Socks N°75 - Gai-Eros
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Socks N°75 - Gai-Eros
N° 75 Automne 2007 1 SOCKS Sommaire Humour > Humour Le pied dit tout ! page 2 Le pied dit tout ! > Nouvelle Patron à humilier pages 3 à 11 > Histoire en images Comme chez eux pages 5 et 6 > Insolite - Rekins en salade page 9 > Innovation - Chaussettes Forclaz 500 - Tennis Artengo Si pour certains, le corps est reproduit dans le lobe page 11 de l’oreille, pour d’autres le pied résume notre être tout entier, dans son mal-être comme dans son bienêtre. page 12 Le pied dit tout sur nos souffrances passées, sur nos vices cachés, sur nos fantasmes inassouvis, sur nos maladies en gestation, sur nos blocages, sur nos forces et nos faiblesses. Et des massages appropriés de la plante et des orteils sont souverains contre le stress. > Phénomène Fumant ! > Tendance Les codes vestimentaires Belle revanche des pieds sur la tête ! page 13 Cette partie méprisée de notre anatomie, tout juste bonne à botter cet autre pestiféré qu’est le derrière, détriendrait donc un pouvoir que le cerveau ignorait ? R.C. > Shopping CK socks’collection page 14 2 SOCKS La grande nouvelle PATRON À HUMILIER Un patron, deux jeunes employés : ces derniers vont s’ingénier à mettre au point un processus d’humiliation de plus en plus pervers et retors. J ’ai 25 ans, j’étais directeur d’un petit établissement de restauration rapide avec cinq employés. C’est comme une petite famille, on se connaît tous plutôt bien car on travaille très souvent ensemble. J’avais embauché à l’époque deux jeunes mecs qui se connaissaient et qui avaient postulé ensemble. Je trouvais le duo assez sympa et je pensais, vu leur physique, que la clientèle apprécierait. Comme je vous l’ai dit, nous étions proches et nous parlions librement et c’est comme cela que je me suis trahi et que les choses ont commencé (Suite page 4) 3 SOCKS (Suite de la page 3) à mal tourner. Lors d’une discussion plus ou moins philosophique pendant notre pause déjeuner, nous avons abordé le sujet de la soumission et de la domination... J’étais alors à table avec Jonathan et Rafi, les deux compères âgés respectivement de 18 et 19 ans. J’ai commencé à parler : — Vous savez qu'en général, les mecs qui ont dans leur boulot des responsabilités de manager sont souvent des mecs qui fantasment sur la soumission. Ouais, le fait de donner des ordres et d’être supérieur dans la hiérarchie fait qu’ils ont le besoin d’être soumis au lit. — Non, vous déconnez chef ! — Bah non, c’est ce qui se dit. — Ah ouais ? Et vous alors chef, vous kiffez de vous faire dominer ? C’est à ce moment-là que je me suis trahi mais je ne pensais pas que cela nous entraînerait si loin dans le jeu. Je me suis mis à rougir et à ne plus trouver mes mots. Je me suis embarqué dans une explication de l’un de mes fantasmes : le bizutage. Et me voilà en train de leur dire qu’il m’est arrivé de fantasmer sur des scénarios de bizutage, moi face à de plus jeunes personnes, moi en train de leur obéir. Tout cela me tournait la tête rien que d’en parler et il m’était difficile de m’arrêter de parler et la bosse qui se formait dans mon pantalon ne laissait plus aucun doute. La pause se termina ainsi, sans que j’eus l’impression de m’être fait griller pour mon érection non contrôlée. Nous sommes repartis bosser et le service s’est déroulé sans qu’aucun d’entre nous n’en reparle. Je me sentais soulagé mais aussi un peu frustré que l’un et l’autre n’ait pas relevé le défi... M ais je me trompais lourdement ! Le lendemain matin à l’ouverture, j’ai compris que j’avais merdé. Alors que je leur ouvre la porte pour leur permettre de rentrer se changer, Jonathan m’interpelle : — Salut bizut, comment ça va ce matin ? T’as bien dormi ? Parce que nous on n'a pas trop dormi et on a causé avec Rafi toute la nuit pour savoir ce qu’on allait bien pouvoir faire de toi... — Ouais, en fait on s’est dis que comme tu es notre parton, on se devait de te faire plaisir et on a décidé qu’à partir de maintenant, c’est plus toi le chef mais c’est nous ! Toi tu es le vilain petit bizut. Rassure-toi, ton resto, on va continuer à le faire tourner mais il va falloir être très gentil et très obéissant si tu veux pas que “Eh bizut, ramène-toi ! J’ai renversé mon café, y’en a partout. Alors amène ta serpillière et viens me nettoyer tout ça.” ton resto devienne zone sinistrée, ok ? — Quoi ! Mais ça va pas les mecs ? Vous avez pété un câble pendant la nuit ? Vous êtes encore bourré ou quoi ? Même pas en rêve ! Le patron ici, c’est moi et si je veux je peux... — Quoi ? Nous virer ? Et non, car