NOV - Maison Tarazi
Transcription
NOV - Maison Tarazi
Culture lundi 5 novembre 2012 7 Salon du livre Bernard Pivot en question(s) Mélanie Chapuis sait d’instinct leur parler d’elle(s) Il était là en 1994 pour une émission de « Bouillon de culture ». Trois dictées plus tard, dont la dernière remonte à 2003, Bernard Pivot était au Liban et s’est prêté au jeu de questions-réponses autour de son ouvrage « Oui, mais quelle est la question ? » (éd. Nil). Colette KHALAF Il dit avoir une « questionnite aiguë », du moins le héros de son récent ouvrage qu’il a signé au Salon du livre. Autobiographie ou roman ? « Je vais vous faire un aveu, avoue-t-il. C’est évidemment un roman, mais je n’ai pas osé l’écrire sur la couverture, par modestie, du moins par crainte. J’ai eu la chance d’interviewer tous les grands romanciers de la seconde partie du XXe siècle, je me trouve donc dans une drôle de situation en écrivant ce petit roman qui n’est pas à la hauteur de ces géants. J’avais donc une sorte de réticence et de pudeur. » Adam Hitch est donc le héros (absurde ?) de ce roman, qui passe sa vie à poser des questions à sa famille, à ses femmes et à tous ceux qui l’entourent. Même à Dieu. Pointeur ou tireur ? Alors Hitch, lui demandet-on : un Pivot à la puissance... L’auteur hésite et l’on perçoit dans cette hésitation l’interrogateur professionnel qui cherche le mot juste. Et de reprendre illico : « Hitch est plus harceleur et plus drôle que moi, voire plus touchant à la fin du livre. » Son nom pourrait prêter à confusion : Hitch ne serait-il pas le nom de sir Alfred le maître du suspens ? « Cela tombe en effet à point, répond-il, mais je n’y avais pas pensé. Par contre, j’avais bien choisi le prénom : Adam, celui du premier homme car il a dû se poser beaucoup de questions dans sa vie et partir sans avoir compris grand-chose ! » Pivot, questionneur questionné. « Les philosophes pensaient que la question était plus importante que la réponse, mais si les journalistes et les animateurs croient cela, ils devront soigner leur ego », dites vous. « Poser une question, c’est être curieux et c’est attendre une réponse. Le plaisir réside donc dans la manière de choisir cette question, laquelle générerait une émotion ou même une passion. » Photo Michel Sayegh Ainsi après en avoir posé des centaines et des milliers à d’autres romanciers, vous voilà donc assis à donner des réponses. « Quand je me suis mis à écrire des livres, je savais que j’allais m’exposer aux questions des journalistes. Cela ne m’empêche pas de continuer d’en poser à tous ceux qui m’entourent, car je suis très curieux de nature. » Vous vous permettez même, dans votre livre, d’en poser quelques-unes à Dieu ? Et lui de répondre : « Le doute est une très bonne hygiène de vie. Je n’aimerais être animé ni par la certitude ni par le désespoir de l’incroyance. Mais revenons à la “question”. Il y a de celles qui sont restées sans réponses. Cela m’amuserait donc d’imaginer un monde où l’on pourrait avoir toutes ces réponses-là. Ces interrogations au Seigneur, quoique désinvoltes, suggèrent l’existence de ce monde d’ailleurs. » Mais vous, Bernard Pivot, qu’aimeriez-vous qu’Il vous dise quand vous entrerez chez Lui ? L’auteur hésite et lâche : « Ah, Pivot ! Je suis sûr que tu as une question à me poser. » Pointeur ou tireur ? lui demande-t-on avant de le quitter – sachant qu’il a emprunté dans son livre cette classification au jeu de boules. « Les gens se partagent entre tireurs et pointeurs, dit Pivot. Le premier compte sur la force, l’adresse et le choc pour s’imposer, alors que le second compte sur la réflexion et la rouerie. À mes débuts, j’étais un pointeur timide. Je