De ^irj--f^-ftis _ se De F I la m pE g » I p hc f-"p |g rSSL _ ros_ '~[ëp •" ïloi 1. ' ' grand des plus ^-^^-f^-^ ± f T rr r r lH^=fe Ë^^ loi w=fz r-rrfrf 'm m m ^^ (95 E£ plus le m M I ^Tj T ^ #^ grand ^ É plus le re du R F du re he _ ros des ^3SI grand P" ^Plf ^ i des ht; an _ ros. dieu des M . 1. que ce ri ?^ =# flots. |'=f=f ^np _ \a _ ge re _ ten r dieu des flots, A P^f^ i ^ B'." ( 5^ Que X ce y ri _ ?^^ m^ ?^^3 i va _ ge re _ ten _ I * Qu'a ses bien- tis L-J _ se de ^^-f-^ ftit^:* gloi la faits tout ^ 1 :*— ap_plau _ dis -t^ _ ^^^^^^ , tis_se De la ^ Ê;Ioi_re du dieu des rtT ses bien -faits tout ap.piau #-i. tja P¥^ (Tous.) 9t l-^^4 Il ^f^ de flots, É Qu'à se, ?:=* Pi _ dis h f^ _ ^ se, Sf Il 196 ^ f^^ =g TRIO. ISEg=H^=*g ro s 1^=^ « rend # l\i _ ni A _ vers ^^ pr du VJ r iid dieu des ^j i> 5 l'u_ni _ vers ,» grand des flot>. Il (2"; D.ssus) m he _ ros. Il r^tT~^^^^ re loi V plus le ^^^^ [^ ^ des dieu fin "^ plus le flots, • des gr.ind ^F^Ft^ hé _ ros. h''.°' f^S^iS p^ :; -a^ 5f^ ^ re nd a T¥: rend m à fe^ i^ Tu _ ni 1^ _ vers ^HÉ ^ p^ pE =c { ï ^:^ ±=^ plus le TRIO. îft: ^^ ^ grand des he _ ros ^ -ph^^=E^m^^^^^ Tu _ ni vers grand plus le ^^g II rend di's h(' —X_ ros, "in à 1 u_n! _ vers. 5S Ê ¥ ^=^ P II -y -à- II 5^ ^^^lJ:=^ II 53" ?^ 197 -0 ZX3Z ren d [' ren d à 1^11 à _ ni _ >ers p r "RM^^ &- P ^m plus le j. p Pli- ni _ vers i^ i P' us le des gr<tncl i he _ ros >n'Jj-^ des firanc rsn hé _ ros. CH(CUR. I*r rend r à iri-^^^^^^ p p Pu-ni vers _ i^^rrr^ grand plus le des hé _ ros. Qu a ses bien_ 5EE è^ m ^J_l ^W ^^ 3ï: f 1^ 3^ CH(EtIR. ^^ I Qu ^^ à ses bien fail». tout w applau CHOEIR. II ^^^-jvj> _ faits —a • rend a r3 M. • P^ • l'u-ni _ vers. II :^ -^x- ,ip-plau_dis _ se. tout -77 (2u'à ses bien- faits tout ap[»lau. CHŒUR. ^= II -^ É ' 5ŒÇ p o- ^ Tous) i (Tui..^) 919. i98 rt^4- _ dis Tend Il , 1= ^5 — • m _ se. ^ rend Tu. à le pg r rend B 3X: ni vers > à l'u _ ni plus = r _ vers. li des roi hé _ ros f le le plus P plus grand :J. s rm ^ grand rxr: _o_ 3r: i5^ plus ^ ê# grand le xe: _ vei's Il 7— u _ ni _ vei o ^^^"if dis 7 u _ a m 5ÛE Il \ rena p ^-i I #HEE^ ^ J. ^^ j= i hi les ros. II ^^^^ grand des hé _ p£^ P^ipippîp^P^ ros, Il rend a Tu. ni _ vers le plus "TT~ hé ^ ros. ilioi» *U.J^ f2 É —s — i * BV» c): ' r- - i^EEêEié. fe^êE^ T. « rj9 / :££ rend Il rcinl A l''u_ni _ m P^ vers hé _ ros, = l'u_ni rend Il o • m f r F7 à I — m o rii_ni _ vers li m- plu- m r rend II u_m 1 <i _ vers plus # -rr- (Tous • g^ gaï ( lJ f r Si è -vers le plus gr.md (Kn he _ i: ros. un 1 hé b rand 2— 1 HW ros. f: hé ind_ ros. ^:g~yr grand des A ( >:) ••» " =^ _ pUl mm grand des a he _ ros. ^ P^ 200 I t ^^ Que ce ri _ va _ sre re_ten_ tis_se De h i m ^^^^ ^ * » « f r P^ # f ^ i 'uf f i () ue ce ri -# N 4-J _ V,» (»- J r _ re _ ten _ tis_ se ge do ce ri ^^ ^ redudicudes n ^^ l.t flots, re _ ten gloi 5^ ^r-^-^- fc '-à pE P^^i^ï ^ m ^ ^^ f f f f fe?* m û 5E _ v.i ip re_tcn _ gc ï De _ ti>_M' De >! 1,1 gloire du ditii des ^ m gloi la f^'^^^fc^ —• J^tJjT^Tp t lis _ iÊ^ ^('1 « flot s, que ce ri va _ ge re va _ ^e re _ ten _ ten - fr^ J p^^^^ J^ J^ J re (Ui dieu des Ilots, 4- du dieu des ^E J flots, <jiie r PE ^ P ?^ f^ tis _ De se # De tis_ se 1,» i 1 < f f . ^ fci=* re I)i ffloi gloi é^m m f f va _ j;e re _ leii #—^-» r Efe^ P 19- du dieu des dieu des ^^S re gl( Pr^^^-^^tJ V _ ti,_se _ P^^^^ f Iots,De la gloi r P- ri F f— f^ la ce (Tous) ^mm i5^^ ri ^^^ ?^^ ^^^=j=te^ dt s ce » • y ^ re du dieu J I f=f=tfeM ^ Que W pf J I îr I [' du =^^^^^^ re du dieu des ^2 #====*= =P re du ^g s? dieu des p^ 102 ¥ m Jà. ce ri à à Que ce ri ^ m m Que ce ri ^ « • Que ce Qui^ fluts. \\ flots m. flots. PE V P flots. rJ ^E ^ # i ^î=ï _ _tis_sc - T^ •- ^i» re_ ten tfc* _ «f tis_se De re _ ten _ ge r& P f va _ ge _ # l.i É ^ _ se, lis f _ ten j re _ ten _ _ se, ^ tis _ se. # ( fis m ^y.t - f- I.i -^^-^ ig ^T r-'p du É lOI gloi - ^ du re 5^ ^ ^J lLiXi—fr^-^l' Û î^ ^^^m TV" ^ du ^ £EB: ^ du ^ ^ re gloi 1 P i ^ re _ ten re V De ttri _ se, le» -frf— à rr ^ ^ _ tis re _ ç_^_^ De ):g v;» tlP ri -* - ¥SEE|E gl( l,i re _ ten m va _ ge _ ^^fci De $ -Jt. \^ * ^ _tis_se <. 'w va _ ge _ m ^ w ë r a; ^ ^ 203 1^ %1—^— r f _ m m dieu des flots. Que ce ri _ va _ ge re_tcn dieu des flots. Que ce ri _ va _ ge re _ ten _ tis dieu des flots. Que ce ri _ va _ ge re _ ten _ tis _ ^ _ i tis _ se, _ se, 1 ^Eg m 9 re - ten _ ^ re_ten 5 ^^ dieu r ^ des ^m i^ ^ w tis _ se ^i^ tis _ se Que flots. ce ri i f r r va _ ge _ r re _ ten _ lé i ^y ÈEEfeê r r o r r i F .. T _ se. tis 9- Ê (Tous) Hi^ — De « De TV la re m #- la r=p^ ax: s'oi re p ^ De re gloi »=t la tfj i f *^ p . re gloi ru g" «F ^ fe^ T du n (To fee du ^^ l/ 2Ct: ^y^s== du ^aj-^t£ff^ la ê De du ;N^^^^ 3t pIc i gRF= r r se. — ^<~^ 20* p^ m- dieu ^^ -o- des floU, sL ditu 31: des flots. #^^^ ditu 35= des flots. -»dieu flots. di>s jjhois H-t^ î B?' ^p i f im i ^W^ 1 iXTi i ^ ï^ # — ^5^ Que 7^ va_ge r©_ten ce ri .1 J J Que ce ri _ va_ge ce ri _ va_ge re_ten _ U J J J re_ten g I^ Que f 5^ Que f f ce ri k- k- i _ f f f va_ge re_ten H^ (Tous.) jg^ •—^ -• i ^gB=p i rr i * è -to- *- A.'" J ^ w âj= ii. (Tous.) ê4= ^=^ "^ _ 205 (Tnlis) •^ ^s^ J J -tis_se, J pl^^ re-len _ tis_se De 1. é é =ë- De la gloi :# ? ? _tis_se, ^^ J , re_ten _ tis _se ?^ _tis_se. ^^rf^rffr^T£=^ De -ti-i_se, gloi ^^^ P^ i^ (Tou«) ^BEi ê rc i ^ ^î m re, (le — De W^ 9 i.i a. 1» Joi _ re g , du 19 dieu des du dieu des flots, du flots, du di(Hi des t flots, r ic a du m dieu flots. —— S) P- du dieu des ^— d ^m ^=^^ ^s ^ ^^ fcfc i du ^^f^ re ^ g flots, r^-r^f^^ A-j^^zJ^ gloi _ re f: î dieu des ^g m # É Jii rf dt'> O" m fldls. ^^^^^N^^ dieu de>, flots. -^"r^ dieu dis g flots. g=g (L,.irr.) '>«' Lrrj^ — -ig ^ê ^^ ÉÉ ~cr !iOt AIR DES MATELOTS. 1^ ^^^ ± l'I/VNO. F^ ^E ^F=* ^ m Gravement, 1^:^^^ t=m^ Trr— i ^ ^ ir r^ff-g # — ^ ^2 ^^ r-p fiL — i # ai*» -nf ^ P= ^ i^^H ê^m^M « p ÈE^E^ ; . j #E3 ^ ^^-^tt^ >#« 1^ r w ^ # ibois m^ ^^ ::p: i i'¥ sir i.^ 3S ^ ^^ i i^ i Pg^ sï cfc± ~" i in' ?^ iT^ mè ^^ ^ É ^Tf^Trïwm '207 ;a! AIR DES MATELOTS. ^ ^ ^m -±_ ^ Vivement. PIANO. m 9^ C O ~&- P ^ ^ .iiië $44. ^ê S J » ^. ggi Ï^EE* -liJ :s ^ 331 j/g — [T= I »44i ît» -Q_ ^^ Œ ( S :â=£^ "O" l^ * •mm w# ÊÊ ^ r:tra: 4 * y i^ 3= 4 + IL-MJ ^?^ -- ^ P"-fi—&- ^m ^ g_»-JL ^=ï Ji- 51 ^i mm^ & <? 5^ mj^ ;^^ im -o èêEè ^ s :*::^ ê^ Œ ï^^ ' ^ é~^ r^ «^ r-i': F F f f iïÉÉ È# ^f^^ + mm M "xr ii08 1". RIGODON Ei.Tjn.hourin. Tn's vue. ^^^ P ^^ ^pg î PIANO. liV ^^3Ê :i=zï jmi ^ Û À= J: -G- rr c;a. m m^Ém È ^T 9* .fflUi r PP g ^ nv^ i ^ . i2! i -o- ^^ w '^^m. r 5" .mUÀ j. -o— isï: 1—o- ± ^^F^ â m= =f^ Hr-nr-i^ ^ ^ Ê * r Tt. T' ^ s 5 ^ ^^ p -it-'n*-^ +- ^ - ^ ^^^^ # riï l=è ^ ?^ X », y rr ^ • ièê p^fM-r-f i=:=:i#:f ^ ^^ m^ ^ ^ f— é -o- r t (Tous) ( é ±3t r r miii RIGODOT^. fct 1^ H i :^=^ Pf^ 209 UNE MATF.LOTE. ËÉ^ =^ ^^^-^f mour comme !.» _ Nep r^r^-^ f =P= lu _ ^ ne _ _ in on Ijbois vile v."' H'. E^: ? i^ r ^-^- - sVm_bai a iil)oi!» iv:" ÊEÊ T-5^ fck P ^ Pour _ (jucr, len_{cr la fur _ ne. _ tu ^ On o _ se ris tout }ni{s H';" t = ii On '( 1^ BV Mal - quer. S--^ ri£ j _ Pi^ ^^^^ wms. ^ ^ 3 V. TïOn *^ E=^ 9P -y a gre tant de ^^ piË|=i ^ nau _ fra gesTous _ les cœurs soni m<ile ttois Hl- ÏÉË i ^^ ^ w=m ^ ^; ([uit-te If re _ On ^ ^ <<f_|rorLte les o _ ra-gesL^*nloar ne dort que .-=ti d. mis le fl porl. glH,l5 m :zXz:z ^ ïi^ 11 L'il ^ V" Ê^ :S: ^ les ^^ n'.'" I^^lit sur rff^Nf^^ ^^^^^f4^^^^= iboi j le â t i= ^^^^ vo _ t ?