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MUilU LIBRARY
UNC-CHAPEL HILL
CHEFS-D'ŒUVRE CLASSIftUES DE
LOPÉBA FRANÇAIS
:\.
<A
TRAGEDIE LYRIQUE EN
Paroles de l'Abbe
5
*
ACTES «cUN PROLOGUE
PEU
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mièrs foispar Mcadéiuls Rojale ée
RECONSTITUÉE ET REDUITE POUR
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PAR Charles
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PIANO ET CHANT
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GLAND, revue parlMeur
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Al Agence Internationale des
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NET
Aoteurs, Compositeurs
etîcnVams
THEODORE MI CHAELIS, EDITEUR
PARIS-^S-^y-RUE DE MAUBEUGE
BROUDE esOTHCRS
56 W.
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T.,
H. Y.
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-ÎS-ÎZ-
PARIS
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CHEFS-D'ŒUVRE CLASSIQUES
DE
L'OPÉRA FRANÇAIS
LULLY, CAMPRA, RAMEAU, PICCINNI, SALÏERÏ,
GRÉTRY. etc.
HIPPOLYTE ET ARICIE
De
J.
Th.
RAMEAU
INTRODUCTION
I/ippohjle
el
est le pi'emier oiiYniui' il'' l'ianieau représente à l'Acaniusidéraljle
im[)ortaiiri>
et, à ce titre, il a une,
maitve et dans l'histoire de notre [ireniière scène lyrique.
Aricii'
ilémie royale de musique,
dans r(euvre du
.Jusqu'alors Gambert, LuUy et Canipra avaient tenu le répertoire, et surtout le second de ces maîtres, dont la féconde coUaljoration avec Quinault
représente en musique ce qu'on peut a[)peler le stijU' Loiii^i AYT, c'est-à-dire
la noblesse et la granfbmr, qualités qui n'excluent pas toujours ua peu de
uiunotcnie.
Gampra, provençal distingué, représenti^ à nos yeux, l'époqiie do la Régence,
cDuirae après lui Rameau personnilie par son élégance non dépourvLie d'énergie le stjjle Lniii.'i Xl\ réunion eharinante et rafiinée de toutes les délicatesses du dix-huitième siècle.
Rameau, provincial i|ui avait voyagé en Italie et dans le midi de la
France, qui avait appris à Mont[iellier la règle de l'octave d'un nommé
Lacroix, s'était fait connaître par de délicieuses pièces de clavecin, par des
cantates importantes, par des motets à grands chœurs, où la science et le
talent d'exi)rimer les paroles rivalisent à l'envi.
Son graml traité iTharmonie, écrit à Clm-mont, en Auvergne, le faisait
passer a tort pour un théoricien farouche qui ne voyait rien en dehors de
la basse fondamentale et de la résonance du corps sonore.
Dévoré du désir ardent de cueillir les palmes du théâtre, il s'était essayé
à la Comédie française et à rO[i(''ra-Gomique, en collaboration avec; son
compatriot(> l'iron.
Mais c'était le grand opéra que son génie dramatii[ue voulait aborder, et
les librettistes d'alors n'étaient guère plus faciles ([ue ceux d'aujourd'hui.
Roy et Danchet rid)utaient le com[)ositeur, et llouilart de la Motte, membre
de l'Académie française, n'accueillit pas mieux la lettre suivante que nous
tenons à reproduire, d'après le Mercure de France de 17(55 (page oG). Ainsi
s'exprimait le futur auteur de Casior, de Darfl'inus, des Fèle^ d'IJébé et d'une
foule d'autres ouvrages qui tinrent au répertoire de l'Opéra une place si
importante
:
527298
—2—
»
« Quelques raisons que vous ayez, monsieur, pour ne pas attendre de ma
musique théâtrale un succès aussi favorable que celle d'un auteur plus
expérimenté en apparence dans ce genre de musique, permettez-moi de
les combattre et de justifier en même temps la prévention où je suis en
»
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M
>)
faveur, sans prétendre tirer de ma science d'autres avantages que
ceux que vous sentirez aussi bien que moi devoir être légitimes.
