Socks N°107 - Gai-Eros
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Socks N°107 - Gai-Eros
Le marché du fétichisme Feiyue, la sket en toile Olivier Giroud, super star N° 107 Eté 2012 1 SOCKS Série Tv Sommaire Cours de branlette SERIE TV Cours de branlette pages 2 et 3 Leçon de sexologie au détour de “Weeds”, une série anti-conformiste. TEMOIGNAGE De l’utilité (détournée) de la chaussette page 3 ENQUETE > Le self-marketing au service du fétichisme > Le salon des fétichistes > De particulier à particulier pages 4 et 5 JUSTE UNE IMAGE Le repos du flic page 5 MODE > Feiyue : une histoire de toile > Feiyue se diversifie > Feiyue se mérite page 6 L a série « Weeds » raconte l’histoire d’une femme dont le mari est récemment mort, qui se retrouve seule avec deux fils dans une belle banlieue bourgeoise et qui veut absolument maintenir son train de vie précédent. Alors elle se fait dealeuse, mais, par petit scrupule moral, elle deale de l'herbe uniquement. Les personnages NOUVELLES > Vacances d’été avec mon cousin pages 7 à 11 > Vidéo show pages 15 à 17 SHORT STORY Sniffeur de panards page 11 CHOUCHOU Olivier Giroud super star page 12 TENDANCE Cycliste : le choix des chaussettes pages 13 et 14 ANECDOTE Evans, sa logeuse, ses chaussettes trouées page 14 OPINION Mes rapports aux shoes page 17 LITTERATURE Chaussettes porte-bonheur page 17 DVD Stichtag page 18 SOCIETE > Pompes à fric > La Nike Air Yeezy 2 a débarqué page 19 annexes sont tous plus farfelus les uns que les autres : une grosse Noire acariâtre qui l’approvisionne en « marchandise », un amant qui fait partie de la police des stups (!), une femme de ménage mexicaine hypercossarde, une bourge de voisine névrosée qui a bien des soucis avec son mari volage et sa fille trop boulotte, enfin un beaufrère immature, envahissant et pique-assiette qui s’installe chez elle vers le milieu de la saison 1, et qui n’en bouge plus. L’un des épisodes de la 2° saison mérite qu’on s’y arrête. Nancy, l’héroïne, découvre par hasard que son fils cadet, Shane, se branle. Jusque là rien que de très banal, sinon qu’il a une technique très spéciale : il fait ça dans des chaussettes qu’il balance ensuite dans les chiottes pour éviter qu’elles ne soient retrouvées. Evidemment ça bouche les canalisations, et Nancy découvre le corps du délit lorsque le plombier lui explique le problème en lui demandant si elle n’aurait pas un fils ado qui… parce que lui a l’habitude d’intervenir pour ces problèmes-là, c’est courant… Alors elle essaie d’amorcer une discussion avec Shane en démarrant sur le thème « les changements dans ton corps » mais comme elle se heurte à un mur, elle demande à son beau-frère de prendre le relais. Et lui, joyeux gai luron olé olé ne demande pas mieux que de faire une conférence en branlologie à son neveu. Et il lui tient ce discours : « Ecoute-moi attentivement, je vais aller droit à la bite ! (ricanement) Ton petit corps change, et, crois-moi c’est tout bon. Le problème principal c’est que, dès qu’on se secoue le radis, ça se termine dans une mare de gelée blanche et toute gluante dont on ne sait pas quoi faire. Bon ! Donc, premièrement, on arrête les chaussettes. C’est pas économique, ça bouche les tuyaux, problèmes de plomberie… Alors là, t’es en train de te dire “Tonton Andy, si je lâche pas ma purée dans une chaussette, je fais comment ?” Excellente question, je suis ravi que tu me l’aies posée. Alors si tu (Suite page 3) 2 SOCKS (Suite de la page 2) t’astiques le pommeau sous la douche, là, t’auras plus besoin d’utiliser de gant à gicler. Sauf que les journées sont longues, et la branlette c’est chouette, alors à moins de se doucher 4 à 5 fois par jour, il faut trouver d’autres solutions. Ce qui m’amène aux fondamentaux : les mouchoirs (en papier). Pour éponger toute cette crème italienne, c’est encore ce qu’on fait de mieux. Ceci dit c’est parfois un peu rugueux sur les peaux très sensibles, sans compter que ça peut parfois coller au gland… Par conséquent, je te conseille d’étudier des poches à semoule qui glissent mieux, et notamment, la banane : 1) on épluche la banane, 2) avec la peau, on recouvre la colonne en rut, et c’est parti... Petit plus : passe la peau de banane au micro-ondes… pas trop longtemps ! C’est top. Sinon, l’huile d’olive, la crème hydratante, le miel, la bave, le beurre, le démêlant et la vaseline font d’excellents lubrifiants, mais si tu veux mon avis, pour lubrifier, y a que le produit. Alors casse ta tirelire et investis dans du vrai lubrifiant. Poursuivons : les feux d’artifice dans les WC, pfout ! Tout doit aller dans la cuvette. Au lit, prends un tee-shirt bien doux, ou alors un vieux doudou que ça te dérangera pas de balancer une fois que tu auras tout balancé. Sache qu’il est impossible de TROP briquer le sceptre royal de l’amour charnel, c’est bon pour le stress, et