N° 772 - L`Affranchi

Transcription

1,30 € - Numéro 772
Politique
La crise vue par
un conférencier
candidat
l’affranchi
de Chaumont
Hebdomadaire d’informations locales.
15 e année .
Vendredi 20 février 2009 - 25, rue Croix-Percée - tél : 03 25 01 59 35 - fax : 03 25 01 59 36
La fronde des graphistes
prend de l’ampleur
Lettre ouverte au maire-ministre de
Chaumont Luc Chatel, pétition sur
internet, appel à boycotter l’exposition «graphisme en France» du 20e
festival…
La réaction des graphistes concernant les droits d’auteur monte d’un
cran. Page 5.
Quartiers : à propos des
jeunes qui en veulent...
Après avoir été en conflit avec la
MJC, l’association Jeunes 100
Frontières va être amenée, prochainement, à gérer en partie le local
jeunes de La Rochotte. Elle tient à
expliquer sa démarche. De son côté,
l’élu d’opposition Patrick Lefèvre fait
une mise au point concernant son
intervention au conseil municipal du
31 janvier. Pages 6 et 7.
Quand un paysan touche
plus de 100 000 € d’aides par an
En Haute-Marne, 150 exploitations
agricoles touchent chacune plus de
100 000 euros d’aides par an...
La Confédération paysanne milite
pour une réorientation de la politique agricole commune avec l’idée
de soutenir ceux qui en ont vraiment
besoin. Page 10.
Tête de liste Modem aux
européennes, l’ancien journaliste Jean-François Kahn
donne une conférence ce
vendredi à Chaumont sur le
thème de la crise. Histoire
de sortir du champ électoral et d’intéresser le plus
grand monde. Page 11.
Tri
Les sportifs
donnent
l’exemple
Petit à petit, la ville équipe
les sites sportifs en poubelles destinées au tri des
déchets. Et Christine
Guillemy vient ensuite inciter les utilisateurs à en faire
le meilleur usage dans l’intérêt général. Page 8.
Lions-club
«La plus grande
association caritative du monde»
Directeur international des
Lions Clubs, Georges Placet
est venu cette semaine à
Chaumont expliquer en
quoi le mouvement lioniste
est plus important que les
membres eux-mêmes ne
l’imaginent. Page 9.
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2 TRIBUNE
L’affranchi de Chaumont - 20 février 2009
Enseignement : des mesures
qui ne passent pas
Les syndicats FSU ont
tenu une conférence de
presse pour dénoncer :
«une nouvelle dégradation
du service public d’éducation». Ils ont d’ores et déjà
annoncé leur participation
à la grève du 19 mars.
e nouvelles suppressions de postes qui
leur semblent injustifiées, des changements
pour faire moins bien, et
des blocages inévitables...
Tel est le constat que dressent les membres de la Fédération syndicale unitaire,
suite aux mesures prises ou
annoncées par l’Education
nationale. Ils ajoutent que
la Haute-Marne est particulièrement maltraitée. Et ils
appellent à une grande mobilisation pour la grève générale du 19 mars prochain.
Du côté des suppressions de
postes, la situation dans le
primaire paraît meilleure
qu’annoncée au départ. Finalement, pour une perte
prévue de 402 élèves, le dé-
D
partement perdra 9 classes
(à Chaumont, on comptera
6 fermetures avec la suppression de l’école Guizot,
mais 3 ouvertures : une maternelle à Picasso et 2 élémentaires à Cassin).
Toutefois, les syndicats précisent que l’inspectrice
d’académie a fait le choix de
supprimer des postes d’animation soutien. Ainsi, par
exemple, le poste qui avait
été mis sur La Rochotte
pour compenser des fermetures précédentes et apporter
une
aide
supplémentaires dans les
classes n’existera plus à la
rentrée prochaine.
De plus, 6 des 12 postes du
réseau d’aide (RASED) sont
également supprimés. Si
bien qu’au total la HauteMarne va perdre 17,5 postes
d’enseignants du primaire.
Par ailleurs, les syndicats
dénoncent le système de
l’école de 4 jours par semaine qui voit nombre de
matières passer en hors
temps scolaire. Et ils voient
l’aide personnalisée, après
les cours, comme un recul,
puisqu’auparavant elle était
assurée par des enseignants
spécialisés.
Enfin, ils déclarent ne pas
comprendre le nouveau système d’évaluation en CE2 et
CM2 qui ne prend pas en
compte toutes les bonnes
réponses et qui s’applique
sur un programme dont
une partie n’a pas encore
été vue. En tout état de
cause ces évaluations ne
serviront ni à l’élève, ni à
l’enseignant. Alors à qui ?
Secondaire :
la punition
de la Haute-Marne
Dans les collèges les suppressions de postes sont
beaucoup plus injustes,
puisqu’on va retirer 10 enseignants dans un ensemble
qui va gagner 67 élèves
(rappelons que l’an dernier
on en avait déjà supprimé
10 pour une perte de 85
élèves). La FSU demande à
connaître la logique sur laquelle s’appuient ces mesures.
Et dans les lycées, elle
constate que la HauteMarne subit proportionnellement plus de taxations
que les autres départements. Rien que pour le
lycée Bouchardon une dizaine de suppressions de
postes sont annoncées pour
des effectifs pourtant relativement stables. On cherche
à savoir ce qui justifie pareille punition dans le département.
En fait, les besoins étant
toujours là, l’Education nationale va redonner des
heures supplémentaires. De
même, elle supprimera des
remplaçants en décrétant
que les professeurs de
chaque établissement suppléeront les absents. Mais
les syndicats affirment que
le système a atteint ses limites. Des cours ne sont
déjà plus assurés et ne le seront plus jusqu’à la fin de
l’année.
Et ce sera pire l’an prochain...
Enfin, la formule du bac
professionnel en 3 ans est
très critiquée. Certes, avec
une année de formation en
moins on va pouvoir encore
supprimer des postes d’enseignants. Mais on va perdre aussi beaucoup d’élèves
qui avaient besoin de passer
par un BEP en deux ans
avant
de
poursuivre
jusqu’au bac. Ceux-là ne
pourront plus suivre. Et
comme on ne mettra pas en
place des CAP pour compenser, le risque est grand
de laisser beaucoup de
monde sur le bord du chemin...
Mais l’idée de l’Etat est
peut-être surtout d’envoyer
plus de monde vers les Centres de formation des apprentis qui sont financés
par les régions.
L.T.
HLM : fenêtre ouverte sur la négligence
L
es mots ayant apparemment peu de
poids, nous revenons
en photos sur un sujet qui
nous avait occupé il y a un
peu plus d’un mois (L’affranchi N° 767). Nous expliquions alors la colère d’un
Chaumontais contre Chaumont Habitat.
Notre homme ne supportait
plus de voir vivre sa mère
dans un logement de la rue
Faraday privé de volet depuis deux ans. Un logement
dans lequel s’est finalement
installée l’humidité et où il
fait particulièrement froid,
en cette période hivernale.
Cette dame de 73 ans, qui
souffre de problèmes respiratoires, est actuellement
hospitalisée. Et son fils est
particulièrement remué à
l’idée qu’elle va bientôt retrouver cet appartement
qu’il juge désormais insalubre.
Sans compter que, ce logement se trouvant au rez-dechaussée, il se dit inquiet
aussi pour de simples raisons de sécurité.
Depuis la parution de notre
premier petit article, il a obtenu une explication : si le
volet a été retiré il y a deux
ans, mais jamais remplacé,
c’est parce qu’entre temps
les HLM sont entrés en
conflit avec le menuisier.
Voilà donc au moins une réponse aux nombreuses demandes qu’il formule
régulièrement. Mais ça ne
saurait exonérer Chaumont
Habitat de ses responsabilités. En tout cas, on a du mal
à comprendre l’intérêt d’un
tel pourrissement...
Nous publions ici des photos montrant dans quel état
de dégradation sont arrivés
maintenant la fenêtre, le
mur (sur lequel l’eau ruisselle) et toute la pièce,
jusqu’au plafond.
ACTUALITE 3
Le petit journal de la semaine
SAMEDI. Sur le site
internet de l’affranchi
(laffranchi.fr), Yvon
Crus réagit à l’information selon laquelle
l’équipe de france de
gymnastique féminine
disputera un match international à Chaumont
le samedi 12 septembre prochain. Il écrit
ainsi : «Bravo à la
"Chaumontaise" qui,
par l'accueil de cet événement, prolonge l'action entreprise par tous
ces bénévoles en faveur de la Gymnastique.
«Proposer aux Chaumontais une place à un
spectacle de qualité
est très certainement
plus sage que de vouloir créer le spectacle».
Voilà un beau sujet de
débat !
SAMEDI. Luc Chatel innove. Habituellement,
c’est depuis Paris que
le maire-ministre se
rappelle au bon souvenir de ses administrés
en parlant dans les médias nationaux. Cette
fois, c’est en direct de
Chaumont qu’il répond
aux questions de
Dominique Souchier
dans l’émission «C’est
arrivé cette semaine»,
sur Europe 1.
Le journaliste commence d’ailleurs son
interview par cette introduction : «Alors que
vous êtes comme souvent, le samedi matin,
dans votre ville de
Chaumont, en HauteMarne, je vous remercie d’être en ligne».
