I< © Amiga et Motorola sont-ils vraiment derrière la technolog

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I< © Amiga et Motorola sont-ils vraiment derrière la technolog
Offerts : deux logiciels de 30 et un kit de développement !
I<
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J u ille t / a o û t 1 9 9 8 - n °5 3
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Amiga et Motorola sont-ils vraiment
derrière la technologie dufutur ?
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S o m m a i r e
Dream
N°
53
E d i t o
En quelques mois à peine, la
presse informatique grand
public a concrétisé l'incroyable
pari de transformer son
impressionnant fardeau
technologique en une
campagne électorale populiste,
prompte à fédérer les âmes les
plus hétéroclites. La méthode a
été appliquée avec une
admirable rigueur ; on ne
véhicule plus que des messages
de base, compatibles avec
toutes les cultures : "c'est quoi,
en vrai, Internet ? Pourquoi le
jeu de mon pote me met une
taule à chaque fois...". Comme
ça, on est sûr que tout le
monde demeure capable d'y
adhérer. Bien entendu, on perd
en passant une bonne partie de
son identité. Celle du lecteur,
évidemment, pas celle des
magazines qui ratissent large
quant à leur lectorat. Après
quinze ans d'informatique
grand public, la plupart des
utilisateurs de micros
s'accordent à dire qu'ils ont
tout de même compris les
concepts de base. Et certains
aimeraient d'ailleurs aller un
peu plus loin. Mais la nouvelle
politique éditoriale du marché
consiste à donner un point de
départ générique et non
d 'accompagner chacun dans
une escapade technologique.
La technologie, c'est comme le
sport, cela demande de l'effort.
Et celui-ci se révèle dangereux
pour les ventes : on pourrait
perdre des fatigués en chemin.
Cela ne vous rappelle rien ?
Après la micro alternative, y
aurait-il aussi une presse
alternative ? S'il en va ainsi,
vous lisez en ce moment l'un de
ses dignes représentants !
# 4 .CD-Rom
e n fa n t p ro d ig u e . U n e m ise au p o in t
Linux p o u r P ow e rM a c, la totale : dis­
s'im p o sa it donc.
t r ib u t io n s M k L in u x et R e d h at. U n e
d é m o e xclu sive d u lo gicie l de c ré a ­
Labo
tion 3D, T o rn a d o 3 D et tous les jeux,
34. W in e
d é m o s , u t ilit a ir e s d u m o is p o u r
36. Falcon Se u le m e n t
A m iga, Linux, Atari,
37. M a t h X
38. E n lig h tm e n t
# 6 . Courant altern atif
40. M o o n lig h t C re a to r
41. M sr/ R isc P C B
42. Im a g e M a g ic
44. P m iN e w s
45. Jinnee
46. Lin u x C o n f
47. Sfs/Xfs
0 Découverte
48. P G P
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C itrix p ré se n te l'o r d in a t e u r u n iv e r­
sel. A m ig a est-il derrière la te c h n o lo ­
0 En Pratique
g ie P r o j e c t - X ? La d é f e r la n t e d e s
50. Le W o rk p la c e Shell d 'O S / 2
p u c e s 3 D . Les ra y o n s c o sm iq u e s
52. Le jAE d 'A c o rn sur RiscPC
a t t a q u e n t les b a r r e t t e s m é m o ir e .
54. C o n fig u re r Kde
C e nte k q u a n d à lui, m et su r le m a r­
55. Installer un e P o w e rU p
ché un e n ou ve lle carte accélératrice
56. Les m o d u le s In u x
d o u b lé e d 'u n O S m ultitâche...
0 A pprofondir
# 24 . Dossier
58. Les scripts Shell
java, au cœ u r de l'in fo rm a t iq u e de
60. Les re ssou rc es de X
d e m a in ?
62. Linux, se rve u r p o u r W in d o w s
S y stè m e s e m b a rq u é s ou d istrib u é s,
64. L 'A m ig a d a n s un réseau local
in d é p e n d a n c e m atérielle et logicielle, l 'in f o r m a t iq u e d e d e m a in se ra
0 Program m ation
Java o u ne sera pas. V oilà en to u t cas
66. O bjet
ce q u e so u h a ite Sun, q u i n 'a cessé
68. Perl
d e p u is n o t re p ré c é d e n t d o s s ie r de
70. C
m u ltip lie r les a m é lio ra tio n s de so n
72. Java
74. A sse m b le u r
cro c^ c ?> o c?'< r< g s
^
-a*
0 Zone libre
76. M ic r o s to ry O ric
78. C o u rrie r
81. Petites a n n o n c e s
Abonnement P.75
Dream's bootik P.82
Am api
A
près le triom p he de Linux
dans le film Titanic, vo ici
le r e t o u r d u p in g o u in
dans le m onde de la 3D . Am api est
L'heure est à la
un lo g icie l d é so rm ais c é lè b re et
création 3D, on ne
fo rt a p p ré c ié so u s W indow s. Si
cesse de vous le
Am api pour Linux a quelques ver­
sions de retard sur son hom onym e
répéter. Les journaux,
Windows, il n'en reste pas m oins
la radio et la
un m u s t in c o n t o u r n a b le . V o u s
, , ,
, „ ,
, .,
f . .
P o ur lo m d re le du ctile a I aqreable.
télévision nous
re tro u ve rez d o n c ce qui a fait le
succès de ce lo g icie l, à savo ir en p a rticu lier sa g ran d e accessib ilité et son ergonom ie
rabattent les oreilles
accrue. Si vous êtes nouveau dans le m onde de la 3D , ne ratez pas l'initiation à Amapi dans
avec des effets
le Studio Multimedia.
spéciaux en veux-tu,
en voilà. Comme vous
vous en doutez, Linux
n 'a lla it pas rater le
coche et nous vous
offrons ce mois-ci la
dernière mouture
d'Am api pour Linux
en version complète
Q u asim en t id en tiq u e à son hom onym e sous W indow s.
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et un outsider de
dernière minute :
M oonlight Creator.
M oonlight C reator
oonlight Creator ne constitue pas un sim ple m odeleur qui se com porterait finale­
m ent com m e un frontend graphique à POV. En effet, s'il s'avère tout à fait pos­
sible d 'exp o rter ses oeuvres au form at POV, M oonlight perm et en outre de réali­
ser e n tiè re m en t une oeuvre sous Linux, en
a lla n t ju s q u 'a u re n d u fin a l.
M oonlight Creator a pour princ ip a l a v a n ta g e d 'ê t r e fre e
softw are, donc gratuit. Bien
sûr, cela ne l'em p êch e pas
de p ro p o se r les fo n c tio n s
é v o lu é e s q u e l'o n p e u t
a tte n d re lé g itim e m e n t
d 'u n tel lo g icie l, et ce
t o u t en
r a p id e
d e m e u ra n t
et
s im p le .
R etro u vez un test de
M o o n lig h t
dans
m êm e num éro.
ce
Alpha à PARIS!!!
Kit Alpha
Boîtier Middle Tour ATX
Carte mère Samsung Alpha 164LX
64Mo DIMM
Processeur Alpha 21164 533MHz
Gim p
nfin ! Depuis le tem ps qu'on l'attendait, Gimp a fini par sortir
E
Alpha 164LX SCSI
en version 1.0. O n ne notera pas d 'a m é lio ra tio n m ajeure,
mais plutôt quelques corrections de bugs. Par ailleurs, le GUM
(G im p User M anual) réside égalem ent, sur le C D , dans sa version
1.0. Le GUM se trouve disponible au form at Htm l pour une consul­
tation en ligne facilitée ou au form at PostScript, en vue d'une quali­
té d'im pression opti­
m ale. Il s'agit en fait
d'un tutoriel. Notons
é g a le m e n t q u e la
société W ilberW orks
( h ttp ://w w w .w ilb e rw o r k s .c o m )
com ­
m e rc ia lis e d e s C D Rom s de G im p 1.0,
a in s i q u e d e s v e r ­
sions papier (en co u ­
leurs) du GUM.
W ilber, la m asco tte de Gim p.
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Boîtier Middle Tour ATX
Moniteur 17" Monyka
Clavier 105 Touches PS/2
Lecteur 3 1/2 Sony
Souris Logitech Pilot Plus
Carte mère Samsung Alpha 164LX
Processeur Alpha 21164 533MHz
Carte vidéo Matrox Millenium II 8Mo
Contrôleur UW SCSI Adaptec
CD-Rom Pioneer 32X SCSI
Soundblaster Vibra 16
Enceintes 80W
Red Hat Linux 5.2 installé
P r ix T T C
2 D is q u e s V ik in g 2,1 G o
2 D is q u e s A t la s II 4 ,5 G o
2 D is q u e s A t la s II 9,1 G o
Répertoire Linux
64M o
27.190
31.290
37.390
128M o
28.900
33.000
39.100
256M o
32.790
36.650
42.750
Alpha 164LX IDE
R e tro u v e z le n o y a u 2 .1 .1 0 5 , d e s ic ô n e s p o u r A fte rS te p et
Boitier Middle Tour ATX
Moniteur 15” Monyka
Clavier 105 Touches PS/2
Lecteur 3’ 1/2 Sony
Souris Logitech Pilot Plus
Carte mère Samsung Alpha 164LX
Processeur Alpha 21164 533MHz
Carte vidéo S3 Virge 4Mo
CD-Rom Pioneer 32X Atapi
Soundblaster Vibra 16
Enceintes 80W
Red Hat Linux 5.2 installé
WindowMaker, ainsi que Gnome 0.20. Les p ro g ram m eurs sous X
apprécieront la dernière m outure de lesstif. Enfin, sont égalem ent
présents les erratas pour la distribution RedHat.
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R ép erto ire A m iga
Afin de vous aider à faire vos prem iers pas en assem bleur A m iga, le
C D -Rom du m ois c o n tie n t to u t ce qui se révèle n éc essa ire en
matière d'assem bleurs et de débogueurs. Des tonnes d'outils pour
custom iser votre Workbench à outrance, et bien sûr les utilitaires
indispensables à la navigation sur l'Internet, se tiennent à votre dis­
position.
Rép ertoire BeOS
Les pilotes pour l'im p rim ante StylusColor et pour cartes Ethernet,
ainsi que le kit com plet de développem ent G N U , vous perm ettront
de faire preuve de productivité, sous votre OS préféré. Après l'ef­
fort, le réconfort : vous pouvez enfin jouer à Pacman sous BeOS.
R épertoire RiscOS
Les labos du mois ( RiscPCB et MSR) sont bien évidem m ent au ren­
dez-vous. D éco u vrez les joies de l'In te rn e t sous RiscOS grâce à
l'Acornet. Dans le but d'accom pag ner le dossier, des tonnes d'o u­
tils pour java escortent la dernière version de LaTeX pour RiscOS et
la démo com m erciale du célèbre Ovation Pro.
R épertoire OS/2
M ettez votre systèm e à jo ur grâce au fix pack pour OS/2 Warp.
L'Internet occupe la place d'ho nneur ce m ois-ci, puisque vous trou­
verez, outre de nom breux clients m ail, le plugin perm ettant de visi­
ter des environnem ents en VRM L sous Netscape.
Répertoire A tari
Retrouvez Mathari, le logiciel phare pour faire des m aths sur Atari,
sans investir dans un coûteux M aple. Ne m anq uez pas non plus
DfBoot, pour avoir plusieurs configurations de dém arrage.
P r ix T T C
2,1 G o
3 ,2 G o
4 ,3 G o
6 ,4 G o
8 ,4 G o
64 M o
18.850
19.000
19.190
19.900
20.500
128M o
20.450
20.600
20.790
21.300
22.100
256M o
23.850
24.000
24.190
24.690
25.500
Autres configurations (Windows NT, PC standard à base
d’Intel, Ultra2 SCSI, Cartes OpenGL Accel ou Dynamic
Pictures, écrans liyama, etc ): nous consulter!
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75013 PARIS
Tél : 01 43 37 93 33 Fax : 01 43 37 9 3 37
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Réseaux
C itrix : un In tra n e t co m p réh en sib le
p a r to u s et trè s peu o n éreu x
Les réseaux locaux et les Intranet se démocratisent, mais les structures matérielles ne sont pas
encore à la hauteur du grand public. Heureusement, la société Citrix arrive avec une solution
révolutionnaire.
m anière. La seconde, baptisée M ultiW in, incarne une extension
multi-utilisateurs de Windows N T Server. Elle permet à plusieurs utili­
sateurs d'ouvrir séparém ent et sim ultaném ent des sessions Windows
sur le serveur et d'y faire tourner des applications. Le système du
serveur, Windows Terminal Server, surcouche de Windows NT, a été
optim isé de telle sorte qu'un sim ple Pc monoprocessseur Pentium
Pro a les moyens d'assurer vingt-cinq connexions simultanées, sans
que les perform ances ne deviennent médiocres.
W indow s NT sans ém ulation
Le résultat se m ontre tout bonnem ent incroyable : sous son envi­
ronnem ent de travail habituel, que l'on se trouve sous MacOS, Unix
ou n'im porte quel autre système, il suffit de lancer l'application ICA
pour voir son écran rem placé par un environnem ent Windows com ­
plet : menu Dém arrer et icône Poste de travail inclus ! Ensuite, tout
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se passe com m e sur toute m achine Windows : double-cliquer sur
l'icône Word, par exem ple, octroie le privilège de dém arrer le traite­
m ent de texte et de l'utiliser librem ent, de manière com plètem ent
transparente, com m e si on évoluait sur un véritable Pc. Et il en va
I
de m êm e pour n'im porte quelle application, y com pris les jeux en
m ode fenêtré ! En réalité, les applications s'exécutent sur le serveur
et les seules informations qui transitent entre le client et le serveur
Le NC d 'A co rn .
P
pendant longtem ps, le réseau d'entreprise se com posait
d'un serveur Unix et de term inaux X légers, mais le déve­
lo p p em ent des ap p licatio n s Windows a attein t un tel
stade que, p o u r b eau co u p , elles sont deven u es in c o n to u r­
m / m u ,
«flHOOOT
s m
vu
sont les clics de souris, les frappes clavier
e t l'a c t u a lis a t io n de l'é c r a n . C e peu
d 'é c h a n g e s ne n éc essite d o n c q u 'u n e
nables. De fait, la solution Windows N T a su s'im poser peu à
peu, car elle perm et de fo urnir au x utilisateurs leurs applica­
tions Windows hab ituelles. Revers de la m édaille, les postes
clients d 'un réseau sous Windows N T d em eu ren t nécessaire­
m ent des Pc, à savoir du matériel dont l'entretien reste coûteux et la
co n n e x io n à 1 4 ,4
mise en oeuvre difficile. Standard ou pratique, il faut choisir.
Kb p s d e m e u ra n t
Un réseau hétérogène qui m arche
su ffisan te p o ur un
Partie pour révolutionner cette situation com plexe, la société Citrix
f o n c t io n n e m e n t
vient présenter une solution dite de "client-fin/serveur" étonnante :
c o rre c t. O n l'a u ra
elle donne la possibilité de partager, en un clin d'œ il pour l'installa­
c o m p r is
tion, tous types de ressources entre des m achines totalem ent hété­
peut exécuter ses appli­
: o u i, on
rogènes. Concrètem ent, n'im porte quel poste client s'avère capable
cations à distance, via un
d'exécuter n'im porte quelle application Windows et, ce, à travers
sim ple m odem , sans pour
tout type de connexion réseau. Cela se révèle réalisable grâce à
autant subir un quelconque
d e u x te c h n o lo g ie s. La p re m iè re , n o m m é e IC A (In d e p e n d e n t
ralentissem ent. Cette solu­
Com puting Architecture) se com porte com m e un "client-fin" par­
tion client-fin/serveur
fait, à savoir une sorte de m achine virtuelle sur toutes sortes de
de C it r ix s 'a v è re
plates-formes (Mac, Unix, RiscOS, JavaOS, OS/2 et bientôt AmigaOS).
dores et déjà d is­
Le choix des postes peut donc enfin s'effectuer en fonction de leurs
p o n ib le
prix p uisque, quels q u 'ils so ient, ils réag iro nt tous de la m êm e
nom de Winframe.
so u s
le
faible bande pas­
s a n te ,
u ne
s im p le
J " Boc*JM*i
4 LoMÉon |**C
_J R adw cto _J c « v < r g J
• 50 m illia rd s de d o lla rs !
Unefois encore, B ill Gates arrive
en tête du classement mondial des
plus grosses fortunes, dépassant la
barre des 50 milliards de dollars.
E n à peine douze mois, sa fortune
personnelle a grossi de 15 milliards
de dollars, atteignant ainsi la
bagatelle de 51 milliards de
dollars. E n excluant du classement
chefs d'Etats et autres souverains,
la famille Walton et Warren Buffer
arrivent en deuxième et troisième
place avec respectivement 48 et 33
milliards de dollars. Le cofondateur de Microsoft, Paul Allen,
arrive péniblement quatrième avec
ou
H *M l
ur PCIEAM U. NEWSCQM Ujj |
Thht-('.lient'Sen-er ( '.omputing
MS Excal
►
£M8tlkfct
Se* W inf r*ma® 1 7 al wotfcl h» tha xundo» balow you can lun an actual
WxwJows® appfacalion o# ou» swv*t m Fl Laudardate Ftond* Saa aelowfct
mfcxmalion on tha C*n« ICA Wab Chant
Excel B d Wrkome to ►fcrorol* t>«r*
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# Saa lar iVonMbon fa
# 9 « l im g H o a o ft Exnl
H < » M \S h a a tl> ShaaC / » » a O /
IH J
h ttp ://w w w . eu. citrix, com .
ge NC version télécom m ande.
Seul inconvénient, Winframe repose sur l'environ­
ger, tout seul, la nouvelle version et d'auto-fla-
nem ent Windows NT Server 3.51, et se voit donc
sher son Eprom . De cette m anière, le systèm e
d o té d 'u n e in t e r fa c e id e n t iq u e à c e lle de
dem eure toujours "up to date", sans m êm e que
Windows 3.1. La version suivante, fonctionnant
l'utilisateur n'ait à se soucier de la m oindre chose.
avec Windows NT 4.0 et offrant par conséquent
L'adm inistration du réseau n'en devient que plus
l'interface de Windows 95, s'appellera Metaframe.
sim ple : seul le serveur central doit se voir m ain­
E lle se tro u v e en co u rs de d é v e lo p p e m e n t,
tenu, les N C connectés se m ettant à jour auto­
actuellem ent en phase beta 2.
m atiquem ent, sans qu'il n'y ait jam ais de dispari­
Le NC d'Acorn, un poste idéal
té logicielle entre les différents postes.
Dans le cadre d'une telle configuration en entre­
Par ailleurs, le N C contient dans sa Rom originale
“seulement ” 21 milliards. Le cours
du bug est vraiment sans égal.
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prise, le N C d'Acorn s'im pose com m e le meilleur
un tra ite m e n t de texte (c o m p a tib le W ord 97)
choix. D'abord à cause de son prix sans concur­
ain si q u 'u n n a v ig a te u r In te rn e t p o u rvu de la
rence. Mais aussi parce qu'il est sécurisé et quasi­
m a ch in e v irtu elle ja va la plus perfo rm an te du
m ent sans coût de m aintenance. Le NC regroupe
m arché.
toutes les caractéristiques que l'on souhaite voir
Un m ariage heureux
dans un term inal : pas de disque dur ni de lecteur
A partir du m om ent où l'hom ogénéité du parc
de disquette, m ais juste un clavier, une souris,
logiciel et les coûts de m aintenance constituent
une carte Ethernet (ou un m odem ) et un lecteur
des critères im portants, la solution du réseau NT
Zip optionnel. Un excellent com prom is entre prix
a v e c des N C co m m e p o stes s'im p o se d 'elle-
et productivité. M ieux : le N C dispose d'un lec­
m êm e. Pour m ém oire, rappelons que le N C seul
teur de carte à puce. Celle-ci, qui contient l'iden­
perm et déjà l'exécutio n de nom breuses tâches
tité de son propriétaire, perm ettra de limiter l'ac­
courantes, no tam m en t une navigation co n fo r­
cès du réseau aux personnes autorisées et rendra
ta b le sur le W eb . En effe t, ce tte m a ch in e ne
chaque poste interchangeable. En effet, la confi­
représente ni plus ni m oins que la version allégée
g u ra tio n de l'u t ilis a t e u r (e m p la c e m e n t des
(ce qui signifie libérée de ses unités de disques)
icônes, couleurs, fond d'écran bariolé, etc .) res­
du p u issan t m ic ro o rd in a te u r R iscPC , d o n t les
tant stockée sur le serveur, l'utilisateur peut se
éloges ne sont plus à faire. Par ailleurs, et cela n'a
connecter à partir de n'im p o rte quel poste : il
rien de n é g lig e ab le , le N C p eu t de la m êm e
retrouvera toujours son environnem ent person­
m anière faire office de term inal X standard. Au
nel.
final, l'utilisateur a à sa disposition l'ensem ble des
A noter que le Network Com puter d'Acorn pos­
logithèques Windows, Unix et RiscOS et, ce, avec
s è d e un je u c o m p lé m e n t a ir e de R O M et
une m aintenance et un coût réduits à l'extrêm e.
d'EPROM . Les Roms contiennent en standard le
Peut-on rêver plus universel ?
systèm e et les différents m odules logiciels. Les
M IG A
A TA R I
L IN U X
Eprom perm ettent de stocker les mises à jour ou
les patches à apporter au systèm e. Ainsi, le Ne
détient une table de gestion des versions logi-
B E OS
cielles, facile à co m p arer à celles d'un serveur.
Dans le cas où la version d'une application quel­
OS/2
conque présente sur le Ne n'est pas la dernière
en date, celui-ci se m ontre capable de téléchar­
Le NC p o ssè d e to u t ce q u 'il faut.
D IV ER S
• Star O ffice 5.0 pour
O S/2
Star Division vient de sortir le
service pack 3 de Star O ff ice 4.0
pour OS/2. Dans la foulée, Star
Division annonce la sortie de la
version 5.0 de sa suite bureautique
pour Warp. Le package devrait
évoluer pour devenir encore plus
perfomiant et plus intégré au
Workplace Shell d'0S/2. Des filtres
très puissants pour Office 98 et la
Smartsuite 97. La sortie de Star
Office 5.0 est prévue courant août.
P R O C ESSEU R S
L 'in fo rm atiq u e
de d em ain sera q u an tiq u e
Enfer et dam nation ! La technologie actuellem ent
utilisée pour la fabrication des processeurs est sur
le point d'atteind re ses lim ites. Encore quelques
années et quelques M Hz et il deviendra im pos­
sible d'augm enter la densité des transistors dans
les processeurs... donc la puissance de ceux-ci !
La technologie du Silicium nécessite en effet de la
lu m ière pour la g ra vu re des p ro cesseurs. Pour
• Une suite In te rn e t pour
RiscPC
au g m en ter la fré q u en ce , ou la d ensité, il reste
Le navigateur H tm l 4 (Btowse) et
la Machine Virtuelle Java 1.0.2
(RiscAfe) sont enfin disponibles
chez Acom. Ces logiciels prennent
la forme de deux CDs coûtant
environ 400francs H T pièce. C'est
cher 2 Que nenni, il y a divers
cadeaux sur les CD qui en ju s tif ient
amplement le prix : 0 m nichent
(environ 750 F HT), TimeCode
(environ 250 F HT), le moteur
Shockwave (compatible Director 4)
et une mise à jo u r de RiscOS. On
Tattendait, ils l'ont promis, et c'est
arrivé pile à l'heure. Merci Acom.
http:Hwww.aconi.com
d o n c de d im in u e r la lo n g u e u r d 'o n d e d e la
nécessaire de graver de plus en plus fin e m en t,
lum ière utilisée. O r, lorsque cette longueur d'o n­
de devient trop faible, la lum ière se transform e en
rayons X . Leurs qualités destructrices ne sont plus
Au p a y s ... de quan tique.
à dém o n trer. Par ailleurs, l'actuelle technolog ie
silicium nécessite de coûteuses infrastructures et
engendre inévitablem ent un nom bre non négli­
g eab le de p ro cesseu rs in u tilisa b le s, ca r d é fe c­
tueux. L'ensem ble de ces besoins m atériels et de
ces rebuts entraîne un coût élevé de fabrication.
Les orientations de la recherche pour pallier ces
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problèm es abondent. L'une d'entre elles présente
l'avantage, en plus de perm ettre l'augm entation
de p u issan ce to u t en d im in u a n t les co û ts, de
co n stru ire des processeurs fo n ctio n n els, m êm e
s'ils se ré vè le n t d é fe c tu e u x . Il s'a g it du projet
Teram ac, m ené conjointem ent par plusieurs uni­
versités am éricaines et Hewlett Packard. Teram ac
Tous les dem ains m ènent atom e.
d é sig n e un p ro c e sse u r c h im iq u e , ou " q u a n ­
tiq u e", utilisant des molécules en lieu et place des
trad itio n n els transistors. Les m olécules perm et­
ten t de réduire co nsid érab lem ent la taille d'un
p rocesseur et, de fait, de raccourcir la distance
que les signaux doivent parcourir en son sein. Les
tem ps de réponse n'en sont que plus optim aux.
Sous certaines applications, le prem ier prototype
s'avère cent fois plus rapide que le puissant pro­
cesseur HP-PA. Mais surtout, le Teram ac parvient
à fonctionner en dépit des pannes ; son architec­
ture s'apparente à celle d'une ville, avec ses rues
m ais sans cu l-d e-sac. A in si, les sig n a u x ont la
cap acité de co n to u rn er d 'éventu els défauts en
p re n a n t un ch e m in d iffé re n t, to u t co m m e on
e m p ru n terait une déviation lors de travau x. La
p e rfe ctio n c o û ta n t très ch e r, des processeurs
"presque" parfaits suffiraient à peupler les ordina­
teurs de dem ain. Mais attention, plusieurs années
de recherche restent nécessaires avant de voir les
descendants du Teram ac dans chaque m achine.
P a rlez d e v a n t l'h yg ia p h o n e.
IN T E R N E T
CO N SO LES
Enfin une version utilisable
d'ICQ sur Am iga !
Il reste décid ém ent des p ro g ram m eurs de talen t sur cette belle
m achine qu'est l'Am iga ! M algré la décision de M irabilis d'interdire
Fin alem en t,
N intendo
et M ips
d ivo rcen t
to u rn é ses re g ard s vers A rtx
p o u r le n o u veau p ro cesse u r,
au g ran d d é sa rro i de S ilico n
G rap hics, qui a aussitôt inten­
té un procès à A rtx pour vio la­
tion de pro p riété in telle ctu el­
le . D o u b le d é c e p t io n p o u r
SG I, la cour a statué, et Silicon
les portages sauvages de leur program m e Windows ICQ (prononcer
I Seek You), certains Am igaïstes ont quand m êm e eu la chance de
L 'a v e n ir de S ilico n G ra p h ic s ,
a dû a b a n d o n n e r sa p la in te ,
pouvoir tester la chose sur leur m achine. Pour ceu x qui débarquent
et des
M ip s ,
tandis que N intendo a co n fir­
d e d e u x an s
s e m b le b ie n s o m b r e . A lo rs
m é o f f ic ie lle m e n t q u e A rtx
au pôle N ord,
q u e M ip s av a it été ch o isi en
in carn erait bien le fournisseur
rappelons que
1995 par N intend o pour fo u r­
des processeurs de sa p rochai­
p ro c e sse u rs
ICQ rep résen ­
n ir le s p r o c e s s e u r s p o u r la
ne co n so le. A ctu ellem e n t, les
te u n e s o rte
console N intendo-64, la firm e
r o y a lt ie s
de
ja p o n a is e
so n
N in te n d o - 6 4 p a r N in t e n d o
"p a g e r"
a annoncé
pour
la c o n s o le
pour Internet,
in ten tio n d 'a b a n d o n n e r M ips
a s s u re n t à S ilic o n G ra p h ic s
qui perm et de
p o u r sa p ro c h a in e c o n s o le .
une re n te de 4 5 m illio n s de
s a v o ir si v o s
SGI a mal accusé le dép art en
d o llars a n n u e ls, m ais celle-ci
am is se tro u ­
d é c e m b r e d e r n ie r d e so n
risq u e de b a isse r n e tte m e n t
vent co n n ec­
ancien vice-président W ei Yen
dès l'ap p aritio n de la nouvelle
tés en m ê m e
et de l'un des responsables du
c o n s o le . Il re ste d é s o rm a is
te m p s
que
p r o je t N in t e n d o , T im V a n
bien du tem p s à M ips pour se
vo u s. T o u t d 'ab o rd , sachez que ces p o rtag es sans au to risation
H o o k , q u i s o n t p a rtis c ré e r
co nsacrer au m arché en pleine
dem eurent tout de m êm e illégaux aux yeu x de M irabilis (aux der­
u n e s o c ié t é c o n c u r r e n t e à
exp a n sio n des ord in ateu rs de
nières nouvelles, l'éditeur israélien afficherait un petit peu plus de
M ip s, A rtx . A ya n t l'h a b itu d e
poche, m ais là enco re, Hitachi
souplesse envers la plate-form e A m iga). M algré cela, la version la
de t r a v a i lle r a v e c le s d e u x
et Arm s'im p o sen t com m e de
plus avancée sur Am iga ( Stricq) circule facilem ent sur Internet et
an cien s de M ips, N inten d o a
redoutables co ncurrents.
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évolue rapidem ent. Cette adaptation dispose d'une interface diffé­
rente de celle des versions Pc et M ac, mais se m ontre très fo nctio n­
nelle. De plus, elle perm et de faire presque aussi bien que les pro­
gram m es officiels de M irabilis : recherche de correspondants par
leur E-mail, Nick ou Uin, envoi de messages ou d'adresses Internet
à vos amis et m odification de votre statut (online, aw ay, do not
disturb, etc.) En revanche, le dialogue en direct, façon IRC, ou le
transfert de fich ier d em eure encore im p o ssib le, to ut co m m e la
création d'un co m p te ICQ a p artir de rien. Il faudra donc créer
votre profile IC Q sur une autre m achine, voire sous MacOS en pas­
sant par un ém ulateur M acintosh com m e Fusion. L'auteur est du
reste à la recherche d'inform ations sur la façon dont fonctionne la
création de com pte, car il espère bien faire de Stricq un p rog ram ­
me com plet sachant tout faire !
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Fonctionne sur Amiga, Mac, et PC
(Logiciels et carte scsi-
• M icro so ft éch an g e
So ftim ag e c o n tre ...
So ftim ag e !
Sacré Microsoft ! Le géant du
logiciel vient de céder Lintégralité
de sa filiale Softimage, (éditeur des
fameux logiciels d'image de
synthèse, dont Hollywood est
friand) à la société Avid, spécialisée
dans la retouche vidéo. E n échange,
A vid a offert 19 millions de dollars
à Microsoft, ainsi que 9,1 % de son
capital. Par ailleurs, Microsoft
aura le loisir d'acquérir d'autres
parts d 'A vid d'ici à deux ans. Cela
s'appelle noyauter l'industrie.
• Le code so u rce d 'O S /2
o ffe rt ?
Ralph Nader, le célèbre avocat
américain de la libre
consommation, vient d'envoyer une
lettre officielle à IBM. Elle prie le
géant de l'informatique de
distribuer gratuitement, tout comme
Netscape pour Communicator, le
code source de son système OS/2.
Tout cela, afin de proposer une
réelle alternative au monopole de
Microsoft. Pour l'heure, aucune
réponse n 'a étéformulée. L'idée
s'avérerait plutôt bonne puisque
OS/2 est capable d'exécuter les
applications Windows. I l demeure
regrettable que la réelle motivation
de Ralph Nader consiste surtout à
sefaire gratuitement de la publicité.
C R E A T IO N
SY S T EM E
Du nouveau su r A m ig a
Adfi Application annonce deux nouveaux produits pour la rentrée. En
ce qui concerne le dessin, T in fo g ra p h e " pourrait bien rem placer
Ppaint et Dpaint avec notam m ent quelques routines d'ArtEffect et de
Incroyable :
IBM ressort
le DOS !
Wildfire. Pour ce qui est de la m usique, "S yn th esis" se m ontrera
capable de reconnaître et de gérer tous les formats MIDI ainsi que
M a lg r é
d'écrire sous form e de portée musicale. En test dès le mois prochain...
essaye de nous faire croire, le
t o u t ce q u e l'o n
Dos est to ujo urs bien vivan t.
Pour p reu ve, IBM vie n t juste
de sortir une nouvelle version
de so n Pc D o s (le M S /D o s
Tous les h its a d ap tés au
RiscPC
RCom p
>■
V
jjié m il
( ! TR ILO G Y ^
In t e r a c t iv e
d 'IB M ) : la m outure 7.1, bap­
tis é Pc Dos 2 0 0 0 . Ju s tifié e
essentiellem ent par ses capa­
c ité s à p a s s e r a llè g r e m e n t
l'a n
2000,
m ê m e s u r les
(R ci), fort du succès de
m ach in es les plus anciennes,
sa trilogie Doom, vient
c e t t e n o u v e lle v e r s io n se
d 'a n n o n c e r la s o rtie
m o n tre d isp o n ib le g ra tu ite ­
de tro is autres je u x ...
m e n t so u s fo rm e de p a tc h
T o u t d 'a b o rd Quake,
p o u r la v e rsio n 7.0 ou sous
d o n t ils v a n t e n t la
rap id ité (m a lg ré l'a b ­
y f!
.4
se n ce de c a rte g ra ­
p h iq u e
a c c é lé r é e ) .
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• QNX pour P o w erP C et
Mips
La M a lé d ictio n 7, 2 , 3.
Puis Syndicate-\-, sous
une n o u v e lle ve rsio n
utilisant des résolutions beaucoup plus fines. Vient enfin Abuse, qui
em p lo iera aussi des gra p h ism es plus soignés et des résolutions
allant jusqu'au 1024 par 768 points ! Artex propose pour sa part
Ankh, un jeu de rôle graphique de haute volée, et annonce une
p ro c h a in e dém o de Tek, le su p er jeu atten d u p o u r la re n tré e.
D evant cette sortie de jeux, de nom breux éditeurs ont été obligés
de retourner au ch arb o n ... Les packs de jeux 'budgets' voient leurs
fo rm e c o m p lè te à in s ta lle r.
qualités aug m entées ; ainsi un des p rochains à sortir proposera
Les a p p o rts d e la n o u v e lle
SimCity 2000. D 'autres éditeurs relancent l'in térêt de leurs jeu x,
version se lim itent au passage
co m m e F e d o n e t, qui d o te le d o m a in e p u b lic d 'u n é d ite u r de
de l'an 2 0 0 0 , quel que soit le
niveau x pour StarFighter 3000 ! Q uelques anciens je u x , co m m e
Bios, et au su p p o rt du code
Terramex, Thrust ou
de la m o n n a ie e u ro p é e n n e
Hopper nécessiteront certaines am éliorations
avant d'être remis dans le dom aine public.
qui a été intégré dans la page
h ttp ://w w w .rco m p .c o .u k , h ttp ://w w w .arte x.o aktree .co .u k
de co d e 8 5 0 . Par ra p p o rt à
d 'a u t r e s
v e r s io n s
p lu s
a n c ie n n e s , ou d iffu sé e s par
un a u tre é d ite u r, le Pc Dos
offre ce rtain s avan tag es non
QNX RTO S représente
actuellement le système
d'exploitation le plus léger :
accompagné d'une suite Internet, il
arrive à tenir sur une seule
disquette de 1,44 Mo. La grande
nouveauté vient de que ce système ne
fonctionne plus exclusivement sur
processeurs Intel : des versions
PowerPC et Mips se verront
présentées d'ici à la rentrée. Le but
est de conquérir le marché
émergeant des Network Computers
et des ordinateurs de poche.
n é g lig e a b le s , c o m m e u n e
g e s t io n
avancée
de
la
m é m o ir e , u n e p r o t e c t io n
an ti-viru s, un systèm e d'aide
en lig n e p lu s c o n v iv ia l que
d 'h a b itu d e et un langage de
p ro g ram m a tio n , R EX X , co m ­
patible avec OS/2.
Un en viro nn em ent peu édénique.
TS C si
>
Sco tt Adam s
Créateur d'Adventuresoft
W
S n U R I E Z - V D U S
H
C E S
R É P O N D R E
Q U E S T IO N S
W arren Davis
?
Concepteur de Q*Bert
1. Qui a créé Breakout, le prem ier "casse-brique" ?
2. Quelle célébrité a com m encé sa carrière com m e pirate ?
Eric Chahi
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3. Quel jeu s'est vendu à des m illions d’exem plaires sans que son au teu r ne touche un centim e ?
4. Quelle star de la m usique a reculé la sortie de son album pour pouvoir term in er Tom b raider ?
Créateur d'Another World et
5. Combien d'autres bugs accom pag naient le fam eu x bug du Pentium ?
de Heart o f Darkness
S i v o u s r v e z fuit u n e s e u l e e r r e u r .
Et bien d'autres...
NE M H N Q U E Z P U E LE H U R E S É R I E N ° 4
S
p é c ia l
,
h is t o ir e
d e
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m ic r o
ET D E S JE U H VIDÉO
D E C D P R É H I S T O I R E R O D E R N I E R P E N T IU M
10 p o rtra its de p io n n ie rs
20 m a ch in e s de lég en d e
50 je u x qui o n t f a it le je u v id é o !
Les sca n d a le s, les su c c e s s -s to rie s , les s a le s-c o u p s, les b id es c o m m e rc ia u x .
En riuequee.
L E 1 EH J U I L L E T
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CD-Ro m !
Tous les é m u la te u rs
Tous les c lo n e s des p lu s g ra n d s c la ssiq u e s du je u vid éo
Un q u izz in é d it et e x c lu s if su r l'h is to ire du je u vid é o
(p lu s de 8 0 0 q u e stio n s !)
3 9 ERRNCE !
<2&team
Hors
Série
■
■
|
Futur
Project X : VM Labs présente sa vision
du futur... avec Amiga Inc. ?
Demain, tous les appareils disposeront d'une puissance de calcul similaire à celle de nos
ordinateurs. L'américain VM Labs présente sa conception de la chose.
jaguar.
Pour l'heure, VM Labs préfère taire le nom
de ses partenaires stratégiques, notamment
ceux qui s'occupent de la partie logicielle.
Malgré tout, des grands noms du hardware
ont déjà clairem ent annoncé leur intention
de participer à l'aventure. Il s'agit en l'occur­
rence de Toshiba, Thom son et Motorola. Ce
dernier se m ontre d'ailleurs loin de prendre
la chose à la légère : il a investi quelques dol­
lars non négligeables dans le projet et assu­
rera aussi la fabrication finale des puces, en
1999. Motorola envisage même de construi­
re une nouvelle plate-forme de jeu axée sur
le Project X. Déjà en chantier, celle-ci est
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pour l'instant connue sous le nom de code
de Blackbird.
Il faut dire que la technologie Project X a de
quoi séduire : 1,5 milliards d'instructions trai­
tées à la seconde (virtuellement, les perfor­
mances du Project X équivaudraient à celles
V oilà un équ ipem en t to u t en p a n a ch e.
d'un Pentium II à 1 G H z ... pour l'instant, la
om m e chaque année, le salon am éri­
jeux pleines de fils pour les intégrer dans un
puce n'existe pas vraiment, son fonctionne­
cain E3 était le th éâtre de su rp re­
équipem ent de salon. Quand la télévision se
ment se trouve émulé sous Windows), déco­
nantes ré vé latio n s. L'u n e des plus
ve rra aussi in c o rp o ré e d an s le m u r, les
dage de Mpeg vidéo directement câblé, soft
intéressantes venait notam m ent de la société
appartem ents deviendront subitem ent plus
modem supporté et canaux sonores jamais
VM Labs. Ce jeune constructeur américain y
spacieux.
ralentis. Sans com pter que cette technolo­
p ré se n tait en effet un p ro je t a m b itie u x ,
Des noms prestigieux
gie, tant par ses caractéristiques que pas ses
aspirations, tend à l'universalité : chaque
C
puisque destiné à la totalité des appareils
Le Project X est développé sous la direction
électroniques de loisir du prochain millénai­
de Richard Miller, président de VM Labs et
constructeur de machine à base de Project X
re. Le Project X, c'est son nom de code pour
an cien n e personnalité du m onde A tari. Il
sera à m êm e de profiter de la logithèque
l'instant, représente en fait une puce 128
s'occupait notam m ent de la commercialisa­
existante.
bits com prenant à la fois un processeur Risc,
tion du Transputer, ce fam eu x processeur
Am iga dans le coup ?
un chip graphique avec accélération 3D et
Risc parallèle qu'avait sorti à la fin des années
Mais le plus intéressant réside dans la simili­
un com posant audio. L'idée prévoit d'inté­
80 l'Anglais Perihelion, par ailleurs respon­
tude de cette annonce avec les récents pro­
grer le Project X sur la carte m ère des pro­
sable du développement jaguar; la première
pos d 'A m ig a Inc. En effet, lors du récent
chains postes de télévision, décodeurs de
console 64 bits. L'éq u ip e de VM Labs se
Am iga W orld Show , le constructeur avait
chaînes et même lecteurs de DVD-Rom, afin
compose égalem ent de Nicholas Lefevre et
an n o n cé q u 'il ne d é velo p p era it plus lui-
de rendre ces appareils aussi "intellig ents"
Bill Rehbock. Le premier incarne un ancien
m êm e de hardware mais axerait son pro­
qu'un micro-ordinateur. Les cham ps d'appli­
co m m ercia l de C o m m o d o re et s'o ccu p e
chain système (l'AmigaOS 5.0) sur une puce
cation abondent ; ils vont de la télévision
désormais de trouver des partenaires straté­
révo lu tio nn aire présentée à l'E3. C om m e
n u m é riq u e qui d e v ie n t S e tT o p B o x p o ur
giques pour le Project X. Le second chapeau­
cette puce n'existe pas encore (elle serait dis­
naviguer sur Internet au lecteur de DVD, qui
te le développem ent logiciel du Project X.
ponible en 1999), la station de développe­
se tran sfo rm e, nous dit-o n, en m eilleure
Son curricu lu m vitae s'avère relativem ent
m ent d'Am iga Inc. s'incarnera dans un Pc,
c o n s o le de je u x v id é o s de la p la n è te .
im pressionnant puisqu'il est le papa de la
seule plate-form e sur laquelle fonctionne
Concrètement, le but de l'opération consiste
N et Y aro ze (la ve rsio n "d é v e lo p p e m e n t
l'émulateur. Par ailleurs, ce système se verra
à faire to talem en t disparaître les en c o m ­
grand public" de la Playstation), ainsi que
distribué (notam m ent) par l'intermédiaire de
brants micros familiaux et autres stations de
des portages de Doom et Wolfenstein 3D sur
licences pour "o ffrir une solution logicielle
V u s u r le N e t
m ajeure au m arché ém er­
h ttp ://w w w . cagle. com /m icroso ft/gates20. asp.
geant du to u t num érique".
T o u te s les illu s tra tio n s p a ru e s d a n s la p re sse in fo rm a tiq u e à
Par "to u t n u m ériq u e", jeff
p ro p o s de l'a ffa ire M icrosoft. H ilarant.
S c h in d le r ,
p r é s id e n t
d 'A m ig a In c ., entend boî­
tiers Internet, m achines de
je u x et té lé s n u m é riq u e s
>■' M icioioll Lditniidl Cditooni l.y AU »l the Top Cattoom ilil
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co m p le t : un A m ig a avec
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* Boofcmaik* Jk Locofw |ntp /A****# cagle com/n»ctotoft/galas20 dtp
accrochées au mur. Mais il y
DVD,
N d t c tp e
£é» £<M y«w Qo Commençaic* Help
L-2-2 -A-4 -4-Z -8 2 lfl U 12-11 11 14 14-11-14-12-211 21 22 23 21
24 24-22-28 22
et
m o te u r 3D in té g ré s . C a r
Un sérieux à to ute épreuve.
o u i, m êm e si le n o u veau
THE GWHWfcNTS PKK»*.
ON
F o « &UHDN6 h
système se révélera prédisposé pour l'interactivité familiale, Amiga
SETTER NtABCTRAP
Inc. avoue que la puce pour laquelle ils program m ent regorge d'at­
tributs 3D. Mais attention, les ingénieurs précisent bien qu'elle ne
symbolise pas spécialement un accélérateur 3D, ni un processeur...
mais les deux à la fois ! Par ailleurs, cette puce se montrera com pa­
rable à un x86, dans le sens où elle sera universelle : on la trouvera
partout. Enfin, Amiga Inc. vient d'annoncer que son équipe d'ingé­
nieurs allait em ménager dans des nouveaux locaux, proches de ceux
du développeur énigmatique de la puce, aux environs de Mountain
View. Coïncidence pour le moins cocasse, VM Labs em m énage aussi
Mike Luckovlch. Atlanta. Gaoigia - Mike's F'ulitzer Pnze
D oom w t Don»
dans des locaux plus grands, à Los G a to s ... à environ 3 km de
-
Mountain View.
W ait and see
Faut-il en déduire que les utilisateurs actuels d'Amiga n'ont plus qu'à
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jeter leur matériel et attendre 1999 pour prouver une nouvelle fois
leur fidélité à la marque ? Rien n'est moins sûr. Tout d'abord, parce
que VM Labs a clairement précisé que le Project X se trouvait déve­
loppé pour intégrer l'informatique dans le quotidien électronique de
Ouvert du
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Ensuite, parce que la plate-forme Amiga "Classic", celle qui existe
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déjà, traverse aujourd'hui l'une des plus belles périodes de son his­
- A rt EffeCt (version anglaise)
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toire. Plus ou moins officiellement abandonnée aux partenaires euro­
- Art E ffect Pow erPC Piug-in
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240 F
240 F
- StO rm C (version anglaise)
- StOrmC (version non-commerciale)
1790 F
980 F
- Storm C Pow erPC Module
990 F
520 F
péens (le trinôm e Access Innovation, Phase5, Haage & Partner),
celle-ci profite enfin d'une véritable volonté de développem ent :
nouvelles cartes mères dans les cartons, passage progressif au Power
Pc, optimisation en cours de l'OS et compatibilité annoncée avec les
e xtensio n s Pc.
A u tre m e n t d it, c'e s t la p re m iè re fo is q u e les
Amigaïstes peuvent attendre en toute quiétude de voir si les respon­
sables d'Amiga Inc. vont, pour une fois, se montrer capables de faire
quelque chose de leurs dix doigts. Pour l'heure, il demeure possible
de c o n s u lte r to u s
les d é ta ils
du
P ro je ct X à l'a d r e s s e
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W arp
Le Fixpack 6 pour Warp 4.0 est
disponible en français. Le Fixpack
36 pour Warp 3.0 et Warp server
vient égalentnt de faire son
apparition sur IBM. Même si un
navigateur moderne continue à
manquer cruellement à OS/2, les
versions de Java évoluent tout de
même. L a version 1.1.4 de Java
pour OS/2 se trouve diffusée et
IBM vient de mettre à disposition
unepreview de la 1.1.6. Dans un
genre un peu différent, une flopée de
nouveaux drivers germe, sous
OS/2. Citons entre autre Adaptec,
qui sort une nouvelle version des
drivers de ses cartes SCSI, et
Symbios, également conçu pour les
cartes SC SI NCR AsusTech. IB M
renouvelle son driver pour C EI D E
(les disques en LBA) et Matrox sort
un nouveau driverSs pour les
Millenium et les Mystique. Matrox
annonce également un support
OS/2 pour tesfutures cartes
graphiques G200 qui incorporeront
un accélérateur OpenGL.
N ETW O RK O M PU TER
9
Lin u x en fin reco n n u !
C 'est au tour du canadien Corel,
IrD A . D a n s le d o m a in e du
filia le
"m ultim édia", les 2 Mo de Ram
Corelcom puter, de présenter un
vid éo auto risent un affichag e
N C . Dans l'o p tiq u e purem ent
en 1 6 0 0 x 1 2 0 0 avec 2 5 6 co u ­
par
le
b ia is
de
sa
alternative qu'a pris le Network
leurs, et le son fo n c ­
C om puter, les Netwinder, ainsi
tionne en 16 bits Full
que Corel a baptisé ses Ne, se
Duplex.
verront fournis soit avec Java Os,
Le Netwinder, dans sa
soit avec Linux. D 'un point de
version Linux, fo nctio nne avec
v u e m atériel, le N e tw in d e r se
un s y s tè m e issu du p o rta g e
me, et de l'autre, il profitera de
trouve architecturé autour d'un
d 'u n e distrib u tio n RedH at sur
l'enthousiasme de certains utili­
p ro c e sse u r S trongA rm à 2 7 5
StrongArm . En fa it, seule une
sateurs qui pourront également
M H z, pourvu de 1 6 ,3 2 ou 64
partie du système d'exploitation
f a ir e
M o de Ram, épaulés par 1 Mo
N e tw in d e r p ro vie n t de Linux.
D'ailleurs, Corel tiendra à la dis­
de m ém oire Flash p erm ettant
Fruit d'un long travail de déve­
crétion des éventuels intéressés
de b o o te r la m a c h in e san s
lo p p em en t, la partie Linux de
tous les documents techniques,
disque. Le Netwinder offre deux
Netwinder Os est mis à la dispo­
ainsi qu'un forum de discussion
ports Ethernet, l'un en lOBaseT
s itio n d u p u b lic p a r le b ia is
à l'intention des développeurs,
et le second en 10/IO O BaseT,
d 'u n e lic e n c e O p e n S o u rc e .
qui tro u vero n t ég alem ent un
un port parallèle EPÇ/ECP, un
Ainsi, d'un côté, Corel continue­
s ite In te rn e t où sto c k e r de
port série et un port infra-rouge
ra le développement et le porta­
manière sûre leurs projets.
ge d'applications vers son systè­
é v o lu e r
l'e n s e m b le .
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SGI : une p u issan ce de 4 te ra flo p s !
T E C H N O L O G IE
Silicon Graphics vient d'annoncer sa nouvelle série
combinaison originale de processeurs à 4 Gigaflops
de super-ordinateurs vectoriels, le Cray SV1, avec
et à 1 Gigaflops, donne la possibilité d'adapter la
un rapport prix/perform ances huit fois supérieur
puissance de calcul au besoin. Les processeurs utili­
au m eilleur de ses concurrents. Les élém ents de
sés sont les premiers à capacité variable ; basique-
base s'incarnent dans des processeurs, capables
m ent à q uatre G ig aflops, chaque processeur se
d'atteindre chacun une valeur m axim ale de quatre
trouve à m êm e de se com porter com m e quatre
teraflops, soit deux fois plus que l'ancien proces­
p rocesseurs à un G ig aflops, donc d 'augm enter
seur le plus puissant de SGI. L'architecture m ulti­
encore la souplesse du système. Les super-calcula­
processeurs symétrique, appuyée par des synchro­
teurs C ray, qui font déjà office de référence, se
nisations par messages optimisées et, pour la pre­
voient donc adjoindre un nouveau m em bre, qui
m ière fois dans l'histoire des ordinateurs vectoriels,
bénéficie déjà de plus de 500 applications vecto­
p ar u ne m é m o ire c a c h e , p e rm e t d 'o b te n ir le
rielles, o p tim isées pour le C ray et son systèm e
chiffre extraordinaire de 1 teraflops (1000 milliards
U n icos. A réserver toutefois au x gens fortunés,
d 'o p éra tio n s par se co n d e ), avec une m ém oire
puisque le p rix p ublic an n o n cé attein t tout de
m axim ale de 1 teraoctets (1 0 0 0 Gigaoctets). Une
m êm e 5 0 0 00 0 dollars.
