Dossier de presse

DOSSIER DE PRESSE
SEPTEMBRE – OCTOBRE 2010
- AFTERMATH - JESSICA BLANK ET ERIK JENSEN (NY) THEATRE
1ère française !
- COLERES - FRANÇOIS ROLLIN HUMOUR
- VOYAGEURS IMMOBILES - PHILIPPE GENTY THÉÂTRE
- BETWEEN US - BILL T. JONES DANSE
Date unique en France !
- TRIO SYLVAIN LUC, BIJAN & KEYVAN CHEMIRANI JAZZ
- CAP SONIC Dans le cadre de Septembre Ouvert – FESTIVAL
- LE GEANT DE KAILLASS - CIE ARSENIC Dans le cadre de Septembre Ouvert - CREATION / THEATRE 1ère
mondiale !
- CONNEXION AU MONDE : ANDALOUSIE EXPOSITION / DANSE / MUSIQUE / CINEMA / LITTERATURE
- TOM SAWYER THÉÂTRE
- BURNING FLOOR DANSE / HIP-HOP
- PETITE HISTOIRE WALLONNE EN MUSIQUES Dans le cadre du Festival de Wallonie-Hainaut MUSIQUE
ère
CONTEMPORAINE
1 belge !
ère
- L’HOMME QUI DONNAIT A BOIRE AUX PAPILLONS CREATION / THEATRE-CINEMA
1 belge !
- CASSE TA DIVA Ensemble Quartz MUSIQUE CLASSIQUE / HUMOUR
- ORCHESTRE ROYAL DE CHAMBRE DE WALLONIE MUSIQUE CLASSIQUE
RENSEIGNEMENTS / RESERVATIONS
Le Manège Maubeuge + 33 (0)3 27 65 65 40
Le manège.mons + 32 (0) 65 39 59 39
Contact Presse Maubeuge : Barbara Lerbut
+ 33 (0) 3 27 65 93 22 / + 33 (0) 3 27 65 93 80
[email protected] / www.lemanege.com
Contact Presse Mons : Caroline Kadziola
M +32 (0)479 440 965
Fleur Sizaire
M +32 (0)497 439 212
[email protected] / www.lemanege.com
[email protected]
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CALENDRIER
Jeudi 9 > dimanche 12 septembre
CAP SONIC
FESTIVAL / DANS LE CADRE DE SEPTEMBRE OUVERT
Jeudi 16 > samedi 18 septembre - Sous le nouveau chapiteau d’Arsenic - Parc du Waux-Hall
LE GEANT DE KAILLASS - Cie Arsenic
CREATION / THEATRE / DANS LE CADRE DE SEPTEMBRE OUVERT
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Du vendredi 1 au samedi 9 octobre - Site des Arbalestriers / Maison Folie - Mons
CONNEXION AU MONDE : ANDALOUSIE
EXPOSITION / DANSE / MUSIQUE / CINEMA / LITTERATURE
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Vendredi 1 octobre – 20h
TOM SAWYER
THÉÂTRE
Mardi 5 octobre - 20h - Gare - Jeumont
AFTERMATH - JESSICA BLANK ET ERIK JENSEN (NY)
THÉÂTRE
Jeudi 7 octobre - 20h - Espace Gérard Philipe - Feignies
COLERES - FRANÇOIS ROLLIN
HUMOUR
Vendredi 8 > samedi 9 octobre - Théâtre le Manège - Mons
BURNING FLOOR
DANSE / HIP-HOP
Lundi 11 octobre - 20h - Le Manège - Maubeuge
VOYAGEURS IMMOBILES - PHILIPPE GENTY
THÉÂTRE
Mardi 12 octobre – 20h - Théâtre le Manège – Mons
PETITE HISTOIRE WALLONNE EN MUSIQUES
MUSIQUE CONTEMPORAINE / DANS LE CADRE DU FESTIVAL DE WALLONIE-HAINAUT
Jeudi 14 et vendredi 15 octobre - 20h - Le Manège - Maubeuge
BETWEEN US - BILL T. JONES
DANSE
Mardi 19 > samedi 23 octobre - 20h / Dimanche 24 octobre - 16h - Théâtre le Manège - Mons
L’HOMME QUI DONNAIT A BOIRE AUX PAPILLONS
CREATION / THEATRE-CINEMA
Mercredi 20 octobre - 20h – Théâtre Léo Ferré – Aulnoye Aymeries
TRIO SYLVAIN LUC, BIJAN & KEYVAN CHEMIRANI
JAZZ
Dimanche 24 octobre – 16h - Théâtre Royal – Mons
CASSE TA DIVA
MUSIQUE CLASSIQUE / HUMOUR
Jeudi 28 octobre – 20h - Théâtre Royal – Mons
ORCHESTRE ROYAL DE CHAMBRE DE WALLONIE
MUSIQUE CLASSIQUE
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Samedi 4 > dimanche 12 septembre – MONS
GRATUIT !
Festival / Dans le cadre de Septembre Ouvert
CAP SONIC
Dans le cadre de Septembre Ouvert, qui s’ouvrira ce dimanche 29 avec le Barbecue Urbain, le manège.mons
présente le Festival CAP SONIC.