suis devenu plus audacieux dans la presse écrite pour enfin porter la casquette de tireur à la télévision. Mais depuis que j’écris des livres, je suis redevenu un pointeur. » Mais laissons la pétanque de côté et revenons au Bernard Pivot que tout le monde connaît : un « curieux » infatigable, dont la curiosité ne s’est pas émoussée avec l’âge. « Il faut qu’elle reste vivace, l’entretenir tous les jours, car elle est le gage de la santé, de la vie et de la jeunesse », conclut-il. Mélanie Chapuis reconnaît volontiers s’adresser d’abord à elle-même dans ses écrits. Mais cette jeune auteure suisse à « l’écriture très instinctive » sait aussi très bien parler d’elle(s) aux autres femmes. Zéna ZALZAL Lire Mélanie Chapuis, c’est pénétrer son univers intime, suivre son parcours sentimental et avoir accès à sa petite voix intérieure. Et pour cause, cette journaliste (radio) et auteure suisse de 36 ans écrit comme si elle se parlait à elle-même. Avec simplicité et sincérité. Et si ses mots font tilt auprès d’un lectorat féminin, c’est parce que ses pensées, ses angoisses, ses bonheurs et ses doutes font naturellement écho à ceux des femmes de sa génération. Aujourd’hui compagne de Philippe Chapuis (alias Zep, le bédéiste créateur de Titeuf), cette belle blonde est, elle aussi, passée par les affres des amours déçues, des séductions manipulatrices, mais aussi par les sentiments « dévastateurs et submergeants » de la maternité. Autant d’expériences de vie, dont elle a ressenti le besoin « instinctif », la « nécessité absolue » de mettre par écrit. D’ailleurs, Frida, son premier roman, sorti en 2008, avait commencé en journal intime. « Au départ, c’était une sorte de cri dû à une grande souffrance, un chagrin d’amour. Puis peu à peu, je l’ai structuré en livre. Et je l’ai publié (chez Bernard Campiche éditeur) parce que j’ai constaté que mes angoisses, mes souffrances, mes joies amoureuses... n’étaient pas uniques et qu’elles étaient le lot de toutes les fem- Mélanie Chapuis a signé ses deux romans au Salon du livre de Beyrouth. Photo Michel Sayegh mes », confie-t-elle en toute simplicité. « Des baisers froids comme la lune » Dans ce même registre de plongée dans les sentiments, les émotions et les ressentis de la passion, Des baisers froids comme la lune, son second opus – au titre emprunté à un poème de Baudelaire (Le Revenant) – est cette fois un roman à deux voix. Elle y donne alternativement la parole à Vincent, 55 ans, « un beau vieux à la tête du plus grand journal de Suisse romande, conquérant et manipulateur, qui a besoin de séduire des femmes jeunes et belles, de les faire souffrir, de les abîmer pour se rassurer, se revaloriser à ses propres yeux », et à Anna, 28 ans, « épouse du jeune frère de ce dernier, toute jeune maman d’une petite Mona, qui va succomber à ses attentions, ses avances, son regard désirant d’homme puissant ». Là aussi, dans ce récit amoureux sous forme de monologues croisés, Mélanie Chappuis va explorer les pensées intimes de ses personnages et mettre à nu les ressorts de l’âme qui font basculer le désir d’amour en une haine destructrice. Le style est limpide, direct, voire cru par moments, mais cette écriture contemporaine n’en reste pas moins soignée. Tout comme la mise en page et les couvertures illustrées de toiles d’artistes. Et comme Mélanie Chappuis nourrit toujours ses personnages de son vécu, la voilà qui s’attaque au thème de la maternité dans son troisième ouvrage, à paraître en avril prochain. « Le portrait d’une femme de l’Antiquité, personnage historique réel, connue pour son rôle de mère », révèle-t-elle. Un livre qu’elle vient de boucler et dans lequel cette maman de deux