la période d’essai est terminée et si tu nous vires pour une mauvaise raison, ton boulot tu le perds. Alors je pense, enfin nous pensons, que tu n’as pas le choix et que tu vas être très serviable et très gentil avec tes nouveaux chefs. Pour commencer tu démarres la mise en place et tu nous amènes un café. À ce moment, il me restait encore une petite chance de renverser la tendance mais je n’ai pas su la saisir. Je ne trouvais plus de mots pour rattraper le coup, alors je suis allé droit vers la machine à café et j’ai fait deux expressos que je leur ai apportés. Fini d’être le patron, j’allais devoir obéir et j’avoue maintenant que la situation m’excitait très fortement. — Bien bizut ! Je vois que tu as compris où était ta place et où était ton intérêt. Allez, va bosser, nous on te regarde. Trop cool mec ! Je pensais pas que ça allait fonctionner ton plan, dit Jonathan en regardant Rafi. — Et oui mon gars, c’est une vraie lopette ! On va se marrer et on va pas le lâcher. — T’as pas une petite idée pour l’humilier un peu ? — Des idées, je n’en manque pas, crois-moi ! Et on n'a pas fini de se foutre de sa gueule et de l’humilier un maximum... Tiens regarde ... Premier test : la tasse de café renversée sur le sol. — Eh bizut, ramène-toi ! J’ai renversé mon café, y’en a partout. Alors amène ta serpillière et viens me nettoyer tout ça. — Oui Jonathan, j’arrive. — Eh bizut, moi c’est pas Jonathan, c’est Maître Jonathan. Pour ça tu mériterais que je te botte le cul ! Alors magne-toi avant que je m’énerve. (Suite page 5) 4 SOCKS (Suite de la page 4) — Oui Maître Jonathan, de suite. Je suis arrivé ma serpillière à la main et le balai dans l’autre. — Pas besoin de balai, tu te fous à quatre pattes et tu essuies ça avec la serpillière et ta main. Et bouge ton cul sinon je te le fais lécher, ce putain de sol ! tranquillement reposé sa tasse sur la soucoupe et m’a ordonné d’aller lui chercher un autre café, ce que j’ai fait comme un bon bizut obéissant. Puis, je suis retourné à mon travail. Je suis en train de faire leur boulot, moi le directeur et pendant ce temps, je les entends se foutre de ma gueule. Ils rigolent, ils complotent, je n’entends pas assez mais j’avoue que je commence à me demander si tout cela est bien réel. — Alors bizut, t’en es où ? T’as fini la mise en place ? — Oui Maître. — Oui Maître Rafi. Alors comme il me l’avait demandé, je me suis mis à quatre pattes et j’ai essuyé le sol avec ma serpillière. Une fois tout le café absorbé, il m'a tendu sa tasse et m’a ordonné de l’essorer dans la tasse. Tout le café est donc retourné à l’endroit où il se trouvait avant. Il a — Non bizut, moi c’est pas maître, c’est chef, compris ? Ramène ta tronche de bizut ici que je te passe l’envie de m’appeler Maître au lieu de chef ! (Suite page 6) Histoire en images Comme chez eux Mat et Eddy se la pètent grave... Ils se ramènent trankil chez oim pour foutre le souk, no bleme ! Toujours bien sapés of course : Nike, Costla et TN collector !!! Ce soir-là, ils ont commencé à se chauffer tous les deux... Les deux potos avaient envie de se crader, koi ! Ils se sont pourris leurs survêts à la bouffe pendant que je leur décrassais leurs rekins... Ils m'ont laissé m'amuser aussi, c’était trop cho... (à suivre page 6) 5 SOCKS (Suite de la page 5) — Mais Chef, je pensais... — Un bizut ça pense pas, ça obéit ! Dépêche, tu commences à me gonfler à la ramener tout le temps. Viens là et tends la joue. En moins de temps qu’il ne le faut pour l’écrire, je me prends une gifle magistrale et pour avoir répondu, je me prends la même sur l’autre joue. — Bien Rafi ! Je vois que tu commences à prendre goût à ce petit jeu. Allez bizut, pour te récompenser de ton travail, on t’autorise à venir boire un café avec nous. — Merci Maître Jonathan, je vais m’en faire couler un. — Non, non, on va pas gâcher. Viens là, il y en a un ici pour toi. Allez, prends la tasse et boismoi ça. C’est juste comme il faut pour un bizut, un bon jus de serpillière. Allez ! À la tienne ! Et interdiction de le boire cul sec, il faut le déguster, ok ? — Oui maître. J ’étais complètement à leur merci et ils l’avaient bien compris. Je n’opposais plus aucune résistance, j’étais totalement dépassé par les événements. Je pense que je me suis dit que demain serait un autre jour et que cela ne les amuserait que ce matin-là et que les jours suivant seraient comme tous les jours précédents. Alors résigné, j’ai pris la tasse et j’ai bu gorgées après gorgées cette horrible mixture. J’ai bien failli vomir à plusieurs reprises mais la peur au ventre, je me suis retenu pour ne