Les serveurs su rp u issa n ts de S G I le sauvero n t-ils d e la crise ?
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68 03 0 à 50 M H z, elle est dotée d 'u n su p p o rt Sim m Edo 32 bits
(p e rm e tta n t d 'é te n d re la Ram ju sq u 'à 32 M o ), d 'u n su p p o rt
S.u.S.E. Linux
pour co -p ro cesseur arith m é tiq u e et d 'u n bus d 'e xte n sio n CPU
d irect en 32 bits. Le plus im p ressio n n an t est ce rta in e m e n t l'in ­
tégration parfaite de tous les co m p o san ts en tre e u x : du p ro ces­
seur au D sp, en passant par la Ram et le co -p ro cesse u r a rith m é ­
Le produit Linux le
le leader
m ieux vendu en Allemagne arrive enfin sur le marché français.
tique, to ut fo n ctio n n e en 50 M H z ! E n fin , la ca rte est livrée avec
S.u.S.E. Linux est un système d'exploitation pour votre PC, puissant,
une Eprom flash ab le de 64 Ko c o n te n a n t un Bios avec toutes les
fiable et rapide, avec de nombreux logiciels de grande qualité intégrés
fon ctio n s de param étrag es ainsi que les fic h iers nécessaires au
d é m a rra g e de D o lm en . E n tiè r e m e n t é c r it en a s s e m b le u r et
1 0 0 % c o m p a tib le Tos, D olm en est le to u t n o u veau systèm e
d 'e x p lo ita tio n p o u r c o m p a tib le s A ta ri. E g a le m e n t d é v e lo p p é
par C en tek, la versio n Dolm en Falcon est d 'a ille u rs offerte avec
la Centurbo II. Afin d 'ê tre plus "O S frie n d ly ", elle in tèg re d 'o ffi­
ce p lu sie u rs o u tils q ui o n t fa it le su ccè s du c o n s tru c te u r, tel
au système. Alliant une interface graphique avec des possibilités qui
enthousiasmeront aussi bien les néophites que les professionnels,
ce système répondra parfaitement à vos exigences.
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son installation commandée par menue, à la possibilité du lancement
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A c c é lé r a t io n
La guerre des puces 3D
continue !
Toujours plus performants, les accélérateurs
graphiques ont fini par voler la vedette aux
microprocesseurs. A tel point que les
microprocesseurs s'équipent à leur tour de
fonctions 3D !
e m arch é des processeurs g rap hiq ues se trouve en pleine
C h e z n V id ia , c'e s t
le Riva T nt q u i va
jo u e r les s ta rs , a v e c
d e s p e rfo rm a n c e s 3D
proches d'une carte accé­
lé ra tric e Voodoo 2 (v o ire
sup érieures avec les drivers
ébullition. Cela ne sim plifie guère la tâche des utilisateurs, car
finalisés). Jouer à Quake 2 en
1 6 0 0 x 1 2 0 0 se révélera tout à
le ch o ix devient de plus en plus difficile. Sans co m p ter les
fait possible, mais cette fois aux risques et périls de votre moniteur.
problèm es de pilotes qui handicapent les personnes utilisant des
ATI devrait égalem ent sortir sa puce 128 bits ( Rage 128 7) et S3
L
La 3D , m aintena n t !
revient de l'enfer avec le Savage 3D. Ce processeur m arque une
am élioration im pressionnante par^ rapport au reste de la gamme,
mais se situe un peu derrière ses concurrents en term e de perfor­
m ances. C hez M atrox, on s'apprête à lancer le G200, un proces­
seur se situant entre le Savage 3D et le Riva Tnt en term e de perfor­
m ance d'après les prem iers tests. Tout ce petit m onde va devoir
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convaincre les acheteurs, avec un obstacle supplém entaire pour les
concepteurs de puces tels que nVidia ou 3Dfx : gagner des m ar­
chés chez les intégrateurs, com m e D iam ond par exem ple, car ils
T o u t ça p o u r ça ?
Le dernier-né d 'In te l.
53 rep ren d du p o il de la bête.
OS com m e Linux ou BeOS. Heureusem ent, les perform ances répon­
ne fabriquent pas leurs propres cartes.
dent à l'appel. C haque nouvelle puce dispose de perform ances 3D
Les p ro cesseu rs aussi
et 2D am éliorées et le m arché des accélérateurs 3D pure semble
En ce qui co n ce rn e les processeur "to u t c o u rt", A M D fait très
promis à une disparition totale à m oyen term e. A TI, Intel, nVidia,
fo r t en p ro p o s a n t le K 6-2. E q u ip é des n o u v e lle s fo n c tio n s
S3, M atrox, 3D fx, Videologic, N um ber Nine, Rendition constituent
3 D N o w !, ce p ro cesse u r c o m p a tib le So cket 7 se m o ntre aussi
quelques-unes une des entreprises qui se livrent à une guerre sans
rapide que les Pentium 2 et surtout bien m oins cher. Papaye sur
m erci pour rafler quelques parts d'u n m arch é ju teu x. Du reste,
le gâteau, les n o u veau x d rivers pour 3D fx Voodoo et Direct X6
l'été verra arriver quelques nouveaux processeurs dignes d'intérêt.
utilisant les fon ctio n s 3 D N o w ! p erm ettent d'après les prem iers
tests d 'attein d re le niveau d'un P2 à 4 0 0 M Hz avec le K6-2 à 300
M H z, voire au-dessus ! Bref, pas besoin^ de passer au Slot One
Productiva il®®
pour avoir de la puissance ! Surtout que celui-ci vo it sa pérennité
fo rtem e n t m enacée. D 'un cô té, la vraie puissance passe par le
Slot 2 des P en tiu m Xeo n (q ui d e m eu re n t hors de p rix) et de
l'au tre, la p ro chaine génération de processeurs bas de gam m e
typ e C elero n avec m ém o ire cach e (n o m de code M endocino)
devrait s'in sp irer du Socket 8 ! Il s'ag it d 'un form at proche de
ce lu i des P en tiu m Pro et bien m o in s c o û te u x à c o n s tru ire ...
C o m m e q u o i, c e tte te c h n o lo g ie n 'e st pas aussi "h a s b e en "
M a tro x à l'a tta q u e .
Puce à l'en nem i !
q u 'ln tel vo u d rait le faire croire !
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BLITZTENNIS -CENTER COURT- (F) . 95 F
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BLOODNET (F) - A 1200 ....................... 110 F
BLOODNET IF) -A 500+ /A600 . . . 110 F
BUBBLE & SQUEAK -A 1200
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BUBBLE & SQUEAK -A 600 . .............. 65 F
CHAOS ENGINE AGA -A 1200 ........... 65 F
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COLONIZATION ( F ) .................................125 F
DESERT STRIKE ........................................ 95 F
DOGFIGHT (Microprose) ........................ 95 F
DUNE 2 ..................................................... 115 F
DUNGEON MASTER 2 ( V F ) A 1200 . . . . 95 F
ELITE 2 (Version Française) .................125 F
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HUMANS 3 (F) A 1 2 0 0 . .
EXILE - A 1200 ......................................
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F-15 II (M icroprose)..............................
F-19 STEALTH FIGHTER -A500/2000 .
FIELDS OF GLORY (WB 2 + )
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FIELDS OF GLORY -A 1200 ..............
GUNSHIP 2 0 0 0 .....................................
E v o l u t io n
I m p o s s ib l e M is s i o n 2 0 2 5 (v f ) a 6 0 0
JA M ES POND 2 (F) -A 1200 ...........
KINGPIN BOWLING (VF) ...................
L E M M IN G S .............................................
M ICROPROSE GRAND PRIX F I
M INSKIES the Abduction -A 1200
NICK FALDO G O L F ..............................
NIGHTHAWK F-117 A 2.0 -v 3.01
O D Y S S EY ................................................
PGA GOLF EURO TOUR -A 1200
PINBALL FA N TASIES AG A -A1200
. 95
75
. 75
125
125
125
125
125
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. 35
. 35
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. 45
. 65
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PINBALL ILLUSIONS (F) A 1200 . . . 95 F
PINBALL MANIA (VF) 1200/4000 . 125 F
PLAYER MANAGER 2 ( A N C O ) _____
95 F
POWER DRIVE ( F ) ................................
35 F
RAILROAD T Y C O O N ........................... 125 F
ROAD R A S H ...........................................
95 F
SENSIBLE GOLF ...................................
95 F
SH A Q FU -A 1 2 0 0 - .............................. 60 F
SILENT SERV ICE 2 .............................. 125 F
75 F
SKELETON KREW (F) - A 1200 ----SLAM TILT (F) - A 1200 ................... 125 F
SPECIA L FO R CES (M icroprose)_____
95 F
STARLORD (Microprose) ................... 9 5 F
ST R EET RACER [A 1200 non-Escom] 125 F
SUPER SKIDMARKS ........................... 8 5 F
SUP ST. FIQHTER 2 TURB0(F)-A1200
95 F
SUPER TENNIS C H A M P IO N .............. 7 5 F
T E S T A M E N T -A 1 200/4000- ........... 125 F
THEM E PARK -A 1200 ...................... 125 F
THEM E PARK -A 6 0 0 ........................ 125 F
TURNING POINTS -A 5 0 0 - .................. 55 F
U .F.O . (A 600) ..................................... 125 F
U .F.O . (A 1200) .................................. 125 F
VIRTUAL KARTING - A l200 (F) _______ 75 F
WHITE DEATH (WARGAME) ................45 F
WING C O M M A N D E R
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WORMS (VF) ...........................................125 F
W ORMS Director's Cut -AGA- _______ 145 F
XTREM E RACING -A 1 2 0 0 - ................ 75 F
Xtreme Racing AG A: 2 DATA DISKS 55 F
ZEEW OLF 1 (NF) ..................................... 45 F
ZEEW OLF 2 Wild J u s t ic e ........................65 F
ZEEW OLF 1 + ZEEW OLF 2 .................. 95 F
ZOOL (F) - A 500/600 .......................... 35 F
COMPILATION (1) A 1200:
GUARDIAN + SKIDMARKS + GLOOM 145 F
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BRUTAL PAWS OF FURY ( V F ) ...........50
BUBBA'N'STYX ( F ) ................................ 45
CASTLES 2 ................................................45
A lfre d CHICKEN ( F ) ................................ 35
CIVILIZATION AGA [CDROMl ----- 125
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ELITE 2 ....................................................... 95 F
EVOLUTION HUMANS 3 ( F ) ................ 95 F
E X I L E ........................................................... 50 F
G U A R D IA N ................................................ 7 5 F
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LIBERATION C A PTIV E 2 ......................70 F
MARVIN M A R V E L L O U S ........................ 45 F
MEAN ARENAS ( F ) ................................ 45 F
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ST A R CRUSA DER [C D R O M ]................ 95 F
ST R EET RA CER [CDROM] ................ 125 F
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THEME PARK [C D R O M ]..................... 125 F
ULTIM ATE GLOOM [CDROM] _____ 125 F
ULTIM ATE SKIDM ARKS [CD ROM] 125 F
V ITA L LIGHT ( F ) ..................................... 45 F
W ORMS (VF) C D 32 et CDROM . . . 125 F
S u p e r S t r e e t F ig h t e r
pour un envol Immédiat d'articles ci-dessus (règlement par carte internationale visa/ eurocard): téléphonez-nous (pas de panique, notre personnel est f r a n ç a is ),
ou faxez votre commande signée avec détails de votre carte bancaire. Par Minitel: 3616 a z e r t y puis d u c . ou rédigez (EN f r a n ç a is s v p ) sur papier libre et joignez votre
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Si vous désirez recevoir un catalogue c o m p l e t afin de faire votre choix, écrivez-vous en f r a n ç a is svp et Joignez 6 timbres à 3 FF ou 4 C.R.I.; précisez votre configuration
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tra n sa ctio n minimum 100 FF
é t é 1998 - Stock et prix valables pour la durée de publication du magazine - Toute commande est considérée comme ferme.
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• O b ject D esktop 2.0
L 'éditeur a annoncé débutju in la
sortie de la nouvelle version de sa
collection d'utilitaires pour OS/2,
d'ici à la fin de l'année. Au
programme, une sérieuse
amélioration de la qualité de
l'interface du Workp/ace Shell, un
grand gain sur les performances et
pas m al d'outils supplémentaires
procurant à l'interface du système
ce qu 'il y a de meilleur chez les
autres. Une beta du produit devrait
démarrer à la fin du mois. Sa
sortie est prévue dans le courant du
second semestre.
C O M M ER C E
Un lo g iciel 3D vendu
avec son code source !
M eshPaint 3D incarne
un
lo g ic ie l
de
co n cep tio n d 'im ag es
de s y n th è s e s p o u r
stations A lp h a, co m ­
p a tib le s W in dow s et
PowerM ac. Sa grande
originalité vient de ce
q u 'il n 'y a q u 'u n e
seule boîte contenant
les trois v e rsio n s... et
i
W arp 5 :
un serveu r
fin a le m en t
sans clien t
Ça y est, c'e s t o fficie l. Warp
S e rv e r 5 .0 est a n n o n c é p a r
IBM pour le début 1999. Cette
v e rsio n d e v ra it c o m p re n d re
co m m e
p ré v u
b eau co u p
d 'a m é lio ra tio n s, n o tam m e n t
en ce qui concerne le système
U n n o uvea u je u de bo w lin g .
• A ccé lé ra tio n lo g icie lle
pour les A tari
le code source ! Mais
La partie système de l'Atari
administrant l'affichage graphique,
à savoir la VDI, ne se montre pas
des plus optimisée, et c'est un
euphémisme. Afin de rémédier à
pe pas : l'utilisateur n'a pas le droit de recom piler le logiciel, ni de
très " U n ix ie n " . U ne o rie n ta ­
distribuer librem ent son adaptation. Il s'agit en fait d'un appel aux
tion résolum ent Java servira la
p rogram m eurs : tout le m onde est invité à apporter des m odifica­
stratégie N etw ork Com puting
tio n s et à en fa ire p a rt u n iq u e m e n t à l'é d ite u r . P ar a ille u rs,
d 'IB M . Des o u tils de System
cette situation désolante, N VD l a
vu lejour. Aujourd'hui, une
nouvelle version 5 s'apprête à
arriver jusqu'à nous (toujours
distribuée p a r A S F). Les apports
de cette nouvelle version abondent
mais la plus grosse différence vient
des drivets d'impression avec
F arrivée de pilotes pour lesjets
d'encre H P couleur, les Cation et les
Epson Stylus.
que l'on ne s'y tro m ­
de fichier, qui devrait donner à
Warp Server un com portem ent
M eshPaint 3D ne s'obtient pas gratuitem ent : il coûte dans les 250
M anagem ent très performants
francs, h ttp ://w w w .3 d g rap h ics.co m /m esh p ain t.h tm
se trouvent égalem ent prévus
au program m e. De plus, Warp
Server aura enfin la possibilité
de s'in staller en cluster. Tout
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
cela se m ontrerait très prom et­
te u r s 'il n 'y a v a it pas ce tte
o m b re au ta b le a u : pas de
c lie n t W arp 5 p ré v u . IBM a
décidé qu'il n'était pas néces­
saire de faire évoluer le client
et q u e des m ises à jo u r par
p e tit e s
to u c h e s
t é lé c h a r ­
geables sur Internet suffiraient
à ra s s u re r les c lie n ts su r la
pérennité du produit.
«as
5 I& J P W W
i.-—
misrzr
-,
§r
fc—
[y;
La su ite d 'in té rie u r 3D !
•i~—~ < —
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es.
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Le s a v i e z - v o u s
?
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’ OSA- •
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I?Kl
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Le préd écesseu r de W indows.
Le m a ga zin e am éricain B oo t donne tous les m ois la p a ro le à un
U n e p é tit io n a é té la n c é e
a cte u r du m ilieu in fo rm atiq u e. L'in v ité du m ois de ju in d ernier
s u r le N e t p o u r e x ig e r de
n 'é ta it autre qu 'A lex " S t." John, directeur du dévelop pem ent des
la p a rt d 'IB M la so rtie d 'u n
ro u tin e s D ire ct X de W in d ow s 95. Ses ré vé la tio n s se m o n tren t
vrai clien t 5 .0 . C ette pétition
fr a n c h e m e n t é p a ta n te s : " Q u i a u r a it p u c o n c u r r e n c e r u n e
est
te ch n o lo g ie au ssi a va n cée qu e celle de I'A m ig a ? Une m achine
h ttp ://w w w .jm a st.S e /w arp x/2
a cce ssib le
sur
:
m a g n ifiq u e q u i s u p p o r ta it un m u ltitâ c h e p r é e m p tif qu e no us
1 w a rp .h tm II d e m e u re c la ir
n 'a v o n s to u jo u rs p a s " r e d é c o u v e r t" . C 'é ta it co m m e un m in i
q u e si IB M ne c h a n g e pas
su per-ordina teu r pa rallèle. Oui, vous avez ra ison, la p lu p a rt des
d 'a v is, l'a v e n ir d '0 5 / 2 risque
idées d e D ire ct X p r o v ie n n e n t d e l'A m ig a O S , to u t sim p lem en t
de se vo ir sérieusem ent com ­
p a rce que ce so n t les bonnes idées". E t il y en a to ute une pa g e
prom is.
com m e cela !
P A RA N O ÏA
La Ram m enacée
par les rayons
cosm iques !
d'erreu r (E C C ), m ais celui-ci n 'a g it que sur un
seul bit. O r, pour IBM , cela ne s'avère pas suffi­
sant, car les erreurs causées par les rayonnem ents
co sm iq u es p e u ve n t to u ch e r p lu sie u rs b its. Si,
pour un particulier, ce type d'erreurs reste sans
grand d a n g er, pour des systèm es aussi im p o r­
Il est de notoriété p ub liq ue, que le plus grand
tants que ceux des banques, le m oindre bit faussé
danger pour la terre et l'hum anité entière réside
dans une donnée peut se révéler catastrophique.
dans cette im m ensité appelée "u n ivers". Les ingé­
Pour pallier ces défaillances, IBM propose désor­
nieurs d'IBM ont m ené durant plus de dix ans des
mais de la DRAM en 128 broches, avec une co r­
recherches co n cern an t l'in fluence des rayo nne­
rection m ultibits. Evid em m en t, le prix s'en res­
m ents cosm iques sur les éq u ip e m en ts éle c tro ­
s e n t , p u is q u e c e t te
niques et ils dem eurent form els sur le fait que les
m ém oire coûte environ
rayonnements cosm iques peuvent engendrer des
50 % plus cher que la
erreurs sur la DRAM. Les problèmes liés à la fab ri­
m ém oire traditionnelle.
cation des barrettes mém oires ayant disparu avec
51 d 'au tres entreprises
l'é v o lu tio n des t e c h n o lo g ie s , les e rre u rs ne
d ir e c te m e n t c o n c e r ­
seraient plus hard w ares, m ais des "so ft erro rs"
nées, telles que Dell ou
dues en partie au x rayo n n em e n ts. A vec l'a u g ­
Toshiba, avouent avoir
mentation de la quantité de m ém oire disponible
co n scien ce de ce pro­
sur une barrette, les risques se m ultiplient. Ainsi,
blème de "soft errors",
Tim Bell, ingénieur senior d'IBM affirme que : "à
ils assurent ég alem ent
cause des rayonnements cosmiques, le taux de soft
que dans plus de 99 %
errors est de une p a r mois pour 2 5 6 M o de Ram que
d e s c a s , l'e r r e u r ne
l'on p o ssè d e ". D e p lus en p lu s, les b a rre tte s
c o n c e rn e q u 'u n seu l
mémoires disposent d'un dispositif de correction
bit.
Im p a ir espace.
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N 'IM P O R TE Q U O I
Euthana-g ochi
Londres, le 21 juin dernier. Des
gnon en c rista u x liq u id es, et
centaines de pensionnaires de
d o n n e , en q u e lq u e so rte, un
m aisons de re tra ite o n t reçu
sens à leur vie, tout com m e le
com m e cadeau un joli tam a-
ferait une vraie bête à poils (ou
gotchi, censé les protéger de
à p lu m es). U ne p sych o lo g u e,
la sénilité. Ces anim aux virtuels
C atherine C aro ll, pense to ute­
sont des cadeaux du construc­
fois que le cadeau peut s'avé­
teur japonais Bandaï, qui m ène
rer stressant pour les pension­
en Angleterre un projet pilote.
naires, qui risquent de craindre
Les Japonais d e m eu re n t p e r­
plus que de raison la m ort de
su a d é s q u e le t a m a g o t c h i
leur com p agnon. Q uoi qu'il en
constitue un excellen t m oyen
soit, pour désorm ais se procu­
thérapeutique, puisqu'il oblige
rer un tam a g o tch i, il suffit de
les personnes âgées à avoir la
se rendre dans une m aison de
responsabilité de leur co m p a­
retraite équipée.
Solutions dessin, vidéo, m usicale, 3D
Toutes plateformes
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• lllu s tra to r 3D pour
RiscPC ?
DanSoft vient de proposer un
logiciel pour RiscPC permettant
d'appliquer des effets 3D à du texte.
WebFX3D, c'est son nom, s'adresse
principalement aux développeurs
Internet, qui disposent là de F outil
idéal pour créer des logos en 3 D et
les animer (support Vrml et G if
animé). Voilà donc une bien belle
surprise qui vient, encore\ d'une
maison d'édition totalement
inconnue. Ce logiciel promet de
devenir rapidement incontournable.
D'une nature facilement extensible,
il pourrait même devenir
Flllustrator de la 3D ! DanSoft
conserve aussi dans ses cartons un
jeu prévu pour la fin de l'année,
ainsi que divers développements en
Java.
http:llwww.dansoft.co.nz
w m M S M m m m Ê m
Sam sung lan ce
A lp h a P ro cesso r
Inc.
d ont C om paq (lequel a racheté D igital, le pro­
priétaire de la technolog ie) e t ... M icrosoft ! Hé
o u i, le g é a n t m a u d it du lo g ic ie l se p rése n te
désorm ais com m e l'un des plus fervents suppor­
te rs du p ro c e s se u r A lp h a , re co n n u p o u rta n t
co m m e l'un des prin cip au x vecteurs de l'info r­
Le 16 juin dernier, Sam sung a annoncé la créa­
m atique alternative. L'explication reste purem ent
tion d'Alpha Processor Inc. Cette filiale aura pour
m a rk e tin g : la m a rg e de m a n œ u vre d 'A lp h a
tâch e de s'o ccu p e r du m arketing et du service
Processor Inc. se lim ite au m arché Windows NT. Il
après ven te des processeurs A lp h a, quel q u'en
fallait y penser : puisqu'lntel a estimé plus sage
de s'ouvrir aux éditeurs de systèmes Unix (certai­
n em e n t p ar c ra in te des reto m b ée s du procès
M icrosoft en cours), M icrosoft a donc tout natu­
rellem ent passé des accords avec les concurrents
de son a c o ly te de to u jo u rs. A lp h a représente
ju s t e un e x e m p le ; g r â c e à W in d o w s Ce,
M icrosoft s'est aussi allié à des sociétés com m e
Hitashi ou M ips. A l'avenir, faudra-t-il donc choi­
sir entre un m icro Intel sous Unix et un m icro
Alpha sous Windows ? L'affaire ne s'avère pas si
sim ple que cela : Intel a été désigné com m e le
fo n d e u r o f f ic ie l d e s p ro c e s s e u r s A lp h a et
Le processeur A lp ha à la p o in te de la technologie.
M icrosoft m aintient que Windows N T fonctionne­
soit le fabricant (Sam sung, Intel ou autre). En ce
ra essentiellem ent sur M erced (le nouveau pro­
sens, la com p agnie recueille le support entho u­
cesseur d 'In tel).
siaste de divers intervenants sur le m arché Alpha,
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S Y S T E M ES
1998, m auvaise an née
bataille en faisant lever l'inter­
diction de la justice, qui em pê­
c h a it
de
c o m m e r c ia lis e r
M algré les tentatives du dépar­
cès com m ercial prend déjà une
W in d o w s 9 8 , la g u e rre n 'e n
tem e n t de la ju stice am éricai­
va ste a m p le u r, ca r il d e v ie n t
continue pas m oins. De nom ­
ne, Bill G a te s a pu so rtir, en
d ifficile a u jo u rd 'h u i d 'a c h e te r
b re u x é d ite u rs in siste n t to u ­
g ra n d e s p o m p e s, sa no u velle
un Pc sans que Windows 98 ne
jo u rs auprès du d ép artem en t
versio n de W indows, la cuvée
se trouve fourni avec. L'Europe
de ju s t ic e p o u r v o ir , e n fin ,
9 8. M algré l'opinion générale,
ne subit pas la m êm e invasion
M icro so ft accu sé de c o n c u r­
le nouveau Windows a été pré­
q u e l'A m é riq u e , la so rtie de
rence déloyale.
senté co m m e une révo lu tio n,
W indows se vo ya n t,
Bill G ates s'am u sa n t à décrire
selon
l' é v o l u t i o n
in f o r m a t i q u e
re p o rté e ou e ffe c ­
actuelle com m e un équivalent
tu é e en to u te d is ­
m ultiplié par cent du dévelop­
c ré tio n , M ic ro so ft
p e m e n t d e l'a u t o m o b ile au
attend ant la fin de
début du siècle.
la
C o n c r è te m e n t , W in d o w s 98
M onde
n 'a p p o rte g u è re q u e le s u p ­
va c a n c e s p o u r se
port du D VD et des tuners TV,
m a n ife ste r p u b li­
ainsi q u'un peu plus de stabili­
q u e m e n t.
té et de rapidité, par rapport à
laisse le tem ps de
les
pays,
Coupe
et
du
des
C e la
l'a n cie n n e ve rsio n . Les autres
t é lé c h a r g e r les
am é lio ratio n s, tels q u 'In tern et
divers patches et
Explo rer 4 .0 ou le su p p o rt de
v iri d é jà d is p o ­
l'U S B , d e m e u r e n t t é lé c h a r ­
nibles.
g e a b le s g r a t u it e m e n t p o u r
q u 'il en so it, si
Quoi
W in d o w s 9 5 . M a lg ré le peu
M icro so ft
d 'in térê t du p rod uit, son suc­
gagné
a
une
T E C H N O LO G IE
La télévisio n à
reco n n aissan ce vo cale
arrive
A co rn , le c o n s tru c te u r du R iscP C , se la n ce d an s la re c o n n a is ­
sance v o ca le . L 'o rig in a lité de la so lu tio n q u 'il p ro p o se réside
dans une re c o n n a issa n c e p u re m e n t lo g ic ie lle . La ch o se s 'a v è ­
re p o ssible g râce à la p u issan ce du p ro c e sse u r StrongArm . La
SPECIA LISE DANS
LA DISTRIBUTION
D'EXTENSION
MEMOIRE DEPUIS PLUS
DE 6 ANS, CDE EST
UN GROSSISTE
MAJEUR DANS SON
DOMAINE.
v o c a tio n p re m iè re de ce m o d u le vise l'in té g ra tio n d a n s un
PARTENAIRE DE SAMSUNG
(N°1 MONDIAL DANS LA
MEMOIRE), CDE RENFORCE
SON OFFRE PRODUIT
AVEC LES CARTES ET LES
PROCESSEURS ALPHA,
SAMSUNG ETANT LE
NOUVEAU DETENTEUR DE
TOUS LES DROITS DE
FABRICATION DES
TECHNOLOGIES DIGITAL.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Un h abile déguisem ent des d eu x critiq u es du "M u p p e t S h o w ".
poste de té lé v isio n n u m é riq u e , cela afin de re m p la c e r la tra ­
d itio n n e lle té lé co m m a n d e à in fra -ro u g e s p a r des co m m a n d e s
v o c a le s . M ais les a p p lic a tio n s de la re c o n n a is s a n c e v o c a le ,
co m m e on peut le v o ir dans le m o n d e du Pc, ne se lim ite n t
pas à co m m a n d e r u ne té lé v isio n ; nul d o u te q u e les a p p lic a ­
tions de d e m ain y g a g n e ro n t en in te ra c tiv ité et en sim p lic ité
d 'u tilisa tio n . Le systèm e d é v e lo p p é p a r A co rn se ré vè le d 'u n e
CDE RESTE L’UNIQUE
REPRESENTANT EN FRANCE
DE SAMSUNG POUR
LA DISTRIBUTION DES
CARTES ET PROCESSEURS
ALPHA.
.
é v o lu t iv it é d é c o n c e r t a n t e . D 'u n e p a r t , la re c o n n a is s a n c e
éta n t p u re m e n t lo g icie lle et non pas m a té rie lle c o m m e b e a u ­
co u p , l'in té g ra tio n de n o u v e a u x m o ts re v ie n t sim p le m e n t à
m o d ifier ou ajo u te r un n o u veau fic h ie r. D 'a u tre p a rt, le lo g i­
ciel tr a v a ille e x c lu s iv e m e n t su r la re c o n n a is s a n c e d es p h o ­
n è m e s, ce q u i s ig n ifie q u 'a jo u t e r la re c o n n a is s a n c e d 'u n e
n o u v e lle la n g u e c o n siste u n iq u e m e n t à c ré e r u n e n o u v e lle
ta b le de p h o n è m e s . E n fin , là se tr o u v e p e u t- ê tre le p lu s
im p o rta n t, la re co n n a issa n ce ne se lim ite pas à la v o ix d 'u n e
POUR NOUS CONTACTER :
CDE - 29 RUE LEDRU ROLLIN
92150 SURESNES
seule p e rso n n e , au c o n tra ire de ce q u e l'o n v o it s o u v e n t. Les
TEL :01.41.44.33.33
ph o n èm es in c a rn a n t la base de to u t, a u c u n e p hase d 'a p p re n ­
FAX: 01.41.18.99.30
tissage ne se m o n tre n écessaire et le lo g ic ie l s'a v è re c a p a b le
E-MAIL: bmamou@ aol.com
de re co n n a ître les d e m a n d e s de d iffé re n te s p e rso n n e s, q u e lle
que so it leu r q u a lité de p ro n o n c ia tio n . A c tu e lle m e n t lim ité à
la la n g u e a n g la ise , le lo g ic ie l a c o rre c te m e n t ré p o n d u a u x
exig en c es de nos te ste u rs, p a u vre s p e tits F ra n ç a is te n ta n t de
se m o n tre r c o n v a in c a n ts d a n s la la n g u e de S h a k e s p e a r e ...
avec un a c ce n t d é p lo ra b le .
• Le nouveau sa te llite
d'Arm
Eh oui, Intelfigure désormais sur
l'orbite du fameux logo A rm.
Normal, lefameux fondateur
PRO CESSEU R
P o w erP C : IBM et
M o to ro la d iv o rce n t !
- -■
’ i1w * ^
■
M l
IB M
P H IL IP S
«HYUNDAI
ARM rinnH
m
tel
-^ O
OKI Panasonic
|m e c
S O N Y .
VLSI^
La co n ste lla tio n Arm .
produit et développe, sous licence
d'Arm, la famille des StrongArm,
autrefois adminsitrée p a r Digital.
Signalons d'ailleurs la sortie
prochaine d'un nouveau venu dans
la gamme : le StrongArm 1500.
http:llwww.arm.com
La no uvelle est to m b ée le 11
consoles de je u x , e tc .). En ce
juin d e rn ie r. Après six années
se n s , l'a s s o c ia t io n d 'IB M et
de
c o o p é r a t io n ,
IB M
et
M o to ro la , qui a v a it p o u r but
M otorola cessent de travailler
de reco n q u érir le m arch é des
e n s e m b le s u r le d é v e lo p p e ­
ordinateurs de bureau, n'a plus
m ent du processeur Pow erPC.
v r a im e n t lie u d 'ê t r e . IB M a
Les deux constructeurs restent
d é c id é
néanm oins les propriétaires de
attentes de ses clients profes­
de
ré p o n d re
aux
la m arque, m ais les recherches
sio n n e ls et M o to ro la s'o u v re
se fero n t sép arém ent et ind é­
d 'au tan t plus aux exigences du
pendam m ent, dans les labora­
grand p ub lic. De fait, la tech ­
to ires de c h a c u n . Le ra p p o rt
n o lo g ie A ltiV e c (in t é g r e r un
sur les ven te s de p ro cesseurs
m odule de type M M X dans un
de l'année passée a mis le feu
p ro c e sse u r P o w e rP C ) reste ra
aux
Un fro id Power.
grès de l'un profitent à l'autre.
re n d a n t
une o rig in a lité d e M o to ro la ,
com p te de la tendance actuel­
IB M ne v o y a n t p a s, à c o u rt
Il en va ainsi pour la technolo­
le : le vent tourne et l'arg ent se
te rm e , l'in té rê t q u e p e u ve n t
g ie de fa b ric a tio n en cu ivre ,
gagne m a intenant sur le m ar­
avoir des instructions m ultim é­
in v e n té e p a r IBM et u tilisé e
ch é des p ro c e s se u rs e m b a r­
dia dans leurs com posants faits
dans la p ro chaine génération
qués (p o u r té lé p h o n e s c e llu ­
pour le calcul. Cependant, il ne
d e c o m p o s a n ts e s ta m p illé s
la ir e s ,
dem eure pas exclu que les pro-
Motorola.
p o u d re s,
m ic r o s
en
de
po che,
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PO C K ET
Psion a tta q u e !
Windows Ce fait peur : le rouleau com presseur co m m er­
cial qu'est M icrosoft oblige les acteurs alternatifs du m ar­
ché des m achines de poche à réagir vite. Il en va ainsi
pour Psion, lequel vient de créer la société Sym bian avec
symbian
l'aide de M otorola. O utre Psion (actionnaire à hauteur de
40 % ), cette toute nouvelle société regroupe égalem ent
E r ic s s o n ( 3 0 % ) e t N o k ia ( 3 0 % ) . L 'o b je c t if d e
Sym bian en sym biose.
S ym b ia n co n siste
E
E P O C W o ild - M icrosoft Internet Explorer
Fidxer
£dfton
4*
,
Précédente
Affçhage
,
Aler à
&
Arrêter
Favoris
H H E I
o
2
3 )
Actualiser
4
Démarrage
a
” 3 1
Rechercher
Favoris
Historique
Chaînes
Adresse | _*] http7/devetope» epocworld com/
d
Plein écran
3
L,ens
à m ettre au point de nouveaux standards pour les périphériques
de com m unication sans f il... Une fois n'est pas coutum e, point
de Windows Ce à l'horizon, puisque C olly M yers (le tout nouveau
PDG de Sym b ian) a précisé q u 'Epoc représenterait le dénom ina­
teur com m un de toutes les futures m achines. Sym bian annonce
W r r ld
wtut /s epoc?
Symbian offers the following EPOC Software Development Kits
free of charge:
EPOC32 C++ SDK - Evaluation Edition (Pre-release)
EPOC PC ConnectivitY SDK
subscnbing
devalopers
To download these SDKs, or request a copy on CD-ROM, please
complété the Registration Form
contacts
EPOC Woïkt ntws
*hat s new here
Free EPOC SDKs
Click Itéré to iluwtilonti.
symb an
Sym b ian, et restent pour la plupart opposées à M icro so ft... Le
site de Sym bian ( h ttp ://w w w .so ftw are .p sio n .co m ) reflète d'ores
intéressés par Epoc 32 pourront télécharger une version allégées
des kits de développem ents. Ceux-ci contiennent les docum en­
tations com plètes et exhaustives, ainsi que de quoi com piler et
EPOC32 C+» SDK - Evaluation SDK (Pre release)
sitemap/search
ùack to honte
Cirrus Log ic, D ig ital, Philips, etc. Ces sociétés sym bolisent des
a c te u rs im p o rta n ts ca p a b le s de c ré d ib ilise r la d é m arch e de
et déjà le ch an g em e n t de politique. En effet, les développeurs
tramwg
conférences
un partenariat avec JavaSoft (filiale de Sun), O racle, Arm , Citrix,
The EPOC32 C++ Evaluation SDK contains everything you need to start
developing EPOC32 applications using C++ on a PC running Windows NT
or Windows 95. It includes a full copy of the latest EPOC32
documentation and the complété tool-chain needed to compile EPOC32
programs using a supported compiler Using the Windows hosted
emulator, you can run and debug EPOC32 programs in an environment
which completely reproduces ail currently released target platforms.
■0 zone Internet
Sym bian le m alin.
tester des applications sur un ém ulateur (sous Windows). Pour
produire des exécutables destinés aux processeurs Arm (dont le
Psion Sériés 5, le Geofox), il faudra investir dans les 600 ou 1600
francs que coûtent respectivem ent les versions com plètes Opl et
C++ du kit de développem ent Epoc 32. Cette offensive de Psion
est assurém ent à suivre de très près ! Les kits à télécharger rési­
dent sur http ://d e velo p er.ep o cw o rld .co m .
Tous les m ob en kiosque 58 franco arec son CD-Rom !
-
■Hl
[ îm W M r l
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Chaque m ois,
le m agazine +
2 CD-Rom = 42f
Ludi-CD :
Exclusif !
Le 5ème Elément
CD-Pro :
Netscape v4.05 complet vf
La démo jo u a b le de Leelo
n avig ateu rs W eb est
et Korben D allas au x prises
e n fin disponible en version
avec d 'h o rrib les aliens.
4.0 5 fra n çaise .
Le plus célèbre des
üava; au cœur
IU
Systèmes embarqués ou distribués, indépendance
matérielle et logicielle, l'informatique de demain sera
Java ou ne sera pas. Voilà en tout cas ce que souhaite
Sun, qui n'a cessé depuis notre précédent dossier de
multiplier les améliorations de son enfant prodigue.
Une mise au point s'imposait donc.
L
e co n c e p t de l'o rd in a te u r p erso nnel ap p araît
aujourd'hui de plus en plus dépassé. La machine
isolée qui se suffit à elle-même et avec laquelle on
fait tout ne correspond plus aux besoins de l'utilisateur.
A l'heure actuelle, qu'il s'agisse de Sun, de Microsoft,
d'Oracle ou même du simple particulier, tout le monde
s'accorde à dire que le travail avec Internet n'est encore
qu'un amuse-gueule face à ce qui reste à venir. Bientôt,
les Pc et les logiciels tels qu'on les connaît céderont la
place à des environnements hautem ent interactifs, à un
échange d'informations permanent, à des applications
d istrib u ée s à l'é ch e lle m o n d iale , à de
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gigantesques banques de données, à une
fédération de l'inform atique réunissant
tous les outils : du téléphone portable jus­
qu'au serveur d'entreprise. Et tout cela
avec un confort d'utilisation à faire rêver
les ergonomistes... De la science-fiction ?
Assurém ent pas, au vu du développ e­
ment de ces technologies durant les deux
d e rn iè re s
an n ées.
C e p e n d a n t,
les
meilleurs projets se heurtent aujourd'hui à
un problèm e de taille : développer les
logiciels du futur avec les outils actuels ne
se m ontre guère efficace. Pour répondre au besoin
grandissant des utilisateurs, il demeure nécessaire de
d isp o se r d 'u n e te c h n o lo g ie sim p le , un iverse lle et
capable de réduire les coûts de développement tout en
assurant la pérennité de l'investissem ent. Une telle
constatation a amené Sun à ressusciter son projet java,
développé initialement pour une toute autre utilisation
(la conception d'une télécom m ande universelle), puis
abandonné. Pendant ses trois premières années, Java
connut un succès considérable et un rythme d'évolu­
tion encore jamais vu. Aujourd'hui, cette phase s'achè­
ve : java devient m ature, solidem ent im planté sur le
marché et doit faire ses preuves pour se voir définitive­
m ent consacré nouveau standard de l'inform atique.
Dans cette perspective, 1998 fait figure d'année décisi­
ve pour l'avenir de Java ; le fait qu'il s'agisse également
du m o m e n t où se jo u e une p artie de l'a v e n ir de
M icrosoft est révélateur, com m e nous y reviendrons
plus d'une fois dans ce dossier.
Les promesses de Java
Pourquoi l'introduction d'un nouveau langage représen­
te-t-elle pareille révolution ? Com m e nous le verrons
S I?
Ànyware Office
File
Tools
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Warning: Àpplet W indow
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_£'o£ll UrragnedJavaApcte'Wevtov.
Une su ite bu rea u tiq u e co m p lè te d a n s un b ro w se r w eb !
plus loin, Java ne constitue pas simplement un langage
docum ents de m anière transparente, com m e s'il les
de programmation mais permet une réelle indépendan­
avait sous la main. En réalité, ceux-ci se trouvent sur le
ce vis-à-vis du matériel et du logiciel sous-jacents. Il suffit
serveur, lequel peut se situer dans le bureau d'à côté
qu'un système puisse faire tourner une JVM Qava Virtual
com m e à l'autre bout de la planète. On ne copie donc
Machine) pour que toutes les applications en Java lui
plus un docum ent pour un collègue, on lui indique sim­
restent accessibles sans recompilation. Non seulement,
plement l'URL où il le trouvera.
le programme peut être exécuté sur de nombreux ordi­
L'arm e anti-M icrosoft ?
nateurs, mais en plus il se présente et se comporte de
Derrière ses promesses souriantes, Sun ne cache pas le
manière identique sur tous ces systèmes. L'avantage se
moins du monde son but : Java n'a pas d'autre objectif
montre évident : le programmeur com m e l'utilisateur
que de permettre à Scott M cNealy (le PDG de Sun) de
n'a pas à prendre en compte le système sur lequel il tra­
devenir Bill Gates à la place de Bill Gates. En répondant
vaille. Ce concept (write once, run m any) fait la part
à l'appel des développeurs et en m ettant en exergue
belle aux systèmes alternatifs, puisque dans le monde
que Java reste ind épendant du systèm e utilisé, Sun
que nous propose Sun, on choisit un système d'exploi­
com pte séduire les clients et, au final, les utilisateurs. La
tation pour ses qualités intrinsèques (stabilité, rapidité,
mayonnaise prend, puisque Sun a été rejoint dans ses
prix) et non en fonction des applications qui fonction­
projets par les plus grandes entreprises du m onde du
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nent dessus. Attention tout de même à ce qu'une JVM
logiciel, qui caressent toutes le m êm e rêve secret et
de bonne facture se trouve disponible sur votre système,
éprouvent les mêmes "sym pathies" envers la société de
java ne s'arrête pas en si bon chemin et s'attaque à un
Redmond. Voilà com m ent se constitua la gigantesque
autre grand problème de la micro-informatique d'au­
alliance autour de Java, que les moqueurs se plaisent à
jourd'hui : les formats de fichiers. En effet, actuellement,
appeler NOISE (Netscape, Oracle, IBM , Sun Et caete­
il s'avère quasiment nécessaire de posséder le logiciel
ra ...). Certes, java ne sym ­
qui a contribué à la création d'un docum ent pour pou­
bolise pas la première ten­
voir exploiter celui-ci. C'est le cas, notam m ent, d'une
ta tiv e
feuille de calcul Excel ou d'un texte tapé sous Word. Avec
M ic ro s o ft, m ais p o u r la
java, on ne parle plus de docum ents, mais d'objets.
première fois, le géant du
Ceux-ci constituent des entités, qui renferment à la fois
logiciel doit réellem ent se
les données du docum ent et les paramètres ayant per­
p o ser des q u e s tio n s . La
■r* Car
de
re n v e rs e r
mis de les créer. Ces m êmes paramètres perm ettent
NOISE, inquiétante en elle-
ensuite de modifier les données. Cela se révèle possible
m êm e, se voit en effet sui­
grâce aux concepts introduits par Java, tels les Java
vie par une quantité d'en­
Beans ou même les applets. Plutôt que d'utiliser un trai­
trep rises, telles q u'A p p le,
tement de textes sur-sophistiqué et un énorme tableur
Inform ix, Corel, Applix ou
pour élaborer un m alheureux tableau, on utilise un
A co m , en passant par les
composant qui s'occupe de créer des tableaux et un
petites start-up qui espè­
autre qui se chargera d'insérer du texte. Ainsi, l'objet
rent se trouver ainsi à l'abri
transmis reste léger et se suffit à lui-même.
du rouleau compresseur de
Enfin, Java s'attaque à la simplification de l'outil informa­
R e d m o n d . Et M ic ro s o ft
tique pour le non-informaticien. Plutôt que de compli­
réalise la menace qui pèse
quer la vie de l'utilisateur de base en introduisant de
s u r lu i : ses " m is e s en
nouveaux concepts, on efface jusqu'à la notion de
g arde co n tre Java" telles
fichier, et cela presque de manière anodine, tant cela
que
dem eure in trin sè q u em e n t lié à la n atu re de Java.
Im aginez un bug dans un
Puisqu'un Network Com puter ne possède pas de péri­
cardio-stimulateur program­
phérique de stockage, tout utilisateur accèd e à ses
m é en J a v a ..." , " Ja va est
" Ja v a p e u t tu e r !
(omo «
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A p p lix au service du fo ot.
_______
A p p lix A n yW a re est en to u t p o in t sem b la b le à sa p e tite so eu r A p p lixW a re.
dangereux ! C'est une technologie propriétaire !" (contrai­
po ssib le d 'u tilise r Java p o u r la n ce r de petits pro­
rem ent à Windows, sans doute)... "Java n'est pas intéres­
gram m es (applets) via un browser, mais là réside la
sant, il ne permet pas d'écrire une application utilisant les
seule parenté de Java avec le Htm l. Il convient d'aileurs
s p é c ific it é s d e W in d o w s (e n c la ir d é p e n d a n te de
de différencier le Java 1.0.2, dont l'office consiste essen­
Windows)" etc., aussi bien que sa politique "ça passe
tiellement à produire des applets et Java 1.2, qui intro­
ou ça casse" pour forcer l'utilisation d'Internet Explorer
duit de nom breux concepts et s'emploiera pour des
au détrim ent de tout autre navigateur, ainsi que les
applications professionnelles. Par ailleurs, l'indépendan­
déclarations annonçant que "M icrosoft est le premier
ce vis-à-vis du système ne signifie pas que vous pouvez
fournisseur de technologie Java" (mais malheureusement
ressortir votre Amstrad de ses cartons pour autant. En
non compatible avec Java) illustrent très bien la situa­
effet, d'une part Java requiert une machine puissante,
tion. Cependant, les aspirations de la NOISE se révèlent
et par ailleurs, il s'avère inutile d'espérer utiliser une
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à peine plus légitimes que celles de Bill Gates et la réali­
JVM sur autre chose qu'un OS moderne. En somme, on
té a de quoi inquiéter. Ainsi, Java est validé ISO et se
peut sans risque avancer que Java concerne surtout
trouve en passe de devenir une norme officielle de l'in­
Windows et les Pc (du côté du client) : afin de pouvoir
du strie ... oui, mais sous le contrôle exclusif de Sun !
offrir à l'utilisateur de demain une vision totalement dif­
U ne no rm e in d u strie lle ap p a rte n a n t à une u niq ue
férente de l'informatique, Java doit d'abord s'implanter
entreprise ? Etrange... Com m e quoi, la victoire possible
et pour cela, il reste nécessaire que personne n'ait à
de Sun ne représentera pas nécessairement une victoire
d é b o u rs e r un c e n tim e . Java s 'in s ta lle p ar-dessus
pour le com m un des mortels.
Windows (parce qu'il incarne le système le plus répandu
Réalités et idées reçues
à l'heure actuelle) pour petit à petit le supplanter. En ce
Bien évidem m ent, tout ce que promet Sun ne s'avérera
qui concerne le serveur, seul un Unix bénéficiera de la
possible que lorsque tout le monde se verra en perma­
robustesse et de la sécurité requises.
nence connecté en réseau, lorsque réseau local équi­
vaudra à Internet. O r, la conjoncture actuelle ne per­
m et
File
():
Edit
View
Program
Commands
Statu s
© <»' ? a .
I1 st-> n ex t-> n ex tj
3 : * l is t - > n e x t
|2: * l 1 s t
1: U s t
( L i s t * ) 0x804aee8
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|
v a lu e - 86
s e l f - 0x804aef8
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v a lu e - 85
s e l f - 0x804aee8
pas
d 'a v o ir
la
b and e p a ssan te su ffi­
Source
sante ;
il faudra donc
a tte n d re
e n c o re
sateurs. Parmi les idées
Considéré comme une technologie révolutionnaire,
Java incarne avant tout un langage de
programmation-objet doublé d'un environnement
d'exécution universel. Levons le voile sur ces
notions qu 'il s'avère indispensable de maîtriser
reçues, certaines résul­
pour embrasser la puissance de Java.
quelques années pour
que le docum ent sup­
p la n te
l'a p p lic a t io n
dans le coeur des utili­
d e le t e lis t - > n e x t - > n e x t i
d e !l \ l
1 1 s t7 >neXt:
K L I s t ♦) 0 x8M af0 8l
Java, com m ent ça
m arche ?
te n t e s s e n tie lle m e n t
d 'u n e d é sin fo rm a tio n
There are three ways to show the value of a variable
• Vou can view rts value, simply by pointing at rt;
• You can prtnt rts value in the debugger console, uslng FYInt (),
• You can display it graphlcally. using'Display ( )
J
(gdb) graph d is p la y • ( lis t - > n e x t - > n e x t - > n e x t ) dépendent on 4
(gdb) f
c e r t a in e
du
p u b lic .
T o u t d 'ab o rd , Java ne
sert pas à élaborer des
i le concept de langage objet se montre familier
S
pour les fidèles lecteurs de Dream, nom breux
sont ceux qui déplorent d 'entend re ce m ot à
chaque pas sans savoir exactem ent de quoi il s'agit.
p a g e s W e b , et ne se
Nous ne parlerons donc pas de java sans démystifier la
lim ite en aucu n cas à
c h o s e . D a n s les la n g a g e s c la s siq u e s (C , P a sca l,
une extension du Html
Fortran...), la réflexion s'opère autour des algorithmes :
(e n c o re m o in s à un
un problèm e doit se décom poser en problèmes plus
DDD perm et m aintenant de déboguer
dérivé de JavaScript). Il
simples et eux-mêmes en actions élémentaires. Le lan­
les program m es Java.
d e m e u re c e p e n d a n t
gage constitue ainsi un ensemble d'ordres qu'on peut
list->nexl->nexl - ( L i s t • ) 0x804af08
donner à la machine. Il se révèle incapable d'exprim er
ce qu'on fait, mais se trouve en mesure de décrire com ­
S y s t è m e s t e m p s réel
ment on le fait. Voilà com m ent l'informatique se voit
L 'id é e ré p a n d u e s e lo n la q u e lle l'in fo r m a t iq u e
traditionnellem ent enseignée, ce qui offre des avan­
te m p s r é e l e s t s y n o n y m e d e r o u t in e s h y p e r -
tages ce rta in s : sim p le à a p p ré h e n d e r, ce m o d e
o p tim isé e s en a sse m b le u r se m o n tre to ta le m e n t
convient très bien à l'algorithm ique. N éanm oins, ce
fausse. San s re n tre r d a n s les d éta ils, diso n s q u 'u n
modèle possède d'énormes défauts. Son pouvoir d'ex­
s y s t è m e te m p s r é e l c o n s is t e en u n e h o r lo g e
pression reste restreint, tandis que les langages l'utili­
a syn chro n e, une ou plu sieu rs unités p ro ce ssa n te s
sant s'avèrent fort peu puissants et conduisent souvent
et un en sem b le d e tâ ch es à exé cu te r, a vec p o u r
le p ro g ram m e u r à des c o n stru ctio n s m a la d ro ite s,
c h a c u n e u n e d a t e - b u t o ir o ù e lle d o it se v o ir
lourdes et dangereuses (utilisation "astucie use " des
com p létée. On d istin g u e alo rs les systèm es " h a r d "
pointeurs, interminables séries de "if" ou "sw itch ", la
et " s o ft" (a u cu n ra p p o rt a vec m atériel e t lo g icie l).
plupart du temps imbriquées, code rigide et ineffica­
Les p r e m ie rs d é s ig n e n t d e s sy stè m e s " t o u t ou
ce ...). A titre d'exem ple, supposons qu'on veuille pro­
r ie n " : s o it u n e tâ c h e se tro u v e re fu sé e , s o it le
grammer un pilote automatique d'un char de combat.
systèm e g a ra n tit q u 'e lle se ra exécutée à l'h eu re.
