Infections nosocomiales
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Infections nosocomiales
Les infections nosocomiales Définition • Terminologie • Historique en bref • L’importance des infections nosocomiales • Les types d’infections nosocomiale • L’épidémiologie des infections nosocomiale • Prévention • Contrôle Maître de conférence Dr. Irina Brumboiu Définition • La pathologie infectieuse contractée par un sujets après l’assistance médicale accordé ou supporté en milieu hospitalier ou ambulatoire, pathologie n’étant pas en incubation ou manifeste clinique à ces moment là et aussi les infections du nouveau-né contractée pendant l’accouchement (par voie naturelle). • Infections associées aux soins 2 Infections nosocomiales (IN) Surveillance • manifestation locale ou systémique des conséquences de l'interaction entre un agent infectieux ou de ses toxines, manifestation qui q survenu au cours de l'hôpital, mais n'était pas présente ou en incubation au moment de l'admission à l'hôpital – les infections d’étiologie bactérienne se manifestent après 48 (72) heures - l'évaluation individuelle est – après 7 jours de l'installation d'un cathéter – dans les 30 jours après l’intervention chirurgicale – après 1 an d’une prothèse (articulation) 3 Ne sont pas infections nosocomiales • les infections avec transmission transplacentaire (intra-utérin): – rubéole (cataracta), toxoplasmose, syphilis, l’infection à cytomégalovirus, à VIH, infection herpétique. • les complications intra infectieuses: – la pneumonie rujeolique. varicelleuse primaire (v), l’encéphalite • la pathologie en incubation dans le moments d’admission à l’hôpital. – hépatite A, B, rougeole etc. • l’ extension pendants l’hospitalisation d’une infection présente au moments d’admission à l’hôpital. • la manifestation d’une infection latente – infections herpétiques, zona zostère, tuberculose 4 Autres appellations utilisée • infection hospitalier • infection intérieure • infection iatrogène; – la nosocomialité inclue la iatrogénie • infection nosocomiale – nosokomeion (grec): • nosos (maladie), komeo (guérir) 5 la iatrogénie: iatros(gr.) • les effets négative de l’activité de guérison • la clause étique: “primum non nocere” • est associe avec les erreurs évitable ou la négligence – sont sanctionnée par la majorité des civilisations ***Medic din Grecia antică aplicând o sângerare la un pacient. Wikipedia, the free encyclopedia, 2007, 1-4. 6 Historique • Siècle XIX: Simpson (chirurgien) – la mortalité après l’amputation est proportionnelle avec la taille de l’hôpital et l’agglomération. • Florence Nightingale – rapport sur la fréquence élevé des décès par l’infections acquise dans les hôpitaux militaire en Crimée. – à l’aide de Farr elle a démontrée la relation entre les conditions d’hygiène dans l’hôpital et les complications postopératoires; – elle propose l’enregistrement des patients qui ont développées d’infections et – elle a introduit l’hygiène dans les hôpitaux. 7 • Semmelweis - Vienne # – le taux d’incidence du fièvre puerpérale a été plus élevée chez les femme assisté par les médecins. – il a introduit le lavage des mains. • Lister – a identifié les bactéries dans les suppurations des plaies. – il a introduit les antiseptiques en chirurgie. • Brewer - SUA – la gravité des infections après les interventions chirurgicales – un faible taux d’infections post-opératoires après l’interventions “hygiéniques”. 