Mathhab, comédie noire sur les pouvoirs abusifs
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Mathhab, comédie noire sur les pouvoirs abusifs
6 Culture samedi 8 décembre 2012 Mathhab, comédie noire sur les pouvoirs abusifs Rendez-vous des fêtes Noël Arty à la Smogallery Pour des fêtes « Arty », la Smogallery* offre une sélection de pièces de créateurs. Entre œuvres d’art Spectacle « Mathhab », une pièce de Tom Stoppard, un dramaturge anglais qui dénonce et objets de design... la tyrannie des oligarchies. Une œuvre traduite en arabe, adaptée et mise en scène par Des créations à la tan, de chintz et de fois esthétiques et jute ; les luminaires Lina Khoury sur les planches du théâtre Gulbenkian avec la participation des élèves de fonctionnelles, élaen tiges métalliborées en édition ques façon Mikado de Kareen Assly et la LAU. Délire verbal et esprit britannique pour une comédie noire qui ne décolle pas. limitée spécialement Edgar DAVIDIAN Ce n’est guère en toute innocence que Lina Khoury, heureuse et audacieuse mère de la version libanaise des Monologues du vagin d’Eve Ensler, approche le texte de Tom Stoppard, digne héritier de l’esprit caustique d’Oscar Wilde. En placide agitatrice de conscience, inébranlable rebelle aux autorités obscurantistes et fidèle amazone de la cause des femmes, elle s’attaque en toute intrépidité à l’ordre établi. Celui du pouvoir abusif, du système tortionnaire, du régime dictatorial, de l’asphyxie carcérale. Et c’est avec délectation et jubilation qu’elle s’empare des lignes de Stoppard pour les jeter dans un contexte arabe qui lui brûle les doigts, les lèvres et les habits. Mais tout d’abord un petit mot sur le concept et la genèse de la pièce. Tom Stoppard, scénariste adulé – on lui doit Brazil et Shakespeare in Love –, a accueilli avec enthousiasme l’invitation d’André Previn – musicien au sommet, avec la consécration de l’orchestration des films Gigi, My Fair Lady et Irma la douce – pour mêler verbe et partition, réplique et ligne mélodique, dialogue et silence, phrases et mesures. Projet hasardeux resté longtemps en gestation jusqu’à se concrétiser, aux alentours de la fin des années 70, avec l’image d’une Russie impitoyable pour les dissidents. Surtout les intellectuels contestataires. Ils étaient déclarés déments, insanes et jetés comme tels dans les asiles psychiatriques. Sans autre forme de compassion. Pour être grâcié, il faut être les moutons bêlants de Panurge. Tête baissée dans la cohue, nul n’a le droit de se distinguer. Ici on formate ferme. La folie de deux femmes entourées de musiciens... De ces agissements injustes est née cette œuvre qui met sur scène deux personnages : l’un prisonnier politique et l’autre un schizophrène hanté par la musique. Et c’est là qu’André Previn installe sa fosse d’orchestre et déploie ses notes entre le cliquetis d’un triangle, les coulées d’un clavier ou les trémolos des archets sur les cordes. Lina Khoury a gardé l’essentiel de la trame initiale, mais a joué sur l’ambivalence de la société et du sexe des protagonistes. Et elle darde les spots de la scène sur deux femmes. Deux femmes dans une chambre de maison de fous, au cœur d’une société arabe aux régimes sclérosés, aujourd’hui plus que jamais contestés, vilipendés, conspués et décriés. Et c’est ainsi, dans un décor original et crépusculaire (signé Georges Asmar), avec chaînes qui pendouillent tels des barreaux de prison et des musiciens style gothiques, blafards, aux cheveux ébouriffés et aux yeux au beurre noir, que s’échangent des dialogues de fous. Dialogues dingues. Dialogues de sourds, surréalistes. Les goulags et autres variations de la distorsion de l’esprit humain ont des masques de barbarie bien surprenants. On n’en est pas encore revenu de notre consternante prétendue civilisation moderne. Sous les feux de la rampe, démarrage en trombe. Une Photo Ibrahim