D ans un la n g a g e p ro c é d u ra l, ce la d o n n e ra it par
Les systèm es " s o ft" ne refusen t ja m a is une tâ ch e,
exemple le code suivant :
m a is un re ta rd p e u t s u rv e n ir ; le
procédure détruire (ennemi ) :
alors fa ire en so rte que celu i-ci reste le p lu s fa ib le
tant que distance(char, enne­
mi )<distance_l imite
incrémenter char_pos
fin tant que
tant que position(ennemi)orientation différent de 0
incrémenter orientation
sy stèm e d o it
p o ssib le . Les sy stèm es tem ps ré e l p e u v e n t a v o ir
une n a tu re ta n tô t sta tiq u e , ce q u i sig n ifie q u 'u n
p la n d 'e x é c u tio n se v o it é la b o ré u n e fo is p o u r
toutes a v a n t le la n cem en t de la p rem ière tâche,
ta n tô t dyn am iqu e, ce q u i veu t d ire qu e des tâches
p e u v e n t su rg ir à to u t m om en t et qu e le systèm e
p re n d les d écision s au fu r et à m esure.
modulo 360
fin tant que
tant que non(charge_explose)
nemi
amorce <- 1
canon : tirer sur l'ennemi
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
fin tant que
Un objet de classe canon a une charge et
amorce <- 0
une orientation. Il peut s'aligner sur un
ennemi et tirer sur un ennemi.
fin procédure
Pour s'aligner sur un ennemi
Il faut par ailleurs toujours se souvenir que "char_pos"
orientation : tourner vers la
représente la position du char en mètres, "orientation"
position [ennemi : quelle en est la posi­
la direction du canon en degrés, "ch a rg e_e xp lo se "
tion ?]
vaut "vrai" lorsque la charge du canon explose, "fau x"
Pour tirer sur un ennemi
dans le cas contraire et "a m o rc e " vaut 1 lorsqu'on
amorce la charge du ca no n ... A l'inverse, l'approche
soi-même : s'aligner sur l'en­
nemi
objet ne s'intéresse pas à la m anière dont s'exécute
telle ou telle action, mais plutôt à la nature des choses
charge : exploser
Une charge est... etc.
et aux moyens permettant de les utiliser. Au lieu d'écri­
re des algorithmes qui m anipulent des variables, on
C:\FBDemo\FBDeino ipi
File
Edit
Search
View
encapsule les informations et le code qui les traite dans
Project
Build
Run
AWT Controls Containers
Tools
Help
Others
une entité unique, appelée objet. Celui-ci se suffit à luimême. On sait ce qu'il représente et ce qu'il est pos­
sible d'en attendre ; on se contente sim plem ent de lui
> Debugger
public void Run() {
FldeEnglne.wakeUpQ;
veut lui faire faire quelque chose. Les objets ayant des
propriétés com m unes form ent ce qu'on appelle une
classe : il s'a g it d 'u n e sp é c ifica tio n , q ui d é fin it la
démarche à suivre pour créer des objets. Par exem ple,
les objets "v i" et "em acs" ap partiennent à la classe
"éditeur de texte", qui constitue une sous-classe de la
classe "logiciel", elle-même incarnant une sous-classe
Source Edttor ; cA jbullderVbprojecW reebuildertfbiFreeBullder.java
Project
adresser une requête (appelée m éthod e) quand on
& C :\F B D e m o \F B D e m o J p r
O 0
java io
® (ÿfb
static public vold maln(Stnng[) args) {
O (Jg fb gui
O *rbtcoü
o
fb ; l'item
try {
Debug.isDebug = true.
FBuilder = new FreeBullderQ,
FBuilder.RunQ;
catch(ldeException e) {
System out.prlntln(e getMessageQ);
de "produit inform atique". En objet, l'exem ple précé­
dent s'écrirait ainsi :
Un objet de classe "char" a un moteur, un
O utput
canon et un ennemi. Il peut détruire l'en­
nemi .
Pour détruire l'ennemi
moteur : avancer jusqu'à l'en-
FreeB uilder : un Ja va W o rk Sh o p -k ille r !
quo i p ra tiq u e m e n t to u t le m o n d e co n sid ère java
co m m e un "C++ sim p lifié" et prog ram m e en Java
(Y) JÂw HotJrn Views
?>*
&*>*»■»
r y
EK
tjrfffts
com m e on program m erait en C++, ce qui se situe à
l'opposé de la philosophie du langage.
Une plate-form e de développement
'
Java est bien plus qu'un simple langage : il s'agit d'une
□
plate-forme de développement à part entière. Il contient
&»*
& Sun
en standard toutes les bibliothèques nécessaires à la
création d'app lications Java : les listes, les tables de
hachage et autres vecteurs existent par exemple sous
forme de classes préfabriquées et le programmeur n'a
plus à perdre du temps ni de l'énergie en implémentant
(Jÿ*—*•—W '
siT
ces primitives chaque fois qu'il travaille sur un nouveau
-^t.
projet. Les bibliothèques fournies masquent complète­
H o tJa va V iew s : un deskto p p o u r Ja va .
ment le système hôte et restent identiques d'une implé­
mentation à l'autre : la communication par sockets ou
Cependant, le modèle objet utilisé par Java est souvent
par appel d'objets distants (RMI), l'interface graphique,
mal com pris et quasim ent toujours mal utilisé. Il faut
accessible via l'Abstract W indow Toolkit (et maintenant
savoir en effet qu'il existe deux écoles de program m a­
les Java Foundation Classes), l'accès aux systèmes de
tion orientée objet. La première résulte de la recherche
base de données grâce aux primitives JDBC, etc., fonc­
théorique et se caractérise par des langages-objet "purs
tionnent sans que le programmeur sache quoi que ce
et durs". Il s'agit de langages où le principe d'objets et
soit du système sur lequel il développe ni de la méthode
de classes se trouve appliqué à outrance. Par exemple,
d 'im p lém en tatio n . Java incarne donc avant tout un
une classe désigne elle-même un objet qui appartient à
"m iddleware" très complet, qui efface toute distinction
la classe "classe". Les représentants typiques s'incarnent
entre un système et un autre. Toutes ces bibliothèques
dans Smalltalk et Objective-C. Il s'agit pour la plupart
ont en com m un une simplicité d'emploi, qui enchante
de langages interprétés, réflexifs (capables de se m ani­
les programmeurs habitués à des appels système trop
puler eux-m êm es) et donc très puissants, m ais peu
so uvent d o cum en tés de m anière ap p ro xim ative et
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
adaptés au développement industriel, ne serait-ce qu'à
accoutum és aux paramètres obscurs. Certes, à l'heure
cause de leur ésotérisme. Par opposition à ce purisme,
actuelle, Java souffre encore de l'absence de certaines
l'école dite Scandinave propose une approche beau­
bibliothèques ou mécanismes pourtant essentiels (par
coup plus pragm atique, avec des langages-objet forte­
exemple, l'échange de données inter-applications), mais
m ent typés, statiques et compilés, où les classes s'em­
les choses évoluent très vite et de nouvelles biblio­
ploient plutôt en tant que types abstraits. C++, Eiffel ou
thèques normalisées se trouvent fréquemm ent annon­
le récent beta illustrent parfaitem ent cette idée. Les
cées par Sun. Les récentes java Foundation Classes
deux courants dem eurent intéressants et offrent des
apportent une solution à un grand nom bre de pro­
cham ps d'application très vastes. Java se situe résolu­
blèmes et les API en cours d'élaboration concernent la
m ent dans la prem ière catégorie. Cependant, Sun a
reconnaissance vo ca le , l'électro n iq u e grand public
décidé d'adopter pour lui la syntaxe de C++ et de lui
(Personal Java) et les applications temps réel. Mais l'envi­
ajouter égalem ent les types classiques qui ne consti­
ronnement de développement ne concerne pas unique­
tuent pas des objets, afin de faciliter son apprentissage
ment les bibliothèques : Java contient en standard son
et de dépayser le moins possible les pro­
propre co m p ilateur, un générateur autom atique de
gram m eurs. Il acquiert donc l'ap­
documentation (javadoc), un debugger, l'AppletViewer,
p a re n c e d 'u n la n g a g e à la
perm ettant de tester les applets sans faire appel à un
S c a n d in a v e , b ie n q u 'il
gros navigateur, l'implémentation des principaux proto­
s'agisse en réalité d'un
coles Internet, etc. Java n'est bien sûr pas parfait ; cer­
frè re ju m e a u de
tains par exemple avancent que tel utilitaire fourni avec
Smalltalk. Cela
telle version de tel compilateur de tel langage se montre
e x p liq u e
meilleur que son équivalent Java. Par exemple, doc++ et
p o u r­
a fortiori cweb s'avèrent infiniment plus puissants que
javadoc. Mais la force de Java réside dans la normalisa­
tion : quiconque dans le monde programme en Java
dispose des m êmes outils qui, sans représenter forcé­
ment les meilleurs du marché, restent de bonne qualité.
La coordination de projets ou la réutilisation de codes
existants s'effectue donc avec une facilité déconcertante
pour la plupart des autres langages, ce qui explique en
partie le succès de Java.
Un environnem ent d'exécution
Tout cela nous enchante, mais là ne se trouve pas la par­
ticularité de Java qui suscite le plus d'interrogations chez
les utilisateurs : le fait qu'un programme écrit dans ce
KQTi*vaVtewt A^nttMttranon
_____
H otJm
ApplicationPaletteSetup
Contour*th*9lobai proptrtMso»th* apolkatiom
Application Païen*
Croups&Configuration
NetworkComputerPropi
NameViewDatabases
us«dInth*S«l*ct«and/<*draw*n
ApplicationPalette
Co
om
mp
passse
C
t«
lo
FlaevccaellN
Scie
tts
M
a
i
h
/
i
e
w*i
Nam*vle
NetAdmin
AddApplication«o
tflNApplicationtntry
CloneApplicationCntry
DenteApplicationItomPalette
H jv in tèg re un clien t m ail.
H a utem en t co n fig u ra b le.
langage s'exécute tel quel sur n'importe quel système,
tourner les applications écrites en Java. Voilà l'origine du
sans qu'il se révèle jamais nécessaire de le recompiler, a
cauchemar de Bill Gates : si l'utilisateur a le libre choix
en effet contribué en partie à sa célébrité. On parle dans
du système d'exploitation pour utiliser les mêmes logi­
ce cas de portabilité binaire, ce qui signifie que le fichier
ciels, ce sont toutes les bases de l'existence de Microsoft
binaire produit par le compilateur Java se montre direc­
qui s'effondrent. Cette technologie en elle-même n'a
tement portable, par opposition à la portabilité source.
rien de révolutionnaire : elle se trouva largement utilisée
Cela s'avère réalisable, grâce à l'utilisation de la Java
par exem ple lors des prem ières im plém entations de
Virtual Machine. Au lieu d'engendrer du code machine
Pascal et se situe à la base du langage SmallTalk. En ce
x86 ou Sparc, le compilateur produit le Bytecode, une
qui concerne la structure du Bytecode, qui désigne en
sorte de "langage machine virtuel" qui demeure suscep­
fait l'architecture "m atérielle" sur laquelle tourne Java,
tible de se voir exécuté par un interpréteur, véritable
on peut dire qu'il em prunte à la fois aux machines à
microprocesseur logiciel. Celui-ci peut alors connaître
piles, très en vogue dans les années 70 et 80, et au prin­
une im plém entation sur différents systèmes hôtes et
cipe des fenêtres rotatives de l'architecture Sparc (Sun
tout système qui en dispose détient les moyens de faire
oblige). Il s'agit donc d'une machine hybride où s'em-
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
zw x
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Lecteur CDPOM 5C5I 2 4 x
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Disque dur IDE 2.5 O o .............................................1 2 5 0
Disque dur IDE 5.2 O o
1290
DD SCSI UW 4.5 O o
2 390
Lecteur ZIP ATAPI interne
790
CDROM Traxdata Silver (les d ix )
120
F
F
F
F
F
F
F
F
Slizzard
Slizzard
Slizzard
Slizzard
603e+
603e+
603e+
603e+
S lizzard 6 0 3 e 160Mhz & 040 à 25 mhz.................... 2
UW 6 3 p t s
UW 6 3 p t s
N appe SCSI UW 6 3 p t s
2
240Mhz &040 à 25 m h z ............................3
160M hz & support o a o ........................ 2
200Mhz&support04O
2
240M hz& support 040 ...................... 3
S lizzard 6 0 3 e 200M hz& 040 à 2 5 MHZ
Slizzard 6 0 3 e
S lizzard 6 0 3 e
SIMM b Mo ED O
100 F
SIMM 16 Mo EDO .a
150 F
SIMM 52 Mo ED O
270 F
Soitier Atéo 1200 + Clavier
1090 F
Modem U SR S p o rts te r 5 6 0 0 0 .................... 1 150 F
Wordworth 7 .0 f r a n ç a is
490 F
CD Am inet 2 4
30 F
m hz
S lizzard 6 0 3 e
S lizzard 6 0 3 e
Slizzard
Slizzard
Slizzard
Slizzard
2604
2604
2604
2604
13 0 Mhz support 040 ouoeo
ISOMhz avec 040 à 25 m h z
200Mhzsupport04Oou060
200Mhzavec040à 25 m h z
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
450
990
590
290
F
F
F
F
300 F
450 F
5 300 F
5 650 F
6 250 F
6 600 F
Nappe SCSI
- 4 connecteurs internes M + s lo t externe F(idéal Cyberstorm) ...................................4 3 0
Nappe SCSI
- 1 connecteur DSub6 S M + 1 connecteur HE10-50 - 1 5 c m ............................................ 160
F
F
- 3 connecteurs DSub6 S M - 0 ,3 0 m ................................................................................. 2 9 0 F |
A d a p ta te u r IDE - 1 connecteur IDE 2 1/2 vers 1 connecteur IDE 3 1/2................................................................................... 5 0 F
Câble S C S I-2 - Mini D 50 M vers DS25 M .................................................................................................................................. 120 F
Route départementale 523 • 38570 TENCIN
_
_
Tel. : 0 4 7 6 4 5 6 0 6 0 - Fax 0 4 7 6 4 5 6 0 5 5 • www.pragma-info.com
Frais
d e D o rt "
Moniteurs et boîtier : 150 F
Connectiaue, RAM &logiciels : 25 F
Autre : 50 f
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Ku'iib onîun'i it-4
W-rtat«k*B vf »Cf
Je tte z vos PDA : vo ici le filo fa x en Ja v a !
pilent selon un m écanisme très particulier des bancs de
B ro w ser le w eb dep uis Hjv.
indépendant du langage et peut donc s'obtenir autre­
trente-deux registres. Le choix d'une telle architecture
ment qu'en compilant des sources java. On trouve à cet
s'avère judicieux : il facilite grandem ent la construction
égard un com pilateur Ada qui produit du Bytecode ;
de com pilateurs, et perm et, tout en conservant son
certains ont même écrit des applets entières... en assem­
indépendance par rapport à la machine physique sous-
bleur Bytecode ! Le Bytecode ne constitue pas non plus
jacente, de favoriser les processeurs Sparc, sans com pli­
un passage obligé pour exécuter un programme java :
quer l'implém entation pour autant. En outre, il demeu­
Cuile, l'interpréteur universel de G N U , se montre par
re possible de développer des interpréteurs extrêm e­
exem ple capable d'exécuter un program m e java, en
m ent perform ants. Toutefois, m algré des techniques
interprétant d irectem ent le code source grâce à un
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
d'optimisation très poussées, un interpréteur se révèle
front-end approprié. Il s'avère dans ce cas inutile de
toujours moins efficace que du code natif compilé ; il
com piler le programme en Bytecode. Une autre solu­
est vrai que les programmes java restent lents par rap­
tion consiste à le compiler non pas en Bytecode, mais
port à des équivalents C++ ou Ada. Ce qui se montre
directement en code natif et à sacrifier ainsi la portabilité
sans importance pour la bureautique ou le développe­
binaire au profit de la performance. Une méthode origi­
m e n t d 'in te rfa ce s u tilisa te u r d e v ie n t un p ro b lèm e
nale, également envisagée par G N U , est d'engendrer
majeur lorsqu'il s'agit de program m er des serveurs ou
un exécutable natif à partir d'un binaire Bytecode : il
des applications reposant sur des calculs intensifs. Une
s'agit en quelque sorte d'une interprétation différée.
solution très utilisée actu e lle m ent s'incarne dans la
Enfin, la société Rockwell & Collins, spécialisée dans les
compilation "just in tim e", au vol. Au lieu d'interpréter
instruments de vol pour avions, fabrique de véritables
le Bytecode pas à pas, la m achine virtuelle engendre du
processeurs Bytecode, c'est-à-dire des puces où les pro­
véritable code natif, exécuté directem ent par le proces­
grammes java tournent en natif, sans machine virtuelle.
seur. Les perform ances se m ontrent excellentes dans
Ces processeurs s'emploient actuellement dans les sys­
certains cas et désastreuses dans d'autres. Il arrive par
tèmes embarqués de R&C, mais d'autres constructeurs
exem ple que le navigateur Hotjava trahisse une plus
se déclarent intéressés par une telle technologie. Bientôt
grande lenteur avec le just-in-time, par com paraison
java sous forme de cartes PCI ?
avec l'interprétation classique. En effet, les applets ne
souffrent généralem ent pas trop de la lenteur (elles
sont faites pour cela) et l'utilisateur ne se voit ainsi prati­
quem ent pas pénalisé lorsqu'il utilise un interpréteur.
Avec un com pilateur jlT, toutefois, chaque
:™ = =
« » .» »
Développer en Java !
ç>crc?',cr'Oc*><r cF1
-4W-
applet chargée doit se trouver com pilée
lorsqu'elle se lance, ce qui dure un certain
temps. De fait, lors du chargem ent d'une
page W eb avec des applets, l'utilisateur a
l'obligation d 'atten d re leur co m p ilatio n,
p o u r un gain de p e rfo rm an ces som m e
toute négligeable !
•E«Q
•CD Dream
•Courant Alternatif
•Dossiers
• Labokom
• En critique
•Forum lecteurs
Les alternatives possibles
Bien que le principe de la machine virtuelle
n distingue trois sortes d'outils de développe­
pur java", il existe d'autres techniques. Le
O
B yte co d e est dans une ce rtain e m esure
exécuter les program m es Java. Il se m ontre suffisant
reste en théorie le seul m odèle autorisé
pour les applications compatibles "1 0 0 %
H o tja va est co m p a tib le H TM L 3 .2 .
Pour que Java s'impose dans le monde de
l'industrie, il doit entre autres se révéler facile de
développer des applications professionnelles avec
des outils simples. Sun l'a bien compris,
puisqu 'outre son obscure jdk, le géant du réseau
fournit lui-même de fort beaux environnements de
développement graphiques.
ment pour java. Tout d'abord, la plate-forme
de référe nce, le JD K de Sun, qui s'im pose
com m e l'en viro n n e m en t de base pour com p iler et
pour créer des applications complètes et seul un édi­
__________________________________________________
teur de textes classique sera requis. Selon le type de
Dream p ro f
développement envisagé, on prendra soin de ne pas
oublier le BDK (Bean Developm ent Kit) et les JFC (java
Foundation Classes). To u t cela se trouve disponible
gratuitement (mais non redistribuable à profit) sur le
site de Sun pour les versions Solaris et WindowsNT et
sur http://w w w .blackdow n.org/java-linux pour les ver­
sions Linux. Désormais, on trouve non seulem ent des
environnements graphiques de développem ent ( Visual
C++ et consorts), mais aussi des Visual /++, qui per­
m ettent de créer un program m e en une dizaine de
clics de souris et quelques lignes de code. Visual /++
de Microsoft constitue un mauvais exem ple, puisqu'il
• JavaScrip t
JavaScript est un langage de script introduit p a r Netscape,
autorisant un peu de programmation événementielle au sein
d'un document Html. I l n'a aucun rapport avec Java.
• JavaOS
Implémentation de la machine virtuelle Java sous forme de
système (Texploitation indépendant. Une machine sous
JavaO S n'a besoin d'aucun autre logiciel pour remplir son
rôle. Notons également te lancement du projet JO S (JavaOS
en Free Software).
ne s'avère pas com patible Java ; il incarne en quelque
sorte le Java de Microsoft, destiné à concurrencer celui
de Sun. Inutile de dire que V/++ élabore des p ro­
choisir et assembler les Beans. Ceux-ci conduisent par
gram m es qui ne to u rn ero n t, pour certains d 'en tre
ailleurs à une grande rigueur de conception et favori­
eux, que sous Windows, d'où l'intérêt de la chose... A
sent la robustesse et la stabilité des logiciels. Pour ne
part cela, il existe bon nom bre d'outils de ce genre. Il
rien gâter, disons encore que créer son propre Bean
s'agit de programmes classiques qui ne tournent que
(que d'autres pourrons alors utiliser) s'avère d'une rare
sous l'OS pour lequel on les a conçus et ne sont pas
sim plicité ; nous ne donnerons pas d'exem ples ici, car
écrits en Java. L'avantage provient d'une grande rapi­
ils feraient appel à certaines notions théoriques qu'il
dité d'exécution et d'une bonne intégration dans l'en­
dem eure impossible d'aborder dans de bonnes condi­
vironnem ent déjà existant ; en outre, ils perm ettent au
tions sans une parfaite com préhension de la program ­
programmeur d'avancer en terrain connu. Cependant,
m a tio n o b je t. C o n tra ire m e n t à des te c h n o lo g ie s
cela revient finalem ent à faire du cross-development et
co n cu rren tes existan te s, les Beans ne reposent sur
les JVM ne se révèlent pas toujours standards (le cas de
aucune API ou système particulier, ce qui explique leur
/++ s'observe égalem ent avec Visix sous Linux).
fo rce et leur sim p licité . Alors que les co m p o san ts
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Enfin, les m êm e outils existent en Java. Il s'agit là des
OpenDoc étaient program m és à l'aide d'une quantité
déjà connus Java WorkShop et Java Studio de Sun ou
incroyable d'appels systèm e, les Beans se créent en
du bientôt célèbre FreeBuilder (sans o u b lier Xelfi et
Java le plus n atu re lle m e n t du m o n d e g râce à des
JForgé). Ils présentent l'avantag e, co m m e to ut pro­
"design patterns" (des règles syntaxiques simples qui
gram m e Java, d'être exécutable partout et ils implé-
guident le program m eur). Ensuite, les Beans fonction­
mentent souvent m ieux la philosophie java (gestion
nent au moyen de l'introspection, un m écanism e axé
graphique évoluée des Beans, etc). Il reste probable
sur l'architecture "tout-objet" de Java, qui perm et à un
qu'à terme, ce genre d'outils s'im posera pour la créa­
program m e de com prendre et de faire coopérer des
tion d'applications en java.
Beans sans avoir la m oindre idée de ce qu'ils font réel­
Les Java Beans
lement.
Java modifie en profondeur la m anière de développer.
Freins actuels
La p ro g ram m atio n de lo g icie ls co m p le ts, m o n o li­
Evidem m ent, Java possède aussi son lot de défauts et
thiques, vo lum ineux et chers ap p artien t au passé :
place aux java Beans. L'idée qui se cache derrière se
montre très simple : on développe de petits com po­
sants qui remplissent un rôle et un seul, et qui sont
réutilisables et aussi génériques que possible. Il s'agit
d'un principe qu'Apple prévoyait de mettre en vigueur
K lC E M ail
File
ces derniers temps. Les Java Beans, qui en ressuscitent
les aspirations, réalisent le vieux rêve des "logiciels en
kit", assimilables à des collections de pièces que cha­
cun peut assembler, afin de construire très facilem ent
l'application recherchée. Pour l'utilisateur, c'est une
Mail
la ] i â
° ,
O;
O
O
;
mrmail
jmail
imtest
rn rp o p
aubaine. Il ne se trouve plus obligé de se doter d'un
logiciel ruineux, qui occupe la totalité de son disque,
et n'a plus à chercher parmi les milliers de fonctions
a ï
tim e@ ice.com
time@ ice.com
time@ ice.com
greg@ wildfire.com
To
icemail-ann@ c
dog@dog net.uk
[email protected]
tim e@ ice.com
Subject
R elease 2.5 available
Re: P 0P 3 patches
Re: P0P3 patches
large am ounts o f m essages
«
■
From. tim e@ ce.com
S u bject R elease 2.5 available
To: icemail-ann@ career.ice.com
Date: Wed May 13 13:02:57 E D T 1998
Release^2.5 of ICEHail is now available for download.
This release was prompted by the latest Swing release.
The new Swing release caused several bugs to manifest
in ICEHail and these have been fixed. Àlso fixed a bug
related to JIT compilation. ICEHail now appears to run
with JIT with no problems. A big performance improvement!
superflues la seule qui l'intéresse vraim ent : un simple
<http://www.ice.com/icemail/>
Java Bean suffit. Le program m eur a égalem ent tout à
cm .
j j ►|
gagner : avec une bibliothèq ue de Beans suffisam ­
i
ment riche, la quantité de code à écrire chute vertigi­
Folder *inbox'opened.
neusement, l'essentiel du développem ent consistant à
Help
From
O & dev
O & doc
o Cbicev»
O &Hsts
O & mise
ïlllî» L
O ei
ûpeod
o a workl
O < edsel
Config
s ? 1-
S Stores
• S time
O û inbo>
avec OpenDoc, que le co n stru cte u r à la pom m e a
abandonné avant diffusion, com m e elle aime à le faire
Edit
à
ICE Engineering.
382
IC E M a il : très é lég a n t g râ ce a u x JFC.
connu autre chose que Windows ne voit pas l'intérêt
Les ag en ts
intelligents
de ces nouvelles technolog ies. Une fois de plus, la
Les agents intelligen ts co n stitu en t des logiciels ca pab les d 'a g ir seuls, de p ren d re
m éconnaissance de ce qui se fait ailleurs et la désinfor­
des d é c isio n s et d 'a s s u re r leu rs fo n c tio n s sa n s in te rv e n tio n h u m a in e . D ans
mation expliquent bien des m aux.
quelques années, un réseau se trou vera p a r exem ple a d m in istré p a r un ag en t
Java et le Free Software
intelligen t fa isa n t le to u r des sta tio n s. Sur ch a q ue p o ste, l'a g e n t vérifiera que
Java représente une des technologies les plus proprié­
to u t fo nctionne correctem ent, p re n d ra les m esures q u i s'im p o se n t (il p o u rra p a r
taires qui soient. Seul Sun le développe et se trouve en
exem ple en vo yer un m a il d 'a ve rtisse m e n t a u x u tilisa teu rs si le d isq ue s'a vè re
mesure d'im poser tout ce qu'il veut sans rien deman­
sa turé) et vérifiera si une nouvelle version des logiciels installés est disp on ible. Il
der à personne (et la reconnaissance ISO ne change
se m o n tre ra ca p a b le de la té lé ch a rg e r et de l'in sta lle r a u to m a tiq u em en t, de
pas én o rm ém e n t le p ro b lèm e ). En conséquence, il
même que de fa ire des recherches su r In tern et et d 'in sta lle r le p ilo te du nouveau
d e m e u re c la ir q u e c e la ne fa v o ris e pas le Free
périp hériq ue branché. A près quoi, il co nsign era toutes les info rm ation s su r l'é ta t
Software, ennem i juré de tout ce qui se révèle plus ou
d e la s t a t io n d a n s u n e b a s e d e d o n n é e s p o u r u n e v é r ific a tio n u lté rie u re
m o in s p ro p rié ta ire . C e p e n d a n t, q u e lq u e s projets
éventuelle, a v a n t de s'a u to -télécha rg er su r la m achine su iva n te...
sérieux voient le jour. Notons, parmi les plus impor­
tants, japhar, une JVM entièrem ent Free Software, tya
de petits m anques. O n entend souvent parler de la
(un com pilateur JIT), le fam eux FreeBuilder et Guavac,
lég end aire len teu r de Java, m ais s'il reste vrai que
le com pilateur Java plus rapide que Javac. Cependant,
l'exécution de code Java se trouve ralentie par la phase
g a g e o n s q u e si la c o te de Java
d'interprétation, l'évolution actuelle des technologies
Softw are ne tardera pas à s'occup er du cas Sun et
laisse penser que b ien tô t, le co m m u n des m ortels
fournira bien vite des logiciels de qualité en Java.
g ra n d it, le Free
pourra utiliser Java co n fo rtab lem e n t. Bien sûr, Java
demeurera toujours plus lent qu'un langage com pilé
com m e le C++, mais tout le m onde n'a pas besoin de
ce genre de rapidité. S'il y a bien un dom aine à la
m ode et qui gagnerait à em boîter le pas à Java, ce
Les applications
en Java
serait celui des CD-Roms intéractifs de vulgarisation ou
de culture générale. En effet, la plupart du tem ps, ces
CD -Rom ne fo n ctio n n en t que sous Windows et ont
A l'heure actuelle, il se montre inconcevable de
vouloir imposer une nouvelle technologie si elle ne
permet pas d'exécuter des applications
intéressantes. On adresse également moult fois ce
reproche à l'informatique alternative. Etudions
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rarem ent besoin d 'une grande vitesse d 'exécu tio n .
C ependant, qui oserait affirmer à un créateur de tels
C D s q u 'il va d e vo ir ap p re n d re la p ro g ra m m a tio n
orientée objet pour pouvoir faire profiter son public
des merveilles du Louvre ? O n gagnerait donc à voir
apparaître des méthodes simples pour développer du
donc les applications disponibles pour Java, ses
domaines de prédilection, ainsi que les secteurs
laissés pour compte.
"Java m ultim édia". Une seule chose n'est pas de natu­
re standard dans ce langage : l'installation. Cela pose
d'ailleurs certains problèm es. En effet, un logiciel en
Java a besoin de l'interpréteur mais aussi de connaître
es caractéristiques de Java le prédestinent à un
L
va ste c h a m p d 'a p p lic a tio n s. Java se m o ntre
aujourd'hui très présent sur les pages Web sous
l'em placem ent de certaines classes. Si Sun fournit des
form e d'applets permettant de consulter son compte
scripts shell de mille lignes pour lancer java WorkShop,
en banque, réserver des billets de train ou d'avion ou
d'autres ne nécessitent qu'un simple clic. A quand une
sim plem ent égayer les pages avec plus d'interactivité
m éthode d'installation standard ? Enfin, le principal
que ne le p e rm e tte n t H tm l ou Ja v a S c rip t. Le site
frein au développem ent de Java semble avoir la même
h ttp ://w w w .g a m e la n .co m par exem ple propose des
identité que celui s'opposant à l'inform atique alternati­
centaines d'applets classées dans différentes catégories :
ve. Tel le caneton prenant la première personne qu'il
utilitaires graphiques, bureautique, jeux, etc. java trouve
voit pour sa mère, l'utilisateur de base qui n'a jamais
ainsi naturellement sa place partout où il s'agit de pro­
gram m er le côté client d'une application client/serveur,
A v a ild b le J D K v e rsio n s
en offrant la simplicité de développement et l'universali­
ava version "JDKÏ 2"
java version "JDK1.1.6*
java version "J DK1.1 5‘
java version "JDK1.0.2'
té qui faisaient défaut aux solutions traditionnelles. Le
Path of JAVA. EXE
|
' Ot ,-t i .
............-
J
Çlass path:
J
Source path:
J
I
Edit
le W eb, toutes les applications se présentant sous forme
lieu d'utiliser un ordinateur coûteux, difficile à adm i­
nistrer et peu fiable, l'utilisateur ne possède qu'une
Doc path:
Delete
versel, qui ne permet à l'utilisateur que de naviguer sur
d'applets : bureautique, imagerie, mail, news, etc. Au
:rc r-pjo
New
lo g ic ie l IC Q p o u r Java en c o n stitu e un e x c e lle n t
exem ple. Il repose sur le concept du client léger et uni­
J
OK
Cancel
Help
petite console très simple fonctionnant sous JavaOS, le
navigateur Hotjava faisant le reste. Toutefois, Java ne
se trouve pas lié au W eb et co n vie n t ég alem ent à
d'autres types d'utilisation. O n peut m êm e dire que
ju s q u 'à l'a rrivé e du 1.2, b ea u co u p d e lo giciels écrits en ja v a
son véritable potentiel se situe ailleurs : Java jette en
d é p e n d ro n t d e la version du jd k .
effet un pont entre les différentes plates-form es et
A.D.F.I. APPLICATION
04 . 73 . 34 . 34.34
devient incontournable pour
Magasin : 47 avenue de la libération
63000 Clermont Ferrand - FRANCE
intégrer des environnem ents
Port total = 5 0 F Assurance = +30F Prioritaire = +20 F.
h é té ro g è n e s. G râ c e à Java,
VENTE - REPARATION - CONSEIL
faire travaille r ensem b le des
Le saviez-vous? A.D.F.I. est la plus ancienne société
d'édition et de revente française sur Amiga.
applications sous AS/400, Unix
et N T par e xe m p le ne pose
aucun problème. Les perspec­
tives pour les années à venir
s'avèrent immenses : à ce pro­
pos, une technologie actuelle­
Cytron 99 ’
m ent en plein essor est celle
des a g e n ts in te llig e n ts (c f.
encadré), qui font largem ent
Kursty 9 9 1
appel au code migratoire (des
p ro g ra m m e s q ui " d é m é n a ­
g e n t" d 'u n e m a ch in e à une
autre pendant leur exécution). Grâce à sa sim­
encore, Sun co m m ence à le m enacer sérieu­
plicité, à sa norm alisation et à la portabilité
s e m e n t en p ro p o s a n t son P e rso n a l ja v a ,
binaire, java apparaît com m e l'outil idéal pour
im p lé m e n ta tio n e t kit de d é v e lo p p e m e n t
développer de telles applications.
java pour appareils électroniques. De n o m ­
La bureautique
b re u x co n stru cteu rs, et pas des m o in d res,
Voilà bien un dom aine de l'Inform atique qui
préfèrent aujourd'hui résolum ent cette voie :
c o m p te p o u r les é d ite u rs d e lo g ic ie ls .
M o to r o la ,
Heureusement, Java ne dem eure pas en reste.
A u jo u rd 'h u i, Java réside d ans des cartes à
P s io n ,
Stieel 9 9 1
Tinysweek 99
S c h lu m b e r g e r ...
Si Sun change en profondeur la façon de tra­
p u ce et m ê m e d a n s des té lé p h o n e s p o r­
vailler des utilisateurs, co m m e nous l'avons
tables, les prem iers portables Java étant dis­
déjà expliqué (encapsulation, disparition de la
ponibles, précédant ainsi les PDA, très bien­
notion de fichier et a fortiori de fo rm at de
tôt diffusés à leur tour. Il reste pour l'instant
fichier), java pour sa part prend le pli et pro­
im possible de prévoir l'issue de cet affronte­
pose des outils en tous points semblables aux
m ent, m ais le jo u r où l'on verra "Java eve-
utilitaires actuels, afin de faciliter la transition
ry w h e re " ne tie n t p ro b a b le m e n t p lus de
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et surtout de permettre aux éditeurs de voir
l'u to p ie . L'a u tre g rand ch a lle n g e s'in ca rn e
leu r p ro d u it d iffu sé su r un m a x im u m de
d a n s le m o n d e trè s fe rm é d e s s y s tè m e s
plates-formes. Prenons le cas d'AnyW are, la
em barqués et tem ps réel, quasim ent m ono­
Foundation
2 69'
suite bureautique d 'A pp lix en Java. Il s'ag it
polisé aujourd 'hui par des systèm es très spé­
d 'une parfaite répliq ue de Applixw are, que
cialisés et par le langag e A d a. A cette fin ,
tout un chacun peut utiliser depuis son brow­
Sun a racheté la société C horus, spécialiste
Shado® of
cht vKï»
ser web sans jamais l'avoir installé. Dans le cas
d e ce typ e de te c h n o lo g ie , et d é v e lo p p e
d'une entreprise, il vaut donc m ieux acheter
Em bedded Java, une version de Java destinée
plusieurs Ne et un gros serveur (ce qui par
au x systèm es em barqués. Là, on a le droit de
ailleurs devient beaucoup plus simple à adm i­
rester sceptique quant au succès de l'opéra­
nistrer). Que les aventuriers se rassurent, Lotus
tion : ces applications exigent en effet la cer­
propose eSuite qui, à grands renforts de Java
tification des prog ram m es (soit une preuve
Beans, préfigure la bureautique de dem ain.
fo rm e lle de leu r co n fo rm ité a u x sp é c ifica ­
L'avenir de java ?
tions) et Java s'y prête beaucoup m oins bien
L'évolution de Java n'est pas term inée, loin
q u 'A d a. En d 'au tres term es, si Java s'avère
s'en faut, java devra à présent se battre sur
très sûr face au C ou au C++, il reste encore
deux fronts à la fois. En tout prem ier lieu, il
insuffisant pour développer ces logiciels cri­
aura à affronter Windows CE sur le m arché de
tiques. C ep e n d an t, plusieurs solutions exis­
l'électronique grand public : téléphones por­
tent déjà. Si Sun propose au x développeurs
tables, autoradios et autres assistants électro­
un E m b e d d e d Java n o rm a lisé e t d o té de
niques. M icrosoft a choisi le prem ier de s'en­
c a ra c té ris tiq u e s c o m p a ra b le s à c e lle s des
gager dans cette d irection et bénéficie par
outils trad itio n n els, on ne doutera plus un
co n séq u en t de l'a llia n c e avec des acte u rs
seul in sta n t q u 'u n g ra n d n o m b re d 'e n tre
majeurs en la m atière. Les appareils utilisant
eux préféreront em ployer cette technologie
W indows CE se tro u v e n t d isp o n ib le s et le
m o ins co û teu se, plus o u verte et, il fa u t le
rêve "W in d o w s every w h e re " de Bill G ates
dire, infinim ent plus agréable à utiliser.
sem ble plus réalisable que ja m ais. M ais là
Uropa
199'
moon
Shadow
199*
CD Deveioper
159'
Fusion mac
Organiser VF
240'
T u rb o
ANTI
VIRUS
Cale
Texture CD
1 50'
Amiga Formai
■ ■26 • 60
Jakub Zimmermann
JBCL ] JBCL Containers | Data Express | dbSwing | Swing ) Swing Containers | AWT | KL Group | Other |
^ 1
1 Ü
fru i
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Spouleur
A D F I 190 F
, g
Wine
Eichler
Edition
âfflcriage
Signet*
£eche
3
-
Qpftont
|fll# ytiomV)nmiiVArticle5/|uiiiet 98Avine/o.in«
Edition
Affichage
2
Wine signifie, au choix, Windows
Emulator ou bien Wine Is Not an
Emulator. Comme on va le voir, chacune
de ces affirmations a sa part de vérité.
B ien v en u e
ne différence profonde sépare
U
W in e d e s é m u la t e u r s c la s ­
s iq u e s, te ls S o ftW in d o w s ou
Wabi. Wine n 'e st ab solum ent pas un
ém ulateur de Pc et son rôle ne consis­
te pas à faire to u rn e r W indows. Il se
propose en fait d'exécuter les logiciels
Enfin du v ra i m u ltitâ ch e p o u r W indow s.
W in d o w s, en t a n t q u 'a p p lic a tio n s
Linux. Wine constitue en quelque sorte
une ré im p lé m e n ta tio n co m p lè te de
faire tourner un logiciel Windows sans
L'u tilisa te u r a en fait le ch o ix entre
W indows en tan t que surcouche aux
avoir jam ais installé W indows sur son
trois façon s de la n cer Wine. La plus
appels systèm e X I 1 et POSIX !
o rd inateur. Par ailleurs, Wine intègre
naturelle consiste à laisser le window-
D eux en un
un debuggeur com plet, grâce auquel
m a n a g e r s'o c c u p e r des fen êtres de
Wine : les am oureux d 'Afterstep ou de
Wine se com pose de deux élém ents.
on peut surveiller le fo n ctio n n em e n t
Le prem ier, et le plus im portant, s'in­
de l'ém ulateur et étudier les causes des
Windowmaker vont apprécier de pou­
carne dans la bibliothèque de portage
plantages.
voir lancer les logiciels Windows avec
un nouveau look ! A ltern a tivem e n t,
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
libwine. C'est elle qui traduit les appels
Installation
systèm e Windows en leurs homologues
Après une com pilation tout à fait pai­
Wine peut utiliser la root-w indow en
Linux et X I 1 et perm et, sous certaines
sible ( Wine utilise au to co n f, co m m e
guise de bureau Windows, auquel cas il
co nd itio ns, de recom piler un logiciel
tous les logiciels récen ts), un sim ple
adm inistre lui-même ses fenêtres avec
Windows sous Linux. L'application ainsi
m ake install suffit p o u r rend re Wine
son propre w ind o w -m anag er intégré
com pilée se suffit alors à elle-même ;
opérationnel. Avant utilisation, toute­
(qui ém ule l'apparence et le com por­
pratiquem ent rien ne la distingue des
fois, il convient de param étrer l'ém ula­
te m e n t de W indows 3. 11) . Enfin, la
autres logiciels pour Linux. Seulem ent,
teur, ce qui revient à déterm iner
troisièm e possibilité prévoit que Wine
pour que cela fonctionne, il faut dispo­
correspondances entre lettres et réper­
u tilis e u ne u n iq u e fe n ê tre en ta n t
ser du code source, ce qui se révèle
toires Linux (p a r e xem p le, /dos peut
q u'écran virtuel Windows. Chacun de
rarissime sous Windows. A ce m oment-
ê tre vu c o m m e C : so u s W in e et
ces m odes a ses avantag es et selon
là intervient l'ém ulateur : il s'arrange
/ c d ro m c o m m e D :) , a in s i q u e la
l'application utilisée, on choisit le plus
p o u r que l'e x é c u ta b le W indow s soit
m éthode à adopter pour im prim er, la
approprié. En ce qui concerne l'aspect
lancé et convertisse ensuite les appels
v a le u r d u P A TH p a r d é fa u t so u s
des w id g ets, Wine utilise son propre
s y s tè m e au v o l. D e c e tte fa ç o n , il
W indows, etc. C ela s'o p ère dans un
toolkit qui, selon le paramétrage, res­
d em eure th é o riq u em e n t possible de
fichier .w inerc à la syntaxe très simple
sem ble à Windows 3. 11 ou 95 (indé­
(qui n'est d'ailleurs pas sans rappeler
pendam m ent du fait que l'on exécute
NavRoad - NavRoad offline HTML Browser
S
Home
Location
^efrest1 Open
S
Prlnt
lreadme.htm
HavRoad F e j User Guide Registration p ë rsio n H is t^ h a L s L IK S ^S Q F T W A R ^|g g
C o p y r ig h t © 1 9 9 6 , 1 9 9 7 F A I C O In fo r m a tio n
S o lu tio n s
U pdate: 2 7 th Jan 1 9 9 7
E m ail: in fo @ fa ic o .n e t — c o m m e n ts , su g g e s tio n s
are w e lc o m e d .
ç g F in d T
M a so ch ism e ultim e : le N et sous W indow s.
les
celle des *.ini de Windows) et chaque
une application 3.11 ou 95). La priori­
utilisateur a les moyens de posséder sa
té se trouve donc donnée à la fidélité
propre config uration. Une fois term i­
de l'é m u la tio n , au d é trim e n t de la
nés ces p rép aratifs, on se tro u ve en
cohérence avec l'environnem ent X I 1.
mesure de lancer un prem ier logiciel :
U ne b o n n e c h o se , to u t de m ê m e,
w ine calc.exe.
v ie n t de ce q u e le p re sse -p a p ie rs
Exécution
W indows soit ém ulé et accessible via
Prem ière im p ressio n : le d é m arrag e
c e lu i d e X ; le c o p ie r/ c o lle r e n tre
s'avère très lent, probablem ent à cause
Xemacs et Wordpad devient donc pos­
d 'u n e édition de liens dyn am iq u e et
sible. Signalons encore l'existence d'un
gigantesque ainsi que d'un im portant
module pour Linux qui permet, à l'aide
besoin de m ém oire vive. Au bout de
de Wine, de lancer les *.e xe en tant
q u e lq u e s s e c o n d e s , la c a lc u la tric e
q u 'e xé c u ta b le s n o rm a u x et d 'ab o lir
ap p araît enfin et perm et d 'o b server
ainsi toute distin ctio n entre le fo n c­
le c o m p o r te m e n t d e l'é m u la t e u r .
tionnem ent d'une application émulée
restent susceptibles de provoquer un
W1NE.RTF - W ordPad
Elchier
édition
Affichage
Insertion
Format
?
"core dum p " ou, dans le pire des cas,
DjtflHl mai Ml
a
ck u
X
ÏE * M l
---------I - ■
W in e s ig n if ie , a u x c h o i x , W in d o w s E m u la t o r o u b ie n W i n e Is
N o t a n E m u la t o r . C o m m e o n v a l e v o i r , c h a c u n e d e s
a f f ir m a t io n s a sa p a r t d e v é r it é .
U n e d if f é r e n c e p r o f o n d e s é p a r e W i n e d e s é m u l a t e u r s
c la s s iq u e s t e ls S o f t W in d o w s o u W a b i. W in e n ’e s t a b s o l u m e n t
p a s u n é m u la t e u r d e P C e t s o n r ô le n ’e s t p a s d e f a i r e t o u r n e r
W in d o w s . A u lie u d e c e la , il s e p r o p o s e d ’e x é c u t e r le s l o g i c i e l s
W in d o w s e n t a n t q u ’a p p li c a t i o n s L in u x . W in e e s t e n q u e lq u e
s o r t e u n e r é im p lé m e n t a t i o n c o m p l è t e d e W in d o w s e n t a n t q u e
s u r c o u c h e a u x a p p e ls s y s t è m e X I 1 e t P O S I X !
D eux en un
W in e s e c o m p o s e d e d e u x é lé m e n t s . L e p r e m ie r , e t le p lu s
im p o r t a n t , e s t la b ib lio t h è q u e d e p o r t a g e li b w i n e . C ’e s t e ll e
q u i t r a d u it le s a p p e ls s y s t è m e W i n d o w s e n l e u r s h o m o l o g u e s
L in u x e t X I 1 e t p e r m e t , s o u s c e r t a i n e s c o n d it io n s , d e
r e c o m p ile r u n l o g i c ie l W in d o w s s o u s L in u x . L ’a p p lic a t io n
a in s i c o m p i lé e s e s u f f it a lo r s à e l l e —m ê m e e t p r a t iq u e m e n t
r ie n n e la d i s t in g u e d e s a u t r e s l o g i c i e l s p o u r L in u x .
S e u le m e n t , p o u r q u e ç a m a r c h e , il f a u t d is p o s e r d u c o d e
s o u r c e , c e q u i e s t r a r is s im e s o u s W in d o w s . C ’e s t d o n c là
q u ’i n t e r v ie n t l ’é m u l a t e u r : il s ’a r r a n g e p o u r q u e l ’e x é c u t a b l e
W in d o w s s o it la n c é e t c o n v e r t i t e n s u i t e le s a p p e ls s y s t è m e a u
*r s-%1 T'Ya
f o -— « «1
rm rrd ilo
f
Pour de l’aide, appuyez sur F1___________________________________________________________________________________
le plantage du serveur X, mais ne m et­
tront jamais en péril les autres tâches.
Wine incarne donc le prem ier Windows
v é rita b le m e n t m u ltitâ c h e ! Et il y a
m ieux : com m e toute application Unix,
un p ro g ra m m e W indow s sous W ine
peut être exploité sim ultaném ent par
plusieurs utilisateurs, éventuellem ent à
d istan ce en "e x p o rta n t son d isp lay"
(p o u r e m p lo y e r le ja rg o n de X ), ce
d o n t m ê m e N T s'a v è re in c a p a b le !
Word a par exem ple la capacité d 'ac­
céder à des serveurs NFS (ou pourquoi
pas Appletalk) et n'y voir que du feu ...
Un logiciel à suivre
A u -d e là d 'u n e p ro u e sse te c h n iq u e
im pressionnante, Wine reste donc inté­
ressant pour certain s besoins im por­
tants (jouer à StarCraft sous Linux) et
se présente com m e la solution idéale
pour travailler sous Windows en réseau,
on parvient largem ent à s'am user avec
à co n d itio n b ien sû r q u 'il su p p o rte
Et ça m arche ?
les jeux qui fonctionnent. Et quel plai­
décem m ent les applications requises.
Là, tout dépend de l'application que
sir de pouvoir rétorquer à un ami pro-
En re va n ch e , on ne peut pas p arler
l'on veu t ém u ler et une relation du
W in dow s q u e des se rv e u rs A p a ch e ,
p o ur le m o m e n t de w in d o w s-k ille r,
genre " les petits utilitaires marchent, les
Postgres, Samba, NFS, Applixware tour­
é ta n t
gros logiciels com plexes p la n te n t" se
nent en m êm e tem ps que le jeu, qui
W in d ow s d e m e u re in c o n to u rn a b le
m o n tre loin d 'ê tre é v id e n te . N ous
ne sert donc fin alem en t q u'à tuer le
pour un grand nom bre de logiciels.
n 'a v o n s pas pu to u t e ssa y e r, m ais
tem p s en attend ant que le noyau se
ap p arem m en t, certaines versions de
vo it co m p ilé ! Q u o i q u 'il en so it, le
Word fonctionnent bien, de m êm e que
développem ent de Wine se poursuit et
et celui d'un program m e natif.
donné
que
l'a u t h e n t iq u e
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
jakub Zimmerman
B orla n d C++ et b e a u c o u p d 'a u tre s
la c o m p a tib ilité ne p e u t a lle r q u 'e n
lo g ic ie ls . P a rm i les u t ilit a ir e s de
s'am éliorant.