Assumer sa mission de
porte-parole du gouvernement tout en
montrant qu’il ne délaisse pas son job de
maire, Luc Chatel ne
pouvait rêver mieux…
DIMANCHE. Croisé un
automobiliste en colère
qui s’est lui aussi pris
une prune de 135
euros sur la fameuse
nouvelle place réservée aux personnes
handicapées, rue
Jules-Tréfousse. Il
n’avait pas encore lu
L’affranchi de la se-
maine dernière qui dénonçait la très mauvaise signalisation…
Conservant son humour, notre homme
tient à préciser que le
non moins fameux
agent 407 n’est pas
seul en cause. Il y a
aussi le 508 qui sévit…
LUNDI. Le Journal de
la Haute-Marne publie
un nouvel article sur le
projet de suppression
de taxe professionnelle. On y apprend
que Luc Chatel trouve
l’idée du président Sarkozy assez géniale.
C’est intéressant,
parce qu’on se souvient que trois semaines plus tôt
exactement, il ne tenait
pas tout à fait le même
discours à Chaumont.
Dans les locaux de la
préfecture, présidant
les états généraux de
l’automobile, il s’était
rangé plutôt du côté de
la syndicaliste Dominique Perchet, que de
celui des patrons.
Ceux-ci demandaient la
suppression de la taxe
alors que la représentante de FO se préoccupait du financement
des collectivités locales. Il avait alors approuvé le plaidoyer
citoyen en faveur du
développement des
biens communs. Même
s’il avait admis que la
taxe professionnelle
méritait d’être modernisée.
Entre suppression
(même partielle,
comme on la présente
aujourd’hui) et modernisation, il y a encore
un gouffre. Mais nous
ne sommes pas inquiets pour notre
maire-ministre. Il saura
faire sa propre synthèse et expliquer
pourquoi il n’y voit pas
contradiction.
En attendant, on en
vient toujours à la
même question : «Estce que nos dirigeants
ne pourraient pas réfléchir avant de parler,
plutôt que de faire l’inverse ?».
MARDI. Reçu de l’association du festival international de l’affiche
et du graphisme une
invitation à assister à
la prochaine assemblée générale qui aura
lieu le vendredi 27 février, à midi ( !), dans la
salle du conseil municipal…
Apparemment, Luc
Chatel –qui n’a encore
pu assister à aucune
réunion de cette association- a l’intention de
prendre la parole.
A cette heure-là, peutêtre aurait-il mieux valu
organiser une conférence de presse, car il
n’est pas sûr que tous
les membres de l’association puissent être
présents… Mais le
maire-ministre va pouvoir «rentabiliser son
week-end» à
Chaumont : il a aussi
prévu de présider le
vendredi soir le conseil
communautaire du
Pays chaumontais et le
samedi matin –ça devient une habitude !- le
conseil municipal.
MERCREDI. Prise de
contact avec JeanFrançois Kahn. Nous
sommes curieux de savoir ce qu’il a l’intention de faire ce
vendredi à Chaumont
(page 11). Il nous apprend par ailleurs qu’il
sera le lendemain à Colombey-les-deuxEglises.
Il est invité à un déjeuner-débat au cours duquel il racontera son
voyage à Phnom-Penh
avec le Général De
Gaulle.
JEUDI. Christine Guillemy présente une action de tri menée
auprès des sportifs.
C’est l’occasion de lui
demander pourquoi de
grandes quantités de
sacs de tri transparents à bande jaune se
retrouvent enfournés à
l’usine d’incinération.
Réponse de l’élue municipale, qui est aussi
présidente du syndicat
départemental d’élimination des déchets mé-
nagers : «Lorsqu’on
s’aperçoit qu’il y a plus
de 30 % d’erreur dans
leurs contenus, ils sont
jugés inexploitables au
centre de tri. Certains
chargements vont ainsi
directement rejoindre
les ordures ménagères
ordinaires».
On hésite à donner l’information. Va-t-elle inciter les citoyens à
mieux trier, ou bien vat-elle au contraire décourager ceux qui
n’étaient pas très motivés ?
Le moins qu’on puisse
dire en fait, c’est que le
travail des ambassadeurs du tri nous apparaît soudainement
primordial.
JEUDI. A l’issue de
l’assemblée générale
de la Confédération
paysanne, un militant
du CEDRA soulève la
question du stockage
des déchets nucléaires
FAVL.
Laurent Cartier en profite pour épingler le représentant de l’Etat :
«Quand une commune
prend une délibération
pour accueillir des déchets radioactifs, le
préfet ne réagit pas.
Mais quand une commune délibère pour interdire la culture
d’OGM sur son territoire, le préfet saisit
immédiatement le tribunal administratif
pour contester la délibération. Il y a vraiment
deux poids, deux mesures».
ANNONCES LEGALES
SCP “Fabrice ROUGIER et Stéphanie LARCHÉ,
Notaires associés”
Centre Agora, 13 avenue des Etats-Unis
52000 CHAUMONT
AVIS DE CONSTITUTION
Suivant acte reçu par Me LARCHÉ, notaire à Chaumont, le
29/12/2008, enregistré au S.I.E. de Chaumont en date du
15/01/2009, bordereau 2009/41 case 1, il a été établi les statuts d’une société dont les caractéristiques principales sont les
suivantes :
- Dénomination sociale : «SARL L’AUBERGERIE».
- Forme : Société à Responsabilité Limitée.
- Objet social : Acquisition et exploitation d’un restaurant ou
d’un restaurant-pizzeria. Organisation de dîners-spectacles et
tout événement tant pour le compte de la société que pour le
compte d’autrui.
- Siège social : 18, rue Jules-Tréfousse 52000 CHAUMONT.
- Durée : quatre vingt dix neuf (99) ans.
- Capital social : 8000 euros divisés en 100 parts sociales de
80 euros chacune.
- Apports en numéraire : 8.000 euros entièrement libérés.
- Cession de parts sociales : toute cession soumise à agrément.
- Gérant : Sylviane JOUSSEAUME, demeurant à FONTAINE
LA GAILLARDE.
La Société sera immatriculée au Registre du Commerce et des
Sociétés de CHAUMONT.
Pour avis,
Me LARCHÉ
SARL L’AUBERGERIE
Société civile immobilière au capital de 8.000 €
Siège social à CHAUMONT (52000), 18 rue Jules-Tréfousse
En cours d’immatriculation au RCS de CHAUMONT
D’une assemblée générale extraordinaire des associés du 18
janvier 2009, il résulte :
- La démission de Sylviane JOUSSEAUME, gérante de ladite
société,
- La nomination d’Yvon MORIN, demeurant à CHAUMONT
(52000), 18 rue Jules-Tréfousse, pour une durée indéterminée.
L’inscription modificative sera effectuée au Registre du Commerce et des Sociétés de CHAUMONT.
Pour avis,
Maître LARCHÉ
4 ACTUALITE
LES COUDÉES FRANCHES - LES COUDÉES FRANCHES - LES COUDÉES
Pièce attachée dans ville
détachée
Suivez mon regard !
Lorsque ce vélo a été attaché à ce poteau de la rue de la Corniche, il était encore entier. C’était il y a quatre mois
environ.
Certains éléments ont ensuite disparu
petit à petit. D’autres ont été mal traités.
Il semble bien toutefois que le cadre, solidement arrimé, ne puisse partir lui
aussi en pièce détachée. On ne peut
plus guère compter sur le vandalisme
pour en débarrasser définitivement le
trottoir.
Du coup, on se demande combien de
temps encore ce restant de bicyclette,
tantôt couché, tantôt remis debout, va
tenter de tendre un piège aux passants,
devant l’arrêt de bus.
Ne serait-ce que par mesure de sécurité,
la ville ne pourrait-elle pas l’enlever ?
tience...
En attendant, une affichette sur la vitrine
du magasin fermé nous invite à aller voir
celui de Saint-Dizier. Est-ce une façon de
dire que, pour le commerce au moins,
les choses vont mieux là-bas ?
Debref/JHM : le procès en
avril
Rue Victoire de la Marne, le magasin de
chaussures Bata a brutalement fermé
ses portes. Voilà un casse-tête de plus
pour le maire qui avait dit vouloir redynamiser le centre-ville avant de lancer la
zone commerciale de La Vendue. Si ça
continue, il va falloir s’armer de pa-
En janvier, nous avions annoncé que,
pour des propos mettant en cause son
intégrité psychique et sa légitimité électorale, le conseiller municipal centriste
Philippe Debref assignait le Journal de la
Haute-Marne en justice. L’audience de
consignation s’étant tenue comme prévu
en février, on apprend que l’affaire est
effectivement renvoyée devant le tribunal. Les débats se dérouleront le 14
avril.
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ACTUALITE 5
La fronde des graphistes
prend de l’ampleur
Lettre ouverte au maire-ministre, pétition sur internet, appel à boycotter l’exposition «graphisme en France» du 20e festival… La réaction des graphistes concernant les droits d’auteur monte d’un cran.
A
vec son contrat de
cession de droits sur
les affiches déposées
aux Silos, Luc Chatel seraitil en train de mettre le feu
au festival et de menacer de
détruire tout ce qui a été
fait en faveur du graphisme
à Chaumont depuis vingt
ans ? On peut malheureusement le craindre. Depuis
plusieurs semaines, le mécontentement
sourdait
chez les graphistes, se traduisant par des articles
dans L’affranchi et le Canard enchaîné, des réactions individuelles (refus de
signature) ou collectives
(communiqué du syndicat
national des artistes plasticiens CGT). Ce contrat
continuant malgré tout
d’être diffusé, la colère vient
de monter d’un cran. Dans
une lettre datée du 17 février, dont des copies ont
été envoyées aux partenaires de la ville de Chaumont (délégation aux arts
plastiques du ministère de
la Culture, Bibliothèque nationale, Direction régionale
des affaires culturelles,
Conseil régional de Champagne-Ardenne, etc.), des
graphistes et soutiens du
graphisme –parmi lesquels
figurent plusieurs «pointures»- signalent à Luc
Chatel qu’ils «ne peuvent
signer ce contrat qui les
spolie». Ils demandent au
maire-ministre «de le retirer, d’annuler ceux qui ont
été signés par des graphistes abusés et malheureusement peu au fait de
leurs droits et d’en réétudier les termes en concertation avec la profession». Et
ils ajoutent : «Nous demandons à tous les graphistes
ayant une affiche dans vos
collections de refuser toute
signature et à tous ceux qui
n’en ont pas encore, à tous
les soutiens du graphisme,
à tous les étudiants en
écoles de graphisme de s’as-
socier à ce refus».