pas risquer des représailles plus terribles que celles que j’endurais déjà. — Bien bizut ! Allez, bois ton bon café ! Putain de merde, c’est dégueulasse, regardemoi ça, ce con qui nous obéit. J’ai trop la honte pour lui. — Sérieux Jo, regarde son pantalon... Putain il bande... Non sérieux ! Je te jure, regarde. J’avais la gaule en effet. De les entendre m’humilier de la sorte m’avait fait monter la queue comme un fou. — T’as raison mais je pense qu’il va falloir rapidement lui passer l’envie de se présenter devant nous avec la queue en l’air. Qu’est-ce que t’en penses ? — Je pense mon cher Jo que c’est en effet un manque de respect vis à vis de ses bizuteurs et il me semble que cela mérite bien une punition... — Allez bizut, nous allons réfléchir à cela, maintenant va ouvrir le resto, car rassure-toi, comme nous te l’avons promis, si tu es bien obéissant, personne ne saura rien de tout cela. Tes clients ne verront pas la différence. Mais fais très attention, il faudrait pas grand chose pour qu’on te mette le bordel ici ! Nous allons réfléchir à ta punition. Le reste de la journée s’est déroulé sans problème. Nous avons fait le service et rien ne changeait de d’habitude. J’étais soulagé. Le moment de la fermeture approchait et je me (Suite page 7) (suite de la page 5) ...mais je perdais rien pour attendre... Ils se sont bien défoulés sur oim après... Ils m'ont fait sépi sur toutes mes TN, m'ont pourravé mon survêt Costla total neuf et ont repeint les murs et le plafond de ma cuisine à la purée !!! Mort, le plafond, à refaire !!! 2 contre 1, je pouvais rien ! mais j’ai pas la haine, ils me connaissent... Putain, ils sont trop och ! Kif de ouf !!! 6 SOCKS (Suite de la page 6) doutais bien qu’une fois le rideau baissé, j’allais à nouveau redevenir le bizut de Maître Jonathan et de Chef Rafi. C omme prévu sur mes plannings, nous nous sommes donc retrouvés tous les trois pour la fermeture. Comme vous pouvez l’imaginer, il reste beaucoup de travail à faire lorsque le resto est fermé : passer le balai, la serpillière, faire la plonge, ranger l’ensemble des produits. J’avais à peine fini de descendre le rideau que la voix de Maître Jonathan retentit haut et fort : — Alors bizut, content de ta journée ? Comme tu as pu le remarquer, nous avons tenu notre promesse, alors maintenant c’est à toi de jouer. Pour commencer, il va falloir te trouver une tenue pour que tu fasses le ménage, ce serait dommage que tu salisses ton joli costume. — Ouais bizut, viens là, approche ! Tout d’abord nous allons te faire de beaux cheveux avec cette belle serpillière. Ensuite, tu vas te mettre à poil. Allez bizut, exécution ! Maintenant cher bizut, tu prends une de tes chaussettes et tu te la passes sur la queue. Puis tu prends la deuxième chaussette que tu te coinces entre les fesses. — (Mort de rire) J’y crois pas ! Bouge pas bizut, il faut que je prenne ce truc en photo. Si je raconte ça à des potes, ils vont jamais me croire. L es rires que j’entendais étaient d’une sincérité à vous mettre la honte pour le restant de vos jours. Non, ils ne se forçaient pas à se moquer de moi, j’étais vraiment totalement ridicule face à eux avec un sexe qui me trahissait au moment même où j’aurais eu besoin de son aide pour retrouver un peu de dignité. Et je dois vous avouer que d’avoir en plus cette serpillière sur la tête en guise de cheveux n’arrangeait rien au ridicule de la situation. — Maintenant cher bizut, tu prends une de tes chaussettes et tu te la passes sur la queue. Ensuite, tu la maintiens avec ta cravate que tu noues autour de ta zézette et de tes noisettes. Au moins ça cachera la misère. Puis tu prends la deuxième chaussette que tu te coinces entre les fesses et elle a pas intérêt à tomber sinon je te promets que tu vas te retrouver comme ça au milieu de la rue. — Oui Chef Rafi. — Ok très bien, là t’es au top, une vraie p’tite femme de ménage ! Va chercher ton balai et commence à nettoyer ce putain de resto. J’ai couru chercher le balai et je vous jure que j’ai serré les fesses pour maintenir à sa place ma chaussette qui pendait entre mes fesses. J’ai commencé le ménage, passé le balai dans la salle puis dans la cuisine. J’étais très concentré, la peur au ventre de me retrouver ainsi dans la rue si je les décevais. — Bizut, amène-nous une bière. J’ai donc commencé à retirer ma cravate, ma chemise, mes chaussures, mon pantalon, puis mes chaussettes et pour finir, avec beaucoup d’hésitation, j’ai laissé descendre mon slip ; j’étais alors devant eux totalement nu. Ma queue, si on peut encore appeler cela comme ça, avait comme qui dirait