8 • 1937: l’introduction à l’usage de la Pénicilline – le concept que les antibiotiques peut contrôler et éliminer toutes les infections. • les année 1940: le concept de la prophylaxie post-chirurgicale avec des antibiotiques – l’usage fréquents de la Pénicilline a favorisée la résistance des staphylocoques. • la fin des année 1950: – les premiers épidémies des infections nosocomiales à l’étiologie staphylococciques avec résistance à la Pénicilline – en Europe et Amérique de Nord. 9 • 1959: Angleterre – a été nommée un employé pour s’occupé avec le contrôle des infections staphylococciques acquise à l’hôpital. • 1963: en États-unis a été engagée une personne à temps pleine pour s’occupé avec le contrôle des infections hospitalière. • 1969: Joint Commissin for Accreditation of Healthcare Organizations – toutes les hôpitaux ont été obligé d’avoir une infirmière qui s’occupe avec le contrôle des infections hospitalière. • 1970: les germes gram-négatifs domine l’étiologie des IN. • 1980: germes gram-positifs, Staphylocoques dorés résistants à la méthicilline (MRSA) et des levures (Candida spp.). 10 L’importance des IN • Epidémiologique – des épidémies dans des unité médicales (Brăila) • Clinique – – – – complique la maladie principale détermine l’évolutivité de la maladie des séquelles décès • Économique – coûts pour investigations, traitements supplémentaire, durée de hospitalisation etc. 11 L’épidémiologie des IN • Le conditionnement du foyer épidémiologique: – le facteurs déterminant: l’agent pathogène spécifique. – les facteurs épidémiologiques principaux – les conditions (les facteurs) obligatoires: • la source de contamination • la transmission de l’agent infectieuse • la réceptivité collective – les facteurs épidémiologiques secondaires: • facteurs naturels, biologiques et socio–économiques. • Les manifestations populationnelle des IN • La prévention et le control des IN 12 Étiologie • Bactériennes : – Escherichia coli – Stafilococcus aureus, coagulaso-negatifs – Pseudomonas – Klebsiella – Enterobacter – Serratia – – – – – – – Moraxella Enterococ Legionella Acinetobacter Proteus Listeria Mycobacterium tuberculosis et nontuberculouses 13 Étiologie • Viral: – virus respiratoire syncitial – grippal – paragrippal – adénovirus – rotavirus – entérovirus – cytomégalovirus, varicellozonateux, herpes simplex, virus d’Epstein-Barr – virus de la rougeole – virus de la rubéole – virus ourlien – parvovirus humaine B 19 – virus d’immunodéficience humaine – virus d’hépatite B, C 14 Étiologie • Fungiques: – – – – – – Cryptococcus neoformans Histoplasma capsulatum Aspergillus Candida spp. Fusarium Pneumocystis carinii • Parasitaires: – Cryptosporidium spp. – Giardia intestinalis 15 La résistance à les antibiotiques • I. Genetique: – cromosomialle (mutation, translocations) – extracromosomialle (plasmidique, transposomique) • II. Des mécanismes biochimiques: inactivation enzymatique – béta-lactamase, ensimes inactivatrices des aminosides • Exemple: – S. aureus résistant à la méticilline – Entérocoques résistants à la Vancomycine – P. aeruginosa, Klebsiella et Enterobacter, résistants à la quinolones et céphalosporines de troisième génération. 16 La thérapie anti-infectieuse et l’étiologie des IN pendants le XXeme siècle • • • • avant de 1935 : streptocoques A après l’introduction des sulfamides (1935) et la pénicilline (1941); la streptomycine 1947, chloramphénicol, tétracycline -1951 et Érythromycine -1955. : staphylocoques et les Gram-positifs – milieu des années 1960. après 1963 - les pénicillines semisintetiques et céphalosporines: les Gram-négatifs augmonte. au début des années 1980 – l’apparition des quinolone: les Gram-positifs plus fréquents après 1985. 17 Les facteurs épidémiologiques principaux La source de contamination L’organism receptive Mod de transmission voie d’elimination la porte d’entre l’agent infectieus 18 La source de contamination • la source des IN peu être: – endogène – la flore du patient (des germes commensaux), origine: • cutané, respiratoire, intestinale etc. – exogène - germes de milieu de l’hôpital: • personnelle soignante, étudiants, un autre patient. • la source de contamination – malades, porteurs des germes. • La classification des IN: endogène et exogène. 