Parmi les signataires,
des pointures du
graphisme français...
Enfin, ils n’ignorent pas
que le festival fait à une sélection de graphistes la
«proposition flatteuse» de
participer à l’exposition du
20e anniversaire «Graphisme en France» avec la
présence d’une ou plusieurs
de leurs affiches déposées
aux Silos. «Vous comprendrez que ces graphistes,
alertés par les conséquences du contrat que
vous leur proposez par ailleurs, ne se laissent pas
abuser par des honneurs
qui les asservissent», disent-ils à Luc Chatel. «En
l’absence d’une convention
négociée pour chaque utilisation que les Silos souhaite faire de leurs œuvres,
ils ne peuvent participer à
cette exposition».
Comme L’affranchi s’en est
déjà fait l’écho, ce contrat a
été plus ou moins initié par
l’ancienne municipalité.
Mais la nouvelle équipe a
fait sauter la clause sur les
utilisations non commerciales. Et «le fait que M.
Chatel ait repris un contrat
existant ne l’exonère en
rien de sa responsabilité sur
la signature qu’il appose en
tant que premier magistrat
de la ville», soulignent les
auteurs de la lettre, dont
certains ont par ailleurs mis
en place une pétition et un
appel au boycott sur internet.
Parmi les premiers signataires, on remarque la présence
de
Jean-Paul
Bachollet, qui a fait partie
de Grapus, le fameux collectif qui a révolutionné le
graphisme en France dans
les années 1970, et qui est
considéré comme le père
du festival de Chaumont ;
Pierre di Sciullo, qui s’est
fait remarquer l’an dernier
avec son installation sur la
place de la gare et qui vient
de remporter le concours
pour créer la nouvelle identité visuelle du prestigieux
musée néerlandais Stedelijk
Museum ; Michel Quarez,
connu des amateurs de
beaux-arts et lauréat de
nombreux prix ; Patrick Giraudo, ancien directeur des
Silos, aujourd’hui directeur
délégué du GRAME, le Centre national de création
musicale installé à Lyon ;
Pierre Ponant, historien du
graphisme ; et aussi : Christophe Jacquet dit Toffe, Philippe Bissières, François
Caspar, Olivier Darné, Guillaume Lanneau, AnneMarie
Latrémolière,
Maxime Lemoyne, François
Miehe, Gérard Paris-Clavel,
Thierry Sarfis… Rien que
du beau monde !
Christophe Poirson
« C’est le droit d’auteur qui permet de pérenniser
la création dont profite la ville… »
«D
epuis vingt ans,
plus de 7000
graphistes du
monde entier enrichissent
par leur participation au
festival international de l’affiche et du graphisme de
Chaumont la collection de
la Maison du livre et de l’affiche», soulignent les auteurs de la lettre adressée à
Luc Chatel. «Plus de 30 000
affiches ont ainsi été engrangées aux Silos. Vous
souhaitez mettre en place
une politique de conservation au service de la diffusion auprès des publics.
Louable intention qui est
celle d’un service public assumé auquel nous souscrivons.
«Pour mettre en place ce
projet, vous avez, en tant
que maire, secrétaire d’Etat
et porte-parole du gouvernement, soumis aux graphistes un contrat leur
demandant un total abandon du droit d’auteur sur
leurs œuvres, au profit de la
ville de Chaumont. Vous
nous permettrez de rappeler que ces affiches n’ont
pas été confiées à la ville de
Chaumont et à son représentant -encore moins au
porte-parole du gouvernement- mais aux Silos, Maison du livre et de l’affiche,
en qualité d’établissement
public ayant la responsabilité de conserver ces œuvres
et de faire respecter la législation relative aux droits
d’auteur.
«La ville de Chaumont
pourrait donc présenter les
œuvres, les reproduire et au
pire –les contrats sont éta-
blis pour prévoir tous les
cas de figure- les adapter,
voire les dégrader en les appliquant sur des objets mercantiles, mettre en vente
leurs reproductions, bref les
exploiter sans limite et sans
consultation des auteurs.
Les graphistes abandonneraient toute possibilité de
réserve morale quant à
l’usage ou au détournement
de leur œuvre. Ils renonceraient à toute contrepartie
et tout revenu financier
provenant de l’exploitation
de leurs affiches. Ils s’interdiraient
définitivement
d’intervenir et de reprendre
leurs droits. En d’autres
termes, leurs droits d’auteurs seraient bafoués, en
contradiction totale avec le
code de la propriété intellectuelle du 11 mars 1957
qui protège une œuvre du
seul fait de sa création».
Après avoir rappelé les
«principes fondamentaux»
de cette législation, les signataires de la lettre ajoutent : «L’acquisition par la
mise en dépôt –celle-ci estelle formalisée ?- ou par
achat des affiches confère à
la Maison du livre et de l’affiche un droit de propriété
sur le support papier ou numérique mais ne confère
pas de droit d’auteur sur
l’œuvre incorporée dans le
support. Ceci est vrai autant
pour les œuvres des graphistes français que pour
celles des graphistes du
monde (…). La cession est
consentie à titre non exclusif, mais vous faites signer
aux graphistes l’obligation
de s’interdire de «gêner la
pleine jouissance par la
Ville des droits acquis». Le
flou calculé de cette formulation oblige les auteurs à
s’interdire de disposer de
leur œuvre pour tout usage
commercial, d’édition ou de
mise à disposition au profit
d’une autre institution,
toutes ces démarches pouvant être qualifiées de
«gêne à la pleine jouissance
des droits par la ville de
Chaumont».
Et de conclure : «Les droits
d’auteurs sont le seul et
unique moyen pour les auteurs de faire respecter l’intégrité de leur travail et de
leur garantir une rémunération proportionnelle à
leur diffusion. Et c’est le
droit d’auteur qui permet
de pérenniser la création
dont profite la ville… »
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Local jeunes :
une mise au point
de Patrick Lefèvre
S
uite à la réaction de
l’association Jeunes
100 frontières, publiée
dans L’affranchi de la semaine dernière, l’élu d’opposition Patrick Lefèvre
revient sur l’intervention
qu’il a faite au conseil municipal du 31 janvier :
«Avant toute chose, une
précision s’impose. Afin de
désigner certains membres
de l’association «Jeunes 100
frontières», je n’ai bien évidemment pas parlé «d’incapables» et encore moins de
«voyous» mais de «personnes que j’apprécie» amenées à «encadrer» des
«jeunes attachants mais
parfois turbulents». Vous
avouerez que ce n’est pas la
même chose. Ces propos
ont d’ailleurs été repris
dans la presse. A propos de
cette association, j’ai toujours pensé qu’elle représentait une initiative digne
du plus grand intérêt.
«Cette mise au point étant
effectuée, je crois qu’il est
normal que les jeunes réagissent pour défendre leur
projet (la mise à disposition
à une association d’un lieu
communal), pour revendiquer leur part d’autonomie,
de «liberté». Nul ne peut
leur en faire reproche. Bien
au contraire !
Pour tout dire, je m’y attendais !
Le rôle des élus de la commune, c’est de faire en sorte
que cette délégation de responsabilité s’effectue dans
les meilleures conditions
possibles.
Un cadre juridique existe. Il
s’applique quelquefois durement en cas de problème
grave. Se constituer en «association de type 1901» ne
constitue pas systématiquement une garantie juridique. C’est la compétence
de l’encadrement qui est
souvent mise en cause
lorsqu’un problème survient.
Car en effet, encadrer des
jeunes, ce n’est pas toujours
simple. Cela s’apprend.
Comme d’ailleurs s’apprend
la compétence visant à faire
fonctionner de façon démocratique une association.
Cette compétence est validée par des diplômes d’Etat.
Ce sont les services de l’Etat
qui ont pour rôle de vérifier
sur le terrain si tout est
conforme.
Si par malheur, un problème grave survient, le
président de l’association
peut être, au vu de la loi, désigné comme responsable
des faits. Le «propriétaire»
du lieu peut l’être également. En l’occurrence,
celui-ci est le maire de la
commune.
Les problèmes rencontrés
peuvent d’ailleurs survenir
de l’extérieur. En 2001,
lorsqu’on a ouvert en
«semi-autonomie» le gymnase du Cavalier B, les
jeunes responsables du site
ont eu des ennuis lorsqu’ils
ont dû interdire l’accès du
lieu à d’autres jeunes désirant entrer pour y faire tout
autre chose que du sport !!!.
Ces derniers revendiquaient
l’exploitation du site au titre
«qu’ils étaient tous du
même quartier».
La mise en œuvre d’une
telle délégation de responsabilité (généralement actée
par le biais d’une convention) est donc plus compliquée qu’elle semble n’en
avoir l’air. Mon intervention
au sein du conseil municipal n’avait d’autre raison
que de souligner cette complexité.
En aucun cas, je n’ai voulu
qualifier de façon péjorative
les animateurs de l’association «Jeunes 100 frontières».
