Never Ever, Oh! Noisy Shadows
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Never Ever, Oh! Noisy Shadows
NEONS Never Ever, Oh! Noisy Shadows 2014 | dossier février 2014 Chorégraphie pour deux danseurs version : CieSaire_NEONS_F_140227 extraits de la pièce : http://vimeo.com/86399190 UNE SÉPARATION GÉNÉRIQUE 2 NOTE D’INTENTION 3 ARTS PLASTIQUES 4 DANS LA PRESSE 5 BIOGRAPHIES 7 NEONS Never Ever, Oh! Noisy Shadows ANNÉE DE CRÉATION 2014 DURÉE 40 min. DISTRIBUTION Concept, chorégraphie et textes Philippe Saire Chorégraphie en collaboration avec les danseurs Philippe Chosson, Pep Garrigues Dramaturge Roberto Fratini Serafide Création sonore Stéphane Vecchione Costumes Isa Boucharlat Direction technique Vincent Scalbert Régie et teaser vidéo Mickaël Henrotay Delaunay Captation vidéo Pierre-Yves Borgeaud ŒUVRE MUSICALE Francesco Cilea, Adriana Lecouvreur : « Poveri Fiori », interprété par Maria Callas REPRÉSENTATIONS Théâtre Sévelin 36, Lausanne (CH) 17-26 janvier 2014 (première) puis sur www.philippesaire.ch SOUTIENS ET PARTENAIRES Ville de Lausanne, Canton de Vaud, Pro Helvetia – Fondation suisse pour la culture, Fondation de Famille Sandoz, Sixt MÉDIATION Diverses actions de médiation sont possibles autour de la pièce dans votre théâtre. Philippe Saire et les danseurs y participeront volontiers, sur discussion préalable. LANGUES La pièce est disponible en anglais, allemand, italien, ou dans la langue de votre choix, sur demande faite à l’avance. CONTACT Diffusion & tour management Gábor Varga [email protected] Administration & communication, presse Valérie Niederoest [email protected] Cie Philippe Saire Av. de Sévelin 36 CP 110 CH – 1000 Lausanne 20 T +41 21 620 00 12 [email protected] www.philippesaire.ch Design graphique matière grise | Philippe Weissbrodt UNE SÉPARATION GÉNÉRIQUE C onçu comme une forme légère avec 2 danseurs, des journaux lumineux et des néons pour seules lumières, NEONS Never Ever, Oh ! Noisy Shadows traite de l’intimité et de la séparation. Une pièce proche des arts plastiques, dans la lignée de Black Out (2011). C’est l’histoire de deux hommes, pris à un moment difficile de leur couple. On ne sait rien d’eux, leur histoire est celle de tous et toutes, une séparation générique : ce couple d’hommes, c’est vous, c’est nous. Le mouvement est ciselé, intense, parfois d’une violence sourde. Allié à la voix de Maria Callas, il sert une chorégraphie marquante par ses contrastes : forte et intime, froide et violente, investie non sans être ironique. Les journaux lumineux et les néons forment la lumière, le décor et le sous-texte de la pièce. Ces derniers découpent des scènes dans la pénombre et produisent des nuances de gris insoupçonnées. Une suite de tableaux et étude sur la lumière qui rapproche une nouvelle fois Philippe Saire des arts plastiques, tendance initiée en 2011 avec Black Out, dont les danseurs traçant des traits dans une matière noire transposaient le dessin à la scène. NEONS vient à la suite de Black Out, pour former une série qui va se poursuivre dans les années à venir. Aussi, ces deux pièces, comme les Cartographies – chorégraphies en milieu urbain –, sont nées d’une envie d’échapper aux formats usuels de création. Les films tirés des 11 Cartographies sont projetés à travers le monde, et Black Out est fréquemment programmé, notamment au Théâtre National de Chaillot à Paris et au festival Under the Radar à New York. Autant de succès qui confortent le chorégraphe dans sa volonté d’en découdre avec les formats standards de la création. Never Ever, Oh! Noisy Shadows NOTE D’INTENTION Philippe Saire A u départ du spectacle, l’envie de travailler picturalement sur la lumière très spécifique du néon, sur les corps et l’espace. D’utiliser son grain et ses qualités de gris pour générer des images en mouvement. De penser aux ombres comme à du graphite ou du fusain. Le choix de confronter