W indows 95, la ca lcu la trice , le help-
W ine m eilleur que W indow s ?
browser ou encore Wordpad tournent,
S 'il d e m e u re d o n c im p o ss ib le (d u
▲ U nique
A G ra tu it
mais l'"e x p lo ra te u r" refuse o b stin é­
m oins à l'heure actuelle) d 'ab a n d o n ­
m ent de se lancer. De façon générale,
ner l'environnem ent de M icrosoft dans
Wine n'im plém ente que les API docu­
le but d'utiliser Wine à la place, celui-ci
Wine
En hausse
En baisse
▼ Ne su p p o rte p a s toutes les
mentées (et pas de façon exhaustive,
ap porte m algré to u t son lot d 'a v a n ­
fo nctionna lités de W indow s
tant s'en fa u t) ; plus un log iciel est
tages : on peut dire sans exagérer qu'il
▼ Parfois instable
"propre" et écrit dans le respect des
d o n n e une n o u ve lle d im e n sio n au x
spécifications de Microsoft et plus il a
a p p lic a tio n s W indow s. S a c h a n t que
de chances de bien fonctionner sous
c e lle s-c i f o n c t io n n e n t c o m m e des
Wine. A ce propos, les pro g ram m es
tâches Linux ordinaires, elles profitent
développés par M icrosoft
de nombreuses possibilités. Ainsi, Wine
sem b lent
a v o ir plus de m al à p a sser q u e les
ne se trouve pas condam né aux cau­
a u tre s... E v id e m m e n t, fa ire to u rn e r
chem ardesques partitions et disquettes
Works ou PaintShopPro sous Linux ne
V FA T ; on tra v a ille d ire c te m e n t sur
présente que peu d'intérêt, le principal
tout ce qui parvient à être "m o u n té"
attrait d'un tel ém ulateur se résumant
sous Linux, aussi bien en local qu'en
à pouvoir jouer sans avoir l'obligation
réseau. A utre avan ta g e : la sécurité.
de rebooter ! Et là, cela devient encore
L'application qui tourne sous Wine se
plus aléatoire : StarCraft se révèle au
m ontre évidem m ent soum ise à la pro­
moins aussi rapide que sous Win95 et
t e c tio n et au c o n t r ô le d e s d ro its
la d é m o de Tom b R a id e r s 'a v è r e
propres à Unix. L'utilisateur n'a plus les
jouable (avec des problèmes de son),
m o y e n s, co m m e sous W in dow s, de
ta n d is
Of
toucher aux docum ents de quelqu'un
M ight&Magic II posent problème, pro­
d'autre sans permission ! Le plantage
bablem ent à cause de l'ém ulation du
de Wine ou une " erreur générale dans
CD-Rom . Mais, pas de m auvaise foi,
le module XYZ" du program m e ém ulé
que
R iven
ou
H e ro e s
Note
★ ★ ★ ★
S
F
- WinoTris
"
Jo u er
A rrê t
IW r » '
%
'ù i \ ■
C om m ent ça, Tetris n 'e xiste p a s so us Lin ux ?
Tout savoir
sur le monde Atari
Si vous avez tendance à vous perdre dans
le monde Atari, que vous ne connaissez
pas les possibilités de votre machine ou
tout simplement que vous venez d'arriver
sur cette plate-forme, alors Falcon
Seulement est fait pour vous.
F
sim p le , g râ ce à l'a d o p tio n du W eb
des Ataristes français. Si vous ne faites
(et non d 'une énièm e interface spéci­
pas partie de la liste, n'hésitez pas à
fiq u e à un p ro g ra m m e de base de
vous inscrire. Enfin, si vous ne savez
données, qui aurait d'ailleurs rendu la
pas où acheter le périphérique de vos
co n su lta tio n im p o ssib le en lig n e et
rêves ou si vous avez un doute sur la
LES FALCONNISTES ET ATARISTES
!
FRANÇAIS
alcon Seulem ent représente une
base de données recensant tout
ce qui touche de prêt ou de loin
au Falcon d'Atari (n o rm a l, me direzvous, avec ce n o m ), m ais depuis les
dern ières versio n s, Falcon Seulem ent
L 'in c o n to u rn a b le ru b riq u e m usiq ue !
Un g o û t a ssez d iscu ta b le ...
vers A ta ri. Pour q u 'e lles d e vie n n e n t
sur d 'a u tre s p la te -fo rm e s). D an s la
co m p atib ilité d 'un m atériel, là aussi,
a c ce ssib le s au plus g ra n d n o m b re ,
p artie Falcon réside l'in d e x de tous
F a lc o n S e u le m e n t r é p o n d
ces données se voient mises en form e
les St-M agazines, des sharew ares, des
attentes. La plupart des périphériques
en H tm l, ce qui les rend lisibles par
nouveaux bureaux et de tous les pro­
courants se vo ient pris en com ptes ;
n 'im p o rte quel client W eb (les pages
g ram m es m usicaux (qui fo nt la force
d e p lu s, v o u s sa u re z sans l'o m b re
utilisent les fram es mais existent ég a­
de la m a ch in e d e p u is des a n n é e s).
d 'u n d o u te si vo us p o uvez ou non
le m e n t en ve rsio n "sta n d a rd " pour
O n peut égalem ent suivre l'évolution
faire fo n ctio n n er tel ou tel lecteurs de
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
s'ouvre à d'autres dom aines de l'u n i­
CAB File
Navigate
les clients ne les reconnaissant pas, ce
prochaine de la base qui intégrera la
bandes avec votre Atari. C om m e on
qui constitue déjà un bon point).
liste des sé le cte u rs de fic h ie rs , des
s'en d o u te , il s'a g it d 'u n travail de
Le contenu
program m es éducatifs, des view ers et
titan (et encore, seule une petite par­
C o m m e les captures d'écrans le prou­
bien davantage encore.
tie des im m enses possibilités de cette
v e n t, la n a v ig a tio n se m o n tre très
N 'oublions pas les in te rn a u te s et
les p assionnés
tout atariste et a fortiori falconiste se
Dans la partie co m m u ­
doit de posséder. Cependant, il reste
n e, les fé ru s de c o m ­
à d é p lo re r q u e c e rta in e s pages ne
m u n ica tio n tro u ve ro n t
soient pas remises à jour très réguliè­
la liste des BBS dédiés à
rem ent .
Options
HOME PAGE
file://localhost/G:/TEST/FALC0N-S/H0ME17.HTM
M
OM
E
I
à vo s
URL
I
B
FILE
RELOAO
HOTLIST
l 'A t a r i,
et
In t e r n e t
base de d o n n é e s a p p a ra ît ic i) que
David Curé <david.cure@ finix.eu.org>
n 'é ta n t pas o u b lié , la
liste des serveurs W eb
Falcon
et Ftp ne m anque pas à
l'a p p e l.
Une
[ bbs I cd ron I falcon I dénos I fanzines I revendeurs I infos I livres ]
[ bidouilles I vidéo I périphériques I éditeurs I jeux I centact I nerci ]
- contact avec franes -
S ta tu t : N .C..
p a s s io n n é s q u i fo n t
Source : N.C.
v iv r e n o s m a c h in e s ,
A Fo rm at Html
a v e c les d é m o s et les
A Enorm e base : on trouve presque
fanzines.
to ut
Agence
m atrim o n ia le
▼ Certaines pages ne so n t plus/pas
En baisse
P o ur les p e rso n n e s se
s e n ta n t
s e u le s ,
à jo u r (revendeurs p a r exem ple)
Note
une
rubrique co n tact essaie
D ix-sept ru b riq ues p o u r co m b ler to u t le m onde.
En hausse
bonne
p a r t ie s 'a d r e s s e a u x
de recenser l'ensem b le
★
★
★
★
★
L-gJ-BlSi
M a th X , l'id é a l p o u r é t u d ia n t
Ia yto r
jptégrate
|
Tangente
DQcuMion
|
Péter mnant
|-(3 /4 )*K~3 *2 *X^Z-Z
MathX est un logiciel de
mathématiques. Son usage se
montre enfantin et sa puissance ,
incroyable.
ne m ê m e la c o u rb e ! Au p a ssa g e ,
M athX pourra égalem ent résoudre les
systèm es linéaires et co m m en te r ses
ré su lta ts : il est ca p a b le de d o n n e r
K*2*2x
f(K)-3«jtn(>r2)/x
(1/2 )*<T3
_______________
1/X
s»yx>*coî<2»X)
t/<1 7979 *X*X* 0 5 )
sqrt(X*X-i)_______
Nouveau
des listes de va le u rs, de tro u v e r les
ui n'a jam ais rêvé d'un auto­
Q
Couper
Un ta b lea u de M a th X .
p o in ts d 'e x tré m ité (p lu s ou m o in s
m a te in te llig e n t, ré s o lv a n t
l'infini, zéro), de signaler la présence
tous les exercices de m athé­
d 'une sym étrie ou d 'une redondance
sans au cu n p ro b lè m e im p rim e r ses
m atiques à sa place ? Le vœ u des étu­
d a n s la c o u rb e , e tc . Bien e n te n d u ,
g r a p h iq u e s
diants se vo it enfin e xa u cé : M athX
M athX ne se lim ite pas aux repères en
ta b le a u x de résu ltats. Juste un petit
constitue un p ro g ram m e de m a th é­
d e u x d im e n sio n s : il a ffich e ra avec
re g re t : la lo c a lis a tio n en fra n ç a is
m a tiq u e s , q u i sa it to u t fa ire p o u r
une e s th é tiq u e irré p ro c h a b le n 'im ­
regorge de fautes.
vous. On en tre une fo n c tio n , n 'im ­
porte quelle fonction 3D.
p o rte la q u e lle , et M a th X se ré vè le
Une in te rfa c e in tu itiv e
capable d'en déduire la dérivée, l'in­
N anti d 'u n e in te rfa ce M u i , le p o in t
tégrale et la tangente. M ieux, il dessi-
fort de M athX reste certainem ent son
—
.
P
texte. A ce sujet, signalons qu'il peut
ou
ses
M a th X 1.11
ergonom ie. Il suffit de rentrer au cla­
En hausse
vier l'éno ncé d 'une fonction com m e
▲ In tu itif
--------------------
on le ferait sur papier. Nul besoin de
A Com plet
préciser ce qui est variable, opérande
A G ra phiq ue
ou constante, le logiciel se débrouille
Fenêtre su r co urbe.
c o u le u r
Yann Serra
Calcul numérique de l'intégrale
tout seul ! Par ailleurs, M athX dispose
en
En baisse
▼ Tra d uction fra nça ise
d 'u n p o rt Arexx lu i p e rm e tta n t de
Note
co n ve rtir ses d o nnées p o ur les in té­
★ ★ ★ ★ ★
grer à un tableur ou un traitem ent de
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Tél 01 48 38 10 10 [email protected]
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Enlightenm ent
démarrage se trouve créé un répertoire
- /.e n lig h te n m e n t. C elu i-ci sert non
seulement à recevoir le tarball décom­
pressé et éventuellement modifié, mais
aussi, à essayer par la suite les dizaines
de thèm es présents sur Internet ! La
Depuis l'avènement de Linux en tant que système personnel, pas un mois
ne se passe sans qu'un nouveau window manager ne fasse son apparition.
sim p le d é co m p re ssio n d 'u n th èm e
dans ce répertoire changera illico l'as­
pect de l'interface en cours.
Beau !
L'interface de base offre un vrai régal
pour les yeux. Un incroyable réalisme
se dégage du look général. Les fenêtres
s'incarnent dans des panneaux métalli­
sés, munis de boutons en simili-3D, les
barres de titres (de splendides surfaces
chrom ées) sont pourvues de spots qui
s'a llu m e n t q u and la fenêtre devient
active et les écrans virtuels se voient
représentés par de petits téléviseurs,
dans lesquels on peut transporter une
fenêtre d'un écran à l'autre grâce à un
simple drag'n'drop. Com ble du raffine­
m e n t, lorsque le p o in te u r de souris
s'attarde sur une partie de fenêtre, un
petit dialogue apparaît pour présenter
q u elles a ctio n s sont possibles à cet
endroit.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Infaillible ?
La souplesse de cette interface ne tient
qu'à une raison : Enlightenment s'avère
co n fig u rab le au plus haut point. En
effet, la moindre petite partie du w in­
Très fu tu riste, non ?
d ow m anager se trouve décrite dans
e sujet d'un récent sondage sur le
puisqu'elle pèse moins de 90 Ko. Cet
un fichier de configuration approprié et
site http://slashdot.org se form u­
e n viro nn e m en t se vo it co n sid é rab le­
asso ciée à un p ixm a p situé dans le
lait ainsi : "Quel est votre window
m ent alourdi par les thèmes, proposés
répertoire .e n lig h ten m e n t du hom e.
manager favori ?". A la surprise généra­
sous form e de "tarballs", qui com pren­
Mais une telle extensibilité se paye, car
le , ce ne fu t ni W in d o w M a k e r, ni
nent l'intégralité des pixm aps de déco­
si E se com porte à m erveille sur une
AfterStep et encore moins Kde qui l'em ­
ration des fenêtres, de fond d'écran et
station Alpha, il n'en va pas de même
portèrent, mais, avec une très confor­
a u tre s fic h ie r s d e c o n f ig u r a t io n .
sur un "sim ple" Pentium de base. Sans
table avance, l'interface la plus belle de
L'archive de base com prend le w indow
pour autant dire que cet environne­
tous les tem ps : Enlightenment
m anager, accom pagné du thèm e par
m e n t se m o n tre in u tilisab le sur des
Installation
d é fau t, déjà très im p re ssio n n an t. La
m a c h in e s p e rso n n e lle s, il s'ad resse
Désormais, l'archive d 'E (voilà son petit
gestion d'E se révèle tellem ent inhabi­
cependant exclusivem ent aux posses­
nom ) se décline dans tous les formats
tu e lle q u 'u n ré p e rto ire " e n lig h te n ­
seurs de machines possédant au moins
h a b itu e ls : .ta r.g z so u rc e , c o m p ilé ,
m e n t" fe ra so n a p p a r itio n
dans
32 Mo de mémoire vive (cela demeure
.rpm et bien sûr .deb. L'installation en
/usr/local. Com m e de coutum e, il fau­
d'autant plus vrai qu'il est fait usage de
elle-même ne pose pas de réel problè­
dra bien entendu rem placer le nom de
L
me, mais il faut
l'interface active par "enlightenm ent"
i m p é ra ti ve-
dans le fichier -/.x in itrc ou /.xsession,
m ent posséder
afin de profiter de ce nouvel environ­
la librairie Imlib
nem ent.
A Beau !
co rre sp o n d a n ­
Prem iers pas
A C onfigurable à so uhait
te pour com p i­
D ans un p re m ie r te m p s, on p o urra
A P rojet dynam ique
ler et in sta lle r
faire fonctionner E sans plus de raffine­
Enlightenm ent.
ments : l'archive tarball du thèm e par
▼ Encore trop lent
L 'a r c h iv e
Enlightenment
En hausse
En baisse
du
défaut est décompressée à la volée au
Y II fa ut aim er la configuration
w ind o w m ana­
lancem ent. Cependant, ne pas triturer
▼ Très g o urm a n d en m émoire
ger
se
ses fichiers de configuration équivau­
Point com m un de la p lu p a rt des thèm es :
m o n tre re la ti­
d ra it à se p river du p rin cip a l a ttrait
so uven t som bres !
vem ent légère,
d ' E n lig h te n m e n t. Lo rs d u p re m ie r
»
£
-
;
se u l
Note
★ ★ ★ ★
*
DREAM MARKET
V
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R
E
S
P
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C
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S
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Dream vous propose de participer à cette nouvelle
rubrique Dream Market. Particuliers, clubs,
associations, boutiques, PME...
Cette rubrique est pour vous.
iw up on gctnng down 0.12 lor the aoarnl... »t II do u
sth.n: il thouldnt... unlcti lluts Hcr»
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: So» looging ■esxages to: /lK»/«ild./.BitihX/BltchX.«j
1 jlicr 10 •ini) l BXV\glog Onl
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ü: •" | invt.il IJ f rror I
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AMINET 2 3 ,24...
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CD ROM AMIGA JE U X
20
P a rfois so b re ...
la transparence...)- A noter cependant que de grandes améliorations
ont été apportées sur ce point depuis les versions antérieures ;
comm e on peut le voir sur le site principal, les auteurs ont conscien­
ce du problème et promettent encore de grands changem ents dans
les prochaines versions.
L'in cro ya b le "c o n fig u ra b ilité " de E se paye é g ale m e n t par des
fichiers de config uration très co m p lexes. Le sim ple ajo ut d'une
application dans le dock version Enlightenm ent ne dem ande pas
moins de vingt lignes de spécifications ! A noter égalem ent que
P
C
31)6:790F
-P
C
40B
:990F
P
o
rta
b
le:1400F
-K
itp
e
n
tiu
m
2:
4450fIm
p
rim
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c
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250r-C
D
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:200F
-K
it200M
h
z:
1200F
G
ra
v:1900F
-R
a
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32H
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330f-C
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u233H
t:047F
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M aster ISO II V A ...................................590
Jeu "On Escapee" C D .......................279
Jeu " Final Odussey" CD ...................269
■Jeu "Trapped fl" C D ..............................19
des machines puissantes, il s'agit de l'interface idéale des amateurs
d'interfaces qui "en jettent". En outre, on peut constater avec am u­
sement que quelques outils du monde Windows ont adopté le look
incroyable du thèm e de base. Un grand coup de chapeau aux initia­
teurs d'un genre nouveau.
Emile Heitor <[email protected]>
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I
0 4
7 6
45
60
60
Moonlight Creator
tions en tem ps réel avec une grande
facilité et sans vraim ent constater de
ralentissements notoires. Le rendering
se m ontre d'une qualité m oyenne et
s'opère grâce à la technique du raytra-
Jusqu'à présent, aucun modeleur 3D graphique n'avait pignon sur rue
sous Linux, surtout en free software. A considérer avec autant d'intérêt
que The Gimp, M oonLight Creator pourrait bien voler la vedette à des
ténors du rendering.
cing, plus lente, mais plus proche de la
réalité. Celui-ci s'avère à l'heure actuelle
peu param étrable, mais suffisant dans
l'o p tiq u e de scènes sans prétention.
Notons pour finir que M C peut expor­
ter ses fichiers aux formats POV, VRML1
et 2 et RayShade, entre autres. La sau­
re tro u v e d a n s M o o n lig h t C re a to r le
vegarde du rendu a lieu en jpeg, Tiff et
ciel de création 3D. Celui-ci,
d é c o u p a g e d e l'é c r a n en q u a tre s
Pnm . Pondérons tout de m êm e d'un
bien qu'encore en dévelop­
fram es représentant chacune une vue
bémol, car si M C se révèle parfaitement
pem ent, se m ontre déjà fort avancé et
d iffé re n te de la scè n e à re n d re . La
opérationnel pour de petits travaux, on
M
oonight Creator est un logi­
m êm e exploitable pour de simples tra­
manipulation des objets est tout à fait
se trouve néanm oins encore bien loin
vaux. Il s'agit bien là d'un logiciel com ­
orig inale, puisqu'une pression sur un
des logiciels de 3D professionnels. Mais
plet perm ettant de modeler et de cal­
des boutons situés sur la g au ch e de
ce titre évo lue co n stam m e n t et son
culer des images, et non d'une simple
l'écran donne naissance à une boîte de
a u te u r est plus q u 'o p tim is te à son
surcouche graphique à POV.
sélectio n, dans laquelle on ch o isit le
égard. Un soft à surveiller de très près !
Installation
type d'opération à effectuer. Ces élé­
L 'a rc h iv e q u e nous avo n s testée se
ments se m anipulent fort aisém ent et
constitue des binaires ainsi que d'une
donnent à M C une ergonom ie rem ar­
petite base de donnée d'exem ples. La
quable.
simple décompression du tar.gz suffit a
3Ds.. light ?
Emile Heitor <[email protected]>
M o o n lig h t Creator
v o. 5 . 1
faire fonctionner cet outil. On regrette­
Rien ne sa u rait ré e lle m e n t jo u e r en
S ta tu t : CPL
ra l'o b lig a tio n de d e v o ir in sta lle r le
faveur de MC, en comparaison d'un 3D
Source:
ré p e rto ir e p r in c ip a l de M o o n lig h t
Studio ou d'un Lightw ave ; pourtant,
h ttp ://h o m e. w orldnet. fr/~rehel/ml/
Creator à la racine de son répertoire
b ie n q u 'é t a n t e n c o re u n e v e rs io n
ml. htm l
hom e. Ce point ne s'avère regrettable
alp h a, il bénéficie d 'u n avan tag e de
que dans un souci de "propreté", car il
taille : la bibliothèque Mesa. Un simple
▲ Jo li !
nous évitera en outre la déclaration de
clic de souris sur une des fenêtres fait
▲ Assez rapide
multiples variables d'environnem ent.
basculer celle-ci de la prévisualisation fil
▲ Ergonom ie
Just run it !
de fer à un pré-rendu 3D. Testé sur un
On lance le logiciel le plus sim plem ent
Cyrix 200+, bien connu pour sa faibles­
▼ M a n q ue de fonctions
T Rendu de faible qualité
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du monde en l'appelant sur la ligne de
se dans les opérations en virgule flot­
com m ande. Apparaît alors une fenêtre
ta n te , le lo g ic ie l s'e n tire p lus que
de p ré s e n ta tio n
é c r a n , du
c o n v e n a b le m e n t. O n effe ctu era des
m eilleu r effet. L'in te rfa ce du logiciel
rotations, déplacem ents et d é fo rm a­
p le in
En hausse
En baisse
ravira les adeptes du look'n'feel NeXT,
puisque le créateur de M C a opté pour
un toolkit (propriétaire) en tous points
semblable aux standards de YOpenStep.
L'interface reste sobre et intuitive. On
D ans les en trailles de la créa tio n .
Les fram es sa van tes.
Note
★
★
★
Msr
d a n s les d e u x sen s. A in s i, la ta b le
suivants :
Msr (pour Multiple Search and
Replace) est un utilitaire qui
permet de faire des recherches et
remplacements dans un document.
Word : plantage au bout d'une demi-
Français/Htm l convertit les accents en
heure
code Htm l et vice et versa.
Advance (A co rn) : 15 m inutes
P a r f a it e m e n t in t é g r é a u s y s t è m e
M sr : 9 secondes
M sr utilise pleinem ent le Drag N 'D rop
M s r tra v a ille à p a rtir d e ta b le s, qui
du W im p ; il d e m e u re p o ssib le de
co n stitu en t a u tan t de fich iers te xte ,
fa ire u ne c o n v e rsio n d 'u n b o u t de
com p ilés lors du d ém arrage de l'a p ­
te x te à p a rtir d 'u n é d ite u r sans le
plication. Ainsi, il peut se vo ir facile­
q u itte r... Pratique. C e logiciel est gra­
m ent am élioré. Il existe déjà de nom ­
tu it, m ais l'a u te u r, n o tre A u g u stin
es a v a n ta g e s im m é d ia ts p ro ­
: F r a n ç a is / H t m l,
V id o vic natio nal, d e m an d e au x utili­
v ie n n e n t de sa ra p id ité et de
Fra n çais/H tm l (ve rsio n a u g m e n té e ),
sateurs de lui faire parvenir des tables
son u n iv e r s a lité . P ro g ra m m é
Français/TeX, Rotl 3,
de conversions. M sr se trouve dispo­
S
b re u s e s t a b le s
entièrem ent en assem bleur (le source
M a ju sc u le /m in u sc u le , e tc . O n peut
nible sur le CD-Rom et le site de l'au­
fait plus de 50 Ko), M sr désigne un
effectuer toutes les conversions im a­
t e u r ré s id e à l'a d r e s s e s u iv a n t e :
h ttp ://w w w .v id o .ld h .o rg .
utilitaire qui ne s'en laisse pas co m p ­
g in a b le s e n tr e d iv e r s fo r m a ts de
ter. Une série de recherches/rem pla­
te xte s (P c , St, M a c, A c o rn ). M êm e
cem ents sur un gros docum ent (une
u ne ta b le p e rm e tta n t de c o n v e rtir
dizaine de M o) a donné les résultats
l'a id e de M s r en a n g la is se tie n t à
David Feugey
Msr
v o tre d is p o s itio n !
About ihis p ro g n tn
Name: |
1
I
Purpose: |
M ulnple Search&Re place
Au thon |
© ^ 6 Augustin Vidovic
Version: 1
0.8 (28-Jul-96)
i
j ""
MSR
1
iT s jT ^
En hausse
U ne des g ra n d e s
Info
fo rc e s d e M s r s 'in ­
▲ Rapide
Inverse
carne dans la réver­
A Extensible (sans lim ite)
Son by size
sib ilité des ta b le s ...
Table
r*
A vec
d 'e n t r e
une
s e u le
e lle s ,
on
En baisse
▼ Le m odule de gestion de m ém oire
Dynam ite
Note
défin it une série de
★ ★ ★ ★
re ch e rc h e s/re m p la ­
R a p id e et p ra tiq u e .
cem ents applicables
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RiscPCB
RiscPCB est un éditeur de circuits
imprimés (Printed Circuit Board)
qui peut s'utiliser sur la m ajorité
des machines Acorn. Il se m ontre
simple , efficace et rapide. Ce
logiciel sert à créer des circuits
de type simple ou double face :
on le destinera donc à de petits
travaux.
Im p o rt/ E x p o rt
re va n ch e , ce t é d ite u r ne p a rvie n t à
RiscPCB im porte les fichiers PcPro et
a d m in istre r q u 'u n fic h ie r à la fo is :
exporte vers les form ats G erb er, D raw
m êm e s'il y a m oyen de lancer p lu ­
et P c P r o . Il u t ilis e q u a s im e n t les
s ie u rs s e s s io n s , o n ne p o u rra pas
m êm e racco u rcis clavie rs que D raw
d ire c te m e n t fa ire des é c h a n g e s de
ou Draw+. Il s'agit d 'une petite m er­
données entre les d e u x. Il faut obliga­
veille d'efficacité et de convivialité. En
t o i r e m e n t p a s s e r p a r un f i c h i e r .
RiscPCB incarne un logiciel fo rt sym ­
pathique, essentiel pour tout électro­
nicien ou bricoleur souhaitant im p ri­
m er des transparents pour graver ses
circuits im prim és. Il reste de surcroît
e ntièrem ent gratuit et se trouve d is­
p o n ib le
s u r le
site
de
l'auteur
h ttp ://w w w .id e a list.d e m o n .co .u k .
l d e m eu re c la ir q u e RiscPCB ne
I
D a vid Feugey
p e u t riv a lis e r a v e c les lo g ic ie ls
p ro fessio nels. C e p e n d a n t, il s'en
so rt p lu tô t b ien d a n s le c a d re de
RiscPCB
p r o j e t s d e p e t i t e e n v e r g u r e . Il
s ' a v è r e c a p a b l e d ' e x p o r t e r l es
En hausse
A In co n to u rn a b le
fichiers vers le fo rm a t D ra w , ce qui
p e r m e t d e l es r e t r a v a i l l e r a v e c
A D 'utilisa tio n sim ple
ce lu i-ci, ou vers l'e x c e lle n t D raw + ,
A R a pide
a va n t im p re ssio n . R iscPC B d isp o se
En baisse
T Ne p eu t rivaliser avec les gros
de que lq u e s fo n c tio n n a lité s a p p ré ­
c ia b le s, te lle s la c ré a tio n a u to m a ­
logiciels
tique du c irc u it de m asse ou de d is­
▼ G estion réd uite des échan ges de
sipation th e rm iq u e. En re va n ch e , il
données
n 'e s t pas p o s s ib le d 'im p o r t e r un
fic h ier D ra w ou de cré e r un co m p o ­
sant avec un au tre lo g iciel.
Note
Un lo g iciel a ven a n t, a ttra y a n t et
a ccu eilla n t.
★ ★ ★
ImageMagick
à l'huile, en passant par des effets de
disto rsio n assez intéressants et bien
e n te n d u la g a m m a -c o rre c tio n . Les
p o ssib ilités de m ixa g e restent assez
som m aires, mais de toute façon, l'uti­
lis a te u r é p ro u v a n t de tels b eso ins
ImageMagick se veut le plus complet et le plus universel des
"manipulateurs d'im ages" pour X-window. Qu'en est-il vraiment ?
aura intérêt à se doter d'un véritable
lo g ic ie l de t r a it e m e n t d 'im a g e s .
M alheureusem ent, toutes ces opéra­
tions ne peuvent porter que sur l'im a­
ge entière ou sur une zone rectangu­
I
m ageMagick ne représente pas un
tion du view er, tous ces program m es
laire : dom m age, car à ce niveau, on
logiciel, m ais un ensem ble de pro­
o p è re n t en lig n e de c o m m a n d e et
a im e ra it d is p o s e r d 'u n e b a g u e tte
g r a m m e s d e s t in é à e f f e c t u e r
s'a d re sse n t d o n c a va n t to u t à ce u x
m a g iq ue . M ais il est vrai qu'encore
toutes les opérations courantes sur les
qui o n t besoin de la n cer des tra ite­
une fo is, Im ageM agick ne constitue
im ages. Il com p rend le visualisateur,
m ents massifs et autom atisés. O n étu­
pas un en viro n n e m e n t de retouche
un générateur d 'anim atio ns, un utili­
diera de plus près le vie w er, celui-ci
photo. Par ailleurs, outre une fonction
taire de ca p tu re et un de m o n tag e ,
p erm ettan t d 'ap p eler tous les autres
p erm ettan t de jo ind re un co m m en­
destiné à co m b in er plusieurs im ages
traitem ents.
taire à ch aq u e im ag e, Im ageM agick
en une seule, ainsi qu 'u n processeur
Le r o i d e s v ie w e r s ?
propose des prim itives de dessin bit­
batch, capable d 'ap p liq u er des effets
Display se présente d 'em b lée com m e
m ap , certes très rudim entaires mais
sur un ensem ble d'im ages. A l'excep-
le grand frère de Xv, la référence en la
suffisantes pour tracer rapidem ent un
m atière. On retrouve donc toutes les
croquis ou une légend e...
fonctions que l'on attend d'un view er
A lo r s , d o c t e u r ?
sous X H , à savoir la capture d'écran
F in a le m e n t, Im age M ag ick laisse un
ou de fenêtre, l'absolum ent indispen­
avis m itigé. Son principal défaut vient
sable visual sch n au zer (q ui s'ap p elle
de ce q u'il a perdu le sens pratique
ici "visual d irecto ry") et bien entendu
des u tilitaires im m éd iats co m m e Xv
la possibilité d'afficher une im age en
ou ElectricEyes, sans offrir en contre­
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Faites im p lo ser vos im ages !
fo n d d 'é c ra n . Plus o rig in a le , c e tte
p a rtie d e s p o s s ib ilit é s la rg e m e n t
dernière option fonctionne avec n 'im ­
supérieures, com m e on serait en droit
porte quelle fenêtre (et pas seulem ent
de l'a t t e n d r e . T o u te fo is , m ê m e si
la ro o t-w in d o w ), ce qui s'avè re très
Im a g e M a g ick se m o n tre bien in c a ­
a m u sa n t m ais d o n n e ra re m e n t des
pable de faire le poids face à Gimp et
résultats co n vaincan ts. Le gros point
Photoshop, il se défend tout de même
fo rt de display d e m eu re la liste des
h o n o r a b le m e n t ,
form ats d 'im age supportés : il connaît
besoins d 'une vaste catégorie d'utili­
en effet à peu près tous ceux qui exis­
sateu rs. Pour ce u x qui sto ckent sur
tent, jusq u'aux plus exotiques (à l'e x ­
CD-Rom les photos de leurs vacances,
e t ré p o n d
aux
de
ImageMagick peut s'avérer très utile ;
q u e lq u e s f o r ­
la seule chose que l'on aurait le droit
m a ts p ro p r ié ­
de lui re p ro ch e r reste son interface
taires soum is à
utilisateur d'arrière-garde.
c e p t io n
une
Jakub Zimmermann
lic e n c e
d 'u t ilis a t io n
re strictive). Au
c h a p it r e
mage M agi ck
des
t r a ite m e n t s
a p p lic a b le s ,
S ta tu t : freew are
t o u te s
Source :
les
fo n ctio n s co u ­
ftp ://ftp .x.o rg /co n trib /a p p lica tio n s/
ra n te s ré p o n ­
Im a g eM a g ick/
En hausse
dent à l'appel :
zoom ,
re d i-
▲ Filtres d'im p o rt/exp o rt
m e n s io n n e -
A P lu tô t com plet
m ent, solarisa­
A Fonctions originales
En baisse
tio n , e m b o ss,
r é g la g e
de
c o n tra ste ,
Y Interface utilisateur
A Pas de ba gu ette m agique
Note
d é t e c t io n de
c o n to u rs
Le visu a l sc h n a u ze r est excellen t.
et
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★
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★
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399f
Elastic Dreams CD (va)
499f
Deluxe Paint V CD
199f
Scala MM400 CD (va)
499f
Siamese System (va)
299f
Amiga Tools 8 CD
120f
Aminet 25 CD
85f
Aminet set 6 CD
199f
Amiga Forever 2.0
369f
Quaterback Tools Bundle
180f
Quake CD
369f
Time Reckoning Quake CD
199f
Foudation CD
269f
Genetics species CD
269f
Flight Amazon Queen
Blitz Tennis
Nemac IV CD
Testament
Valhalla 3
Master Axe
Humans 3 CD/Dk
Cygnus 8
Uropa 2 CD
Shadow of 3Rd moon CD
Myst CD
Brain Damage Pinball
Simon Sorcerer CD
Megablast
Enemy
Railroad Tycoon
Colonisation
Giga Graphics CD
P-OS Pre release CD
S word
PPaint 7.1 CD
UFO
Mega Typhoon
Theme Park
Chaos engine 2 AGA
Mods Anthology CD
Trapped 2 CD
Tiny Troops
Light Rom Gold CD
Light Rom 5 CD
Diavolo Backup
Magic Publisher CD
Scala Plug In CD
F15 Strike Eagle II
Final Odyssey CD
On Escapee CD
G-Lock GVP Occasion
PRIX NETS TTC MODIFIABLES SANS PREAVIS - CHEQUE A L’ORDRE DE MYGALE
80f
120f
80f
100f
169f
100f
169f
100f
149f
129f
160f
129f
149f
100f
199f
199f
299f
149f
149f
100f
149f
149f
180f
149f
120f
160f
199f
149f
149f
149f
149f
180f
180f
180f
180f
199f
299f
199f
199f
149f
269f
269f
990f
P m iN ew s
SeivB* Wwmobon
Detcnpton
Mage Online
Servei Name/AdOiess
news magic ft
pw*
119
..............................
# 01 Connections PeimiSed 10
Au*>en%i>co«ion Motmokoo
UseiO
Pessword
PmiNews, petit frère de PMMail, est un lecteur de news puissant et
con vivialtournant sous OS/2. Ce lecteur de news a adopté résolument
une orientation offline, ce qui permet de travailler tranquillement sur ses
news sans pour autant occuper la ligne téléphonique.
, Auîhentrtcanon Required
J Check Foi New Groups On Startup
_ J Intotm When New Gioup* Aie Avalabie
|
OK
Cartcaf
|
Help
j
L 'a jo u t d'u n nouveau serveur.
quels on désire souscrire (tantôt directe­
N ew G ro u p ü st Settings
Group üst G en eral Settings
Description
new s disponibles. O n pourra lors de
m ent si on connaît le nom du news­
cet ajout spécifier entre autres si l'on
g ro u p , tantô t à partir de la liste des
désire que le système aille chercher les
groupes d'un serveur donné).
nouveaux groupes au lancem ent. Dès
Lorsque sa liste des groupes préférés se
la valid atio n du nouveau serveur, le
trouve construite, il faut alors configurer
systèm e propose d 'alle r récup érer la
le logiciel pour qu'il travaille, soit en
liste des groupes disponibles sur le ser­
mode connecté, soit en mode décon­
veur. On n'est bien entendu pas obli­
necté.
gé de té lé c h a rg e r c e tte liste , si on
M im e , q u a n d tu n o u s tiens.
From Information
E-M ail A d d re s s
R e a l Nam e
R e p ly-T o Information
E-M ail A d d ress
N o-Sp am A d d ress
Organizafion
c o n n a ît p a rfa ite m e n t les no m s des
O n pourra égalem ent choisir dans la
groupes que l'on souhaite consulter. Il
configuration les différents types Mime
s'avère bien sûr possible de travailler
que l'on m anipule, ainsi que certaines
avec plusieurs serveurs sim ultaném ent,
préférences concernant le com porte­
sans rencontrer le m oindre problème.
m ent global de l'interface du logiciel.
On Startup
Ÿ1 Refresh N ew sg roup s
La liste des g ro u p e s ré c u p é ré e est
Il ne reste plus ensuite qu'à effectuer
dotée d'outils de recherche et de filtra­
des actions com m e le rafraîchissement
ge perfectionnés, qui p erm ettent de
des groupes ou la rédaction de news
retrouver rapidem ent l'un d'entre eux
dans un groupe donné. Si l'on travaille
dans la liste volum ineuse des groupes
en m ode connecté, l'action s'exécute
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
_ J M ake T h is G ro u p ü st T h e A ctive G roup üst
C ancel
I
Help
C réa tio n d 'u n g ro u p ü st.
L
de news existants.
en main un peu longue. Une fois
Une fois la liste des newsgroups rapa­
actions s'empilent dans une file d'atten­
habitué, on apprécie le confort d'utili­
triée, il va fa llo ir créer une no uvelle
te et c'est au m oment où l'on va déci­
s a tio n du lo g ic ie l. P o u r se re n d re
"groupüst". Il s'agit d'un espace réunis­
der de vider cette file d'attente (par le
m ieu x co m p te de la p h ilo so p h ie du
sant plusieurs groupes, choisis par l'utili­
biais d'une icône en forme d'interrup­
p ro d u it, le m ie u x co n siste e n co re à
sateur pour qu'ils aient un paramétrage
teur) que toutes ces tâches vont s'ac­
complir.
e m ode de fonctionnem ent ori­
im m éd iatem ent. Si, en revanche, on
ginal de PmiNews rend sa prise
Q u e l jo u r n a l c h o is ir ?
choisit de travailler en déconnecté, les
décrire la mise en route du logiciel. On
et un fonctionnem ent identique. Voilà
va tout d'abord ajouter un serveur à la
é g alem ent un e xce llen t m oyen pour
En ré su m é , Pm iN ews se p ré se n te
liste (au départ vid e) des serveurs de
classer des groupes par thèmes, si l'on
com m e un logiciel puissant, même si le
PlusPak: PMINews
PMINews Server GroupList
IX □ □
aJ
Jools
Window
jJ A &1 ;)JJ j ej|p fel 'iltel jfcljfel
Help
fa it p a rtie d es
m a îtris e r re q u ie rt un p e tit peu de
gros consom m a­
temps. On peut se le procurer auprès de
teurs de news ou
Stardock ( http://w w w .stardock.com ) ;
si p lusieurs p e r­
une version 2.0 gratuite pour les déten­
so nn e s u tilise n t
teurs de la V1 devrait sortir durant l'été.
le
Antoine Sabot-Durand
m ê m e
PmiNews.
Chaque grouplist
c o m p o r te
Pmi N e w s
une
b o îte de m e s ­
En hausse
sages en partan­
ce, une boîte de
▲ La m anipulation offline.
b ro u illo n s et la
A L'interfa ce p lu tô t accueillante.
b o îte d es m e s ­
En baisse
sages sa u v e g a r­
▼ La co n figu ra tion trop disséminée
d é s. O n a jo u te
dans le logiciel.
Note
ensuite à la grou­
p list en g e n d ré e
L 'in te rfa ce de Pm iNew s ap rès l'in sta lla tio n : un peu vid e...
les groupes a u x­
★
★
★
★
CD JE U X MATERIEL
Pour profiter de vos vacances
Jinnee, le nouveau
bureau a lte rn a tif
Le bureau standard de votre Atari
ne vous plaît plus ? Alors, le plus
simple reste encore d'en changer !
a première chose à savoir à propos de ce bureau
L
de rem placem ent est qu'il lui faut un nouvel
-10 % de remise sur les logiciels
à déduire de votre commande !
n
K
ï l Q
I S 1
Amiga forever 2 cd ........... . 420 F
Art studio pro cd................ .439 F
Asim cdfs 3.9a VF............... 355 F
Deluxe paint 5 cd............... ..219 F
Elastic dreams cd............. ..520 F
Fusion Mac emulator....... ..690 F
Ibrowse 1.2............................ ..339 F
..590 F
Miami 3..................................... ..339 F NCO
Network PC + cable II..... ..229 F O
Oxyron patcher.................. ..139 F C\l
Scala MM400 cd................. ..565 F
Turbocalc 5.1 cd VF......... ..599 F LO
Turboprint 6 .......................... ..439 F CT>
LO
Ultimate blitz basic cd.... ..219 F LO
Wordworth 7cd VF............ ..490 F o
v
A
I
Final Odyssey cd ............... ..285 F I03
BËS b e re its vorhanden.alt Fenster
MDIAL06 2,00 wirde in s t a l l i e r t
6 : \TEST\ j INMEEN»
j
H *133 3.116 Bgtes in 29 OblQ
ca. .
OFONTS
□ ICONS
□ IHG
□ M0N0IC0N
OZUSATZ
ALTERNAT.PM
ICONS
.INF
ICONS
□ JINNEE
JINNEE
AES ; autrement, il ne tournera pas correctem ent
et ne manquera pas de vous afficher de nombreuses
LL.
boîtes de dialogues "appel AES illég al". Par consé­
quent, il faut avoir MagiC ou N.AES pour pouvoir l'utili­
ser ( MultiTOS devrait convenir mais n'a malheureuse­
ment pas pu se voir testé).
L 'in te rfa c e
t n
G E M S c r ip t
Elle se montre très classique et se distingue très peu
L'innovation majeure de ce bureau, en plus de ses pos­
des autres b u re a u x a lte rn a tifs co m m e Thing par
sibilités de configuration très étendues (on a vraiment
exemple : on retrouve les icônes permettant d'adm i­
le droit de tout m odifier selon ses goûts), s'incarne
nistrer les différents disques durs et partitions, les dis­
dans la présence du GEMScript. Il s'agit d'un langage,
quettes, etc. Il demeure possible d'agir sur des fenêtres
permettant de créer de petits programmes interprétés.
(déplacem ent, ré d u ctio n ...) m êm e si celles-ci ne se
Il donne à l'utilisateur les moyens de lancer/rechercher
trouvent pas en avant-plan. A l'in térieu r, on peut
des applications, d'adm inistrer les fichiers, d'interagir
Flying hight cd.................... ..199 F
Foundation cd ..................... ..279 F
Genetic species cd........... ..279 F
15Q F
Myst cd.................................... ..375 F
On escapee cd .................... ..279 F
Quake cd ................................. .379 F
Ultimate Sskidm arks cd.~159 F
Virtual karting 2 ........................NC!
1
00
co
o
.
LO
rr>
LO
LO
o
ADE 2.......................:...................105 F .CD
Aminet 22, 23, 24 ou 25......85 F ,
Aminet set 5 ou set 6 ........ 209 F
Amimes babes S E ................ 179 F
Amiga format cd...M ............. 49 F
Golden demos...........................95 F
Magic publisher.....................179 F
Mods anthology.................... 206 F
Texture cd voM
X .......... 149 F
Workbench designer 2......120 F
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
configurer la couleur des différents types de fichiers
avec le bureau lui-même (lecture ou sauvegarde du
(répertoire, programme ou fichier de données), ce qui
fichier .inf ou gestion des post-it par exem ple). Cela
s'avère très pratique et favorise un repérage rapide (un
ressem ble un peu au langage Rexx d'IBM que l'on
peu comme les familles du Macintosh).
retrouve dans AmigaOS. Au final, Jinnee se présente
F o n c tio n s a va n cé e s
com m e un bureau alternatif complet, joli, bien interfa-
Les u tilisateurs ave rtis a p p ré c ie ro n t la p o ssib ilité
cé avec les systèmes multitâche, et donc à essayer de
d'associer des prog ram m es à des e xte nsio n s, qui
toute urgence.
perm et le chargem ent direct du docum ent et l'ap ­
David Curé <[email protected]>
plication nécessaire à sa m odification. On se trouve
par ailleurs en m esure d'associer un raccourci cla ­
Jinnee
vier aux ap p licatio ns, afin de les la n cer depuis le
En hausse
bureau et/ou de les faire apparaître dans un m enu
A Possibilités de co n fig u ra tio n C E M Scrip t
d é ro u la n t. En o u tre , Jinnee o c tro ie a u x g ra n d s
A G estion des fenêtres
consom m ateurs de post-it un privilège rare, en leur
En baisse
d o n n a n t les m o yen s de d isp o se r sur le fo n d de
T Fo nctionne uniquem ent avec les n o uvea ux A ES
l'écran les fam eux becquets. Une telle fo nctio n a
Note
pour premier avantage de libérer de la place sur la
★
★
★
★
surface en plastique entourant le m oniteur.
Jinnee
Allgeeein
Autolocator
Darstellung
Dateilangen
Datunsanzeige
Desktop
Dragging
Farben
Fenster
Fensterplazlerung
F il ter
Hlntergrund: Desktop
Hintergrund: Fenster
Hintergrundbedlenung
Icons
Objekt
In h a lt
Fenster
Sonstige
Qulck
Ab ! . . Objekten
A utor:
Manfred Lippert
Bei langen Qateinanen
Kobold kann L in k s kopieren
Auf case-grotecting Laufwerken
Auf c a se -je n sitive n Laufwerken
Keln Kobold auf
Postfach 102646
! 65016 Heidelberg
Telefon: 06221/300002
S
a t
s
r i e 1
Amiga 1300 Ti............................3099 F
Amiga 1400 Ti............................4190 F
Amiga 1500 Tl.................. « ..5 5 9 0 F
Tower Infinitiv
7 ........... 1050 F
Coque clavier 1200 Infinitiv 379 F
Adaptateur écran VGA.
85 F
Scandoubler interne A1200 659 F
Scandoubler A1200T/A4000....599 F
Scandoubler externe.................. 879F
Lecteur de disks HD interne ..559 F
Lecteur de disks HD externe(.629
.629 F
Lecteur Zip ATAPI interne ...890 F
Disque dur IDE 3.5, 2.1 go....1190 F
Lecteur cd-rom ATAPI x 24 490 F
Quadrupleur IDE................. L 165 F
Nappe ide 2.5 >2x 3.5,70cm..125 F
Blizzard PPC 603e 160 Mhz,
68040/25 Mhz..............................2590) F
Cyberstorm PPC 604 180 Mhz,
/
68040/25Mhz et UW SCSI 5190 F
16 mo simms 32 bits 60ns...... 190 F
32 mo simms 32 bits 60ns
359 F
Souris et tapis Frog design 145 F
Adaptateur souris PC................ 199 F
Joypad Honeybee.......................175 F
Digitaliseur audîo + soft
350 F
Cable pamet 3 m + soft
99 F
Scanner Epson GT 5500........2095 F
CDRW Ricoh x2 x2 x6
2990 F
O
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0)
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^
O
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frais de p o rt logiciels 35 F,
m a térie l 80 F, tour, écran 100F
Q
De nom breuses o p tio n s d 'in sta lla tio n .
En dém o e t en a lle m a n d ... d o m m a g e !
icrom l
C o m p jü t e r S e r v ie ^
R e v e n d e u r Of f i c i e l
LinuxConf 1.11,
ou la configuration
enfin intuitive !
Des générations d'administrateurs système sont aux abois. Elles, qui ne
juraient que par l'édition de fichiers pénible et rébarbative, voient
désormais arriver sur une plate-forme Unix leur pire cauchemar : un
panneau de configuration...
Loin des "Runlevel Editors" et autres
fichiers " rc " , on se retrouve ici devant
un sim ple tableau, à l'intérieur duquel
on co ch e le se rvice désiré. D ans le
m êm e état d'esprit, on remarque que
lesdits R unLevels ne so nt plus dési­
gnés par des num éros peu significa­
a c o n fig u ra tio n d 'u n systè m e
dans les fo rm a ts R p m , D eb et T g z,
tifs, m ais p ar des exp ressio ns telles
Unix n'a jam ais été une m ince
LinuxConf sym bolise un outil universel,
q u e " G r a p h iq u e " , " G r a p h iq u e et
a f f a ir e ,
s e m p it e r n e lle s
qui peut fonctionner en m ode conso­
réseau", etc. La mise en place de la
s é a n c e s de Vi ( é d it e u r de t e x t e
le, d ans un X T e rm et m êm e via un
co n n e xio n In te rn e t par m odem fait
aussi partie des nom breuses options
L
les
paléontologique) sur les innom brables
b ro w s e r W e b ! U n e in te r fa c e g r a ­
fichiers ".c o n f" restant m êm e un sujet
phique pour X se trouve égalem ent en
mais ne présente pas un réel avantage
de vaste rig o lad e auprès des u tilisa­
d éveloppem ent. Il dem eure donc tout
par rapport à des outils tels que Kppp
t e u r s d e M acO S ou de W in d o w s.
à fait possible de configurer à distance
ou Ezppp. N o to n s fin a le m e n t que
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
LinuxConf incarne donc certainem ent
une station Unix à partir d'un simple
toutes les m odifications apportées au
l'o u til le p lu s a tte n d u p a r to u te la
Pc so us N etscape N a v ig a to r. A u tre
systèm e via LinuxConf peuvent se voir
com m unauté Linux : il s'agit d'un pan­
p o in t f o r t , L in u x C o n f e st p re sq u e
a c tiv é e s d y n a m iq u e m e n t et m êm e
neau de config uration standardisé et
e n tiè r e m e n t lo c a lis é en fr a n ç a is ;
m o d ifiées à la vo lée sans q u 'il y ait
p ré se n ta n t les d iffére nts p aram ètres
seules quelques maigres sections ne se
besoin d 'u n re b o o t, ni quoi que ce
de m anière intuitive.
voient pas encore traduites.
soit de ce genre...
Un stan d ard absolu ?
G raphique
Essayer, c'est l'ad op ter !
La p lu p a rt des u tilisa te u rs de Lin u x
O n préférera certainem ent la version
La puissance de LinuxConf réside dans
s'accordent pour dire qu'il faut utiliser
client/serveur W eb à la version conso­
un savant m élange de démystification
L in u x C o n f. V o ilà p o u r q u o i o n le
le, bien plus pratique et facile d'accès.
et d'exhaustivité. Seul le design de cet
retrouve dans la nouvelle RedHat 5.1.
A n o te r q u e le b ro w se r c h o isi d o it
utilitaire pèche : on aurait pu espérer
A titre d 'a n e c d o te , les a d e p te s de
su p p o rter le langag e Java. Le m enu
un p etit effort sur la partie H tm l. A
RedHat viennent de réclam er l'ab a n ­
principal, très anodin, se m ontre assez
tous ce u x à qui le m ot Vi donne de
don de certaines facilités du Control-
e xplicite et bien découpé. L'interface
l'urticaire, pas une seconde à perdre,
Panel au p ro fit de Linu xC on f et ce ,
sim pliste tend a dém ystifier des en ti­
LinuxConf vous attend !
p o ur des raisons de sé cu rité. Fourni
té s a u ssi b a rb a re s q u e " D N S " ou
Emile Heitor <[email protected]>
" N IS " . De p lu s, un b o u to n " H e lp "
d em eure d isp o nib le à ch aq u e page,
p e rm e tta n t ainsi très fa c ile m e n t de
L i n u x C o n f v i .11
savoir ce que l'on fait.
LinuxC o nf dans la pratique
S ta tu t : CPL
Il arrive parfois, lorsque l'on n'est pas
Source : ftp.redh at.com
En hausse
fam ilie r avec le m onde des réseaux,
d e c r é e r de ré e ls c o n flit s au se in
A Enfin un o u til universel
m êm e de sa m achine. LinuxConf s'avè­
A Fonctionne en client/serveur
re dans ce dom aine d'une redoutable
A Pensé intelligem m ent
efficacité. Sans no yer le novice dans
A Com patible avec toutes les
des term es plus co m p liq u é s les uns
distributio ns
que les autres, l'utilitaire nous guide
A Très efficace
En baisse
de cham p en ch am p . La gestion des
utilisateurs et des disques reste sim ilai­
▼ Pas très jo li
Note
re à son hom ologue, le Control-Panel.