Ils
semblent
d’ailleurs avoir conscience
des remarques que j’ai soulevées ici, puisqu’ils disent
se préoccuper de la qualification de leurs animateurs
(certains ayant le BAFA),
afin qu’au sein de la structure se déroulent des activités
organisées
et
conviviales.»
LIBRE EXPRESSION
Maison d’arrêt : ça ne s’arrange
pas
D
ans un communiqué,
le syndicat pénitentiaire UFAP-UNSA
dénonce une nouvelle fois
les conditions de détention
à la maison d’arrêt de Chaumont :
«Le 17 février, notre établissement s'est vu à nouveau
offrir le gîte pour un de nos
pensionnaires par le moyen
d'un matelas à même le sol,
et ce malgré la garantie de
notre autorité régionale que
ce genre de situation ne se
représenterait pas.
«Pour certains, on dira que
ce n’est pas si grave car cela
se passe bien ailleurs !
Pourtant, à force d'encombrer nos établissements de
la sorte, devrons-nous un
jour donner le confort journalier au raz du sol pour
cause d'insuffisance de surface, éviter la pose de pieds
de tabouret, voire envisager
les services de fast food libre
service pour éliminer la
table ?»
Le syndicat évoque l’exaspération du personnel «qui en
plus de gérer cette surpopulation pénale grandissante,
doit faire face à de nouvelles
missions et de mesures de
sécurité
sans création
d'emplois».
L’UFAP-UNSA n’exclut pas
d’organiser une action prochainement.
ACTUALITE 7
«Plutôt que de nous casser,
on devrait nous soutenir»
Après avoir été en conflit avec la MJC, l’association Jeunes 100
Frontières va être amenée, prochainement, à gérer en partie le local
jeunes de La Rochotte. Elle tient à expliquer sa démarche.
«P
lutôt que de
nous
casser
avant
même
qu’on démarre, on devrait
nous soutenir…». Zacharie
El Majdoubi, Omar Boussabata, Amine Lahcen et
Jimmy Legros sont tous les
quatre membres actifs de
Jeunes 100 Frontières, l’association qui devrait être
amenée prochainement à
gérer en partie le local
jeunes de La Rochotte. Une
éventualité qui a conduit
Patrick Lefèvre, lors du dernier conseil municipal, à
mettre en garde le maire
Luc Chatel sur ses responsabilités en cas d’incident
(lire ci-contre). Et Michel
Prost, le directeur de la
MJC, à déclarer qu’il avait
peur de ce qui allait se passer.
Les
responsables
de
«Jeunes 100 frontières» ont
déjà réagi à ces propos dans
nos colonnes la semaine
dernière. Mais ils ont tenu à
rencontrer L’affranchi pour
expliquer leur démarche.
«On a demandé à ce
que le local soit repris
par la ville»
Ils précisent qu’ils ont créé
l’association en juillet 2007,
c’est-à-dire bien avant les
élections municipales. Et
s’ils l’ont fait, c’est parce
que la façon dont la MJC gérait le local jeunes ne leur
convenait pas. «On n’avait
rien à reprocher à l’animateur, bien au contraire, on
souhaitait qu’il reste», soulignent-ils. «Mais on trouvait qu’il y avait un manque
de propositions. Et toutes
les idées qu’on pouvait formuler étaient rejetées par la
MJC. C’est pourquoi on a
demandé à ce que le local
soit repris par la ville».
«Avant les élections, on a
envoyé une lettre à chaque
candidat, ainsi qu’à Jean-
Claude Daniel», ajoutentils. «On a été reçus par Philippe Debref et Luc Chatel,
mais on n’a jamais eu de réponse de la gauche…»
L’association affirme ne pas
vouloir faire de politique.
Mais elle considère que
l’ancienne municipalité n’a
pas fait grand-chose pour
les quartiers. L’un de ses
membres s’est retrouvé sur
la liste de Philippe Debref.
Et aujourd’hui, tous se félicitent de l’écoute de la nouvelle municipalité. Il faut
dire aussi que le président
de Jeunes 100 Frontières,
Marc Nédélec, est le fils
d’une conseillère municipale élue sur la liste de Luc
Chatel…
Une gestion en
autonomie sur certains
créneaux horaires
Cela n’a pas empêché les
membres de Jeunes 100
Frontières de participer à la
manifestation pour la défense du local jeunes qui
s’est déroulée le 30 décembre. «On a manifesté pour
qu’il ne soit pas fermé définitivement, mais pas pour
qu’il reste confié à la MJC»,
tiennent-ils (évidemment) à
préciser. Reste que beaucoup d’autres manifestants
souhaitaient continuer avec
la MJC et se rendent désormais au centre-ville…
Début janvier, l’association
a fait partie de la «délégation de jeunes» reçue par
Luc Chatel. «On est partis
sur l’idée d’une gestion de
la municipalité en collaboration avec nous», explique
Zacharie El Majdoubi. «Et
ils nous proposent une gestion en autonomie sur certains créneaux horaires,
non pas jusqu’à 2 heures du
matin comme il a été dit au
conseil municipal, mais
jusqu’à 22 heures».
En attendant, après plus
Jimmy Legros, Omar Boussabata, Zacharie El Majdoubi et Amine Lahcen : «On va aller
chercher les jeunes et on va essayer de les motiver».
d’un mois de fermeture, le
local jeunes ne rouvre pour
le moment que le mercredi,
de 14 h à 18 h, sous la responsabilité du service jeunesse de la ville. «Ça ne
peut pas se faire du jour au
lendemain», argumentent
les membres de Jeunes 100
Frontières. «On est en train
de monter le projet avec la
mairie et on commence à
rédiger une convention…
Au début, on sera avec les
animateurs de la ville. On
ne sera pas tout de suite en
autonomie».
Travaux, ateliers
emploi, slam, rap, etc.
Depuis sa création, l’association –qui s’est fixée pour
objectif de «rassembler les
jeunes des différents quartiers, pas seulement celui
de La Rochotte, et de mettre en place des animations
avec eux»- se vante d’avoir
organisé des tournois de
foot, une soirée couscous
ou encore des activités en
lien avec Tremplin 52 et
Chaumont Habitat. «On va
aller chercher les jeunes et
on va essayer de les motiver», affirment Zacharie El
Majdoubi, Omar Boussa-
bata, Amine Lahcen et
Jimmy Legros. «On va faire
des travaux d’embellissement au local, on va essayer
de mettre en place des ateliers emploi, des ateliers
d’écriture, des animations
slam et rap, et des activités
sportives comme le futsal.
Ce serait bien de pouvoir
commencer pendant les va-
cances de février. Il y a des
attentes. On voudrait aussi
favoriser la mixité et ouvrir
le local aux jeunes mamans».
Cerise sur le gâteau : l’association «Jeunes 100 Frontières» affirme être prête à
travailler avec la MJC sur
certains projets…
C.P.
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8 ACTUALITE
Tri : quand les sportifs donnent
l’exemple
Petit à petit, la ville équipe les sites sportifs en poubelles destinées
au tri des déchets. Et Christine Guillemy vient ensuite inciter les utilisateurs à en faire le meilleur usage dans l’intérêt général.
U
ne tonne de déchets
incinérée coûte 211
euros, collecte et
transport compris. Une
tonne de déchets triés revient à 28 euros, collecte et
transport compris, mais
après revente des produits
recyclables. C’est avec cet
argument économique particulièrement parlant - en
plus de l’intérêt environnemental évident - que Christine Guillemy est allée
rencontrer des sportifs,
jeudi matin.
L’adjointe chargée de l'environnement, de la qualité de
vie et du développement du-
rable s’est rendue sur le site
Issartel où la plupart des infrastructures sont désormais équipées en poubelles
de toutes sortes.
Elle s’est donnée pour objectif de faire nettement
progresser le tri à Chaumont. Et si elle s’adresse
aujourd’hui aux clubs sportifs, c’est parce qu’elle
compte sur leur savoir faire
dans le domaine de l’éducation à la citoyenneté. Elle
est persuadée que les dirigeants et les cadres sauront
donner l’exemple aux plus
jeunes.
Désormais, le rugby, l’athlé-
tisme, le volley, le handball,
la gymnastique... sont sensibilisés. Leurs dirigeants
savent qu’avec seulement
27 bouteilles d’eau en plastique ont peut faire un pull.
D’autres seront encore visités par Christine Guillemy
et les services de la ville. Et
tous seront invités à voir
fonctionner le centre de tri
de Chaumont, de manière à
ce qu’ils en comprennent
bien les exigences.
Enfin, les clubs savent désormais que des «kits tri»
sont à leur disposition pour
les manifestations exceptionnelles.
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PM, ORDI, 4 AIRBAGS ABS, GRIS ALU 06/2007 14 554
km 11 900 € 10 900 €
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PM, ORDI, 4 AIRB, ABS, BLEU SAMARA 01/2007
24 395 km 12 900 € 11 900 €
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• KANGOO 1,5 DCI 70 EXP CONF CLIM, DA, CLOISON
GIRAFON BLANC 07/2007 32 700 km 8 400 €
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BLANC 05/2007 31 186 km 8 900 €
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05/2007 39 900 km 18 900 €
ACTUALITE 9
Georges Placet : «Le Lions est la plus
grande association caritative du monde»
Directeur international des Lions Clubs, Georges Placet est venu cette
semaine à Chaumont expliquer en quoi le mouvement lioniste est
plus important que les membres eux-mêmes ne l’imaginent.