^ flots. On pos, Éâ ^'^^^^ =^ ^^^ é On lots SS f: MeÊ fe^E^ ËÊE \ Ii':" 0/' rt^}ni'nd le J Yiti llinodon i SlO THESEE. ^^ 4^ ^^ ^^g X- Pour i'Au_teur mes de PEff V>-^^^ ^ ^^ ( _ h ^ vo _ t re voir É PIAÎVO" ze j'aime jours S ^>ir ^^ ir P^ "TT î ï ï Puis_se le NW P P - t'il ^ ^ » » mais sur tt=#: ja _ a IT un peu _ é pie fi ^ b 9 Cfia= P * * ^=gT^=g^^^-^—^^ ^^^^13=^ " ^' ^' ile_ le > Ré_ pandre biens qu'il dai_gne m'acror _ der! tous les ^ y A Mais, _ s^ b 9 SSiï: en se _ eret ^ t ( b il ^ ^ rp=M=TT=ff lez faut ^ que je l'im m * ^ 4 _5 ^ 53 pg-f suit O m OS:: 1/ fait i|z|: qu il me rrr reste en _ sort qui ^^ me pour_ =?i «'-^ -e- ^^ p « F • ft g co_re D'au_tres ^^ ?^ Le plo _ re; - ^ tt=4t4^ b 7 'i ^ ?r—y fe L*_J5L '» ^ S S ^ r -fppf biens à *^ lui de_man-der. ^ ï É 211 Scène 9! P thfsék. ?Pr - f7^gQuels D je fré_mis biens! ^ # r^ p- ^ quand j'y pen :^^ Mîê Si c'en est _ se ^ 1" 5Sr "S" ^^ -r ^ ^ <|ue la v.tn _ pÉ P? ^ TIFJ^ txt: [ r-f-^' r Qu gean_ce, i cou _ eLle vh ^ei^seC ter. a *± mon É î| 3" 53^ JL w T ~rr- zaz w^ m 1 cœur! ^^^^^^ Vivement S (Tous.) f» -»• (» m. se A ^ ga *t-5- P^ E f pu_nir p un ?^^ 1* p ir-4M-|Epg in _ grat w '^ ^^^^ d''où vient que '^ je lE lia s 212 ^=m^^±^ Quoi! l,in_ce! î£ ^^^ m SEé «iitS r^^ ^m m?'W^=f g*tW-^' m^^ §^ b O H- "; _ en sa * 5 gï s ^ f i Non, veur! _ ^sgfJS^^ yJrirJVj- # g d.tns un fils 1» pH^j^-H=M^^-f--^--p---[ si cou ^^ # -^ 1^^ *^=1= t ^ c 6 -^-v-» non, é f«: j rj « ï:sfeï-4 X$ '-^ : ^5 P-^ _ hit nie parle ^ ce sang qu'il trH_ pa_ble _ ^ Je ne vois qu'un monstre ef_froy ^-. m-f,^ ï _ a î£ 6 -5 W^ ? ^ &^ ^fHH=4-^-^ - ble; Qu'il ne trouve en moi qu'un van_geur. i Qu'il ne trouve ^ 3S: »-« »-»- 5^ gS t^ moi t ^ P quim Ç^^3y lït; i!tt±: ^? H^ rtî van # _ geur. ï i "p-rt-^^ &, X-^ # ^^P ^é (» •_ ?^ -ë —•— • en . 3iy / iil3 \i\ r3, -^;3 **-< ri" n — kgt^-^i& —— .->ii tvih-rh/-l ^-i^i 1* —m ^f— ^jf-fr^ f —0 \,^m 1 f I — — • ?=:^ r c • |__L» ! m THESEE. P =î=2 CR-f= * Puissant rgfftrmpp^i^Û^ S J rz: « # -s.jl i ^ pa 1 # ^f^ iÉEi ©a f-1 En _ Unds m,i i^ f ^emis.srtn P i^-ff.^^ le _ Per voix; rt P^ ^li £nin sfe f f CR?; P ^-g-^ ipvt nif t^ —e # :;tc -Vît ^ que t-r^ht fc=r:^ ton i'iin_por fili _ tu _ =t# :ÈEè (• ne ï Pour Ih der_niè re :!P =1^? ( »%- yi -+- 1 ^.===- ^ m ^fy ^^ih=é^ tî '2 ^ — m Î=-^4^^E^. « * Per voix, • 9 ^ ^^ .M mets _ ma gemis_san È fini-por fils •I -> T' £ re _ nie -_o _ ^F^ — r P^? 1 I i=f _ ne * Li f-r ^^^''^^ fait le r^ l' der_ y * - re nié I J timpor_ ^ r^ J^L^ HippoJy _ fois. te m'a w s -^ r-r *-• -^JMf^-^-fr^iri-H - tra _ ge, Remplis le ^ sei^nient f ë qui ten. ^ S SE "T -s- ^^ fil- ^^ÇEii€ ^^ plus san_glant ou i m PP ^ s=^ ^ F ton ^ Pour der 1,( r m^ r^^ _ tu . Per_mets que fois. ^ Pour M=^ , ^^9^ 9 ^ tu _ ne TTi m^m ^ "• k-^ r>iIeÊ r ICC ^'.r te m p^ ïiiSi i^ ton fjue W^ 1 î 9 . I _ tends È^ ^ m, nhê i En =^ f r :. foi-. ( ^^ H 2 :^3t ^ ï i^ 215 ^ ^r gsjjg; par Pré_viens ge, _ ^rp r son E^^^^t^l l tre mon pas _ î de_ses_ poir É al :£ Hl^- S^t f^^ -s- gffzi P ^^^-^'\-^=^^^^'^^^^'^^'^^ CSS= P ah! freux:, ^ S mon \,ui_^(r de sai-, in ^ =8= -*^ ^ i • ? _ "^ ^ '^•^ re _ fu lu si • » ^1 1^ ff i r :t re. ^ Je ^ I pa_ri se _ rais r ^- ' _ cidc, F p et tu p ^^ ^ se_rais — par ^ i ^ g^ ^s ^ — 1» #- F"=y _ lU _ r^ re. Non-, ^' p' se _ rions 3=p 1 ^^ 919. j r F cou .pa F r ^ _ b!es tous -odeu> il(j FREMISSEMENT DES FLOTS ^ ^^ n ÎE^ F*: J'IAiVO^i E J. LJ É^ ^ J #-R # L-: LJ LJ * p §P ^=^ F "T^r Ti~y 4^=^J-i r^ • -^—i^i— rrr rr a 5-/#=#: >> S" ^S4: ^ LJ-LJ : = ^^^^^^^z* 4s^^3J^^^ T r"rT- s ^ i ^^T^-r m^^rUL ^=^ ^/~li' J r # m » y - N-== F^ :^=^ ^ r r ^ Wm ^ \ f^^ f P « ^i^rr^-r-r -p- *# ^E^Jt M.- J m jr^ /^ i r i- i- pS « ^jii^ -f—j -J 'S j T ; A i^E^^^Eé^^^m ^#^ ]^=Ff=P^ f f pE7 ( f ^ r r r THESEE. r r * g ^^^ de cour _ Mcùs h^—^' s -^=?*l: :::i:è=E#=f^S' =fe:-^^3^£Î& :$=^ ? :^t:^f= j^EE:^ L_l L__r LiXZ LXT"i::xxj" ^t7 r gE r r ^ ^ Hip _ po Bn^ te^ 3ï ^ ^ ^ETt^^-S i pablt VOIX, ( ^E :|th=fc _ ly _ te. i î^ f È ^ 19 r i ;=^JL-MM^ Tout s'' ;,p_ ^ prè.te T^ vw .\ i^ v^n _ -r fe^^EfeEfsEP ger une in..ju fc _ ro mor 'J.tH 53E m f^^ _ tel I I Nep le, _ fr ^3S R^-r^ tu _ ne me se _ rn fi _ ^ PE ^g=i--— ^^t ^^=#4=^—^ Dieux H van_ger les 1 ^ P ^ • r Rois, Rois, ^ .g C est *rf f aU' Rois, ^2E^:£ C g- D Lfieux est aux p p P r van_ger a les g ^t4-L-£^ n r=^-#^ r- est aux Dieux à vanger 6 g^FH - p=Fg=^ ;^ f; js* ^^ C estaux Dieuxa vanger p — ^^ « i^H=^ c aux Dieux c'est aux Dieux mi*m p aux le. C'est de les Rois. i Fin du 3*-' Acïe. » 6 » les 7 219 e.\tr' acte. m^ ? ês ^ Vivemi'ut. PIANO. w ^^ *=« o o pr ÈêÊ PE # ' I' p È # 3ï: ê^iÊ ^^ Tl*- • ê P C , -0-^ ^£Étt ^ « n • • P^ Ém ^ * 6 + f^ e s ^ #p ^ r^^^F- -±- ^ m 5^ ^ + ë -#*-! gê ^F-T-r-f^ ^E xn 19- nar -O- =tl= 1^ "cr m iÉ ?^ ——^ P^^ JDL •—(T q r^ ^ t=4 ^^-^- ië p^ ? Ç : iSz Èë èi ^ Éi^ u » i ^ -o- TT -&- Z 220 ACTE IV. Le Théâtre représente un bois consacre' Scène 1*^^ hippoltte. f 3st=: ( m^ 3E g U^mm A m^ § ^m ff&f g« .-i f A- j^^d^tosmti^r mÉ^ié (I ^ -^f-^^ mM^ =^ ^ri=i* tï^fêi PIANO. à Diane, situé sur le rivage de la Mer. 'f^ I" I ^ ^^^m '^u'U r'^ ¥ M .Ft; .1 fflPPOLTTE. ê MEEm i 'f-rrffja . IPI Ah! faut-il en un ^ ^ ^f ^npi ^ W^ rt ^ i=E: ^!^^fr=^ .=t- i J^ jour per dre j> I tout ^^^ # ^ ce que j'ai m^^^^ w g ^^TT A ^^ J- p. H=^=»^ me. Mon pè 5^: *- ^fe _ re s r ^ i pourja_ m. 221 ^^-^=^ .ma is i me 4t ^ i ^ de ces ban_nit lieux -G 23= ^^ Je ne ^ m <*. » • _ heur les beaux yeux qui fai gxte- ff <; ^ .4- ^£«^ H^Vi; tout ce que J^ CJLT^ Et ^S mm les P "r maux que -m I ^ t? f P^^ p r faut-il TT=^ m^^ i F drc _ S^ f ^ per jour en un £ f ^ tj j . i^- me. r^ H m É j'ai É^ ,n j- ^ Ah! me. ^^^^ P mon bon. salent _ m 4# 3x: su_prê p^ T ii ^P ti^^'U-H w P i "TT- ^ ^ -o- ^w È plus me ne ts 1^ verrai _ i i me; ^ chéris de D'i-n si J P ir^^ if-^r^iQ^> J. |^^?^i^^ iisr/^ ^ f p iid M £^?^ ij E ^:: crains, et les biens que je ^^ ^E ^<^ i^ i^E r je ^^ ^ perdîïtout ac_ca _ ble f i—JH- l^ mon i'1'1 J^P cœur d**!! _ ne douleur ex _ P^ t =t TV ^Ë i mes jours dont ;: cou - 4v- r r F, Fil^Ëi r gloire aux yeux Pu-ni de I^ l per _ drc P â I f »--jr É s ^ tout (V f^P# ce que j''a ê * Ah! faut - # r X mmm ^im=^ rr ^^ :^ t^tif^ ^ ^ s j ^ P ^ en me. 'i«i.-_^ ^-f il my un É rd^fj^ (I de_vien_dra ^i^ P^^ ^ J' J^ ^ 3E -O- ^ 1^ Que verts. vers! ^ — ^^ Ë P 4xx_ _ :s^-ri ifeE^ -^-^ it r i J' ( 9fc nu _ âge af le rt^ M;g sont ^^ jour F *# t^=^ ^,'p- Sous g K iil -freux me, trè F j t p I - p p E2 ^ ^ ^ £ f-p ^^ _* ^^ L ice: T Scène aricie, S^* '223 hippoltte. ^^ ARICIK. ± C en es( ï donc cru fait. _ ^ e Y r P rien n'arrè _ I p p vos te sa ( a -^i^ i J P ^ =f5 HîPPOLTTE. Il _!. t Ho votre a _ man_te pas, Yous de_ses_pe_rez ' par _ las! i vos sou_ s -^5- 6 S É a jp 3EÏ , pirs "M mon P P dé_ses_poir t 3E p I s'aug- p ^ r msn f^ Je _ te, ^^-^ F-^ sens mieux tous mes i g^^^ ARiriE. Ê •'^r m aux ^^ ( ^ p en p r voyant ff » p^M^^p^TI'' V' ^ tant d'ap-pas. Quoi! l'i _ ni_iTii_tié de w ^ If 3E xt: ^ -tor ^ 3E ^24 $3^sp;;;p;^P^"J-' ^'^îl^ Roi ne vous m 7F^-# _ el f.ut le quit _ ^^ ^^^^ îï£=« de l'ob_jet ter votre a E i ^^ s HIPPnXYTE. ^^^^^^^|=F^'P _mour? Non, je ne "T" fui -rais p pas p-M^ p ce charmant de se as ~Jy^^-T4 -j ^ l « aE > J HIPPOLTTE. ARICIE. i^j^j^T^FtfT^-n^J^J^^^^ _]ou-r, si ^ je n'y craij;nais que sa hai_ne. Que di _ tes-vous? 3E Car _ ï ^t^ ^ W=^ P ^ ^ ^ f^«^^ ;'-r^-^^^r-^-p=^^i=r=r^ ^ do_ser dez por_ter yeux sur le plus hor_ri _ ble t I 6 ^S les -"êi^ mis ^ ^ ¥ ÏE 22V f^^^^s^^^-~^*f^rj^=ff^ ^-^'^ (e _ rc. Le respect me force me à tai _ re, É ^^ J'of_fen_se_r,iis w SE "^ \^ f± 6 -&- 4 Jf lE ARICIE. 