» Qui dit un savant musicien, entend ordinairement par là un homme
a
qui rien n'échappe dans les différentes combinaisons des notes; mais on
le croit en même temps tellement absorbé dans ces combinaisons, qu'il y
sacrifie tout, le bon sens, le sentiment, l'esprit et la raison. Or ce n'est là
qu'un musicien de l'école où il n'est question que de notes, et rien de
plus de sorte qu'on a raison pour lors de lui préférer un musicien qui
se pique moins de science que de goût. Cependant celui-ci, dont le goût
n'est formé que par des comparaisons à la portée de ses sensations, ne
peut tout au plus exceller que dans de certains genres, je veux dire
dans les genres relatifs à son tempérament. Est-il naturellement tendre?
il exprime bien la tendresse. Son caractère est-il vif, enjoué, badin, etc.?
mais sortez-le de ces caractères qui lui
sa musique y répond pour lors
sont naturels, vous ne le reconnaissez plus. D'ailleurs, comme il tire
tout de son imagination, sans aucun secours de l'art par ses rapports
avec les expressions, il s'use à la fin. Dans son premier feu, il était
mais ce feu se consume à mesure qu'il veut le rallumer,
tout brillant
lui que des redites ou des platitudes. Il
et l'on ne trouve plus chez
serait donc à souhaiter qu'il se trouvât pour le théâtre un musicien qui
étudiât la nature avant que de la peindre, et qui par sa science sût faire
le choix des couleurs et des nuances dont son esprit et
son goût lui
auraient fait sentir le rapport avec les expressions nécessaires. Je suis
bien éloigné de croire que je sois ce musicien; mais du moins j'ai audessus des autres la connaissance des couleurs et des nuances dont ils
n'ont qu'un sentiment confus et dont ils n'usent à propos que par
hasard. Ils ont du goût et de l'imagination, mais le tout borné dans
le réservoir de leurs sensations, où les différents objets se réunissent
en une petite portion de couleurs, au delà desquelles ils n'aperçoivent
plus rien. La nature ue m'a pas tout à fait privé de ses dons, et je ne
me suis pas livré aux combinaisons des notes jusqu'au point d'oublier
leur liaison intime avec le beau naturel qui suffit seul pour plaire, mais
qu'on ne trouve plus facilement dans une terre (jui manque de semences
et qui a fait sur tout ses derniers efforts. Informez-vous de l'idée qu'on a
de deux cantates qu'on m'a prises depuis une douzaine d'années et dont
les manuscrits sont tellement répandus en France, que je n'ai pas cru
devoir les faire graver, puisque j'en pourrais être pour les frais, à moins
que je n'y en joignisse quelques autres, ce que je ne puis faire faute de
paroles; l'une a pour titre
VEnlèvcmcnt d'Oriihie
il y a du récitatif et des
airs caractérisés; l'autre a pour titre: l'hctis, où vous pourrez remarquer le
degré de colère que je donne à Neptune et à Jupiter, selon qu'il appartient
de donner plus de sang-froid ou de possession à l'un qu'à l'autre, et selon
qu'il couvieut que les ordres de l'un et de l'autre soient exécutés. Il ne
tient qu'à vous de venir entendre comment j'ai caractérisé le chant et la
danse de ces sauvages qui parurent sur le Théâtre Italien, il y a un an
ou deux, et comment j'ai rendu ces titres les Soupirs, les tendres Plaintes,
excités
les Cijclopes, les Tourbillons (c'est-à-dire les tourbillons de poussière
par de grands vents), l'Entretien des muses, une Musette, un Tambourin, etc.
» Vous verrez pour lors que je ne suis pas novice dans
l'art, et qu'il ne
paraît pas surtout que je fasse grande dépense de ma science dans mes
productions où je tâche de cacher l'art par l'art même; car je n'y ai en
;
;
;
:
;
:
»
"
»
»
"
»
vue que les gens de goût et nullement les savants, puisqu'il y en a
beaucoup de ceux-là et qu'il n'y en a pivsi[ue point de ceux-ci. Je pourchoeur oi^i vous
rais encore vous faire entendre des motets à grand
reconnaitriez si je sens ce que je veux exprimer. Enfin, en voilà assez
pour vous faire faire des réflexions.
» Je suis, avec toute la considération possible, monsieur, votre très humble
et
très obéissant serviteur.
»
Rameau.