jeunes enfants traduit évidemment sa propre expérience de l’amour maternel. « C’est une expérience qui m’a bouleversée, un sentiment beaucoup moins doux que ce qu’on en dit, un amour tellement violent, tellement puissant, tellement fusionnel qu’il est dix fois pire que l’état amoureux », assure cette auteure à l’allure de top model, à la sensibilité profonde de femme et de mère, et au vrai talent d’écrivain. Activités express Les « États dames » de Belinda Ibrahim dans touts ses états ! Bélinda Ibrahim a signé son ouvrage samedi soir au Salon du livre. Dans un jeu de mots de 70 pages, le lecteur subtil qui lui ressemdécouvre une partition ble, Belinda Ibrahim écrite en quatre temps a choisi le papier pour où elle observe et critique coucher ses États dames les autres d’abord, « Hors dans un langage simple piste et tout terrain », qu’elle partage avec ses dévoile ses états d’âmes lecteurs. dans ses « échappées États de choc, d’esbulles », se débarrasse prit, de causes ou de d’une douleur toujours lieux, l’auteure, qui n’en latente dans « Mes deux n’est pas à son premier consonnes et mes deux ouvrage, raconte avec voyelles », et enfin lance une délicieuse franchise une lettre message et un ses états d’âme qui se hymne d’espoir à la vie et bousculent et la bousà l’amour dans son derculent, tordant le cou nier passage « Ma postà pas mal d’idées et de face et mon lendemain » ! tabous bien ancrés dans Cette auteure, qui a les esprits ! Des thèmes décidé de « résister cultuinspirés de son quotirellement » et qui utilise dien au Liban qu’elle se les mots pour se battre et plaît à aborder avec une dénoncer, vient de lancer lucidité pessimiste tout sa nouvelle maison d’édien n’excluant pas toution, les éditions Noir tefois une parenthèse Bélinda Ibrahim signant son ouvrage au sur blanc, où l’auteur Photo Michel Sayegh heureuse. Des textes Salon du livre. et l’écrivain sont roi et qui sont une compidame (!) de leurs états lation de réflexions, tantôt ment vraies, écrites au gré de d’âme, de pensée et d’écrit ! tendres, tantôt drôles, par- ses humeurs ! Lamia SFEIR DAROUNI (AFEJ) fois cyniques, mais certaineAu fil de ce petit ouvrage Agenda Cinéma Premières visions ★★★ Skyfall de Sam Mendes, avec Daniel Craig et Judi Dench. Un grand cru classique de Bond où l’identité et l’objectif du MI6 et de ses agents sont remis en question. L’action mais aussi une mise en scène et un dialogue affinés sont au rendez-vous. Grand Cinemas ABC Achrafieh/ Dbayeh/Concorde/Las Salinas/Saïda Mall, CinemaCity, Empire Dunes/Sodeco/Galaxy, Espace, Cinemall Wreck it Ralph Film animé de Rich Moore, avec John C. Reilly et Sarah Silverman. Dans une salle d’arcade, Ralph est le héros malaimé. Il va faire de tout pour inverser le jeu. Planète Abraj/City Complex Tripoli, ■ Pour connaître les horaires du circuit Empire, appeler le 1 269. Planète Abraj 01/292 192 PLANÈTE St-Élie 04/406 706 Grand Cinemas ABC Achrafieh 01/209 109 Grand Cinemas ABC Dbayeh 04/444 650 Grand Concorde 01/343 143 Grand Las Salinas 06/540 970 Grand Saïda Mall 07/723 026 CinemaCity 01/899 993 Métropolis Cinéma01/204 080 KASLIK 09/912 503 À voir absolument À voir À voir à la rigueur Ne pas se déranger Pas vu ★★★ ★★ ★ ❍ ■ Grand Cinemas ABC Achrafieh/Dbayeh/ Concorde/Saïda Mall, CinemaCity, Empire Dunes, Espace, Cinemall. En salle Bait (3D) de Kimble Rendall, avec Xavier Samuel. Film d’horreur dégoûtant sur des requins, etc. Grand ❍ Cinemas ABC Achrafieh/Concorde/Las Salinas, CinemaCity, Planète Abraj, Cinemall ■ 3ech el-Zawgeya Empire Galaxy ★★ End of Watch de David Ayer, avec Jake Gyllenhaal et Michael Peña. Une fascinante plongée au cœur de la vie de deux policiers et d’un