4(L é Roi, ^t3==^ ê Di _ 1=--^ a _ ne et f, P tous les * âËâ cri -^T=l^"F^^-p-t-^-'^ _ me, mon coeur en est dé gi,»_cé w Z~w Ce_pen_dant f \ ^. 91*). ^ d'hor_ ^^s ff^ ^ vous y ¥ p.ir * 1» F=^ _ tez. Et de !^^j»^ ^ Phèdre en i5 -Sr g el 6 \^-9 "~S pou_Vctnte W» -s- È \-' as _ b É reur. mVntlire 3 m * ^=^^ r i C'est -rS- ^^¥E^ ^ Ah! Dieux. ï PP 5 .sez. TF^ l--''T^^T 2t 4tM lu _ 226 AIR. ARICIE. pouH-quoi iié_parer deux coeurs Dieux! à IF^ -& i^ Que lamoura ji* I te ji iLJ f lau _ tre. Pour _ quoi se _ *?^ 5=i= p;i _ i riF 6 6 4 5 ^ * É P~^ ^ un pour 1 i'i J: §S É faits deux E cœurs fjue ^^ la_niour P^ i .t it 4 5^ i ^ f^~p f.iits .* 1 ^^ ÉE p r I un pour lau p f _ Eh! tre p p quelle au_ tre t '-^&—ç.- I r' main p L que -e 6 ^^ "^ t : % 7^" jVJ vô _ t m J^ tre, Si J^ i^ J' vous m'a-ban-don _ nez, peut s *^ + i- J mes es _ suy_ er 4- ^^m :^ 4 7 e 5 ^ c):ii.U (g 4 t 'm m i rwT-ç> ^ p r pk'urs.T)ieux!pour_quoi se_pa_rer deux cœurs (Juc 1 amour -é f 5 6 5^^ 4^ lau _ tre, Pour se _ pa _ - quoi faits I P un poui ^ rr i b î^ w=^ :^=^ deux coeurs Que rer. ^'' '^ 45- 5 t^^^^—tfÉj '''i^ a l ^ J^ î jip p 1 amour ^ a 1::^ ( ^ f 7 g -e- ^^m^ ¥ T X Hll'POLÏTE. r-r^rn- ^FH^f=^rrt É laits luii puur lau ^ 1^ 6 6 dai_gnez nie hien! 5 7 4. ^ ABICIK. ^^--p SUl ^^ t^ 919. he r« ^ÏE ^^ tre. s vre O cici! S 3i=- M^ * <jue « —g . di _ tes I ^ 1» r - vous? -o- MuijVous f =fi= ^ 7 "75" I» i srv HIPPOLTTE. - g/ M^^ j ^^ ^ m 4 ^_l_,_,_g, yji •'F SU! /1 V •*« A. m - Tj > =P Ces _ sez vre! - ^ —» _j —— — • ! P ' 1 ~- r -m ^=*— -j y de croi _ Que le puisse ou_bIi _ je ? -• tî 'J • A- n''> t'ir _ ^ ! si • ^ '')•'•« JS — 1 t \ " > i 1^ — i=^ i— =^ IL .J *êsgE^=^ vo_tre de >oin le ^ ^P^:j:^:^"TTT En ^^ _ er V) gloi _ re. sui_Vctiil â Ty==s P vol rc a ï 5^ g^ i ^ -^s^- r^ ^Bt _ V^ ^ ^ ^ ^ — r=^Tr^^4 -^ niant "oussuivrez votre J a qui! si.len _ ce poux, "\e_,nez; fu ^ »*__i 6 7 ^^ _ 3 J ,1 P?^ E S ^ ARICIE. ^g -S-Jt- -ih ne.s ¥^rig^:^ ^s _ te! Ah! * â3 JUliL-^Ê^É: m=*= Prin _ ce! eroyez-en 3E moût ^^ 3^= 6 =!t^ la _ ^^^5 f^?^^ cjue jVn .it _ 3F -Sf ^ 119 2 '20 ^ ^^ AIR. i^F- ^p^n^ _ tes - t ^3 *> EfcÊ Ce It', ^ <r. ^ :p= lE + ^=^ ^^^^ ~m w sort 1 et le mien, M.us Di _ .ine ^i=t ^ mour et i_ne-xo es! _ F^^^^ ^^^=rF^^ les m a _ maiis. pp^^ ra _ ble Pour 1 .i f W^ HII'POLITE. pour m i^-r P^^ =t: gf£ ^ p ^ï ^ 1 ^ ^F?^=^^ »=«- -7* vo_tie _ iiir -^-ah f^--j^^, T*r-= j Du bien ^ -f^ ir=? ^ ^^ n^ mon Miprè_me r.iil ^^1 ¥ r^^^^ g-^) S A ^ d in_ no _een> dé _ sirs i)i à â ^^j^-^f^^^^f-^^^tf^^^fTP^^"^^ ine est la_vo _ ra _ hie, (Qu'elle i. 'J^-JF" ^^ i^ ^ g: f pré _ à nos ser side _ 14;^ ^^. nienn ké ^ lf=^ ==^^ WT^ ^ ~^ ^" rzE 230 ( É ^ -^ ni o) Nou> "ZZI h J) rtl ^^P nous Ions _ '^ nous Ions im une rtr _ _ ^ mor_tel _ le g=p=n - V Noua =F ju im une rer ju _ mor_tel _ ^ It ^ P É îï* ?^ 4v IM loi, ^Rei Viens, #-= tp f^ _ y)- _ g -& rj : ^"r^E:f rets, Viens j i to _ ^ ^ *?: 3^ fo — Eï#=ff -/, :?^: ne des Rei _ ne des Viens, foi, ^^p"P 1"^ P P for-mer no -m rêts,Viens for_mer no _ (re ^? » 7 _ _ ^ ^^ r _ ¥ * W^ ch.ti - fre _ ^ p ne, Viens for_mer_ p ^R^-frf^ ^^ • ^ H. chii ne, \iens ^=4 t^ 6 5 «- E 6^ # r _i2_ ff for_mer_ i!3< t' :^ H. I5tr^ 33: m chaî _ _ ^ I 4 Que len_ cens de ne; voeux i î)e 7 tM^ / ve. 5S= p Ê^ cens de jus qu'A :4* _ S'e toi, _ le toi, -i P _ ve jus qu'à _ toi; ^4p-. no^ p vœux IW=^: ^^: ^^ P^ P e i _ T' le 'P _ ve p F jus qu\A I «i«— iê \e jus qu',1 ^^ ^ ir- le ê le ï;^ * _ _ e 19- ^^^ ve ^^ r"^-££ijHrf - le •* y le ^4££^MA^ M ^^ e _ Î9 ijz: y 1^ _ voeux 7 É F r" ae nos 5^ 9 m nos rryT-r-t ï.îî= A. Oueltn-cens de ne; ^m no_tre m^ r chaî iio_tre s^ *= w P _ toi; «^ -& ^ Que ^ I F ae en. ^.-2 g T Se- A. _ le ve. _ ve II' ju,', _ qu'y H. jus-qu'c ve i ( ( ^5 -jg-^- P ^5 if-i^ #=f="'p P Sois ton )ui^ I _ 'T^^-4f=^irTr joui'ï, 2^2 i nos p p — jours de Soi> tou _ loi; de lu cteui,«. ï l I^- E-^ _ que sou_>e u _ ni _ que sou _ ve 5^^^ ne; _ rai rJ'' ir Que 1 en _ _ ne; Que r cens de i l'en _ cens _ I g^^^^P^ -ô^- É w ni m ^ 7) r,(i p _ :;i^ coeurs 'nos M ^^ • "r no s i t ^ v(Oux de voeux no s -^ i p rle ^^ ve _ |f r-gSV (^ _ ^ jus_qu'H pi!# ve le jus_qu'a r 7 p m 6 y ï^3^ È ^S in toi; SOIS luu _ lotus tic L'u - lius — i^ É -jg Soi^ luu (oi; ^ :=X: _ jiiurs (le nus <wiir^ L'u V-^ i ^t^ -=^ 6 ^ ^F:::=I^ ;£- ^= ^ 7 ^ fe^ ¥=^ S^ que sOM _ Vf l^^p^^^ m iJUf A.^ cu'urs nos 1^ . cueurs ou Vt- ^:5^ m^ _ |(Uirs (le s _ a^tz£g ;E:SSï3E33 m S(MS j^j^ t^ "m _ ?^ Lu ne Frll ^^^ -. m ^ ^^^ ¥^ _ <juc,uu_v(' _ rai nw^ =^ i^ i: Il Suis (ou _ jours _ m _ qui' soii_vf _ rts no _ ^i —— 1 t- ne dt- nos Joli ii . '25k' HIl'POLÏTE. RTif y y Si je ^^ ^^^ -U- pui s vos a u JOUI"' tous nir _ ^ mes nio ie=5 ^# f -y , P^ Ï3 _ y X feE% V^-i^ J'uuhlie iiKiiU »- =Êi± _ 121 ^^ tous rai 1 1 les niau\ uu ^ ^ le ^ ^ ^S= ( g^ 3 v^-ns^ -f I me tit t==» ^ , IJ S _ tlilU _ t^t— -y-^-^-'^^ i =^# %i?";g HIPPOLUE. É tE^ eeî; \-/' :iiz: Le ( sort m^ i^ 93 1^^ : Rruit <]. r ( 1,1 «. —T^ t ^ cori_duil ^g- jv- vers nous — ^2 ces q^ T 7 lEE =#: -t*- ^ M 3^ V^^ -• E^ ^ ^ ne. : su _ jet> S ;^7 de W * con 7 ^ Di 3E ^ ^j^ l\ ,, p p p p , E^lQ^f-tU-t^-^ df nos a -ne, Qu'ils Noienl ti'_ niuins ê >,er _ mo a; 6 -tf 9 — 5 p jeux ( r ehers si w^\^: ^ f 1)1, tilt De la _ pf, p craijinons de 7n 1 ^ Que ^•^ tf (^ ^ r (rou m _ s M 4-M^F ^ p S ^- ne saurions frup nieri INous ^ "2: « SE r pour nous p el ^ V7 ci p ter. ir_ri -^ .j.—j^^ ter t ;. | ;^ r 4- ^/m- les se. ^ ^^ ^- En es _ AKICIK. • m- f ^a J 1 ^^ ^^jg ^^^^r> i^, r— 9^^^^ 919, M ^ ^^^ ^4 ^ ^^~f •'\' !? il<' ^9- ^^ i respectons s îf=pS t p^? mens;JMais f S rt e ff ir p s'in _ te _ re> p^^ se. :J5b Scène 3. HIPPOL^TE, AKK t^. FEM1IKS. U;, Troupe «te rha^^sems Chasseresses ^=^^ fi= J J-'J ,1 E di H(JMMK.S. par- Fdi_soiis / ê tout H=^ .,uu5 „!)ois V. H. à . ( t . I toi's.dt ilIias^f. <. m^ .T i^tUL-^g nous a la ^ vie _ A_ traits r • jM *i iii_mons «: _î_A. SE^ÉE^Ei /ri nos ^ -i=j^ flANO. vo_Ier E^E it=^ Que toi les ^ w ^^=¥ nous a vie _ toi la rts ^^ ^r^fr? Cors stuU m^É=^ ^^ =5: fF^ II p p —m F^^M^-r-i-r^^ an très les plus se _ crets K-fT-rJ F j' Re_ten _ tis _ è=^ p ^^^^ Que. 0^ r fe P # f t- ^ les ^^ S^E^ ^ ^"^^ >ent de T*- P- y y an _ très les no _tre A ^ plus se _ zt T P ÉEE^ L!LJ ^3" ifr"^ ^m P ^loi P j*-- _ rc, Re_ (en ti> _ ^^ ;ii Re_ -cret» tcii - >tnt, fi ^ re-lcii m^;^ _ tis ^ îh— g v^"'^f ^^ seul, _ ^i=f TiT -J- g^f-IH-^^g^^f^^ ?^ sent ?5^ (le notre Que re. j^ilo _ eloi Que re. r^f—^^-#^ ''^Wz 5 ^ V les 1» _ 4^=4^ in _ très les $ plus se plus se les 1^ 1^^^: in _ très ^ ^^-^^r=F=p ^EèÊ Eï'-^ tis_stnt de notre re _ len _ ^ h'." É ^ _ cret.- Re —y- I» _ ten è ^ crets Re _ _ ten _ ^ I» sent ti>. fis ^^ _ >ent —•— de no _tre ^ de E no_tre — ^/-s t' r re, (Jue fc'oi P ^t p. If an les - (ils re, (^ue glul — ^^E 1» •- les plus -i- _ m an _ les très les p^ =^=ff plus se _ m r I [^ - ti» _ F sent de P _ ten _ EL p P no _ tre re, gloi m LJL^ « • c tt jt Re crets ms^ t~S i Ja •. lie _ ten cret.i ^ * ^2 P. ^t i=^ï S ir p Re_ten M - tis F-p g de _ sent no _ tre • 23 t=t^ V tis _ sent de ^' P no _ tre re, gloi Re-ten Ê- I iT X' ^ ^ F I • t¥ - lis _ • f y?"%t H^"" ^^ S t=^=^^ ^ sent de J I F no _tre u¥ : I gloi ->' r r ^ gloi ^ _ _ rt 1 I 9=f j i^j ^ nm Cors. . E nr r p / ^^ ^^^^^^^ Fai-sons ^ |),u'_ tout P zP t i y Ifi' nos vo_ler nos m f . y- r par ft _ tout I par _ tout \o_ler nos ^ !