Tawil schizophrène, une vraie, bondit et rugit au milieu des violonistes, violoncellistes, pianiste et percussionniste. En lâchant, à hue et à dia, des propos encore incohérents pour les spectateurs. Elle jette son paquet de mots : obsession des notes et des mélodies. Elle est hantée par un orchestre sous sa houlette. Imaginaire que tout cela, bien entendu. Folie douce, folie violente ? Folie tout court. Pour la musique de toute évidence. En face d’elle, la prisonnière politique. Grave, posée, silencieuse. Elle ne parle pas des moyens mnémotechniques pour garder en tête un ré ou un mi en clef de sol ou en clef de fa. Pourtant, c’est une emmu- rée à qui la société refuse droit de parole et de cité. À moins qu’elle n’admette que ses idées l’ont conduite entre ces quatre murs. Sa folie, c’est d’être elle. Rien que cela. C’est ce que suggère, en martelant sur la table, un docteur violoniste au discours fumiste, échappé tout droit de Charenton. Un peu plus loin de ce trio pathétique et loufoque à force de dérision et de parodie, entre fiction et réalité, la fille de Leila (dans la pièce initiale c’est Sacha, un garçon), la prisonnière politique. Frayeur de l’enfance devant l’agression de la vie et tentative de recourir à la raison par le biais de l’émotion et de la dévotion filiale. Méli-mélo oppressant pour dévoiler les dessous de tout être qui ne joue pas selon les règles, surtout les femmes, dans une « société orchestrée » dans un souci d’uniformité, de soumission et d’atonalité. La dissonance est interdite ! Pour ce texte ardu et tout en finesse, les acteurs restent plus dans les cris, les vociférations et les gesticulations que les nuances avisées, le jeu subtil et alterné des voix posées avec discernement. Notamment l’interprétation supercliché et inutilement obséquieuse du docteur épris du violon campé par Tarek Tamim. Si le texte de Stoppard est libanisé, il n’en reste pas moins pour certains passages dans la langue originale. C’est-à-dire du british débité cependant avec un accent marqué et très colonial. Un autre point noir pour cette transposition dans le monde arabe : il faudrait que le dépaysement soit entier sinon cela fait chiqué et apprêté. La critique qui se veut virulente et ironique prête dès lors non seulement peu à rire, mais plutôt le flanc à discussions... pour l’occasion par dix-sept artistes, designers, architectes, stylistes, céramistes et bijoutiers qui se sont amusés à brouiller les frontières entre les genres. À tout seigneur, tout honneur, l’inévitable sapin de Noël se « designise » à l’extrême dans une création unique signée Eva Szumilas. Cette architecte polonaise installée au Liban a ainsi conçu, au moyen de barres en métal noir finissant chacune par une lampe ronde à lumière bleutée, le sapin du troisième millénaire : tout en lignes géométriques, il forme une sculpture lumineuse d’une belle sobriété. Une pièce d’allure très futuriste qui cohabite en toute harmonie avec les créations en poterie raku L’arbre design d’Eva Szumilas. de Mary Lynn Massoud et Racha Nawam. Le ta- rés par les parents pour servir lentueux duo de céramistes a de portemanteau ! À visser néanmoins adapté cette tech- au mur de différentes manique de cuisson millénaire nières, selon ses goûts et ses japonaise aux besoins du jour, besoins, une création à saluer en élaborant des lampadaires pour sa simplicité ludique et (base et abat-jour), des tables son concept écologiquement basses empilables et même un intelligent. totémique portemanteau enImpossible d’énumérer dans tièrement en céramique. ces colonnes l’ensemble des Dans un registre différent, œuvres présentées jusqu’au 4 le jeune designer Marc Dibeh janvier à la Smogallery. On propose un cadeau pour en- signalera cependant : les défants et parents. Il s’agit d’une lirants éléphants ailés du duo sorte de jeu de quilles, dont de créatrices Bokja (qu’il n’est les pions en bois naturel et plus besoin de présenter) exéaux extrémités colorées, après cutés au moyen de mélange avoir amusé les petits bouts de de tissus vintage, de textiles chou, pourront être récupé- brodés Bukhara d’Ouzbékis- Sara Zaafar, ceux qui également semblent défier les lois de la gravité de Dory Hitti ; les sympathiques pendentifs aux silhouettes d’hommes nus grimpeurs, imaginés par Zein Daouk-Jabr et Sélim Mouzannar qui, en attendant de vous sauter au cou ou aux oreilles, escaladent des galets leur servant de présentoirs ; le sac « Unnamed », belle réinterprétation en cuir très fin de kangourou, du basique sac en nylon d’épicerie, signé Milia M., ou encore les « Light Boxes » de Hania Rayess offrant sous plexiglas des déclarations trilingues (du style « Beirut Forever » ou « Le beau est relatif ») en tubes de néons colorés ... Mais il y a aussi à découvrir les bijoux, les bougeoirs, les boîtes à cigares et plein d’autres fantaisies signées Marie Munnier, Anastasia Nysten, Georges Mohasseb, Najla el-Zein, Gregory Gatserelia, Karim Chaya, Caline Chidiac, Henry Dakak Jr, Nathalie Khayat, Christina Debs, Hania Rayess, Carma Andraos et Fabienne Habib. Z.Z. * La Quarantaine, 77, rue Sénégal, imm. Daher. Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi de 10h à 18h, le samedi de 14h à 18h et sur rendez-vous. Tél. : 01/572202. La pop folk française au Music Hall avec Brigitte Brigitte, ce n’est pas une, mais deux (une blonde et une brune) chanteuses françaises à l’affiche du Music Hall le 16 décembre, en partenariat avec Eléfteriadès Productions et l’Institut français. Brigitte est un duo de chanteuses, composé de Sylvie Hoarau et Aurélie Saada, qui perpétue un style pop insouciant directement inspiré des années soixante-dix. Aurélie Saada chante d’abord dans les comédies musicales Mayflower en 1996, ou Megalopolis avec Francis Lalanne, en 1999. Elle enregistre un 1er album en 2003 chez Delabel. Elle rencontre Sylvie Hoarau, ex-membre du groupe Vendetta, avec laquelle elle crée le duo Brigitte qui est d’abord repéré sur Internet, puis grâce au concours CGFD des Inrocks. Agenda Cinéma Premières visions ★★ Anna Karenina de Joe Wright, avec Keira Knightley et Jude Law. Pour les passionnés de romanesque, ce film, énième version, ne les décevra pas. Grand Cinemas ABC Achrafieh/Dbayeh/ Concorde/Las Salinas/Saïda Mall, CinemaCity, Empire Dunes/Galaxy, Espace Playing for keeps de Gabriele Muccino, avec Gerard Butler et Jessica Biel. Comédie romantique sur fond ■ Pour connaître les horaires du circuit Empire, appeler le 1 269. Planète Abraj 01/292 192 PLANÈTE St-Élie 04/406 706 Grand Cinemas ABC Achrafieh 01/209 109 Grand Cinemas ABC Dbayeh 04/444 650 Grand Concorde 01/343 143 Grand Las Salinas 06/540 970 Grand Saïda Mall 07/723 026 CinemaCity 01/899 993 Métropolis Cinéma01/204 080 KASLIK 09/912 503 À voir absolument À voir À voir à la rigueur Ne pas se déranger Pas vu ★★★ ★★ ★ ❍ ■ Le duo de charme étonnant et insolent qui ne cesse depuis de faire parler de lui dans les médias. « Dans la Jaguar, dans la gadoue, mettez-vous à genoux », entonnent-elles et c’est la France qui tombe sous le charme de ces chansons aux sourires goguenards et fripons. Fin 2010, le groupe enregistre son premier album intitulé Et vous, tu m’aimes ? L’album au style rétro-folk est disque de platine et affiche plus de 300 000 ventes au compteur à sa sortie au printemps 2011. En 2012, c’est la consécra- tion des Victoires de la musique en tant que « groupe ou artiste révélation du public ». Le duo de la blonde et de la brune écrit sur Twitter : « Pour écrire, on se met autour d’une table toutes les deux, les bébés courent autour de nous, un pro tool, une guitare... On écrit tout ensemble, la folie de l’une stimule l’autre, on se fait totalement confiance et travailler à deux, avec son amie, c’est incroyablement