G
eorges Placet est directeur international
des Lions Clubs. Il
fait donc partie des 34
membres du Conseil d’administration du mouvement mondial. Et à ce titre,
il préside la commission de
la constitution et des statuts internationaux. Il n’est
pas si courant qu’un Français fasse partie de cette instance. Il se trouve par
ailleurs qu’il est originaire
de la Marne. Il connaît donc
très bien les membres des
clubs de la région. Voilà
pourquoi, mardi dernier, il
a répondu favorablement à
l’invitation du Lions Club
Chaumont-Donjon.
L’occasion était unique
pour les membres des deux
clubs de Chaumont, mais
aussi pour les représentants
de Saint-Dizier, Verdun,
Bar-le-Duc... de se renseigner sur la dimension internationale
du
mouvement.
800 millions de dollars
par an
Dans le monde prospèrent
45 000 Lions Clubs (dont
1200 en France) qui rassemblent 1,3 millions de
membres (dont “seule-
ment” 285 000 en Europe et
30 000 en France). Chacun
de ces 45 000 clubs met en
place à son niveau des actions caritatives qui lui sont
propres. Il les réalise souvent dans sa ville, mais il arrive que des aides locales
partent vers d’autres pays.
Parallèlement, chaque club
verse régulièrement de l’argent à différentes strates de
l’organisation. Un gouverneur qui vient en visite
dans un club ne repart jamais sans un chèque. Et
mardi encore, à la fin de sa
conférence, le directeur international s’est vu remettre, par le président de
Chaumont-Donjon, JeanMarie Viart, un don de
1 500 euros.
La somme des petites
choses locales et des
grandes opérations internationales s’élève finalement à
plus de 800 millions de dollars par an.
Ce sont tous ces chiffres qui
font dire à Georges Placet
que le mouvement lioniste
est la plus grande association caritative du monde.
Il ajoute que l’essentiel du
travail est effectué bénévolement.
Contrairement à beaucoup
d’autres, pour exister et
mettre en place ses actions,
le Lions utilise très peu de
salariés (ils sont 7 en
France). Si bien que, les cotisations assurant l’essentiel du fonctionnement, on
peut dire que près de 100 %
des dons sont affectés au financement direct des actions.
«38 millions
d’aveugles ont
retrouvé la vue»
Au
niveau
national,
Georges Placet rappelle que
les Lions ont créé la structure qui est devenue par la
suite l’AFM. Et aujourd’hui
encore, ils participent très
activement au Téléthon. Ils
gèrent d’ailleurs les dons
par téléphone (au 36 37).
Ils ont aussi créé la première cellule d’hospitalisation de jour pour les
malades d’Alzheimer. Ils
s’occupent aujourd’hui de
150 lieux dans lesquels on
peut laisser un parent, le
temps de vaquer à ses occupations. Actuellement, 120
autres sont en préparations.
Ils ont réalisé la bibliothèque sonore qui met à la
disposition des aveugles
plus de 350 000 livres enregistrés.
Georges Placet, originaire de la Marne, fait partie des 34
membres du conseil d’administration du mouvement
mondial des Lions Clubs.
Ils travaillent pour le don
d’organes avec le Professeur
Christian Cabrol.
Ils ont créé la structure nationale qui permet chaque
année à 2 000 jeunes des
quartiers de partir en vacances...
Enfin, depuis 30 ans, ils envoient régulièrement des
dizaines de containers de
matériel médical vers
l’Afrique.
Au niveau international, les
Lions installent carrément
des hôpitaux dans les pays
défavorisés. Ils interviennent sur les grandes catastrophes... Et puis surtout ils
mènent une vraie croisade
contre la cécité.
S’apercevant en 1990 que
50 à 60 millions d’aveugles
dans le monde pourraient
retrouver la vue s’ils bénéficiaient d’une opération,
les Lions ont lancé un
grand grand projet qui se
concrétise
aujourd’hui.
Georges Placet affirme que
déjà 38 millions de personnes ont été soignées, à
l’issue de deux plans qui ont
coûtés respectivement 175
et 215 millions d’euros. Le
nombre de non-voyants est
désormais stabilisé dans le
monde.
L.T.
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10ACTUALITÉ
«La politique agricole commune
c’est l’affaire de tous !»
La Confédération paysanne milite pour une réorientation de la politique agricole commune avec l’idée de soutenir ceux qui en ont
vraiment besoin...
L
es assemblées générales de la FDSEA et
de la Confédération
paysanne se suivent et ne se
ressemblent pas. A Nogent,
la semaine dernière, la
FDSEA réunissait environ
250 personnes, dont le sénateur et président du
Conseil général, la députée
et le secrétaire général de la
préfecture. A Chaumont,
cette semaine, la Confédération paysanne n’attirait
qu’une trentaine de personnes et aucun élu, à l’exception
de
l’attachée
parlementaire de Charles
Guené, arrivée bien en retard... Pourtant, la Conf’ représente en Haute-Marne
un paysan sur quatre (et un
sur cinq au niveau national).
A la réunion de la FDSEA,
syndicat traditionnellement
classé plutôt à droite, on a
beaucoup critiqué l’actuel
ministre de l’agriculture
Michel Barnier. A celle de la
Confédération paysanne,
plutôt à gauche, c’est tout
juste si on n’a pas regretté
son prochain départ lié aux
élection européennes !
Il faut dire que les deux syndicats n’ont pas la même
approche de la politique
agricole commune (PAC),
qui a été le thème central
de l’assemblée générale de
la Conf’, ce jeudi après-midi
à l’espace-rencontres du
Cavalier.
De 1960
à aujourd’hui...
«La PAC ne concerne pas
que les paysans», a déclaré
d’entrée de jeu le HautMarnais Yves Mouillet.
«Cela a des incidences sur
la qualité des produits et
sur l’environnement. C’est
donc l’affaire de tous. Tous
les citoyens doivent avoir
leur mot à dire».
Yves Mouillet a également
rappelé que le but premier
Plus de 100 000 € d’aides
par an pour 150 exploitations
haut-marnaises...
A
ujourd’hui, environ
70% des aides vont à
30% des
paysans.
Selon Jacques Pasquier, secrétaire national de la
Confédération paysanne, «il
y a un problème de répartition entre les paysans, entre
les filières de production
(certaines n’ont rien) et
entre les régions selon leur
spécialisation dans la production.»
Quand la Marne reçoit 206
millions d’euros d’aides directes par an, les Alpes-Maritimes n’en touchent que
1,5 million.
Pour ce qui est de la HauteMarne, le chiffre atteint tout
de même 90 millions d’euros. Avec également de
grandes disparités. Si la
moyenne nationale de l’at-
tribution par ferme tourne
autour de 22 000 euros, il
existe dans notre département 150 exploitations (sur
2000 demandeurs d’aides)
qui touchent chaque année
plus de
100 000
euros net !
Mais il faut tout de même
savoir que si les producteurs
de céréales ont en moyenne
des revenus élevés, et que si
certaines aides de la PAC
servent parfois à acheter des
biens immobiliers à la montagne ou au bord de la mer
(c’est le secrétaire national
de la Conf’qui le dit), 40%
des paysans ne gagnent
même pas le SMIC. Ce qui
prouve qu’il y a effectivement beaucoup de choses à
revoir dans l’attribution des
aides.
avait été d’assurer l’autosuffisance alimentaire de
l’Europe et de garantir un
revenu aux paysans. «De
1960 à 1992, on a eu des
prix garantis qui incitaient
à produire», a-t-il résumé.
«Mais on a trop produit. Et
il y avait des excédents. En
1992, on a décidé de baisser
les prix, notamment pour
favoriser les exportations.
En contrepartie, on a donné
des aides à l’hectare ou à
l’unité gros bovin (UGB).
En 2003, les aides ont été
partiellement ou totalement découplées, c’est-àdire déconnectées de la
production. On a pris une
référence correspondant
aux années 2001-2002. Et
on a dit que chaque agriculteur toucherait dans l’avenir une moyenne des aides
qu’il avait auparavant, qu’il
produise ou non, avec
quelques
exceptions
concernant par exemple les
vaches allaitantes».
«Les aides devraient
être plus importantes
quand les prix sont
bas et moins
importantes quand les
prix sont élevés»
Aujourd’hui, le «bilan de
santé» de la PAC se traduit
selon la Confédération paysanne par une moindre régulation et davantage de
découplage. Dans certains
cas, notamment en ce qui
concerne les bovins, la production ne couvre plus les
besoins européens. Et surtout elle n’assure pas le
maintien des paysans avec
un revenu décent.
Le manque de réactivité est
également dénoncé. «En
raison de la dérégulation
des marchés, les prix sont
fluctuants. Les aides devraient donc être plus importantes quand les prix
sont bas et moins importantes quand les prix sont
Yves Mouillet et Jacques Pasquier trouvent que les propositions du ministre de l’agriculture Michel Barnier
vont plutôt dans le bon sens.
élevées», fait observer Yves
Mouillet. «Il n’est quand
même pas normal qu’on
verse les aides de la même
manière quand les céréales
sont à 200 euros comme
l’an dernier ou à 100 euros
comme aujourd’hui».
Bref, cette PAC ne convient
pas à la Confération paysanne qui voudrait bien
profiter du «bilan de santé»
pour l’orienter différemment. Et elle trouve donc
que certaines propositions
de Michel Barnier vont plutôt dans le bon sens comme
le fait de vouloir préserver
les filières du mouton et du
lait de montagne, d’accompagner les productions
dites durables, de soutenir
l’herbe et de diminuer la
dépendance protéique de
l’Europe (qui importe aujourd’hui 75% des protéines comme le soja).
«Est-ce qu’on va
continuer en France à
produire des ovins, de
la viande bovine et des
fruits et légumes ?»