Du 9 au 12 septembre, CAP SONIC fera vibrer la ville de Mons au son des rythmes métissés. Au programme :
des concerts et activités musicales à partager en famille ou entre amis, des musiques festives et entraînantes,
des découvertes et des surprises, une ambiance conviviale, des collaborations avec City Sonic, le tout
entièrement gratuit !
« CAP SONIC, c’est le nouveau rendez-vous musical de la rentrée qui conjugue au présent et accorde au pluriel
les valeurs originelles du Festival Cap Suds : la diversité des activités, la démocratisation de la culture, l’esprit
de curiosité et la convivialité.
Que le Coeur de Mons batte au rythme des musiques d’ici et d’ailleurs, fluctuantes et débordantes d’énergie,
ouvertes à tous ! »
Jean-Paul Dessy – Directeur Artistique.
Programme :
Samedi 4 septembre :
Piétonnier + Grand-Place : Fanfarissimo et Fanfarissima - Fanfare déambulatoire
Galerie des Grands Prés : Marimba Incongru par Pierre Quiriny
Dimanche 5 septembre – Sonic Garden Party – Jardins privés du Quartier du Beffroi
Jeudi 9 septembre – Théâtre Royal
A l’issue de la présentation de saison du Manège :
concert d’Art Mengo
After musicale par le Steel Band (percussions latinos)
Vendredi 10 septembre – Place du Marché aux Herbes, de 19 à 23h
Lemon Straw / Caravan Palace / Sharko
Samedi 11 septembre
Journée Sonic Kids – Théâtre Royal Dès 14H : ateliers ouverts pour enfants de 4 à 12 ans 15H45 : goûter en
musique offert à tous les participants 16H30 : spectacle Le Patamodd par la Cie Les Déménageurs
Fanfare déambulatoire « Orquesta de la Muerte ». Parcours en centre ville lié aux lieux représentés dans le
cadre des Journées du Patrimoine. De 13H45 à 16H
En soirée, concerts :
- A la Chapelle Club - 20H30 - soirée pop-folk avec The Hollograms et Lucy Lucy
- Au Club 33 - 21H - soirée reggae-folk : Tum Tum Tree + La Famylia
- Au Bateau Ivre - 21H - soirée festive avec Valentine’s day + La Cavaska
Dimanche 12 septembre - Théâtre Royal, de 16 à 18h
Bal du monde avec La Crème du Boucan.
Jeudi 16 septembre – Chapelle des Ateliers des FucaM – 12h10 (durée 50 minutes)
Concert de midi « Percussions du monde »
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Jeudi 16 > dimanche 19 septembre
Sous le nouveau chapiteau d’Arsenic - Parc du Waux-Hall
Pour tous à partir de 6 ans
11/8€
Création / Théâtre / Dans le cadre de Septembre Ouvert
LE GEANT DE KAILLASS
Cie Arsenic
Dans le village de Kaillass, vit un géant. Souffre-douleur des villageois, il rêve d’une vie à sa mesure,
d’un monde plus vaste et de coeurs plus grands. Rejeté, il quitte sa terre natale et parcourt le monde.
De champ de foire en Cour du Roi, de cabaret en cirque, il connaîtra l’impossible amour d’une toute
petite femme, rencontrera la vanité, le cynisme, la gloire et le déclin.
Théâtre, marionnettes, jeux d’ombres, cabaret, trappes, masques et fanfare peupleront l’univers de
ce géant. Interprété par douze comédiens et cinq musiciens, ce conte atypique vous amènera par le
rire et les larmes à réfléchir sur notre monde photoshopé par le diktat des apparences.
Fable sur le diktat des apparences, Le Géant de Kaillass mêle à la peinture d’un destin tragique de
vrais moments de comédie; s’articulant sur une vingtaine de tableaux qui jouent, comme autant de
bascules, sur le mélange des genres et l’alternance des registres.
C’est dans un chapiteau de cirque, spécialement conçu pour lui, que Le Géant sera montré. 560
places de gradins disposés en hémicycle autour de la scène, selon des proportions qui préservent,
tout en y lovant les décors, la sensation de proximité. D’emblée, ce lieu de toile tendue porte en lui,
pour chacun de nous, l’idée de la route et du voyage, l’émotion des grands départs, la poussière des
chemins que soulève à son passage la caravane... Dès l’entrée, tout sera fait - accueil, création
sonore, décoration d’ambiance — pour ouvrir la disponibilité des spectateurs afin qu’ils emboîtent,
leurs pieds dans ses traces, les pas du géant de Kaillass. Interprété par onze comédiens, une
chanteuse et cinq musiciens, le spectacle sera musical, et les glissements entre jeu et chant
apporteront à l’ensemble un caractère jouissif et enlevé. Les musiciens prendront part aux situations,
devenant au fil du récit fanfare de village, orchestre royal ou jazz band. Ils accompagneront, en outre,
les parties chantées des protagonistes. La création scénographique sera l’un des points forts de notre
spectacle : vingt tableaux qui s’enchaînent comme autant d’uppercuts visuels. Ainsi, cette carriole de
cirque tirée par un ours et qui se transforme sur la scène en petit chapiteau. Le plateau, surélevé,
agira comme une boîte magique : trappes, rails, machineries théâtrales intégrées permettront
qu’apparaissent, ciselés par l’éclairage, un cabaret, un bateau, ou une scène d’opérette... Plus qu’un
spectacle à suivre, Le Géant sera une aventure à vivre. Loin du monde réel, elle plongera les
spectateurs dans l’univers d’un théâtre très singulier qui convoque la comédie musicale et le musichall, le cirque et le cabaret, les marionnettes et les jeux d’ombres. D’un théâtre où l’exigence
artistique va de pair avec l’accessibilité des formes. D’un théâtre résolument festif et néanmoins
porteur de sens.