inspirant, on ose tout, sans limite. On s’inspire du pire et du meilleur de tout ce qu’on aime. » Tout une ambiance, un esprit à découvrir au Music Hall de sport. Grand Cinemas ABC Achrafieh/ héros. Mais l’est-il vraiment ? Grand Dbayeh/Concorde/Las Salinas/Saïda Mall, CinemaCity, Empire Dunes/Galaxy, Espace ★★ Silver linings Playbook de David O. Russel, avec Bradley Cooper et Jennifer Lawrence. Deux écorchés vifs (l’un sortant d’asile et l’autre de psychiatrie) se retrouvent dans cette comédie très subtile au casting intéressant. Grand Cinemas ABC Achrafieh/Dbayeh, CinemaCity, Empire Dunes, Espace. En salle Alex Cross de Rob Cohen, avec Tyler Perry et Matthew Fox. L’inspecteur Alex Cross a affaire à un « psycho killer ». De la violence gratuite et inutile. Grand Concorde/Saïda Mall, Cinemall ★★★ Argo de Ben Affleck, avec Brian Cranston et Alan Arkin. Inspiré d’une vraie histoire en 1970 à Téhéran avec prise d’otages et exfiltration. Un des films les plus attendus de la saison. ❍ Grand Cinemas ABC Achrafieh/Dbayeh/ Concorde/Las Salinas, Cinemall, CinemaCity, Planète Abraj Bait (3D) de Kimble Rendall, avec Xavier Samuel. Film d’horreur dégoûtant sur des requins, etc. Cinemall ★ Flight de Robert Zemeckis, avec Denzel Washington et Don Cheadle. Lorsqu’une catastrophe d’avion ne fait que six morts sur cent deux passagers, le pilote est considéré comme un ❍ Concorde, Cinemall, CinemaCity, Planète Abraj Here comes the boom Comédie de Frank Coraci, avec Kevin James et Salma Hayek. Un professeur de biologie se met à la boxe. CinemaCity, ■ Cinemall ★★ Hotel Transylvania (3D) de Genndy Tartakovsky, avec Adam Sandler et Kevin James. Film animé avec Dracula en tenancier d’un hôtel. Drôle. CinemaCity ■ Miss Mommy Film arabe. Planète Abraj/City Complex Tripoli, CinemaCity, Empire Dunes/Galaxy My Last Valentine in Beirut (3D) Film libanais. Empire Galaxy, ■ Cinemall Red Dawn de Dan Bradley, avec Chris Hemsworth. Un groupe d'adolescents organise la résistance lorsque l'armée coréenne envahit leur ville. ■ Planète Abraj/City Complex Tripoli, Stargate Zahlé, Cinemall, Grand Saïda Mall, CinemaCity, Empire Dunes ★★ Rise of the Guardians de Peter Ramsey, avec Alec Baldwin et Chris Pine. Un bon film animé. Une aventure épique avec des héros aux capacités diverses. Grand Cinemas ABC Achrafieh/Dbayeh/Concorde/Saïda Mall, Planète Abraj/City Complex Tripoli, CinemaCity, Empire Dunes/Galaxy, Espace, Cinemall ★★★ Skyfall de Sam Mendes, avec Daniel Craig et Judi Dench. Un grand Les éléphants et coussins de Bokja. Les luminaires en céramique raku signés Mary Lynn Massoud et Racha Nawam. L’affiche du spectacle. le temps d’un concert. Et sur CD, si affinités... * Billets en vente chez Virgin Ticketing. Tél. : 01/999666. cru classique de Bond où l’identité et l’objectif du MI6 et de ses agents sont remis en question. L’action mais aussi une mise en scène et un dialogue affinés sont au rendez-vous. Grand Cinemas with Beethoven avec Abdel Rahman el-Bacha à l’église SaintLouis des capucins à 20h00. Tél. : 01/980650 Toni Braxton au BIEL à 21h00. Tél. : 01/999666. ABC Achrafieh/Dbayeh/Concorde/Saïda Mall, CinemaCity, Empire Galaxy, Espace, Planète Abraj, Cinemall The Reef 2 Film animé de Mark A.Z. Dippé, avec Drake Bell et Andy Dick. Petit poisson deviendra grand. Cinemall ❍ Twilight, Breaking Dawn (Part II) De Bill Condon, avec Kristen Stewart et Robert Pattinson. La fin de la saga de Twilight avec la grande bataille entre les vampires et les loups-garous réunis contre les Volturi. Pour ados accros. Grand Cinemas ABC ■ Achrafieh/Dbayeh/Concorde/Las Salinas/ Saïda Mall, CinemaCity, Empire Dunes/ Sodeco/Galaxy, Espace, Planète Abraj/City Complex Tripoli, Cinemall. N.B. : Les programmes ci-dessus sont donnés sous toute réserve. CINÉ-CLUB 19e Festival du cinéma européen au Métropolis Empire Sofil jusqu’au 9 décembre. Tél. : 01/204080. CONCERTS