à la danse le langage écrit (ici sur des journaux lumineux défilants). De mettre en contraste la force d’évocation du mouvement et la fausse évidence, voire la trivialité des mots. Est-ce la lumière, qui unit ou divise, qui caresse ou qui fouille, est-ce la part d’ombre qu’elle implique, la prise de pouvoir qu’elle peut représenter… toujours est-il que peu à peu s’est imposée à moi l’idée que ce spectacle parlait d’une séparation. Une séparation « générique » s’appuyant sur les constituants quasi chimiques de l’évolution d’une rupture, et recherchant les effets physiques de cette chimie de la dégradation. Ainsi, peu importe l’histoire de ces deux hommes et l’état de leur relation : on entre directement dans un moment de leur vie. On y entre par le biais de leurs codes physiques et par les sensations que ces codes nous procurent. Peu à peu, l’éloignement s’installe et se renforce, sans qu’on sache bien pourquoi. Ca nous échappe. Nous essayons bien d’en trouver les causes, mais ce que nous trouvons ne reste qu’anecdotes. C’est d’une nature qui nous dépasse. © Gregory Batardon Inévitablement, avec deux hommes sur le plateau, nous parlons d’une rupture homosexuelle. Le choix a été de traiter cet état de fait comme une évidence et n’ayant rien d’exceptionnel. L’amour est générique, la séparation aussi. Le divorce aussi est pour tout le monde. tes doigts ta nuque ta joue tes lèvres le lobe de ton oreille ton cul tes paupières ton genou tes cils le creux de ton genou ton menton le pli sur ton front tes yeux tes orteils ta bite tes cheveux ton épaule tes sourcils tes ongles courts ton talon tes couilles tes oreilles ton nombril bombé tes tétons ton poignet ton aisselle tes dents le duvet sur ta nuque C’est compliqué les mots, les bons Je suis très mauvais pour dire les choses Textes de Philippe Saire « Parfois une idée me prend : je me mets à scruter longuement le corps aimé. Scruter veut dire fouiller : je fouille le corps de l’autre, comme si je voulais voir ce qu’il y a dedans, comme si la cause mécanique de mon désir était dans le corps adverse (je suis semblable à ces gosses qui démontent un réveil pour savoir ce qu’est le temps). Cette opération se conduit d’une façon froide et étonnée : je suis calme, attentif, comme si j’étais devant un insecte étrange, dont brusquement je n’ai plus peur. Certaines parties du corps sont particulièrement propres à cette observation : les cils, les ongles, la naissance des cheveux, les objets très partiels. Il est évident que je suis en train de fétichiser un mort. » Roland Barthes, Fragments d’un discours amoureux février 2014 Cie Philippe Saire | NEONS Never Ever, Oh! Noisy Shadows3 ARTS PLASTIQUES N EONS s’inscrit dans la lignée des projets initiés par Black Out : une pièce à la frontière des arts plastiques et de la danse, d’un format particulier (point de vue, durée, …), avec peu d’interprètes, et une place toute particulière accordée à la composition de l’image. Dans NEONS, le désir était de mettre la lumière au centre et au départ du processus, et de ne plus la penser comme seul outil à un propos. De traiter la relation des corps, de l’espace et de la lumière dans une approche plasticienne. Il s’agissait bien sûr d’explorer les impacts de la lumière sur les corps, mais aussi de cerner les situations physiques et les qualités gestuelles qui étaient alors générées. De travailler sur les espaces et zones déterminées par la lumière, sur ce qu’ils évoquent, sur comment les corps peuvent s’y inscrire. L’immensité et le détail. De se pencher sur les intensités lumineuses et les limites de la perception, en prenant l’exemple d’un James Turrell. De chercher l’émotion générée par la perception, d’amener les spectateurs/trices à créer leur propre réalité, à la frontière entre la vision intérieure et extérieure. De travailler sur la disparition, le trou noir, en contraste avec