»
Cette remarquable lettre, datée du 25 octobre 17:27, resta probablement
sans réponse, et le plus grand compositeur français du dix-huitième siècle
n'aurait pas abordé hi scène qu'il illustra par ses succès, s'il n'eût rencontré
le financier la Popelinière, à la femme duquel il donnait leçon.
Ce riche fermier général entretenait un orcliestre à ses frais et donnait de
splendides soirées tant à Paris, dans son hôtel, qu'à Passy, dans sa luxueuse
maison de campagne. Du moins, dit Solié (cf. le Siècle, 1852), cette vanité de
l'opulence avait-elle son coté utile et loualjle. La Popelinière se mit en tète
de faire la réputation du mai(r(^ de clavecin de sa femme il obtint de Volle livret de
taire, ce courtisan toujours iulule du pouvoir et de la fortune,
Samson. Rameau se mit au travail, et plusieurs morceaux répétés chez son
protecteur obtinrent l'aiiprobation générale. Mais Thuret, directeur de
l'Académie royale de musique, refusa de faire jouer une pièce dont le sujet
était pris dans la Bible. Voltaire, dit La Harpe, jeta les hauts cris.
Quant à Rameau, il allait décidément renoncer à un dessein pour lequel
le sort se montrait si peu favorable, lorsque la Popelinière réussit à arracher de l'abbé Pellegrin le poème à'Hippohjfe et Aricie.
;
Pellegrin, dont on disait que
Le maliu
Il
dîne
:
catliolique et le soir idolâtre,
de l'autel et soupe
du
théâtre,
ans quand M. de la Popelinière lui demanda un
poème pour un jeune compositeur qui atteignait la cinquantaine. On prétend qu'il ne voulut confier son livret Rameau qu'à condition que celui-ci
avait près de soixante-dix
cà
une
11 est juste de reconnaître
l'audition préalable oljtenu [lar le compositeur chez
«Monsieur, quand on fait de si
la Popelinière, le librettiste dit à Rameau
belle musique, on n'a pas besoin de donner de garanties; voici votre billet;
ne réussit pas, ce sera ma faute et non la vôtre. » Et devant
si l'ouvrage
tout le monde, il déchira l'obligation souscrite par Rameau.
lui souscrirait
qu'après
le
oljligation de 5 à COO livres.
succès de
:
octobre 1733 marqua dans les fastes de l'Opéra. Les imitateurs de Lulli comme Cotasse, Desmarets, de Blamont, Mouret, etc., faisaient une vive opposition au nouveau venu. Ce qui étonnait surtout, dit
Adolphe Adam, dans le tome IV de la Revue contemporaine, c'était la nouveauté et l'imprévu de la modulation, la force de Pharmonie et les combinaisons de la nouvelle instrumentation. Rameau avait abandonné l'ancien
système de Lully il faisait faire des rentrées aux flûtes, aux hautbois, aux
bassons, sans interrompre le jeu de la symphonie; il donnait à chaque instrument une partie indépendante et distincte; il assignait à chacun un rôle
tout spécial, faisant en un mot l'essai de ce qui s'est constamment pratiqué
depuis. Rameau est donc le père de l'instrumentation moderne, et il a
joué à son époque le rôle que Berlioz et ^Vaguer jouent dans la nôtre. C'était
un novateur puissant. Aussi y eut-ii le cam[) des Ramistes et celui des
LuUistes, comme plus tard nous trouverons le camp des Gluckistes et celui
des Piccinnistes, et au xix'' siècle, la célèbre querelle des romantiques et
des classiques. Au fond, c'est la vieille et élernelle question de l'idée et
La soirée du
1'''
;
de
la
forme.
T;e
public fut d'abord étonné de cette musique bien plus chargée
plus fertile on images que celle qu'il avait coutume d'entendre.
On
partagé à l'occasion du nouveau genre; néanmoins on
par l'applaudir chaudemenl.
s'était
on
et
finit
Ajiros la première représentation, Campra répondit
demandait son avis sur le nouvel ouvrage
lui
goûta
au prince de Gonti qui
:
y a dans cet opéra assez de musique pour en faire
nous éclipsera tous. » la prédiction se réalisa complè-
Monseigneur,
«
»
le
et
dix.;
il
cet lionmie
tement.