^^^^^^^ ^^ rT,ms.) P^^^ traits; CR?: P A - ni_ni(ins nous a la vie _ A_ni_ nions loi £=^^^-M^^ :£ trnits;A _ ni f * -Pions nous a la vie- ^y _ loi ài=i=i Y- A _ni_mons re. ^. > =*^ ^ P ï;ss= 'r'T'prMrrnr nous a ^ ^^ P nous a ^ i. ^ nos ^^ N^ ' p ( vo_It'r ^ >- ^2 (raits,Faisons M -H^ J Cfi2= / traits, Faisons (l'ous.) 5 . : f-rHH--F^^^ ^^ par_tout Fai_s(»ns '^ r-T»- t£ \ vo _ '^3<J la vic_ toi _ _ X >01 f C.rs. (Tou.,.) ^¥=^ y re ^^ la vie - toi _ SI M^ ^ S ê^ re. g?^ ^^m^^ s ^^ y y ?aéEl* -SL ^ 'JLIf iio y/1 ^^^^^m .* i^ A_!iimons iiuus d ^ » ^ -0- vic-toî _ re l.i <j}ue If A. SL !;ivic_toi .< ^^ 1^ 1=^ S trt^ re _ #S^ rfr* l('.-> >• * ^ ^ plus sf _ crel> ^ten \\v -» V l _ 1rs -J *• ^^^ • e. *. 1-- -•—^ P ^^ J^ W (i- ggp^ _ crets -ent, Ke_ten _ lis ^m l{e_l< n tis _ re _ f en rr-fr-^ n n T an très — les plus P f- se ^ 1^^^ f FP W^ stnl, (is » Que r-ti=]^E^ ». S^ îff=--i^=iM î^^ c £ f^f P ^?'h ^^ — ^^^m -g-^A_nimoiis nous j -^ ^ p J^ sent, de no_tri' ^ ^ «ent, re _ten _ I J i ^ ^\o\ »==t5: 'is sent, m re _ten "^ ( ï^ ^ j__ * -ji #- ^ ^ y/1 M ^41 P^no_trc ^ 'F" ti-. _ sent de T=Pp ^loi te re, |lf „ {en m :J=t_-=:ri ^^t T^ ^î^=F# 9 ^ ^^S y ^t^=fc lis_seiit «If giipg notre gloi 7 ^ * » Que les re. Ê^ÊS f^teig re. i^rf ^ ^ ^Q aELES » f- tt i m r if _ très les plus se — _ crets. le _ten _ an _ 1res les pluss se les ^ ±1^ 1 # ^ P grf: : ^ seul, ^É ^ re_len ^ ^ Re _ten _ crets J^ - _ lis ^=4=^=^=^=^^- (» 5e:ee^ :^ \ ^^^ ^ fr Une .: di E:=y~F"K -»- 9= ^ %gi J- P- ^ _ m^ T^ i _ tis =p= ^f=f? 5B sent, rtlen _ ^ms^ - lis- sent, ni i g^^ 1 * • iv i • j ' ^r^ f ^E yue rjr^^zt _ ,»n m- lies les pKis se m B^ m m ^^ w -^^5— é£-^ ^ _ - crets ^ an les _ R<' _ ten _ tis ^ lin: sent de notre li s+ tis gloi iË l: ^ t^ % ^^ ^ sent de notre ^loi i^i J S^^ —p p • ,^Uj re. 5 i rt sent.iejen _ _ ^£ ^^^fe^ I5e_len _ très les plus se ^ ^^m m g=fci.£ n^ J r^r^ ^F=J cret^ fcs Xr- I ?^ fe^^ # j'jd i I les (lois. ^ ^p Que 7 ^ ^- :f=m ^p ,-^4-* ^ f—n^ re. ^ %¥ re. gloi f-=^^ ^ gloi ^P -t-tj notre (11- df ni)_tre stnl (i-, m y K'^ # £: Cl è -122 ^ re. ^ i^ 243 1. .+ ^ — ^j h AIK. ^ «bois PI^^o. ^^ :^^ JY r p ^ (Tn„s) ^ W^ p l=fc ^m ^^ ^^ p f^^lm - P ^ i;ii„ ( To U S Vf . + m 1» I» I ) «=f= y jjhoiv feÊEê eiM ÊÈEÈ li^ gfei ^ thoi T X KIN. p^^^ (Tou<.) ^m ^ SF^^ + r» m mm -4- ^ ^ ^^ (Tons.l ^fe (Tou^;.) jbnis •S- ^;^i£mj » c » I i R'J" ^ ^^F * A P^^ p^B 1 ( 91<J. ^ «. # -» f M fia A A X y ^^^ > ^^ &3E* ^ % | rf-f:^=^ir^ 244 \iK. 2r. fa?^#feH ^^ PIANO. ^tt^ ).«l^ 1. Ji, H'.' » Fin. T==^ i* t- ^ è g£p i fefe^ f^ r- ** rt'r -0-0- mi PS B. (. i^ ^ B.C. m jjl.ol 2^ Reprise yn ^s fe^^^affl -t-^ f^ f fTTT ^ 5^ E£ B. C ^^^^^g f t^ K f=f=^ ^=^ i9- ^ s — ' Ss^ D.C. 13^^^ ê£ S- g * «^ ^z?ifc^^^ i^ juitju'au mtit t iii '24 s Vue ^ Ch.i^sereise. "^" r. a i ^^ V * *. ' lu Nj' y 1/ A Ih ^' p h,)-,sf t ËE% ^^^ Eg H chc<s l<t ar.. nU'Z M', Ch" sseur. ^3E PIANO. CHŒIR. fe ^ Cou vous, rons _ i J'' J'' tous un chasseur. m 'ff X l9- ^ iT mons _ ii4i-â t^=y t'hasM' ((.'hauD =œ3 «=fc à la I- nous; i F=¥ È Chasse a 9- ? ^ rons tous f f I? 1,1 chasse ^^ t ^ ar 1^ ^' _ _fc=i nions nous F p 1 _ a la (Tous.) f f ^ chasse ^ -4 - ^ V Cou _ nions ar ar_ nions nou- ar _ nions ^40 — ê^^=f Lhasseress Uni- p ^=r~k' A Ih nous. • ^^sjg^ Z2= p ^jg ^' L'hiisse ,1 c ha. 1 rt se. ar _ niez 1^1 nous. e m ^ w-^-^ Ê ^5î^ CHfEUR. ^ j, Cou vous:, _ ^g=^ j. J, rons tous In Chasseur S¥ff i 8 X y lt yp w ff m ^2 g chasseà la ^it r, (Tii.is) ^j-^-4z_4A ^ nions _ » nous; f P chasse a 1.» . ^F=y ^ y f^ * ± ^ 1/ à la Fin. chasse armons nous ar_nions —— E^^ ^ # y V Cou_rons tous A ^ nous. Fin. (• chasse armons nousar_mons f nous. Fin. f p p p i P |P^ 2*7 Vue ^^ ^ i. ^ h.Tssere5se. p I des Dii'U ce _ tle/ cijc'ur.s. i,hcil ^^ j i- non. ce, -- ,1 m ,i,n i^ t 1 r n'." 9 v;îg= FJ^^ ^fcp= re-gnez ne non, ja Que mais; _ Së^ É^ 9 ^ ^ ^P^ f r Di _ _ Q"^ (le, Di_,i _ ne nous I -> j. ^ r- .-^^M*- £m; ^ _ r«'ts ^^^ ( c-T"^ f sous ses lois nous Pi^Pp f^ui _ ^ r m n r ^ l: p^^^M pre _ ne urr lirEi £ hd-^b-l si _ .1 Dans de le Tond des fo _ ETEgl -y-^^ ^fr4^ •^- ^ vi -\ons en S »^ 1 r ^ OrliX. ' or .1 In .lu ^1«5^P, (le. s(|irau nuil Km .) S- é d ^^ -p â — p- 248 Vui- Chasseresse m -TT^ a • j^=^i^No s a ^^ P _ SI les sont m tran luil ^ 1 Ê r^ — n'a plus rien d ^F at _ ^ * g^^ Aucun _ laits. pTp Se « _ • p On i ^tM r p 5541= ^ i- H' p des rit y E a _ m ^3 % ^4-^^-r-f y _ pas- se ses plus beaux I jours. ^^^-^ ^^ €h.v.se etc. Ju b (J u\i u s par H^tfr-f^^^-^^ fUp-^=tp: _ mours,()n ¥ sont Jh ilt se, s^ rr7—rB^=f=r4 » "1'^ |J soin n\nihar_r,is ( ff Le-, plaisirs traits, W^ i^EEèé . J^ '^ ?> 3jg S^ ^^ f^i' ( i non, les, _ ^^ S r- ) yf-^-^f--r^ m oi F ^mm 1»=^ 1 n % ^49 1' ^ c±± 3EŒ PIAINO. V?"%t ( HEM ET, É H^"'" i ?^^ ^^ ^ ^^ f-asj ^'^-^^s^ P :ê=^ Ji (Tous. ^ËS vîîï: ri ^ f^ =& ^ 4=Ê ^-L^ ±ê: êE^ (Tous.) -^^ =?F ^ P^ «=4: Mj'i f .) n-B I i I P ÇFîi: ê i^ ^ 1^ #— ^ -iS-^ ÔT iSO 3^ s^ MKMET h!'- F-|n;^-g I m W- ^ f Tu. É r^i=f ?F^ ^ fn» ^ ^3Ê RO\DEAl. ^^ ^EE^fâ PIANO. en > I è*^ ^^^ ^XLlfi^^ ^ - On renveiiH le I. Menuf(. FIN. fe F^ ^9— ^ ^- R-^atÈT^ rrT^^ îî? m^ t^^JT^ ^ il p Rt'p ^ ^^m ^ ^ nzfz: t ( '^>-ur ^ j— ^ ^m ^^ ( t P^ ^^ j^ ^¥=f=F ^ S- ^ ^ôl BlUIT DE MER ET VENTS. "^^ ^ ^ ^ ^ j i^l i j ^ é 5 5 f Hm\-H-M+4^ ^ •# ¥" » » 4 -^t^TITTirj^ 4 i jiiii if i^ JJiJijj73Ï4^7tJJ4JiJ#JJiiJijJ ïJllui^im^è-ua. ^ m ^ ^ t^ PI 19. ^^^^= «^ —h-* 1^ 252 CHOEFR. FEMMES. ^ fci^zi: Vents! O o 'm^ V Vents! /iv—+»—Q- u n Ciel! Ciel! O a53 ^ ^ Monstre ^ '^ Monstre 919- le ^ ;1 en Ê _ _ le en _ 254 Ê nos i.inh Ê ^g^ fan le ^H " nos a llflltlfay km r ^ ' % r^»-^t ^ ' r ^ Di ÈÉEê O ^^^''^^^:j j^' ^ Di fe ^ ^/^^ i?^ ne ac _ cou ne ac _ cou f» • m - nr^ 5E^ É , b g g — g- — g g • • f f P mmmmm4^ *—= # m ^ • I n =f _rez, \o M^ry-b — t rh^p'- ^ 255 1 _ z 1 1 1 > _ rez > 1 JTn^ — ^^ '^ îf ^ VO »- • ~ • ^ ^E —s l i" 1 i' < ^ lez du haul (lu h.tul 9^£^ V" lez f des » f f e HlPl'OLYTE. ^ £ Cieux. iESEB \e PPÊ _ nez qu'a son de. S ^^^^ V" Cicuii ,( ^ F=^ = mm ^^=^ •2 56 ARICIK. SS =^ * faut #- je -^ vous ser IL ±==Jl $ m ^ .. gu ve de _ de i f Que -tu? _ nir! ^ p va - t'il ^^m ^^m. je tremis, ièrat _ ve l ^ g=^fe je Jris_son_ne Est-ce ai 11 ^aar » y X P ^ t=f de *: m^ m i Hip_po. _ rêtt #- i a^ ^^ Ar BiE •- # # « 2 57 -tr^:^ fe^f^::^^ _ si fjiic les ï Ditiix -Fr- pro _ _ tt gt'iil vtr 1,1 ^^^^0mÊm i Di II.; .. a :f£=±z gE 5== ^-- ^ tr&^ ^^ don m ne mè ^-F-ft —>— t^__^ _ me 1 ,» _ b^n :fe*: «: 1 :£ _ _ ne, Femmes. _(2_ Dieux! — ^^ » ttui] r -Je (Choeur) Hommt 1^^ -^^ :^ -JE Dieux! quel 5^ - le 2 58 \RICIE. iTs frV-^ ^ ^^ -^ _ pal ^L # Tout ^ • se dis _ éd É ^ i 4^'' r > ^ i-' iS^i^^ î J^^ r _ If — lu- ^ p(*_r,iîl f 5 ^ hé_ pe si t5 \:> iat Hip-po_lY las! -ig— W ^^ W meurs. pas; f f -î*- q-^ ;Chcieur.) -j2 O m o C. m^^ ^rrrro ^ s. dis _ grà _ ce dis _ -r a_ee cru _ el ^^^g- _ le! cr u_eJ _ le! ^ ^=^ ^==^ w^ i ^ • ^ÉËË • Hip_ po _ ly _ k- • p p llip.po PÉ * • * t<i I n'est plus —^^ _ ly _ te n'est plus ^ 2i9 CIIOFI K. .SCCnC -tÉ. ^o PHEDRE. PUKDRE, I J^ J> QueJ_K' Trouur de Chas>,eurs J' pl.ùnte > ^^ en et de Chasseresses. ^ ->-^- ^ r' ces lieux m'ap _ pcl le! _ 1 ^LLJL FEMMES. ^^^^^ Hi p CHŒUR. _ ^^ P^^ HOMMES. po _ V Hip po _ _ .