quartier, une histoire puissante sur l’amitié, la famille, l’honneur et le courage. CinemaCity, Empire Galaxy ■ Hidden Face Thriller psychologique d’Andrés Baiz. Métropolis Empire Sofil ★★ Hotel Transylvania (3D) de Genndy Tartakovsky, avec Adam Sandler et Kevin James. Film animé avec Dracula en tenancier d’un hôtel. Drôle. CinemaCity, Empire Dunes/Galaxy/ Sodeco, Espace, Planète Abraj/City Complex Tripoli, Grand Cinemas ABC Achrafieh/ Dbayeh/Saïda Mall, Cinemall ★★★ Looper Un thriller futuriste de Ryan Johnson que vous n’êtes pas prêt d’oublier avec deux comédiens remarquables et métamorphosés, Joseph Gordon Levitt et Bruce Willis. Planète Abraj, Grand Cinemas ABC Dbayeh/ Concorde, Stargate Zahlé, CinemaCity Paranormal activity 4 d’Ariel Schulman, avec Stephen Dunham et Alexondra Lee. Encore un opus, comme les autres, de la franchise. ❍ Grand Concorde Archives en tête et... en chœur : vivement Beyrouth ! Une conférence atypique siège à l’Agora. Les visiteurs du Salon du Livre francophone assistent à une résurrection du passé ! Beyrouth ? Une passion effrénée, irréversible pour les nostalgiques d’un temps perdu. Ce temps d’avantguerre, quand il faisait bon vivre dans la ville aux mille relents. Ce Beyrouth n’est plus. Vive ses... images. Sami Toubia, collectionneur invétéré de cartes postales, révèle : « Lorsque la guerre de 1975 commence ses ravages, j’ai voulu préserver quelques morceaux intacts du pays. De sa mémoire. C’est ainsi que j’ai amassé 9 000 cartes postales du Liban. » Elles datent en majeure partie des années 20 du siècle dernier, « un âge d’or pour la carte postale libanaise, puisque, sous le mandat français, les soldats profitaient d’une exemption de timbres. Aussi ce genre d’échange florissait-il ». Une tranche consécutive de ce temps révolu, portant le label « années 20-années 60 », est préservée à la Fondation arabe de l’image. « 600 mille images en provenance de tous les pays arabes constituent une ressource inestimable pour les artistes, les chercheurs, ... une base de réflexion et d’idées. Elles appartiennent à des registres aussi variés que le reportage, le documentaire, le paysage, les photos de mode, ... », selon la directrice de la fondation, Zeina Arida Bassil. Autre époque, donc autre collectionneur : Imad Kozem, informaticien de carrière. Il s’avoue une faiblesse infantile irrémédiable : l’amour qu’il voue à son ancien espace de jeux, le Beyrouth des années 70. Il lui consacre une page électronique devenue le lieu de rendez-vous de milliers d’amateurs indéfectibles, mais aussi 1 500 autres pages d’un livre de 5 kilogrammes ! C’est dire combien l’amour de Beyrouth est pesant ! Autant de révélations, d’émotions, au détour d’une... facture, d’un livret de comptes ! Camille Tarazi est allé à la rencontre de ses ancêtres... sur les étagères des bibliothèques et dans les registres des ministères, alors que les Archives nationales souffrent d’amnésie. Aux Sammy’s Adventures (3D) Film animé de Ben Stassen. Avec Mélanie Griffith et Isabelle Fuhrman. Une plongée dans le Grand bleu pour cette tortue des mers. Grand Concorde/ Sucumbios, Tierra sin Mal à 18h00 et Amateurs à 20h00 au Metropolis Sofil. Tél. : 01/204080 Belle de Jour de Luis Bunuel au Métro al-Madina Hamra à 19h00. Tél. : 01/753021. ■ Las Salinas ★ Stolen de Simon West, avec Nicolas Cage. Will sort de prison et veut reprendre à zéro, mais sa fille est kidnappée. Quand est-ce que Nicolas Cage redeviendra Cage et s’arrêtera de faire des navets ? Grand Cinemas ABC Achrafieh/Dbayeh/Concorde/ Las Salinas/Saïda Mall, Planète Abraj/City Complex Tripol, CinemaCity, Empire Dunes/ Galaxy, Espace, Cinemall Taken 2 Film d’action d’Olivier