ça stimule le système immunitaire. Pour finir, c’est en forgeant qu’on devient forgeron, alors entraîne-toi à bien maîtriser tes solos, ça te réservera un long et bel avenir de duos flamboyants… Très bien, le cours est fini. » E videmment, la série n’est qu’une satire, mais on ne peut s’empêcher de se demander si les scénaristes n'auraient pas écrit cette scène par rapport à des échos qu’ils auraient eus sur des expériences fréquemment vécues dans les foyers de la Middle Class chez Oncle Sam… Ils sont fous ces Ricains ! Se 3 Témoignage De l’utilité (détournée) de la chaussette Ça n'a pas qu’une seule utilisation les bonnes vieilles chaussettes qu’à nous emmailloter nos panards puants dans nos pompes. Qu’elles soient de marque de sport, unies ou à motifs, rayées, nos bonnes vieilles chaussettes ont une autre utilité… Eh oui… Avant de les mettre à la machine à laver, tu peux encore leur donner une utilité. Exemple : tu les déroules et tu les fous sur ta queue jusqu'à la base, ou à la rigueur tu englobes tes couilles avec et après, une bonne petite branlette, jusqu'à ce que ton jus enduise ta chaussette. Ça remplace une bonne capote. C’est cool, par contre ça peut irriter le gland au début si tu n'as pas l’habitude mais c’est génial de sentir son gland se frotter contre le tissu. Il arrive que tu ais le gland recouvert du duvet de l’intérieur de ta chaussette. J’adore ça, ça m’évite de me recevoir le foutre sur le bide. slipdemec.centerblog.net branler dans une chaussette, balancer ça dans les WC après, ou, pour éviter les problèmes, utiliser des peaux de bananes passées au micro-ondes ! LOL ! Quand j'étais ado et que je me branlais au quotidien, je n’aurais jamais pensé à toutes ces conneries ! Jeter une chaussette dans les chiottes de peur que maman ou la bonne n'aillent fouiller dans le bac de linge sale et ne remarquent qu'elle a été mouillée par 4 ou 5 giclettes...! Le mouchoir en papier c’est tellement plus simple… Et les Kleenex ne risquent pas d’irriter la peau… Et, au fait, le tonton Andy n’a pas soulevé un autre problème possible : si Shane utilise une banane à chaque fois et qu’il la bouffe avant, il risque l’obésité à court terme ! Bon, y a aussi la possibilité de jeter le fruit à chaque fois à la poubelle... Question discrétion, c'est pas mieux que la chaussette ! De plus ça risque de revenir cher la branlette, à la longue... (boatonthesea.hautetfort.com) SOCKS Enquête Vecu Le self-marketing au service du fétichisme L ’industrie du porno gay, à l’instar de ses consoeurs de la musique et du cinéma, est fortement victime du téléchargement illégal. Aussi, il faut comprendre que la survie financière des acteurs du X passe désormais par la vente de produits en gestion directe. Aujourd’hui, Internet se retrouve inondé de start-up de pornstars gays. C’est l’alternative chic aux sites d’escorts qui leur permet souvent de joindre les deux bouts… Sex-toys (les godes de Steve Cruz), vente d’images (François Sagat), dance music (les CD de Johnny Hazzard, d’Aiden Shaw, de Colton Ford), la com’ du porno passe désormais par des sites web marchands déguisés en sites personnels, et par des blogs intimes. Dans cette conjoncture, Damien Crosse et Francesco D’Macho s’organisent en créant leur studio de tournage, relayé sur le web où le duo raconte ses voyages mouvementés en sexe et propose à la vente des slips ou des chaussettes portés sur les tournages, mais leur site ne précise pas si ces sousvêtements auront conservé à leur livraison l’odeur corporelle de leurs sexy propriétaires… D’autres sites concurrents garantissent, eux, « l’odeur originale », et moyennant 50 dollars supplémentaires, offrent un jet de sperme sur les précieux tissus ! (Source: Têtu) Sur le Web, certains n’hésitent pas à faire vibrer la fibre mercantile des fétichistes. Et dans ce domaine, les acteurs et les sportifs ne sont pas en reste... De particulier à particulier Il n’est pas besoin d’être pornstar pour vendre ses sous-vêtements usagés. Sur des sites de petites annonces ou des pages Facebook, certains internautes se prévalent d’une réputation pour proposer leurs sous-vêtements odorants tachés d’un supplément de pisse ou de sperme selon les goûts. C’est le cas de RV, son pseudo sur Facebook, qui affiche dans ses albums des cho7 Lacoste bien cradées mais pour 25 euros n’espérez pas avoir ces cho7 (à 14 euros la paire dans le commerce !) mais des Nike classiques vendues en grandes surfaces par lot de six. Bénéfice garanti pour le vendeur ! Certes les cho7 proposées sont crades à souhait, apparemment (et encore il vaut mieux qu’elles soient blanches) mais quid de l’odeur… On a plutôt l’impression que les mecs en question ne prennent pas la peine (ou sont gênés) de laisser s’imprégner leurs cho7 par leurs odeurs (si tant est qu’ils transpirent véritablement !) Déception garantie