Signalons
mainlenaut aux lecteurs de notre nouvelle édition
spécialement attirer leur attention. Ce sont
doivent
ci'aux. (jui
mordans le
les
:
prologue, le joli chœur des nymphes, jiar lequel s'ouvre la partition, l'air
de Diane « Sur ces bords fortunés », l'invocation de la même déesse, la
descente de .lupiter et son beau récit, puis la charmante gavotte chantée
«
A l'amour rendons les armes », d'un rhythme si vif, si carré et si précis.
:
Au iiremier acte, il faut citer le bel air d'Aricie « Temple sacré », le
duo avec Hippolyte « Tu règnes sur nos cœurs », le chœur des Prêtresses
«
Dans ce paisible séjour », l'air gracieux et doux « Dieu d'amour, pour nos
« Périsse la vaine puissance », le
asiles », l'air de Phèdre
beau chœur
«
Dieux vengeurs lancez le tonnerre », et l'elîet de tonnerre qui le suit. Les
récitatifs de Phèdre et d'OEnone terminent bien cette première partie.
Ij
second acie (celui des Enfers) contient toute une révolution musicale.
L'air de Thésée avec accompagnement de violons en arpèges, est d'une
coupe toute nouvelle. Puis les récitatifs de Plutou, les airs des Furies, les
chœurs de Démons, et enfin l'admirable trio des Parques, prouvent
« Vous qui de
toute la puissance du génie de l'auteur. Le récit de Pluton
l'avenir percez la nuit profonde», a un cachet de grandiose et de sombre
:
:
:
:
'
:
).
majesté, digne de i-jvaliser avec les plus belles inspirations des maîtres de
« Où vas-tu,
malheureux ? »
toutes les é[ioques. Le passage enharmonique
est d'une hardiesse extraordmaire et d'un effet sublime. Au commencement
de la scène cini]uièrae, nous trouvons un Prélude à l'unisson qui a devancé
de bien des années le célèbre [irélude de rAfricaine.
:
Dans l'acte trois, il y a un bel air de Phèdre, une scène importante entre
«Que ce rivage retentisse », de
celte reine et Ili[)polyte, un beau chœur fugué
« Puissant
jolis couplets cliantés par une Matelote, enfin l'air de Thésée
maître des flots », suivi du frémissement des vagues.
:
:
L'acte quatrième renferme un air expressif d'Hippolyte, une belle scène
entre ce prince et Aricie, un joli chœur de chasse, la scène dramatique
Fuyons
d'Hippolyte avec le monstre, puis l'air de Phèdre
où me
»
cacher ? les enfers s'ouvrent sous mes pas. »
:
.•
!
«
Grands dieux
débute par l'air de Thésée
de quels
puis l'air d'Aricie qui s'éveille dans des
sens déchirer
jardins délicieux, précède un joli chœur de bergers et de bergères; Diane
revient au milieu de ses peuples; Hippolyte n'est pas mort les zéphirs le
rau)ènent et la déesse unit les deux amants.
Le dernier acte
»
remords
:
me
je
!
!
•>
;
La musette en
cieux.
«
Il
est
In
suivi
majeur de la dernière scène forme un chœur très gratl'une chaconne développée et de l'ariette vocalisée
Rossignols amoureux
»,
qui a été exécutée par Mlle Séveste et le flûtiste
187G, à l'occasion de l'inauguration
donné à Dijon en
du monument élevé à Rameau.
Tatl'anel
au
festival
Chapitre de Cheiiôve, par Dijon (Côte-d'Or).
Ce
/>•'
octobre
1881.
Charles Poisot.
ET ARICIE
HIPPOLITE'
TRAGÉDIE LYRIQUE EN CINQ ACTES ET EX PROLOGUE
Paroles
PELLEGRIN.
de l'abbé
Musique de
J.
Ph.
RAMEAU.
-<? î3r~ï:»Cï-
PREMIERE REPRESENTATION: JEUDY
ACTEUUS
lU'
INTFIII'UÈTES
l'illILdClK.
IIE
1733.
LA CIIÉATIO.N
:
L'Amouii
La demoiselle Eukmans.
Le sieur Jélyotte. hnnle-conlre.