«A notre grande surprise, le
ministère est aujourd’hui
attentif à notre proposition
de donner davantage d’aides
aux 50 premiers hectares»,
souligne Jacques Pasquier,
le secrétaire national de la
Confédération paysanne qui
assistait à l’assemblée générale cette semaine.
Reste que, selon Yves
Mouillet, «le contexte politique n’est pas simple : Barnier est sur le départ et
Sarkozy ne laisse pas beaucoup de pouvoir à ses ministres. A la FNSEA, il y a
aujourd’hui un affrontement ouvert entre les céréaliers et les éleveurs. A la
Conf’ aussi, il y a des débats
sur les conséquences qu’il
risque d’y avoir dans
chaque filière. Et les revendications que l’on défend au
niveau national ne sont pas
forcément celles de la
Haute-Marne...»
L’idée qui fait quand même
consensus au sein de la
Confédération paysanne,
c’est de réorienter les aides
de la PAC pour soutenir
ceux qui en ont vraiment
besoin. «Est-ce qu’on va
continuer en France à produire des ovins, de la viande
bovine et des fruits et légumes ?», s’interroge
Jacques Pasquier. «Pour la
Commission européenne,
mieux vaut s’approvisionner là où c’est le moins
cher...»
Voilà un joli sujet de débat
pour la campagne des européennes !
C.P.
ACTUALITE 11
Jean-François Kahn : la visite
d’un conférencier / candidat
Tête de liste Modem aux européennes, l’ancien journaliste donne une
conférence ce vendredi à Chaumont sur le thème de la crise. Histoire
de sortir du champ électoral et d’intéresser le plus grand monde.
Q
u’on se rassure, partant en campagne,
Jean-François Kahn
confie qu’il se pliera bien,
ici et là, à l’exercice des
meetings électoraux. Mais
pour l’instant il se voit plus
dans la peau du conférencier que du candidat traditionnel. En tout cas, il ne
vient pas à Chaumont avec
la simple intention de galvaniser des troupes déjà
convaincues. Son souhait
est de rencontrer le public
le plus large possible.
Voilà pourquoi son intervention de ce vendredi 20
février (à 19 heures, salle du
Patronage Laïque) se fera
sur un thème très précis :
«Pourquoi la crise, des
pistes pour en sortir...».
«J’ai envie de faire œuvre
utile, déclare-t-il. J’ai des
informations à donner. Et à
ceux qui, ne partageant pas
mes idées, viendront les entendre quand même, je
veux dire : «vous n’aurez
pas perdu votre temps».
«Je souhaite surtout apporter des éléments pour enrichir la réflexion de
chacun».
Du journaliste à
l’homme politique
La tête de liste du MoDem
pour les élections européennes dans l’Est de la
France reconnaît quand
même qu’il sera beaucoup
question de l’Europe dans
ses propos. Ne serait-ce
qu’à travers les solutions à
apporter.
Il est difficile pourtant
d’imaginer le journaliste,
fondateur de «L’événement
du jeudi» et co-fondateur
de «Marianne», menant
une campagne électorale.
SPORTS
Volley : pour cause
de Coupe de France
Le prochain match du Chaumont-Volley-Ball 52 HauteMarne se déroulera à domicile
contre le leader de Pro B Ajaccio.
Mais il faudra attendre le samedi
28 février. Il n’y a pas de match
de championnat cette semaine,
pour cause de huitièmes et de
quarts de finale de Coupe de
France.
Le CVB ne joue pas, tout simplement parce qu’il ne s’est pas inscrit à cette compétition (il n’est
pas le seul d’ailleurs) dont il n’approuve pas les modes d’organisation. On se souvient qu’une
année il avait été en conflit avec
la fédération parce que, au mépris du règlement qui prévoyait
un tirage au sort régional, elle
avait voulu envoyer jouer les
Chaumontais à Ajaccio, justement. Ceci étant, le CVB avait
quand même prévu de disputer
un match ce week-end. Mais il
n’a pas réussi à trouver un partenaire disponible pour une rencontre amicale.
Et on ne peut s’empêcher
de lui demander ce qu’il
vient faire dans cette galère.
«Il y a un an et demi, répond-il, lorsque j’ai décidé
de quitter le journalisme,
j’ai trouvé normal de m’engager. Après avoir écrit pendant des dizaines d’années
qu’il fallait dépasser les
deux blocs idéologiques et
construire un nouveau modèle de société, je ne pouvais
pas
ignorer
l’opportunité qui m’était
faite d’avancer mes idées
sur le terrain politique. Et
puis il serait dommage de
ne pas y aller au moment
où les événements vous
donnent raison...».
Jean-François Kahn précise
qu’à la fin de sa conférence
il répondra à toutes les
questions.
Foot : retour sur le
podium
Samedi dernier, le ChaumontFootball-Club est sorti assez aisément vainqueur de sa
confrontation à domicile contre
Besançon.
L’adversaire, qui restait pourtant
sur 7 matchs sans défaite, s’est
incliné à la fin de la première mitemps après avoir pris deux buts
et vu l’un de ses joueurs expulsé
pour deux fautes graves. Du
coup, la deuxième mi-temps
s’est déroulée sur un train de sénateur.
Les Chaumontais doivent quand
même en partie leur net succès
à leur gardien qui a effectué deux
arrêts décisifs en début de
match.
Toujours est-il que le CFC recolle
au peloton de tête. Il figure à
nouveau dans les trois premiers,
à 5 points seulement du leader.
Rappelons que, pour sa première année en CFA2, le club
s’était fixé pour objectif de gagner 10 matchs sur trente. Or, il
en est déjà à 8 sur 15.
Ce samedi, il se déplace à Algrange, dont l’équipe est la plus
mal classée du championnat.
Jean-François Kahn sera à Chaumont ce vendredi 20
février, à 19 heures, à la salle du Patronage-Laïque pour
L.T. parler de la crise et des pistes pour en sortir.
(photo : HANNAH)
En attendant, il s’agit de ne pas
Basket : une drôle de
se désunir.
trêve
Ce mois de «repos» va se traL’équipe fanion de l’ECAC-Bas- duire en fait par une intensificaket, qui évolue au dernier éche- tion des entraînements et la
lon régional, est en repos forcé recherche de nombreux matchs
pour un mois. Sans qu’on sache amicaux.
vraiment pourquoi, une trêve a
été décrétée à peu près aux trois Gymnastique : rêve
quarts du championnat d’excelde Russie
lence.
C’est d’autant plus agaçant qu’à La Chaumontaise n’osait pas
Noël il a fallu se contenter de 15 l’espérer quand elle nous a anjours d’arrêt. A cette époque, les noncé la semaine dernière
Chaumontais, qui ont dû faire qu’elle avait décroché l’organisaface à quelques blessures, au- tion d’un match international. Elle
raient préféré disposer de plus savait simplement qu’à un mois
de temps pour se refaire une des championnats du monde,
santé.
Chaumont accueillerait l’équipe
Après quelques revers, ils se re- olympique féminine de France et
trouvent aujourd’hui 4ème. Ce une des 11 autres meilleures
qui ne les satisfait pas vraiment. équipes nationales du monde.
Les succès des matchs aller ai- Or, le week-end dernier, la Fédédant, ils se sont donné pour ob- ration de gymnastique lui a fait
jectif de finir dans les trois savoir qu’elle avait toutes les
premiers. Il leur reste désormais chances de voir venir la Russie.
6 matchs à disputer. Or, excepté Ainsi, le 12 septembre prochain,
le leader, ils ont déjà rencontré le public chaumontais pourra, sii
les plus grosses équipes. Il de- tout se passe comme prévu, voir
vraient donc pouvoir terminer en évoluer contre la France, une
bonne place pour se positionner, équipe figurant dans le premier
la saison suivante, comme can- carré mondial.
didats à la montée en champion- Il n’en demandait même pas
nat national.
tant !
12 AGENDA
BRIDGE
Soyons modestes !
En octobre dernier ont eu
lieu à Pékin les championnats du monde de bridge
réunissant les meilleurs
joueurs de 140 pays. Différentes épreuves se déroulent, par paires, par équipes
de 4 ou individuelles.
Dans l’épreuve individuelle,
60 concurrents, 36 hommes
et 24 femmes, sont inscrits.
Chaque joueur est associé à
un partenaire différent à
chaque tour.
Pour le 3ème tour, le Français Zaleski en Ouest est as-
EN BREF
Stage d’improvisation
et jeux vocaux rythmiques
Vincent Bardin et Angelika Leiser organisent, en collaboration avec l’association des parents d’élèves de
l’école de musique (APEC) un stage d’improvisation et
de jeux vocaux rythmiques, sur le thème «Faire et laisser faire», le samedi 21 février, de 15 h à 22 h, et le dimanche 22 février, de 9 h à 13 h, dans les locaux du
conservatoire municipal.
Une pause pique-nique, tiré du sac, est prévue pour le
samedi.
Tarifs : 45 euros par personne et 35 euros pour les
adhérents de l’APEC. Inscription limitée à 20 participants. Renseignements au 06 79 87 73 52.
Vincent Freppel sur RCF
Vincent Freppel, producteur de «L’orgue en Champagne-Ardenne» sur les ondes de RCF consacrera sa
prochaine émission, le jeudi 26 février à 19 h 10, au
compositeur aubois Mauriice Faillenot. Les auditeurs
pourront écouter lors de cette émission Joseph Maës,
9 ans, jeune élève méritant de la classe d’orgue du
conservatoire de Chaumont. Cette émission sera rediffusée le samedi 28 février à 17 h 30.