19 Autres réservoirs possibles de contamination – l’eau: • P.aeruginosa, Serratia marcescens, Clostridium difficile, Acinetobacter baumani, Legionella spp. – l’air: • conséquence de la présence humaine • provenance cutanés ou rhino-pharyngées – – – – médicaments contaminée matériaux médicaux linge souillé déchets 20 Transmission • • • • • • • les mains du personnelle, des patients des actes invasives - 45% du IN l’air les aliments médicaments les produits biologiques les objets – mobilier, vaisselle • vecteurs mécanique – cafards 21 Les mécanismes de transmission des IN • regroupée par les mesures efficaces dans l’interruption de la transmission: – transmission par contact – par gouttelettes – aérienne 22 Transmission par contacts • la plus fréquente transmission nosocomiale • les types: – contact direct • avec la surface corporelle du patient – se passe le transfère des germes • les manœuvres de percutions ou de palpation etc. – contact indirect • l'interposition des différent objets entre la source et le réceptive • la touche des objets contamine – aigues, seringues, gants etc. 23 Transmission par gouttelettes • des gouttelettes de sécrétion des voies respiratoires supérieures • sont projette au niveaux des muqueuses conjonctivale, nasale or buccale du personne réceptive en conséquence – de la tousse, quand en parlant, etc. – l'aspiration des secrétions, la bronchoscopie • les particules – contienne des microorganisme – le diamètre dépasse 5μm – ne reste pas en suspension • la distance nécessaire entre la source et le réceptive pour que la transmission ce réalise: 80 – 100 cm. 24 La transmission aérogène • se réalise par • nucléossoles – le diamètre sous 5 μm - reste en suspension en air pour des long période de temps • les particules contenant des agents infectieuses • les particules sont – dispersée par courent d'air très facile – inhale par sujets de la même chambre ou a distance de patient qui est source de contamination 25 Réceptivité • l’altération des microbiocenoses naturelle: – traitements antibiotique, interventions locales • un déséquilibre de la flore microbienne saprophyte – la colonisation bactériologique. • des conditions pathologique (terrain débilité): – dystrophie, malformations congénitales, l’anergie post-infectieuse, hipo-gamaglobulinemie, splénectomie, traitement à corticoïdes, thérapie antinéoplasique, le diabète sucré, cirrhose hépatique, les maladie de colagen etc. • l’ âge: – nouveaux-nés, les vieux (vieillissement). 26 Les facteurs épidémiologiques secondaires: socio-économiques • les procédures invasives diagnostiques ou thérapeutiques: – les transplants d’organe, les implants. • • • • • l’usage fréquentes de la chimiothérapie anti-infectieux la long durée d’hospitalisation des hôpitaux monobloc, les circuits non fonctionnels personnel nombreux et le niveau de la formation du personnel les manques de matérielles: – désinfectants, matérielles à usage unique; • Le risque d’apparition des IN: – Réanimation • Pédiatrie • Maternité • Chirurgie • 27 Le mode de manifestation du processus épidémiologique des IN • sporadiques • endémiques • épidémiques 28 Les particularité actuelle des IN • des patients immunodéprimé: – les traitements, les transplants, les greffes – la pandémie du SIDA • des interventions chirurgicales • pour les agents anti-infectieuses – la sélection des souches résistante – S. aureus résistant à la méticilline – Entérocoques résistants à la Vancomycine – P. aeruginosa, Klebsiella et Enterobacter, résistants à la quinolones et céphalosporines. 