JvpiTKii
Le sieur
Diane
.\ijmph('s de Diane,
acteurs
r>E
de
luiliilans
EA IDAGEKIE.
lu
l'il
PiiÈDiiE
HippoEiTE
Aricie
De\>,e
Œnone
Pi.niiN
trois
Parques.
—
Dun', basse.
forêt d'Enjmanle. Suite de l'Âmnur.
LNCII'AI X
Le
La
Le
La
La
La
Le
Thésée
Les
OCTOBRE
1^
Les sieurs
(t
I.NTKIU'RKI ES
sieur de
DE EA CREATION
:
(.'ijassé.
demoiselle Antier.
sieur Trirolt.
demoiselle Pélissier.
demoiselle Eremaks.
demoiselle Monvilee.
sieur Dln.
h,
nier. Jéi.kitte et Cevillier.
Arcas. Tisypiio.ne. Neptune, Mercure.
Ballet: Les demoiselles Mariette, Camarco; les sieurs Dupré, Dumoulin.
seeiie
f.a
xe
passe
a
Trezene
.
dan-<
/ex
Enfers,
et
dans
la
fnrél
d'Arieie.
—
Le catalog-ue de noire nmi Th. de Laiarte (;>'' période, page 172) indique
cinq reprises (ou remises à la scImic) d'llipp(dite et Aricie :
.\.
II.
i"
2"
iJ"
i"
H"
Le
Le
Le
Le
Le
mardi 11 septembre [~ii.
vendredi 2o février 1757.
.
.
.
mardi 4 octobre ]7.')S ....
mardi 24 mars 17(J7
mardi 9 juin 17(37
.
.
.
(Changemcus considérables au
o'"
acte).
(Douze représentations).
(Quatorze repiéseutations).
(Cinq représeulalionsj.
(Xouvcile série de neuf représentations').
HIPPOLYTE ET ARICIE
DES MOaCEAUX
TABLi;
Pages.
1°
là
Ouverture (en ré niiueun
PROLOGUE
i"
Chœur des nymphes de Diane
3"
A"
Entrée des habitants de la forêt
Air de Diane, avec chœur.
lia
17
5"
Scène
IS à
24
(')°
duo (Diane, l'Amour)
Invocation de Diane
k Arbilre souverain
»
Descente de Jupiter.
Récits
Scène quatrième
Diane, l'Amour
Scène cinquième
Récit et air de l'Amour
Air en rondeau pour les Amours (joue, puis chaulé)
Gavottes en ré majeur et mineur (jouées et clianlées)
Menuets, récit de l'Amour et Marche
et
H"
[)°
10"
11°
12°
à
8
9
à
10
à
26
57 à
29
à
31
32 à
34
3o à
38 à
38
à
43
'âo
:
7"
-i
—
;30
:
;
...
il
40
ACTE PREMIER
13° Air d'Aricie
Temple sacré
«
:
14°
Scène deuxième
Vi"
Duo
16°
Marche en
d'Aricie et Hippolyte
17"
Chœur de
18"
Premier
19°
Deuxième
sol
»
Aricie, Hippolyte
:
;
Tu règnes sur nos cœurs
«
Prêtresses
«
:
air joué, ])uis
air (eu sol
22°
Dans
ce paisible séjour
chaulé par une Prêtresse
mineur
à trois
:
temps)
23°
24°
23°
26"
27»
:
>
:
:
o3
oi
à
o6
à
CO
61 à
63
S8
)
«
Dieu d'amour .
64
grande Piètresse, avec chœur
Scène quatrième les Précédents, Phèdre, (Euone
Chœur « Dieux vengeurs, lancez le tunuerre
Tonnerre (symphonie)
Scène cinquième
les précédents, Diane
Scène sixième Phèdre, (l'hione
Scène septième les mêmes, Arcas
Scène huitième Phèdre. Œuoue
:
46
47 à
o7
20° Air de la
21°
".....
majeur
44 à
6o à
68
69 à
7o
76 à
83
8i à
86
87 à
89
90
;
91 à
92
:
93 à
96
ACTE SECOND
Pages
î»' Ealr'acte
.
tiD"
Sccue première
30"
Duo
Air de Thésée
Scène troisième
iii"
Airs infernaux
3)°
Chœur
3G"
37"
38"
30"
4(1"
41°
42"
.