Ligue des droits de l’homme
La Ligue des droits de l’homme tiendra une réunion le
mardi 24 février à 17 h à la salle du Patronage-Laïque.
A l’ordre du jour : compte-rendu de la conférencedébat sur l’abolition universelle de la peine de mort ;
où en sont les immigrés et demandeurs d’asile ? Inquiétudes et problèmes matériels ; la crise économique
et le cas particulier des DOM-TOM ; projet d’actions
pour condamner la violence meurtrière qu’a subie la
population de Gaza. Les sympathisants sont invités.
ETAT CIVIL
NAISSANCES
07.02. Saba, de Samir Rebouh;, adjoint technique, et
de Virginie Caput, adjoint
administratif.
11.02. Kévin Mickaël Samuel, de Mickaël Nicolas,
maçon, et de Magali Garnier, aide-soignante.
12.02. Lucas Joël JeanClaude, de Samuel Wouters,
ouvrier, et de Hélène
Munos, infirmière libérale.
12.02. Maria Anne, de Raphaël Thierry, soudeur, et
de Audrey Gallon, professeur des écoles.
12.02. Jules, de Julien La-
montre, monteur en charpentes, et de Fabienne Audinot, sans profession.
13.02. Marceau
Claude
Francis, de Stéphane JeanBaptiste, ingénieur, et de
Géraldine Steib, enseignante.
13.02. Lisa Julia, de Linda
Vergnon, sans profession.
14.02. Elliott
Sébastien
Marin, de Sébastien Frappart, officier, et de Marine
Meheut, clerc de notaire.
15.02. Lenny Nicolas Rémi,
de Damien Larivière, couvreur, et de Marie Thierry,
sans profession.
socié à l’américain Bob
Hammam, l’un des meilleurs joueurs du monde.
Ouest donneur et EO vulnérables. Zaleski ouvre d’1
Trèfle et Nord (Jassem) intervient à 1 Pique. Cette intervention dans quatre
cartes est normale avec
cette teneur. Hammam et
Sud passent, Ouest renchérit à 1 SA. Nord et Est Passent. Sud, profitant de la
vulnérabilité favorable, annonce 2 Carreaux, c’est le
contrat définitif.
Zaleski entame de l’As de
Trèfle sur lequel Hammam
met le 10. Dès lors il semble
que la chute du contrat est
inévitable avec le Roi de
Trèfle, la coupe à Trèfle
d’Est et sa contre attaque
Cœur pour l’As et la Dame
et encore l’As de Carreau ce
qui fait déjà 6 plis et il restera la Dame de Carreau en
Est.
En réalité le français, craignant l’affranchissement
des Trèfles du mort, joue le
7 de Pique à la deuxième
levée. En main au mort le
déclarant joue Carreau vers
son Valet pour l’As d’Ouest
qui continue Pique. Sud
prend au mort et continue
Carreau pour son 10 puis
tire le Roi d’atout. Il joue
ensuite Trèfle de sa main
qu’Ouest laisse passer permettant au déclarant d’être
au mort et de défausser son
dernier Trèfle sur un Pique
maître !
Le déclarant joue alors Trèfle du mort qu’il coupe du 3
de Carreau et joue le Roi de
Cœur. Ouest prend de l’As
et est contraint d’encaisser
sa Dame. S’il rejoue Cœur
Sud fera son Valet et s’il rejoue Pique Sud fera son 8
d’atout et dans les deux cas
réussira son contrat !
Vous voyez que même au
niveau international tout le
monde peut se tromper ou
prendre une mauvaise décision ; alors soyons modestes
et n’accablons pas nos partenaires pour ne pas avoir
joué la bonne carte !
Résultats du tournoi du
mercredi 18 février :
1 NS M. Chatelain - G. Vigneron.
2 NS J. Chatelain - J. Corréani.
1 EO JP. Bailly - J. Lannes
2 EO B. Perrin M. Schneider.
Pour tout contact :
[email protected]
ECHECS
Un leader qui rassure
Il n’a manqué aucun match, il a gagné trois
parties, concédé deux parties nulles, mais
aucune défaite, il s’est imposé au premier
échiquier comme le leader de l’équipe première de Chess 2000. C’est Franck Rapinel.
Lors de sa dernière sortie en date, il a infligé une correction sévère à l’ardennais
Szylar. Dans la position que je vous propose, le plus dur est fait. Mais faut-il retirer
le cavalier attaqué, ou y a-t-il un meilleur
coup ?
Amis de Chess 2000, enfants de Chaumont,
pendant les vacances d’hiver Chess 2000 est
présent tous les après-midi de semaine,
dans le cadre de macadam quartier, aux
gymnases Lionel Meunier (ex-Issartel) les
lundis, mercredis et vendredis, Haut du Val
les mardis, et La Rochotte les jeudis. Notre
animateur sera Jeremy. N’oubliez pas la
troisième
ronde
du
tournoi interne, ce sa-
Diagramme 372 : les blancs jouent le
meilleur coup - Rapinel,Franck (2114) Szylar,Eric (2078)
Chaumont/La Tour du Roi, 08.02.2009
medi 21 février, le club est ouvert normalement.
Olivier ADDA
Solution du diagramme 371
Da Costa, Mathieu (1670) - Djemouai,Medhi (1510)
Chaumont / La Tour du Roi , 08.02.2009
36.Cxd6 exploite le clouage du pion e7 pour gagner une
qualité. 36…exd6 37.Txe8 les noirs sont perdus et abandonnèrent au 44ème coup.
Tél : 03.25.30.01.01
Fax : 03.25.30.01.02
Email : [email protected]
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BP 2111
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A
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AVANT INVE
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automobiles
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Filtration
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● Echappement
● Freinage
● Embrayage
● Alternateur
● Démarreur
BOTTES
.
.
.
S
E
R
U
S
S
CHAU
● Allumage
● Batteries
● Courroies
Equipement
et outillage
Produits
d’entretien
Accessoires
● Attelage
● Autoradio
Lubrifiant
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DIRECTEUR/DIRECTRICE D’UN ETABLISSEMENT
PETITE ENFANCE H/F
Andelot-Blancheville. Direction d’un établissement petite enfance accueillant des enfants de 10 semaines à 6 ans (10
places sur 2 sites). Vous animez la structure, encadrez le personnel et gérez l’établissement. Diplômes requis : puériculteur, éducateur ou assistant de service social avec expérience.
CDI de 35 heures hebdomadaires. Salaire mensuel de 1500€
net.
OE N° 624989H
HOTESSE TELEMERCATIQUE (TELEMARKETING) H/F
Chaumont. Vous assurez la prise de rendez-vous par téléphone à partir de différents fichiers. Accueil de prospect pendant des opérations commerciales. Vous avez une bonne
élocution et une bonne présentation. Vous devrez également
effectuer des prospections en grandes surfaces. Permis B
exigé. Déplacements à prévoir en région. Expérience exigée
de 1 à 2 ans en téléprospection. CDI de 30 heures hebdomadaires. Salaire horaire de 8,71€ + prime + frais kilométrique.
OE N° 626501H
CHEF D’ENTREPRISE H/F
Chaumont. Entreprise de réparation automobile cherche repreneur. Possibilité de développer l’activité. Le prix de vente
comprend le fonds, le matériel et le stock. CAP, BEP Mécanique Auto exigé. Expérience souhaitée de 2 ans. Prix d’achat
de 60000€.
OE N° 623948H
Solution du n° précédent
service urgences
“Notre métier n’est ni de faire plaisir, ni de faire du tort. Il
est de porter la plume dans la plaie.” Albert Londres
SARL l’Affranchi au capital de 7622,45 €
RC B 395 047 848
25, rue Croix-Percée - 52 000 Chaumont
tél : 03 25 01 59 35 - fax : 03 25 01 59 36
Principaux associés : Lionel Thomassin,
Christophe Poirson et Bertrand Puysségur.
Directeur de publication : Lionel Thomassin
Publicité : Valérie Baira tél. 03 25 01 59 35.
Commission paritaire : 0910 C 87102
Dépôt légal : 255
Imprimerie : Imprimerie du Petit-Cloître
Z.A. de Sabinus 52200 LANGRES
44 bis, av de la république CHAUMONT
Pharmacies de garde
- samedi 21 et dimanche 22 février :
pharmacie TROYON
place Aristide-Briand....................tél. 03 25 03 54 86
- lundi 23 février : pharmacie GOUBET
place de l’hôtel de ville.................tél. 03 25 32 19 90
- mardi 24 février : pharmacie JACTEL
rue Victoire-de-la-Marne..............tél. 03 25 35 05 05
- mercredi 25 février : pharmacie JEAUGEY
rue Victoire-de-la-Marne..............tél. 03 25 03 00 41
- jeudi 26 février : pharmacie SCHNEIDER
Géant Casino ................................tél. 03 25 03 88 91
- vendredi 27 février : pharmacie LAROCHE
avenue de la République ..............tél. 03 25 03 02 90
Dentiste de garde ........................tél. 03 25 02 97 64
Médecin de garde ........................... faire le 15
Infirmière de garde (les 21 et 22 février)
Mme FEVRE ..................................tél. 03 25 32 50 06
SIDA - DROGUE
24 heures sur 24
L’Escale 34, rue Félix-Bablon.........tél. 03 25 02 82 82
AGENDA 15
divers
spectacles.
expos
cinéma
Réunion politique
avec Jean-François
Kahn
Théâtre à Langres
A la Chapelle
des Jésuites
Le code a changé (sortie nationale)
Jean-François Kahn, ancien
journaliste et tête de liste
aux européennes pour le
Modem dans la région du
Grand-Est, animera une
réunion publique sur le
thème «Pourquoi la crise,
des pistes pour en sortir» le
vendredi 20 février à 19 h à
la salle du PatronageLaïque. Entrée libre.