29 Les types clinique et épidémiologique • • • • • • les infections urinaires pneumonies infections sur cathéter infections post-opératoires septicémies infections post-transfusionnelle 30 Les infections urinaires nosocomiales • plus fréquentes dans les services de : – réanimation, urologie, pour l’assistance des brûlures, neurologie. • étiologie: – Escherichia coli, Pseudomonas aeruginosa, Klebsiella, Enterobacter, Serratia, Stafilococcus aureus, S. epidermidis, entérocoques, Candida spp. 31 Les facteurs de risque pour l’infections urinaires • extérieurs: toutes les manœuvres sur les voies urinaires (sondage, examens endoscopiques) – les mécanismes de contamination: • • • • inoculation pendants le sondage - endoluminalle ascension transurètralle entre la muqueuse et la sonde la manipulation de jonction sonde sac collecteur hematogen • liés au patient: – – – – – le sexe féminin l’âge >50 ans le diabète sucré les antécédents d’intervention urologique maladies de la moelle épinière 32 • Les formes cliniques de manifestation: – urétrite aiguë – cystite aiguë – pyélonéphrite aiguë • Les complications: – bactériémie avec choc infectieux – septicémies 33 La prévention des infections urinaires nosocomiales • • • • • éviter les sondage inutiles l’asepsie une courte durée du sondage un système fermé de drenne de l’urine les règle d’entretienne de la sonde, l’hygiène locale • la hydratation du patient 34 Les pneumonies nosocomiales • 15-20% des IN: – taux de mortalité élevé (20% -60%) – la fréquence est maximale dans les services de réanimation (5-20% des patients). • Étiologie: – Psedomonas aeruginosa, Acinetobacter spp., Klebsiella, Enterobacter, Serratia, Escherichia coli, Haemophilus influenzae, Staphilococcus aureus, epidermidis, Streptococcus pneumoniae, Legionella, Candida, Aspergillus, VRS, grippal, paragrippale etc. 35 Facteurs favorisants des pneumonies nosocomiales • facteurs liés au patient: – l’âge (>70 ans), obésité, le tabac, l’alcoolisme, malnutrition, les immunodéficiences, pathologie pulmonaire chronique • • • • • ventilation assistée altération de la conscience trachéotomie chirurgie récente abdominale ou thoracique antagonistes des récepteurs H2 à l’histamine 36 La prévention des pneumonies nosocomiales • La réduction du risque infectieuse endogène – hygiène orale, nasale – l’acidité gastrique – l’aspiration des secrétions bronchiques – la mobilisation post-opératoire précoce • Le risque infectieuse exogène – mesures simple d’hygiène hospitalière – isolement, désinfection, matérielle et solutions stérile – lavage des mains, des gants stérile • Mesures generalle: – antibiothérapie rationnelle, alimentation enteralle. 37 Les infections sur le cathéter • Les facteurs de risque pour les infections sur cathéters: – – – – types de cathéters: central le site d’implantation le types de matériel l’implantation en urgence • Étiologie: – Staphylocoques (aureus, coagulasse négative); – Entérobactéries – Pseudomonas aeruginosa – Candida – Bacillus spp. – Acinetobacter etc. 38 La colonisation du cathéter biofilm • • • • exoluminalle (externe) endoluminalle (interior) hématogène par la solution perfusée 39 Les manifestation clinique • infections locale: – cellulites, – thrombophlébites • infections generalle: – septicémie, – bactériémie, – endocardite 40 La prévention des infections sur cathéter • limitation des indications du cathétérisme • l’asepsie • mesures d’hygiène du ligne veineuse: • pansements occlusive • changement du ligne veineuse à intervalle de 48-72 heures • fixation correcte du cathéter • solutions perfusion stérile • identification précoce des signes inflammatoires • hygiène locale 41 IN post-opératoires • les types d’infections: – les infections de la plaie chirurgicale – les infections profondes • médiastinite, endocardite, abcès intra-abdominal, ostéite – les infections à distance du site opératoire: • infections urinaire • infections broncho-pulmonaires • infections de cathéter etc. Sursa: CDC, MMWR - Recomendation and report, 2006. 