:
à
104
lOo à 109
>'
110
Pour prix d'un projet téiuéraire
Plutou et les Parques
:
97
08
ConteuLe-loi d'une vicliiue
«
Thésée. Philon. les Parques
:
«
:
33"
.
Thésée, Tisyphoue
:
(Lasse et ténor)
SV Scène deuxième
0-2''
.
».
à
114
llo a 117
.
i[8
l\
120
127 à 129
,
« Pluton commande »
Scène quatrième Thésée et Tisyphonc
Trio des Parques
« Du destin le vouloir suprême «
Air de Thésée
« Puisque Pluton est inflexihle
Chœur
« Non, Neptune aurait heau t'eutendre »
Scène cinquième Mercure et les précédents
Célèbre trio des Parques
« Quelle soudaine horreur
Scène sixième
Thésée
130
:
138
>^
à
140
141 à 143
:
144 à 148
:
:
133
136 à 137
:
:
à
loi à 133
:
148 à lo7
"
138
:
ACTE TROISIEME
43" Eutr'acte eu sol
4io Air de Phèdre
majeur
:
43"
Scène deuxième
40" Scène tmisième
47o
Duo
:
139 a 160
«
Cruelle
mère des aniouis
:
Phèdre,
Œnone
les
>4ill h
«
mêmes, Hippolyte
(Phèdre, Hippolyte)
«
Ma
163
166
167 à 171
fureur va tout eutroprendie
-
.
.
.
.
172 à 176
48° Suite et fin de la scène troisième
177 à 181
49°
ISl
30»
31"
o2"
33"
54°
33"
30"
37"
3S"
39"
60°
Scène quatrième
les mêmes, Thésée
Scène cinquième
Thésée, Hippolyte
Scène sixième Thésée, Œnone
Scène septième
Thésée seul
Scène huitième Marche (en sol majeur]
Cha^ur
« Que ce rivage retentisse »
Premier et second air des Matelots
Premier et second rigodons
Couplets chantés par une Matelote
Thésée (scène neuvième)
Air de Thésée
« Puissant maître des Ilots
Frémissement des flots
:
182
183 à 18 i
:
183
:
186
:
:
:
à
182
:
•
.
.
187 à 205
206 à 207
208
200
210 à 212
"
213
à
210
à
213
218
.
ACTE QUATRIEME
Pages.
61" Enlr'acte (eu sol majeur)
62° Air d'Hippolyle
63°
64°
65°
66"
67°
68°
69°
70°
71°
Ah
219
qu'uu jour k.
Scène deuxieuie
Aricie, Hippulyle
Air d'Aricie
« Dieux
pourquoi séparer deux nœiirs
Duo (Hippolyte, Aricie) « Nous allons nous jurer »
Chœur de chasse « Faisons partout voler nos trails
Deux airs de ballet (en rê majeur)
« Dieu des cœurs >
Couplets d'une chasseresse
Deux menuets (ré majeur et ni mineur)
Bruit de mer et veuts.
Chœur en si hémol
Scène quatrième Phèdre et le chœur
«
:
faul-il
!
•
.
.
.
.
:
:
!
>
:
:
220 à 222
223 à 22o
226 à 227
230 à 233
23() à
„
243
à
242
244
247 à 248
:
249
—
à
2o0
2ol à 2o8
2o9 à 264
:
ACTE CINQUIÈME
72'J
Entr'acte (en sol mineur)
26o
Scène première Air de Thésée « Grands dieux
74° Scène deuxième
Neptune, Thésée
75° Scène troisième
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Scène sixième Diane. Aricie
79° Scène septième
Diane, Aricie, Hippolyte
80° Marche et chœur
« Chantons sur la musette
81° Air de Diane
« Bergers, tous allez voir «
82° Chœur
« Que tout soit heureux «
83° Chaconne en lu mineur
84° Ariette de soprano
« Rossignols amoureux »
85° Deux gavottes et /(/ majeur en en la miueui86° Fin de la dci-nière scène
77° Air de
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269 à 274
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307 à 312
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HIPPOLYTE ET ARÏCIE
TRAGÉDIE LYRIQIE.
Paroles de
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Musique de
(1733)
PELLEGRIN
1663
—
J.
1745.
Ph
RAMEAU
—
1683
1764.
PROIOCilE.
Le Théâtre représente
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OIVERTURE.
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