( PIAINO. É PT^^ Il ^ 1^ ^^ _ te n'e.st g^ _ te n'est :*^=Jt3: pins:, ô I ' tel P _ l( w U re âE^^ m O plus © g douleur moi plus -«- V ly rO- n'est P't'f Œ :¥#= 5 6 ^ re. É^ ^^-=fe 260 PHEDUE. ^FX ^^ fe tp:=:iK. S Q^< 501 :?2i P=^ (^ ¥=¥^ 1 I et V~7'v~t 9^ loiii-btr dans Iriit nuit la ^ ttr e _ ^ P= ^=--=1:^^ lU _ pei ;re!s ^ # grets M f-^ 7 9> r _ 11(1 ? su _ per llu,! p-^ _ llus! V=^ _ le? >^ J/- it4^-^~"g~^ 11 lisons _trt' ^— ^3=^-3; ^ ;^ mons _ tre * 5 -• ^ iii .. ri _ eux sur '^ » g:^ jg- Fr ~H lu _ ri '« . eux ^- o 4:^ "^^ ¥" ^3E^ ^ ^ - P- l^^ s or _ 5^ du sein des ii r _ du sein des ti «_ b * • ^ 0-^ :£6i PHEDIIE. F^tii *=^Ff? % JNon, ^^-^ -^— ' tu riots p-^ —^^ Vient ^ • f; (k' luius ra _ vir Vient de nous ra _vir ës ^ ^ ^-ri' '> ce he _ ros. p ^ I s t _vra _ ge, Dans lesEn-lers <*19. ros. X « t X ë^ tr 4^-^^^^^=t#T Y ^ r^=&- ce hc » - ?5=ff= ( est niciiseulou. ^s^m -f y mort ÊE* llul-i M m a SI ^=F^=R ^ B c'est J^-^^^^ff^TTT rjFp par moi m ^ -is^ (ju'il dis _ lend-, Nejitu_ne de m ^ ^ l hé >ib2 r U PHEDRE. i, , ! \ 7 r> .J /nt. \ ^> W^f^^^ ^ ft (^"'"-j'^ r qiul-. ^'rtii a l^'ltT^ ^EE^ *iW - r I I : rc_mords! Ciel! m m y r ^H !• ^M:± w ^ ^ & 0- 1 ïfe^ ^m qiifls ter_ri bruit! (» _ bits é _Clats! «••?- tuy _ 9- 1^; _ OÙ uns ^^^g^ ^ m^ à Je scns' trembler nie ca _ cher? *i * * • bJU^.2- #< vi -•-#- •-^•- la ¥m -3^ •-*«-•• •--• i!tj % V' ^U ' p Tous pas; ^ ^ ié=É 1 \ _ res 6 P F r" me li -vnr ^ ^uer l-i é* l "[^ mr^n^'^ t s m^ w X 7 Ar _ re, F ^^, Wi: ^ leurs re_(lou_(,t ë ^^?=# ^ :m O ^^=g^ L ( '9^FF^ ^ \^ / Ah! I 5^ si ^ 3^cr 3Ï ~rr~ 331 _ ï ^ un cour_r(uix O ,_Ql =e= ^^ ini 351 -O" -O- qui me gl,i _ ^ TTT ce (lel_froi, ^^3 g^^g i^ ^>^>^-i/-f/ p ^' vous èJes é.<jui_ta_bles. Ne tonnez à 5 inipla. S 3ÏI zss:. geurs -e>- ^-\^'~^ o.±=^==^ O / Ym ^ =ê^ ^^^¥^ ^E^ y ±X±^ _o_ & S= -o-- >ii>_pen _ dtz -Cil _ bles, =a Bi^'ux cru_eis, hras. m ^^ ^ É î _ l)les lent Uéii^wTj^ ^^-^itjr^ ê 4l9. IXE m ^ I y^=^ pour les • -s^ r Dieux coiuju -g- » f :^=i=f t'T p p.is z.?z ^^3 ^^ é ? ^^^ en_cor sur moi; 3È 3i: ii(.4 Sê^ ^^^^p^?^f^JEJLX] ^rnT - ^loire d un hc _ ros fjuel injustice op_prinie vous _€X ^ ^^ W~" ^ KJU^i-iié -j^nr— #"-# ^ ' ^ 1 Laissez moi re_\e _ 1er .i l' laut( iir *- se_cours-. 3CE ~CT" ^ ÊÉÉÈÉi îts -&- TS -s^- son inno_cence de ses jours Et et mon. J4 ^^=8^ no®: s -GHrb—o- ( ^ O -1»—1» ' :f^^ -^ 311 -:^'rrnri demande un jus_te ^ie- i^Èê X5I ^^=^ HT ^m l f ' cri _ ff „ me. l ts V=^ m • p:2t: O ^ re_ mords su_per-ilu>! (Choeur.) u. ^^^E^ V ^=32: îr ( »• n re_niords su_per-llusl ±% p^ -^~ "^ u .• f^: ^ *i^ * ^ -»- ^^^"i^^'T f lIi|)..po_ly _ h- n'est ^^ Hip_po_ É ly _ te plus ^ n'est I plus ^^b; ppï g F//( y rfîi 4* Aci'é'. '2(3 K\TR' ^CTE + ^li: -à : PIVNO. PP^ ^^ ^, t E^ ~p' ' '' r ^S :&=& -û- ^ rf-V ^Ei fï^ ^ êIeI PP^ ^^^ * < f LfftJ ffe P ^Wi-t-f^ ^^ É*=3^ S!^ r i=^ — i3 "XT" =P^: ^ ^P^ U gE^EE^E^ P^ £É 4'-''-^''r ï ( m -iS- :¥*^ è # z&=ê: JËEj ^ EÊ r ' r ^^ Hhoi 1 ^ + :^ bï*; ^ ms^m rfrrti ^ é é -^ 1 ;¥^ :ff=* ^;±zzt ê: f-j^^j-;^ if S t:^ (h-iiuement. Tovi ^E P^^ œi :£=£ i-* 3 '^06 ACTE [.e Scène Tliédtrf 1. ' ih <" ^ -f iif change' V. qn'' à la 5. Scène. THEhEE. à^ ^^# — P1AN<». w m^^ j m^ THESEE. gg^ :f ^ y Grands Dieux! j 1 :;t dt- ^ «juelsre _ Ê ^P^ i=^ 4 ^*ÊÊê^:^ =^ Qued m^m } wm horreurs,» la me sens de_chi _ F-F^^ r- J' mords 4-^^^^^=-^^=^ * £ E i -4^ je 4 t^ H #^ r fJ ^^^ ^ lois! ' * ^'tlS j ^r ni -VU Phèdre expi 20/ ^ g^ Mont ils... rcr! _ -jg ^ S^ —nx ^ î_j I r=i^^iLgEEp^ douleur qui m'ftc-ca-hlo! o V^'-fH»f^ I ? I p Il l,(it_in_n() "Ti: ri j f -r ^' ' 6, ;^ ^E^ ±:fc - cent^ Dieux, que je ^2- >.v. I l - .lUis cuii _p,(_ble! a. \ t l{en_tions (I.uislesen. ^ ^'^f'^=^ SE J! * 4 f^ 331 ffi t=^ ters; * <[ui » peut t nu10 re_( re_(e _ t=*=^= Wk^^^ "J ) «I . -rv9= nir! D un TT ff=ff t=i }i. z. nions _tre tel que W 268 Éà p-^ Kli_vrons mol p^s^F^^^F^r^ lu i I^P^ _ re la P pt'r_li les ^ n.t ture _ É^ ^m ^ Deln plus horrible des ,ui _ de leurs vienneiil se pu f ^ _ e B i ^ ^ .^&E^ ini_ po5. ]n1"'^^=J=£::£=Ê p _ :e ^ S f3 p=E^ ^^^^^^^P^?^^HMH^^^^^^ Mes nir; parri _ ci _des voeux m^^^^^^i^^^^^ onl con_som_mc w le i ts Jt :^^ f=^- :zË:É=l eri _ ê me, F F Et je ^ dois a mon iils sa mm^^m der_nie - re vie 3= 3; 5*- n ^Eg :S=^^=4 r^ i^^^^r li ^ ^^.=^^.4==^ ? ï ^ _ -T=^ r ^^ ine. Dieu des IMeis ^lï^ au\ ^ â mor _ tels f 7 lê^ ... cii-che moi 1 2t ^ pourja_ mais. 2fc9 Tlif'Sff' >»CeilC Vfut se prccipifcr ddits la iiwr. NKPTVM;, THESEE. THESEE. 'i. • P^E3^^f=fë=^rï: NEPTIMNE. Ar rè _ _ F Pour un tv. p--^=,^|j^^ £ ,, | fils ([iK I ^ JT^-J fe^=g=T 35 r gg^^ JBr ^^ Ê: -^^gi=g^Êéi^l^;^ÉEE|4=i| ^ .ais_sez res _ se? H£ gfc± moi pr<'_>e _ nir la ion _ drt' van_fif' :# -s>- 3 P¥^^^ «- m «. ^^ A^^ ros _ st' _ prcs ^ le ê P^^ ES plus noir des for _ faits; e|e± Ouvrez moi pour Se \ ^^ ï =tàz i b2 b6 ^ F?^^=4^i£=g beau vos denieu w ^ m^m _ res 6 x-^ pro _ Ton _ des, ^=l^=feê Oue la mori (jue ï^ ie ^ -y 1)7. ( toni- ^m 6 7 #- :^=& rr-r \-~if S r PIANO. \ 5E^£^ vous ^ !e pi-tit- lirs «*— :^:z:rz=i-ir --^ 2 70 g ^^-ti^f-^-p-i cherche hu niilitu i^ y ^E^ de y P p p on -cUs soit vos =m r'~rm ^ le dernier de î* ^m \rm **-•* vos bien. - 1 ±=t FVVl? NEPTUNE. r "r »^v>r- Ton fditsi bras m fc P i!-"P a l iY-=p u _ ni vers _ est en ^ y cor _ ne é ^ é W=^': r-_M ^F i ^f iXEPTUIVE. 5^ ^ ,^ - sai _ — -_ re. THÉSÉEA- ^ p^ ^ Ciel! t i^r ne puis-je attendrir un P Pe _ ^^=^^P Que re! van _ ge mon 7 J UZ ^ & iji^t^ i ton f n'est fils lŒ pas murt. ZL_F fih É ^^ ^ je MU i 5=?^ Ya TH. P p i: ^ N. ^ Il W ±f: 6 7 5 » i p F n'est pas ^^E ^ ^^= g mort Dieux (juels ! au _ raient 271 de pris i P=g ^ ^â "P" >KP1 ^-, 'T >E. ''TT^ ' P | l Di _ fen _ se? _ aiie a ^H j pris soin de son sort. F]n^~T7 maLgré Je p . r ^^TT^J- — #- ^^ s ton h -Ci J2L ÎEE^ ËEE^ moi _ ^ ^î n p dont _ 7 san Fait _ ce puis _ ' xn -— k^f-C 9 4^4 - la » I ^ * 'V ^ r (- >(_'u_gle trans. port,(Juand le Des_lin iÈ^ rr=g ^f rfH rU- trem_bler lesen_fers, \ et h ""^Tî mF ?^^ tcr_re, et ;t E^ Cieux, les »m=^# ^ ] servais I^ i= ^ ^ I» ff ^ O ei S n a daigne m'ai fran _chir d g 1^ un serment o_di_ FP& ^ 9 8 ^6 272 THE-SEK. ^W P^^f^^^ y=^ ^^m^^^=-=^-^^r— M^ ^ ===r T eux Uni ^£ 2^1 H «i J W 1 ^Ei ^ pé l",ti>,ut • é-é é é . 111 1^ —m ^ -# fils. Je puis ^ NEPTINE. f g t^ donc le re J*- Il faut per_dre un si doux es _ S w =^ S J. ^==cc 6_ ËE 9^^ m ii=bç « m Pour te pu — _ g^ =^ - poir; ^B-^ ^=MH^#=^ _ voir. ¥=^ , p^ d'une nir _ in _ jus _ van te S ï o S^ gean_ce, ^ -o- ^^^^=^.^>^i^P I ^ ==i«^ 2i: --T- -* mon cher -y (3 A fils, ZCE ^'^ G :^ mon ct'n_ce. _ iii_no. 1 le ^^ l)es_(in f ^^ ?< pour ja I fiu-tei-dit _ » ff P=Fy \} sa -44 ! pre ^ b5 ^ 7. lUKSEE T M-^^i^F mais • 5" -£^ ± JZ_ s ^75 M^^-=^^^^f~^fj^ s à^ Au _ lUflll, ^^= ^ voeux %^-^ ^ ^ d^in heu d\iu tendre ^ ^ (rop eoupaMt Pè rr g^jLg^l^^ Si un rem_p,irt » ^ ^^^^^ 0——0- P3E ^i sein iVu _ ne ^^ izUt # ter-re y |g- PuiNqu'oii ff H^ met en_lre r -u> î B5^ -?— ï? ^^^^^ Puis_ses - lu nel ^B= d.iii> le î 9^ •, à t é _ tran _ j;e re, è^^ de !i'u_ir -^ 5^ =^ f=T- -^- 9^- » les mm ^^^^^ — ^ ( é _ 1er _ re.çois iil^, ^^B^^^-^^ ^-^ r^— ^^ m lus i?i re; î£ ÏEÏ =1^ nunl, Moii S ^=^ \r^ i embri*s!it' _ :-:;:i =Ë= feÉ r 4-^ I^ m cet. t. 274 ^ • # P- ^ f=¥ p.iix ch,ii-_ si mail _ . 1^ ^' i^ te et ^-4 -^"I^^H^^-P^ ^^t ^ j^ che _ si 1^^^^^ i (^^^H T i -^ ^ ^r n ^t^ m ^n" dans ver sein le p-*_ter _ ^ rT==fi_^ r _^ _ -^^p heur, C est .^ I ^^ Hdus fai _ un re f w ;^: Dou nel. m ou _ ter de ^ s _ ±0 — tr.i - g e; ^ FT 3r ^ 6 (Neptune et L4-M- P <usse é ^ ^ bon ^ r i^ ( son i I trou ^^ ^^p bt r-TT-T^ r pu tu n'as NEPTUNE. 