rétréci au lavage, ou c’est plutôt la honte d’être face à eux qui la faisait disparaître au milieu de mes poils pubiens qui, je l’avoue, étaient sans doute trop fournis à ce moment précis. — Non sérieux bizut, t’as que ça à nous proposer ? Putain, j’y crois pas, ça joue les hommes avec le pantalon mais quand on regarde de plus près, je me demande vraiment si l’expression avoir des couilles ne serait pas plutôt manquer de queue. — Oui Maître Jonathan, à vos ordres. J’ai fait au plus vite et dans ma précipitation, j’ai desserré les fesses. La chaussette est tombée, là, sous leurs yeux, pendant que je leur tendais la bière. — Ah non, là, bizut, t’assures pas. On ne te demandait pourtant pas grand’chose et une fois de plus, tu nous déçois. On va devoir encore te punir. — S’il vous plaît, non, je vous en supplie. Ne me faites pas sortir ainsi dans la rue. Je ferai ce que vous me demanderez. S’il vous plaît ! La peur et la honte au ventre, je m’étais mis à genoux et me voilà, moi le directeur, en train de (Suite page 8) 7 SOCKS (Suite de la page 7) supplier mes employés de ne pas m’humilier davantage. — Ok bizut, très bien, re-coince toi la chaussette dans la raie et retourne au ménage. Nous verrons pour ta punition plus tard... — Merci Maître Jonathan ! — Alors Jo, t’as l’intention de lui faire quoi comme punition cette fois-ci ? — Bouge pas, donne-moi deux secondes que je finisse ma bière et je te prépare mon idée ! — Vas-y, dis-moi ! T’as quoi de prévu ? — Ma cannette une fois vide, je vais la remplir tranquillement et je la lui donnerai à boire pour le féliciter d’avoir si bien fait notre fermeture, qu’en penses-tu ? — Attends, tu vas la remplir avec quoi ? L’eau des chiottes ? — Mais non ! Sérieux, tu manques vraiment d’imagination ! À ce moment-là, Jonathan a baissé sa braguette, a pris la cannette discrètement sous la table et a commencé à pisser dedans. Moi de mon côté je finissais de nettoyer et j’étais sur le point de leur dire que j’avais fini ; je n’avais rien vu. — Mon bon Rafi, voilà mon idée pour le féliciter ! À toi de trouver l’idée pour le punir. Fais marcher ton imagination s’il te plaît. — Ok, attends je réfléchis. Un bizut, que va-ton bien pouvoir lui faire faire... C’est bon ! J’ai l’idée du siècle. Crois-moi, on n'a pas fini de se fendre la gueule. — Allez bizut, t’as fini ton taff de femme de ménage, ramène tes fesses ici ; on a quelque chose pour toi. Tiens bizut, y’a pas de raison qu’on soit les seuls à boire un coup. On va trinquer à notre nouvelle collaboration. Tiens, voilà ta canette... — Merci Maître Jonathan. Ça donne soif tout ce ménage. Je ne pensais pas que c’était autant de travail. Je suis désolé si j’ai été dur avec vous certains soirs. — Putain, ferme ta gueule ! Tu joues à quoi, là ? Tu essaies de nous faire changer d’avis sur toi ? Mais mon bon bizut, tu n’es qu’une merde et bientôt tu seras une merde qui boit de la pisse. Alors ferme-là et bois ta bière avec nous. A moi de te dire ce que tu mérites pour avoir fait tomber ta chaussette. Tu vas gentiment remettre ton slip et nous allons le garnir avant de te laisser partir. — Oui Maître Jonathan. Il m’avait donné un indice et je n’ai pas su le saisir. Il m’avait fait comprendre ce qui se trouvait dans la canette et je n’ai pas compris. J’ai pris les premières gorgées à pleine bouche car ma soif était intense mais toujours sans réaliser ce que je buvais. Ensuite, j’ai senti le goût sur ma langue, ce goût salé et amer de la pisse. Et puis je dois dire que de voir leur regard écœuré et moqueur m’a fait de suite réaliser ce qui se passait. — Allez bizut, on avale tout ! On fait pas le difficile. Je me suis donné beaucoup de mal pour te faire une bonne boisson de bizut, alors ne fais pas offense à ton Maître et montre-lui comme tu es reconnaissant pour ce qu’il a fait pour toi. — Oui Maître, merci Maître. J’avais le cœur au bord des lèvres mais j’ai bu, tout, gorgée après gorgée. Puis avec une paille, ce qui les a vraiment beaucoup amusé. J’étais rouge de honte et toujours dans ma tenue de femme de ménage, ridicule comme jamais. — Il est super ce bizut. Maintenant à moi de te dire ce que tu mérites pour avoir fait tomber ta chaussette. Le bizutage c’est avant tout un jeu où l’on adore asperger le bizut de toute sorte de sauces. Là maintenant, tu vas gentiment remettre ton slip et nous allons le garnir avant de te laisser partir. — Mais Chef Rafi, je suis en transport en commun et dans le métro, je risque de me faire repérer ? — Ça mon gars, c’est franchement pas mon problème. Allez, action ! — Là mon cher Rafi, j’adore cette