pour l’acheteur ! P.P. 4 SOCKS Le salon des fétichistes Au salon Sport Shox de San Francisco, on pouvait trouver une paire de chaussettes sales à 150 $. Pas des chaussettes sales de n’importe qui, mais des chaussettes sales de la star du baseball Jose Canseco. « Elles sont accompagnées d’un certificat d'authenticité », a déclaré Curt Wenzleff, le vendeur. « Elles n'ont pas été lavées. Elles sont telles que José les a décollées de ses pieds dans le vestiaire. » Les chaussettes sales sont le dernier élément à être proposé en tant que souvenir. La plupart des articles sur le salon étaient plus banals - des cartes de baseball, balles et battes même si une bouteille dédicacée de Root Beer de Ted Williams se vendait 75 $ et un gant sale de frappeur porté par Reggie Jackson s’affichait à 150 $. Curt Wenzleff a dit qu'il avait envisagé le lavage des chaussettes vertes et jaunes de Jose Canseco avant leur mise sur le marché, mais il a estimé que c’était trop risqué car elles perdraient de leur valeur. Juste une image Pourtant, en fin de journée, elles étaient encore disponibles. « Peutêtre, a dit Wenzleff, personne ne croyait qu'elles étaient authentiques. » Wenzleff proposait pourtant de les renifler. Elles sentaient réellement fortes. « C’est une occasion rare pour un acheteur avisé, a dit Wenzleff. Seules quatre paires de chaussettes sales de Canseco étaient sur le marché. Canseco n’en cède pas davantage. La rareté fait le prix. » « Non, explique Wenzleff, il n'y a rien de bizarre à vendre des chaussettes sales », considérant qu'il a déjà vendu des jockstrap sales Canseco. Il n'a pas dit à combien il les a vendu à une femme heureuse de les avoir. « Nous ne pourrions pas vendre ce genre d’article s’il n’y avait pas d’amateurs fétichistes », dit le vendeur de chaussettes. Il ne serait pas surprenant de trouver sur ce marché un chiffon de morve en édition limitée dédicacée, et vous savez quoi ? Il se trouvera un fan pour payer 100 $ pour l’avoir ». (oaklandas.wordpress.com) Le repos du flic Ce flic américain profite d’une pause pour s’allonger au vestiaire sur trois chaises mises bout à bout. Il a retiré ses chaussures pour s’aérer les pieds… Peut-être espère-t-il qu’un collègue vienne les lui masser à travers ses chaussettes noires ! 5 SOCKS Mode FEIYUE Une histoire de toile La marque, lancée en 2006 par trois Français, fait un malheur avec une basket en toile venue de Chine. Passionnée d'art urbain, de musique et de voyages, l'équipe suit ses envies au jour le jour et élabore la gamme Feiyue de façon intuitive, sans cahier de tendances ou autres études préalables. Des souvenirs, des images, des impressions, des ambiances, glanés partout au fil des déplacements, tissent et enrichissent en permanence l'univers de la marque. Cette philosophie d'ouverture sur le monde et de recherche de nouvelles formes inspirera toujours l'ensemble des créations. C 'est à travers de nombreux voyages que Feiyue trouve son inspiration. Depuis 2006, la marque française Feiyue se développe, explore de nouveaux territoires, en harmonie avec ses valeurs. Sans rien perdre de son charme vintage et authentique, la petite chaussure en toile légère, originaire de Shanghai connaît alors une série de transformations. En douceur, ses codes évoluent, se métissant d'influences françaises et internationales. La marque s'apprête aujourd'hui à conquérir de nouveaux marchés (voir cidessous). soin, pour obtenir une chaussure alliant esthétique et robustesse. Au terme de ces changements, la toute première collection est lancée en France, en février 2006. Depuis, Feiyue connaît un grand nombre de variantes et reste en constante évolution. Car son nom chinois, qui se prononce «Feî-ué», signifie « Flying Forward » ou « voler de l'avant »... Des modèles novateurs voient donc sans cesse le jour, mettant en avant de nouvelles couleurs et de nouvelles matières. www.feiyueshoes.com Un travail important est mené sur les standards de qualité : forme originelle entièrement revue, matériaux choisis avec le plus grand FEIYUE SE DIVERSIFIE FEIYUE SE MERITE BUSINESS - Feiyue a conquis les ados grâce à un logo original et un prix accessible (autour de 50 euros). Ce qui place la marque sur le segment de la basket en toile dans le peloton de tête du marché derrière Converse. Pour poursuivre sa croissance, la griffe vise désormais une nouvelle clientèle. “Une marque de mode peut un jour être moins désirée par les jeunes”, explique le directeur du marketing. Aussi, l’hiver dernier, des modèles en cuir visant les hommes de plus de 25 ans ont été proposés. (Source : Les Echos) VECU - Feiyue, c’est classe, encore faut-il bien les porter ! Et avec des chaussettes adaptées, fines obligatoirement (le pied est alors mis en valeur). Tout le contraire de ce jeune mec croisé inopinément : des Feiyue noires