15: v-^ tr pp^ Que re, ,uiv nn_niiir Êâ ^^ tels a_chr_ver leur ou _ S^^i 5 7 4 « k'entre --ous les flot^ Thesee se retire.} JE •_ lËEE vrn. _ ce. 275 scène Le Théâtre représente des forêt d''Aricie. _ 0« 3* jurditts délicieux qui forment y voit Aricii\ eonrhée sur un lit di' les avenues de ij/izon et (jiii la .sV - au hruit d'Anne douce Sijmjilionie. -veille (Wacieiiseinent. PlA.!SO. f^rf-fpppi ^^^ W ^53ïï ' "g r 1 ^ ; I &^M iËiiiî g T P * • r- j W^ r ^ <-r^^=^ r T=t ^ stts #^^ ^-^^^^ ÉÉÉ .// f ^ M- ^ J- i|él ï?T ^ i t; ^fff^ PE ffïf ^^ ^ i=iÉ p p ^ p ^E^^^ i il^îx^..JJ..Z,A^-A m^^^m m ^ &Ê^ i^ ^ ^#Éw f^lf# i-, 919. i»***^ ^ 2m É -S— )- <- r _ * J^ r _ a=it * m • —w 0 —|L me ne r.» _ \ez-vous :4^ tra _ cer !'i ^^ i Que ^ tf^r^ p=4^P-^^N^ re _ p du, a=^ P me l'ii !•» ren 32: pour recouvré 1» ëE^#=^-~r~v gg^ j'ai ^^ Dieux! ge; sens P^^ ^"-r ï sa ^ de mes i ^ r ^ teg - siii> t=S=ïs:^^^=^ ^M::~f- . fc±± f Ou m m :; - ma à ^ ^ S ' ; [ ^^ ^ p. du tendre a S î£ -^_ rmant u p ^^^ r [ que j'hI per _ ^ du. 'm J ^P m r->r7rfiJ--r^Jrr #»fj,.^fj: mS' J ê ^m i* rtÊ^ l^4:?.gj^ M,] 'frc^fT f= J_J^ i Êi J i- i ï ^ r I ^/f ni ^r^.j?^ fl ^ J p ^^ S5 É ^ f^ r AHICIE. « • P Quels doux con _ certs! ^is m ^ iS i^È ^ i ^^^ rT¥ jour m'é _ clai P^ ^:?-' rrv ^ _ re! :& i ^ J 3 ^78 \RICIE. ^ fr Non, mm p^-^ tt m ¥ f s % s fit -i r r ^a ^^ ^F^m^^^m m • —w ^ :^ non, i^EÉ ^ ces sons . I ^ hKr_mi)_ni _ eux. so .e _ '^^^Eë g ^m y- mé im nu l<"il ^^ ? r m^^ )ril le ,( mes y*'ii''. fi '^ =5^ ^=42: ppp sans IIip_pol^ te, hé _ 1 las! :L.:.=J ï % :l=f rien ne >,iurait me ^ pi re. '^- i 5^ ff^ fS" ^^ .> it*: ^^'^W- =r i£- ^ J • • ^ .«. % (i 379 ARICIE. iw S y — ^ y Mes ^ i ^ £ 5^ i ^^ Que pour ver_ ser 5S r, <les Mo s mes; la- n^ J=:_i p^ ;EEEg n P^PP yeux, S^ =5^ _ S W=^ ^ m^ -5-^ m PP £ vous n'è_tes plus ou _ verts Oue pour ver _ ser des l«r — ÈÉ -W-- r^ F=P= :^ TO^ ^ ^ ou n't-_<es plus n S^^A i^W ^ ^ ^s , ff ^^^^^^^ f ^ _ verts vous ^eux |sf \ • _• ^ «_ FIN. ^:§=î^ mes. iââ • •• -^^ f ^^E ( tF^f^ ^^ ^ =ë S =?Cffii::ïE -7^ f-* C^ ï^ :£^:4 il 80 ARICIE, I^Z* ^^ En ^^ àafegfaJJ^Ui^ * -$4f^ agséê^ 4^a f sons re_ ten_tir tout FIN. "^ 1 ' ^St . JJ — — ^^=^ ^^^^ )* ff ff Je airs. *- 4 4^ # -je^-^ :£ les ^iEZ v.un d'a!_niH_bIes ^S M^-g-P — 1» que des sou n'ai â i i Ê ?S£ -^ 3?^v P .^31 j ^j^ ^^^E^^^^^E^^àEE^^m f'-^^^-H^ T _ pirs i pon pour ré _ 1-^ dre aux con 3:s :fc=i S Vien_neiit tes ni' o 1" ( ».5i fj i ^ % ^_ 1^ _ t'r i --<^ char r les ( A-^gf en chan_ lieux 3=^ i -^— Dont ces _ certs p' p Df; )>a:e '2 78 J. Juvqu'ju mot ^ rf^^rf-t Ë^ Fîtl) J •^^ , ?=ïï j.ra ^ •S 28i CHOEUR. Scène 4. dune, ARKIF, m^ BERGERES. <! Ber^irs H^-^^ dcz _ Bergères. ci d,- ^^4t De.s_cen ^ ^ BERGERS. Tioupi- bril _ l;inte iinnior É Des_cen _ dez bril _ lante immor Re tel- le, _ ^ PIANO. ^^ «kdt 4^ i KM tt'l _ le, _ ^ ^=^ -m m- M r^^ ^•3 I m f^ , /; il s a I I ri # j;i_ niais ( p — ^-f-i" Rt bois; î# ^ Rè boisi gnez _ a ^ la _ m ê^=^ dans nos bois, Rr Rc _ g'ifz S I à mais dans nos I» _ gnez Eis bois., _ S ^ -# ~F -i2_ dans nos ^^e^seEe^ ja _ ui.ii> mais dans nos 22= ==#= :É mais dans nos fe? — É gnez p gnez ï^^^ï^ i^^ ir=: w i ja _ â ÊEê ^ Ht- H ^f- ja _ I E Rè ^ iêE^E£ i£ _ gnez à È ja _ m # ff- mais dans nos i=Ê^ ï 282 TRIO. , é ^ Re bo l!i. ^ V ^ X X r P Rè bois Inê i ^ ff^ ^P ^ gnez _ f i gnez _ ja_mais_ S â ^ ^^ • Des_cen_dez bois dans nos f^^ i a Tous. ^ a ^ ja _ mai* ^i^ Ê #- à immor bril _ lante » Sr I _ tel- bril _ lante V y É ^ le, Rè. Tous. #=M^ ^ V Des-cen Ê _ des _ cen _ dez dez. j m=^ _ ^ ^ ^ r ^ ^ zar =i^ ini-mor m m. TÊT— :^2 gnez a t=?7 PE ja _ mais - I Des-cen U P=p r _ dez, _? f- J J ^ y Rè ^ r * :i dans nos bois ^ wT V tel i ÉEÊ r r des_cen _ y _ snei y ii^ dez, ^ Rè _ 1^ 2.^5 Ê 8p irg «> - Mrr ; | i^ j.i_m,iis .1 ^i »" « > ii [•—( ^ dans nos bois. 0- -• ^ ^ giiez a ja_ nuis dans nos bois. ^^^ s^ r=F=g (i ih"ii PÎE yn ^ ipp 5?: ^Wih :^P^ ^ï <* I ^ P •? ( ? Rè_gnez pE re_gnez rrriT^ V Descen_dez, descen -doz ^m H fCi i tj 1 1^ S m Z É pSI^Ïif ^ lan_te Rè , immor _ tel i ^ g: nez Des-cen. _ le. ^^m ^^ _ èâ ^^ *^^=y ^ ^^^ dans nos bois ^Ê^ bril. P i P^ mais 919. a ja ÏEtEÊ ^ ^tz^âz £. 284 1 m^^ 3 Rte_gnez ^-^£-^ ^ dez,des_cen _ . b Des_cen dez - i i re_gnez dez ^^ w^ m 41 farj^r^- 1^ ^J» Kiiiis dans nos ^-^-f^ mais dans nos ^^êM ?trZja_ ^te^ P? Re bois, _ gnez Re bois, ^ m i^ g :g #^^^^ H _ gnez a ^^ i^ ar ^-^=^ Di Ciel! m ^E3E * 1 —^—^ff— =F -^ ne! _ la! _ gre M ^ ^^ ma ^^^ i TF ^E^E icr _ le, Si_gnaIons Tardeur de É ""?r" ? / v. dis..grà-ce cru _ ZÎ3I tel 55^ bois. ^^ p:E=pi:^^;iïiîp|^^iii| f bois. 331 ^O" el ^9-^ ^^f=ih ^ ja a ja _ mais dans nos VIUflE. -S a £2N"^^^= «V 'T mais dans nos à ja ^ ±^t- i P^^^^^ a feiEEÈ t i ^ _ dez, descen _ ^ re_gnez mon zè _ i?- le S 5^^ ^ Pour la di _ vi _ ni Î-S ^^^ T. 285 Ml ^ i té qui me tient È^â sous ses ^^ t^ X 7 1 OIS. — lE I ^ Des cen _ ©- _ dez _ dez Ê ^=g= A" Des j * _ cen I f^ 7 ^i i ^ VOIX ^ ^ ^ P^^ ^ cel_te de trou à^ _ pe si fi _ Ii7 -(2- £ de_le Des _ cen dez _ fc* ^^^ ^ ( ^ — Jf- _^ lante im _ mor _ )rii _ â tel TRIÔ.k m ,t:=^=^^ :Ê=±: Rc _ gnez A j;i_ niriis ma dans nos bois Ténor. S^ m Rè ^ R.' i W 51 9. i^ Ê 4r:r£r=^ ipg^ 2i i 286 ARICIE. x i ^y X Rè_gnez, m _ *±=t t- gnez a j t _ n\A\^ =p= i dans nos Des-cen bois _ dez T.uï. m ^ee^eSe -gnez ( ^ a ^m ^ ja _ mais dans nos bois ^=Tf=^ ï - Des_cen _ dez m m Œ ^ ê EiÊ ^ =S=^ re_ enez des_cen m V ^ _ =3^ _ dez, des_cen ^ ï^ re _ gnez dt fe* Des_cen :œ re _ iinez ^^ m _ dez i^ ê=^^=fe ^ des_cen y _ dei y la ^ a la fe^=é re ^ a gnez P a ja g "sr :fe ÉEE^ 287 f ÈëÉ ^ p dans nos mais ^^ _ mais dans >.y.J r mais d.ins bois, ^ Re _ gnez. — ^ nos ^ Re bois. -^ Re y X y ^=M- X y —— ^- -ig _ J^ ^^ ) gnez à ja _ ^^ X- bois, wm J J a ja _ y X f nos t=^f±^^ m _ s gnez a ja _ ^ F^â ^ -is^ \ mais diiii> * • nos mais dans nos -^-^ mais dans nos ii-J^.=^ FT ^ i g bois. û bo is . 1 ^-^ Tn bois. bois. i iT^ ^ B".' ^ ^^ ^ ^=45 Èè ÉÊ ^^ W ^#tef# 288 Scène i^ DIANE. 5* DIATNE, Les Pr-éccdPn^ m*=*m ï W^ p—pE^^EÎ^ ^^i= A Peu_pl&s toujours sou_mis -H #3£.£.£^ PIANO. i rMTTTTf'^ ^ i sali _ ce, j'aime _ bé-is ^g ?= t :t Que mon À me P voi ^ :^5 ^^ 289 B * Dans cet heureux se _ jour, ^m =*=* ^ i ±xt 0- choix J'ni fait ^ i EEÏ dun ^ ï :tz [^ r que uc I 1 , me, ai P^Hg*£^ ^^m Pm^^ Que pour ce nou_veau maitre ^ ^ ^^LJi-i P^ * ^ me, Vos SE plus beaux |eux ^i soient pré_p,i É^^ ^ M^n mm ^ _ Al re _ g m ?^ §^ g^ que pour moi ain_si ^ & _ lez ^ ^ ^^-^H-M^ ^^ ê m p^-p r brez cet au_gus_(f _ ^f^^^^ ï= me Cé_le SEE5 lour. m^ 9 che. 4*-il^ #!=# fciê S:;^ me rc H fe rit. qui ê Ê m '^^ PE he _ ros en prendre • ^ '-f soin, *- ^Î^ES P vou>, p ^-^^ E ;j=^ n)ni_phe, i m ilemeii _ m m rez. -y^- m ^ E= ^'"' Scène 6* II U. 1 1. A...T.T,. dt\^e. aricie. o 7^ ¥ ^^H=*=^ mÊf^§^^ §^^=^^-=--=.^ ït •; "^V w - fifij) ht-iirt ux ber gtrs _ o E^ que ! porte en leur je 3: EE3^ ^ ^^ ^ARiriE. DIAÎVE. ^ * ^"^r 1;^ —ri^f^-1^-^^^^^^^#rJ^->^^=jl ?^ 1» ^ _ vi _ Qui e! te iiii en_vi_er leur Hippo_hte sort? a perdu ^ la *EBE -O- T- mm a; ^pEi^^4^^^^^ DIANE P^^]^i^^-ff^^-i>=è:h vi _ 6 t e Ne t',)ffli_^e mort; Grâce plus de sa a ma bonté # — =- f M 9^-^i-p- seeou. :œ ARIflE. m w ^-^ ^^^E^EE^^EÊÊEÊS^^^ ra_ ble. Bientôt. tu n'.uira- rien per _ du. Non, un tendrt si f W- ^^ mani f nepeutmè _ r-i^^ 1 tre ren_du, La perte en ± 3Ë ir_re_pa _ rt J^^^jH F l7 5^ est 6 P=^ 5 » P 291 DIANE. ARICIE. feggig^^^^ig^^^l^^^P^P^g^g^l^^ _ble, Bien_tot un kndrt' e_poiix va pa_raître k O yeux. tis V.nU T-=?: ptt=^ If^ ;? DIANE. ^^^^^^^^=f=^^^^"pPp^^ Im^^ é_pargne/. * moi cel o _ di _ ob_iet Tu eux. vas s(ir_lir dVr_ -€V- ^ ^ « fr i =Ê !