Beirut Chants : An evening Dimanche 9 décembre Beirut Chants : Peace on earth avec Joumana Medawar à la cathédrale maronite Saint-Georges à 20h00. Tél. : 01/980650. Expos Mouna Bassili Sehnaoui : L’Orient intérieur à la galerie Aïda Cherfan place de l’Étoile rue Hussein el-Ahdab jusqu’au 31 décembre. Tél. : 01/983111 Big in Japan à Over the Counter imm. Saint-Antoine rue Abdel Wahab el-Inglizi jusqu’au 31 décembre. Tél. : 01/322786 Rana Raouda : Thirty Years Walking With Light à Art On 56th à Gemmayzé jusqu’au 29 décembre. Tél.: 01/570331 Palettes libanaises – 7e édition à la galerie Zamaan rue Sadate Hamra jusqu’au 30 décembre. Tél. : 01/745571 May Abboud : Clay Expressions à Art Circle Hamra rue Antoine Gemayel imm. Assaf jusqu’au 10 janvier. Tél. : 0/027776 Jeu de pions transformables en portemanteau, une idée de Marc Dibeh. ALL Down The Line à la galerie Art Factum jusqu’au 19 janvier. Tél. : 01/443263 Daniel Constantinescu : La mémoire des murs. L’esprit français dans l’architecture roumaine à l’Institut français de Zahlé jusqu’au 14 déccembre. Tél. : 08/821293 Leila Jabre Jureidini : Frangment’s à la galerie Janine Rubeiz Raouché imm. Majdalani jusqu’au 28 décembre. Tél. : 01/868290 Inauguration à la galerie Orjowan Bir Hassan rue Safarat imm. Nisrin jusqu’au 4 janvier. Tél. : 76/703572 Ardsiv : Dream of a soul à l’Université Haïgazian rue du Mexique Kantari jusqu’au 11 décembre. Tél. : 01/353010 Hiba Kalache : Under a beautiful Sky au siège central de la FFA Private Bank jusqu’au 10 janvier. Tél. : 01/985195 Jana Eid : Whirling à la galerie Cynthia Nohra avenue Élias Hraoui Tahwita jusqu’au 17 janvier. Tél. : 01/281755 Walid Raad : Scratching on things I could disavow à la galerie Sfeir Semler jusqu’au 23 mars. Tél. : 01/566550 Emeric Lhuisset : Théâtre de guerre à The Running Horse La Quarantaine jusqu’au 10 janvier. Tél. : 01/562778 Semaan Khawam : Chair, Table, a Birdman à la galerie Joanna Seikaly Gemmayzé 480 rue Gouraud imm. Saad jusqu’au 14 décembre. Tél. : 70/776711 Walid Sadek : On the labour of missing à la galerie Tanit Mar Mikhaël jusqu’au 22 décembre. Tél. : 03/605093 Chaza Charafeddine à la galerie Agial rue Abdel Aziz jusqu’au 15 décembre. Tél. : 01/345213 Abdul Karim Majdal Al-Beik : Against the wall à la galerie Ayyam rue Zeitouné près hôtel Monroe Beirut Tower jusqu’au 31 décembre. Tél. : 01/374450 Les arts de la table et les arts tout court à la galerie Alwane Saïfi jusqu’au 30 janvier. Tél. : 01/975250 Ranya Sarakbi : BAC design « Biomechania » au Beirut Art Center Jisr el-Wati Adlieh jusqu’au 23 janvier. Tél. : 01/397018 Exposure 2012 au Beirut Art Center Jisr el-Wati Adlieh imm. 13 rue 97 jusqu’au 23 janvier. Tél. : 01/397018 Emma Haraké : Scratched à Raja’ Nehmé Sertin Art Gallery à Kfarhabab Ghazir jusqu’au 27 décembre. Tél. : 03/445122 Groupe de jeunes artistes Photos Michel Sayegh syriens à la galerie Les Plumes Achrafieh Tabaris rue Schéhadé imm. Braidi jusqu’au 20 décembre. Tél. : 01/333537 Rachana, the Artists forum au musée Alfred Basbous jusqu’au 15 décembre. Tél. : 03/033099 Art from Lebanon au Beirut Exhibition Center Waterfront jusqu’au 9 décembre. Tél. : 01/980650 Pierre Mouhanna : Ciel, Mon pays… Mon Paradis à la bibliothèque centrale de l’USEK jusqu’au 25 janvier. Tél. : 09/600071 Khalil Saleeby à l’AUB Art Gallery Hamra rue Sidani jusqu’au 31 décembre. Tél. : 01/353228. Théâtre Maqtal Inna wa Akhawatiha au théâtre Monnot à 20h30 jusqu’au 23 décembre. Tél. : 01/202422 Mazhab au théâtre de la LAU Beyrouth à 20h30 jusqu’au 9 décembre et du 13 au 16 décembre. Tél. : 01/786464 Le magicien d’Oz au théâtre Monnot rue de l’USJ tous les samedis à 16h00. Tél. : 01/202422 ossa kbiré au Grand Hills Broummana à 21h30. Tél. : 04/868888 Comedy Night au Playroom à Zalka près Mobilitop à 21h30. Tél. : 70/757500.
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