l’éblouissement. Concernant les journaux lumineux, il s’agissait d’explorer les liens qui peuvent se tisser entre les mots et les actions physiques. Inévitablement, les mots éclairent ce qui est en train de se produire. Inévitablement, une confrontation existe, entre des mots qui cherchent la clarté, et la danse qui veut cultiver sa part de flou et d’évocation. Plutôt que d’aplatir ce qui est donné à voir avec des commentaires, le choix s’est porté sur des textes qui parfois ouvraient le sens, créant par exemple un décor, et parfois rendaient compte de la trivialité inhérente à toute relation et fin de relation. FORMATS PARTICULIERS De plus en plus, je ressens le besoin de m’éloigner sporadiquement des formats standard de la production chorégraphique. Frontalité, durée, taille de plateau, temps de répétitions, budgets, habilité à tourner, ... autant de paramètres bien sûr intégrés et auxquels je continue à répondre au fil des créations. Mais la nécessité d’une plus grande liberté artistique me pousse à envisager d’autres formats. C’est ainsi que sont nés divers projets, parmi 4 La juxtaposition des deux types de lumières vient d’une volonté de complémentarité : le néon, souvent perçu comme froid dans l’éclairage public, joue, une fois sorti de ce contexte, de manière très délicate sur les corps et l’espace, offrant à la fois de très belles qualités de gris et un grain proche de celui du dessin au graphite. La lumière rouge des journaux lumineux, par contraste, vient renforcer les spécificités du néon et amène le paradoxe d’une chaleur finalement très technique. RÉFÉRENCES \\ Impossible d’imaginer un projet sur la perception de la lumière sans penser à James Turrell ; \\ impossible de citer l’impact de la lumière sur les corps sans référer à Caravage ; \\ impossible d’utiliser les journaux lumineux sans référer à Jenny Holzer. lesquels on peut relever Cartographies (chorégraphies in situ et films avec divers réalisateurs). Dans cette perspective a aussi été créé Black Out, en 2011, pièce de 40 minutes pour 50 spectateurs/trices, avec perspective plongeante. Sa forme insolite, son dispositif générant une perception particulière, sensorielle, gagne un intérêt croissant du public et des programmateurs/trices. NEONS entre dans cette parenté, et signe le deuxième opus d’une série qui va se poursuivre dans les années à venir. Cie Philippe Saire | NEONS Never Ever, Oh! Noisy Shadows février 2014 DANS LA PRESSE LA FIN D’UNE HISTOIRE D’AMOUR Julien Burri, L’Hebdo, Suisse Un couple, la nuit, le désamour… Le nouveau spectacle de danse de Philippe Saire explore des terrains inédits dans son œuvre. On le savait joueur, sombre et ironique. Le voici émouvant aux larmes et plus intime que jamais. Cette histoire d’amour entre deux hommes vise à l’universel. Elle s’écrit sur des journaux lumineux rouges, des prompteurs qui diffusent les mots de l’intimité, ceux que l’on n’arrive pas à prononcer, et ceux que l’on dit machinalement, parce qu’on n’y croit plus. Les mots défilent, comme une effusion de sang s’écoule d’une blessure. « Tout est fini », « Je suis un salaud ». Ils sont les seules sources lumineuses qui éclairent la scène, avec des néons manipulés par les danseurs. Philippe Saire excelle à peindre avec les ombres. Sans chercher la beauté, cette esthétique contemporaine évoque, par ricochet, l’éclairage des toiles du Caravage, ou des scènes à la bougie peintes par Georges de La Tour. Le corps est là, dans son mystère, sa fragilité, ses limites. Celui qui n’est plus aimé est rejeté, « liquidé », comme à la fin de tout amour. Le chorégraphe parvient, par une recherche plastique, à toucher les sentiments profonds. La voix mixée de la Callas, dans l’opéra Adriana Lecouvreur de Francesco Celia, n’y est pas étrangère. C’est un poème en mouvements, dur, sous tension, qui s’écrit sous nos yeux. Un anéantissement, jusqu’au dernier