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Du vendredi 1er au samedi 9 octobre
Site des Arbalestriers / Maison Folie - Mons
Soirée d’ouverture le vendredi 1er octobre à 18h30
EXPOSITION / DANSE / MUSIQUE / CINEMA / LITTERATURE
CONNEXION AU MONDE : ANDALOUSIE
Cette année, c’est vers l’Andalousie que se tourne la Maison Folie pour sa cinquième « Connexion au
Monde ». Cinéma, musique, littérature, danse, gastronomie… Ne résistez plus, laissez-vous entrainer
par les rythmes, les couleurs et les saveurs du sud de l’Espagne !
Exposition / Dessins / Costumes
Séville mon amour
Croquis de Christine Mobers
Samedi 2 > samedi 9 octobre / Entrée libre
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Vernissage le vendredi 1 octobre à 18h30
Heures d’ouverture : sam > dim : 10h > 18h / lun > ven : 14h > 18h / Soirs de spectacles
L’histoire commence avec un film de Carlos Saura, « Bodas de Sangre ». J’apprends mes premiers mots
d’espagnol en le regardant, et décide de partir là-bas. Je découvre Grenade, la ville mauresque envoûtante. Je
prends le gros train qui part de Cadiz et entre dans ma ville torride, Séville. C’en est fait de moi, je suis prise et
je pleure déjà de ne pouvoir y rester toujours. Christine Mobers
Dessins Christine Mobers / Scénographie Christine Mobers et André Meurice / Une production du
manège.mons/ Maison Folie
Cinéma / Musique
Ciné-Concert
Christian Leroy et l’Ensemble Métarythmes de l’air
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Vendredi 1 octobre – 20h / 11-8€
Christian Leroy s’est imposé depuis voici 30 ans comme l’un des compositeurs les plus créatifs de notre
Communauté Française. Il nous propose un ciné-concert autour de deux films muets espagnols : Un chien
andalou de Luis Buñuel – coécrit avec Salvador Dalí – et El sexto sentido de Manuel Sobrevila (1929). De jeunes
musiciens amateurs montois l’accompagnent en première partie, avant de laisser la place à l’Ensemble
Métarythmes de l’air… andalous !
Musique sur Un Chien Andalous : Christian Leroy accompagné de musiciens amateurs montois (distribution en
cours) / Musique sur El Sexto Sentido : Ensemble Métarythmes de l’air / Composition, piano Chistian Leroy /
Contrebasse José Bedeur / Guitare Alain Pierre / Un projet du manège.mons/ Maison Folie / En coproduction
avec l’Ensemble Métarythmes de l’air.
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Littérature / Musique
Mon visage est à moi et on me le vole
Récital García Lorca
Textes de García Lorca, lecture de Manuela Sanchez, musique de Karim Baggili
Mardi 5 octobre – 20h / 11-8€
Quota passeport 35
Federico García Lorca est incontestablement le poète le plus aimé, le plus adulé de sa génération. Le texte
proposé est magnifiquement porté par la voix de Manuela Sanchez, comédienne née en Andalousie, et la
musique envoûtante de Karim Baggili. Ce célèbre joueur d’oud (luth arabe) a su intégrer les différentes
techniques de guitare flamenca à son style mêlant rock et musiques du monde.
Une production du manège.mons/ Maison Folie
Danse
Cours d’Initiation au Flamenco
Yalda Younes
Mercredi 6 octobre – 18h30 > 20h30
Entrée libre sur inscription au +32 (0)65 39 59 39
Née à Beyrouth en 1978, Yalda Younes est initiée au ballet classique dès son enfance, avant de se former au
Flamenco en Espagne. Elle propose une introduction à cet art : les différents rythmes, l'écoute, la technique du
zapateado, le travail des bras et surtout, la posture et l'énergie.
Avec l’aide de Wallonie-Bruxelles International (WBI) – Aide à la décentralisation
Danse (Flamenco) / Conférence
Je suis venue
Gaspard Delanoë, Yalda Younes, chorégraphie d’Israel Galván
Jeudi 7 octobre – 20h / 11-8€
Je Suis Venue se présente comme un pastiche d’une conférence internationale, à la fois féroce et humoristique.
C’est la tentative faite par une femme de nous dire quelque chose d'essentiel, dans des langues qui nous
demeurent largement inconnues : l'arabe, la danse. Avec, à ses côtés, un homme qui tente de traduire,
d’imiter, de suivre. Mais les mots et les symboles ne suffisent pas. Il faut jeter son corps dans la bataille. Peuton traduire un corps ? Peut-on danser un plan de paix ?
Conception et écriture Gaspard Delanoë / Interprétation Yalda Younes et Gaspard Delanoë / Chorégraphie
Israel Galván / Lumière Béatrice Le Sire / Avec le soutien du CND-Pantin et du Quartz - Scène Nationale de
Brest / Remerciements Matthieu Banvillet, Chérif Khaznadar, Kit Brown et Mikhaël Bazil
Danse / Gastronomie
Noche loca !