L'activation/arrêt des dém ons, elle, se
révèle beaucoup plus com préhensible.
★
★
★
★
Ysî»
Sfs : nouveau form at
pour les disques Am iga
te r les p e rfo rm a n ce s sur un d isq ue
sen sib le m e nt frag m en té . Par ailleurs,
Sfs ne re co n n a ît pas en co re la p ro ­
tec tio n co n tre l'é c ritu re (d 'u n e d is­
q uette Zip par exe m p le ) et éprouve
des d iffic u lté s à s'a p e rc e v o ir q u 'u n
Le report de l'AmigaOS 3.5 oblige
encore les utilisateurs à user de
patches pour form ater une
partition de plus de 4 Go.
Heureusement, Sfs arrive.
plus notable par rap port au systèm e
d isq u e a é té é je c té ou re m p la c é .
o rig in a l (le FastFileSystem , ou Ffs)
Pire, il nécessite de re-form ater in té­
vie n t de l'écon o m ie d 'esp ace disque.
g ra le m e n t le d isq ue à ch aq u e n o u ­
Sous Sfs, un bloc du disque se trouve
velle versio n . En a tten d an t que Sfs se
en m e s u re d e c o n t e n ir p lu s ie u r s
m o n tre sta b le , le p a tc h v43 du Ffs
fichiers d ifférents, alors q u 'il ne peut
o r ig in a l p a r A m ig a In t e r n a t io n a l
m a rt FileS ystem (S fs) e s t un
y en a v o ir q u 'u n seul sous Ffs. Par
reste le m oyen le plus sûr pour p rofi­
n o u ve a u sy stè m e d e fic h ie rs
a ille u rs, Sfs sait, co m m e sous Unix,
ter d'un disque de plus de 4 G o.
pour A m ig a. A u tre m e n t d it, il
fa ire la d iffé re n c e e n tre un fic h ie r
s'agit d'un nouveau m ode inédit de
écrit en m inuscules et son h o m o n y­
S
fo rm atag e p o ur les d isq u es d urs et
me en m ajuscules. Enfin, Sfs dispose
leurs partitions sur A m ig a. En term e
d 'u n e zo n e a d m in is tra tiv e ré se rvée
de p e rfo rm a n c e s , la d iffé re n c e la
a u x f i c h i e r s , q u i lu i p e r m e t de
Yann Serra
Smart FileSystem
v o . 7 1 be t a 3
d é fra g m e n te r p lus e ffic a c e m e n t le
S ta tu t : freew are
d is q u e e t q u i n 'a ja m a is b e s o in
Source : A m i net
En hausse
d 'être re-validée.
Pas e n co re sta b le
▲ Plusieurs fichiers p a r bloc
Issu de l'ancien systèm e Afs, Sfs n'en
A M eilleure g estio n des fichiers
En baisse
d em eure pas m oins e xe m p t de bugs.
Surtout dans l'actu e lle version beta.
▼ Pas encore sta b le
En l'o c c u r r e n c e , so n u s a g e re n d
Note
im possible la récupération de fichiers
★
★
★
*
★
effacés et fait d ra m atiq u e m e n t c h u ­
Un fo rm a t fo rt p erfo rm a n t.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Xfs : quand Am igaOS relit
toutes les disquettes !
re. Il suffit d 'a ctive r ou non des d ra­
peaux dans la m ountlist (rappel : une
mountlist désigne un fichier texte) pour
que Xfs se charge d'un form at ou en
laisse l'usage à un autre pilote. Une utili­
Disposant du m eilleur form a t de
disquettes du m arché, il éta it
norm al que l'Am iga puisse enfin
relire tous les autres.
a p p e l à u ne lib ra irie d a n s la q u e lle
sation co n jo in te avec MultiFileSystem
séjournent les descriptions de tous les
(Mfs) permettra de n'avoir qu'une seule
formats.
icône par lecteur de d isq uette sur le
M o d u la ire
W o rkb ench. Ainsi, Xfs d evient to tale­
Du fait de son aspect génériq ue, Xfs
m ent transparent : on lit une disquette
FileSystem incarne un nouveau
n 'o ffre q u 'u n accès m o yen a u x d is­
en double-cliquant sur son icône et on
système de fichier qui permet à
quettes étrangères : il s'avère impossible
se moque de connaître son formatage
l'Amiga d'accéder à n'im porte
de les formater et parfois même d'écrire
puisque, de toute façon, on accède aux
quelle disquette, et ce in d ép en d am ­
dessus. A titre d'exem ple, CrossDos et
données qu'elle contient.
X
ment de son formatage. Enfin presque,
CrossMac permettent une gestion bien
car les formats 1541 ( Commodore 64)
s u p é rie u re d es d isq u e s M S /D o s et
et Ext2Fs (Linux) ne se tro u ve n t pas
MacOS. Heureusement, Xfs est modulai­
encore supportés. Mais pour le
reste, un Amiga pourvu de Xfs
Yann Serra
XFileSystem
beta 3
se montrera capable de relire
S ta tu t : freew are
des disquettes M s/Dos (Atari
Source : A m inet
ST et M SX com pris), M acO S,
V
2. 12
En hausse
Sinclair QL, Sinclair Spectrum ,
A Un seul p ilo te p o u r tous les
R iscO S, M in ix et C P /M . Par
form ats de d isq uette
ailleurs, Xfs ne constitue pas un
A M o d u la ire
utilitaire à lancer au m om ent
En baisse
de ch a q u e in sertio n de d is­
▼ Accès en écriture relativem en t
quette, mais un pilote qui s'in­
faible
tégre parfaitement au système.
Note
En l'occurrence, il s'agit d'une
D ésorm ais, toutes les d isq u ettes a u ro n t d ro it
m o u n tlist g é n ériq u e qui fait
de cité su r A m ig a .
★
★
★
★
La cryptographie
avec PGP
Internet est à la fois le plus vaste, le plus puissant et le moins
sûr de tous les médias de communication. Voilà pourquoi la
cryptographie, ingrédient essentiel de tout roman d'espionnage
qui se respecte, devient un outil de travail indispensable.
ur un réseau où to u t un ch acu n se
S
posent toutes un gros pro b lèm e : le d e sti­
tro u ve en m e su re d 'in te rc e p te r ou
nataire doit co n n aître la clef pour p ouvoir
de fa lsifie r des d o n n é e s, le c h iffre ­
lire le m e s s a g e . O r, p o u r la lu i t r a n s ­
m ent co n stitu e le seul m oyen d'assu re r la
m ettre, on d o it la ch iffre r à son to u r pour
c o n fid e n t ia lit é d e la c o m m u n ic a t io n .
é v ite r q u 'e lle ne to m b e en tre les m ain s
C e p e n d a n t, l'o rig in e de la cryp to g ra p h ie
d 'un intrus ! C e cercle vicie u x peut se vo ir
d e m e u re
la r g e m e n t a n t é r ie u r e
aux
brisé de p lu sie u rs fa ç o n s plus ou m oins
d é b u ts d e l'in f o r m a t iq u e p u is q u 'e lle
co m p liq u é e s, m ais il existe une so lutio n
rem o n te à l'A n tiq u ité . Les p rem iers pro­
g é n iale, axée sur les tra va u x de W . Diffie
m essage ch iffré, il utilisera SecB et PubA
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à des
et M . H ellm an, ainsi que sur les o b serva­
(q u 'il c o n n a ît) p o u r le d é c o d e r. Il y a
m é t h o d e s t r è s p e r f e c t io n n é e s ; d e s
tio n s ém ise s p a r D . K n u th . Le p rin c ip e
d e u x choses à retenir ici. Prem ièrem ent,
m a c h in e s à c h iffr e r m é c a n iq u e s , p u is ,
s'avè re très sim p le : l'u tilisa te u r possède
s a c h a n t q u 'il se ré v è le n é c e s s a ire de
d e u x c le fs, l'u n e , p u b liq u e , c o n n u e du
co n n aître SecB pour d échiffrer le m essa­
cédés
n a ïfs
o n t la is s é
File: /usr/m W m anl/gpg l.gz
gpg(gpg l)
GNU Tool*
p la c e
2 IS I2 1 & 1 - t a s
j
9Pg(9P91)
m onde entier, et l'au tre, secrète, connue
ge, seul Bertrand aura ce privilèg e, et ce
de lui seu l. Supposons alors q u 'A n to in e ,
sans q u 'a u c u n e cle f co n fid e n tie lle n 'a it
d o n t les clefs s'a p p e lle n t re sp e ctive m en t
é té
" S e c A " e t " P u b A " , v e u ille e n v o y e r un
D e u x iè m e m e n t, si B e rtra n d p a rv ie n t à
c o m m u n iq u é e
à
q u ic o n q u e .
NAME
gpg - GNU Prfcacy Guard
SYNOPSIS
gpg (— ho m e * name) [— Optons Me) (optons] command
[afgs>
DESCRIPTION
Tins !s d » main program tôt the GNUPG System
COMMANDS
m e ssag e à B e rtra n d , d o n t les c le fs o n t
d é ch iffrer le m essage avec SecB et PubA,
p o ur nom "S e c B " et "P u b B ". Il chiffre le
il aura la ce rtitu d e q u 'A n to in e se cache
m essage avec sa clef privée SecA et la clef
d e rriè re l'e n v o y e u r ; il s'a g it d o n c d'un
p u b liq u e de Bertrand , PubB, q u'il co n n aît
e xcelle n t m écanism e d 'au th en tificatio n .
pu isq u 'elle reste lib rem ent accessible (elle
P re tty Good P rivacy
gpg recognizes these commands:
-s . — slgn
M * e a s>gnatufe This option may be corntuned
wifri — encrypl
— clearsign
Mafce a clear lexl signature
ne p e r m e t q u e d e c h if f r e r e t n o n de
Le c é lè b re PGP c o n s titu e d o n c (e n tre
-b . — deiach-sign
Make a detached signature
d é c h iffr e r ). Q u a n d B e rtra n d re c e v ra le
a u tre s)
un
c ry p to sy stè m e
à
c le fs
- e — encrypt
Encrypt data Tins option may be combned with — slgn
Le c h i f f r e m e n t et la loi
-e. — symmetric
Encrypt with symmetric dpher only
1 -m
h
• v. • «
•■
GPG : le re m p la ç a n t de PGP.
Ju sq u 'à p ré se n t, la lo i fra n ça ise assim ile la c ry p to g ra p h ie à une arm e stra té g iq u e et
l'utilisa tio n de celle-ci est soum ise à une rég lem entation des plus sévères. Entre autres, tout
plus ta rd , é le c triq u e s e t é le c tro n iq u e s ,
em ploi du chiffrem en t d o it se vo ir exp licitem ent a p prou vé p a r le SCSSI. Le problèm e vient
fu r e n t c o n s t r u it e s . N o u s d é c o u v riro n s
de ce que m o u lt p erso n n es s'en serve n t sa n s m êm e le sa v o ir : d a n s certa in s systèm es
dans ce t article un cryp to systèm e très en
d 'e x p lo ita tio n p a r exem ple, des a lg o rith m e s d e ch iffre m e n t s'e m p lo ie n t p o u r vérifier
vogue en ce m o m en t, PGP. C o m m e n ço n s
l'id e n tité d e l'u tilisa te u r (ceu x-ci se tro u ve n t d'a illeu rs désorm ais autorisés en France).
par d o n n er une idée de ce qui se cach e
H e u re u se m e n t, d a n s le c a d r e d e la p o lit iq u e p r o - ln te r n e t du g o u v e rn e m e n t e t la
derrière. La cryp to lo g ie (scie n ce du c ry p ­
no rm alisatio n européenne a id a n t, une législation beaucoup plus libérale se m et peu à peu
ta g e ) a en e ffe t c e c i d 'a p p a r e m m e n t
en place. A insi, les entreprises d isp o sero n t du chiffrem ent sans restriction, tandis que le
p a ra d o x a l q u e son o b je c tif p ré v o it à la
p a rticu lier sera en d ro it d 'u tiliser librem ent des clefs de long ueur inférieure à 5 0 bits. Il
fois de m ettre au p o int les m eilleurs sys­
p o u rra ég a lem en t m a n ip u ler des clefs p lu s longues, à co n d itio n de les d éclarer auprès
tèm es de cryp tag e et de tro u ver le m oyen
d'u n tiers de co n fian ce ("n o ta ire électro n iq ue"). Ce p rin cip e sem ble d'ailleurs à certains
d'en ve n ir à bout.
Le c h iffre m e n t
abusif, c a r l'im p a rtia lité desdits no taires p a ra ît douteuse. De nom breuses sociétés de vente
à cle fs
p u b liq u es
Les t e c h n iq u e s d e c h if f r e m e n t à c le f
se crè te , aussi so p h istiq u é e s so ie n t-elle s,
p a r co rresp on d an ce o n t d éjà recours au p ro to co le SSL, afin de sécuriser le paiem ent p a r
ca rte de créd it via l'In tern et...
•
D é c o u v e rte
Dream prof
Fichier
Edition
Û
O
Affichage
m
Signets
Cache
Options
Aide
?
i$ r
file:/home/jzimm/ysepgp.html
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
S etting up and using PG P
• PGP, une idée de génie ?
PGP em ploie en fa it plusieurs algorithm es,
com m e Diffie-Hellm an, RSA, ID E A, etc. il ne
r e p o s e d o n c p a s s u r u n e s e u le id é e
lum ineuse.
The first thing you need to do is create a public/private keypair. This example was done on a
Sun workstation, but itwill be similarfor ali unix and PC platforms. For the macintosh, you
would select "Generate public/private keys" from the "Keys" menu.
On the unix and PC platforms, you must have a pgp subdirectory under your home directory;
in unix parlance that would be $home/. pgp. (Note that there is a leading period for this
filename - - it may be a bit hard to see in this font). This is where your keyring will be stored.
You can override this path with the $pgppath environment variable; the documentation
explains how. For the purposes ofthis tutorial ni not botherto set this environment variable,
and just go with the default.
What follows is a script of an actual key génération. Everything that the user types in has
been turned into a hotlink, with a discussion of what is happening if you follow each link. For
the macintosh version, this same dialog is generated, but for every question a
macintosh-style dialog box will pop up to query you for your input.
If you have problems generating your public/private keypair, the PGP F A Q from the PGP
distribution machine at MIT has afe w suggestions.
d 'u n e clef p ublique usurpée, le d e stinatai­
re légitim e ne se verra jam ais en m esure
de lire le m essage, qui se tro uvera de fait
d e stin é au fa lsific a te u r ! Pour p e rm ettre
d e c e r t if ie r l ' a u t h e n t ic it é d 'u n e c le f
p u b liq u e , de n o m b re u x c ry p to systè m e s
m e tte n t en p la ce u n e a u to rité c e n tra le
ch arg ée de co n trô le r la diffusion des clefs
pu b liq u e s, m ais PGP a recours à une autre
m é th o d e ,
trè s
s im p le
e t é lé g a n t e .
Lorsq u 'u n utilisateu r répond de la validité
de la clef p ub liq u e d 'u n co rresp o n d an t, il
a le d ro it d 'y ap p o ser sa sig nature PGP et
(") unixhost 25 % mkdir .pgp
(~) unixhost 26 % pgp -kg
Pretty Good Privacy(tm) 2.6 - Public-key encryption for the masses.
(c) 1990-1994 Philip Zimmermann, Phil's Pretty Good Software. 23 May 94
Distributed by the Massachusetts Institute of Technology. Uses RSAREF.
Export of this software may be re3tricted by the U.S. government.
Current time: 1995/10/07 16:50 GMT
Pick your RSA key size:
1)
512 bits- Low commercial grade, fast but less secure
2)
768 bits- High commercial grade, medium speed, good security
3)
1024 bits- "Military" grade, slow, highe3t security
Choose 1, 2, or 3. or enter desired number of bits: 3
d e v ie n t ainsi g a ra n t de l'a u th e n tic ité de
c e tte c le f. Un n o u v e a u v e n u , d é s ira n t
c o m m u n iq u e r a v e c q u e lq u 'u n q u 'il ne
c o n n aît pas et d o n t il ne possède pas la
clef p u b liq u e, résoudra désorm ais le p ro­
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blèm e en la d e m a n d a n t à une de ses rela­
t io n s , à q u i il fa it c o n fia n c e et q u i l'a
sig née. Il aura alors la certitu d e de d ispo­
se r de la c le f a u th e n tiq u e et p o u rra la
sig n e r à son to u r, ainsi que la d o n n e r à
Generating an RSA key with a 1024-bit modulus.
d 'a u tre s p erso n n es. De cette faço n , PGP
évite de dé p en d re d 'un q u e lco n q u e o rg a ­
nism e cen tralisé.
/. Zim m erm ann
P our bea ucou p , PG P dem eure co m p le xe à m ettre en place.
p u b liq u e s , d é v e lo p p é en 1 9 9 0 p a r P.
co n ten u du fic h ie r, il peut re calcu ler lui-
Zim m e rm an n . Il doit sa notoriété tan t au
m ê m e le co d e de h a c h a g e à p a rtir du
GNU Privacy Guard
haut niveau de sécurité q u'il procure qu'à
fic h ie r, puis le co m p arer avec la signature
D evant l'im m ense succès du PGP, la Free
son h isto ire . A u x E ta ts-U n is, le c h iffr e ­
d é c ry p té e . Si le fic h ie r a été fa ls ifié , le
So ftw a re Fo un d a tio n se d e va it de réagir.
m ent éq u ivau t à une arm e et l'e x p o rta ­
code de hachage obtenu différera, m ais la
C 'e st d é so rm a is ch o se fa ite , p u isq u e la
tion des cryptosystèm es les plus efficaces
sig n a tu re c o ïn c id e ra to u jo u rs a v e c ce lle
p rem ière version (en co re exp érim en ta le)
hors du territoire fédéral d em eure in te rd i­
du fic h ie r orig inal (à m oins que le fa lsifi­
de
te. A la suite de la d iffusio n de PGP sur
ca te u r ne possède la clef privée de l'a u ­
actuellem ent disp on ible. Le GPG offre un
GNU
P r iv a c y
G u a rd
se
des sites FTP, son auteur, Z im m e rm a n n ,
te u r du fic h ie r et la p a ssp h rase p e rm e t­
r e m p la c e m e n t c o m p le t d e P G P s o u s
s'est vu poursuivi en ju stice et, accesso ire­
tan t de l'exp lo ite r !). D o n c, si le d e stin a ­
lic e n c e G P L a v e c , G N U o b lig e , d e s
m ent, a d é ch aîn é le d é b at sur la lib erté
ta ir e c o n s ta te u n e d iffé r e n c e e n tre le
r a f f in e m e n t s s u p p lé m e n t a ir e s . G P G
d 'exp re ssio n sur In te rn e t, su jet to u jo u rs
co d e q u 'il a u ra c a lc u lé e t la s ig n a tu re
d e v ie n d r a
d 'actualité. PGP s'utilise pour ch iffre r des
d é chiffrée, il peut avoir la certitu d e que le
in tég ra n te du Systèm e GNU, q u 'il s'ag isse
in f o r m a t io n s , m a is a u s s i (e t s u r t o u t )
fich ier dont il dispose ne co rrespond pas
d e L in u x o u d e H u r d . A c a u s e d e s
com m e systèm e d 'au th en tificatio n u n ive r­
à ce q u e l'a u te u r v o u la it lui e n v o y e r !
a lg o rith m e s p ro p rié ta ire s p résen ts dans
sel : la sig n a tu re é le c tro n iq u e . A p a rtir
Sous Linux par exe m p le , les gestionnaires
le s p r e m iè r e s
d 'u n f ic h ie r , PGP c a lc u le un c o d e de
d e p a c k a g e s rp m e t d p k g p e r m e tte n t
inutilisab les p a r le Free Softw are, le GPG
p r o g r e s s iv e m e n t
v e r s io n s
de
tr o u v e
p a r tie
PGP
et
hachage de 128 bits, qui se trouve en su i­
d 'a tta ch e r une sig nature PGP à un p a cka­
n 'a d e c o m p a tib ilité (u n fic h ie r ch iffré
te chiffré : on obtient ainsi la "sig n a tu re ",
g e . A insi, l'u tilisate u r a les m oyens d 'être
a v e c l'u n ne p e u t p a s se v o ir relu p a r
qui s'ad jo in t au fic h ie r. C elu i-ci reste en
sûr de ce q u 'il installe.
l'a u tre ), q u 'a vec la version PGP 2 .x ; on
clair et chacun peut d o n c le lire, m êm e
C e rtifica tio n d es clefs
n ous p ro m e t que la co n form ité au futur
sans disposer de PGP. M ais si l'u tilisateu r
C e systèm e reste toutefois vu ln érab le : si
sta n d a rd O penPG P sera assurée.
a des doutes quant à la provenance et au
un u tilisa te u r ch iffre le m essag e à l'aid e
r
En
pratique
1
•
i
Syst ème
Le Workplace Shell
ratio n du systèm e résid e d ans les p a ra­
3epartie
mètres du bureau. Par un clic droit sur l'es­
pace de travail puis en choisissant "p ara­
Les deux premiers articles consacrés à l'interface objet d'OS/2
ont détaillé l'architecture et les premières manipulations
d'objets. Cette troisième partie évoquera les moyens de
paramétrer globalement le bureau et les propriétés des objets
les plus courants.
m ètres", on accède à un livret de configura­
tion égalem ent im portant, puisqu'il permet
de co n fig u rer les arcanes du systèm e. Le
prem ier onglet sert à activer la mise en veille
d '0 5 /2 . Rien d'exceptionnel m alheureuse­
m ent ici : l'écran de veille d '0 5 /2 est unique
et tristem ent laid. Pour avoir une mise en
veille plus agréable, il faudra se rabattre sur
des sharewares ou freewares. Le deuxièm e
e moyen le plus rapide pour accéder à
L
de c h o isir l'e m p la c e m e n t des icô ne s des
onglet "archivage" a déjà été évoqué dans
l'outil de configuration des paramètres
applications lancées, ce volet donne égale­
le prem ier article. C et onglet perm et d'ar­
systèm e reste encore de cliquer droit
m ent le privilège de décid er si l'activation
c h iv e r a u to m a tiq u e m e n t le b u re a u au
sur le bureau et de ch o isir dans le m enu
d 'u n o b je t déjà a c tif a ffich e ra l'o b je t en
dém arrage du système. Ces archives pour­
contextuel "configurer le systèm e". Le dos­
q uestio n ou en créera un n o u veau . A ce
ront se vo ir réactivées, éventuellem ent au
sier de configuration s'ouvre alors et l'icône
m om ent-là, on détem inera si le lancem ent
boot du système. L'onglet "bureau" donne
système perm et d'accéder au livret de confi­
d 'une application pourra être m ultiple ou
la possibilité de désactiver la m odification
guration. C et outil de configuration donne
u n iq u e . Les o n g le ts re stan t se m o n tre n t
du b u re a u . U ne fo is l'o p tio n in h ib é e , le
accès à des o p tio n s g lo b a le s très u tile s.
m oins im portants et d em eu ren t suffisam ­
b u re a u re vie n d ra à son é ta t o rig in a l au
Toutefois, il s'avère regrettable que certaines
m ent explicites pour que nous n'en détail­
cours de chaque lancem ent du système. On
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options com m e le co m p ortem ent de tous
lions pas la signification dans cet article.
les dossiers n 'y soient pas p aram étrables.
Les p aram ètres du bureau.
p o rte m e n t p a r d é fa u t du d é p la c e m e n t
Les prem iers onglets de la boîte d o n n en t
Un autre point stratégique pour la configu­
d 'ic ô n e , g râ ce à l'o p tio n "p re n d re " des
définira égalem ent dans cet onglet le com ­
accès aux configurations écran et à la réso­
lution du systèm e (la co m p osition de ces
onglets change en fonction de la carte gra­
phique installée). L'onglet "co n firm atio n s"
qui suit perm ettra de choisir le niveau de
sécurité désiré lors de la d estruction d'un
dossier ou d'un fichier donné. De m êm e, on
pourra égalem ent définir le com portem ent
par défaut du systèm e, lors d'un conflit de
titre e n tre o b je ts d a n s l'o n g le t " t it r e " .
L'onglet "fenêtre" déjà évoqué dans l'article
précédent se révèle plus im portant qu'il n'y
paraît au prem ier abord. O utre la possibilité
Paramétrés
Aide
Création
Déplacement...
Copie...
Création de double(s)...
Suppression...
Prendre
Recherche...
Position fixe
Navigate...
Netscape
Le livret de co n fig u ra tio n systèm e d 'O S /2 :
utile, m ais m alheureusem ent in com p let.
C o n fig u ra tio n du co m p o rtem en t g lo b a l des fenêtres.
Netscape Navigator pour OS/2 (Réseau) - Paramètres
P ro g ra m m e
Session
Association
Icône
\
Bureau - Paramétrés
□ □
Fenêtre
[V e r r o u illa g e
P ro g ra m m e
fcSj
Obligatoire
Chemin/Nom de fichier
t Q □
A rch ivag e
\
Fenêtre ^ Fich ier t f l P ► \
Bureau|
Page 1 / 3
V errouillage
.
R o c h y c h e ..._
(c :\H O M E \N E T S C A P E \N E T S C A P E .E X E
Typ e d'affichage
Délai
Facultatif
•
Param ètres
J-L F R
P a s de ver rouillage automatique
O
Verrouillage automatique
L § ) Jmage
Délai
Répertoire de travail
n a
M essage
minutes
Verrouillage au lancement
i Ü Mise en veille automatique
: | C :\H O M E\N ETS C A P E
Défaire
Aide
D éfaire
Les pa ra m étrés a un fich ie r prog ra m m e.
Systèm e - P aram ètres
E cr»
Ç « # rm *k *s
The
F « * r.
, H m
X Q□
W H ÊÊUÊSS ► X
S
Ecraa
RésoMion
P ar défaut
Aide
R a d ié du burea u.
double (alias d'objet) par un shift-ctrl-tirer-
par l'objet program m e. Les param ètres de
glisser bouton droit.
ce dernier définissent tout d'abord la ligne
"Prendre" octroie la possibilité de déplacer
de com m ande et ses paramètres à exécuter,
un ou plusieurs objets entre dossiers non
p u is les p a ra m è tr e s d e la se ssio n d a n s
adjacents. Lorsque l'on "prend " un objet, le
la q u e lle ce p ro g ra m m e d o it s 'e x é c u te r.
c u rseu r de la souris c h a n g e de fo rm e et
Enfin, un volet "association" donne la possi­
revêt l'aspect d'une petite valise. Les menus
bilité d'associer à cet objet certains types de
contextuels s'enrichissent alors d'une option
fichiers de données. Pour des raisons pra­
"d ép o ser", qui autorise le déplacem ent, la
tiques, on retrouvera des volets identiques
copie ou la création d'un double de la "vali­
dans les param ètres d'un fichier exécutable,
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1280n 1024 h 256
640 x 480 n6553b
900x600x65536
r?
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nrr
m p i
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largeu'Xhaureu’Xnombre de couleurs
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I
.
Aid. ]
Les p a ra m ètres du burea u.
se". Le menu contextuel donne égalem ent
mais dans ce cas les param ètres s'enrichis­
a ccès au m o te u r de re c h e rc h e , qui sera
sent des volets d écrivant physiquem ent le
détaillé dans un prochain article. L'option
fichier. Cette facilité ne doit pas faire oublier
"Position Fixe" perm et d'ancrer un objet sur
q u e p o u r a d m in is t r e r p ro p r e m e n t son
objets du bureau. C'est dans l'onglet "arriè­
le bureau ou dans un dossier déterm iné, en
bureau, il est préférable de n'utiliser que des
re-plan" que l'utilisateur pourra d é fin ir la
em pêchant son déplacem ent.
objets pro g ram m es qui ne su rch arg ero n t
c o u le u r ou le p a p ie r p e in t d e fo n d du
L o rs q u 'il se v o it a c tiv é d a n s un d o ssie r
pas les exécutables inutilem ent. Le prochain
bureau. 0 5 /2 n'accepte m alheureusem ent
ouvert, le menu contextuel s'enrichit d'op­
article évoquera les fichiers, leur type, leur
que des BMP au form at OS/2 com m e image
tions de tri, d'ouverture du dossier parent et
classe et reviendra sur certains paramètres,
de fond, mais de nom breux utilitaires s'ac­
de disposition des icônes.
com m e les menus procurant au W PS la sou­
q u ittero n t p a rfaite m en t de la co n versio n
plesse qui a fait son succès.
nécessaire.
Les p aram ètres des objets
p rogram m es.
Le menu contextuel
A vant d'évoquer ces
On retrouve sur la plup art des o b jets du
p a ra m è tre s ,
WPS un menu contextuel, dont les options
d e m e u re
bon
il
de
p rin cip a le s v a rie n t assez peu d 'u n typ e
revenir sur ces deux
d 'o b je t à l'a u tre . La p re m iè re o p tio n du
ty p e s
Antoine Sabot-Durand
Système - Paramètres
h
4
T e a è tre \
Menu
X
Interface utisateur
Impression d’écran
Fenêtre
Page 1/3 \
d 'o b je t s .
menu, "ouvrir", donne les moyens, com m e
L 'o b je t p ro g ra m m e
son nom l'in d iq u e , d 'o u v rir l'o b je t dans
désigne ce que l'on
divers modes. Pour un dossier par exem ple,
trouve co u ra m m en t
ce menu proposera une ouverture normale
su r
Il
Type de bouton de fenêtre
en m o d e d é ta illé ou en a rb o re s c e n c e .
s 'a g it en fa it d 'u n
Bouton de masquage
L 'e n tré e "c ré a tio n " p e rm e t de c ré e r un
o b je t d é sig n a n t un
; O Boiion de réduction
O Fenêtre cachée
• Placée dans Fenêtre réduites
objet de même type que celui actuellem ent
p ro g ra m m e e x é c u ­
; Animation
Comportement d'un objet ouvert
le
b u re a u .
sélectionné. "D é p la c e m e n t", "C o p ie " ou
table et un contexte
"Création de double" constituent des fonc­
d 'e x é c u t io n . Il ne
tions similaires aux m anipulations de la sou­
fa u t pas c o n fo n d re
ris. Le déplacem ent s'effectue par un tirer-
un objet donné avec
glisser bouton droit, la copie par un ctrl-
l'o b je t
tirer-glisser bouton droit et la création de
l'e x é c u ta b le p o in té
f ic h ie r
de
O □
\ Logo \ Icône \
Effet du bouton de réduction
o
Placée sur le bureau
& Activée
( § ) Affichage de la fen&re existante
i O Désactivée
G Ouverture d1une nouvelle fen&re
Défaire
Par défaut
Aide
P a ra m étra g e des fenêtres.
___
1r E n
p ra t
que
1
•
!
S y stè m e
Com m ent fa ire fo n ctio n n er
le JAE d'A corn ?
La machine virtuelle Java (Jvm) d'Acorn se trouve enfin
disponible, ainsi que Browse, le browser Html 4, mais il y a de
nombreuses choses à savoir quant à l'utilisation de Java sur
machine Acorn. M ode d'emploi.
modules dem eurent bien présents. Il s'avè­
re égalem ent obligatoire de mettre le w in ­
dow m anager à jour avec les com m andes
suivantes :
Set WindowManager$Path
B o o t :R e s o u r c e s .W i m p .,Resources :$
raFS:: Large Ditectory SJava
%
jav a-white puper- l/html
S
java-whitepaper- IO-image-4/gif java-whitepoper-10-image-5/gif
%
%
.R e s o u r c e s .W i m p .
Run W i n d o w M a n a g e r :LoadWimp
»
java-whitepuper-1(Vhtml
%
java-whitepaper-11-image-10/git jav a-w h ite pape r-l 1-image-11/git java-whitepuper-l l-image-12/gil java-whitepuper-l l-image-13/git
%
«
S
jav a-white pape r-I l-tmage-14/gil java-whitepuper-l 1-image- 15/git java-w hitepuper-1 l-imageWgit
%
java-whitepuper-l l-unage-7/gif
jav a-white paper-1l-image-8/gif java-w hitepaper-l l-image-9/gif
java-whitepuper-11/html
jav a-white pu per-12/html
java-w hitepapcr-4Æitml
java-whitcpnper-5-image- 1/gif
%
java-w hitepaper-2/html
jav a-w h ite paper-3/htm 1
Voilà pour l'essentiel, le reste concernant
p lu tô t le d o m a in e de l'e sth é tiq u e . Pour
ceux qui ont l'intention d'utiliser IBrowse et
IConnect, il faudra faire très attention car
%
»
RMLoad System:Wimp
%
IConnect se m o ntre d ifficile à config urer.
L'idéal est de charger les modules d'Acorn
dans le Boot (Application Internet à mettre
dans les Ressources) et d'utiliser VAcornetA,
la suite Internet du dom aine public, qui se
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
java-w hitepaper-5-image-2/gi f
jav a-wh ite pupe r-5/htm 1
jav a-w h ite [xtpc r-O/htm 1
jav a- wh itepa pe r-8/htm 1
java-w h itcpaper-9/html
java-w hitcpuper-7/html
nera sans problèmes avec l'Acornet.
**
jav a-wh ite pu pe r-8 -image-3/gi t
configure plus aisém ent. IBrowse fonction­
Un a u tre re g a rd su r Ja va .
Configuration
Il dem eure possible de configurer la m achi­
ne virtu elle Java. Il suffit pour cela d'aller
a Jvm d 'A c o rn est c o m p a tib le Java
L
tions. La mise à jour du Boot suppose de
dans son fichier SetVars. O n fixe la valeur
de c e rta in e s v a ria b le s d 'e n v iro n n e m e n t
1 .0 .2 et il s'agit d'une des seules Jvm
profonds bouleversem ents, ainsi que l'ajout
ayant passé les tests de validation de
de nouveaux m odules, pouvant entrer en
a v e c la c o m m a n d e S e t. La lig n e 'S e t
Sun avec succès (ni celle d'Intern et Explorer,
conflit avec certains pilotes de cartes Ide ou
Ja va îM a xH ea p 8 1 92k' fixe la taille mémoire
ni ce lle de Netscape n 'a v a ie n t réussi ces
Scsi. M éfiance d o n c ... Le m ieux est de ne
de la pile de la jvm à 8 Mo.
fa m e u x te s t s ). C e u x q u i p ro te s te n t en
m ettre son système à jour qu'au m inim um .
Les d ifférentes valeurs qui ont un intérêt
disant que la norm e s'incarne dans le 1.1
Il faudra veiller à charger certains nouveaux
particulier sont :
ont à la fois raison et tort. L'environnem ent
m odules, avant le dém arrage du Wimp (l'in ­
Java$JIT
proposé par Acorn revêt la form e d'un Java
terface graphique). Pour ce faire, il convient
Java$MaxHeap
A p p le t E n v ir o n m e n t (J A E ) , b re f d 'u n e
d'insérer les lignes suivantes dans le fichier
Java$PollDelay
m a ch in e à fa ire to u rn e r les a p p le ts ... Et
Predesk.
sel
d a n s ce d o m a in e , il re ste ad m is q u e la
RMload S y s t e m :N e t w o r k .Internet
norm e est le 1 .0 . Fort heureusem ent, Acorn
RMLoad S y s t e m :T o o l b o x .ColourDBox
travaille actuellem ent sur une Jvm 1 .2 .
RMLoad Syst e m : T o o l b o x .ColourMenu
De quoi a-t-on besoin ?
RMLoad Syst e m : T o o l b o x .DCS_Quit
Pour faire fonctionner la Jvm , il faut dispo­
RMLoad Syst e m : T o o l b o x .Filelnfo
ser d'un brow ser adm inistrant les plugs-in.
RMLoad Syst e m : T o o l b o x .FontDBox
On pourra choisir parmi Browse, Webster XI
RMLoad System:Toolbox.FontMenu
et Fresco. C e p e n d a n t, la p ré se n c e d 'u n
RMLoad Syst e m : T o o l b o x .IconBar
Applet Viewer perm et de lancer les applets
RMLoad System:Toolbox.Menu
sans browser. De m êm e, nous verrons qu'il
RMLoad S y s t e m :T o o l b o x .PrintDbox
dem eure possible de faire fo n ctio n n er des
RMLoad S y s t e m : T o o l b o x .Proglnfo
applications Java en local, y com pris le Jdk...
RMLoad S y s t e m : T o o l b o x .SaveAs
Ce que dém ent form ellem ent Acorn.
RMLoad Syst e m : T o o l b o x .ToolAction
Installation
RMLoad S y s t e m : T o o l b o x .Toolbox
Le C D de RiscCafe co m p re n d plus q u 'u n
RMLoad System:Toolbox.Window
IU L I hnp
• » u»i«n*K c<hi-'-vh2,ÿh*fcmbc4dad hunl
O G )©
G O
]3 r
(S )® © ®
□
Songü
Autodesk. Inc
Work Phone 415-507-6881
Home Phone: 510-215-7250
E-Mel' «I2&cs n n b c erfa
[vmnf fcwPkM-JDr
sim ple Jae. Effectivem ent, toute une mise à
JBË
jo u r du systèm e se tro u ve sur le d isq u e,
Bien sûr, il faudra veiller à ce que le chem in
Saluo n s un in vité de m arque :
a c co m p a g n é e d 'u n m in im u m d 'e x p lic a ­
System : ait bien été in itia lisé , et que les
le repère cartésien.
G |X |
Java Console
Apple! jnapninc removed
_A
Apple! nervousiext removed
Apple* jovaclock removed
Apple! Display removed
Apple! bandeaux removed
*' * Securüy Exception: nie reudï«le:/mFS. MtstVS/JAS’A.<X>UNTER/COL'NTER HTMcaonter u i ***
x-urn plugaiPlueinSccuritv Exception .Appleis ooni read this file : fde/raFSiMfcC/VJAVA/CXX'NTER/COUNTER HTM cam erJxf
al acom plugin PkiginScvunty checkRcadlPlugiiiSecunty ja\ a 234i
al aexim plugrn PhiginSecunty chcckRcadlPluginScc'urtty >u\a:20X)
al jav«joPdelnpuLStieam.<inil><RlclnputSlrcan» java 45)
ai java 10 FdelnpuiStreant <mit><RlelnputStrcam.java:61)
al eoonter înitleounfcr java:62)
al acom plugin PkigmFrame run<PluginFramr java334)
al java Jang ThreaJ rail Thread java:294)
jcom plugin PluginSecuniy Exception .Appleis oant read ihislikr : Hle:/raFS::Misc/VJAV.A/COliNTER/COUNTER.HTM».oun!er txl
ai acx>m piuiein PtuginSccuniy ehcckReadlPluginSeoriix java 2341
al acom ptuginPkiginSecunty cbcckReadiPluginSecuntY javr208)
al java io FdelnpwStream cmOlRlelnpuiSlrcani java:45)
al java io F de In pu Sircam <ind>(RlcInputSiream java tf>l )
al animer iniMcnunter java:62)
ai acom.pluginPlufunFrame.nai(PIuginFrame java.334)
al java long ThreaJ runiThread java:294)
.Apple! ccnater’ removed
SCORE 000050
▲
* L
•
••
m i
©
••
▼
Y
^ |
!►
□
I
[~Vicw ing " A l c x a id c r J c a n - O a u d e Bottem a's J a v a P a c m a n "
Pacm an en Java.
Acorn tacite.
p e rm e t de q u a d ru p le r la v ite s s e , m a is
suite, la vitesse d 'exé cu tio n se m ontre très
n'ayant pas réussi à le m ettre en fonction,
satisfaisante. La Jvm a été utilisée avec suc­
La variable JavaSJIT perm et d 'enclencher le
vo tre se rvite u r ne sa u rait le g a ra n tir... Il
cès sur des ap plications diverses : un pro­
com pilateur jit (Just in tim e). Celui-ci reste à
sem ble clair que seul un Strong A rm per­
g ra m m e d 'a ffic h a g e de d o n n ée s en 3D ,
l'état de beta, aussi faut-il vous attendre à
mettra de bien exploiter la Jvm . Elle se révé­
d iv e rs e s h o rlo g e s , de n o m b re u x e ffe ts
ce que ça ne fo n c tio n n e pas à to u t les
lera alors d'une vitesse étonnante. M êm e si
d 'a ffic h a g e , l'é m u la te u r S p e c tru m , et de
co up s. Il arrive de tem p s à a u tre que le
quelquefois les résultats suscitent quelques
m u lt ip le s
com pilateur Jit n'exécute pas des applets...
déceptions, elle reste néanm oins beaucoup
Bomberman, Pacman, Battle Tetris, Rubik's
Ceci vient principalem ent du fait que son
p lu s
u tilisa tio n n é c e ssite d 'a n n u le r le m o d e
m achines. La Jvm d'A corn adm inistre son
sé rieu se s, co m m e le b ro w se r Yahoo, un
sécurisé de java, ce qu'on peut réaliser en
m ultitâche personnel et son propre espace
a ffic h e u r de fic h ie rs V rm l et un ta b le u r.
ch a n g e a n t un p a ra m è tre d a n s le fic h ie r
m ém oire. L'opération de 'G arb ag e collec-
L'utilisation de IJava pour créer ses propres
IJa v a .lib .p lu g in .p ro p e rtie s . Le p ro b lè m e
tin g ' qui rassem ble les espaces m ém oires
a p p lic a tio n s s 'a v è re s im p le , m a is, p o u r
vient du m anque de clarté de la d ocum en­
vid es n 'e st pas au to m a tiq u e et nécessite
c o m p ile r du c o d e a v e c G uavac, il fa u t
tation à ce sujet, à tel point que l'utilisation
une action spécifique.
v e ille r à lu i la is s e r au m o in s 3 M o de
du com pilateur se term ine souvent par un
Soulignons ég alem e nt les quelques petits
m ém oire libre. L'e xé cu tio n d'ap p licatio n s
message d'erreur. Le com pilateur Jit néces­
bugs rencontrés dans le cadre de la gestion
Java au to n o m es se révèle b eauco up plus
Java$Timeout
ra p id e q u e
les Jvm
d e s a u tre s
C u b e ...
je u x ,
t e ls
q u ' A s te ro id s ,
M a is a u s s i d e s c h o s e s
p lu s
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
sitera aussi une taille de pile im portante et
des fontes du son ou encore des couleurs.
satisfaisante q u 'avec la version beta de la
en général beaucoup de m ém oire.
A lle r plus loin
Jvm d'A corn ; il faudra cep en d an t garder à
Les variables
C o m m e n t faire fo n ctio n n er les applets en
l'esp rit que cette fo n ctio n n a lité n 'e st pas
JavaSMaxHeap fixe la taille de la pile de la
local ? Rien de plus sim ple, il suffit de dis­
officiellem ent supportée.
jvm . 8 Mo s'avèrent suffisants pour la plu­
poser d 'u n systèm e de fichiers accep ta n t
part des usag es, m ais il p e u t se ré vé le r
les nom s de fichiers lo n g s... RaFS rem plit
nécessaire d'aller au-delà... JQuake et Corel
ic i m e r v e ille u s e m e n t b ie n so n o f f ic e .
O ffice n é c e s s it e n t p rè s d e 2 0 M o de
C o n c e r n a n t les a p p lic a tio n s , AVLaunch
mémoire. JavaSPollDelay déterm ine la prio­
donne la possibilité de lancer des applets
rité de la Jvm par rapport au systèm e. Une
(sans b ro w ser) ou encore des applications
valeur faible ralentira la jvm , une forte ren­
ja v a . Le jd k 1.0 .2 fo n c tio n n e très b ie n ,
dra le Wimp quasi inutilisable. La valeur par
n'en déplaise à A c o rn ... Il existe m êm e un
défaut est de 200 m illisecondes. Une valeur
Fro ntEnd p o u r fa c ilite r son u tilisa tio n . La
de 400m s ne ralentira pas trop le système
solution la plus satisfaisante pour com p iler
avec un Strong A rm . JavaS Tim e o u t repré­
du co d e Java c o n siste à u tilise r G uavac
sente la variable définissant le tem ps d 'in ac­
d o n t un p o rt se tro u v e d is p o n ib le su r
tivité m a xim u m , a van t que la Jvm ne se
m a ch in es A co rn . Guavac est prévu à cet
ferme d'elle-m êm e. La Jvm consom m e alors
effet ; il faudra d o n c prendre soin de ne
une grande partie des ressources système,
pas utiliser des fo n ctio n s du 1.1 qui fo nt
mais la valeur par défaut de 10 secondes
défaut au java 1 .0 .2 . L'installation de IJava
demeure bien trop courte. Selon les usages,
seul ne prend que q uelq ues m in u te s. Sa
une valeur de 30 à 120 secondes devrait
config uration se vo it réduite au m inim um
convenir.
et la m ise en route du p ro d u it d em eu re
Utilisation
rap id e. A l'u sa g e, IJava se révèle un peu
La Jvm se m ontre rapide. Le com pilateur Jit
le n t p o u r la n ce r les a p p lets, m ais p ar la
David Feugey
*6 X
Free:9 M
Java Memory Display
Total:9 M
Garhage C olle a
Un nouveau disque de Garbage.
KDE
dans "A pplications" et enfin dans "Display
KDE, les
premiers pas
m a n a g e r ". Vous p o u vez alo rs c h o isir le
style et la langue dans laquelle se présente­
ront les invites, les polices, le titre de bien­
venue, le logo exibé e tc ...
Cho ix des u tilisa te u rs
Par d é fa u t, kdm a ffich e une icô n e pour
c h a q u e u tilisa te u r connu du systèm e, ce
q u i s u r c h a r g e in u t ile m e n t la fe n ê tr e .
Après avoir installé KDE la dernière fois, il convient d'adapter
l'environnement à ses goûts. C'est ce que nous allons faire
aujourd'hui.
G énéralem ent, on préfère ne voir que les
utilisateurs qui correspondent réellement à
des personnes physiques. Pour cela, allez
dans l'o ng let "u tilisateurs" de la boîte de
c o n fig u ra tio n de kdm. Vous ve rre z alors
D e b ia tt L in u x ( a ie s ia )
login:
Password:
E t le n o uvea u kdm.
Un xd m cla ssique.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Q
ue l'on se rassure, il n'est pas ques­
Le K D isp lay M an ag er
tion d 'éd iter des fichiers de co n fi­
KDE apporte son propre D isplay m anager
pe est que kdm pro p o se tro is m odes de
guration en ap prenant au passage
(la boîte de dialogue qui vous invite à vous
fonctionnem ent : il peut donner à voir tous
s'éployer trois listes d'utilisateurs. Le princi­
leur syntaxe. L'objectif de KDE consistant à
"lo g u e r"), nettem ent plus esthétique que
les utilisateurs existants, ou seulem ent les
rendre Linux aussi accessible que Windows,
le xdm standard. Pour l'utiliser, il faut indi­
utilisateurs "séle ctio n n és", ou encore tous
tout se fait à la souris !
quer au systèm e de lancer kdm. Cela peut
les utilisateurs, excep té ceu x qui résident
Le C en tre de co n trô le
v a rie r d 'u n e d istrib u tio n à l'a u tre : sous
dans la liste "à ne pas m ontrer". On vous
C o m m e c h a c u n l'a c e r t a in e m e n t d é jà
D e b ia n p a r e x e m p le , é d it e z le f ic h ie r
su g g è re d 'u t ilis e r ce d e rn ie r m o d e , en
ob servé, ch aq u e co n fig u ra tio n d ans KDE
/e tc / in it.d / x d m et re m p la c e z to u te s les
"dé sélectio n n an t" postgres, daem on, alias
p a ss e
m enu
occurrences de "/u sr/X l 1 R6/b in/xd m " par
etc. Vous pouvez encore assigner à chaque
Configuration (Setting s), accessibles à par­
"/ o p t/ k d e / b in /k d m " . U ne m é th o d e très
u t ilis a t e u r sa p r o p r e ic ô n e , h is to ire
tir du m enu principal. Toutefois, afin d 'évi­
sale m ais q ui m a rch e p a rto u t co n siste à
d 'é g a y e r
te r d 'a v o ir à p a r c o u r ir s a n s c e s s e les
tap er (en tant que root) :
M ain ten a n t, ch acu n peut non seulem ent
m enus, la plupart d'entre eux se trouvent
cd /usr/XHR6/bin
rendre son KDE convivial, mais aussi l'em ­
égalem ent regroupés dans le KDE Control
mv xdm xdm.orig
b e llir. N 'h é site z pas à nous e n vo yer des
C e n te r, qui joue ici le m êm e rôle que le
ln -s /opt/kde/bin/kdm xdm
captures !
par
le s
u t ilit a ir e s
du
un
peu
la
p r é s e n t a t io n .
jzimm@club-internet. fr
Panneau de C onfiguration de Windows. La
prem ière chose à faire est sans doute de
D é so rm ais, c'e st une
c h o is ir sa la n g u e , à l'a id e de l'o p t io n
belle fenêtre avec des
Lan g u e de la ru b riq u e " D e s k to p " . V ous
ic ô n e s
pouvez sélectionner trois langues par ordre
a c c u e ille r a ,
de p ré fé re n c e , KDE u tilise ra to u jo u rs la
encore faut-il pouvoir
qui
vous
Elchier
la personnaliser ! Pas
KDE se m ontre presque totalem ent franci­
de p a n iq u e, un u tili­
sé, mais des fautes de g ram m aire et d 'o r­
taire (q ue bien enten­
th o g ra p h e a g a ça n te s su b siste n t, si bien
du s e u l le ro o t se
que certains préférerons sans doute l'a n ­
révèle apte à utiliser)
glais, *par ailleurs plus cohérent avec l'en vi­
va nous perm ettre de
ro nnem ent Unix. Pour les autres o p tio ns,
vo us
Bureau
les aficio nad o s de Windows et d '0 5 / 2 ne
cette tâche .
Couleurs
Langue
®
Mise en veille
Deux
Trois
Quatre
■1t style
Information
l t - f e Input Devices
Network
a c q u it t e r
flrrSfere-ptan
! t 4 * Desktop
m a is
"m eille u re" disponible. A l'heure actuelle,
Qpbons
Applications
11-1* Sound
-Couleurs
Papier p e in t------------------------------
v Une couleur
Windows
v- Cantré
^
de
Mosaïque
*
Deux couleurs
v
Adapté
i------------------ il
Pas de papier peint
Configurer
souffriront guère du dépaysem ent ; néan­
Loguez-vous en root,
m o in s, KDE p a rvie n d ra à les su rp re n d re ,
ouvrez le m enu prin-
grâce à certaines options originales et assez
c ip a l, a lle z
am usantes. A vous de les découvrir.
"C o n fig u ra tio n ", puis
dans
f_ |
Earcounr
OK
Configuration du fond d'écran
Ça ne vous ra p elle rien ?
|
Appliquer |
Annuler
En
m
pratique
S y stè m e
.
In staller une carte
Pow erllp dans un A m iga
Les cartes PowerPC de Phase 5 incarnent désormais le standard
de la mise à jour processeur sur Amiga. Voici une petite aide
pour bien les installer.
Phase 5 ne fournit toujours pas de nappes
U ltra-W id e Scsi avec ses cartes Pow erU p
(B lizzard P P C + et C yb e rsto rm P P C ) . Tro is
fois hélas, d'autant que les cartes en ques­
tion ne d isp o sen t pas de to u te l'électro ­
nique nécessaire. Le point fâcheux concer­
arado xalem ent, les cartes P o w e rllp
avec l'option " W ithout Startup-sequence".
ne en fait les term inateurs. Contrairem ent à
sont sorties tro p tô t. Phase 5 les a
A tte n tio n . Les p ro g ram m es écrits pour la
toutes les autres cartes Scsi de la planète,
les cartes Po w erU p n 'o n t m êm e pas leur
P
mises sur le m arch é fin 1 9 9 7 pour
Ppc.library de Phase 5 (leur nom se term ine
calmer l'im patience des utilisateurs (elles se
p a r.e lf) se révèlent in co m p atib les avec la
propre term inateur. Dans la pratique, cela
v o ya ie n t an n o n cé e s d e p u is d e u x a n s ...)