42 Les facteurs de risque pour IN post-opératoires • Les facteurs liés au patient (endogène): – l’âge extrêmes, l’obésité, malnutrition, la pathologie sou-jacente, immunosuppresion etc. – Classification ASA (American Society of Anesthesiologistes) • Classes de contamination – types de chirurgie - classification Altemeier: – – – – chirurgie propre propre - contaminée ultérieur contaminée sale et infectée • Les facteurs liés à l’intervention et à sa préparation • Les facteurs liés à l’hospitalisation – la durée de l’hospitalisation avant l’intervention 43 Classification ASA American Society of Anesthesiologistes – ASA 1: patient en bonne santé (sauf la maladie chirurgicalle) – ASA 2: patient présentant une atteinte modérée d’une grande fonction • anémie, bronchite chronique – ASA 3: patient présentant une atteinte sévère d’une grande fonction qui n’entraîne pas d’incapacité • angine de poitrine, hypertension grave – ASA 4: patient présentant une atteinte sévère d’une grande fonction, invalidante et qui met en jeu le pronostic vital • insuffisance systémique prononcée (pulmonaire, rénale, cardiaque, hépatique) – ASA 5: patient moribond. 44 Critères de classification des incision chirurgicales selon le risque de contamination • Classe I - chirurgie propre – risque infectieuses <5% - incisions primitivement fermées, sans inflammation. • Classe II- chirurgie propre contaminée: – risque infectieuses 10-20% - ouverture des organes de l’appareil génito[urinaire, voie respiratoire, tube digestive, l’oropharynx, voie biliaires, rupture minimes d’asepsie. • Classe III – chirurgie contaminée: – risque infectieuses 20-35% - ouverture du tractus biliaire ou génitourinaire etc.; rupture majeure d’asepsie. • Classe IV - chirurgie sale et infectée: – risque infectieuses 20-50% - plaies traumatiques souillées, présence d’inflammation avec pus, contamination fécale, viscères perforés. 45 Score NNISS - National Nosocomial Infections Survey System • Critères: – Classification ASA: 3, 4, 5 – 1 point. – Classe Altemeier: III ou IV – 1 point. – Durée d’intervention: • 0 – durée inférieure ou égale à T heures (valeur seuil) • 1 - durée supérieure à T heures. • L’index de risque NNIS est la somme des cotation de ces trois facteurs de risque. 46 Le risque infectieuses après NNISS Score NNISS Riscul infecţios (en points) (%) 0 1,5 1 2,6 2 6,8 3 13 47 La prévention des IN post-opératoire • la réduction de la durée d'hospitalisation avant l'intervention chirurgicale • le traitement des infections pré-existente • la préparation cutanée du zone opératoire • le lavage chirurgicaux des mains • l’équipement de protection • l’hygiène du bloc opératoire • la durée d’intervention opératoire • l’asepsie post-opératoire 48 Les bactériémies et septicémies nosocomiales • Catégories: – primaire – secondaire • L’étiologie: – E. coli; Klebsiella pneumoniae; Stafilococcus aureus; Enterocoques; Candida spp.; Pseudomonas aeruginosa; Enterobacter; Serratia • Les ports d’entre: – le dispositif intra vasculaire, – cutané, digestive, pulmonaire, urinaire, – la plaie opératoire 49 IN post-transfusionnelle • Étiologie – Virus de l’hépatite B, D, C, A, TTV – Rétro virus: HIV, HTLV – Virus herpétique: • CMV, Epstein-Barr, Parvovirus B 19 – Bactériennes: • Pseudomonas, E. coli, Staphylococcus epidermidis – Spirochètes: • Treponema pallidum, Borrelia burgdorferi – Protozoaires: • Plasmodium malariae, Toxoplasma gondii, Babesia 50 IN aux travailleurs en soins de santé • les accidents avec expositions aux produits biologique favorise la transmission du VHB, VHC or HIV – le sang, les secrétions génitale, les fluide corporel – l’exposition se réalise par: • accidents transcutané • le contact des muqueuses or de la peau qui présente des lésions • le contact éloigne de la peau intacte • l’exposition d’une grande surface de la peau 51 La prévention des IN • La surveillance épidémiologique: – – – – taux d’incidence la détection des épidémies surveillance de la circulation des souches bactérienne La surveillance de la consommation d’antibiotiques et la résistance • Hygiène de l’environnement hospitalier: – les circuits, hygiène de l’alimentation, de l’air, d’eau etc. • Les précautions standard • Les précautions additionnelles 52 53 54 55 56 Le contrôle des IN • • • • le diagnostique du cas avec l’IN l’isolement dans l’unité médicale la déclaration nominale du cas l’enquête epidemiologique & 57