Sofia Yero
Samedi 9 octobre – 20h / 15-12€
Une soirée de folie à l’Espagnole, agrémentée de tapas aux saveurs d’un ailleurs ensoleillé… (dégustation
comprise dans le prix d’entrée)
Momentos Flamencos : Sofia Yero, issue d'un milieu traditionnel Flamenco, est sans doute l’une des figures les
plus importantes de la scène Flamenco en Belgique. Elle nous présente un spectacle basé sur la spontanéité de
chaque artiste à improviser sur les différents « Palos », comme cela ce fait dans les « Tablaos » en Espagne.
Danse Sofia Yero et Juan Luis Reyes / Chant Antonio Paz / Guitare Antonio Segura
Bal andalou : Sofia Yero vous entraîne ensuite dans les rythmes et déhanchés des danses populaires
hispaniques (Tango, Bulerias, Sevillanas). Une initiation ouverte à tous.
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Vendredi 1er octobre – 20h
11/8€
THEATRE
TOM SAWYER
Durée: 50 minutes
D'après Tom Sawyer de Mark Twain (publié en 1976)
Une histoire, une musique, des légumes, des fruits, ... et un sourd.
Le spectacle Tom Sawyer est tout en gestes, en paroles et en musique ; le corps, la bouche et les
oreilles; trois moyens de communication, trois interprétations qui s'éloignent et se rejoignent de par
leurs particularités, aucune ne pouvant se passer de l'autre.
Un travail théâtral hors normes qui met en scène les dimensions de surdité et de musicalité dans les
relations qu'elles entretiennent.
Une approche différente du handicap et une sensibilisation d'un public différent.
Musicien Olivier Douyez / Comédien Patrick Lemaire / Comédien et metteur en scène Julien
Vanbreuseghem.
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Mardi 5 octobre - 20h
GARE - JEUMONT
11€ / 8€
THÉÂTRE
AFTERMATH
Jessica Blank et Erik Jensen (NY)
1ère française !
Ecrit par Jessica Blank et Erik Jensen
Mise en scène : Jessica Blank
Produit en association avec ArKtype / Thomas O. Kriegsmann
Aftermath est un spectacle basé sur les témoignages de civils irakiens qui ont fui le chaos et
la violence qui régnaient en Irak en 2003 pour la sécurité toute relative de la Jordanie.
Nourri d’entretiens avec le peuple, Aftermath peint les expériences des Irakiens ordinaires
qui ont perdu leur pays dans les années qui précédèrent l'invasion des États-Unis.
Représentant un échantillon extraordinaire de la société, les personnages sont aussi bien
artistes mariés, propriétaires de restaurant, dermatologue, pharmacien, leader religieux ou
jeune mère.
Aftermath donne vie aux faits de temps de guerre et aux victimes innocentes ainsi qu’au
carnage civil épouvantable de n'importe quel conflit militaire.
Ce spectacle reflète la foi des auteurs dans le théâtre. Le fait que celui-ci puisse affecter un
changement social tangible. Le pouvoir incroyable du Théâtre - le pouvoir d'empathie - peut
créer des liens entre des individus normalement séparés par la géographie, l'expérience, la
nationalité, l'idéologie; et raconte les histoires humaines à la fois pour incarner et dépasser
ces différences.
À l'origine développé et produit par le New York Theatre Workshop en 2009, avec l’aide du
Hopkins Center for the Arts, Dartmouth College. Aftermath a été rendue possible grâce à
l’aide généreuse de The MAP Fund, un programme de Capital Créatif soutenu par la
fondation caritative de Doris Duke, la Fondation Rockefeller et la fondation Ford.
“Trés réel ! Vous ne pouvez pas passer à côté ! » The New York Times
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Jeudi 7 octobre - 20h
ESPACE GERARD PHILIPE - FEIGNIES
11€ / 8€
HUMOUR
COLERES
FRANÇOIS ROLLIN
Il y a plus de 10 ans, François Rollin, un des créateurs « des Guignols de l’info », auteur et interprète de la série
culte « PALACE », demande, après avoir vu sa première pièce « La Baie de Naples », à Joël Dragutin, auteur,
metteur en scène et fondateur du Théâtre Cergy 95, de travailler avec lui à la création d’un one-man show qui
traiterait de la « folie ordinaire ».
De leur collaboration naîtra le spectacle « Colères ». Après une tournée en France et à l’étranger, le spectacle
deviendra culte et les copies VHS de la captation s’échangent sous le manteau.
Par la suite, François Rollin continuera ses diverses collaborations au théâtre et au cinéma, en radio (France
Inter et France Culture) et en télé (Ardimat), et se consacrera, entre autre, à l’écriture de « bouquins » (Les
grands mots du Professeur Rollin – éd. Plon 2006, Les belles lettres du Professeur Rollin.com – éd. Plon 2007).
« Le spectacle est une sorte de confidence en forme de diatribe qu’un monsieur en état de colère permanente
adresse à ses concitoyens. Ce monsieur, qui tient beaucoup à la Règle, est scandalisé par les multiples
infractions commises contre Elle, y compris et surtout s’il s’agit de « prétendus détails »…
Il est scandalisé et c’est pourquoi, plein de bonne volonté pédagogique, de patience démonstrative et de
prosélytisme zélé, il vous prend tous à témoin… et que faites-vous ? Bon sang, vous riez ! Et même, plus ses
colères explosent, plus vous éclatez de rire !