PowerPC.library de H&P et vice-versa. O r, il
signifie qu'il faut brancher la carte en plein
alors que celles-ci ne disposaient encore que
ne peut y avoir qu'une seule de ces deux
m ilieu de la nappe Scsi et au cu n em en t à
d'un assortim ent précaire. En l'occurrence,
librairies en m ém oire. Dans la pratique, le
une de ses extrém ités. Ensuite, l'Ultra-W ide
les pilotes s'avéraient particulièrem ent mal
système dém arre avec la Ppc.library et passe
Scsi a cela de p a rticu lie r q u 'il accep te la
conçus et le contrôleur Ultra-W ide Scsi ne
à la PowerPC.library dès qu'un program m e
connexion de quinze périphériques, au lieu
disposait pas de toute l'électronique néces­
écrit pour celle-ci est lancé. Si l'on souhaite
de se p t p o u r les n o rm e s p ré c é d e n te s .
saire. Dix mois plus tard, différentes solu­
revenir à la Ppc.library, il faut faire un reset
A u tre m e n t d it, il fau d ra im p é ra tiv e m e n t
tions ont fait leur apparition pour résoudre
de la m ach in e. Une m éth o d e plus douce
que la napp e ait d e u x typ es de te rm in a ­
les problèmes rencontrés.
existe : utiliser la PowerPC.library version 7.2
teurs à chaque bout (d onc quatre en tout) :
Les p ilo t e s
plutôt que la 1 4 .1 . Celle-ci perm et le fonc­
un p o u r les se p t s ig n a u x n o rm a u x (e n
Les cartes Po w erllp possèdent deux jeux de
tionnem ent des deux types de program m es
général ch aq u e p érip hériq ue Scsi dispose
de ce genre de term inateur en interne) et
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
pilotes, lesquels tendent à ne plus devenir
en m êm e tem p s, m ais se solde par divers
concurrents. Les premiers se trouvent m até­
plantages et un ralentissem ent conséquent
un autre pour les huit signaux supplém en­
rialisés par les pilotes de Phase 5 lui-même ;
du systèm e. La P o w erPC .lib rary 7 .2 repré­
taires. La figure 1 vous m ontre le schém a
ils adm inistrent l'intégration de la carte au
sente en fait une com pilation de vieilles ver­
d 'u n e ch aîn e Scsi de base, co rrecte pour
sein ô'AmigaOS. Les seconds se regroupent
s io n s de la P p c .lib r a r y e t d e la v r a ie
u n e c a rte P o w e rU p . A vo u s de ra jo u te r
sous l'appellation WarpOS. Développés par
PowerPC.library.
autant de connecteurs que vous le désirez
Haage & Partner dans le but de pallier la
Le h a r d w a r e
entre chacun des slots dessinés.
lenteur de la P p c.lib rary , ils co n to u rn e n t
M a lh e u re u s e m e n t p o u r les u tilis a te u rs ,
Docteur Dream
AmigaOS pour tap er d irecte m en t dans le
hardware. Afin de rester com patibles avec
Adaptateur
Connecteur
68 broches
les cartes à venir, la toute nouvelle version 3
68->60
broches
de WarpOS s'est entichée de sous-pilotes
Scsi normal
externe
/
spécifiques à tel ou tel m odèle de carte. Il
demeure absolum ent nécessaire d'utiliser les
50 broches
Nappe 68 broches
dernières versions de chaque pilote, car eux
Carte PowerPC
seuls peuvent gérer co rre cte m e n t le Scsi
( Bios flashable), favoriser la pleine utilisation
\
de MacOS 8.1 sous Fusion (6 8 0 6 0 .library) et
o p tim ise r c o n v e n a b le m e n t les éc h a n g e s
Terminateur
Ultra-Wide ,
Scsi
T erm in a te u r
Ultra-Wide
Scsi
entres les deux processeurs de la carte. Ces
%
Figu re 7.
pilotes se m ontrent téléchargeables depuis
les sites ftp.phase5.de et ww w .haage-part-
Les P i l o t e s PPC
n er.co m et p re n n e n t tous p lace d ans le
tiro ir Lib s: du W orkbench (v o ir ta b le a u ).
P ilo t e
D e r n iè r e
F o n c t io n
E d it e u r
Phase 5
v e r s io n
Exception faite pour le Bios, qui doit séjour­
ner dans la Rom flashable de la PowerUP.
Bios-Flash
4 4 .5 3
P a ram étrage de la ca rte (Scsi, Ram , etc.)
Cette manipulation s'opère grâce aux com ­
6 8 0 6 0 .lib ra ry
4 4 .3
Em ulation des instructions non 6 8 0 6 0
Phase 5
mandes BlizzPPCUpdate ou PPCUpdate, sui­
P p c.lib rary
4 6 .1 5
In tég ra tio n du Pow erPC
Phase 5
vant les modèles de la carte. Attention, le
P o w erP C .library
14.1
In tég ra tio n du Pow erPC
H&P
flashage du Bios ne doit avoir lieu qu'après
P o w erP C .library
7 .2
Em ulation de la P p c.lib rary
H&P
avoir éteint puis rallumé l'ordinateur (pour
W a rp.library
3.4
P o ur co n to u rn er A m igaO S
H&P
s'a ssu rer q u 'a u c u n p a ra site ne reste en
W arpHW . lib ra ry
1.0
Dédié à un m odèle précis de Pow erUP
H&P
m é m o ire ) et u n iq u e m e n t en d é m a rra n t
ARexx
Les modules
du noyau
SCSI d ans le n o ya u , tan d is que sur une
s ta t io n q u i d é m a rr e p a r le ré s e a u , il
c o n v ie n t d 'a v o ir le p ilo te d e la c a rte
réseau et le N FS. Sans quoi, une m auvaise
surprise vous attend !
U tilise r les m odules
La g e stio n des m odules s'o p ère à l'aide
des trois co m m an d es de base Ism od, insm od et rm m od . La prem ière affiche sim ­
p le m e n t la liste d es m o d u les a c tu e lle ­
m e n t c h a rg é s . In sm o d p e rm et d 'e n tre r
un m o d u le en m é m o ire : p ar e xe m p le ,
tap e r insm od flo p p y pour ch arg er le pilo­
Les modules sont l'une des caractéristiques les plus pratiques
des Unices modernes, à condition de savoir bien les utiliser.
te du lecteur de disq uettes. Enfin, rm m od
inhib e un m odule : une fois qu'on a fini
de co p ier les fichiers, on décharg e le dri­
.oadable module support
■
- □
X
ver en tap a n t rm m od flo p p y. Bien enten­
d u , seul le root a le droit de faire insmod
Loadable module support |
et rm m od ! Rem arquons au passage que
Linux ne nous oblige pas à rebooter sous
♦ y |
♦ y
’v ' n
Enable loadable module support
Help
v
n
S e t version information on ail symbols for modules
Help
v
n
Kernel daemon support (e.g. autoload of modules)
Help
A
p ré te xte q u 'o n ve u t e n tre r un d river en
m ém o ire , co n trairem e n t à certains autres
V
♦ y|
systèm e s d 'e x p lo ita tio n . U ne qu atrièm e
co m m a n d e est très so uvent m anipulée :
/
m o d p ro b e . C o m m e insm o d , elle charge
un m o d u le , m a is a d m in is tre a u to m a ti­
Main M enu
Next
P rev
q u e m e n t les d ép end ances : par exem ple,
J
Un p la te a u de quenelles ? Non, un ta b le a u de Kernel.
pour en tre r un d river de CD -Rom SCSI en
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
m é m o ir e , il fa u t p r é a la b le m e n t a v o ir
c h a rg é le m o d u le S C S I. Par a ille u rs, de
G
râce a u x m o d ules, il s'avère pos­
org anisés en so us-rép erto ires selon leurs
n o m b re u x m odules p e rm e tte n t d 'étab lir
sible de ch a rg e r ou de d é ch arg er
types.
des param ètres sur la ligne de co m m an ­
des parties du noyau d yn a m iq u e ­
Que doit-on m o d u la rise r ?
d e . O n y a s o u v e n t re c o u rs p o u r fix e r
m ent, ce qui sig nifie p e n d an t l'e xé cu tio n .
O n se pose in évitab lem e nt cette question
l'a d re s se ou l'IR Q u tilisé p ar u ne ca rte
L 'in t é r ê t se r é v è le m u lt ip le : n e p lu s
lo rsq u 'o n c o n fig u re le n o ya u . Il reste a
co n trô le u r : p ar e xe m p le , m odp robe ne
d e vo ir re c o m p ile r le no ya u p o u r u tilise r
priori ten tan t de d éten ir un m a xim u m de
io = 0 x6 0 0 0 . N ous vous invitons d'ailleurs
un nouveau pilote, n 'a v o ir à ch aq u e in s­
m odules, m ais il ne faut pas oub lier que
à lire le m an d'in sm o d et de m odprobe,
tant que les élém ents nécessaires présents
c h a q u e m o d u le d o it ê t r e c h a r g é e t
s a c h a n t q u 'o n ne s a u r a it en c o u v r ir
en m é m o ir e , é c o n o m is e r a in s i d e la
d é c h a rg é en fo n c tio n d es b e so in s . Les
toutes les possibilités ici. Il faut savoir par
m ém oire et enfin po u vo ir d é velo p p er ses
élé m e n ts que l'o n n 'u tilise q u 'o c c a s io n ­
ailleurs que sous Debian, on se trouve en
propres p ilotes ou e xte n sio n s, sans to u ­
nellem en t se ve rro n t n atu re lle m en t c o m ­
m e su re
ch e r au noyau. O n peut en fait d istin g u er
p ilés en ta n t q u e m o d u le s, co m m e les
/e tc/m o d u le s la liste des m odules qu'on
deu x sortes de m odules : ceu x créés lors
systèm es de fic h iers d iffére n ts du Ext2fs,
veu t ch arg er lors du boot, à raison d'un
de la co m p ilatio n du noyau (p a r e xe m p le ,
les p ro to co le s réseau au tres q u e T C P /IP
p ar lig n e . D 'a u tre s d istrib u tio n s o ffrent
les d rivers de cartes réseau, les systèm es
ou le d river du port p arallèle. Il s'avère en
des fo n ctio n s sim ilaires.
de fichiers supportés, e tc .) et les m odules
revan ch e inutile d 'a v o ir le pilote du port
développ és par des tiers qui ne fo n t pas
série en m o d u le, sa ch a n t q u 'il se trouve
partie du noyau sta n d ard (p a r e xe m p le ,
utilisé en pe rm an e n ce par la souris, aussi
d 'in s é r e r
dans
le
f ic h i e r
Füesystems |
^ y
♦ n
Quota support
Help |
>✓ y
♦ m
Vn
Mlnt< fs support
Help j
v
y
■v m
♦ n
Extended is support
Help |
Second extended (s support
Help |
Help
le systèm e de fic h ie rs N TFS ou l'é m u la ­
lo n g te m p s que l'o rd in a te u r reste allum é !
teur iB C S ).
M ais attentio n : une erreur fré q u em m en t
♦ y
■y n '
n
C o n fig u ra tio n
c o m m is e p a r les n é o p h y te s c o n s is te à
v
y
V- m
♦ n
xiafs fBesystem support
v
y
♦ m
Vn
DOS FAT fs support
Help |
V
♦ m
Vn
MSDOS fs support
Help |
♦ m
V n
VFAT pMndouws-9S) fs support
Help ;
V
... m
♦ n
uinsdos: Unix tte fs on top of std MSDOS FAT fs
Help |
♦ y
V
"
Vn
/proc fueSystem support
Help )
♦ m
Vn
bFS fJeSystem support
v
V
Lorsq u'on con fig u re le no yau, il d em eure
to u t co m p ile r en m odule, pensant o b tenir
n é c e s s a ir e d 'a c t i v e r le s u p p o r t d e s
a in s i le s y s tè m e le p lu s é lé g a n t , p o u r
m odules charg eab les, la gestion des v e r­
s 'a p e r c e v o ir e n s u it e q u 'il n 'y a p lu s
sions et le sup p o rt de kerneld. Les no yaux
m oyen de d é m arrer la m achine ! En fait,
proposés par défaut dans les d istrib utio ns
le noyau doit to ujo urs in tég rer le n é c e s­
possèdent tous ces op tio ns, m ais si vous
saire afin de p o uvo ir m o nter la racine de
re c o m p ile z le v ô t r e , il ne fa u t p a s les
l'arb o rescen ce, ne serait-ce que pour res­
oublier. Une fois le noyau co m p ilé et ins­
te r en m e s u re d e c h a r g e r e n s u it e les
t a llé ( c f . D re a m n ° 5 l ) , le r é p e r t o ir e
m odules ! Sur une co n fig u ratio n norm ale,
/lib /m o d ules/< versio n du noyau> re n fe r­
il fau t toujours posséder au m oins le sys­
m e to u s les m o d u le s c o rr e s p o n d a n t s ,
tèm e de fich ie rs Ext2 et le p ilote ID E ou
nt
y
Help |
HelpJ
V
V
Help
v.
V
Help |
v
y
♦ m
♦ y
n
Vn
S
SM8 fileSystem support (to mount WTW shares etc-)
1
Help
-X
Main Menu
Help |
SMB winSS bug wortu-arouitd
Next
I
Aim e le module.
Preur
Fichier
des'outils
Qptions
a lts ia » lsaod
Module
ne
Pages
Used by
2
8390
2
sourtd
28
alesia* mount /do s/c/
alesia» iwwnt /cdrom/
alesia» ls»od
Module
Pages
isofs
5
v fa t
3
fa t
6
ne
Inel
2
28
0
t
1
1
1
1
0
(autoclean)
<autoclean)
(autoclean)
(autoclean)
(autoclean)
Used by
[w fa t]
2
8390
sound
alesia» |
1 <autoclean>
0 <autoclean>
[ne]
0
C+ + €t Java
Open Inventor™ v25
G t e S f ? O b j# pour 1^
^ re p B e n ta tio n . la ‘manipulation
ê îW litiô n d'objet?
■
V0f
Perçons ensemble les ténèbres des modules.
Performance optimisée
OpenGL .
* *
Le fic h ie r de
Intègre le format 3 0 WMl 1.0*
et 2.0.pour le Web ^
p a ra m é tra g e
T o u te s les o p tio n s
r e la t iv e s
m o d u le s
Fonctions N urbs textures,
transparence. rw eay
de détails *
aux
peuvent
ê t r e a d m in is t r é e s
dans
le
,'t’/
fic h ie r
-Æ
/e tc/m o d u le s.co n f
Viewers Èt-manipulateurs.3D
♦interactifs.
r
(/ e tc / c o n f.m o d u le s
su r ce rta in e s d is tri­
Editeurs de matériaux, de • • ;
couleurs et^delumièrjES . .
b u t io n s ) . C e lu i- c i
’
d é f in it p r in c ip a le ­
m ent
le
#
Visualisation de gros volumes
de données • *
c h e m in
Fonctions animation et
çle détection de collisions
/
♦
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
d ' a c c è s
Impressid^s aux formats
. vecteurs E P S . HPQL et;C
aux
m odules (il s'avère inu tile de le m o d ifie r), les alias et les para­
tlnix. W indows NT & 95. linux
mètres des m odules. Par exe m p le , ethO représente le nom g é n é­
rique
du driver de lap rem ière carte
ne d an s
réseau. Une ligne alias ethO
c o n f.m o d u le s p e rm e t d 'a s s ig n e r ce n o m au p ilo te
N E2 0 0 0 et le systèm e saura alors q u 'il d o it le ch arg e r lo rsq u'il
c + +
veut utiliser "ethO ". Si, par la suite, on tro q u e sa N E 2 0 0 0 contre
et Java
3 £).M ast€rSuitÉ
une 3Com , il suffira de rem p lacer cette ligne par alias ethO 3c501
Extensions Open Inventor pour
•^post-traitem ent graphiques
2 u et 3D •
et tout continuera de m arch er co m m e au p aravan t. S'il dem eure
nécessaire de passer des param ètres au m o d u le, on peut ce p en ­
dant le faire en ajo utant sim p lem en t une ligne du typ e options
Représentations *de systèm es
d'atfes. courbes, légendes.. •
• *têxtes . •
4 . %
ne io = 0 x6 0 0 0 ; le p a ram è tre se v erra alors a u to m a tiq u e m e n t
transm is, quand on chargera le m odule.
L a s o lu t io n m a g iq u e
Représentations types
•
statistiques et financières
(histogrammes, camembert...)*
Pour é vite r d 'a v o ir à se lo g u e r en root et ta p e r m o d p ro b e ou
•
rm m od chaq ue fois q u'on veu t utiliser les services d'u n m odule,
Linux p ro p o se le fa m e u x d é m o n k e rn e ld (re m p la c é p a r u ne
Visualisation ^cienfifiquoÉt
r techniqueç^ur des maillages
thread du noyau dans les version les plus récentes du noyau 2 .1 ).
2D et 3D g r ille s » ou indexés
Son rôle consiste à ch arg er et d é ch arg er au to m atiq u e m e n t les
Iso lignes et isô surfaces
2 0 eV3D.«tteta mâpping.
^ transp arency#mappipg.
m odules en fo n ctio n des b eso ins im m éd iats, sans in te rve n tio n
hum aine. Si to ut m arche bien à la m ain avec m o d p ro b e/rm m o d ,
vous pouvez essayer kerneld : vérifiez q u 'il to urne (tap ez ps -gaux
I grep kerneld) et, si nécessaire, lancez-le par /sb in/kerneld (en
^
t a n t q u e r o o t ) . S o u s D e b ia n , a jo u t e z la lig n e " a u t o " à
Livermore Labs, CERN, Nasa, Leica,
Iveco, Daimler-Benz, Ford, Boeing,
Aérospatiale, NAG, Flomerics,
Parametric Technology., Shell,
Schlumberger, Agip, EDS, Syseca...
/e tc/m o d u le s afin de la n ce r a u to m a tiq u e m e n t kerneld lors du
boot. Faites alors un prem ier test avec le lecteur de disquettes :
vérifiez avec Ismod que son m odule ne se trouve pas ch arg é, puis
in sé re z u n e d is q u e tte D O S e t ta p e z m d ir a :. Le le c t e u r va
#'
Squelette, ftveloppe. limites.
plarfs de couq^.
Champs dé vecteurs, lignes de
cour.ants. particules animées,*..
Uni*. W indows NT & S ç A in u x
répondre ; un Ismod perm et de vo ir que le m odule flo p p y a bien
été en tré en m é m o ire . A p rès u n e p é rio d e d e n o n -u tilis a tio n
d'une durée param étrable (une m inute par d éfau t), kerneld su p ­
prim era le m odule.
Jokub Zim m erm an
E
R otx
R oty
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__________
41 Irtnet/Terfue (te» imi«ved
R
H
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P
E
PA K en n e d y 1 - BP* 227
F-3 3 7 0 8 IVIérignac Ced ex - Fra n ce
T e l.;* 3 3 (0 )5 5 6 133 777
Fa x +33 (0 )5 5 6 130 210
É m a il : in fo @ e yrg p e.tg s.co m
Web : w w w .ta s .c o m
. •
Zoom
|
Travellini
HUM
Shell scripts :
les structures
de contrôle
Tests num ériques :
[ entierl -eq entier2 ] : entierl =
entier 2 ?
[ entierl -ne entier2 ] : entierl
!= entier2 ?
[ entierl -lt entier2 ] : entierl <
entier2 ?
[ entierl -le entier2 ] : entierl
<= entier2 ?
[ entierl -gt entier2 ] : entierl >
entier 2 ?
[ entierl -ge entier2 ] : entierl
>= entier2 ?
2e partie
Il reste aussi possible de com biner les tests
A la fois drôles et pratiques, les structures de contrôles de sh
perm ettent de modifier l'exécution séquentielle des instructions.
est vrai et test2 est vrai
par des opérateurs logiques :
[ testl -a test2 ]
[ testl -o test2 ]
: vrai si testl
: vrai si testl
ou test2 vrai
[ ! testl ] : vrai si testl faux
'adjectif "drôle" vous a probablem ent
En guise d 'e xe m p le , voici un petit script
semblé bizarre, mais en informatique, il
qui indique un résultat grâce à sa valeur de
qui effectue un test et affiche le résultat :
retour. Les différents tests possibles sont les
#!/bin/sh
L
plus tard . "T e st" désigne une co m m an d e
sant des instructions standardisées ! D onc
suivants :
[ 12 -eq 13 -o "toto"="tata" -o ! -
o u i, vo us ave z bien lu , les stru ctu re s de
Tests sur les fichiers
z "pasvide" ]
s'avère plutôt rare de s'am user en utili­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
contrôle de sh se m o n tre n t assez sym p a ­
[ -e fichier ] : 1 si fichier exis-
thiques. Avant d'entrer dans le vif du sujet,
te, 0 sinon
n o tez q u e les s y n ta x e s d es in s tru c tio n s
[ -x fichier ] : fichier est exécu-
dem eurent assez figées ; il faudra en général
table ?
$?
L'in stru c tio n co n d itio n n e lle, un
classiq u e
placer une seule com m ande par ligne.
[ -r fichier ] : le fichier est-il
Le célèbre "if" perm et de d é clencher une
Des petits tests, toujours des petits
tests
lisible ?
suite d 'o p ératio n s su ivan t la vale u r d'une
(etc...)
condition. La syntaxe du "if" de sh se pré­
La com m ande interne "test" de sh donne la
sente com m e suit :
possibilité d'effectuer, com m e un fait exprès,
Tests sur les chaînes de caractères :
if commande
de nom breux types de tests. Deux syntaxes
[ chainel=chaine2 ] : les chaînes
then
différentes se trouvent proposées :
sont identiques ?
test paramétrés
[ chainel!=chaine2 ] : devinez !
[ paramétrés ]
sui te_ins truc t ions
fi
[ -z chaine ] : la chaîne est-elle
Si la valeur de retour de la com m ande est 0,
vide ?
Nous allons surtout utiliser la deuxièm e syn­
[ -n chaine ] : chaîne de longueur
alors la suite d'instructions se voit exécutée.
taxe pour des raisons que vous com prendrez
non nulle ?
Vous pouvez d'ores et déjà comprendre l'in­
térêt de l'instruction "test" dans sa notation
entre crochets. Considérez le shell script sui­
peschrvdeatlistar
peschtëdeathstar:/home/pesch/articles/scripts/fun > sh stats.sh
fred est lisible
fred est modifiable
fred est vraiment chiant !
maman est lisible
maman est modifiable
natacha est lisible
natacha est modifiable
rc.init est lisible
rc.init est modifiable
stats.sh est lisible
stats.sh est modifiable
win.ini est vraiment chiant !
pesch@deathstar :/home/pesch/articles/scripts/fun >
[_
vant :
#!/bin/sh
if [ -e $1 ]
then
echo "Le fichier $1 existe"
fi
Cette com m ande "existe" permet, comm e
son nom l'in d iq u e , de tester si un fichier
existe ou non. Il est aussi possible de combi­
ner les "if" avec "elif" ou encore d'utiliser
une suite d'instructions à exécuter, lorsque la
com m ande retourne une autre valeur que 0
avec "else" :
#!/bin/sh
if [ -x $1 ]
P o u r c o n trô le r vos fa its et tests.
then
gentil="oui"
echo "Le fichier $1 existe et est
exécutable"
Pour chaque élém ent de la liste, appliquez
elif [ -e $1 ]
u ne fo is les in s tru c tio n s en re m p la ç a n t
fi
then
to u te o c c u rre n c e de " S v a ria b le " p ar un
if [ -r $fichier ]
m ot de la liste. Pour m ieu x ap p réh end er
then
echo "Le fichier $1 existe mais
n'est pas exécutable"
cette directive très sim ple, considérons la
else
co m m ande "shell" suivante, perm ettant de
echo "$fichier est exécutable"
gentil="oui"
echo "$fichier est lisible"
décom poser une phrase en m ots :
fi
prenez pour un abruti ?"
for mot in je suis une phrase com­
if [ -w $fichier ]
fi
posée de mots
then
echo "$1 n\'existe pas, vous me
gentil="oui"
do
Les boucles
La form e de boucle la plus sim ple reste la
echo "$fichier est modifiable"
echo "$mot est un mot"
done
fi
taxe de la boucle "w hile" s'avère on ne peut
L'affichage obtenu apparaît ainsi :
then
plus dépouillée :
je est un mot
while commande
suis est un mot
boucle "w hile". Très proche du "if", la syn­
if [ -z $gentil ]
echo "$fichier est vraiment
chiant !"
fi
une est un mot
do
instructions
done
Tant que le retour de la com m ande vaut 0,
done
phrase est un mot
composée est un mot
de est un mot
La liste se compose des fichiers du répertoire
mots est un mot
co u ra n t grâce au joker *. Le reste s'avère
assez sim ple à com prendre. C e shell script
alors exécu tez une fois le bloc d 'in stru c­
tio ns. La d e u xièm e fo rm e de b o u cle est
Voici un exem ple plus intéressant :
un peu plus long que d'habitude clôt quasi­
beaucoup plus originale ; il s'agit pourtant
#!/bin/sh
m ent notre initiation. Nous verrons le mois
de la boucle "fo r". Voici sa syntaxe :
for fichier in *
p ro ch a in q u e lq u e s co n ce p ts su p p lé m e n ­
for variable in liste
do
taires et nous essaierons de construire des
shell scripts vraim ent utiles...
gentil=""
do
instructions
Fred Pesch
if [ -x $fichier ]
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
done
then
Les c h o i x m u l t i p l e s a v e c c a s e
Parfois, les blocs if-then-else-fi ne suffisent pa s et les constructions
#!/bin/sh
case peuvent alors entrer en jeu . La syntaxe de cette in stru ction est
case $1 in
la suivante :
ja*ub) echo "c'est jakub !
echo "l'es sympa jakub
case chaine in
modelel) instructions_l; ;
modele2) instructions_2;;
( ...)
esac
fr[a-e]*d*|pesch) echo "J'ai la pesch
*) echo "je ne te connais pas ! Vas t'en d'abord
i « .//
.
esac
Le " e s a c " de fin se révèle a sse z m a rra n t, non ? En fin , d a n s ce
Voici quelques exécutions possibles :
m o n d e a s e p tis é d e l'in f o r m a t iq u e , o n p e u t d ir e q u e ça ne
$ kiceki jalub
m a n q u e p a s d 'u n c e r t a in h u m o u r , v o ilà ! L e s m o d è le s se
c'est jakub !
co m p osen t d 'e xp re ssio n s rég ulières sim p lifiées, co m p a ra b le s au x
l'es sympa jakub !
jo kers du " s h e ll" avec l'a jo u t du " o u " lo g iq u e. Voici les sym boles
$ kiceki fraide
utilisab les :
J'ai la pesch !
* : suite quelconque (même vide) de caractères
$ kiceki pesch
? : un caractère
J'ai la pesch !
[abc] : a,b ou c
$ kiceki yoann
[!abc] : tout sauf a ,b ou c
je ne te connais pas ! Vas-t'en d'abord !
modelel |modele2 : modelel ou modele2
R em a rq u ez le d e rn ie r m od èle * q u i s'a c c o rd e a vec tous les m ots
Le case recherche le p rem ier m odèle re c o n n a issa n t la ch a în e de
p o ssib le s ; il s 'a g it en q u elq u e so rte de l'a c tio n p a r d éfa u t. Le
ca ra ctè re s en a rg u m e n t du ca se. A p rès l'e x é c u tio n d e la su ite
c a s e e s t p r in c i p a l e m e n t u t i l i s é p o u r c o n s t r u i r e d e p e t i t s
d 'in s tru c tio n s c o rre s p o n d a n te s , le s c r ip t se p o u r s u it a p rè s le
in te rp ré te u rs d e co m m a n d es a vec l'a id e d e la co m m a n d e rea d
"e sa c". Il s 'a g it d'u n e d ifféren ce n o ta b le a vec les in stru ctio n s à
vu e le m o is d e r n ie r . M a is n 'o u b lie z p a s q u e g r e p e s t a u s s i
c h o ix m u l t i p l e s , p r o p r e s à la p l u p a r t d e s l a n g a g e s d e
u tilisa b le d a n s un sh e ll sc rip t, ce q u i p e rm e t d e cré e r des scrip ts
p r o g r a m m a t io n u t i l i s é s . S u it u n e x e m p le d e s h e l l s c r i p t
à b a se de vérita b les exp re ssio n s rég ulières.
(to ta lem en t in u tile), m e tta n t en je u une co n stru ctio n ca se :
Les ressources de X
2e partie
CaJculator
Du côté du client, editres permet d'obtenir un environnement
vraiment personnalisé, comme aucun autre système ne le
propose. Il suffit juste d'un peu de patience.
D EG
ous avo n s vu c o m m e n t m o d ifier
la n c e r x r d b - r e la n c e r l'a p p l ic a t io n " en
telle ou telle resso u rce associée à
m a tiè r e d 'e x p é r im e n t a t io n . Le c lie n t
un w id g e t en u tilis a n t une d e s­
editres d o n n e les m o yen s d 'e x p lo ite r ce
c rip tio n du c h e m in d e p u is la ra cin e de
p ro to c o le p o u r c o n fig u r e r in t e r a c t iv e ­
N
l'in terfa ce (le c lie n t). Le p rin cip a l p ro b lè­
m e n t une a p p lica tio n . Il p e rm et à la fois
CDCDCDCD
COCDQDGD
m e de ce tte a p p ro c h e v ie n t de ce que
de d é co u v rir l'a rb o re sce n c e des w id g e ts
C 5 D (
l'a r b o r e s c e n c e d 'u n e a p p lic a t io n e st
s e r v a n t d 'in t e r f a c e à u n e a p p lic a t io n ,
créée par le p ro g ram m e u r et ne se tro u ­
m a is a u s s i de m o d ifie r les re s s o u rc e s
ve pas d ire c te m e n t accessib le p o ur l'u tili­
associées.
sateu r.
Une c a lc u la tric e "m a iso n "
à la
E d itre s
resco u sse
(
4
x ~
>
:
) ( _ !_ ) ( T ~ x
P o u r i l l u s t r e r l ' u t il i s a t i o n d 'e d itr e s ,
6
~)
3
;
A v a n t...
e s s a y o n s d 'o f f r ir un lo o k p lu s s y m p a ­
C o n scien ts de ce p ro b lèm e, les d é v e lo p ­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
peurs de Vex-XConsortium ont élab o ré un
th iq u e à la c a lc u la tric e xcalc fo u rn ie en
w id g e t s
p r o t o c o le d e c o m m u n ic a t io n
s ta n d a rd so u s X -W in d o w . A p rè s a v o ir
d 'e d itre s . G é n é ra le m e n t, c e tte a rb o re s­
e n tre
a p p a r a ît
dans
la
fe n ê tre
clien ts, qui offre le p rivilè g e de récu p érer
lancé x c a lc , il fau t d é m arrer une instance
c e n c e d é p a sse la ta ille de la fe n ê tre ;
l'a rb o re sce n c e des w id g e ts d 'u n e a p p li­
d'editres et ch o isir l'o p tio n "G e t T re e " du
voilà p o urq uo i un p ann er est disposé en
ca tio n . C elu i-ci d o n n e aussi la p o ssibilité
m e n u " C o m m a n d s " . Le p o in te u r de la
haut à g au ch e de la fen ê tre. Il perm et de
d e m o d if ie r in t é r a c t iv e m e n t le s r e s ­
so u ris d e v ie n t d é s o rm a is u n e c r o ix et
se d é p la cer très fa cile m e n t dans la zone
s o u rc e s , ce q u i s 'a v è re b e a u c o u p p lu s
a tte n d
fe n ê tre .
d 'a ffic h a g e . C h aq u e w id g e t de l'interface
p r a t iq u e q u e l ' u t i l i s a t i o n
d e c y c le s
Q u elq u es instants après avo ir sélectio n n é
d e x c a lc d is p o s e d 'u n e e n t r é e d a n s
"m o d ifie r une ressource dans .X d e fa u lt-
la fe n ê tre de xcalc, l'a rb o r e s c e n c e des
la
s é le c t io n
d 'u n e
l'a rb re présenté par editres. Les relations
p è re-fils se v o ie n t re p résen tées par des
!
I. 1
.xcalc .ti .bevel .screen.LCD.unknown :
xcalc
II
ti
XCalc
*
Form
Any Widget
Any Widget Chain
r*
bevel
II
screen
Form
*
Form
tra its . P ar e x e m p le , le w id g e t de nom
*
Toggle
*
c u la trice se tro u ve accessible par le ch e ­
g
LCD qui sym b o lise l'écran LC D de la c a l­
Any Widget
Any Widget
Any Widget
Any Wïdget
m in " x c a l c .b e v e l .s c r e e n .L C D " . N o u s
Any Widget Chain
Any Widget Chain
Any Widget Chain
allo n s d o n n er un look HP-15c à ce w id ­
cursor
cursorName
depth
destroy Callback
encoding
font
fontSet
foreground
height
highiightThickness
insensitive Border
internai Height
internaiWidth
international
justify
label
leftBitmap
mappedWhenManaged
pointerColor
pointerColorBackground
radio Data
radio Group
resize
screen
sensitive
shape Style
State
translations
width
X
y
Constraint Resources
bottom
fromHoriz
7
LCD
Any Widget Chain
Normal Resources: mb2 gets a value
accelerators
ancestor Sensitive
background
background Pixmap
bitmap
bonderColor
borderPixmap
borderWidth
callback
colormap
comerRound Percent
l
fromVert
left
horiz Distance resizable
right
top
vertDistance
■
g e t. D an s un p re m ie r te m p s, sé le ctio n ­
nons-le avec le bouton g au ch e de la sou­
ris. Pour vérifier q u 'il s'a g it du bon w id ­
get, essayons la co m m an d e "Flash active
w id g e ts" du m enu "T re e " . Si dans xcalc,
l'é c ra n LCD c lig n o te , c e la s ig n ifie que
n o u s n o u s t r o u v o n s au b o n e n d r o it .
S é le ctio n n ez m ain ten an t l'o p tio n "S h o w
re so u rce s b o x " du m e n u " C o m m a n d ".
U ne no u velle boîte de dialo g ue ap paraît,
c o m p o s é e d 'u n e z o n e p e r m e tta n t de
d é crire le ch em in à u tiliser afin de sp éci­
fie r les re sso u rc e s, d 'u n e liste des re s­
sources d isp o nib les pour le w id g e t sélec­
Enter Resource Value:
tio n n é , d 'u n e zone de saisie de valeurs
de re sso u rce et d 'u n e série de boutons
de co m m a n d e . D ans un p rem ier tem ps,
Set Save File
Save
Apply
Save and Apply
Popdown Resource Box
La boîte de dialo gu e des ressources.
t r a n s f o r m o n s l'é c r a n LCD p o u r q u 'il
a ffic h e les in fo r m a t io n s en ro u g e su r
fo n d n o ir . S é le c t io n n e z la re s s o u r c e
c o m m u n e s ). U ne a u tre
é v e n t u a lit é
sez l'é to ile p la c é e a u -d e sso u s. V é rifie z
b ackg ro und , cliq u ez dans la zo n e de sai­
c o n siste à s é le c tio n n e r les w id g e ts p a r
que d a n s la fe n ê tre p rin c ip a le d 'editres,
sie et ta p e z " b la c k " , p u is v a lid e z v o tre
c la s s e s . P ar e x e m p le , les in fo rm a tio n s
le s w id g e t s a ie n t é té s é le c t io n n é s .
c h o ix par " A p p ly " . S'il n #y a pas eu de
" D E G " , "R A D ", "G R A D " , " M " ou "P " de
M a in t e n a n t , p o u r la re s s o u rc e " f o r e ­
problèm e, le w id g e t devien d ra to u t noir.
l'a f f ic h e u r LCD r e p r é s e n t e n t to u s des
g r o u n d " , a p p liq u e z " y e llo w " et p o u r
R e n o u v e le z l'o p é r a t io n en a s s o c ia n t
w id g e ts de classe " L a b e l". Pour vo us en
" fo n t" , utilisez "-*-co urier-m ed ium -r-*-*-
"R ed " à la resso u rce fo re g ro u n d . E n fin ,
c o n v a in c r e , c liq u e z su r c h a c u n de ces
D a n s le m ê m e e s p r it,
w id g e ts en u tilisa n t le bo uto n d ro it de la
ch o isissez un bo uto n d e scen d an t de "ti"
so u ris : à c h a q u e fo is , le m o t " L a b e l"
(p a r e x e m p le "b u tto n 1 " ), puis dans la
a p p a ra îtra ; c 'e s t le n o m de c la s se du
b o îte des re sso u rce s, s é le c tio n n e z tous
w id g e t. D e u x po ssib ilités restent offertes
les b o u to n s de classe "C o m m a n d " (n 'o u ­
p o u r m o d ifie r ces w id g e ts. La p re m iè re
bliez pas l'éto ile, vérifiez dans l'a rb re ) et
Calculator
3 . 1415927
I
II
IN V
11
s in
EE
i
ir
cos
I
il
B a sa 1 ?
1 AC
11
I
tan
II
DRG
II
I
i
h
l j l j
I
3
1
L Z
SUM
+ /-
1
... après !
p ré vo it de sé le c tio n n e r tous les w id g e ts
u t ilis e z le s v a le u r s d e r e s s o u rc e s s u i­
"à la m a in " . C h o isisse z en su ite l'o p tio n
van tes :
"S e t R eso u rce" du m enu " C o m m a n d s " .
fo n t : -*-lucid a-b o ld -r-*-*-12-*-*-*-*-*-*-*
Dans la zone de te x te "R eso urce N a m e ",
sh ap eS tyle : R ectang le
e n tre z " b a c k g ro u n d " p u is dans la zo n e
"E n te r R eso u rce V a lu e ", e n tre z " b la c k " .
V o tre c a lc u la tric e est déso rm ais un p etit
S é le c tio n n e z e n su ite " S e t R e so u rc e " et
peu plus sym p athiq ue, non ? C ep endant,
vos w id g e ts d e v ie n d ro n t to u t n o irs. Le
n 'o u b lie z pas que la co n fig u ratio n clien t
p ro b lèm e qui se p ré se n te alo rs se pose
par clie n t doit arriver en second après la
de m anière sim p le : co m m e les w id g e ts
configuration globale vue le mois dernier,
so n t de m êm e cla sse , on a im e ra it p o u ­
q u i p e r m e t d 'é c o n o m is e r p as m a l de
v o ir co n n a ître la liste des ressources d is­
tem ps. Pour term iner notre initiation, nous
p o n ib l e s .
découvrirons le mois prochain com m ent se
La
b o ît e
de
d ia lo g u e
choisissons la police "-*-clean-m ed ium -r-
"R e so u rce s B o x " ne p e u t s 'a ffic h e r que
trouvent adm inistrés les différents types de
* - * - 2 0 - * - * - * - * - * - * - * " p o u r la re s s o u rc e
lo rsq u 'u n seul w id g e t se vo it sélectio n n é
fich iers de ressource m ais d'ores et déjà,
fo n t. L 'o p tio n Save ou Save and A p p ly
d a n s l'a r b r e , m a is il e x is te un m o y e n
vous pouvez nous en vo yer vos co n fig u ra­
p e rm e t de s a u v e g a rd e r la v a le u r de la
sim p le de m o d ifier un g ro u p e de w id g e ts
tions personnalisées pour les outils de base
resso u rce dans un fic h ie r (d o n t le nom
de m ê m e c la s s e e t au m ê m e e n d r o it
de X : nous les diffuserons sur le C D .
doit être précisé grâce à "S et Save F ile ").
d a n s l'a r b o r e s c e n c e . S é le c t io n n e z un
S é le c tio n n e z "P o p d o w n R eso u rce B o x "
u n iq u e
afin de re to u rn e r à la fen ê tre p rin cip a le
d e l'a f f ic h e u r
d'editres. Le reste de l'écran LCD se vo it
( p a r e x e m p le
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
pris en charg e par le w id g e t screen ; u ti­
D E G ),
lisons ég alem ent le noir p o ur la co u le u r
choisissez
de fo n d . En ce qui c o n c e rn e le w id g e t
"
" b e v e l" , c h o is is s o n s un g r is f o n c é :
Res ources
S
h
Fred Pesch
Label
editres
f« r
1 0 Commands CDTree
p u is
o
w
"g ra y 5 0 ".
B o x " . En h a u t
M o d ifier une cla sse de w id g e ts
de c e tte b o îte
Il d e m eu re p o ssib le de s é le c tio n n e r un
de d ia lo g u e , à
g ro u p e de w id g e t s . L 'o p t io n " S e le c t
la
D e sc e n d a n ts " p e rm e t p a r e x e m p le de
D E G , p ré fé re z
p la c e
Widget Tree for client xcalc(XCalc).
shellext
de
s é le c t io n n e r to u s les d e s c e n d a n ts du
L a b e l e t à la
w id g e t ch o isi ; on p eu t ainsi tra ite r un
p lace du p o in t
sous-arbre co m p let (ce p rivilège se lim ite
s it u é
bien sûr à la m o dificatio n des ressources
D E G , c h o is is ­
bevel
avant
Ed i t r e s , c' est b i e n , mai s
La p u is s a n c e du p r o t o c o le d 'e d it r e s se r é v è le v r a im e n t
étonnante. M alheureusem ent; elle est en g én éral sous-exploitée
et pa rfois totalem ent oubliée p a r les toolkits, notam m ent p a r
les d e rn ie rs v e n u s, co m m e Q t. T ro is fo is h é la s , c a r o n a
l'im p ressio n de re to u rn e r su r un systèm e a n té d ilu v ie n d o n t
xcaJc
nous tairons le nom. Le problèm e vient de ce que l'on associe
injustem ent les ressources et le p ro to co le editres au X-toolkit.
Or, il s 'a g it de c o n c e p ts d is p o n ib le s du c ô té d e la x lib
(fonctions Xrm p o u r les ressources, librairie Xm u ou fonctions
de protocole p o u r Editres), que toute bo îte à outils dédiée à XW indow devrait intégrer.
L'in te rfa ce d e x c a lc, ca p tu ré e p a r editres.
X
B
H
g
x
n
n
v
\® ® 3
Linux, serveur pour
Windows
Après avoir vu comment accéder à une machine Windows
depuis Linux, nous allons examiner le cas inverse, qui demeure
le plus courant : accéder à un serveur Linux depuis un poste
client sous Windows.
path=/usr/local/share
writable=true
public=yes
La section [global] donne les param ètres
g é n é ra u x de Samba et dans un prem ier
te m p s , n o u s v o u s d é c o n se illo n s de les
m odifier (à l'excep tio n, peut-être, du nom
du gro u p e de tra vail W indows auquel le
drean# snbclient -L yann
Unknoun paraneter encountered: "invalid user"
Ignoring unknoun parameter "invalid user"
Added interface ip=195.68.37.19 bcast=195.68.37.31 nmask=255.255.255.224
Server time is Thu Jun 25 14:52:46 1998
Timezone is UTC+2.0
s e rv e u r d o it a p p a r t e n ir , W O R K G R O U P
sym bolisant le groupe par défaut). La sec­
tion suivante se révèle plus intéressante :
elle ordonne à Samba d'exporter le réper­
t o ir e
Server=CYANN] User=[] Workgroup=[POSSE PRESS] Domain=[POSSE PRESS]
Sharenane
Type
/ u s r / lo c a l/ s h a r e
so u s
le
nom
" p u b liq u e " , en p ré cisan t que les clien ts
p euvent écrire à l'intérieur (writable=true)
Comment
Disk
CD53
Botton est un looser
Printer
HP YANN
Communication entre processus distants
IPC
IPC$
Disk
PRINTERS
Disk
VIGILE
dream# smbmount //yann/vigile /mnt/
Passuord:
dream# ls /mnt/
Arnaud
Fred D et B
ModemsPlusVite
Yann-perso
nicolas
Christine
Guillaume
Romain
ZIP
pascal
Corrig?s
H?l?ne
Simon
chris
puin21fr
dream# |
du d o ssier et q u 'a u cu n p rivilè g e spécial
n 'e s t
n é c e s s a ir e
pour
y
accéd er
(public= yes).
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
C o nn exion du cô té du clie n t
Sous Windows, on peut entrer dans un ser­
v e u r via "V o isin a g e ré se a u ". La m achine
Linux séjo u rn e d ans la liste ; il su ffit de
double-cliquer dessus pour voir apparaître
u ne fe n ê tre av e c les service s exp o rté s :
pour l'instant, nous avons "p u b liq u e". On
Un ré p erto ire W in dow s p a rta g é , vu dep uis Lin ux.
se trouve en m esure de l'ouvrir, de l'utiliser
ou de copier les fichiers qui s'y trouvent et,
amba perm et de ne pas s'en tenir au
et lisez, le cas échéant, les informations com ­
à condition que les droits Linux associés au
sim ple transfert de fichiers. Windows,
plémentaires spécifiques à votre distribution.
rép erto ire le p e rm ette n t, d 'y déposer de
en standard, se m ontrant incapable de
Une fois franchies ces différentes étapes, et
nouveaux fichiers. C 'est une façon de réali­
dialoguer avec autre chose qu 'u n serveur
en supposant que la connexion réseau entre
ser un transfert de données entre Linux et
S
NT, c'est à Samba que va échoir le rôle sui­
le serveur Linux et les m a ch in es Windows
Windows à partir de la m achine Windows.
vant : faire passer la m achine Linux pour une
fo cn tio n n e correctem ent (un ping perm et
Pour une utilisation sérieuse, il convient de
m achine NT. A ce propos, un récent sonda­
de s'en assurer), rendez-vous à la case /etc
définir un "lecteu r logique" DOS associé à
ge a révélé que dans m oult entreprises am é­
pour le paramétrage de Samba.
ce ré p e rto ire . Pour ce la , c liq u e z avec le
ricaines, les "serveurs N T ' représentent en
Partag er des fichiers
b o u to n d r o it s u r l'ic ô n e re p ré s e n ta n t
réalité des serveurs Samba sous Linux ou
Le co m p ortem ent de Samba se voit défini
" p u b liq u e "
FreeBSD... D ans cet a rticle , nous verro n s
dans le fichier /etc/sm b.conf, dont il serait
"c o n n e c te r un le cteu r ré se au ". Cela fera
e t s é le c t io n n e z
l'o p t io n
donc com m ent l'utiliser, afin de diffuser des
inutile de détailler toute la syntaxe ici (repor­
a p p a ra ître le ré p erto ire p artag é com m e
fichiers publics et privés sur un réseau, et
tez-vous à man sm b.conf pour plus d'infor­
une lettre DO S à par entière (par exem ple
com m ent partager une im primante.
m a tio n s). N ous allons co m m e n ce r par le
D :). Cela s'avère très com m ode, lorsqu'on
Vérification prélim inaire
plus sim p le : e x p o rte r un ré p erto ire, par
veut utiliser le serveur Linux pour partager
Sous Linux, il faut avoir les serveurs smbd et
e x e m p le / u s r/ lo c a l/ s h a re . V o tre fic h ie r
des logiciels : il suffit de les installer sur le
nm bd. Par d é fau t, le p a cka g e Sam ba de
/etc/sm b.conf doit ressembler à ceci :
" le c t e u r ré s e a u " D : e t c h a q u e p o ste
toutes les distributions que nous co n n ais­
[global]
W indows p o u rra y re n tre r, éco n o m isan t
sions installe et lance autom atiquem ent les
printing = bsd
ainsi de l'espace disque. Attention tout de
serveurs, mais vérifiez tout de m êm e qu'ils
printcap name = /etc/printcap
m êm e au nom bre de licences d'utilisation !
répondent à l'appel en tapant :
load printers = yes
E x p o rte r son hom e-d irecto ry
ps ax | grep mbd
guest account = nobody
Passons m a in ten an t à la seconde étape :
Si smbd et nm bd ne tournent pas, assurezvous que le package Samba est bien installé
invalid users = root
utiliser depuis Windows nos fichiers privés à
workgroup = WORKGROUP
travers le réseau. Ajoutons à notre fichier
[publique]
/etc/sm b .co nf les lignes suivantes :
sion sous un nom qui ne corres­
[homes]
pond à aucun utilisateur Linux, nul
comment = Mon répertoire sous
h o m e n 'a p p a ra îtra . V o ilà c o m ­
Linux
m ent Linux vient à la rescousse de
browseable = no
read only = no
W indows p o ur assu rer un m in i­
create mode = 0700
m um de sécurité ! M aintenant, on
peut donc partager des fichiers sur
Cette section particulière exporte le répertoi­
le réseau et perm ettre à chaque
re home de chaque utilisateur de façon pri­
utilisateur de Windows d'avoir ses
vée. Dans une session Windows ouverte sous
propres fichiers sur le serveur de
son nom de login, l'utilisateur a la capacité
façon sécurisée. Cela ouvre ainsi la
de vo ir non seu le m en t " p u b liq u e " , m ais
voie à de nombreuses applications
aussi son répertoire hom e (et seulem ent le
in t é r e s s a n te s ,
sie n ). T o u te fo is, p o ur y p é n é tre r, il sera
exem ple l'installation d 'un traite­
co m m e
par
authentifié par mot de passe, cela afin d'em ­
m e n t de te x te W indows sur un
pêcher les autres utilisateurs de la m achine
"lecteur réseau" publique (chacun
Windows d'accéder à des fichiers qui ne leur
se trouve donc en mesure de l'uti­
W in dow s p e u t u tiliser su r des im prim an tes Linux.
serveur de fichiers et d'applications pour les
appartiennent pas. Seulement dans le cas où
liser) et le stockage de ses docum ents dans
le mot de passe donné se révèle correct, il
son "h o m e", vu com m e un second "lecteur
m achines Windows, m ais aussi de serveur
recevra l'autorisation d'ouvrir le répertoire.
réseau". De cette façon, on a les moyens de
d'im pression. Il suffit pour cela d'ajouter à
Bien entend u, rien n 'in te rd it de cré er un
s'asseoir devant n'im p o rte quelle m achine
/etc/sm b.conf la section suivante :
"lecteur réseau" pour son hom e : dans ce
Windows du réseau pour travaille r sur ses
[printers]
c a s, l'a u t h e n t if ic a t io n s 'e ffe c t u e r a au
docum ents, tout en simplifiant l'adm inistra­
comment = Imprimantes
m o m e n t de l'o u v e r t u r e d e la se ssio n
tion de l'ensemble (une seule installation du
browseable = no
path = /tmp
Windows. Si le nom d'utilisateur et le mot de
traitem ent de texte, un stockage des docu­
passe donnés correspondent bien au nom
m e n ts sép aré et sû r) et en é c o n o m isa n t
printable = yes
de login et mot de passe Linux, l'utilisateur
beaucoup d'espace disque.
public = no
voit son home com m e un lecteur DOS (dans
P artager une im prim ante
wri table = no
n o tre c a s , il s 'a g ir a it d 'E :,
D : é ta n t
Un tra ite m e n t de te x te , c'e st b ien , m ais
create mode = 0700
"publique"). Si l'utilisateur ne donne pas le
en co re faut-il p o u vo ir im p rim e r. G râ ce à
m ot de passe correct ou bien ouvre une ses­
Samba, Linux fera office non seulem ent de
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réseau" qui correspond au serveur Linux doit
g KDE Aide - smb.conf (5)
| j||
i
Fichier
Edition
Aller à
-0
<P
D é s o rm a is , la fe n ê tre d a n s "V o is in a g e
■ I
Signets
'
n
Aide 1
Captions
p ré s e n te r les ic ô n e s d e s im p rim a n te s
connectées à ce serveur. Pour utiliser une de
ces im p rim an tes depuis Windows, cliquez
(J? o
dessus avec le bouton droit et sélectionnez
man.smb.conf(5)
" in s t a lle r " . S u iv e z alo rs l'" a s s is ta n t" qui
Sim . CONF(S)
S im . CONF(S)
a p p a ra ît. L o rsq u 'o n vo u s d e m a n d e ra la
marque et le modèle de l'im prim ante, sélec­
NAME
smb.conf - c o n fig u ra tio n f i l e
tio n n e z Apple LaserWriter, quelle que soit
fo r smbd
l'im prim ante dont vous disposiez ! Ceci pour
SYNOPSIS
smb.conf
DESCRIPTION
The smb.conf
s u ite .
une raison sim ple : la Lasenwriter constitue
une pure im p rim an te Postscript. O n force
fo r the Samba
ainsi les applications Windows à im primer en
smb.conf contains runtim e c o n fig u ra tio n in fo rm a tio n fo r
the smbd program. The smbd program p rovides LanManagerlik e services to c lie n ts u sin g the SMB p ro to c o l.
d o n c tra n sm is sous fo rm e de d o c u m e n t
file
ie a c o n fig u ra tio n f i l e
Postscript. C haq ue fichier im prim é se verra
Postscript au serveur, où il se trouvera im pri­
mé com m e tous les docum ents sous Linux :
FILE FORMAT
The f i l e co n siste o f sections and parameters. A s e c tio n
begins w ith the name o f the s e c tio n in square bra cke ts and
continues u n t i l the n e xt s e c tio n begins. Sections co n ta in
parameters o f the form 'name = v a lu e '.
inséré dans la file d'attente de l'im prim ante,
com pilé par Ghostscript si nécessaire et fina­
lem ent envoyé à l'im prim ante.