évasées, certainement dues aux épaisses socquettes en coton qu’il avait l’habitude de porter. Qui plus est, les socquettes d’un noir terne et au façonnage grossier qu’il portait ce jour-là lui gonflaient le pied et lui donnaient une allure disgracieuse. Avec ses jambes nues, l’effet était saisissant ! P.P. 6 SOCKS Nouvelle Vacances d’été avec mon cousin N ous sommes en juillet, mon cousin Thierry est arrivé depuis 4 jours. Cela fait au moins 5 ans que je ne l'avais pas revu. Il a 18 ans et demi, c'est un bogoss sportif (piscine, foot et tennis). D'ailleurs, la raison de sa venue chez nous c'est un stage de deux semaines de tennis. Tous les matins, et les après-midi jusqu'à 16 h, Thierry est au club de tennis. Il mesure 1m82, musclé, 76 kg pour une pointure de 45 (ça, je ne tarderai pas à m'en apercevoir !). Son look très sportwear (jogging, tee-shirt, débardeur, cho7 blanches et skets Nike) met son corps en valeur. Deux cousins se découvrent des passions communes. Au jeu du dominé/dominant, chacun trouvera Moi je suis plutôt jean, chemise et Adidas, petit (1m65) et un 41 en skets. Notre maison n'est pas très grande, mes parents m'ont donc demandé de laisser ma chambre à mon cousin. Solution trouvée pour moi : planter une toile de tente dans le jardin et m'installer pour la quinzaine, vacances camping dans le jardin pendant que mon enfoiré de cousin occupe ma chambre et fouille certainement dans mes affaires. Rrrrrr ! Bref, j'obéis aux parents. Mais alors qu'un soir après le film je rentre dans la tente et je m'allonge sur mon matelas deux places, il fait chaud et je suis seulement vêtu d'un short nylon d'athlétisme bleu Adidas, sans slip, torse nu, jambes écartées, son rôle. (Suite page 8) 7 SOCKS (Suite de la page 7) bras croisés derrière ma tête, je commence à somnoler quand j'entends marcher dans l'herbe. Je croyais d’abord que c'était un chat mais une main se pose sur la fermeture éclair de la toile de tente. C'est Thierry qui me demande s’il peut entrer. Je suis très surpris car cela fait 5 jours qu'il est arrivé et jamais il n'est venu me voir dans la tente, même dans la journée en rentrant de son stage. Je lui dis oui et il s'installe aussitôt à côté de moi. Lui aussi est en short, mais de marque Nike (une marque qu'il adore), cho7 blanches dans ses BW neuves, petit débardeur rouge et gris clair. Je le trouve sexy mais bon c'est mon cousin et de plus il a une copine, alors rien à craindre. Il est assis à côté de moi et moi allongé sur le côté, ma tête posée sur la main de mon bras droit. On passe un bon moment à discuter de tout et de rien, de sport (moi j'en fais pas, alors c'est rapide !), de filles, j'ai une copine aussi, en fait un amour platonique d'adolescent. Je regarde discrètement ses baskets, il en a une au niveau de mes pecs et l'autre posée devant mon ventre presque au niveau de ma bite ! J’ai du mal à me retenir face à un fantasme qui prend vie. J’ai en effet découvert le plaisir des skets en jouant en solo avec les miennes dans mon lit depuis plusieurs années, mais sincèrement je pensais être le seul à avoir ce genre de penchant et ne comprend pas trop ce qui m'arrive. Je découvrirai par la suite que des centaines, voire des milliers de mecs sur la terre ont les mêmes attirances pour les jeux skets que moi. Alors on papote, et à un moment, à force de bouger et gesticuler, Thierry a son pied droit qui glisse d'un coup sur la matière synthétique du duvet et voila que sa basket qui se trouvait il y a quelques minutes à Il s'amuse à me malaxer la bite et les couilles avec sa Nike droite pendant que la gauche m'écrase le visage et glisse sur ma bouche. 20 cm de ma bite, vient de percuter ma bite (presque dure). Il s'excuse de suite et se ravise presque aussitôt en me disant : « Mais je crois que tu bandes ? Pas vrai ? » Moi, très timide et gêné de la situation, je n'ose lui répondre et je reste muet. Je le crains un peu car il est du genre direct et rentre dedans alors que je suis plutôt réservé. Thierry recommence à discuter comme si de rien n'était et moi aussi. Il s'étend un peu plus en s'allongeant sur le dos, il parle de sa vie et moi je participe aussi à la conversation. La sket Nike de son pied gauche se trouve à seulement 5 cm de mon visage ; le fait-il exprès ? J’en sais rien mais je sens un truc dur qui semble commencer à me caresser la bite. Putain, j'y crois pas ! Thierry glisse sa sket sur mon short en nylon et continue à parler ! Cette fois c'est clair, je bande et il doit le sentir, même à travers sa sket ! Thierry jette un coup d'oeil rapide et se réinstalle. Il a dû voir ma tête à 5 cm de l'autre sket, là je sens qu'il a envie de profiter de moi et moi je le sais parfaitement maintenant. Y'a plus de doute possible. Je prends l'initiative d'embrasser sa sket. Puis je commence à lécher la semelle, il me regarde. Je suis