Megaton, avec Liam Neeson et Maggie Grace. Grand Cinemas ABC Achrafieh/ ■ Dbayeh/Concorde/Saïda Mall, CinemaCity, Empire Dunes/Galaxy, Espace, Cinemall. N.B. : Les programmes ci-dessus sont donnés sous toute réserve. CINÉ-CLUBs Festival IbÉro-américain : CONFÉRENCEs Causeries du Lundi : The Cedar Tree Delusion par Faisal Abu Izzeddine au Musée Moawad à 18h00. Tél. : 01/980970 En mission à la Croix-Rouge de 1967 à 1987 par Nayla Hachem aux Lundis des franciscaines rue du Musée à 18h00. Tél. : 01/337486 Séminaires : Aesthetical Politics par Farès Chalabi au Beirut Art Center Jisr el-Wati Adlieh à 18h00 jusqu’au 21 mars (un jeudi sur deux). Tél. : 01/397018. Expos Visual art Forum III au palais de l’Unesco jusqu’au 6 novembre. Tél. :01/738522 Une vue de la rencontre. Photo Michel Sayegh dires de Tania Hajji Thomas, celles-ci ne lui ont pas été d’un grand secours lors de ses recherches au sujet de l’hôtel Phoenicia, autre icône de la mémoire collective. Mais les Libanais ont la coutume dure : les initiatives privées assument très bien la relève. Charbel Samuel Aoun : Lod spring à Smogallery La Quarantaine imm. Dagher rue Sénégal jusqu’au 26 novembre. Tél. : 01/572202 Dalal Farah Baird : Cell-abration à The Artwork Shop rue Adonis près rue Sadate Hamra jusqu’au 10 novembre. Tél. : 01/749646 Raffi Yedalian : Glimpse of Life à la galerie Pïèce unique rue Anis Kanafani Saifi Village jusqu’au 17 novembre. Tél. : 01/975655 Rachana, the Artists forum au musée Alfred Basbous jusqu’au 15 décembre. Tél. : 03/033099 Art from Lebanon au Beirut Exhibition Center Waterfront jusqu’au 9 décembre. Tél. : 01/980650 Clément Tannouri : Entre ciel et terre à la villa Audi quartier Saint-Nicolas jusqu’au 15 novembre. Tél . : 01/331600 Mohammad Chamseddine : Aquarelle à l’œil du soleil à Dar el-Mussawir jusqu’au 8 novembre. Tél. : 01/373347 Wissam Beydoun : Erotic landscape à Art Circle Hamra rue Antoine Gemayel jusqu’au 29 novembre. Tél. : 03/027776 True Colors à la galerie Joanna Saïkaly Gemmayzé 480 rue Gouraud imm. Saad jusqu’au 17 novembre. Tél. : 70/776711 Gagil Ghazanchyan et Lilit Soghomonyan : Two Perspectives à la galerie Hamazkayin Bourj Hammoud centre Shaghzoyan jusqu’au 10 novembre. Tél. : 01/241262 Pierre Mouhanna : Ciel, Mon pays… Mon Paradis à la bibliothèque centrale de l’USEK jusqu’au 25 janvier. Tél. : 09/600071 Alfonso Borghi à la galerie Les Plumes Tabaris rue Shéhadé jusqu’au 25 novembre. Tél. : 01/333537 Alexandre ZerbÉ : Les villes artificielles à la galerie Cynthia Nohra avenue Élias Hraoui imm. 141 jusqu’au 22 novembre. Tél. : 01/281755 Gabriel Kuri : my 50 % of your 50 % à Sfeir-Semler Gallery secteur du pont de La Quarantaine 77 rue 56 imm. Tannous jusqu’au 17 novembre. Tél. : 01/566550 Khalil Saleeby à l’AUB Art Gallery Hamra rue Sidani jusqu’au 31 décembre. Tél. : 01/353228. Nidal AYOUB (AFEJ) Théâtre Marionnettes : Tine et Zbib à la Planète de la découverte Souks de Beyrouth, souk Ayass, à 16h30 tous les vendredis, samedis et dimanches et Formula Fun à 16h30 tous les samedis et dimanches jusqu’au 5 décembre. Tél. : 01/980650 Monroe Ave de Bassem Féghali au théâtre de l’hôtel Monroe les vendredis, samedis et dimanches à 21h00. Tél. : 70/639635 Awal bel Saff de Georges Khabbaz au Château Trianon à 20h30. Tél. : 04/722245 ossa kbiré au Grand Hills Broummana à 21h30. Tél. : 04/868888 Comedy Night au Playroom à Zalka près Mobilitop à 21h30. Tél. : 70/757500.
Documents pareils
Mathhab, comédie noire sur les pouvoirs abusifs
Stewart et Robert Pattinson. La fin de
la saga de Twilight avec la grande
bataille entre les vampires et les
loups-garous réunis contre les Volturi.
Pour ados accros. Grand Cinemas ABC