Ça m arche !
The f i l e is lin e -ba se d - th a t is , each n e w lin e -te rm in a te d
lin e represents e ith e r a comment, a s e c tio n name or a
param eter.
(
...
De cette façon, on peut utiliser Linux en tant
que serveur d'un réseau local de machines
Section and parameter names are n o t case s e n s itiv e .
Windows. En fait, Samba se m o ntre assez
Only the f i r s t equals sig n in a parameter is s ig n ific a n t.
Whitespace before or a fte r the f i r s t equals sig n is d is carded
Leading, t r a i l i n g and in te r n a i whitespace in sec­
tio n and parameter names is ir re le v a n t. Leading and t r a i l ­
in g whitespace in a parameter value is discarded. In te rn a i
whihfcariar.fi w ith in a naramfcter valna 4a ra ta in « d v a rh a tim ........... .
riche et possède de larges possibilités ; nous
invitons donc ceux qui désirent aller au-delà
des trois exem ples présentés à lire la docu­
/
m entation. Bien sûr, il reste possible depuis
un poste Linux d'im prim er via le réseau sur
| man:smb.conf(5)
une im prim ante Windows.
Sa m b a n i loi.
\akub Zimmerman
Réseau
Intégrer l'Amiga
dans un réseau local
Ne laissez pas votre Amiga dépérir, seul au milieu de Pc ou de
M ac connectés en réseaux ! Lui aussi a droit aux joies des
dossiers partagés, des imprimantes en réseau et autres
transferts de fichiers rapides comme l'éclair !
A vant toute chose, il faut m ettre en place
les cartes ré se au x. Sur le Pc, une sim ple
carte ISA peut suffire, vu que l'Am iga ne
connaît pas les joies du Fast Ethernet (et de
toute façon , le bus Zorro III se trouverait
m is à m al p a r de te lle s v ite sse s). Nous
d e vro n s co n sid é re r que vous connaissez
déjà un peu la mise en place de réseaux
sim ples, car dans le cas contraire, ces deux
pages ne suffiraient pas ! En ce qui concer­
ne l'A m ig a , la co n fig u ra tio n de la carte
réseau se m ontre très sim ple : il n'y en a
g é n éra le m e n t p a s ... m erci l'A utoconfig !
Ensuite, assurez-vous bien que les câbles
soient à leur place. Ne riez pas : chercher
pendant des heures une panne de réseau
dans les configurations des systèmes, alors
qu'on a affaire à une sim ple fiche RJ45 mal
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
lac# !w oftb»K hgiir
enfoncée, reste une m ésaventure très fré­
quente.
La c o n f ig u r a t io n d u Pc
Sur le terrain de W indows 95 (ou 98), la
con fig u ratio n ne pose pas de gros souci,
au départ. Il suffit d'o u vrir le panneau de
c o n fig u ra tio n , d 'a lle r dans les propriétés
réseau et de co n fig u rer la couche TCP/IP
p o u r vo tre ca rte ré seau . C o ch e z la case
amftp
•: g n * r ;*acoaoeo»w»>•*>»STSEA#im bomo
octet»«r, *• 00 !»îS,21 JCoc*•*»/>
"sp écifier une adresse IP" et entrez :
AMIGA* g ;
Adresse IP : 192.168.1.1
Masque Sous-réseaux
:
255.255.255.0
A tte n tio n , AmFTP ne sup po rte pas le tra n s fe rt de dossiers com plets !
es a rtic le s du m o is d e rn ie r o n t dû
tr o u v e r d a n s les p e tite s a n n o n c e s u ne
N 'o ub liez pas de désactiver la co n fig u ra­
v o u s m e tt r e la p u c e à l'o r e i lle .
bonne vieille carte A2065 de C o m m odore.
tion W ins, ainsi que le D N S. Laissez l'adres­
L
P u is q u 'il est e n v isa g e a b le de fa ire
A ttention, cepend ant, cette carte ne dispo­
se de passerelle vide, nous n'en avons pas
co m m uniq uer un Am iga avec un Pc grâce
se q u e d 'u n c o n n e c te u r B N C (ro n d et
besoin ici. Vérifiez ég alem ent qu'A U CU N
à un sim ple câble N ull-M odem , il va de soi
série) alors que les réseaux de Pc m odernes
protocole du panneau de configuration ne
que l'on pourra réaliser des choses encore
p ré fè re n t u tilis e r des c o n n e c te u rs RJ45
se tro u v e d é fin i c o m m e p ro to c o le p ar
plus poussées si l'on équipe son ordinateur
( m u lt i- b r o c h e s
défaut : cela évitera pas mal de problèmes.
préféré d 'u n e ca rte réseau. Pas facile du
c o n n a ître les cartes réseau existan te s sur
Cela fa it...
reste de vous co n seille r une ca rte réseau
A m ig a , v o ic i un s ite tr è s p r a t iq u e :
P a s s o n s à l 'A m i g a
p o u r A m ig a p ar les te m p s q ui c o u re n t.
h ttp :/ /w w w .c s .ro s e - h u lm a n .e d u / ~ g u n n -
En ce qui concerne Am iga, nous allons uti­
Certains "vie u x" m odèles éprouvés dem eu­
b r/enetA m ig a.htm l. Histoire de ne pas trop
liser M iam i pour avoir une couche TCP/IP
rent introuvables ou hors de p rix, alors que
se co m p liq u e r la tâch e, nous allons nous
s im p le à c o n fig u r e r . Les p u riste s vo us
les m odèles bon m arché se révèlent rares
co ntenter dans un prem ier tem p s d 'instal­
diront que l'on y perd en perform ance par
et se font parfois attendre. \JAriadne II de
ler un Am iga et un Pc sous Windows 95 /98
rap p o rt au co m p lexe AmiTCP. Ils ont rai­
Village T ro n ic ap p artien t à cette dernière
(si ! si !) en réseau "sim p le ". Le protocole
son. M ais nous nous réserverons celui-ci
catégorie ; elle se voit annoncée pour cet
utilisé sera TC P /IP et l'utilisation se limitera
pour une explication de Samba sur Am iga,
été. L'A m ig aN e t (fo rm a t Zorro II) est en
a u x tra n sfe rts de fic h ie rs e n tre les d e u x
une fois que les bases de cet article se ver­
et
p a r a llè le s ) .
Pour
re va n ch e d isp o n ib le et c o û te ra d ans les
m achines par FTP.
ront posées. M iam i installé (ce qui doit déjà
13 0 0 fra n c s. La b o n n e affaire co n siste à
T r a v a u x m a n u e ls
être le cas pour perm ettre à votre modem
du genre - est freew are et disponible sur
Pc sous Windows ! Vous pouvez le do w n­
U
1
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loader sur h ttp ://w w w .jg a a .c o m . Un sup­
Y
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port très actif de ce program m e se trouve
m |C> v i t vomvoui«;
>KUf
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N
Si«rv*o
J/TCP fv 7
Qo*n»r,.n 0»W |"7
accessible dans les new sgroups et à l'heure
j
Aun»-««96«âén _ J
où s 'é c riv e n t ces lig n es, la versio n 1.70
Bng «oodpreW » _ J
beta se voit déjà diffusée. Pour configurer
sans difficultés un accès rapide, il convient
B H P B bH ioM«d
d 'aller dans Properties, Security et de sélec­
tionner Edit user. Ajoutez alors un nouveau
Ces panneaux pe rm e tte n t de c on figu rer les param ètres TCP/IP de M ia m i.
n o m d 'u t ilis a t e u r , c o m m e l'in é v it a b le
de se connecter à Internet), il ne reste plus
Internet.
"an o n ym ou s" et définissez ses droits d 'ac­
qu'à entrer les bons chiffres au x endroits
L 'é p r e u v e d u fe u
cès à votre disque dur dans File Access (la
appropriés.
T o u jo u rs sous M ia m i sur A m ig a , cliq u e z
d o cu m en tatio n de War-FTPD vous aidera
Dans la rubrique "In te rfac e", sélectionnez
m a in te n a n t sur O n lin e . M ission a c c o m ­
dans cette o p ératio n , m ais rassurez-vous,
SANA-II Ethernet, puis le device correspon­
plie ! Votre A m iga se tro u ve enfin p h ysi­
toutes ces dém arches restent très sim ples).
dant à votre carte (ariadne.device dans le
q u e m e n t en réseau E th e rn e t ave c le Pc.
Une fois fran ch ies ces différentes étapes,
cas de la carte Ariadne de V illage T ro n ic,
Pour vérifier que tout se passe bien, ouvrez
vous pouvez activer votre serveur FTP flam ­
par exem ple). Entrez ensuite les valeurs sui­
une fenêtre shell et tapez :
b a n t n e u f. Il ne reste q u 'à la n c e r vo tre
vantes :
M iam i:m iam iping 1 9 2 .1 6 8 .1 .1
client FTP préféré sur Am iga (genre AmFTP)
A ttendez que quelques lignes s'affichent et
e t à d é f in ir un n o u v e a u s e r v e u r F T P .
IP Type
: Static.
pressez CTRL+C pour stopper la co m m an ­
Donner-lui le nom que vous voulez, rentrer
de et voir le résultat. Si tout va bien, vous
l'ad resse IP du Pc (1 9 2 .1 6 8 .1 .1 ) dans la
Netmask : 255.255.255.0
obtiendrez 0 % packet loss. Si ce n'est pas
case "N o m de l'h ô te " et activez le login
Gateway Type
: Static
le cas, il y a un problèm e de configuration
ano nym e. Une pression sur "C o nn exio n au
Gateway : 192.168.1.1
quelque part ! Vous pouvez égalem ent tes­
serveur FTP" et voilà AmFTP qui va afficher
t e r la c o n n e x io n d e p u is v o t r e Pc en
d an s sa fe n ê tre de d ro ite les fic h ie rs et
IP Adress
: 192.168.1.2
Netmask Type
: Static
A ce stade, cliquez sur SANA-II Param eters,
ouvrant sim plem ent une fenêtre DO S et en
répertoires que vous aurez définis dans la
puis sur "Q u ery d evice". Les param ètres de
tapant :
configuration du sèrveur FTP du Pc. A vous
cette nouvelle fenêtre doivent changer, ce
ping 192.168.1.2
les tra n s fe rts de fic h ie rs à p lus de 300
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
qui confirm e que votre carte s'avère prête
Ko/s ! Disparue, la corvée du réseau "b as­
à fo n c tio n n e r. R en d ez-vo u s en su ite à la
Le résultat s'affiche cette fois autom atique­
ket", où il faut jongler avec ses disquettes
ru b riqu e T C P /IP , d é c o c h e z la case Host
m ent. M aintenant, le but du jeu consiste à
Zip (quand on a de la ch an ce) à longueur
N a m e d y n a m ic et r e n t r e z le n o m de
utiliser un logiciel qui perm ettra à l'Am iga
de journée ! Dans ces conditions, le trans­
m a c h in e q u i v o u s c o n v ie n t . D e to u te
de "v o ir" les fichiers et répertoires du Pc.
fert d'un fichier de 4 Mo ne prend pas plus
façon, dans ce panneau TC P /IP , tout doit
Pour cela, nous allons installer un logiciel
de dix secondes. Et il est concevable d 'ac­
être décoché sauf "T /T C P " et "D o w n w hen
de serveur FTP sur le Pc. C e choix dem eure
célérer ces m anoeuvres en utilisant AmiTCP
o fflin e ". Pensez à sa u v e g a rd e r ces n o u ­
arbitraire : il s'avère tout aussi possible de
à la place de M iam i, ce que nous verrons
veaux param ètres, sous le nom m iam i.sana
faire l'inverse et de m ettre en place un ser­
au m om ent de la configuration de Samba.
par exem ple. Vous pourrez do n c ch arg er
veur FTP sur l'Am iga. A vous de choisir.
Mais vu la co m p lexité de la chose, m ieux
cette no u velle c o n fig u ra tio n ap rès avo ir
C o n f ig u r a t i o n d e W a r - F T P D s u r le Pc
vaut vous entraîner déjà avec ce que nous
lancé Miami, celle par défaut restant nor­
Le ch o ix du dém on War-FTPD s'e xp liq u e
venons de décrire !
m a le m e n t d e stin é e à v o tre c o n n e x io n
sim plem ent : ce program m e - le m eilleur
Arnaud Chaudron
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Les paramètres réseaux de Windows sont assez simples à configurer.
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A tte n tio n à bien co n fig u re r le serveur FTP.
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Conception objet :
l'étape d'analyse
Beaucoup de programmeurs "du dim anche" négligent la
première partie de la conception d'un logiciel. Si la
programmation en elle-même doit conserver une certaine
" incertitude", il faut néanmoins avoir une idée assez précise du
but à atteindre.
De l ' a n a l y s e à la
spécification formelle
P o u r les p r o je t s
tr è s s e n s ib le s
ou
expérim en tau x, l'an alyse évolue souvent
vers u ne sp é c ific a tio n p lu s fo rm elle du
p ro b lè m e e t de sa so lu tio n . Le lang age
fo rm el Z est la m éthode la plus aboutie
dans le dom aine. IBM l'a utilisée p o ur un
o n tra irem e n t à la co n ce p tio n p ro ­
notre systèm e de la façon suivante :
im p o r t a n t s y stè m e tr a n s a c tio n n e l ; il
prem ent dite (on parle de design), il
Nom : m inidb
s'a g it en outre d'un langage très apprécié
dem eure assez rare d'utiliser un for­
T y p e : g e stio n n a ire de p e tites bases de
des un iversitaires. Son p rin cip a l o b je ctif
m alism e poussé co n ce rn an t le cahier des
données
c o n s is t e
charges du projet. Le langag e utilisé doit
d'adresses, bookmarks W W W , etc.).
C
p e r s o n n e lle s
(t y p e
ca rn e t
à
u n if ie r
l'a n a ly s e
et
l'é la b o r a tio n , v o ire l'im p lé m e n ta tio n ,
être celui de l'u tilisa te u r et non celui du
En tirant parti du faible volum e des bases à
mais dans la pratique, il incarne plu tô t un
concepteur. Cependant, l'objectif principal
adm inistrer, m inidb doit pouvoir m anipuler
o u t il d e c o n c e p tio n a s s e z c o m p le x e
concerne la description du logiciel que l'on
des bases h é té ro g è n e s, c 'e st-à -d ire que
d'accès qui peu t néanm oins, dans certains
se propose d'obtenir.
chaque entrée de la base peut com porter
cas, se révéler d'un intérêt majeur.
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UML : un fo rm alism e m inim al
des cham ps différents. Cela s'avère inexact
Pour UM L, le logiciel à concevoir se nom m e
pour la clé unique de la base, qui représen­
le "systèm e". La prem ière étape de l'analy­
te un cham p réservé perm ettant de faire le
se UM L consiste à définir ce systèm e. Cela
lien e n tre to u te s les e n tré e s . C e tte clé
Les fon ctio n n alités de base
co rresp o nd à la d escrip tio n su ccin cte du
constituera une ch aîn e de caractères, car
- Création d'une base ou ajout d'une fiche
program m e : type, description rapide, etc.
l'objectif principal reste la création d'un car­
dans une base existante.
D an s n o tre ca s, n o u s p o u rrio n s d é fin ir
n e t d 'a d re s se s, m ê m e si d 'a u tre s typ es
- Suppression, modification des fiches.
d'utilisations peuvent être envisagés.
- C harg em ent, sauvegarde d'une base.
- Requêtes avec critères simples sur la base.
A cteur, sans jo u er la com édie
In s p iré p a r Iv a r Ja c o b s o n , le p a rti-p ris
s
m
d 'U M L dans l'analyse d'un projet consiste à
'l
OU LE. TESfE. (HXSI
W RVCGQ.
se placer presque exclusivem ent du côté de
l'u tilisa te u r, d é n o m m é " a c te u r" . C ertes,
cette approche se révèle intéressante, mais
il ne fa u t p as en fa ire u n e o b s e s sio n .
Considérez par exem ple une librairie d 'in ­
a
p m
CP U 'W LB P O R LS
c o rn e
v w
n'est pas celui que l'on croit dans ce cas,
puisqu'il désigne en fait le program m eur
qui utilisera le toolkit, pour créer des appli­
c e s
t e t o fm
terface graphique (ou toolkit). L'utilisateur
cations graphiques. Celles-ci pourront enfin
x x e s
se vo ir m anipulées par un utilisateur au
sens UM L du term e, ce qui signifie par
un utilisateur final. Dans notre cas,
l'utilisateur cadre bien avec notre
projet, puisqu'il s'agit d'une appli­
cation, pas d'un outil de dévelop­
pem ent. Mais com m e nous ne nous
intéressons pas pour l'instant à l'inter­
fac e g ra p h iq u e , l'a p p ro ch e U M L ne
nous convient pas totalem ent. Pourtant,
il s'avère toujours intéressant de raccro­
cher tout program m e à l'utilisateur, même
on p o u rra it s'en pa sser; m ais c'e st un
sta n d a rd ...
si l'interface en elle-même ne se trouve pas
au centre du problème. N 'oubliez pas que
la création d'un logiciel
constitue un pro­
cessus incrém ental ; vous pourrez toujours
ajouter l'interface graphique à votre analyse
plus tard . U M L d é fin it ch a q u e o p ération
déclenchée par un acte u r sur le systèm e
D épend ances entre cas d 'u tilisa tio n p o u r m in id b ...
com m e un cas d'utilisation. Un type spéci­
fique de diagram m e UM L a été déterm iné
une succession d'ajouts triés dans la base
pour représenter les cas d'utilisation et les
construite au fur et à m esure. La figure 2
(prénom, chaîne ) = Fred
relations entre eux (cf. figure 1).
m ontre les dépendances entre ces cas d'u ti­
(Age, entier ) = 3 5
Cas d'utilisation pour m inidb
lisation triviaux (les rem arques dans UM L se
(Email, chaîne ) = pesch@club-
Nous n'avons pas la place de créer des cas
tro uvent représentées par des boîtes avec
i n t e m e t .fr
d'utilisation pour toutes les fonctionnalités
onglet). Essayons de construire un cas d 'u ti­
(Envoyer un mail, bouton/commande )
envisagées, m ais nous allons en d étailler
lisation plus com plexe.
= "mon_mailer pesch@club-
quelques-unes, en essayant de suivre l'ap ­
Cas d 'u tilisation : créatio n d'une
nouvelle base
i n t e m e t .fr"
proche UM L. Chaque cas d'utilisation doit
se voir associé à une description informelle
D an s les S G B D , la stru c tu re d 'u n e base
Le dernier attribut se révèle intéressant : il
en langage naturel. Très souvent, l'acteur
reste statique, définie une fois pour toutes.
perm et de lancer une com m ande, lorsque
p rin cip a l d é c le n c h e d ire c te m e n t les cas
Avec minidb, nous devons en fait créer une
l'u tilis a te u r sé le c tio n n e le c h a m p (n o u s
d'utilisation, mais certains d'entre eux ont
fic h e de d é p a rt d isp o sa n t de sa p ro p re
au ro n s besoin d 'u n e in terface u tilisa te u r
Nom (clé) : Pesch
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la capacité d'en d é cle n ch er d 'au tre s. Par
s t r u c t u r e . D a n s un p r e m ie r t e m p s , il
pour cela).
exem ple, un ajout dans une base peut se
c o n v ie n t d 'e n tre r la clé de la fic h e (u n e
décomposer en une saisie des inform ations
chaîne de caractères). Ensuite, il faut créer
Cas d 'u tilisation : ajou t d'une fiche
su pp lém en taire
et un ajout trié dans la base existante, ce
les cham ps présents dans la fiche. Il s'agit
N ous avo n s les m o yen s de c o n stru ire , à
qui donne deux cas d'utilisation. Certes, on
d 'in fo rm atio ns du typ e : (a ttrib u t, type)=
p a rtir des fic h e s d é jà e x ista n te s dans la
aurait le droit de les regrouper, mais la lec­
v a le u r .
base, une fic h e exe m p le , que l'u tilisateu r
ture d'une base sur disque est assim ilable à
m inim ale :
V o ic i
un
e x e m p le
de
fic h e
pourra re m p lir sans m o d ifier les ch am p s.
C e p e n d a n t, il d o it d e m e u re r en m esure
Cas d ' u t i l i s a t i o n U M L : pas si s i m p l e
d 'a jo u te r ou d 'e n le v e r des en trées de la
fiche, puisque le seul cham p im posé est le
Notre problèm e a insi que son an alyse fo n t p a rtie du dom ain e du trivial. En effet, to u t le
cham p de clé. La suite se voit prise en ch ar­
monde a entendu p a rlé de ce gen re de logiciel. La greffe d'u n e interface g ra p h iq u e ou non
ge par le cas d'utilisation "ajout trié dans la
su r le lo g icie l sem b le a u ssi a ssez n a tu re lle . M a is les lo g ic ie ls co m p le xe s (systè m e de
base". Ces deux cas d'utilisation se révèlent
contrôle du trafic aérien, décollage de fusée, etc.) utilisent des systèm es so uven t com posés
déjà assez intéressants pour servir de guide
de plusieurs sous-systèm es. Les logiciels so n t de plus en p lu s so u ven t interconnectés ; la
de conception. Ils exprim ent de façon suffi­
définition d'un seul systèm e cen tra l ne s'avère p a s forcém ent p ertinen te d a n s ce cas. Les
sam m e n t claire l'o rig in alité p rin cip ale du
acteurs peuvent a tteindre un nom bre im portan t, p a r exem ple des utilisateurs d isp o sa n t de
p r o g ra m m e q u e n o u s e n v is a g e o n s de
sta tu ts différen ts ( a d m in istra te u r; sim p le u tilisa te u r). Un a c te u r se d é fin it co m m e un
c o n c e v o ir. C e rte s, il m a n q u e en c o re de
élém ent externe q u i a g it su r le ou les systèm es a fin d e m o d ifie r leu r é ta t. Un ca p te u r
nom breuses inform ations pour obtenir un
therm ique envoyant des inform ation s au co n trô leu r d 'u n fo u r in du striel reste assim ilable à
cahier des charges vraim ent com plet, mais
un acteur. M ais nous somm es ici p o u r nous am user à co ncevo ir des logiciels, alors restons
n o u s a v o n s réussi en q u e lq u e s lig n es à
en surface d'U M L : nous ne nous en po rtero n s p a s plu s mal.
m ontrer l'im portance d'une bonne analyse.
Fred Pesch
Les instructions
conditionnelles
De la p ra tiq u e !
Etudions le pro g ram m e se tro u van t dans
l'encadré ligne par ligne, en nous arrêtant
en particulier sur les différentes instructions
conditionnelles que nous rencontrerons. La
prem ière ligne se voit utilisée pour tous les
systèm es Unix et dérivés, et indique l'em ­
p lacem ent de l'interp réteur Perl sur votre
m achine. Si vous n'êtes pas sûr de ce che­
4e partie
m in , tapez "w h ic h p erl" et substituez-lui
alors le ch em in reto u rn é par cette co m ­
m ande. Toutes les lignes com m ençant par
Nous allons attaquer la programmation Perl un peu plus
sérieusement, avec un exemple assez complet qui nous
permettra de découvrir l'ensemble des instructions
conditionnelles.
un ca ra c tè re dièse " # " re p résen te n t des
co m m e n ta ire s. Elles d e m eu re n t ignorées
par l'interp réteur Perl. Les lignes 3 à 5 se
verront souvent utilisées dans ce program ­
m e. La lig n e 3 affic h e un te x te dans la
co n so le d 'o ù p ro c è d e le sc rip t, in vita n t
l'utilisateur à saisir une donnée (ici, on lui
dem ande un nom bre). La ligne 4 affecte le
A
v a n t c e la , te rm in o n s le c h a p itre
$var5 = ($var4
p ré cé d en t ave c les d e u x d erniers
$var3/$var4
!= 0) ?
co n te n u de l'e n tré e sta n d a rd (S T D IN ),
c'est-à-dire ce qu'a tapé l'utilisateur au cla­
: 0;
vier, dans une variable (en l'occurrence, il
opérateurs que Ton avait laissés de
côté. Il s'ag it tout d 'ab o rd de l'o p érateur
La condition " le contenu de $var4 est diffé­
s'ag it de în o m b re ). Ensuite, à la ligne 5,
virgule
Il sert à séparer deu x in stru c­
rent de 0" est évaluée. Si elle s'avère exa c­
o n a p p e lle la f o n c t io n in t e r n e à Perl
tions d'une m êm e expression, celle qui se
te, alors la variable Îv a r5 adopte le résultat
"ch o p ", avec notre variable en param ètre.
situ e a v a n t l'o p é ra te u r
de la division de $var3 par $var4 ; autre­
La fo n ctio n " c h o p " su p p rim e le d e rn ie r
m ent, $var5 reçoit la valeur 0. Les instruc­
ca ra c tè re d 'u n e ch a în e ; ic i, il s'in c arn e
se t ro u v a n t
effectuée en prem ier. O n utilise cet opéra­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
teu r p o u r s im p lifie r parfois l'é c ritu re du
tio n s c o n d itio n n e lle s , co m m e le u r nom
dans le retour à la ligne qu'a tapé l'utilisa­
code source, m ais on peut tout à fait s'en
l'indique, perm ettent aux program m es de
te u r p o u r v a lid e r sa saisie. A la lig n e 6,
passer. Voici un exem ple d'utilisation ju d i­
ne pas nécessairem ent s'exécuter de façon
voici notre prem ière instruction condition­
cieuse de cet opérateur :
séquentielle et il dem eure possible de déci­
nelle : "if". L'expression qui suit im m édia­
$varl = 20;
d e r d 'e ffe c tu e r tel ou tel tra ite m e n t en
tem en t le "if" est évaluée et l'instruction
fonction des données m anipulées. Vous en
ou le bloc d'instructions qui l'accom pagne
c o n v ie n d re z , cela ajo u te un in té rê t non
ne se voit exécuté que dans le cas où l'ex­
Ici, la variable îv a r l est incrém entée de 1,
négligeable à un langage de p ro g ram m a­
pression retourne une valeur non nulle. En
puis le résultat de son addition à 5 se voit
tion.
Perl, les accolades ouvrantes " {" et ferman-
$varl = ($varl++,
$varl - 9);
stocké dans la v a ria b le S v a r2 . O n au ra it
très bien pu écrire ce bloc d 'in stru ctio n s
autrem ent :
Terminal <4>
$varl = 20;
$ va r l + + ;
$var2 = $varl - 9;
En re v a n c h e , il ne fa lla it pas o u b lie r les
parenthèses : dans le cas contraire, les ins­
tructions n'auraient pas été exécutées dans
un autre ordre, d'après les règles de priori­
té des opérateurs. D ernier d 'entre eu x, qui
va nous perm ettre de faire une transition
habile avec la suite de cet article : l'opéra­
teur c o n d itio n n e l. C o m m e le p ré cé d en t,
celui-ci est d ire c te m e n t e m p ru n té au C .
C ependant, il s'agit de l'un des rares opé­
rateurs qui nécessite trois opérandes : une
condition à rem plir, une valeur qui sera uti­
lisée si la condition se révèle vraie, et une
d e u x iè m e v a le u r , e m p lo y é e , e lle , si la
condition se m ontre fausse. Voici de quelle
m a n iè r e
s 'é c r it
cet
o p é ra te u r
i l ___________________________________________________
$ */init-4*pl
Entrez un nombre : 14
Ce nombre est positif
Aimez-vous le Perl ? (o/n) o
Moi aussi, j'aime le Perl
Quel est votre âge ? 25
Quel est l'âge de votre conjoint ? 27
Votre conjoint est plus âgé que vous
Donnez une note sur 20 : 12
************
Tapez le mot ok î non
Tapez le mot ok : je ne veux pas
Tapez le mot ok : ok
Merci*
$1
:
Help
P
lr~
■
Q
<condition> ? <valeur si vrai> : cv a le u r si
faux>, et voici un exem ple d'utilisation :
>|
Voilà un écran q u i ne m anque pas d'instructions.
te " }" restent obligatoires, m êm e si le bloc
ne se com p ose que d 'u n e seule in stru c ­
1. #!/usr/local/bin/per1
tion. L'in d e n tatio n de la ligne 7 s'avè re
2. # demander un nombre et tester s'il est positif
purem ent libre, de m êm e que l'accolad e
3. print (Entrez un nombre : (;
ouvrante aurait très bien pu se situer sur
4. $nombre = <STDIN>;
une n o u velle lig n e. D e u xiè m e e x e m p le
5. chop ($nombre);
d'instruction conditionnelle entre les lignes
6. if ($nombre > = 0 )
13 et 18. Elle ressemble de près à la précé­
7.
dente, avec ceci en plus que l'o n hérite
8.}
d'un bloc d'instructions à exécuter si l'ex­
{
print (Ce nombre est positif\n(;
9. # demander si la personne aime le
Perl
pression évaluée se révèle fausse (ou ren­
10. print (Aimez-vous le Perl ? (o/n) (;
voie une valeur n u lle). Vous rem arquerez
11. $aime = <STDIN>;
que l'expression de la ligne 1 3 se constitue
12. ch
de d e u x c o m p a ra is o n s de c h a în e s de
13. if ($aime eq (o( || $aime eq (0 0
caractères et d'une opération logique. Ça
14.
se com plique encore un petit peu avec la
15. }
troisièm e instruction conditionnelle entre
16. else {
les lignes 27 à 35. Ici, on enchaîne deux
17.
tests. O n trouve donc deux expressions : la
18. }
op ($aime) ;
{
print (Moi aussi, j'aime le Perl\n(;
print (Moi non plus, je n'aime pas le Perl\n(;
première après le m ot clé "if", et la secon­
19. # demander l'âge de la personne et de son
de après le m ot-clé " e ls if" . La p re m iè re
conj oint
expression se voit évaluée par Perl. Si elle
20.
# et tester lequel est le plus vieux
se m ontre vraie, le prem ier bloc d'in stru c­
21.
print (Quel est votre âge ? (;
tions est exécuté ; dans le cas opposé, on
22. $agel = <STDIN>;
évalue alors la seconde expression. Si celle-
23. chop ($agel);
ci s'avè re e x a c te , on e xé cu te le seco nd
24. print (Quel est l'âge de votre conjoint ? (;
bloc d'instructions ; autrem ent, le troisiè­
25. $age2 = <STDIN>;
me bloc d 'instructio ns sera exécu té. Une
26. chop ($age2);
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autre instru ctio n co n d itio n n elle séjourne
27. if ($agel == $age2) {
encore entre les lignes 42 à 45 : "w h ile ".
28.
Elle se construit de la m êm e m anière que
29. }
l'instruction "if" vue plus haut : le m ot clé
30. elsif ($agel > $age2)
"w h ile", une expression, un bloc d 'in stru c­
31.
tions. Mais à la différence de l'instruction
conjoint\n(;
"if", il s'agit ici d'un traitem ent en boucle.
32. }
L'e xp ressio n en tre p a ren th èses se verra
33. else {
évaluée une prem ière fois et après chaque
34.
fin d 'e x é c u tio n du b lo c d 'in s tru c tio n s .
35. }
print (Vous avez le même âge\n(;
{
print (Vous êtes plus âgé que votre
print (Votre conjoint est plus âgé que vous\n(
C elui-ci ne se tro u ve ap p elé que si l'e x ­
36. # demander une note et afficher un nombre
pression est v ra ie . O n ne q u itte ra cette
d'étoiles correspondant
boucle que lorsque l'expression se révélera
37. print (Donnez une note sur 20 : (;
fausse. C om m e vous pouvez le constater
38. $note = <STDIN>;
égalem ent, notre instruction "w h ile " s'in ­
39. chop ($note);
corpore elle-même à une instruction " if". Il
40. if ($note > 0 && $note <= 20) {
n'y a aucune lim ite à l'im brication des ins­
41.
$i = 0;
tructions conditionnelles les une dans les
42.
while ($i < $note)
autres. Il faudra sim plem ent faire attention
43.
à bien ouvrir et ferm er le m êm e nom bre
44.
d'accolades, aux endroits appropriés.
45.
D e rn iè re in s t r u c t io n c o n d it io n n e lle :
46. }
"u n til". Elle possède égalem ent la m êm e
47. print (\n(;
stru ctu re que l'in stru ctio n " w h ile " m ais
48. # attendre que l'utilisateur tape
fo n c tio n n e e x a c te m e n t de la m a n iè re
49. print (Tapez le mot ok : (;
{
print (*(;
$i++;
}
inverse : le program m e tourne en boucle
50. $ok = <STDIN>;
tant que l'expression est fausse. Voilà pour
51. chop ($ok);
a u jo u rd 'h u i. Nous vous con seillo n s v iv e ­
52. until ($ok eq (ok() {
m ent de faire q uelques petits scrip ts de
53.
print (Tapez le mot ok : (;
votre côté pour vous exercer à la syntaxe
54.
$ok = <STDIN>;
de Perl. Le m ois p ro chain , nous ab ord e­
55.
rons le travail sur les fichiers.
56. }
Vincent Oneto - < [email protected]>
chop ($ok);
57. print (Merci.\ n (;
ok
In itia tio n au C
2e partie
tio n s. Sa p articu larité vie n t de ce qu'elle
in c a r n e la s e u le fo n c tio n a p p e lé e p ar
défaut. Elle se trouvera donc toujours exé­
Après la brève présentation du mois dernier, nous voici fin prêts
pour notre premier programme en C. A vos claviers !
cu tée et co nstitue le point d'entrée d'un
p ro g ram m e . Enfin, suivent les définitions
des fo n ctio n s ap pelées par la "m a in " ou
par d'autres fonctions.
es hab itués des in itiatio n s à la p ro ­
de base q u a n t a u x h ab itud es à p ren d re.
N otre p re m ie r p ro g ram m e
gram m atio n l'au ro n t co m p ris, notre
Attention cependant, nous ém ettons l'h y ­
#include <stdio.h>
p re m ie r p ro g ra m m e se c o n te n te ra
p othèse que le lecteu r possède un m in i­
d'afficher "H ello W orld " à l'écran . C e logi­
m um de cu ltu re g én éra le en m atière de
int main (void)
ciel exceptionnel va en fait nous perm ettre
p ro g ra m m a tio n et sa it p ar e x e m p le en
{
d 'é tu d ie r la stru ctu re g én éra le d 'u n pro­
quoi consiste une variable.
gram m e en C et d 'étab lir quelques règles
S tructu re d'un p ro g ram m e en C
L
printf ("Hello World\n");
r e t u m 0;
A vant d'être com pilé, un program m e en C
}
Les p r o t o t y p e s
d é sig n e un fic h ie r te x te A sc ii, réalisab le
grâce à n'im porte quel éditeur de texte. Ce
Le fichier texte nom m é "h ello .c" et conte­
O n d is tin g u e la d é c la r a t io n d 'u n e
fic h ie r se co m p o se de p lusieu rs sectio n s
nant le listing ci-dessus est transform é en
fonction de sa définition. La déclaration,
qui peuvent varier quelque peu d'un pro­
a p p e lé e
au
g ram m e à l'autre mais qui le plus souvent
c o m p ila te u r de c o n n a ître les types de
se d éco u p en t co m m e suit. T o u t d 'ab o rd ,
param ètres attendus et renvoyés p a r la
les prem ières lignes ne constituent pas des
fo n c tio n . Cela p e rm e t do n c de v é rifie r
instru ctio n s C à p ro p rem en t p arler, m ais
q u 'u n e fo n c tio n n o n encore d é finie est
des d irectives de co m p ilatio n qui se v e r­
" p r o t o t y p e ",
p e rm e t
includ* <j i »u
nt s a in (void)
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
p r in tf (*
0;
bien appelée correctement. La dé fin itio n
ro n t in te r p ré té e s p a r le p ré p ro c e s s e u r
d 'u n e fo n c tio n dé sig ne ce q u 'e lle d o it
a v a n t la phase de c o m p ila tio n . E n su ite ,
fa ire e t c o n tie n t les in s tr u c tio n s q u i
viennent les déclarations de types, de fo n c­
p e r m e tte n t d 'a c c o m p lir la tâ c h e en
tio n s e t de v a r ia b le s . L 'a v a n t- d e rn iè re
question. Si une fon ction se trouve définie
étape sert à déclarer et définir la fonction
a v a n t de se v o ir appelée, il n 'y a pas
p rin c ip a le ( " m a in " ) . C o m m e to u te s les
o b lig a tio n de la prototyper.
fonctions, celle-ci contient elle-m êm e une
h ç l io _ e _____ J__>------------ A ilCompilation flnlahod at Wed Jur. 24 17:55:23
p artie d é cla ratio n s et une p artie in stru c ­
File
Edit
View
Program
Commands
0
( ) : | lis t- > n e x t- > n e x tî
S ta tus
&
LOOkup Find»
em acs: Man: printf
F
f j DDD: AisrA isers/sts1/zeller/ddd/ddd/cxxtest.C
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Source
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P R IN T F ( 1 )
n
i 1
2: * l i s t
1:
lis t
( L i s t * ) 0x804aee8
v a lu e - 85
s e l f - 0x804aee8
n e x t = 0x804aef8
3: * l i s t - > n e x t
v a lu e - 88
s e l f - 0x804aef8
n e x t = 0x804af08
p r i n t f - format and print data
SYNO PSIS
p r intf format [argument...]
printf (— h e l p , — version)
DESCRIPTION
This
doc u m e n t a t i o n
is n o longer b e i n g maintained and may
be inaccurate or incomplète.
T he Texinfo documentation is
n o w the a u t h o r itative source.
J 4 : ♦1i s t- > n e x t- > n e x tj
- new L is t( a _ g lo b a l + s t a r t+ + ) ;
1 is t- > n e x t- > n e x t
1i s t-> n e x t- > n e x t- > n e x t
P
- list;
Run
d e le te 1 i s t- > n e x t- > n e x t;I
//
Interrupt
ic n » •> oxsMafcüi
11
v o id r
I<
Stepi
Nextl
L*J
v o id 1
}
Step
Next
T es* - H i c a m h i n n s H n n
KM
There are three ways to show the value of a variable
■ You can view its value, simply by pomting at it,
• You can print rts value in the debugger console, using Print ().;
• You can display it graphically, using Display ()
Down
F\kd
Make
H
I
This
manual
pa g e d o cuments
the G NU version of printf.
p r intf prints the f orma t string, interpreting
direc­
tives
and
'V
escapes in the same w ay as the C 'printf'
function.
T he format argument is re-used as many times as
n e cessary to convert ail o f the given arguments.
p rintf interprets '\0ooo' as a an octal n u mber ('ooo' is 0
to 3 digits) specif y i n g a character to print, and
'\xhhh'
as
a hexadécimal n u mber ('hhh' is 1 to 3 digits) specify­
ing a character to print.
It has
an
additional
escape,
'\c',
which
causes
p r intf to p r o d u c e n o further output,
and an additional directive, '%b', which prints its argu­
ment
string wi t h ' V escapes interpreted the way they are
in the format string.
da
Prev Tip
N ext Tip
OPTIONS
w he n G NU p r intf is invoked with exactly o ne argument,
following opti o n s are recogniïed:
the
— he l p Print
a u s a g e mess a g e on standard output and exit
successfully.
I Cgdb) graph d is p la y * ( H s t- > n e x t- > n e x t- > n e x t) dépendent on 4
I (9db) 1
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
— version
— %%-XEmac8: Man: printf
(Manual
■) -.-"Top:
Jt hst->next->next • ( L i s t * ) 0x804af08
DDD, le débogueur ultim e.
Toutes les fonctions s ta n d a rd sont documentées.
1^ Intioduction à la programmation en ÀNSI-C - Netscape
■ M
Dream prof
H r in lx l
Fichier Edition Affichage Aller Fenêtre 2
-s
Signets
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□
zi
é&- -te
-31
Adresse:|http.//www.Itam.hi/ourpages/staff/fabfr/'cous-c/’
• Des fo n c tio n s d an s des fo n ctio n s
Même s 'il existe ries artifices, il n 'est pas
possible en C d 'avoir des définitions de
fonctions imbriquées.
Chapitre 2: NOTIONS DE BASE
• A l'a id e !
De l'aide sur la plupart f pour ne pas dire
toutes) des fonctions standard\ ainsi que les
appels système, p eut s'obtenir via la commande
“man ". Essayez donc “man p rin tf'.
Avant de pouvoir com prendre ou même écrire des program m es, il faut connaître la
composition des program m es dans le langage de programmation. D ans ce chapitre, nous
allons discuter un petit program m e en mettant en évidence les structures fondamentales d'un
program m e en C.
• No co m m en t
E n C, les commentaires s'intercalent entre les
signes I* et */. C'est le préprocesseur qui se
chargera de les retirer du code. Non
imbriquables.
• 2.1. Hello C !
• 2.2. Les composantes d'un programme en C
• 2.3. Discussion de l'exemple 'Hello World'
Feedback - C opyright <S>1 99 3.1 99 6 .1 9 97 F Faber
3 *:
[Document: chargé
^
La prochaine fois, nous étudierons les dif­
férents types de variables disponibles et
introduirons la notion de variable locale.
De nom breux tutorie ls son t disponibles sur le web.
un programme exécutable ("hello") par la
simple commande :
Lorsque l'on désire connaître celle-ci, on
la renvoie ainsi ou bien on retourne une
variable la contenant. Dans le cas contrai­
re, la convention prévoit de renvoyer 0.
de la manière suivante :
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Guillaume Girard
ctype de donnée> < identificateurs
gcc -o hello hello.c
A nalyse
Attention, la fonction "m ain" prend nor­
m alement en argum ents deux variables
fort utiles, mais nous aborderons le sujet
en détails dans un prochain article. Avant
de co m m encer l'an alyse ligne à ligne,
notons que le com pilateur ne fait pas la
d iffé re n ce entre les m in u scu le s et les
majuscules ; nous pourrons donc en faire
un usage judicieux pour une plus grande
clarté du code source. On rem arquera
égalem ent que la fin d 'une instructio n
nécessite un point-virgule, ce qui permet
de faire tenir plusieurs directives sur une
ligne ou d'en é tale r une sur p lusieurs
lignes. Cette possibilité constitue souvent
un piège et on essaiera le plus souvent de
se tenir à la règle "une instruction par
ligne". La première ligne indique au pré­
processeur d'insérer le fich ie r" std io .h "
présent en standard avec tous les com pi­
lateurs C. Ce fichier déclare (entre autres)
la fonction "printf" que l'on utilisera par
la suite. On notera que les fonctions non
u tilis é e s ne se v e r r o n t b ien sû r pas
incluses dans l'exécutable final. La fonc­
tion "m ain" est ensuite définie com m e
re n vo y a n t un ré su lta t de ty p e e n tie r
(mot-clé "int" pour integer) et ne requé­
rant aucun paramètre (m ot-clé "vo id ").
Les variables, quant à elles, se définissent
Pour définir une variable de type entier se
nommant "nom bre", il suffira d'insérer la
ligne suivante dans la partie déclarations :
F r a c t i o n n e r s on c o d e
int nombre;
L o rs q u 'u n p r o je t p re n d une c e rta in e
Attention cependant, un identificateur ne
doit pas contenir d'espace et doit respec­
ter certaines règles, comm e par exemple
ne pas com m encer par un chiffre.
Les accolades définissent un bloc d 'in s­
tructions. Ce bloc se compose ici de deux
instructions. La première affiche à l'écran
le message "Hello W orld" (\ n indique un
re to u r c h a r io t ) et u tilis e la fo n c tio n
" p r in t f " . C e lle - c i a c c e p te un g ra n d
nom bre d'options que nous ne détaille­
rons pas en ces pages. La seconde ren­
voie la valeur de retour de la fo nctio n .
a m p le u r , o n
s u b d iv is e
s o u v e n t le
p ro b lè m e p r in c ip a l en p lu s ie u rs sousproblèmes. Il est alors p ra tiq u e de diviser
le code source en plusieurs fichiers, po u r
une m eilleure lis ib ilité et à raison d 'u n
fichier p a r sous-problème. On parle alors
de m odule. Dans la pra tiqu e, un fichier
c o n tie n t g é n é ra le m e n t quelques 1500
lig n e s . D a ns ce cas, c e rta in e s règles
s'app lique nt, mais il nous fau dra aborder
les notions de visibilité et de portée po u r
en parler.
P r o c é d u r e s et f o n c t i o n s
A l'in s ta r du Pascal, le C incarne un langage procédural. Cependant, il n'existe qu'une
seule syntaxe et il faut, p o u r o b te n ir une procédure au com portem ent sim ilaire à celles du
Pascal, spécifier à une fon ction une valeur de retou r de type void. Une fon ction désigne
alors une pro céd ure q u i renvoie une valeu r ; i l ne s 'a g it pas d 'u n e fo n c tio n au sens
m athém atique, q u i cesse d'exister lorsqu'elle n'est plus utilisée. Souvent, elle renverra une
valeur de type in t; in d iq u a n t si l'u tilis a te u r l'a exécutée avec succès ; il en va ainsi p o u r
"m a in ", q u i indique au système d 'e x p lo ita tio n si le program m e lui-m êm e a pu s'achever
correctement. Par convention, un pro gra m m e (donc la fon ction "m a in ") renvoie 0 si to u t
s'est bien passé et une valeur supérieure à 0, dans le cas contraire. Cette valeur m et alors
en évidence l'erre ur commise.
P ro g r a m m a tio n
m
L'utilisation des
Layout M anagers
La gestion de la géométrie constitue un problème important,
auquel on se trouve inévitablement confronté dès que l'on veut
programmer une interface graphique.
4 sj A W T a p p
□ X
ceci| est| un
exem pje
ar gestion de la géométrie, on entend
la manière dont se situent les diffé­
rents composants d'une interface gra­
phique les uns par rapport aux autres. Dans
notre cas, cela désigne le positionnement
des C o m p o n e n ts à l'in té rie u r d'u n
Container. Vous serez certainement heureux
d'apprendre que l'AWT dispose d'un méca­
nisme de gestion de la géométrie puissant,
P
fa it
app el
FlowLayout
au x
se rvice s
de son
L a y o u tM a n a g e r. Plus c o n c rè te m e n t,
LayoutManager représente une interface et
différentes classes peuvent l'implémenter.
Ecrire soi-même son propre LayoutManager
en implémentant cette interface ne se révèle
pas toujours facile, mais heureusem ent,
l'AW T propose plusieurs LayoutM anagers
prédéfinis qui répondent à la quasi-totalité
des besoins. Nous allons examiner mainte­
nant ces LayoutManagers et leurs effets mais
auparavant, il faut encore préciser qu'on
définit le LayoutManager pour un Container
à l'aide de la méthode setLayout().
de
Nos prem iers p a s.
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mais surtout excessivement simple à utiliser.
Les L a y o u t M a n a g e r s
Dans l'AWT, à chaque Container s'associe un
LayoutManager; c'est-à-dire un objet chargé
d'administrer la géométrie. Chaque fois que
le Container désire raffraîchir son affichage, il
F lo w L a y o u t
FlowLayout est le LayoutManager par défaut,
celui qui se voit utilisé lorsqu'on n'en choisit
pas explicitement un autre. Il reste le plus
simple de tous. Son action ressemble à la
fonction "justification" d'un traitement de
te xte : il dispose les
Components les
uns à la
suite
des autres, ligne par ligne, et en entame une
nouvelle dès que la place sur la ligne couran­
te ne se révèle plus suffisante. Son construc­
teur prend trois param ètres. Le premier
indique la façon dont les Components se
tro u v e ro n t alig n és (F lo w L a y o u t.L E F T ,
FlowLayout.RIGHT ou FlowLayout.CENTER
pour obtenir respectivement une justification
à gauche, à droite ou centrée). Les deux
paramètres suivants définissent l'espacement
horizontal et vertical entre les Components.
Regardons ce que produit le code suivant :
Frame fenetre=new Fram e( ) ;
f e n e t r e .s e t S iz e (3 0 0 , 3 0 0 );
f e n e t r e . setLayo u t(n e w
F lo w L a yo u t(Flo w Layo u t. CENTER , 10,
1 0 ));
f e n e t r e . add(new B u t t o n ( " c e c i " ) ) ;
f e n e t r e . add(new B u t t o n ( " e s t " ) ) ;
f e n e t r e . ad d(new B u t t o n ( " u n " ) ) ;
f e n e t r e . add(new
B u t t o n ( "e x e m p le ") ) ;
f e n e t r e . add(new
B u tto n ( "d e ") ) ;
f e n e t r e . add(new
B u t t o n ( " F lo w L a y o u t" ) ) ;
_ -W AWTapp
• □
X
□ x
- -tt AWTapp
Nord
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
ouest
centre
est
menu zoom : cela se traduit par un test
s u p p lé m e n ta ire dans la m étho d e
actionPerformed de l'ActionListener asso­
ciée à ce menu. En gros, on ajoute un "if"
sup p lém en taire là où on intercep te les
o p tio n s de zo o m déjà im p lé m e n té e s.
Lorsque cette option se trouve donc sélec­
12
Sud
Layout o f A frica ?
C om m ent ça, pas très o rig in a l ?
fe n e tr e . s e t V i s i b le ( t r u e ) ;
neau de boutons très simple :
Frame fenetre=new Frame () ;
Ajoutons encore que les paramètres pas­
sés au constructeur sont optionnels ; on
peut omettre les valeurs d'espacem ent et
ne définir que la justification, ou encore
faire simplem ent new FlowLayout().