^f5=fp=^r=r=ir| é' m ^i— da:^-^i^ i Troupe, reur; à ma voix _ fi de _ Doux zé-phirs, le, vo ^ S -s ^ ^ gn-^ 5=tff en !ez mt d''appor_ ê i^^ii » p le p i dé _ pot pP^^J^^^ y pré_ci p^pE^p eux - ^ âJ: I ggFp Il est lenips +^ " ter !icux; i ?^ ^^ r ces i'^^FP ^ P ^ Que j'ai commis à votre a^ zè _ le 292 Scène 7! diane, aricie, hippoltte. (Les Zéphirs amènent Hippolyte dans èW££^££p 1»^ PIANO. *»" a ^ V'(si!^~^B m^ r fond du ^ g^ ê théâtre.) wm ^tu ? \w # P# # â ^pp^ 31= ^^^ le aac ^éJéJQ fr^r^^Ttr^^g^ • i _Q_ œ3r±«= i a 9^s:5^ ^ P » «^^ ^ ê =pc 1 ^ ^^ w^ "ms^ m^ ^ "^s^f^. ^^^: 293 HIPPOLTTK. ^-^Ji jl^T^ Où élES il 1^^ ji }> transpor _ suis -je té? rr^~^. Ditux! quel brillant se ffi ^^ J _ je las! n'y vois ^ S ^^^ He 2 rob_jet point de mon a & 7^ 6_ __i 7 4i 33= IF ARICIE. ^^^ _ O mour. m mort, w # 1» ^ viens me re _ ^ joindre à ^s^ # Pï « # P ly _ P P P Laisse échapper te. Hippo _ » ^ ^^ f DIANK. I ^ mon cher 4 î^ § I ^^ ^ s JZ* i=^^ P au moins ^ un ^ # re _ gard P^ vers l'E -€»- =3: r s AhICIE. DIANE. pr poux, fe m 3cn 3X; p l r amanl IV n'en ï -5- f^^T- JMJ^rse_ra point ja _ loux. « I Non. Faut-il que Di _ 3 ÉiÈ 4 fP^ 3 ZBC ^ :^9* ARICIE. -Ml-4-g ^f-f- |L4:p ane rn fcii sol_Ji v.tin s^^ ^^ _ Non, ci _ ti'! ^Es; ^^^^^^^^^^ / i _ a mon premier v ec vain. ^=^ W^^ ^ ^=^f Rien ([Ut'ur # ^ mon ne doit par_ta_jier Êm ^ à È P¥ ^sa é me. _ Et mes 6 ^ yeux se ;é ^f^ 1*^*^ 6 ^ -& m ^=^ =s^ î^^ *=r f DIANE. f^'-r P p _ront a & -^ - flam_me sa i^ -^^f^rr^E^^^f' p i^r |tt ^"T - 6 t. aus_si 6 I S^ ARICIE. fi _ i de les _ que mon coeur. _ i^ ^ ff '^h^ J I » -J» Gr 6 m -fr 1 ^ »^P 4P' ^ c|ihIs sons! oh! Dé _ P S^ ^ J' a P l'a _ -^ Wv^r-^^ mour p ^ f=î« 31; )] _ P es_se, pardonnez 6 ^ ap _ HIPPOLTTE. pro_che! Fuyons! Ciel! IC Il ^ ~ i lR^ f 6^-^-h- r i ARUIE. J' II' p ^-^ES^^EJ^ÎEEEglES^- transport ^m qui np' près 221 _ se Dieux! tES ^g qu en _ tends - je? É 7 p ? T. M 29 5 DUO. ^^ Hip_po _ lyte est - ce que vous vois? je ^ A_ m ^ est-ce vous cie ri _ que vois? je =t E^ Il iS- lE 33: ^ A. Que m mon E sort Z^T- est g r i Que mon sort est -F^ di P gne d'en _ vi _ e! ^^ _ srne P Le P mo È dVn _ ^ m iy^a _ di ^ vi _ e! je mo _ a ( 9 m^ r ?^ i^ ment f^ qui vous {E^ rend h 4 »- BËEEe; moi Est Js;^i^-^=^=| P iï^^^?^ le plus heu _ reux Iffe^EE^JEEfeXT^^^^^^^^ - ment M ^S3 qui vous rend k moi f Est le plus heu T le ^m _ reuj fie * 9 cr; 5 ^EÉ 3^ ma ? m,i 29fi ^^^^m^^^ ^^ vi _ m Q. Le no e; « H» ment _ • »—-— p r -^-F qui vous rend à moi Est M t^ heu plus le :M ^ ;t Le mo e; VI ment _ qui vous rend à moi Est le heu. plus ^ g h r t^ ^ — reux 1» ^j^ de n^ reux de ma ) vi I ^ m,» v» 7 mo ^ P^ Le mo _ !^F¥ 1» ment _ I e; - Le à qui vous j ment =tti Sg Ï1 moi pi i qui vous rend r=T=r ^ È ^ Est le plus heu _ reux —( ^fe^ z=rrrr^c={? =ttF ^9— de nui 1» Est le ¥ï plus heu _ reux H 4f E^SEEEEEE^ fj de ma vi — â 1 «ï [>».«=; r=f 6 ^ 6 « J— 4 à :^=^=^ ^ P^^^ =^p^ ^•^^irj rend Jr- mÏEÊ a _ P m mo 1 P^ £ 5 » à 297 DI ANK. m=^ p^ r^= Ten _ dres a _ kj^^^^^^i^^ ^'j. vos malheurs sont manls, fi _ nis; Pour votre hY_ ^ ^E^EH i * ^^ r~^~r É E tout se ^S=E=Ï * * pré _ TT rrï> Ne craignez pa _ re; 3=^-i^ ' " '-^ plus qu'on vous se p* S w^^ 8^ ^^ ^^^ w— 1» p i^ » (& _ re. C'est moi $ m qui vous u ARICIE. ^.N^^^J _ nis. hiel heureux change 3 3È: ^ ment! quoi! rlr-^—y m ne mè c'est Di _ a _ ^m 9. _ f=f^ ÎS me, Qui pour î«a êE m m b znz É 6 5 les E= ten _ dres 29H DIANE. P^ cœurs de se j^Jl. ^i ^tj clrtre en ^i- i _ ce Du jour! ii }H^^ sou_ve-rain de ^ «6 4 ^ Ml„1^^Ju ^^z îtM je dieux suis la su loi _ M r~^ prè _ En me, P fe s^ i s 0 0- n je M fus grâce HIPPOLÏTE. > à JM Ta - J mour. ^' (I ti P r -^^ Vous m'u-nis-sez f ^ ^ ^ 4H^-^f-M j'ai- me, Dé_es _ se, ^ i i par quels voeux ah! mon ^ ^' P coeur peut - P ^ il ja ^ S^ ^ ce que a 3&: ( l'h y- * m ^ i ^ F fa_veur de T r -S- 3* r=T^ ). 219 Mr-^r^ r p p m ais i 33: g reconnaiJre tous vos bien _ faits. Miisftteset h''."'" Pf^r ^ ilDC i^ ÉÉÉ 7 t ^S -o- ^^^-M m: "TT" S nUNE. âJ^ ÉË^ ^ ^5 • i:^_ • Les ha_bi_tants de ^ • 3~ * £ :ï ces re_(rai _ les. É=^ rrî'^^ Ont f= prepa_re pour vous les -^K 1 ^ CÎK 5 y y ?^ ^ *Jt- plus m ai _ izz: £ r ma _ hies jeux; FP Et de ^ ÎÎEEl i r ^^^ leurs dou _ ces _ ja mu _ -^A 4n. set _ les 5^:32 f^=^ i ?^ ï J^4 ' ^5 Runs ( '^- ^ .t P-f=F^^^^^ ff .1 _ ï » noneent m.-rt ^ I*! le g =^ ; nidineiit Où heu-reux vous # È il al - lez J^ -* régner sur •' ' > :^ eux. i w- m -rp" 300 Scène dernière: dune, aricie,hippoltte. Troupe d'habitjn8d.i,,rortt d'Aricie. MARCHE. Mu'-ettes PIANO. ,( H boi^ mi^Em PP^S % S ^ T T n «= ^9gg^ m ^ .ai- r .(I — fi f iâé^y ? è£ ^i^^ T ^-i loi 1^ ±J rr r F^ m fi T P ^-gl riN éJ pi^ T~ f^ ^ F T=r Êà r ^eJe sS r ^"êéM I y iU i wm ^ g gag: X ^ ^ pp f=r Jj^ si * fiÀ Doux. gn , et ^ u^ ^-i- f r" m f . 301 CHOErR. Jûtt 1' ^!=^a=^ SDPHANOS. Chantons P^^P^ sur \a t — m^m Chantons i mu set _ _ te.^ Chan sur la mu -jr - set _ te, Chan Dan tons, - ^ "V' ^ tons _ fs^P* ^ PIANO. ^ ^ 3 p¥^ ^ de H^^F!^ ^ la mu _ set _ te, dan _ sons; ^^ Que ^ Que chan Mrs i ^ :zz l'é _ i V gpStt: cho cho ^ ré _ pè _ te nos ré _ pe _ te nos r- T r r HV*0. eu Contraltci. ^^ ^ l'e _ ^£ y-8n^ sons, V son H^-H^-f=f 2'.^SOPR4NOS. BASSES. V Au _ tons. ^ Dan L X i Chan sons. i t ^ m ^--^^"l?ç;4 1 ê ^ _ tons, i Dan 302 — M^^^ ^t=F ?= ten dres res _ ^=^ r ten dres _ Au §ons sons ^x '> r p p Chantons sur r i la r ^ 1 mu son set- te, chan _ tons. ^ (.): \ Chan sons- m^ m ^^ r la ^^ mu | _ j set_ j te r dan - sons; Croissez ^ Croissez H'rC. â: sons, ij j ii ^^=r dan ^ U-^ _ son> ^ nais_sante her_ bet _ te, Pais ou Coutr. ni r i j r i Croissez ^ n Ê nais_sante her _ bet _ te, Pais i ch.tn _ tons, n ^ ^^ M fe?^ S i^ p f ^^cîî df ^ ^=^ Dan chan _ tons, fons,^ _ nais_sante her_ bet - te, P.iis -j. i iJ-a i J T. 30 3 /jrtJt £*# m m bondis_sans sez. ^ :^t=^ i _ sez mou _ tons- o • bondis_sans mou-tons: - B.,>sp.. P— — f=y=23 ** îs I* paissez .sez ; Htt '^f=^£^ f-rr bondis_sans mou _ tons Chantons THJ -fi ^^? pgg i ^ ^ sur la mu i^:^ i J J J 15: r=^ 9 ^ ;/9tt« iS^ Au i^ 1» son ê de la mu _ set _ te. Dan _ sons. ^ m ^ m^ Au son de la mu _ fe^ P > ^et _ te, clian i ^^ U t=: fî % J _ f sons. •^• chan i P^^ nJ Dan :^ tons J set - te. j:^. ^ _ tons Dan =t=ij= sons. BJ. ^: ^f=^ iii f 0:î i-eprend i i r= l.i Marche en musette,jusquaumol Fin. 304 DIANE. ^^ ^ f^ ^ Ber gers, _ \ous ziniiqe voir al _ lez com _ ff =^ suis fi p f bien je ^g=^ PIAN(M P^ ff E ^ —F-^:r=^ de _ le A te_ nir p ce que je p £ [ Le hé_ros pro _ mets. qui sur ^m i ^=É i ^1^=^ I P VOUS i [ ^ ^s EES feEÉEi^ va rè_gner dé_sor_ mais Se_ra =^ ":5" ^ le prix ^ ^ p p ^ ^ê^a ^P f vo_tre de É ^ ^ ^ rr ^ i;^^ ^^ ^ Que toutsoit heu. ÉiilÉ I_r : Fl: ^ ^^ Viol. ^=^ e( Cl,,^. ^^J^i^ 305 • zr= D. "H E2 \ reux sous les Du lois Rc ue Di _ a _ ne ni. i-ni. tnn,. i ÉË=^ ^^ 1 j m É Que ne; _ f^-m--A fe£3 f^^^^ t~r~^i don vous ^P m^m P?-~^^ i • - tout ^ • P itpplau -disse à à -^ f :jtz ^ ^m m. • mon C'est choix, JU PF¥ ^ ^ 5 ^ $ qui tu ^^=4 cou _ ron le ^y^ T ^ ^ disse a ^ « 6 5^ X i y z^ ^ f-f-f-tr mon choix, Que ne. rrr-j, iSfcSpp I C'est la ver _ tu ver. 4^-^ ^ ¥ m la -er "v^ tout applau- L# ^f -4--J— E ^ qui le cou _ ^^ ÀS m f^^^^=^ g % r^^ geS 4t=!