Concours de belote
à Euffigneix
Le foyer rural d’Euffigneix
organise un concours de
belote le vendredi 20 février
à la salle des fêtes d’Euffigneix.
Inscription sur place à partir de 20 h. Lot pour chaque
participant. Buffet. Buvette.
Piscine fermée
En raison de la vidange annuelle, la piscine Gagarine
sera fermée au public du
lundi 23 février au dimanche 1er mars inclus.
Rugby
L’ECAC rencontre Châtillon-en-Bazois le dimanche 22 février à 15
heures au stade DanielLouis.
«Les Français Libres» par
la cie des 3 Jumeaux les
vendredi 20 et samedi 21
février à 20 h 30 au théâtre
municipal Michel-Humbert, à Langres.
Tarif unique : 10 euros.
Musique & danse
folk à La Niche
Bal folk animé par le trio
Guerbigny, avec le groupe
Yapadchaf et les musiciens
de Dulcimer le samedi 21
février à partir de 21 h à la
Niche du Chien à plumes
(écluse de Dommarien).
Entrée : 8, 6 et 4 euros.
Gratuit pour les moins de
12 ans.
Classique au Conseil
général
Concert de l’orchestre départemental le dimanche
22 février à 16 heures au
Conseil général, salle Niederberger (entrée par la rue
du capitaine Tassard). Avec,
en première partie, l’orchestre de l’école de musique de Montier-en-Der.
Entrée libre sur réservation
au 03 25 02 79 52.
7e biennale des artistes
haut-marnais (peinture,
sculpture, photographie) à
à la Chapelle des Jésuites,
rue Victoire-de-la-Marne,
tous les jours sauf le mardi
de 15 h à 19 heures,
jusqu’au 22 février inclus.
Aux Silos
- au rez-de-chaussée : expo
consacrée au graphiste finlandais Kari Piippo ;
- à l’étage : "Plaisirs
d'amour", en partenariat
avec la Déléguée départementale aux Droits des
Femmes et à l’Egalité et le
Centre d’information sur le
droit des femmes et des familles de Haute-Marne.
A la Maison
des Carmélites
La section locale de la
Ligue des droits de
l’homme se réunira mardi
24 février à partir de
17 heures à la salle du
Patronage-Laïque.
Croqu’albums
aux Silos
Lecture d’albums aux Silos
pour les enfants de 2 à 6
ans le mercredi 25 février à
16 h 30, en section jeunesse. Au programme : «Les Les Silos organisent une
rusés» avec Sandrine.
«Heure de musique» avec
Fred Chapellier et Tom
Principato le vendredi 27
AG du festival de
l’affiche
février à 18 h en section
L’association du festival in- audiovisuel. Entrée libre.
ternational de l’affiche et du
graphisme de Chaumont
Soirée sound
system
tiendra une assemblée générale le vendredi 27 féLa Niche du Chien à
vrier, à 12 heures, à l’hôtel
plumes (écluse de Dommade ville, salle du conseil
rien) organise une soirée
municipal.
sound system le samedi 28
février, à partir de 21 h,
avec Bhale Bacce Crew et
Volley
Nico Faya.
Le CVB 52 HM (Pro B)
Entrée : 5 euros en préreçoir Ajaccio le samedi 28
février à 20 heures à la salle vente (+ frais) ou 8 euros
sur place..
Jean-Masson.
L’étrange histoire de Benjamin Button
Durée : 2 h 55. Un film de David Fincher avec Brad Pitt,
Cate Blanchett.
"Curieux destin que le mien..." Ainsi commence l'étrange
histoire de Benjamin Button, cet homme qui naquit à 80
ans et vécut sa vie à l'envers, sans pouvoir arrêter le
cours du temps.
VOX Samedi : 16 h ; dimanche : 20 h 30 ; mardi : 16 h.
Volt, star malgré lui
Blues aux Silos
Ligue des droits
de l’homme
Durée : 1 h 50. Un film de Danièle Thompson avec Karin
Viard, Patrick Bruel, Dany Boon, etc.
Un dîner, c'est la dictature de l'apparence : on se fait
beau, on rit, on raconte, on frime, on partage souvenirs
et projets. Les angoisses sont cachées sous l'humour et
les chagrins étouffés par les éclats de rire. Pour quelques
heures on y croit...
VOX Vendredi : 20 h 30 ; samedi : 20 h ; dimanche :
16 h ; lundi : 18 h ; mardi : 20 h 30.
Exposition de masques vénitiens créés par Sophie
Vanhaecke et de bijoux sur
le même thème de Maria
Notet les 21 et 22 février et
28 février et 1er mars, de
14 h à 19 h, à la Maison des
Carmélites, 83 rue Victoire-de-la-Marne.
A Saint-Dizier
«Nos ancêtres les barbares,
voyage autour de trois
tombes de chefs francs»,
à St-Dizier, Espace Claudel.
Durée : 1 h 40. Un film d’animation Disney avec les voix
de Richard Anconina, Gilles Lellouche.
Bolt, un chien star des plateaux de télévision à Hollywood, est envoyé accidentellement à New York où sa rencontre avec un chat et un hamster va lui faire prendre
conscience des réalités de la vie.
VOX Samedi : 14 h ; dimanche : 14 h ; lundi : 16 h ; mardi
: 14 h.
Le séminaire
Durée : 1 h 45. Un film de Charles Nemes avec Bruno
Solo, Yvan Le Bolloc'h.
Toute l'équipe de la Geugène Electro Stim part en séminaire...
VOX Samedi : 22 h ; dimanche : 18 h ; lundi : 14 h et
20 h 30.
AUCUN FILM AU CINÉMA EDEN CETTE SEMAINE.
DVO
Nombreux
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disponibles
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et Kangoo
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de 4500 €
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EN BREF
Venise à la Maison des Carmélites
Deux pointures
du blues aux Silos
Exposition de masques vénitiens créés par Sophie
Vanhaecke et de bijoux sur le même thème de Maria
Notet les 21 et 22 février et 28 février et 1er mars, de
14 h à 19 h, à la Maison des Carmélites, 83 rue Victoire-de-la-Marne.
Cette exposition annonce la semaine de préparation du
carnaval à la Maison des Carmélites, qui organise un
défilé dans les rues de chaumont les 28 février et 1er
mars à 16 h.
Un atelier de couture du 23 au 27 février accueillera les
couturières désirant se confectionner un costume presans le cadre de
tigieux sur le thème de la renaissance (époque de la
«L’heure de mumaison), ou se faire faire leur costume par les costusique», un concert de
mières présentes.
blues aura lieu aux Silos le
Renseignements au 06 08 25 52 18.
vendredi 27 février, à 18
heures, avec Fred ChapelSur les chemins de Compostelle
lier et Tom Principato.
L’association intervillages Foulain-Luzy-Verbiesles Tom Principato est consi«Rives de Garenne» organise une «soirée voyage» ce déré comme un des maîtres
vendredi 20 février à 20 h 45 à la salle des fêtes de américains de la guitare
Luzy. Marie Thérèse Bprsuck fera le récit de sa longue électrique bluesy. Il a créé
marche sur les chemins de Compostelle (versant es- un son très personnel et le
pagnol). Récit, diaporama, échanges avec la confé- moindre de ses soli est
rencière, pâtisseries et pot de l’amitié. Entrée gratuite. pensé et construit avec soin.
Il a reçu au cours de la carrière pas moins de 22 WamBal folk à la Niche
mies Awards...
Fred Chapellier, qui vit à
Châlons-en-Champagne,
est considéré comme l’un
des plus brillants guitaristes
de blues français, élu en
2004 «guitariste électrique
de l’année» et «Nouvel artiste» aux Trophées France
Blues.
L’association Dulcimer organise pour son 30e anniver- Son prochain album, enresaire un grand bal folk avec le Trio Guerbigny le sa- gistré avec Billy Price, doit
medi 22 février à 21 heures à la Niche du Chien à sortir le 12 mars 2009.
Plumes (écluse de Dommarien).
Devenus amis, Tom PrinciLe Trio Guerbigny est composé Benoît Guerbigny (ac- pato et Fred Chapellier
cordéon), Gabriel Lenoir (violon) et Aurélien Tanghe avaient envie de se réunir
(guitare). Tarifs : 4 euros et 8 euros.
pour quelques dates, uni-
Fred Chapellier et Tom Principato donneront un concert de blues le vendredi
27 février, à 18 heures, aux Silos.
D
quement pour le plaisir de
jouer ce qu’ils savent faire
de mieux : le blues...
D’autres concerts sont
d’ores et déjà programmés
aux Silos, toujours dans le
cadre de «L’heure de musique» : Alain Sourigues
(chanson) le vendredi 27
mars ; Thierry Brisach
(conférence musicale sur
l’histoire de la guitare) le
vendredi 24 avril ; Don’t
Shoot The Pianist (rockelectro-vidéo) le vendredi
29 mai ; et Trio Odeska
(musique tzigane) le vendredi 26 juin.
Tous ces concerts sont gratuits.
Auto Moto Ecole
du Champ de Mars
REEVES PHILIP
formateurs
Code CD Rom et traditionnel
Permanence tous les jours de 17 h 00 à 18 h 00
le mercredi et le samedi de 15 h à 18 h
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Conduite accompagnée
Permis B
MOTO BSR - Permis A et AL
Avancez avec nous
N° Siret : 343 498 846 00025 Agrément : 1705200410
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