idée, je vais chercher la mayo, tu t’occupes du ketchup et la moutarde, n’oublions pas la moutarde... (Suite page 9) 8 SOCKS (Suite de la page 8) — Ok bizut, approche-toi de moi... Ouvre ton slip par le devant, bien comme ça, et donc je te baptise au nom de la mayo et du ketchup comme bizut de dernière catégorie. Insolite REKINS EN SALADE Temps de préparation : entre midi et deux, à l’heure du déjeuner Temps de cuisson : aucun, ça va chauffer direct ! Ingrédients : 1 paire de rekins - 1 barquette de carottes râpées - 1 barquette de céleri rémoulade - 1 concombre - sauce crudités Préparation : Dès que les bureaux se sont vidés, aller retrouver le seul keumé de votre boite qui porte des rekins. Lui proposer de partager votre repas préparé. Tout en le chauffant avec vos histoires de skets, le serrer discrètement puis laisser négligemment tomber la barquette de carottes râpées sur l’une de ses TN. Vous baisser et, la tête au niveau de son entrejambes, étaler les carottes sur le dessus de la rekin. En badigeonner le tissu jusqu’à ce qu’il devienne d’une belle couleur orange. Et là j’ai senti les sauces couler dans mon slip, inondant mon sexe, mes poils et mes couilles. C’était super crade mais leur fou rire en disait long sur le plaisir qu’ils prenaient à m’humilier. — Maintenant bizut, comme tu nous a prouvé que tu n’avais pas de queue mais plutôt une saucisse cocktail, nous avons eu envie de te montrer ce qu’était une saucisse de taille normale. Tu vois cette jolie saucisse à hot dog, et bien nous allons la préparer à la moutarde. Comme tu le vois, j’applique bien de la moutarde sur une des extrémités mais aussi tout le long afin que le client ne soit pas déçu de ne pas avoir de la sauce partout. Maintenant le problème, c’est qu’il va falloir la réchauffer et rien de mieux qu’une étuve à 37°C. Retourne-toi bizut et baisse ton slip. J ’avais cette fois-ci bien compris ce qu’il avait prévu pour finir en beauté cette soirée. J’étais tétanisé par la tournure que prenaient les événements mais j’ai obéi, je n’ai pas osé contester. Une fois de plus, j’ai cédé et je signifiais ainsi que je serais définitivement à leur merci et à leurs ordres. J’ai alors baissé mon slip et comme Maître Jonathan me l’a ordonné, j’ai écarté mes fesses, exposant à leurs yeux mon petit trou encore vierge de toute intrusion et je sentais que la douleur ne serait pas forcément celle de la pénétration mais plutôt la brûlure qu’allait occasionner la moutarde. Puis recommencer l’opération avec le céleri rémoulade en prenant soin, cette fois-ci, de frotter l’intérieur de la TN. Selon l’envie, imbiber aussi les chaussettes avec le jus des crudités. Prendre enfin le concombre préalablement coupé en fines lamelles et décorer la rekin avec. Manger comme cela, c’est prêt ! Ajouter au besoin de la sauce. — Allez mon bizut, on se décontracte et ça va aller tout seul. Bien, comme ça, tu vois ma lopette, ça rentre tout seul. Attention, la jolie saucisse va bientôt disparaître : un, deux, trois... Elle est plus là. J’ai senti la saucisse entrer et mon anus se refermer dessus. Il m’a (Suite page 10) 9 SOCKS (Suite de la page 9) claqué les fesses et sans rien dire d’autre, m’a ordonné de me rhabiller en vitesse car il était temps pour eux de repartir. Mais voilà les consignes : — Tout d’abord, mon cher bizut, tu as interdiction de te séparer de cette saucisse. Demain lorsque tu nous verras arriver, tu nous montreras qu’elle est toujours à sa place et nous verrons à ce moment précis ce que nous en ferons. Est-ce bien compris ? — Oui Maître Jonathan, oui chef Rafi. — Bien allez, tchao ! À demain. Je les ai regardé partir et surtout entendu partir avec leur rire et leurs moqueries. Moi, j’étais là comme un con, le slip trempé par la mayo et le ketchup avec une saucisse enduite de moutarde qui me brûlait le cul. J’ai donc pris les transports comme cela, avec l’espoir que le mélange de sauce ne finirait pas par traverser le pantalon, peur de me retrouver avec une énorme auréole de gras au niveau de mon entrejambe. Mais quoiqu’il arrive, il m’était quasiment impossible de marcher normalement et les personnes autour de moi le remarquaient à chacun de mes mouvements. La honte me tiraillait le ventre mais ma queue, elle, ne cessait de vouloir se réveiller. Je sentais l’érection toujours à la limite de se produire. La honte mêlée à l’excitation de ce petit jeu entre amis commençait à se faire sentir. Le point de non-retour... A rrivé en bas de chez moi je me sentais soulagé car a priori, je n’avais pas trop attiré l’attention des personnes dans le métro. Ma surprise