souffle. Alors la nuit est si triste qu’elle devient blanche… (…) le chorégraphe lausannois fait preuve d’une incroyable intelligence artistique. (…) L’exubérance initiale laisse place à une absurdité morbide. Cette impression est encore renforcée à la fin des quarante minutes que dure le spectacle, lorsque monte une brume qui enveloppe la scène dans un nuage de fumée, jusqu’à ce que ne subsiste plus qu’un nuage rouge lumineux. Cette image finale est d’une rare beauté. Isabelle Jakob, Neue Zürcher Zeitung, Suisse Dans ce nouveau spectacle, Philippe Saire poursuit une exploration du côté plastique de la scène. Les néons sont incrustés dans des caissons noirs, mobiles, qui sont manipulés sur scène, ce qui permet littéralement de sculpter la lumière avec des nuances de gris et de noir absolument spectaculaires. D’autres caissons sont traversés par des leds lumineux rouges dans un défilement de courtes phrases, de pensées, des bribes de texte qui donnent une dimension un peu mystérieuse à la représentation. Troisième élément évidemment, la danse. Deux danseurs, Philippe Chosson et Pep Garrigues. Mieux encore, deux corps impliqués dans une confrontation très serrée faite de gestes, de caresses, de coups, à travers lesquels se dessine une fragile et cruelle histoire d’amour et de haine entre ombre et lumière, dans une certaine nudité des corps et des gestes, d’une force assez remarquable. (…) Pierre Lepori, Les Matinales Radio Télévision Suisse (…) L’œil se plaît à perdre et rechercher les contours de cette anatomie étrange, qui voit régulièrement surgir des réminiscences du patrimoine pictural : figures christiques, actions muettes. Une histoire dansée de la peinture, ou une histoire picturale de la danse… Marie Chavanieux La Terrasse, Paris février 2014 Cie Philippe Saire | NEONS Never Ever, Oh! Noisy Shadows5 BIOGRAPHIES en ville de Lausanne et création vidéo, PHILIPPE SAIRE Chorégraphe En 2005, il rejoint la nouvelle l’histoire de la danse et écrit des témoigne de cette envie de sortir formation Essais au Centre national articles de théorie de la danse dans la danse des murs du théâtre. Les de danse contemporaine CNDC / des revues italiennes et étrangères. 11 chorégraphies in situ, filmées par Emmanuelle Huynh à Angers. 9 réalisateurs romands dont Lionel Il a travaillé avec Deborah Hay, Il est également l’auteur de Nodo Parlato, recueil de poèmes édité en Baier, Fernand Melgar, Bruno Deville, les compagnies Taiat Dansa et Cel où il passe les cinq premières années Pierre-Yves Borgeaud et Philippe Ras, avec Julyen Hamilton, Anne de sa vie. Etabli à Lausanne, il se Saire lui-même, sont sorties en 2013 Lopez, David Wampach, Virginie Mir- Caterina Sagna comme dramaturge forme en danse contemporaine sous la forme d’un livre-DVD et sont beau, Christian Rizzo, Rocio Pérez, et auteur des textes de scène dans et suit des stages à l’étranger et fréquemment projetées en festivals. Laure Bonicel, Alexis Armengol, Sorelline, Relation Publique, Heil Tanz! Nathalie Béasse. Ou encore Basso Ostinato. Philippe Saire est né en Algérie, notamment à Paris. En 1986, il crée sa propre compagnie. Implantée dans la région lausannoise, elle développe PHILIPPE CHOSSON Danseur Philippe Chosson découvre le 2000 chez Crocetti en Italie. Depuis 2001, il travaille avec En 2011 et 2012, il initie avec les rencontres chorégraphiques de SeineSaint-Denis un cycle d’ateliers autour STÉPHANE VECCHIONE Créateur sonore son travail de création et participe à travail d’acteur en 1986 auprès de la de Cassette (David Wam-pach) et de l’essor de la danse contemporaine à Cie La Découpe. « danse contemporaine et théâtra- au Conservatoire de Lausanne, lité » pour des lycéens à Paris. à la Section Professionnelle d’Art travers toute la Suisse. En 1995, la Compagnie Philippe En 1987, il reçoit le « Prix d’humour » du Conservatoire d’art En 2012, Pep entame sa