mort de trouille et j'ai peur qu'il trouve ça dégueu et s'en aille. « Tu aimes faire ça ? » me dit-il. « Oui, et toi tu aimes que je te le fasse ? » Il m’a dit oui et là c'est carrément lui qui s'amuse à foutre sa Nike sur ma face et la fait glisser sur ma langue. Putain, ma queue va exploser ! M on cousin semble aimer me voir en train de lécher ses skets : est-ce qu'il a l'habitude de faire ce genre de chose, y joue t-il avec ses potes ? Je n'ose pas le lui demander. Pour moi c'est une grande première, hormis les fois où je l'ai fait avec mes propres skets et une fois avec la paire de rangers de mon père, mais (Suite page 9) 8 SOCKS (Suite de la page 8) c’est plus excitant avec des baskets ! Thierry est allongé sur le dos et s'amuse à me malaxer la bite et les couilles avec sa Nike droite pendant que la gauche m'écrase le visage et glisse sur ma bouche. Je sors ma langue à fond et lèche toute la surface à crampons qui passe et repasse dessus. Des fois il m'écrase les couilles et je gémis car ça me fait mal. Je découvre pour la première fois de ma vie le plaisir de me sentir soumis aux pieds d'un mec, de devoir le satisfaire. Puis Thierry change de position. Le voilà maintenant assis à califourchon sur moi, ses fesses s'enfoncent dans mon ventre pas encore suffisamment musclé ! Je sens tout son poids d'homme sportif. Discrètement, je descends un peu mon short en nylon pour sortir ma bite. Thierry pose ses deux pieds joints sur mon visage. Ma tête de côté subit un bon écrasement avec 9 Je plonge direct sur ses pieds, les embrasse et les caresse avec mon visage, ma bouche parcourt toutes les cho7 et je sens la chaleur de ses pieds traverser le coton. ses deux pieds joints. Putain, il a l'air de me prendre pour un vulgaire paillasson ! Il bouge ses skets sur ma tronche et me dit : - Ha putain, c'que j'aime te voir sous mes Nike, cousin ! J’ai rêvé de te le faire mais je ne pensais pas que tu accepterais, c'est cool que tu aimes ça ! Il libère ma tête, ses pieds sont de chaque côté de ma tête, je le regarde : - Tu sais, Thierry, pour moi c'est la première fois ! Et toi ? Tu l'as déjà fais ? - Non, c'est juste un fantasme que j'avais et je ne voyais pas avec qui d'autre j'aurai pu le réaliser à part avec toi ! - Content que tu m'ais choisi ! Puis mon cousin enlève ses skets et veut me mettre ses pieds sur la gueule, mais je ne peux plus respirer. « Descends s'il te plaît, j'arrive plus à respirer ! » Alors il se met sur le dos, allongé tranquillement, et là je découvre un grand mec qui prend toute ma toile de tente avec des pieds longs et fins, en cho7 blanches. Je n'attends pas qu'il me le demande. Je plonge direct sur ses pieds, les embrasse et les caresse avec mon visage, ma bouche parcourt toutes les cho7 et je sens la chaleur de ses pieds traverser (Suite page 10) SOCKS (Suite de la page 9) le coton. Une odeur de pieds envahit mes narines et il s'amuse de frotter ses pieds sur ma face, et veut rentrer ses orteils dans ma bouche. J'en prend un max et me régale sans retenue. A ce moment-là Thierry réalise que mon short est à mes genoux et que ma bite de 19 cm est dure et tendue comme un bout de bois. - Putain, comme ça te fait de l'effet, c'est dingue, tu aimes ça mon salaud ! - Huuuumm, oui, trop bon cousin, tes ieps j'adore les vénérer. Je découvre le goût fort des pieds, le goût du coton des cho7 alors resté inconnu pour moi jusque là puisque je m'étais toujours focalisé sur les baskets. Nous continuons à jouer ainsi un petit quart d'heure puis il remet ses skets et me dit : « Je reviens demain soir dans ta tente mec, j'en veux plus que ça. Tu es mon p'tit cleps à mes pieds et avant de rentrer chez moi j'veux que tu me fasses jouir ! » Là, il sort de la tente et me laisse avec ce goût de pieds dans la bouche, ma bite dure, mais j'ai pas juté ! Et je repense « J'en veux plus, je veux que tu me fasses jouir ». Décidément, je ne voyais pas mon cousin comme ça, j'ai l'impression de vivre un rêve ! Pourtant il n'est pas gay, il a une copine !!! Un fantasme, dit-il, je veux bien, moi je l'ai bien ce fantasme-là, mais là je dois dire que cela fait beaucoup d'un coup. *** C e jour-là, je profite du superbe temps pour aller à la plage. Thierry, lui, est à son dernier jour de stage de tennis. Mais le soir, après avoir mangé tous ensemble dans la salle à manger et que Thierry m'ait lancé des petits regards complices, je me suis dis que la soirée allait être chaude, et bien non, pas du tout, j'ai attendu Monsieur jusqu'à minuit et des poussières, le maudissant de m'avoir oublié, de devoir rester seul. Cet enfoiré de con de cousin n'est « Maintenant je veux que tu bouffes mes Nike, je veux te voir les lécher à fond et après tu les enlèves et tu lèches mes cho7...» pas venu. Putain de ta race ! Alors je décide de quitter ma tanière, cette toile de tente où