fut grande lorsque j’arrivais devant ma porte, de trouver Maître Jonathan et Chef Rafi devant chez moi : — Alors bizut, ce trajet en métro, c’était comment ? Le goût et l’odeur de la chaussette m'ont tout de suite assailli et il m’a fallu beaucoup de concentration pour ne pas la recracher aussitôt. — On s’est dit qu’on pouvait pas te laisser comme ça toute la nuit alors gentiment, on est venu pour passer la soirée avec toi. Alors là tu vois, tu vas redescendre et allez nous acheter de la bière et des pizzas. Achète aussi du pain car pour toi ce soir c’est hot-dog party. — Bien Chef, à vos ordres. C’est la seule chose que j’ai trouvée à répondre. Je ne comprenais pas comment on avait pu en arriver là, tout ceci prenait des proportions que je ne maîtrisais plus. Je leur ai donc ouvert la porte, je les ai laissés entrer chez moi sans que moi-même je me trouve avec eux et je suis redescendu pour faire les courses. Une fois arrivé sur le palier de ma porte d’immeuble, j’ai eu la désagréable surprise de trouver sur mon paillasson un ensemble d’objets accompagné d’un mot. J’attrapais le mot avant de sonner pour renter chez moi : Bizut, Voici les consignes avant de pouvoir rentrer chez toi. Tu vas te foutre à poil. Ton slip plein de sauce, tu vas te le foutre sur la tête. Ensuite tu enfiles ce joli tablier que nous avons acheté exprès pour toi avec ses faux seins. Bien sûr, il est inscrit sur ce tablier «la bonne est bonne». Nous verrons par nousmêmes si tu ne fais pas honte à ce tablier. Tu prends ensuite ta chaussette gauche que tu te fourres dans la bouche. Pour finir, tu prends ce rouleau de scotch marron que nous avons trouvé chez toi et tu te colles la totalité du rouleau sur ton petit zizi et tes petites noisettes. Plus rien ne doit apparaître. Quand tu seras prêt, tu sonnes et nous viendrons t’ouvrir. Un conseil : ne perd pas de temps à faire tout cela si tu ne veux pas que quelqu’un te voit dans cet état. Plus vite tu obéiras, plus vite tu seras chez toi. J’ai donc obéi. J’ai commencé par la chaussette, le goût et l’odeur m'ont tout de suite assailli et il m’a fallu beaucoup de concentration pour ne pas la recracher aussitôt. J’ai ensuite retiré ma chemise et enfilé le tablier, je me disais qu’ainsi je serais le moins longtemps possible nu. Et le moment fatidique est arrivé, j’ai baissé mon pantalon, puis retiré mon slip qui collait bien à mon corps ; à croire qu’il ne faisait plus qu’un. C’était dégueu, je le tenais par le bout des doigts pour ne pas me mettre de la sauce plein les mains. J’ai ensuite attrapé le rouleau de gros scotch marron, il en restait en sacrée quantité et j’ai commencé à faire le tour de ma queue et de mes couilles. Je n’ai pas pu m’empêcher de penser que ce serait l’horreur lorsque arriverait le moment tant redouté de le retirer. J’allais devoir couper ou arracher mes poils et la douleur serait autant psychologique que physique. I ls étaient derrière la porte et chacun leur tour, ils regardaient par le judas. J’entendais très nettement leur rires et heureusement pour moi, personne n’a pris l’escalier au même moment : comment aurais-je pu expliquer une telle situation à mes voisins ? J’avais enfin fini de me préparer. Alors je sonnai à la porte en espérant qu’ils me laisseraient entrer aussitôt. La porte s’ouvrit et dans un éclat de rire, ils me tirèrent à l’intérieur. Ils étaient là, plantés devant moi, me fixant tout en se foutant de ma gueule. Jonathan était un garçon plutôt maigre, pas de muscles, très fin, 1 m 80, 65 kg, le crâne rasé, un p’tit céfran à l’allure de racaille. Il portait ce soir-là un tee-shirt et un jogging, et bien sûr l’accessoire (Suite page 11) 10 SOCKS Innovation (Suite de la page 10) indispensable : les baskets de marque. Rafi lui, était marocain, un p’tit rebeu comme on dit, musclé, très bien foutu, un regard sombre et loin d’avoir un visage d’ange. Lui par contre ne s’était pas changé, il portait le même pantalon et la même chemise. Il n’avait pas non plus changé de chaussures et donc bien évidemment il avait gardé les mêmes chaussettes. Ils me poussèrent à l’intérieur de l’appart, les rires résonnaient dans ma tête, j’étais terriblement ridicule dans cette tenue, la honte se lisait sur mon visage. Ils allèrent se poser sur le canapé. — Allez bizut, montre-nous comme tu as bien obéi à nos conditions pour te laisser entrer chez toi. Tourne sur toi-même, montre-nous ça. — Regarde-moi ça Rafi, la sauce lui coule sur la gueule, c’est trop crade, un truc de ouf ! — Et moi je trouve que le tablier lui va à ravir, et à ton avis, la chaussette, tu penses