colla- Stéphane Vecchione s’est formé Dramatique (SPAD), de 1995 à Saire inaugure son lieu de travail et dramatique Rhône-Alpes, section boration avec Philippe Saire dans 1999. Il travaille ensuite – en qualité de création, le Théâtre Sévelin 36. improvisation. La Nuit transfigurée, et la poursuit de performer ou musicien – pour avec NEONS. de nombreux artistes et compa- Situé à Lausanne, ce lieu est Après un bac en philosophie et entièrement consacré à la danse lettres, il décide de suivre les cours de contemporaine, il contribue à la l’École internationale de mimodrame Marcel Marceau (Paris), puis ceux de ROBERTO FRATINI SERAFIDE Dramaturge Denis Maillefer, Massimo Furlan, circulation d’oeuvres à dimension internationale, tout en program- l’École de mime corporel dramatique Après des études à l’École Nicholas Pettit. Il est par ailleurs mant des compagnies locales dont Etienne Decroux. Il s’oriente vers le Normale Supérieure de Pise en théo- il favorise l’émergence. Sévelin 36 théâtre gestuel à partir de 1993 en rie théâtrale, Roberto Fratini Serafide est le lauréat du « Prix spécial de compagnie de Laura Scozzi. devient assistant et co-dramaturge danse 2013 » de l’Office fédéral de la culture. En 1998, Philippe Saire obtient le Il explore le travail d’assistant gnies, notamment Stefan Kaegi, Nicole Seiler, Corinne Rochet et membre du groupe Velma. Stéphane Vecchione a reçu le prix « Jeunes Créateurs Musique » du chorégraphe Micha van Hoecke de la Fondation vaudoise pour la auprès de Rachel Bénitah (choré- de 1995 à 1998. Il crée ses propres promotion et la création artistiques. graphe) et Hélène Mathon (metteuse spectacles à Palerme en 1997-1998 Il a créé les musiques des spectacles « Grand Prix de la Fondation vaudoise en scène). Sa rencontre décisive avec avec la compagnie Substanz. Il est 2010, 2011 et 2013 de Philippe Saire : pour la promotion et la création Bernard Glandier (Cie Alentours) professeur de théorie de la danse à Je veux bien vous croire, Black Out et artistiques ». Cette même année, il est l’amène à la danse en 1997. l’Université de Pise depuis 2002 ainsi La Dérive des continents – pièce dans qu’au Conservatoire Supérieur de laquelle il est aussi interprète. également lauréat du « Prix d’auteur » Suivent d’autres projets choré- du Conseil général de Seine-Saint- graphiques et cinématographiques Danse de Barcelone depuis 2003. Denis (France), aux VIe Rencontres avec Bruno Dizien, Laura de Nercy, Il donne aussi des conférences sur chorégraphiques internationales Mathieu Poirot-Delpech (réalisateur), pour «Etude sur la légèreté». En 2004, Laure Bonicel, Coline Serreau Philippe Saire reçoit le « Prix suisse de (réalisatrice), Pascal Montrouge, danse et de chorégraphie » décerné Michèle Rust, Jean-Marc Heim, par ProTanz, Zürich. Héla Fattoumi et Eric Lamoureux, Dès 2003, Philippe Saire enseigne Benjamin Silvestre (réalisateur), le mouvement à la Manufacture – Philippe Saire, Lionel Baier (réalisa- Haute Ecole de Théâtre de Suisse teur) et Christian Rizzo. Romande. La Compagnie Philippe Saire compte à ce jour 29 spectacles, plus de 1000 représentations dans PEP GARRIGUES Danseur Pep Garrigues est né en 1980. 170 villes d’Europe, d’Asie, d’Afrique, Après avoir commencé la danse au du Moyen-Orient et d’Amérique. Conservatoire de danse de Valencia Elle se produit également en Espagne, il suit, de 2000 à 2002, régulièrement dans des expositions, le cycle de formation P.A.R.T.S. créé galeries d’art, jardins, espaces par Anne Teresa De Keersmaeker urbains et autres lieux extérieurs à à Bruxelles. En 2003, il intègre la la scène. formation ex.e.r.ce au Centre choré- Conduit de 2002 à 2012, le projet Cartographies, mêlant performances graphique national de Montpellier / Mathilde Monnier. 8 Cie Philippe Saire | NEONS Never Ever, Oh! Noisy Shadows février 2014
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