Une mécanique infernale s’est enclenchée, qui va finir par lui donner terriblement raison, dans sa raison à lui,
de paranoïaque basique, de fou… ce fou dont Chesterton disait : « Il a tout perdu sauf la raison ». Vous riez de
ses aberrantes démonstrations, bien sûr, mais aussi de ce qu’il vous fait penser à quelqu’un… car n’en doutez
pas, François Rollin représente Monsieur Toulmonde, à ces moments où le réel semble trop chaotique pour
qu’une vigoureuse remise en ordre ne s’impose pas illico, à ces instants désemparés où en chacun le fasciste
pointe sa férule.
Voilà bien, avec son moralisme outré, son sentimentalisme kitsch et ses radicales solutions, la paranoïa
ordinaire qui court les rues, et monte parfois aux tribunes, hélas, quand la réalité sociale fait trop peur.
Mais le comique de Rollin et Dragutin, qui ont écrit le texte de cette colère en boucle, recèle plus de subtilité
encore qu’une vivifiante satire de la paranoïa. Car de même que le métalangage est un langage qui parle du
langage, de même le comique de ce numéro porte… sur le comique. L’astuce fait qu’on rit sur le (non-) rire ! »
Pierre Corcos
La Presse lors de la création :
"Ce soliloque d’un fou ordinaire est signé François Rollin et Joël Dragutin. La rencontre de l’année… Résultat :
un objet théâtral du troisième type, écrit sur le fil du rasoir, d’une acuité, d’une drôlerie implacable."
Le Nouvel Observateur
"Une démonstration minutieuse de ce que les psy appellent une névrose obsessionnelle, et qui n’a de cesse
d’imposer sa vertigineuse logique."
Télérama
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Vendredi 8 > samedi 9 octobre
Théâtre le Manège - Mons
DANSE / HIP-HOP
BURNING FLOOR
Déjà la 5ème édition du Burning Floor, LA grande compétition de danse urbaine à ne pas manquer !
Chaque année, plus de 400 danseurs venus de toute l’Europe participent à cette manifestation qui se
déroule sur deux jours au Théâtre Le Manège.
Concours chorégraphique
Vendredi 8 octobre – 20h /
6 € (tarif unique, hors passeports et abonnements)
Quinze groupes de tous styles vous présentent leur création originale… un régal pour les yeux et un
pur moment de divertissement, pour toute la famille. Un jury de professionnels départage les
meilleurs groupes.
Battle
Samedi 9 octobre - Ouverture des portes à 17h / Début du battle à 19h
10 € (tarif unique, hors passeports, abonnements et tarif scolaire)
Divisé en deux catégories, New style et Breakdance, le spectacle bat son plein sous l’œil averti d’un
jury d’exception. Nous vous promettons une soirée pleine de rebondissements et de surprises…
Un projet de la Maison des Jeunes Robert Beugnies de Cuesmes / En coproduction avec le
manège.mons/ Maison Folie / Avec le soutien de la Communauté française de Belgique
Plus de renseignements sur www.burningfloor.be
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Lundi 11 octobre - 20h
LE MANEGE - MAUBEUGE
11€ / 8€
THÉÂTRE
VOYAGEURS IMMOBILES
PHILIPPE GENTY
En 1995, voyageur immobile suivait l’odyssée de quelques humains aux prises avec leurs obsessions,
leurs luttes, leurs peurs et leurs fascinations, rêvées ou refoulées… quinze ans plus tard, Philippe
Genty poursuit l’aventure...
Un dérapage non contrôlé qui entraîne dans le parcours de l’odyssée d’un groupe puis d’une
humanité qui traverse le temps, l’espace avec ses obsessions ses luttes, ses conflits ses hontes, ses
icônes, ses terreurs, ses fascinations, ses rêves, ses refoulés…
Des images saisissantes par la multiplicité des pistes qu’elles proposent, traversées d’océans, de
déserts avec ce regard dérisoire et cet humour qui nous permet de dépasser le désespoir, de voyager
bien au-delà de tout…
La démarche artistique
D’une création à l’autre, la compagnie poursuit sa démarche d’exploration d’un langage visuel.
Un langage où la « scène » est le lieu de l’inconscient.
Un langage qui témoigne des conflits de l’être humain face à lui-même.
« Sur scène, sept passagers font un voyage au-delà du temps et au-delà de toutes frontières
physiques. Les marionnettes ajoutent une dimension ludique et font jeu égal avec l’acteur.
« Voyageurs immobiles » impressionne par son inventivité technique. On entre ici dans un théâtre ou
les dialogues sont rares mais percutants, les images extrêmement parlantes. Un théâtre qui bouscule
les codes et crée son propre langage. »
Le Dauphiné libéré
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Mardi 12 octobre – 20h
Théâtre le Manège – Mons (Dans le cadre du Festival de Wallonie-Hainaut)
11/8€
MUSIQUE CONTEMPORAINE
DANS LE CADRE DU FESTIVAL DE WALLONIE-HAINAUT
PETITE HISTOIRE WALLONNE EN MUSIQUES
Musiques Nouvelles / Récitant Olivier Massart
Le terme "wallon", pour désigner un peuple, s'est imposé à partir du XVIe siècle, le siècle de Roland de Lassus.