É I t '4^ ^ m 30G - roii —d È tî é' ë' d^ nei Que tout soit _ reux sous heu les j- ci4tïè '^fri^m m ^ 1= P^^^ mm Du lois t^ p=5 £ -^—^—ff- lui le cou d _ M ^^^ _ disse à ron on 1 ne; _ ^ p^ ^ 533 =ib*<î mon f P M- ^^ ¥^ choix. ^^ s= ?g=g ÉY'.i—*—^ don vous a _ ne ^^ applau i ?^ ^m ^ _ è "-y tout — ^ que Di Roi ^^^ *^ Que #-= C'est la i^?~~7-fl^ ^•'^ 1 ^^ ^ ver _ tu ^ «^ i9- 1 ^ m^ & _ ,_ ne; c'est la ver _ tu \\\\ le cou _ ^^^ ron i^ ^ 6 5 -e- -#—*- i ^ ne. ^ ^ CHOEUR. FEMMES. ma^ ^^ Que HOMMES. tout soit heu _ ^^^Ë^E^^^ *_ Que « m. tout soit heu reu\ sous .. PIANO. ^ PS Roi Que Di _ K _ ÉË reux sous — 0 les I du OIS m • m ^m JSZ du OIS 1 m^ ^ Ws-* les » ^Ni m 507 ne nous don ne. _ m P=tT^f-f^ :S >" Roi Que Di _ a _ ne nous don ^^ ^ ^ P ne. - i Que i' ^ tout soit i' heu . _ Que i Î 1 ^ tout soit ^ f=^r^ -J heu ^ j reux sous — ^^=^ i : fe^^ (Trnor P §iM î Pfl^ ^ CR= i J. ^ _ # ( reux sous * les -tt# les ^F^ 1 OIS du rê: le is du »08 l {i Roi J^, Jr _J=j JLj ^ que Di _ — p- is a _ ne • • ¥ don nous nous ne (loiil ==5^ ^ f (Basses.) h-$ ^ - que Di _ m « jE^ choix ^ tout S son est 1,1 ver m X ;, Que -p ap _ plau - disse I son à V » ap - plau ^ 3 ti^i c p C'est p la ver _ in feÊEEfe3* tu tout choix; J- choix; .j^JlJj P C'est 4 la ver _ zz: tu f=¥ r^e^ 1 son _ disse à choix. ^=^S C r ^^ ê # f P¥^ a H T hm i^^ P -disse P p son t > P J a Que 7 ^m J-^ _ diss ise — '^ que tout ap_plau a _ ne p que tout ap_plau. ne I Roi ^ =s=f=t r r r • i ?= tp^ 309 Im qui le = ^1^ le lui cou cou _ ron ne - è ron -*- r^^- 0^ ES ÎPT^P=y^ Que ne _ ap_pl;iu -disse fout son a ^Ê s ^=^ ^ C'est ifcJU la vor _ âi^ ^ Ê qui tu. ^î=ft: choi C'est f-^f- PP^ I a ^m ver _ m P tu Ê jui le cou P le P=*ï _ ron If P cou _ ^^ ron f ^rrrQ _ T t= ne 1 rzz _ ne. ^ iJ i g 919. É -J ,J .J_i: p 310 CHOEUR. -/ s. t c. É ^ nnrT i Que tout soit \> i' J' Que tout soit J' heu i :P- f heu _ reux sous les es P \ ^ Ms. f^^^f^ Que tout "<y t* reux é sous soit _ g reux sous a': les ^ lois heu * lois, i les è J' J-' J> Que tout soit heu * * i Du reux _ a r lue Que tout soit ^^ m^^^ * _ i J sous les H Di _ r ne nous r sous les MHM^ ^^ p li- i=^t Roi g Du lois ^ ê: >, heu _ reux ts »- T. 1 311 ^^ fe^ que Roi i du r X B. y^ y ne _ ^ # ne I que Roi du D I - nous dtm ne. K ne nous don _ ne. 4 r "f P ^^m p > Que F — NM-^^ tout p ?: £ ap_plau _ disse ^ à son ( choix. Que tout ap_plau _ disse C'est la w # §E § 1 choix. P feE^ _ ron . C'est _ ver - p^ p- tu (* r ; ,. f . ^ ' la ver - cou' P • ^ ^ ^* qui tu a le lui F ^£eee? son ^^ 1t=t N- B. ne, ne _ « B. _ r^=^^^^ ^ 1* d on ^>-^ m 5¥ï=P >)j ^ nous r f A _ EEE lois ne, U=^^^ m p que Di don nous h== que Di p don ne - :5=5 * Roi ' a _ * itx Ion Di cou le Teno ^^-^r C'est ne ^^ la ver - If tu rt EÈ a qui le cou ^^ 3:J i 919. 312 S. c i » ron _ _ ron _ CR= 5f T gsso tout ap_plau _ disse ^ Que tout * •- E ap_plau -disse à Ê3Ê son ?^ C choix i?31 i r ,,rj. al le'* • bé=4^ hoi\, C est gEfS -jg la tu ri"r est la 'r ver _ ver r r qui le cou _ ron ne. cou _ ron ne. ^m^^^ ver _ tu qui le ï^^ É P^ ^=^ C est ^ ^ P= _ m C _ tu ver r la É Eiï la est ^^ F=^=# s. son a ne ^ J r. Que ne _ é^ *=* m ir- qui tu le ^ M cou _ ron ^1 ne. ^ FIN. ëi grrTTT" C est la ver _ qui le cou _ ron ne. i s p tu ^M =i= FIN. A-i CHACO^IVE. l n PIAISO. i r + Gracifusfment. ^^^ i ^ ^=4 É .TT; fe^ Ê ^+ e ^ P^^^^^ .•I fgg=^ IF 5^ ï=^ ^ m ^ \ I Bi g«- SSS sa ^=^ ?^ i J-J (Tous) ^ ( È mf" ^^ 3F i^g;^ s^ rr ^^ J ^P P P3 SÈE '^ P I r y e^^# f=Ê lÉ Fl: M^în^ m r ^m ^ fc ^ ^ '^m^ #- 1 p il. p^ 314 U^XA. 4=* J-4JL mî W^ ^ âË êé ^^ ^ ^^ J. i ^ -* S- -êki m — -^ J. i^ , J- y î^ (Tous) ^ *p= ? (T.us) s rf ^^ ±^ ê m w ? -44 J ^ P^ ÉÉ=t ^4è^ (^^g à- :£: , >-B ^ ^ y 7 > ^~^r g^g^ a ^ FI: ^ ^^ ^ ^^ |» ^ ^M ^ï ^ é ^r^ 1^ t tî ** rj ^ ^^ « ^ + ^^§ g m ' m^à ê=p f mm rfpr -# i^f-^ + ^ 31& ^P^ ^ É ^?? i te:j_flj3 ^m mmé^ f^^^f^^ l)..is JJt,.., g^ ^ ^^f^^P 1 32 Sfa^ _-^r:ri_n: tm i^ ^^^ m. rr—a-' ^^m ^^± ^ ^ É^^ riz -&- 4> + (Tous) i^ ^^^ *J^ ^ ^gjg r n ii^ A_U m^^B p^^ m r-rn ii m + ^m Ué^ i^ ff fe^ i >i ii^ ^ ^ "m ^^ p^^ ^É |4- p i (T.U-) *i»4 8>i r^f- ^^."CjjH^i 1 ' %^ pif ^S S i^fl^^r =£ P l ^^^ trJ^v ^-J^ m 316 ^ ^P I m E2 V. Hautb. V. Hautl>. ^ B"." ( V. Hautb. V. t sl^ Hautb. V. H.iutl,. ^^ f ^ EÈSÊE2 -»•- j ^^ J : ^^ r -'Nr"7^ipj I ^m -r-^ F ^ ^ K.ulb. ( 0^ §^ g y ^ — ^ ^ mJ Y- i* y ccst 5 -<s^^ ^ j^ l^î^ ^^ Pi J^U g ^ i ( .^Jt p ^ ^ ;ir i — ^i^ É w =F=q«= J_i ±±s .^u ^gp ( P É3 À=U i ^ rqe r^ ^ # r Pï m m ^ ^jt_ é i s S (T"us) pfei j^ -^—^- X ^^ ^=§ PE - )19. 31- ARIETTE. SOPRANO. ^ fggf^ Ro-?_si _ fy-TF^?^ ^^^Ê=^m^ rt'_pon _ dcz- nos % ifes^ ^ r r voix P.tr tloii Z2I i-^^=p^pg p p la i9— _ ceur de vos r;t f _ ma gf^i ^ -^£ ^ Fl: 1^ #^ ? —S -» «^ voi\ Par la dou_ceiir ^^^ de vos ra „ #=ie ma P^^S iz^ zfvnftr ^yyr Vî" É ^ f—r^im^^^^^^¥^^^z >2 ,« É ^ PIANO. Ê a_mou_rcux gnols i^fc :§:f ( -jOZ ï g ^^^ '18 mË fe. m t=' ' T ^ ïe> d^ 1^ ^SEEiEEè £E iff ii: i gnols amou_reux J^ - ^ d 5-S- i — -f= A;^ c#fc!- ?= -7 -ï ^ s ÈÎÊpi^i^ Par la dou _ ceur ^^ de vos ra _ ma i Ré gos; ?: ê=feg _ pon _ t S i ^ =f= ^ "j ? y ^^ |P^ E Re-pon -dez fc«r a nos voix. j^- É • Sài ^ Rt'pon_dez P m f rSr9=mj^ Ui É -r—P-p-. ^W '-^^=— . ^ ttl *^ ^^ a nos voi • ' ^^ f ;io -+JL ir la ci(iii_ceur ^^^t^ -t-Cfi tf de vos r:\ _ ma _ _ _ _ î ^—y— ^ - _ - X- S^ g 3 ^^ aj^fejgfc 320 ris. _ ^ drcs ^ hom _ ma _ ^ Pg^ F "W #-aJ- ^^ m _ giif d,in-i nos bois; ton _ dres Ic> plus Ren-tltz — ^=3t Ig y hom_ma ^ ges _ i ^ ??= f^ f d I É i^ ^^fczt ^^— s rt' É i^â rii: -4r «1 E*33^ $:±^-: zt± \.\ di _vi _ ni _ te Ê m qu I 3 m } £ =^ re -ter 6 3 -iS>- fé ^ i ?; ^^^^^^ :|t* :? £ne dans nos =ÎÇ p¥^ m «tEI boi-. Ros_sisnoIsetc.. ui-idu^au i zaï #=F 4 Diot Fin. V=^- i DC i m '1 % .ce 317. H% J21 c;avotte. 1. vite. i t=^ PIANO. h iJ= m ^^ S4 i-^^i- ^m I _ I ^ :> éi àà -+ ? r f=* r ^m rJ^=e ii^ jr^^ Cl s^^ p ^^ è^ ,. ii^ i ^té 2iQZ ^ B':" ''>0 .+ . . m^ im i ^^ ji:za: ^ -f H* GAIOTTE. î^^ PIANO. ^ • C^ t g-nm s m f ^^ ^^ Fl. i^^ F-H^ a^^^fe^ S^ f-ylf- * * Ê ^ M^ ^ ^ taMi ^^ ^ è^Eâ I * • » m^ ^FF^ H. ^ ^*^f: R= ë: ^ ïiE *:i=ï P * J i* j r L^cj^it-^ -t-ffl3 19. ' < ^^ ^ ^ P^ ^ ^É 1^ I P ^ ^ f^ •.«.£: + ÉÉ 322 HIPPOLYTE. 1» 1 {) X ^ 7 Dé r^T'^tt _ _ es mon bon_heur se, ^ ê g^j^ [; p rnn-ce, . pas se _ mon pe _ es _ W ÇESSgE ^ P- EEE^^Î p p P r fe^E^i H^ Q"'<*^6c l'auteur de ma I nais _ ^^^^ ^ san _ ce É!É J'aimerais i le w parta. S f=T ^ a ^ DIANE. ^--#P Le _ger. F" destin pMpir Mr^' défend del'ins-trui _ re Des ^Kl^f^ lieux où j'ai su P 6 -3- P ) _ dui _ re. y f h}u> Et la loi con_ cr « m Ê cy?=p te ».- '^ }On'.iA=^^H- }m du Des _ tin ne peutjamais chnn :^ ^ S 7 3E ^ 3" S T. . 323 H * ^ P 1^ p d'e_ta _ blir J'ai pris soin ^^^ r F _ puis le ^ -er 7 ^ i ^ ^ ^ " nou_vel _ ta M È ^# _ san _ ^-j^j' ^ i ce Dans ces lieux for_{u jL nés _ » t^2 ^ :^^ dont Sa _ tur _ ne fit ^ W 1^ \>7 6 5 ^ P3E /. f i^-^> J i. ra_me_ner Pour choix m ;è^ -!# ^ £ le monde son ai _ niable ^ r 6- ^lË P fan 1 ^ ce. r=^ V C'est P Dieux ^^=^~ iS^t wp 919. i i a P don _ r^-^ ner des en 324 J. ^^ Rois 1 de qui Piir m r J^ ^ ver _ la tu # P * » ÈE^ ?ie _ de re_com m- 1 ï 1 » le ^ + FI: y J' X X C'est aux ce. _ nien ^ ^f^=f=f^ ê i-#^-g^ S i^ £ I ë Dieux ;i " ^^^ g don_ner des Rois J- "^^m de qui 'ar rxr^ ver la ^i^*""! i Ê :f É F ^ — ^m ^ m (ne page 307.) On reprend ^ i de sie ^^ a^ f r r.r.TPMr UO re _ coin men _ â f= ii T »nBBY g-f ''+ tu 1 dernier Choeur. le , F." , S* Martin. ^ (Fin du 5! Ac/^ * I a.j): ce. ^ ï MviRPfH.,.R M U KE L.Hae H j >.