tout maintenant me rappelle Thierry et je rentre dans le garage dans le but d'aller jusqu'à ma chambre où peutêtre il dort. Mais dans le garage je m'arrête sur son sac de sport ! Tiens, y'a peut-être des trucs intéressants dedans ? Je fouille et je tombe sur sa paire de chaussures de tennis, belle paire qui a bien la trace de ses pieds et une bonne odeur aussi. Et la poche à côté, c’est quoi, ça ? Une poche avec trois paires de chaussettes blanches en coton dedans, sales et bien portées ! Je ne peux m'empêcher d'en prendre une paire, la plus crade, et de rentrer dans ma tente avec mon butin : la paire de sket et de cho7. J'ai passé deux heures à m'amuser seul avec sa paire de skets de tennis et ses cho7, je les ai foutus dans ma bouche et bien tétés, et j'ai sniffé une sket collée sur ma face, moi allongé sur le ventre et l'autre sket au niveau de ma bite qui à l'intérieur faisait des va-et-vient. J'ai inondé sa sket de quatre grosses giclées de foutre bien épaisses. J'ai replacé les skets dans le sac et j'ai gardé les cho7 et me suis couché, presque rassasié. Le lendemain matin, quand je passe par le garage pour aller petitdéjeuner, je croise le sac de Thierry. Je le regarde et repense à ce que j'ai fait hier soir, et à cette paire de cho7 que j'ai subtilisée à Thierry, j'espère qu'il ne le verra pas avant de repartir chez lui, après je m'en fous ! Après le petit déj, mes parents nous annoncent qu’ils sont invités chez des amis et qu’ils seront donc absents de la journée. En notre for intérieur, mon cousin et moi exultons. Enfin seuls, mon cousin me dit de le rejoindre dans ma chambre. Il s'allonge sur mon lit contre le mur, il est en survêt blanc avec ses Nike, il a le dos appuyé contre le mur et les pieds qui dépassent du bord du lit. Il me dit : « Maintenant que tu es à moi, je veux que tu bouffes mes Nike, je veux te voir les lécher à fond et après tu les enlèves et tu lèches mes cho7, masse-moi les pieds aussi et après enlève tout, lèche-moi les pieds et prend mes orteils dans ta gueule de bâtard ». C'est la première fois qu'il me traite de bâtard et qu'il est aussi autoritaire envers moi, mais j'adore (Suite page 11) 10 SOCKS (Suite de la page 10) ça les mecs autoritaires qui ordonnent. Alors j’obéis, je fais tout ce qu'il veut. Tout y passe, ses skets, chaque centimètre carré, et ses pieds en cho7, les cho7 en sont humides de ma salive. Puis vient le moment où je dois lui lécher les pieds nus, alors là c'est une très grande première pour moi mais je découvre toutes les sensations que cela procure. Des pieds d'homme en 45, moi à genoux devant le bord de mon lit et les pieds nus côte à côte face à mon visage, cela fait grand et y'a de quoi lécher. Je m'y applique du mieux que je peux (comme tout ce que je ferai en plan par la suite avec de nombreux mecs). Thierry se saisit d'une Nike et sort sa bite, il la fout dedans et je le vois qui agite la sket de haut en bas sur sa bite pendant que je lèche ses pieds ! Il a les yeux fermés et se mord une lèvre, et d'un coup, je l'entends gémir, je comprends qu'il vient de jouir et de remplir la sket de son yop. Thierry me dit de venir sur mon lit, de m'allonger sur le ventre, je lui obéis et ne sais pas ce qu'il veut, je prie pour ne pas me faire enculer car je n'aime pas ce genre de choses. Mais, à ma surprise, il écarte à fond les lacets de la sket yoppée et me la colle sur le visage et il appuie fort sur ma gueule en me disant : « Maintenant tu respires ça, tu lèches tout et je veux que tu jouisses en le faisant ». Voila le cousin a joui et je dois lécher son sperme dans sa sket. J'ai la bouche sur son yop collé partout sur la semelle et un peu sur le bord, trois grosses giclées copieuses qui maculent le fond de sa sket. Ma langue lèche tout et j'avale son jus. Je m'excite aussi et ne tarde pas à lâcher ma sauce sur mon lit. Thierry me félicite et remet ses cho7 et skets. Il ne me dit rien, et plus jamais de notre vie nous ne parlerons de nos jeux. http://sneakers37.skyrock.com 11 Short Story Sniffeur de panards amais je n'avais été aussi loin dans mon fantasme. J’étais là, à quatre pattes, le cul en l'air, en train de me faire bourrer comme une reine par un super mâle qui puait le fauve, avec sa grosse bite rasée nourrie au foutre. Non seulement je me faisais péter le sphincter, mais j'avais un masque à gaz, et détail le plus important, Gérard avait enfilé une de ses chaussettes sur la pomme d'aération. J'étouffais à moitié, mais c'était trop bon. Trop bon de sentir, d'avaler au plus profond de mes poumons la bonne et forte odeur de pieds d’un vrai mec viril, d'un rugbyman aux grosses cuisses poilues. Et il pue des arpions, le salaud ! On me pilonnait le cul à mort et je sniffais des chaussettes crades de mâle crade. Ça se mélangeait avec l'odeur intense de caoutchouc du masque. J De moi-même, je