Regardons notre Wallonie par le petit bout de la lorgnette d'un auteur virtuose de la langue française, Alain
Bertrand, que passionnent, non sans humour, la Wallonie, ses terroirs, ses terrils, ses trottoirs et ses histoires,
petites ou grandes, et bien entendu les compositeurs valeureux "di nosse pitite patreye".
Son texte caustique et gouleyant est mis en bouche par le comédien belge Olivier Massart, renversant dans les
subtilités linguistiques des monuments de la littérature belge. Côté flamand cette fois, il incarna tout
récemment le monstrueux et bouleversant Gilles de Rais d'Hugo Claus.
Parlera-t-on ici de "wallonitude" ou plus simplement du plaisir de cheminer, au-delà des oeuvres, à la rencontre
d'hommes que l'histoire rassemble sur un même territoire ? Fût-ce une Belgique aux allures d'"Arlequin
diplomatique", telle que la désignait déjà Baudelaire, éclatée en terroirs, contrainte aux écarts de langue et
d'imagination, mais avec l'humour de la situation et les couleurs de la passion !
La Wallonie a travers cinq compositeurs :
L'exubérant Montois Roland de Lassus, Wallon riche de sève au génie d'une exceptionnelle vigueur, nous légua
près de deux mille œuvres universelles, toutes à l'apogée de la polyphonie vocale du XVIe siècle. Si ses motets,
au sommet de son art, concentrent la profonde spiritualité de cet esprit hanté par la mort, ses chansons
françaises illustrent sa verve foisonnante, sa légèreté de touche, sa drôlerie et son élégance exprimant aussi
bien la tristesse que le sel de la vie. Pétri de contrastes, ce voyageur insatiable dont la gloire européenne fut
éblouissante, craignait parfois de "devenir un monsieur fou" et le confiait dans son énorme correspondance. Sa
personnalité fantasque et rieuse que trouble une âme tourmentée s'incarne dans l'expressivité et la densité de
sa musique.
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Au XVIIIe siècle, François-Joseph Gossé était né à Vergnies, aujourd'hui situé en Hainaut, mais à l'époque
enclave française au sein des Pays-Bas autrichiens ! S'il accomplit ses études à Anvers, ce fils de fermier qui
apprit les rudiments de la musique avec son curé, passa la majeure partie de son existence à Paris dès ses 17
ans. Cette personnalité haute en couleurs devint le chantre de la Révolution et du nouveau régime. Il livra
d'ailleurs la première et mémorable orchestration de la Marseillaise ! Le musicien raffolait également du
spectaculaire : il introduisit des tam-tams dans une marche funèbre, utilisa un gong pour les funérailles
de Mirabeau et ne dédaigna pas les clarinettes dans ses symphonies. Il influença grandement la musique
instrumentale en France, passionné par le matériel sonore et sa spatialisation.
François-Joseph Fétis a davantage marqué le XIXe siècle par son œuvre théorique impressionnante que par ses
compositions. Injustice lui fut donc faite musicalement de son époque à nos jours par l'inexpugnable idée
reçue selon laquelle "qui trop embrasse mal étreint". Boulimique de savoir, cet homme d'intelligence
supérieure était aussi ambitieux que dominateur. A tel point qu'il retouchait sans complexe les partitions
de Beethoven ! Néanmoins, le travail musicologique de Fétis est incontournable, voire encyclopédique.
César Franck déploya son génie en France. Symbole d'une certaine conception française de la musique, il
naquit à Liège mais ses origines étaient allemandes et autrichiennes. D'aucuns reconnaissent dans ses mélodies
les lignes sinueuses des horizons wallons et les échos du terroir où il grandit jusqu'à sa treizième année. C'est
en devenant l'un des plus grands organistes de son temps, à Sainte-Clotilde, qu'il trouva sa voie et son style,
fondant son art de compositeur sur la sobriété, la dignité et le métier de musicien et osant revenir à sa passion
première : la syntaxe musicale. Il fonda en 1870 la Société Nationale de Musique avec Camille Saint-Saëns et
devint professeur au Conservatoire de Paris. Ses œuvres de musique de chambre, à une époque où le genre
séduisait peu, influencèrent durablement ses contemporains, érigeant l'harmonie et la structure tonale en
absolus.
Philippe Boesmans : un Wallon né à Tongres ? Certes... ses études de piano au Conservatoire de Liège nous
autorisent peut-être à l'inclure dans cette sélection, à moins que le compositeur en personne ne nous le
permette, évoquant sa découverte du monde artistique bruxellois. Il découvre la musique classique vers huit
ans à la radio et au kiosque des fanfares et des harmonies, ce qui développe son goût pour des musiques
ouvertes au mouvement et à la magie populaire. Son adhésion temporaire au sérialisme est une réaction aux
"trucs poussiéreux" (sic) que l'on enseigne au Conservatoire dans les classes de piano. Il n'étudie pas la
composition et se tourne en autodidacte, vers la musique d'avant-garde. S'il prend assez vite conscience de la
nécessité de se débarrasser des contraintes et des exclusions du sérialisme, il n'en renie pas l'héritage mais
élabore un langage personnel où la communication avec l'auditeur retrouve une place centrale. Il souhaite ainsi
conserver un équilibre entre complexité et lisibilité.