B ord erLayo u t
Ce La y o u tM a n a g e r s'avère p articu liè re ­
m ent u tile , lo rs q u 'o n v e u t c ré e r des
fenêtres avec des barres d'outils. Il divise
le Container en cinq régions distinctes :
nord, sud, est, ouest et centre, et chaque
fois qu'on insère un nouveau Com ponent
avec add, on précise l'endroit où il doit
venir se placer. Essayons tout de suite :
fenetre.setSize(300, 300);
fenetre.setLayout(new GridLayout(3,
4));
int k;
for(k=l; k<=12; k++)
fenetre.add(new Button(new
Integer(k).toString() )) ;
fenetre.setVisible(true);
L 'A W T
p ré d é fin it
un
inférieur, un FlowLayout avec centrage nous
permet de placer les deux boutons OK et
Annuler.
L'in tég ratio n dans M andelbrot
M aintenant que l'on sait construire des
interfaces avec les LayoutM anagers ;, il ne
reste plus qu'à expliquer la façon dont cette
boîte de dialogue est reliée au reste du pro­
gramme Mandelbrot. On sait qu'elle doit se
voir appelée par l'option "Personnalise" du
q u a triè m e
LayoutManager : il s'agit de CardLayout, uti­
tionnée, on instancie ZoomDialog, la classe
qui définit notre boîte de dialogue. Comme
toute boîte de dialogue qui se respecte, la
nôtre possède deux boutons de sortie : OK
et Annuler. Il faut donc un ActionListener
pour chacun d'entre eux. Le bouton OK ne
pose pas de problème : il utilise le même
A ctionListener que toutes les options du
menu zoom et le traitement associé reste le
m êm e (récu p érer les valeurs saisies, les
déclarer comm e représentant la nouvelle
échelle et relancer la production d'une frac-
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Frame fenetre=new Frame () ;
fenetre.setSize(300, 300);
fenetre.setLayout(new
BorderLayout());
fenetre.a d d ("North", new
Button("Nord"));
fenetre.a d d ("South", new
Button("Sud"));
fenetre.add("East", new
Button("Est")) ;
fenetre.a d d ("Wes t", new
Button("Ouest"));
fenetre.add("Center", new
Button("Centre"));
fenetre.setVisible(true);
Comme pour FlowLayout, il reste possible de
spécifier au constructeur de BorderLayout
l'importance de l'espacement horizontal et
vertical séparant les Components.
GridLayout
GridLayout crée, comme son nom l'indique,
une g rille dans laq u e lle il disp o se les
Components. C'est le plus adapté lorsqu'on
veut créer des panneaux d'icônes ou des
barres, horizontales et verticales. On précise
seulement au constructeur le nombre de
lignes et de colonnes de la g rille , ainsi
qu'éventuellement l'espacement horizontal
et vertical des Components. Voici un pan-
lisé pour créer des boîtes de dialogue avec
tale). Pour le bouton Annuler, en revanche,
onglets. Nous ne le verrons pas pour le
l'ActionListener incarne la boîte de dialogue
moment, car pour l'utiliser, il faut déjà maî­
e lle -m êm e et l'a c tio n co rre sp o n d an te
triser au moins ces trois LayoutsManagers
consiste sim plem ent à la rendre invisible
de base. Essayez par exemple de reproduire
par setVisible(false), puis à la détruire par
les trois exemples de cet article en regar­
dispose(). Regardez le source comm enté
fourni sur le CD afin de voir tous les détails
dant uniquement les captures et n'hésitez
de l'implémentation.
pas à expérimenter : c'est en forgeant que
l'on devient forgeron !
T otal recall
Un exem ple g ran d eu r nature
On est loin d'avoir vu l'ensemble de l'AWT,
Nous allons u tiliser les L a you tM a na gers
mais ce que l'on sait demeure suffisant pour
pour construire la boîte de dialogue per­
écrire des programmes et applets honnêtes.
m ettant à l'utilisateur de choisir l'échelle
Nous étudierons la prochaine fois un point
dans notre p rog ram m e M a n d e lb ro t. En
jusqu'ici passé sous silence, mais qui a tout
regardant la capture de la fenêtre, on peut
de même une grande importance : la ges­
aisément deviner com m ent elle se trouve
tion de la mémoire en Java.
Jakub Zimmerman
construite. Il s'agit d'un G ridLayout{2, 1),
ou plus précisém ent
de d e u x lig n e s et
d'une colonne. On y
p lace d e u x Pan els
E c h e lle X : p - 2.0
jd.5
(qui sont eux-mêmes,
ra p p e le z -v o u s, des
C o n ta in e rs ) et on
E c h e lle Y : p -" l -25
11.25
o b tie n t ain si d e u x
C ontainers superpo­
sés. D ans ce lu i du
h a u t, on u tilis e un
| Q K | A n n u le r
G ridLayout(2, 3) afin
de disposer les deux
Labels et les quatre
TextFields (textes édiLe M a n d e lb ro t, ça n'est pas com pliqué...
tables). Dans le Panel
J
r
P ro g r a m m a tio n
«
t
F
Assembleur
Program m er
le hardw are
de l'Am iga
17e partie
La d e rn iè re in stru ctio n se vo it très rare­
m en t utilisée ; il s'ag it de SKIP (x ,y ), qui
Ce mois-ci, nous allons changer de cap en nous intéressant de
plus près à ce qui rend la programmation en assembleur
ludique et populaire sur l'Amiga : son hardware.
p e rm et de sau ter l'in stru c tio n lui succé­
d ant dans la co p p erlist, si la position du
balayage vid éo se m o ntre supérieure ou
ég ale à la position (x ,y ).
L 'e ssa y e r, c 'e st l'a d o p te r
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V o ici un p etit bout de listing qui illustre
ous allons ici survoler les possibili­
p lè te m e n t in d é p e n d a n te du 6 8 00 0, qui
to u t c e c i. A t t e n t io n , c e t e x e m p le est
tés d 'u n e petite partie de la puce
aura alors les m ains libres pour faire autre
d o n n é à titre c o n s u lta tif. Il s 'a g it d'u n
A gnus. Il s'ag it du co p p er (ce nom
chose. La co p p erlist
est traitée à chaque
c o d e q u i t a p e d ir e c t e m e n t d a n s les
vien t de la co n tractio n du m ot coproces-
re to u r du b a la y a g e v id é o en h a u t de
registres h ard w are ; cette opération ne se
s o r). C o m m e d 'a u tre s c o p ro c e s se u rs , il
l'écran .
révèle pas très p ro p re,
possède son propre jeu d 'in stru ctio n s des
H eaven can W a it
lea $dff000,a6
c o m p t e u r s o r d i n a u x , un r e g is t r e d e
Le co p p er représente une petite m achine
move.w #$7fff,intena(a6)
c o n trô le , ain si q u 'u n re g istre d 'in s t r u c ­
ru d im e n ta ire , qui p o ssèd e tro is in s tru c ­
move.w #$7fff,intreq(a6)
t io n s c o u r a n t e s . Il a é té p e n s é p o u r
tio ns. La prem ière s'in carn e dans le W A IT,
move.w #$7fff,dmacon(a6)
attend re des positions de b alayage vidéo
qui lui perm et d 'atten d re n 'im p o rte q u el­
move.l #clistl,copllch(a6)
et y d é c le n c h e r des é v é n e m e n ts p ré cis
le position (x ,y ) du balayage vidéo dans la
move.w #$0,copjmpl(a6)
(é c ritu re d ans les re g istres h a rd w a re de
lim ite de sa résolution (h o rizo n tale $0-$e2
l'A m ig a ). So n u t ilis a tio n p r in c ip a le se
verticale SO-Sff). Il y a ici une petite astu ­
ré su m e à o p é re r d es c h a n g e m e n ts de
ce, car les positions horizontales d e m eu ­
bne wait
résolution (et/ou de p alette) à n 'im p o rte
re n t lim ité e s à 2 5 5 ; il s'a v è re p o u rta n t
rts
q u e lle p o sitio n v e rtic a le d e l'é c ra n ; de
possible d 'avo ir des écrans avec une taille
N
move.w #$83e0,dmacon(a6)
wait
btst #$6,$bfe001
cette m anière, deu x écrans de résolution
b ie n s u p é r ie u r e à 2 5 5 . P o u r p o u v o ir
et de palettes différentes peuvent se ch e ­
a tte n d re ,
vau ch er.
(0 ,2 6 0 ), il suffit de faire un W A IT (0 ,2 5 5 )
C o p p er fo rev e r
suivi de W A IT (0 ,5 ). L'in stru ctio n W A IT se
Le co p p er va ch e rch er ses in tru ction s dans
tro u ve ég ale m e n t utilisée en ta n t q u 'in s­
la C h ip RAM . L'e m p la cem en t m ém oire de
tru ctio n de fin de la co p p erlist, en faisant
;color00=black
ses in stru ctio n s se v o it in d iq u é p ar l'u n
atte n d re au c o p p e r une p o sitio n im p o s­
dc.w $180,000
d es d e u x d o u b le s re g is tre s C O P 1 L C H -
s ib le à a t t e in d r e ( d c .w $ f f f f ,$ f f f e ) . La
C O P 1 L C L ou C O P 2 L C H - C O P 2 L C L . M ais
se c o n d e d ire c tiv e c o n s titu e u ne sim p le
;wait (*,150)
atten tio n , ceux-ci ne fo n t que p o inter sur
in s tru c tio n M O V E , v a le u r-re g is tre où la
dc.w $9601,$ffOO
la liste des in stru c tio n s (o n d it c o u ra m ­
p rem ière désigne un m ot de 16 bits et où
p a r e x e m p le ,
la
section my_clist,data_C
p o s it io n
Clistl
dc.w $lfc,0
m e n t c o p p e r lis t ) e t p o u r l'a c t i v e r , il
le second est l'adresse d 'u n registre h ard ­
;color00=white
co nvient encore d 'écrire la valeu r SO dans
w a re de l'A m iga (re la tivem e n t à l'adresse
dc.w $180,$fff
le re g istre CO PJM P1 ou C O P JM P 2 . U ne
îd ffO O O ). Par e x e m p le , si nous désiro n s
fo is sa co p p e rlist in d iq u é e et a c tiv é e , le
ch an g er la co u leu r 0 en b lan c vif, il suffit
;cop_end
c o p p e r ira c h e rc h e r ses in s tru c tio n s via
d'in scrire dans la co p p erlist :
dc.w $ffff,$fffe
D M A ; il les exé cu te ra de m anière co m ­
MOVE $180,$ f f f .
David M ignon
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Microstory
Oric, le météore
Positionné en concurrent du Spectrum, l'Oric a brillé peu de
temps, malgré son succès en France et en Grande-Bretagne.
T
o ut c o m m e n c e fin 1 9 7 9 , lo rsqu e
se tte s à 3 0 0 ou 2 4 0 0 b a u d s ), m o d e m ,
B a rr y M u n c a s t e r e t le D r P au l
im p rim a n te , crayo n o p tiq u e . Son clavie r
Johnson, rejoints plus tard par Paul
très particulier (les touches sont très petites,
K a u fm a n , c ré e n t T a n g e rin e C o m p u te r
mais pas en gom m e com m e on le prétend
System s. Le boom du m arché des ordina­
so uvent) se vo it qualifié d '"a g ré a b le ", ou
te u rs
f a m ilia u x
le u r
d '"in su p p o rta b le " selon
donne l'idée de fonder
la
s o c ié té
les goûts...
Pro b lèm es de
d irectio n ?
O r ic
P r o d u c t s
DESCRIPTIF : UN C0C0TIER S ’ ELEUE A 50m
Le D ia m a n t De L'Ile M a u d ite p a r Loriciels.
In tern ation al. Le pro­
Les premiers co m m en­
totype dont ils dispo­
taires de la presse se
breux changem ents à la direction. La socié­
le
m o n tre n t e n c o u ra ­
té Edensp ring in vestit m assivem ent pour
M icrotant 2, va rapi­
geants, mais relèvent
so u te n ir O ric : selon son d irec te u r Peter
dem ent
quelques faiblesses :
Jones, "les besoins d 'O ric en a rg en t frais
a b s e n c e d e s p é r i­
sont, pour le moins, pressants". Un discours
phériques annoncés,
qui change de l'habituelle langue de bois...
sen t
a lo r s ,
d e v e n ir
l'O r ic - 1. L 'h is to ire
Atm os, le p e tit nouveau...
v e u t q u e le to u t
e stim a tio n s. O n co n state alors de nom ­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
p re m ie r p ro g ram m e tap é sur un O ric se
bugs de la RO M , peu de logiciels... Puis les
Les premières interfaces qui sortent (inter­
présentait ainsi : 10 PRINT"Louise a de belles
"co u acs" se m ultiplient : la société n'arrive
face joystick, synthétiseur vocal) ne sortent
cuisses", Louise désignant en fait la secrétai­
pas à honorer les nom breuses com m andes,
pas des écu rie s d 'O ric , à l'e xce p tio n de
re... C 'est le 27 janvier 1983 que l'O ric se
les utilisateurs se plaignent du m anuel suc­
l'im p rim a n te MCP40 (4 couleurs !). Et la
tr o u v e o f f ic ie lle m e n t la n c é en d e u x
cin ct, du m anque de fiabilité de l'interface
société d'an n o n cer des "ventes de 350000
modèles : l'un dispose de 16 Ko de m ém oi­
cassette (le nom bre de retours de cassettes
unités", ainsi qu 'u ne "filiale au japon"...
re, l'autre de 4 8 Ko (en fait, 64 Ko dont 16
défectueuses m ènera m êm e à une pénurie
C et optim ism e forcené vient sans doute du
succès inespéré de la m achine en France :
occupés par la R O M ). La m achine, architec-
m om entanée de logiciels !).
turée autour d'un 6 5 0 2 à 1M H z et dotée
Quelques mois après sa diffusion, la m achi­
3 5 0 0 0 m a c h in e s v e n d u e s en q u e lq u e s
d'un Basic M icrosoft, perm et un affichage
ne fait son apparition en France par le tru ­
m o is ( l'O ric -1 48 Ko v a u t 2 1 9 0 fran cs à
de 4 0 colonnes sur 25 lignes, ou 2 4 0 *2 0 0
c h e m e n t de la so cié té A S N , d irig é e p ar
l'époq ue). De plus, l'offre logicielle s'étoffe
pixels et trois lignes de texte en haute réso­
Denis Taïeb. ASN change alors de nom et
et gagne en qualité.
lution. Les connecteurs laissent envisager la
devient "O ric Fran ce". C 'est égalem ent le
O ptim ism e de courte durée : le 1 3 octobre
s o rtie
déb ut de la revue M icr'O ric; éditée par la
1983, l'usine de fabrication des Oric-1 est
société française.
la proie des flam m es. Si la production peut
de
n o m b re u x
p é r ip h é r iq u e s ,
d'ailleurs annoncés bien rapidem ent par les
responsables de la société : lecteur de dis­
L'été 83 vo it déferler la p rem ière grande
reprendre dans une autre usine, les stocks
q u ettes (l'O r ic fo n c tio n n e ave c des c a s ­
vague de logiciels, riche en futurs grands
de com posants ont été touchés. La société
classiques ( Xénon 7),
Edenspring doit à nouveau investir (4 mil­
et c o ïn c id e ave c les
lions de livres), et de facto ses dirigeants
dé b u ts des e xp lo its
Peter Jones et Nicholas de Savary se retrou­
de
vent à la tête d 'O ric.
L o r ic ie ls
France.
A tm o s : le sau v e u r?
D éjà des
d ifficu lté s...
Les rum eurs se confirm ent en février 1984 :
Fin 1 9 8 3 , on attend
dispose d'une ROM corrigée (en principe,
to u jo u rs les lecteurs
ca r en ré a lité , O ric éco u lera ses anciens
le sucesseur de l'Oric-1 s'appelle l'Atm os. Il
de d is q u e t t e s ... La
sto c k s de R O M ), d 'u n v é rita b le cla v ie r
grande nouvelle s'in ­
jam ais égalé depuis et d'un m anuel digne
carn e dans la baisse
de ce n o m . Pour le reste, les ca racté ris­
de
des
tiq u e s re s te n t s e m b la b le s , à te l p o in t
qui
q u 'O r ic a ré c u p é r é d e s c a rte s - m è re s
m a sq u e u ne ré a lité
d 'O r ic I p o u r c o n s t r u ir e d e s A tm o s !
prix
machines,
L 'O ric -1 et son fam eux clavier.
en
d iffic ile : les ve n te s
L'ac cu eil se révèle m itig é, no tam m en t à
re ste n t en deçà des
cause de p ro b lèm e s p ersistants avec les
p our un p rix de 3 9 9 0 fran cs. L'accen t se
cassettes et du peu d'évo lu tio n quand la
f r a n ç a is e . E u rê k a c h a n g e d 'id e n t it é et
concurrence se fait plus pressante (€ 6 4 par
ad o p te p o u r n o u veau p a tro n y m e " O ric
porte sur ses capacités de serveur M initel.
exem ple).
In te rn a tio n a l". D é so rm ais, la p ro d u ctio n
Q u e lq u e s m o is p lus ta rd , la p ro d u c tio n
A la m êm e époque, O ric organise une pré­
d'Atm os élit résidence en France, et le pro­
d'Atm os se trouve définitivem ent abandon­
sentation du M icrodisc, le lecteur de dis­
jet Stratos se poursuit, mais subit d 'im p o r­
née.
quette tant atten d u ... Et l'annule en catas-
tantes m odifications et connaît une réorien-
De nom breuses cartouches verront le jour
p o u r co m p lé te r la p a n o p lie du T e le stra t
Uous etes dans une salle
au rez-de-chaussee •
(assem bleur, forth, R A M ...).
L'écro ulem ent
1987 reste une année m audite pour les ori­
ciens. Elle vo it la fin de la dernière revue
f r a n ç a is e , T héorie. En d é c e m b r e , O ric
In tern ation al, qui ne peut rem bourser ses
dettes au Fisc, est mis en redressem ent judi­
ciaire. Les ventes du Telestrat oscillent selon
les e s t im a t io n s e n t r e 2 0 0 0
et 6 0 0 0
m achines (plutôt 2 0 0 0 !), pour 10000 pré­
v u es. A p a rtir de ce m o m e n t, on n 'aura
002000
SK-ILL_JL
BONUS 7 ? $ 0
001000
plus de nouvelles d 'O ric, mis à part dans la
p re sse é c o n o m iq u e (le s a c tio n s re ste n t
L'A igle D 'O r et Zorgons Revenge, les classiques !
cotées en 1 9 9 0), puis la trace de la m arque
trophe : il n'est pas encore prêt, et ne sorti­
tation télém atique. Baptisé "le Telestrat", il
se p e rd . A te l p o in t q u e p e rs o n n e ne
ra que trois mois plus tard (à 3600 francs) !
disposera de deux ports cartouches, d'un
sem ble savoir ce q u 'elle est devenue ! Et
Les fabricants indépendants, eu x, s'en do n ­
lecteur de disq u ettes en série, et de très
depuis, contre m auvaise fortune bon coeur,
n en t à c o e u r jo ie : c a rte 2 5 6 c o u le u rs,
nom breux ports d'extension : joystick, prise
les utilisateurs ont repris le flam beau.
cartes E/S, syn th étiseurs v o ca u x, lecteurs
M ID I... L'Atm os se diffuse alors au prix de
de disquettes...
990 francs, avec une peritel auto-alim entée
En France, Théorie co m m ence sa parution
et en fin un systèm e de c h a rg e m e n t des
en avril, et le m êm e mois sort l'Aigle D'O r,
cassettes fiabilisé.
sans doute le classique le plus co n n u sur
A cette époque, un grand nom de l'O ric,
Simon Cuyart
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O ric avec Zorgons' Revenge. Les oriciens se
Fabrice Broche, travaille sur le nouvel OS,
s o u v ie n n e n t de la m é m o r a b le p a sse
S ed o ric, et sur les ROM du T e le stra t. Le
d 'a rm e s e n tre O ric F ra n c e (e t sa re vu e
projet est très bien accueilli par la presse
"officielle" M icr'Oric) et Théorie, à qui l'on
(m êm e par Hebdogiciel !), mais l'histoire se
dem andait de retirer purem ent et sim ple­
répète : le Telestrat se fait attendre et n 'ar­
ment le nom "O ric " de son titre.
rive p as. En fa it, le d é v e lo p p e m e n t des
Prem ier coup de sem once
ROM prend du retard. La m achine sortira
Les v e n te s d 'O r ic en F ra n c e s 'a v è r e n t
finalem ent bien tard, en septem bre 1986,
S*«&.RA-M
Sound O o
(Gl»12)
La carte-m ère de l'Atm os.
bonnes (près de 1 2 0 0 0 0 unités au to tal),
m a is la s o c ié té d e m e u r e lo u r d e m e n t
endettée. Les licenciem ents co m m en ce n t
en ao ût 1 9 8 4 . A N o ë l, l'A tm o s est plus
cher que le Spectrum , et presque autant
que le €64. Si le m arché de l'O ric se porte
toujours bien en Fran ce, O ric Fran ce en
revanche pâtit des p roblèm es de la m a i­
son-m ère. Denis Taïeb dém issionne, rem ­
placé par Claude Taïeb, son frère !
En Angleterre, les revues O ric disparaissent
les unes après les au tres. Le siège social
d'O ric ferm e boutique. On parle alors du
futur successeur, le /Q 764, ou Stratos. Il se
voit présenté le 1er février 1 9 8 5 ... Et O ric
se trouve mis en liquidation le lendem ain.
Les dettes atteignent 5 ,5 millions de livres.
Le renouveau
C 'est au tour des rep reneurs d 'e n tre r en
scène. Un projet d'usine située en France et
subventionnée par l'Etat tom be à l'eau, les
consturcteurs français Tho m so n et M atra
a y a n t fa it p re ssio n . F in a le m e n t, Eu rêka
rachète Oric, lui donnant ainsi la nationalité
CPU «0 2
Les trois modèles: O ric-1, Atm os et Telestrat.
Lecteurs
ne
buer comme nous aurions aimé
temps... Cela dit, vous trouve­
connaissez strictem en t rien au
le fa ire . C 'est C alde ra q u i se
rez un dossier sur Java dans le
lisp, sous quelque form e que ce
trouve
prochain numéro, mais rien sur
soit. Leçon nu m éro 1 spéciale
S ta rD iv is io n p o u r to u t ce q u i
"n e u n e u -q u i-s a it-to u t-m ie u x -
c o n c e rn e L in u x ; or, c e lu i-c i
q u e - to u t- le - m o n d e " : le lis p
ré c la m e
désigne un la n g a g e fo n c tio n ­
S ta r O ffic e s u r u n C D -R o m
e lle -m ê m e
10 PRINT “GOTO"
que
vo u s
mandaté
une
par
d iffu s io n
de
nel, à la différence du QBasic.
séparé. Com m e vous vous en
En conséquence, to u t p ro g ra m ­
d o u te z , cela ne se s itu e pas
m e u r q u i a plus de 5 0 de Q l
encore à no tre portée.
Bon b e n , là, tro p c 'e s t tro p ,
com m ande g o to en lisp relève
de l'in e p tie . Le g o to -c h a r q u i
non très loin !!! j'a i lu l'a rtic le
s u b it vo tre c o u rro u x n 'e s t en
GIMP
Après l'in stalla tio n de Gimp à
p a rtir du C D n°51 de Dream,
j'o b tie n s le m essag e su ivan t
vou s d ir a q u e c h e rc h e r u n e
là , v o u s a lle z un p e u lo in ,
le CD ! Désolé.
lorsque je lance l'ap p licatio n :
ICQ ?
" c a n 't
lo a d
lib r a r y
'
lib g tk .s o .l ", m alg ré l'in sta lla ­
que vo tre m a g azin e a c o n sa ­
fa it q u 'u n e fon ction (vous vous
J 'a i t é lé c h a r g é le JRE ( Java
tion de la rpm située dans le
cré à Emacs, le p ro g ra m m e à
souvenez ? Le lisp désigne un
R u ntim e E n viro n n m e n t) p o u r
ré p e rto ire G TK + . P o urq uo i ?
to u t fa ire !!! S u r l'a r t ic le et
langage fon ctionn el) propre au
Linux, afin d 'u tilise r ICQ java.
S u r q u e lle a d re s s e In te rn e t
s u r le s a id e s à l'u t ili s a t i o n
elisp q u i p e rm e t (com m e son
U ne fo is in sta llé (a p rè s a vo ir
p o u r r a is - je t é lé c h a r g e r la
ô'Em acs , je n 'a i rie n à d ire
nom l'in d iq u e à to u t p ro g ra m ­
m o d ifié le scrip t, qui utilise le
lib rairie G T K ?
c a r j'u tilis e VI, d o n c to u t ce
m eur q u i a plus de 50 de Q l)
s c rip t k s h ), je la n c e ICQ, et
qui to u ch e de près ou de loin
de p la c e r le c u rs e u r s u r une
là : "SIGSEGV I I * seg m en ta­
à Emacs relève p o u r m oi de la
p o s itio n donnée. Par ailleurs,
t io n
m a g ie n o ir e . M a is y a u n e
s a ch e z que nous re sp e cto n s
C o m m e n t u tilise r ICQ ?
con tenu de l'a rch ive rpm que
c h o s e q u e je c o n n a is a sse z
nos le c te u rs ( e n fin p re s q u e
b ien , c'e st le lisp. Q u e ce soit
tous...) et que nous avons p la i­
Tout d'ab ord , Ksh n'est pas un
rpm -q l < nom du package> :
elisp , gel (g n u co m m o n lisp )
s ir à cro ire q u 'ils a p p re n n e n t
s c rip t m a is un S h e ll, ce q u i
v o tre e rre u r v ie n t p ro b a b le ­
ou les d iffé re n ts lisp d é riv é s
des choses grâce à nous (le lisp
désgne un in te rpré te ur de com ­
m e n t du f a it que la lib ra irie
de co m m o n lisp ou de vlisp .
désigne un la n g a g e fo n c tio n ­
m a n d e s. Ksh ne se v o it pas
installée s'appelle lib g tk .s o .l.0
D an s v o tre e x e m p le de p ro ­
nel, vous suivez ?). Le p ro je t
fo u rn i avec Linux, m ais vous
ou q u e lq u e ch o se d 'a p p r o ­
g ra m m e , il y a un g o to . Vous
Gnome n 'in c lu t pas de w indow
pouvez néanm oins exécuter le
chant, et non lib g tk .s o .l. Dans
a l le z
g o to -
m a n a g e r : ce la s ig n ifie que
script avec bash. Votre p ro blè­
ce cas, vous pouvez corriger le
q u e lq u e -ch o se , m ais c'e st un
chacun reste donc libre d 'u tili­
me de "s e g m e n ta tio n f a u lt "
p ro b lè m e en c ré a n t un lie n
g oto q u and m ê m e ; o r, to u t
ser celui q u 'il veut, au co n tra i­
p e u t a v o ir dive rse s sources,
symbolique. Si vous décidez de
p ro g ra m m e u r q u i a p lu s de
re de KDE p a r exemple. Q uant
m a is i l s 'a g it p ro b a b le m e n t
télécharger GTK et de le com ­
50 de Ql vous dira que "g oto-
à no tre anatom ie, cela ne vous
d 'u n e m auvaise version de la
p ile r p a r v o u s -m ê m e , vous
v o it
regarde pas et la présence de
libe.
trouverez les dernières versions
ja m ais ça dans un co d e. Vous
votre le ttre dans le forum p ro u ­
M a lh e u re u s e m e n t, n o u s ne
sur ftp .g tk .o rg .
allez d é c la re r q u e vo u s vo us
ve bien la n a tu re dé m ocra to -
pouvons pas vous en dire plus,
a d re s s e z à d e s a b r u tis p r o ­
lib é ro -lib ertaire de celui-ci.
é ta n t donné que vous ne nous
fo n d s ,
de
PS : si votre lib ra ire vous récla­
indiquez pas quelle distrib u tio n
vous utilisez, mais sachez que
fa u lt" .
Au
s e c o u rs
!
D 'avan ce m erci.
C o m m e n ce z p a r re g a rd e r le
vous avez installée en ta p a n t
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
me
n 'im p o r t e
d ir e
un
q u o i",
ju s t e
on
c a p a b le s
payer 5 9 F p o ur vo tre m a g a ­
me 5 9 F p o u r Dream, nous ne
zin e, q u 'ils ne lisent d 'aille u rs
s a u rio n s
p a s, l'a c h e t a n t u n iq u e m e n t
conseiller d'en changer.
pour
f la m b e r
devant
que
tr o p
vou s
le s
c o p a in s e t t o u t e t t o u t. Eh
b ien , ce n 'e st pas une bonne
nous u tilis o n s ICQ Java sans
J 'a i f a it l 'a c q u is it io n d 'u n
p ro b lè m e avec la lib c version
second d isq ue d u r pour pou­
5 .4 .3 3 et JRE 7 .7 .5 .
v o ir y in s t a lle r L in u x. M on
d isq u e de b o o t d é m a rre sur
STAROFFICE
jd k
raison non plus !
e n v is a g é
MULTI-BOOT
de
W in d o w s 95 e t j'a im e r a is
?
savo ir co m m en t m 'y prendre
p o u r p a rtitio n n e r et in staller
PS : dans v o tre su p er n u m é ­
E s t - il
ro, vo us a n n o n ce z que le p ro ­
S ta rO ffic e p o u r L in u x su r le
p la c e r
P o u rrie z - v o u s m e ttre le JDK
L in u x s u r le s e c o n d d isq u e
je t Gnome n 'a pas de w in d o w
C D d e D re a m ? C e tte s u ite
p o u r Linu x (e t a u tre s, p o u r­
d u r. Faut-il que je ch an g e la
s é q u e n c e d e b o o t d a n s le
m a n a g er. Ah bon ? A lors m oi,
b u r e a u t iq u e e st g r a t u it e et
q u o i p a s ) s u r le p r o c h a in
je fa is c o m m e n t p o u r g é re r
trè s in t é r e s s a n t e , m a is so n
C D ? Je n'ai pas envie de té lé ­
Bios ? M ais ce qui me p réoc­
m es fen ê tre s ? Q u an d est-ce
a c q u isitio n n écessite un télé­
c h a r g e r un p a c k a g e d e 11
cu p e le plus est le dém arrage
que vo us vo us faite s pousser
c h a r g e m e n t im p o r t a n t , q u i
Mo p o ur utilise r ICQ.
de l'o rd in a te u r une fois Linux
une paires de c. et que vous
ne s'a vè re - hélas ! - pas à la
o u vre z un vrai fo ru m d é m o ­
p o rtée de to u t le m o n d e .
cra tiq u e et o u vert à la d iscu s­
O livie r
sion ? O n jo u e les g o uro us, il
Eric
in s t a llé ; au d é m a rr a g e de
Ah ! M alheureusem ent, le JDK
du systèm e, à m oins q u'il ne
est sous cop yrig ht Sun, q u i ne
m e so it o ffe rt au d é m arrag e
Windows 95, aurai-je le ch o ix
M a lhe ureu sem e nt, le fa it que
nous autorise pas à le red istri­
de Linux ? O u faudra-t-il que
StarO ffice soit g ra tu it p o u r un
b u e r s u r le CD. C ro yez b ie n
je c h a n g e la s é q u e n c e de
Sans v o u lo ir o ffen ser q u i que
usage personnel ne signifie pas
que dans le cas contraire, nous
b o o t du Bios, s u iv a n t que je
ce soit; la question prouve p a r
que nous puissions la re d is tri­
l'a u r io n s f a it d e p u is lo n g ­
v e u i lle d é m a r r e r L in u x ou
fa u t assum er ! A bas to u t.
Red Hat Linux 5.0
Enfin d isp o n ib le en versio n fra n ç a ise !
La version 5 de Red Hat Linux pour Intel allie simplicité d'utilisation pour les débutants,
puissance et souplesse pour les utilisateurs confirmés souhaitant disposer
d'une station de travail performante ou d'un serveur.
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la catégorie environnem ent de travail.
Version mise à niveau (release 2)
Tout utilisateur enregistré Redhat 5.0 peut en outre
commander la release 2 au prix de 40 francs.
Une q u a lité reco n n u e p ar la p resse du
m onde e n tie r !
En 1996, le m agazine américain Infoworld a
décerné à Red Hat Linux le prix du meilleur
produit de Tannée. En 1997, Red Hat Linux
était parmi
les finalistes des Ziff-Davis
• Nombreux changements depuis la version
précédente
• Nouveau système de partitionnement des
disques avec Disk Druid
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• Démarrage rapide
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naires de fenêtres
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APPLIXW ARE 4.3.7
Cette suite logicielle internationale (français, anglais, allemand), primée à maintes reprises,
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fo n ctio n s n écessaires p o u r cré e r et
p ré se n te r vos idées cla ire m e n t e t e ffi­
ca cem en t.
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m ent p arfa it pour la créatio n , l'édition
et la p erso n n alisatio n des p résen tatio n s
grap hiq ues.
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co m p ren d
to u tes les fo n ctio ns n écessaires à la
v isu alisatio n et à l'analyse des données
n um ériques.
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plus sû r et le plus rap id e d'envoyer vos
d o cu m en ts à tra v e rs les divers réseaux
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lan gag e de p ro g ram m atio n de m acros.
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filtre s, ASCII, M SW ord, MSExel, XLS,
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Email : kheops@ linux-kheops.com - W eb : h ttp :/ / w w w .lin u x -k h e o p s .c o m /
Lecteurs
Windows ? M erci d 'é c la ire r un
de c o n fu s io n p o u r les d é b u ­
fu tu r u tilisate u r de Linux, qui
tants. On p e ut dire q u 'à l'h e u ­
je l'esp ère m 'o ffrira un esp a­
re actuelle, deux d is trib u tio n s
ce de travail satisfaisan t.
s'avèrent n e tte m ent plus in té ­
A rnaud M .
ressantes que les au tre s : en
p r e m ie r lie u , la SUSE, q u i
Lors de l'in s ta lla tio n de Linux,
bénéficie d 'u n e fa c ilité d 'u tili­
un u tilita ire du type fdisk sous
s a tio n c em p la ire (vous p o u ­
Dos vous p re n d ra en m a in et
vez l'a c h e te r sans h é site r, il
vous proposera de p a rtitio n n e r
s 'a g it d 'u n e v a le u r s û re ) et
et fo rm a te r v o tre disqu e d u r
D e bia n G N U lL in u x 2 .0 , d o n t
p o u r y ré s e rv e r u n e p e t it e
la sortie reste im m inente. Dans
place p o u r Linux. Si vous ne
les deux cas, l'in s ta lla tio n et le
souhaitez pas perdre vos p a rti­
param étrage de X se m on tre nt
tions W indows, l'u tilita ire FI PS
simples ; q u a n t à la possibilité
fou rn i vous pe rm e ttra de redi-
de
m ensionner à la volée les p a r­
dém arche reste id e n tiq u e sur
p a tc h e r
le
noyau,
la
titions en FAT 16. Par la suite,
toutes les distribu tions... mais
vous arriverez au param étrage
est-ce v ra im e n t nécessaire ?
de LILO (L in u x L o a d e r), q u i
Les dépendances entre les lo g i­
o ffrira ju s te après le BIOS la
ciels et les d is trib u tio n s p e u ­
possibilité de bo oter sur un OS
vent avo ir trois types : l'in s ta l­
ou l'autre. Tout cela sans rien
la tio n de p a c k a g e s systèm e
changer à la con fig u ra tio n du
(S e n d m a il, S a m b a ...) d iffè re
BIOS.
effective m ent sur chaque dis­
t r ib u t io n ,
m a is
ces
Désormais, il est possible
d'écrire à Dream par
E-mail !
N'hésitez donc pas à envoyer
toutes vos missives à
l'adresse
dream @posse-press.com.
Nos experts seferont un
plaisir de répondre à toutes
vos questions !
p ro ­
gram m es de m eu rent tou jou rs
QUEL LINUX ?
Petites
fo u rn is ; il n 'y a donc aucun
annonces
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problèm e. Viennent ensuite les
je suis perdu avec Linux, et le
dépendances p a r rap po rt à un
n o m b re de v e r s io n s d is p o ­
fo rm a t
nibles ! Longtem ps Am igaïste,
e x e m p le , R e d H a t d is tr ib u e
j'ai craqué il y a six mois pour
M o tif sous form e de packages
de p a c k a g e
: par
VENTES
CDE
04 50 45 75 46.
un Pc sous la pression de mon
rpm et il s'avère donc im pos­
Vds
et
V e n d s A l 2 0 0 + D D 3 4 0 Mo
f ils e t a fin d e r é p o n d r e au
s ib le de l'in s t a ll e r s u r u n e
F r e e B S D (v e r s io n c o m p lè te
pour
O verd rive + 2 m o n ite u rs + 2
besoin de c o m p a tib ilité ave c
Slackware. Là encore, pas de
développeur
Joysticks + c o lle c tio n de très
les lo g ic ie ls q u e j'u t ilis e en
d if f ic u lt é : R e d H a t e t SUSE
l'A p p lic a tio n B u ilde r et M o tif
nom breuses disquettes Px :
classe. J'ai bien sûr partitionné
re p o s e n t s u r rp m et D e b ia n
1.2.5)
1 800 F. Tél. : 06 60 26 34 03.
mon disque dur dès que pos­
G N U lL in u x d is p o s e d u p r o ­
A c c e le r a t e d , q u i s u p p o r t e
sib le p o u r in s ta lle r Linux, en
gram m e alien q u i convertit les
to u te s les cartes g r a p h iq u e s
Vds
a tte n d a n t un A m ig a O S u tili­
pa cka g e s a u to m a tiq u e m e n t.
Pc. Prix : 1 90 0 F. Tél. : 01 45
A 5 0 0 / A 1 2 0 0 , vd s A l 2 00 + D D
sable sans ém ulateur. J'ai donc
E n fin , c e r ta in e s s o i- d is a n t
41 2 8 8 0 le soir a p rè s 20h.
+ M o n : 1 500 F vds A600 +
in s t a llé e t r é in s t a llé
L in u x
dépendances c o n s titu e n t des
S la c k w a re , R e dH a t, K héops
m ensonges pu rs et sim ples :
V d s le c t e u r Z IP ID E + c a r ­
Tél. : 0 6 12 3 6 43.
(c lo n e d e .. .) sa n s a r r iv e r à
C aldera p ré te n d p a r exem ple
touche + nappe + C D : 600 F.
ch o isir en tre la so u p lesse de
que S ta rO ffice p o u r Linux ne
C o n ta c te r P h ilip p e au 05 55
Slackware et le X -con figu rator
fo n c tio n n e que sous C aldera
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Tél. : 01 53 36 84 14
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Tél. : 01 53 36 84 12
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O nt collaboré à ce num éro :
A rnaud C h au d ro n, D avid Curé, Frédéric
Dubuy, David Feugey, Emile Heitor, Bernard
Medioni, David Mignon, Christophe Morvant,
Vincent Oneto, Frédéric Peschanski, Richard
Thibault, |akub Zimmermann.
Directeur artistique :
Pierre-Yves Roudy
Tél. : 01 53 36 84 28
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1" rédacteur graphiste :
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Rédacteur graphiste :
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Illustrateur :
Christophe Bardon
Réalisation du CD
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Fabrication :
Photogravure : La station graphique
Impression : Léonce Deprez
Réassort : Distrimédia (Toulouse)
Tél. : 05 61 40 74 74
Diffusion : Mlp
Dépôt légal : à parution
Commission paritaire : n°75364
Représentant légal :
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Associés principaux :
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Toute représentation ou toute reproduction
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sation du logo de Dream ne peuvent se faire
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photos, logiciels à l'éditeur im plique l'accepta­
tion par l'auteur de leur libre publication. Sauf
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Dossier : la CD-32
Reportage : l'ECTS de Londres
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• Dream n°2
Dossier : les jeux de Noël
Reportage : comparatif numériseurs
Disquette : Amos Turbo
Internet, rubriques
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• Dream n°28
Dossier : les extension du Pc au service
de l'Amiga
Labo : Tower TBD, SX32, TurboCalc
3.5, ©-NetDisquette : TurboPrint Professional
4.1, version light
• Dream n°16
• Dream n°29
Dossier : les clones Amiga arrivent
Reportage : l'Amiga s'impose à
Imagina
Disquette : Photogenics, la démo
Dossier : Viscorp rachète l'Amiga
Labo : DeltaTower, DiskSalv 4...
Disquette : MandelTour AGA, version
complète
• Dream n°3
• Dream n°17
• Dream n°30
Dossier : les imprimantes
Reportage : le Supergames show
Disquette : Cinemorph, version
complète
Dossier : la Doom-mania arrive sur
Amiga
Labo : GoldEd 2.1.1, Easy calc, Studio
professional 2 ...
Disquette : DSS 3, version complète
Dossier : toutes les clés pour éviter la
galère
Labo : Wordworth 5, World atlas,
encyclopédie Adfi...
Disquette : Blitzbank 2.1
• D ream n°4
musique assistée 1
^
par ordinateur : le I
h ^ jS S
Midi, le hardware, l ~ ir”W
Dossier : le rachat de l'Amiga
Labo : Photogenics...
Disquette : Skidmarks II, la démo
Labo : la carte 68060 Blizzard 1260T
Disquette : Gloom Deluxe, la démo
Dossier : les virus
Reportage : le Winter ces de Las Vegas
Disquette : Quickwrite, version
complète
• Dream n°5
Dossier : sex'n'Amiga
Labo : Blitz basic 2, Mediapoint...
Disquette : Skidmarks démo
• Dream n°6
Dossier : le salon Imagina 94
Labo : ADPro 2.5, Quarterback...
Disquette : Personal Paint 4, version
complète
• Dream n°18
• Dream n°31
Dossier : l'ECTS de Londres
Labo : DPaint V, Scala mm400,
Sherlock, Diavolo, Power CD...
Disquette : Brutal, la démo
Dossier : le quizz de l'été
Labo : Image FX 2.a, Artpad 2, Vid 24,
Kit internet...
Disquette : une sélection de DP
• Dream n°19
• Dream n°32
Dossier : les dessous du rachat par
Escom
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Angeles
Disquette : OctaMed pro 5.04, version
complète
Dossier : quel fournisseur Internet
choisir ?
Labo : Turbo print v 4.1...
Disquette : Poweroïds
• Dream n°20
• Dream n°33
Dossier : le multimédia et l'Amiga
Labo : la carte Cyberstorm 060
Disquette : une sélection de DP
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
ordinateurs de
'~zra ir
poche : Psion
sériés 3 et 5,
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• D ream n°7
Dossier : le piratage
Labo : Scenery animator, Vidi 24, le
PAR...
Disquette : Canon Studio, version
complète
• D ream n°8
Dossier : les simulateurs
Labo : Overdrive CD, Caligari,
Directory opus...
Disquette : Personal Font Maker,
version light
Am iga
p—r-r-;—
D R @
La référence en
matière de jeux
pour Amiga et
CD-32. Découvrez ■ t 'ijfl
les 101 meilleurs
■ • ■ >■
jeux, 101 trucs et
astuces et un
m
méga-dossier sur les
jeux de foot. Incontournable.
Retrouvez sur
T
chacun de ces
CD-Rom un
I
répertoire
Amiga
d'environ
10 M o: jeux,
| J n *t 0 (
utilitaires,
astuces, fichiers images, sons...
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Queen, la démo
• Dream n°22
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Disquette : Painter 3D, version
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(n°10 à 24)
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Pc, Mac...
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Dossier : l'avenir ludique de l'Amiga
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Disquette : Vroom Multiplayer, version
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Labo : Photogenics 1.2, Kit tower
1200, Digita organiser...
Disquette : Obsession Flipper, la démo
Dossier : la création d'un jeu
Labo : DSS 3.0, DirWork, Brilliance 2...
Disquette : Desktop Magic
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Disquette : Virus Checker 6.41
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Reportage : le World of Amiga
Disquette : Real Time Sound Processor
Il Lite
• Dream n°15
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rescousse
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Imagine 5.0...
Disquette : Alien Breed 3D 2, la démo
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Jeu : Capital punishment
Labo : iBrowse, InterOffice, MaxDOS
• Dream n°36
Dossier : pourquoi investir sur Amiga
Labo : 2 modems 33600bps,
X-DVE, SMD-100...
Disquette : une sélection de DP
• Dream n°37
Dossier : gagnez de l'argent avec
votre Amiga
Reportage : l'histoire de l'informatique
à Londres
Disquette : Magic Menu 2.15
• D ream n°24
• Dream n°38
Dossier : choisir un lecteur CD-Rom
pour Amiga
Labo : Devpac 3.5, carte Piccolo,
Action replay 1200...
Disquette : Boston bomb club, version
complète
Amigazone : Typesmith, Wordworth
Linuxzone : Lincity, Xquad, Lyx
Disquette Amiga (épuisée)
8 D ream n°25
Dossier : l'Amiga expo fait un carton
Labo : Directory opus 5.0
Disquette : Virus Checker 8.03
• Dream n°39
Amigazone : les browsers Web,
Shapeshifter...
Linuxzone : Xwindow, The gimp,
Mesa OpenGL, Xclamation...
Disquette Amiga : Gestion 2000
(démo) et FirePower
• D ream n°26
• Dream n°40
Dossier : les ordinateurs exotiques
Labo : ImagineVision, Blitz basic 2.1,
Arts et frontières...
Disquette : Zeewolf 2, la démo
Amigazone : Blobz, Cybervision 64
3D, Airmail
Linux : les distributions, Maëlstrom,
DDD, CDE...
Disquette Amiga : Amigameboy,
WebDesign, VirusZ-ll...
• D ream n°27
Dossier : le guide du programmeur
LES A N C I E N S N U M É R O S
A V E C CD A M I G A . A T A R I ,
BE, L I N U X , R I S C P C . . .
• Dream n°41 (épuisé)
• Dream n°42 (épuisé)
• Dream n°43 (épuisé)
• Dream n°44
Dossier : Persistence of Vision
Tests : StarOffice 3.1 pour Linux,
système pOS, Psion séries 5
Découverte : Warp 4.0 , le processeur
Power
Sur le CD : Pov pour Amiga, Atari,
Linux, Risc Pc...
• Dream n°45
Dossier : Latex pour tous les systèmes
Labo : Art effect 2, Applixware 4 .3 ...
Plein feu : les processeurs Alpha
Sur le CD : 50 Mo de bureautique
Os/2, 25 Mo d'utilitaires graphiques
pour RiscOs, 50 Mo de jeux pour
Falcon, 60 Mo de démos pour Amiga.
• Dream N°46
Dossier : remplacez Windows par la
Debian gnu Linux
Labo : Cyberstorm Ppc, The Gimp,
Window maker...
Découverte : que vaut BeOs pr2 ?
Sur le CD : distribution Debian gnu
Linux (pour Pc) et Dream Linux (pour
Amiga). Logiciels Gnu pour Os/2, 40
Mo de démos Falcon, 100 Mo de
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PORT B
Labo : la Redhat 5.0 est arrivée, tous
les OS de l'Atari, le Syjet sur Amiga,
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• Dream N°49
Comment Netscape veut s'emparer
d'Internet !
Puces en cuivre : Ibm pousse le
PowerPC à 1 Ghz
Mise au point : que vaudra Windows
Nt 5 ?
S.u.s.e. : la distribution Linux ultime ?
Mais aussi : Compaq se paye les
stations les plus puissantes du monde,
Gateway 2000 présente le nouvel
Amiga, réveillez la puissance
d'Altavista...
• Dream N°50
Linux, Amiga, BeOS : comment
fonctionne un système d'exploitation ?
Le nouvel Amiga est une bombe !
Apprenez à graver un CD-Rom !
Rhapsody, le croisement parfait entre
Unix et MacOS !
La compilation du noyau enfin
expliquée !
Descent arrive sur Amiga !
Wordperfect 7 et Wordworth 7, les
traitements de textes alternatifs
absolus...
première !
Test : la nouvelle interface de Linux
s'appelle Gnome !
Spécial : Windows 95, Linux, Amiga.
Tous en réseau !
Emacs : le compagnon essentiel de
Linux enfin décortiqué !
Banc d'essai : que vaut la nouvelle
carte graphique Pixel 64 ?
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démos commerciales pour Risc Pc.
• Dream N°47
Dossier : les secrets des nouveaux
processeurs.
Labo : Deux stations Alpha, Kde,
Cyberstorm Mk3, Coldfire...
Sur le CD : Kde, version complète
d'Octamed, Mint, le Fixpack 5, Linux
pour RiscPc...
• Dream N°48
Dossier : à la découverte des
ordinateurs de poche
B
• Dream N°51
Dossier : Comment choisir du matériel
alternatif ?
Connexion Internet : pourra-t-on aller
plus vite ?
Périphériques Scsi : toutes les normes
enfin expliquées !
• Dream N°52
Apple, Amiga, Acorn... Toutes les
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guide du développeur
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Le concept de Beans est une avancée
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Les Beans sont des composants
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inclus dans un programme Java
quelconque. Contrairement à la
plupart des livres sur le sujet, le but
de cet ouvrage n'est pas seulement de montrer comment
utiliser les Beans, mais bien d'apprendre à en créer. Entre
autres choses, vous apprendrez à maîtriser les adapteurs
d’événements, la sérialisation, l’introspection, les éditeurs de
propriétés, etc.
D euxièm e éd itio n
Programmation en Perl
Larry Wall, Tom Christiansen et
Randal L. Schwartz
La deuxième édition du fameux
\M à
« camel book » a permis une refonte
complète de ce livre, et une
adaptation aux toutes dernières
versions (5.xx) de Perl. L’auteur du
langage lui-même, Larry Wall, vous
invite à une descente en profondeur dans les arcanes de Perl.
Indispensable pour les administrateurs systèmes et les
concepteurs d’interfaces CGI, qui veulent offrir à leurs
utilisateurs autre chose que du « déjà vu ».
Perl
Novembre 96/706 pages/2-84177-004-4/280 F
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clients Web avec Perl
/t.^riimnn r d m t.-, , hihU
>
Programmation avec
les outils GNU
Clinton Wong
Les browsers Web sont des outils très
pratiques pour "surfer" sur l’Internet,
mais ils ont un inconvénient majeur :
ils sont interactifs. Autrement dit, la
recherche d'informations ne peut se
faire sans la présence du chercheur,
parfois soumis à de longues minutes
d'attente inutile. Cet ouvrage explique comment écrire vos
propres programmes, qui patienteront à votre place, et prendront
soin de récupérer l'information automatiquement, de l'analyser et
la filtrer pour vous.
Mike Loukides et Andy Oram
Ce livre explique en détail comment
se constituer un environnement de
développement extrêmement puissant
et complet, à l'aide des outils libres
maintenus par la “Free Software
Foundation”. Sur le CD-ROM inclus,
on trouvera les logiciels abordés dans
le livre, compilés pour de nombreuses plate-formes Unix :
l'éditeur Emacs, le compilateur gcc et les bibliothèques C et
C++, le débogueur gdb, le gestionnaire de configuration RCS,
le gestionnaire de dépendances make, et le profileur gprof.
Novembre 97/2-0 pages/2-84177-050-8/220 F
Août 97/265 pages/2-84177-010-9/220 F
GNU
T ou s ces liv res e t b ie n d ’autres so n t en v e n te c h e z v o tre lib raire h a b itu el
O ’REILLY
http://w w w .editions-oreilly.fr/