donnais des coups de cul en arrière pour m’enfoncer le mégadard dans le fion. J'étais ultra-ouvert, ça glissait comme dans du beurre tiède. Gérard s'est mis à me claquer les miches, à me tirer la tète en arrière par les cheveux. Je hoquetais, au bord de l’asphyxie. Ça ne m'empêchait pas de me branler d'une main. La bite de Gérard ressortait complètement de mon trou, et il la réenfonçait d'un coup violent jusqu'aux burnes. J'ai senti le plaisir exploser, comme ça. Tellement violent que j'en ai presque perdu connaissance. Comme un éclair. Du mâle, de la bite, du concentré de panards, ça m'a submergé. Je n'ai même pas senti Gérard me déflaquer sa jute au fond du bide... Félix (Lettres Gay) SOCKS Chouchou En quelques mois, il a fait la couverture de trois magazines au moins : L’Equipe Mag (voir SOCKS n°106), Surface et Têtu. Son talent et son physique n’y sont pas pour rien. Sur le plan sportif, Olivier Giroud a un pied gauche magique qui lui a valu d’exploser à Montpellier et en équipe de France, mais surtout, il a une gueule d’ange à faire fondre garçons et filles. Moderne, Olivier Giroud l’est en acceptant de faire la Une de Têtu. Premier footballeur à oser la démarche de poser pour un magazine ouvertement gay, Olivier Giroud est, depuis, salué pour son ouverture d’esprit et son anticonformisme. Est-ce, au contraire de Yoann Gourcuff, parce que son orientation sexuelle est sans ambiguité ? “Giroud est devenu la star montante du football français. Une notoriété qui rappelle l’engouement créée par un certain Gourcuff il y a deux ans”, rappelle très justement le magazine Surface. 12 SOCKS tendance CYCLISTE Le choix des chaussettes A l’heure du Tour de France où les caméras s’attardent sur les mollets des coureurs, arrêtons-nous sur les chaussettes qu’ils portent. L e débat « Pour ou contre les chaussettes hautes » n’a certes rien d’existentiel et pourtant... Il semble que le phénomène est apparu il a peu dans le peloton professionnel, peut-être une dizaine d’années tout au plus. Un certain Bradley Wiggins a d’ailleurs poussé le phénomène à mi-mollet, créant la polémique entre les fans et les antis. A priori, on compte quelques pères fondateurs de la tendance dans le peloton pro français : Damien Nazon et Christophe Moreau. L’argument invoqué était de taille : il s’agissait de souligner de manière forte élégante le galbe de leur mollet bronzé et musclé ! Rien que ça. Ce phénomène reste cependant bien mystérieux. A tel point que dans les derniers salons visités en 2011, Eurobike et Roc d’Azur, on trouve maintenant la même paire de socquettes déclinée en deux hauteurs. DEFINITION DE LA HAUTEUR Il existe en fait trois hauteurs de chaussette : les normales, les mihautes, et les hautes qui montent jusqu’au mollet. Il y aurait donc une règle à respecter, ne pas dépasser le muscle du mollet version cycliste pour ne pas tomber dans le style “bas de compression”... Cette règle tacite semble, après sondage d’aficionados de la tendance, être connue de tous. COULEUR La tendance a démarré avec des socquettes de couleur blanche, à la façon des vieilles traditions dans le cyclisme, où il était d’usage de mettre des amendes aux coureurs qui ne respectaient pas les codes vestimentaires réglementaires. Les chaussettes de vélo doivent être blanches ! En noir, on tombe dans le mauvais goût. Limite du principe de couleur blanche aux coureurs espagnols bien sûr : le bronzage du coureur espagnol de base peut se permettre une telle folie, comme Juan José Cobo, vainqueur du Tour d’Espagne. Mais là encore, c’est une doctrine contestée ! L’ARGUMENT METEO Certains coureurs ne supportent pas de courir en cuissard long, même quand, sur les courses de printemps, les températures sont glaciales. Il y aurait donc l’utilisation de la (Suite page 14) 13 SOCKS (Suite de la page 13) chaussette haute pour conserver le bas de la jambe et la cheville un peu plus au chaud. A l’inverse, l’été, cela peut amener à un bronzage particulièrement ridicule, enfin, peut-être pas pour vous-mêmes qui adorez ça mais pour votre ami qui ira à la plage avec vous et devra supporter les regards ahuris sur ce bronzage de cycliste complètement fou, car si on analyse bien la situation, cela laisse peu de place au soleil entre le haut de la chaussette et le bas du cuissard ! L’ARGUMENT DE LA PERSONNE Il faudrait avoir le mollet long, allongé et affûté pour se permettre la chaussette haute ! C’est de la discrimination ! A L’INTERNATIONAL Nos amis du site anglophone velominati.com ont une section “règles”, comprendre la charte de bonne conduite du coureur. Ils ont d’ailleurs la bonne idée de consacrer la règle n° 27 au port de la chaussette cycliste : - Pour la taille, “pas trop long, pas trop court”, et ils s’empressent de citer Lance Amstrong et Sean Yates (maillot jaune du Tour 1994). Selon eux, la chaussette