Dossier de presse mensuel Maubeuge / Mons
Septembre-octobre 2010
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Jeudi 14 et vendredi 15 octobre - 20h
LE MANEGE - MAUBEUGE
11€ / 8€
DANSE
BETWEEN US
BILL T. JONES
DATE UNIQUE EN FRANCE !
Between Us
Ce nouveau programme est une collection de créations rarement vues depuis la fin des années 80. Between us
se concentre sur les danses simples, belles - beaucoup de duos - qui continuent à être des portraits appropriés
du lien entre deux personnes. Remis en scène, pour la plupart, pour la première fois, ces duos et petites pièces
d'ensemble donnent un regard global du style de Bill T.Jones/Arnie Zane : des danseurs avec des personnalités
individuelles, des corpulences différentes et issus de formations diverses; privilégiant le non conventionnel et
l’inattendu.
Between Us est une palette chorégraphique qui se dessine de l’influence de la danse classique, de l'abstraction
post-moderne et qui tire ses arrangements de geste et de forme de l'influence du film et la photographie.
La soirée offre aussi des moments musicaux notables, avec des chansons populaires conversant avec la
chorégraphie, ce qui donne au spectacle une grande finesse.
Bill T. Jones / Arnie Zane Dance Company
Bill T. Jones est né à Bunnell (Floride) en 1952. Il s’initie à la danse classique et la danse contemporaine à
l’Université de Binghamton. Il a créé une centaine de pièces pour sa propre compagnie mais il a également
chorégraphié, entre autres, pour l ‘Alvin Ailey American Danse Theater, AXIS Dance Company, Boston Ballet,
Lyon Opera Ballet, Berlin Opera Ballet et Diversions Dance Company.
La Compagnie Bill T. Jones / Arnie Zane Dance Company a été fondée après onze années de collaboration entre
Bill T. Jones et Arnie Zane (1948-1988) durant lesquelles ils redéfinirent la forme du duo et les questions
d’identité, de forme et de commentaire social que pourrait changer une partie de la danse américaine.
La compagnie apparaît sur la scène internationale en 1983 avec la création de Intuitive Momentum, en
collaboration avec le batteur exceptionnel Max Roach, à l’Académie de Musique de Brooklyn. Dès lors les dix
membres de la troupe ont parcouru le monde entier en dansant dans plus de deux cents villes dans trente pays
dont l’Australie, le Japon, la France, l’Italie, le Mexique, l’Afrique du Sud. Basée à Harlem, elle est reconnue
comme la plus innovante et une force puissante dans le monde de la danse contemporaine.
Entre 50 000 et 100 000 personnes assistent chaque année aux spectacles de la compagnie à travers le monde.
Le travail de Bill T. Jones/Arnie Zane Dance Company explore librement à la fois la musique et le texte. Le
répertoire comprend des sujets très variés. La compagnie est reconnue pour ses diverses collaborations
artistiques allant de Keith Haring au Quatuor à corde Orion en passant par la chanteuse de Fado Misia ou le
jazzman Julius Hemphill.
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Mardi 19 > samedi 23 octobre - 20h / Dimanche 24 octobre - 16h
THEATRE LE MANEGE - MONS
Spectacle en espagnol / Surtitré en français
11/8€
CREATION / THEATRE-CINEMA
L’HOMME QUI DONNAIT A BOIRE AUX PAPILLONS
Cie Teatro Cinema – Mise en scène Juan Carlos Zagal
Après le magnifique Sin Sangre, la compagnie chilienne Teatro Cinema poursuit l’exploration d’un langage
unique axé sur la fusion du théâtre et du cinéma. Avec le deuxième volet de sa trilogie, elle signe une création
originale et magique qui plonge le spectateur au cœur du conte…
Filipo est un vieil homme rêveur… Chaque âme humaine a, selon lui, la chance, unique, un jour, à un instant et
une seconde précise, de franchir le seuil de la liberté absolue : « le pouvoir de voir et sentir toutes les vies de
tous les hommes et femmes, de tous les temps, de tous les lieux et, en toute liberté, de choisir notre façon de
vivre, ce que nous désirons, créons, imaginons... »
Immergé dans quatre mondes, quatre univers qui s’entrecroisent au même instant, il s’invente des histoires
probables ou folles à partir de fragments de vie d’êtres anonymes réunis en un instant par le hasard. Une
infinie possibilité de vie en une seule seconde…
« Dès nos débuts dans l’art du théâtre, nous avons voulu franchir les frontières de l’ordinaire pour nous mettre
en quête d’un langage qui nous soit propre, unique, capable de raconter des histoires dans une perspective
symbolique et associative. Un langage qui aide à tisser des liens profonds avec le plan des émotions humaines.
Notre style narratif, issu de ce que nous concevons comme « poésie de l’action », alternant toujours les points
de vue des personnages, est une voie d’accès au subconscient des spectateurs.
Dans leur voyage vers des états supérieurs de la conscience, nos personnages avancent sur des routes
parsemées d’obstacles et de contradictions. Par ces voyages, nous cherchons à engager la faculté du public à
être surpris : une surprise qui l’incite à plonger dans des mondes parallèles, grâce à l’illusion permise par la
conjugaison des arts du théâtre, des objets et techniques cinématographiques ainsi que des atmosphères
créées par la musique.