qu’elle a bon goût ? — Crois-moi, après une journée de boulot, je suis convaincu qu’elle doit être à son goût même si je suis sûr qu’il préférait le goût des tiennes. — Attends, on verra ça pour plus tard... — Yes, ne lui donnons pas tout de suite satisfaction, il faudra qu’il les mérite tes chaussettes odorantes. — Maintenant bizut, fais face à nous et soulève ton tablier, que l’on voit si tu as eu suffisamment de scotch pour entourer ton petit bout. aurait fait mourir de rire n’importe qui. Et ce fut le cas. Pendant au moins cinq minutes, ils se sont tapés des barres de rire et je ne pouvais que constater le ridicule de la situation dans laquelle je m’étais engagé. — Trop fort ! Putain, ça va faire mal quand on va t’arracher tout ça, trop fort, j’en peux plus, il va me tuer ce mec, il est trop con, une vraie lopette, une vraie merde. Vasy, bouge la tête pour confirmer que t’es qu’une merde. — C’est bien bizut... Tu es très obéissant. Allez, pars en sautillant pour nous chercher une bière. — Allez, mon bizut, fais la sauterelle, allez on sautille, en plus c’est trop cool pour toi car ça te fera pas mal aux couilles vu comme elles sont collées. Yes, trop fort, j’adore. Alors me voilà en train de sauter pour avancer jusqu'à ma cuisine. J’attrape les deux bières et je reviens tranquillement dans le salon. J’ouvre les bières devant eux et je leur donne à chacun la sienne. — Bien bizut, t’es une bonniche très obéissante. Maintenant tu vas retirer ta chaussette, tu vas te mettre à quatre pattes et tu vas nous décrasser les chaussures. Tu vas tendre ta langue de bonniche et tu vas nous nettoyer les pompes. Tu commenceras par les contours, puis le dessus et quand ce sera nickel, tu finiras par les semelles. Comme ça, tu resteras pas sans rien faire pendant qu’on prend l’apéro. J 11 Le centre de recherche et développement de Décathlon a mené une étude pour amélorier le confort thermique du pied pendant la marche : il faut savoir que 60 % du confort global du corps dépend de la gestion de l’humidité à la surface de la peau et que 80 % du confort thermique du pied dépend de la chaussette. C’est pourquoi de la grande bouclette peu dense est préconisée sur le cou de pied, zone de forte sudation. > Artengo : spécial tennis Voilà, et ce n’est que le début de la soirée. Je n’étais pas au bout de mes peines. Mes Maîtres ne manquaient pas d’imagination... Tom Pouss (GE) ’étais planté là à les écouter parler de moi sans rien pouvoir faire, j’ai donc obéi, je me suis mis face à eux, j’ai soulevé mon tablier et croyez-moi, la vision de mon sexe et de mes couilles scotchés de cette façon > Chaussettes Forclaz 500 Conçues pour type de surfaces, la Artengo 671C dispose d’une semelle en caoutchouc spécialement résistante à l’abrasion. Ajoutez à cela un renfort à l’avant du pied et vous obtenez une chausssure qui vous permettra des moments de jeux intenses ! SOCKS Phenomene Des sites Internet à succès, des soirées de plus en plus nombreuses à Paris (Full Métal, QG…), la mode des sneakers (pour amateurs de skets et autres cho7) est en plein essor. Un label allemand, Luxure Film Produktion, a été le premier en Europe à sentir le vent venir. Ouvrez les yeux… et le nez ! Baskets Nike (catégories Air Max ou Rekin), baskets Adidas voire New Balance, chaussettes blanches avec logos (pas de rayures tennis ni de couleurs, encore moins de Snoopy)… De l’avis des puristes, les films de la série "Sneaker sex" (Luxure Film Produktion) ne sont pas loin de la perfection tant ils respectent les codes assez sévères qui régissent ce type de plan. De ce point de vue — outre une indéniable dimension fantasmatique due à la qualité des mecs souvent très sexes — la série tient presque du reportage puisqu’elle permet de voir, de comprendre dans le détail comment se déroule un plan pied. On y voit la langue lécher longuement le dessus de la basket (parfois la semelle pour les plus kamikazes), puis la bouche suçoter les lacets, mordiller les chaussettes (portées au minimum deux ou trois jours) et le nez les humer longuement. On y voit les têtes plonger à l’intérieur des baskets pour une séance d’apnée. On y voit des pieds s’appesantir sur les sexes, les malaxer. Dans le genre (toujours selon l’avis des puristes), c’est "Sneaker sex IV", au récit très scénarisé, qui respecte le mieux l’étiquette proposant des plans skets, des plans sox et des plans panards (léchage d’orteils) jusqu’à l’extase : une éjaculation sur ou dans la basket, sur ou dans une chaussette. Car qu’on ne s’y trompe pas, s’il y a Pour en savoir plus sur les films “Sneaker sex” opus IV et