Nous sommes convaincus qu’il existe bien des façons de raconter une histoire, de mettre en scène les pièces
qui ont germé dans l’imagination humaine. Voilà pourquoi nous proclamons sans crainte que, s’agissant de
création, la liberté de pensée et d’action est une nécessité absolue. Une idée ou une recherche n’en élimine ou
n’en désavoue jamais une autre. Bien au contraire : elles se complètent les unes les autres et s’enrichissent
mutuellement. À la fin de la représentation, c’est le public qui évalue et qui détermine ce qui a frappé son
esprit, ébranlé son imaginaire. Cette diversité invite le spectateur à développer de nouvelles formes de
perception. Tous les langages de l’art ont droit d’expression et d’exercice.
Au sein de la compagnie Teatrocinema, nous avançons dans notre quête de ce langage, qui a sa propre
dynamique et ne se mesure pas aux autres : la fusion et la confusion de réalités diverses, d’univers parallèles.
Nous évoluons ainsi sur un mode vertigineux, instantané, dans le temps et dans l’espace, pas à la façon du
cinéma mais comme le font les magiciens. La magie de l’action en direct, avec les outils du cinéma. Nous ne
nous écartons donc pas le moins du monde de ce que le théâtre a toujours recherché, de ce à quoi il tend :
surprendre et émouvoir. »
Juan Carlos Zagal, Laura Pizarro, Dauno Tótoro
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Mercredi 20 octobre - 20h
THEATRE LEO FERRE – AULNOYE AYMERIES
11€ / 8€
JAZZ
TRIO SYLVAIN LUC, BIJAN & KEYVAN CHEMIRANI
Lorsque le guitariste basque rencontre les deux percussionnistes iraniens, la parole est déjà là : c’est un langage
universel fait d’harmonie et de pulsation.
La musique comme un carnet de voyage nous dévoile un ailleurs fait d’héritages, de rencontres et de rêves.
Sylvain Luc
« Sylvain Luc est un monstre. Trop, disent certains, comme s'il y avait une limite de bon ton à la monstruosité.
Entre ses mains, la guitare est sorcière : c'est comme si c'était elle qui jouait de lui, et non l'inverse. Etrange
impression. Ce n'est pas tant l'abondance des notes ni leur rapidité, mais l'inattendu de leur surgissement
même. Et aussi le fait que les traits décoratifs sont si nombreux qu'on finit par se demander ce qu'ils
décorent, et on découvre alors une ligne très pure, très droite, très simple et très belle, qu'il faut suivre et qui
est le véritable discours du guitariste, sa vérité. …. »
Telerama – 12 sept 2009
Bijan et Keyvan Chemirani
Ils commencent très tôt à apprendre le zarb auprès de leur père Djamchid, et assimilent donc rapidement la
technique et le savoir traditionnel. On les retrouve dans des formations de musiques orientales et du Bassin
Méditerranéen.
Le zarb ou tombak est le principal instrument de percussion de la musique savante persane.
Le mot zarb signifie à la fois la frappe, la mesure, le temps. Le terme tombak est une onomatopée : « tom »
désigne la frappe du milieu (le son le plus grave) et « bak » celle effectuée sur le bord de l’instrument.
Ce tambour calice d’une seule pièce de bois (mûrier ou noyer) est recouvert d’une peau de chèvre.
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Dimanche 24 octobre – 16h
Théâtre Royal – Mons
11/8€
MUSIQUE CLASSIQUE / HUMOUR
CASSE TA DIVA
Ensemble Quartz
Un parcours musical original au cours duquel l’Ensemble Quartz accompagne un baryton dans ses différents
rôles : héroïque, séducteur, trompeur ou romantique…
Ce spectacle détonnant où "rien ne va plus à l'opéra" met aux prises cinq musiciens chevronnés qui n'en font
qu'à leur tête, perturbant ainsi complètement un chanteur consciencieux mais quelque peu dédaigneux…
De là naîtront des situations cocasses, des morceaux de bravoure, des duels musicaux qui suscitent rires et
émotions. Un moment de vrai plaisir pour petits et grands, où l’on passe de la dérision à la tendresse pour
terminer dans le burlesque de la fête.
Jeudi 28 octobre – 20h
THEATRE ROYAL – MONS
20-15€ Parterre / 15-10€ 1er Balcon / 11-8€ 2ème Balcon
Gratuit pour les moins de 25 ans / Le tarif « abonnement » s’adresse aussi aux Amis de
l’ORCW
MUSIQUE CLASSIQUE
ORCHESTRE ROYAL DE CHAMBRE DE WALLONIE
Lorenzo Gatto, le deuxième prix et prix du public du prestigieux Concours Reine Elisabeth 2009 et Augustin
Dumay se produisent pour la première fois sur la scène montoise accompagnés des musiciens de l’Orchestre
Royal de Chambre de Wallonie.
Elu Rising Star, Lorenzo Gatto s’envole au cours de cette saison vers les plus grandes salles européennes.
Profitez de l’occasion qui vous est présentée à Mons d’apprécier le Maître et l’élève dans le Concertone pour
deux violons de Mozart.
ème
Pavel Gomziakov s’est distingué dans le Concerto de Schuman lors du concert du 50
anniversaire de l’ORCW
à Flagey retransmis par la RTBF, Arte Belgique, Arte France et Arte Allemagne. Début mai, la presse américaine
a salué unanimement son interprétation du Concerto de Haydn avec le Chicago Orchestra Symphony.
Programme : Mozart / Saint-Saëns / Chopin / Bizet
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