V, voir SOCKS n° 38 et 52. parfois le début d’une pipe, l’enjeu de ces plans n’est pas obligatoirement le rapport sexuel classique mais plutôt de prendre son pied par fétichisme interposé. C’est d’ailleurs ce qui est montré dans quelques scènes de "Sneaker sex V". Bien sûr, l’imagination étant au pouvoir, la basket devient parfois un cul et la chaussette un bandeau pour les yeux, un bâillon voire un cockring. L’objet et son odeur deviennent des instruments de plaisir (en dessous de la pointure 42, ça ne le fait pas) mais, contrairement à une idée reçue, pas du tout de soumission, du moins avec les baskets. C’est moins vrai avec les rangers, indéniable attribut des détenteurs d’autorité. Les fans seront ravis par le niveau d’exigence des films et les néophytes intrigués savent qu’ils doivent désormais brûler leurs Burlington ! Jean-François Laforgerie On a du mal à imaginer un aussi beau gosse porter des chaussettes vraiment sales ou alors après un effort sportif. Mais ici, les chaussettes ocres jusqu’au talon témoignent d’une sudation excessive d’une durée déjà conséquente. Les fétichisites ne s’en plaindront pas, en revanche quelle déception pour les autres qui avaient pour David l’image du garçon parfait, de la tête aux pieds ! 12 SOCKS Tendance Les codes vestimentaires La mode n’influence qu’une partie des jeunes, l’autre créée ses propres styles, toujours dans le but d’affirmer une personnalité. Les jeunes d’aujourd’hui s’habillent pour plaire à eux-mêmes. Revue de styles. L e look est une façon pour certains de cacher des complexes, il joue aussi un rôle dans la séduction. Il permet également d’avoir plus d’assurance envers les autres. La « fashion victim » est toujours à la pointe de la mode. Elle enrichit son look en imitant les stars et recherchent les accessoires, des lunettes aux casquettes. Le style « skateur » est l’un des plus répandus. On le reconnaît grâce aux pantalons « baggy » qu’ils portent larges et bas sur les fesses, accompagnés d’une ceinture, sweat coloré, baskets larges mais aussi des accessoires comme les colliers, bracelets, bandeaux, chaussettes humoristiques. Mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, ceux qui choisissent ce look ne font pas systématiquement du skate. Mais ce look apporte beaucoup d’avantages, surtout au niveau du confort. Les marques Vans ou Etnies surfent efficacement sur cette tendance. Le « rasta » est cool et posé. Son style se rapproche du skateur : baggy, tee-shirt aux couleurs de la Jamaïque avec, en sus, le bob et les dreadlocks. La culture « gothique » se caractérise par le port de pantalons et de longues vestes noirs. Les chaussures sont à talons compensés. Pour eux, les chaussettes ne sont pas un élément déterminant de leur tenue. Ce qui caractérise une personne de ce style, c’est avant tout un état d’âme que le look. Beaucoup de jeunes adoptent de plus en plus le style « racaille » qui n’est pas que vestimentaire mais aussi verbal, avec un verlan très présent. Ils portent en général énormément de marques comme Lacoste, Tacchini (deux marques en pointe) mais aussi Nike et Adidas. Leurs tenues s’accompagnent de l’écharpe aux couleurs de leur équipe de football favorite et de chaussettes de marques remontées pardessus leurs joggings, plus rarement sur leurs jeans. Les jeunes ont une large panoplie pour se créer un look. Chacun y trouve son compte, en fonction d’un aspect pratique, d’une tendance, mais les mentalités sont aussi liées avec l’apparence, plus que l’on aurait pensé. Car, ne pas afficher un look, c’est s’exclure et passer pour un ringard. Dur d’être jeune aujourd’hui ! 13 SOCKS Shopping CK Socks' Collection J'ai toujours besoin de chaussettes, elles se trouent, se déforment et se ternissent si facilement qu'il me faut renouveler mon stock fréquemment. Calvin Klein (CK), lors d'une de ses ventes privées, proposait toute sa collection et je me suis laissé tenté par quelques paires. Pour ceux qui trouvent que les articles de la marque, souvent gage de qualité qualité qui se paie doncsont toujours trop chers, je veux dire qu’à 20 € les six paires au lieu de 48 €, c'était une affaire. Qui plus est, CK a l'art d'engager des modèles toujours plus séduisants pour leurs campagnes publicitaires qui demeurent pour moi parmi les plus classes et incendiaires. http://blog.gayattitude.com 14
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monte aux narines. Il ouvre alors sa
braguette et se met à se branler. Il
frotte avidement sa queue gonflée
sur le bout acier de la botte et sur la
semelle crade. Soudain il entend du
bruit à l'ext...