haute façon Amstrong est interdite; à l’inverse, la socquette juste au dessus de la cheville façon Yates aussi, celle-ci doit, selon eux, être réservée exclusivement aux... joueuses de tennis ! - Pour la couleur, qui fait l’objet de la règle n°28, ils sont plus fun puisque tu as le droit de choisir la couleur que tu aimes, sachant que le blanc est la vieille école et donc cool, et que le noir est cool parce qe noir, sauf si c’est porté façon texane, et là on a peine à imaginer un cow-boy en short avec chaussettes noires et baskets blanches !!! ANECDOTE - C’est à Lugnorre, en Suisse, que le cycliste australien Cadel Evans a découvert l’Europe, en 1998. Là qu’il a vécu pendant six ans, dans ce coin désert et calme du pays helvète. Il avait loué dans la maison de Rita Petter. La logeuse s’était mise aux petits soins pour lui. Le journal L’Equipe raconte : En six ans, Evans change trois fois d’appartement à Lugnorre, mais toujours dans la même maison. Et continue de donner son linge à Rita. « Il lui est arrivé d’avoir les fesses irritées, et son médecin lui a dit que c’était la poudre de lessive, alors je l’ai changée, raconte celle que l’Australien appelle affectueusement Madame Petter. « J’avais aussi remarqué que ses chaussettes étaient trouées au niveau du talon, donc je les raccommodais, jusqu’à qu’il dise qu’il le faisait exprès, parce qu’il voulait toucher ses pédales au plus près (il les utilisait parfois en couvre-chaussures). » www.veloderoute.com 14 SOCKS nouvelle VIDEO SHOW Un père et un fils se sont filmés alternativement. Ils proposent à leur amant de passage d’assister à leur show. L a première vidéo montrait Charly rentrant à la maison avec son sac à dos qu’il déposait par terre. Il prenait un jus de fruit dans le frigo et un biscuit dans l’armoire et allait vers sa chambre. Il se déshabillait mais gardait son boxer et ses baskets qu’il portait sans chaussettes. « Oh la la ! Que ça doit sentir fort là-dedans, » dis-je assez 15 haut pour être entendu. « À qui le dis-tu, ajouta Charly. D’ailleurs tu vas bien voir ! Attends ! » Mais Antoine ajouta également un mot : « C’est très bon que tu fasses des commentaires, Alex, c’est plus cochon. » Charly allait ensuite à la salle de toilette. On le voyait sortir sa bite pour pisser, puis il se ravisait. Il enlevait son boxer, mais gardait ses baskets, et entrait sous la douche. Jusque là, je me masturbais lentement en regardant le film, les jambes écartées pour laisser une bonne vue à Charly et à Antoine. Mais quand je vis Charly (toujours dans le film) ajuster sa queue en direction de sa bouche et se pencher pour attraper ce qui allait en sortir, mes mouvements s’accélérèrent. Il pointa sa bite vers sa figure et un puissant jet d’urine jaillit vers sa poitrine, sa figure et il en attrapa quelques gorgées avec sa bouche ouverte. Il arrêta subitement d’uriner comme s’il se ravisait ou voulait se placer autrement. Il se coucha dans le fond de la douche, leva ses jambes en l’air, toujours avec ses baskets aux pieds, dirigea le jet, rouvrit la bouche et se remit à pisser. Cette fois, il buvait tout et ne perdait presque rien. Repus de son auguste liqueur, il retourne dans sa chambre sans rien essuyer. Il s’assied par terre, enlève ses baskets et en sniffe l’intérieur. Au moment même où la forte odeur (Suite page 16) SOCKS placées sur le dessus bien à la vue. On comprenait alors que ce film était comme la suite logique du précédent. En sortant de la maison après sa douche, Charly avait délibérément placé sur le tas de linge ses baskets puantes contenant les giclées de sperme qu’il avait crachées dedans pour qu’Antoine les trouve en arrivant et ainsi, déclencher chez le père le même désir de se branler que le fils avait eu plus tôt. Finalement, dans le film, Charly explosa et des giclées de sperme se retrouvèrent dans sa bouche et sur sa figure. Mais il sembla ne pas avaler ce qui était dans sa bouche. Il le retint effectivement et, se redressant, il cracha une bonne gueulée de sperme dans l’une de ses baskets puantes. Rien qu’à songer à ce qui allait sans doute arriver, ma queue donnait des coups pour que je reprenne ma branlette avec sérieux. Antoine me regarda avec autorité et menaça de me menotter si je me branlais trop fort. J’avais mal dans le bas-ventre. J’ai tenté de me concentrer sur le film. J’y voyais Antoine prendre dans sa main la basket de Charly qui contenait sa semence et la sniffer pour s’assurer qu’il ne se trompait pas. Puis, il y plongea la figure et l’on vit remonter lentement sa langue puis sortir de la basket avec un long filament de foutre. Au même moment, Antoine me tendait effectivement une basket de Charly. Bien sûr, ce n’était plus celle du film en ce sens qu’elle ne contenait plus son sperme, mais il me dit qu’il avait porté cette basket toute la journée sans chaussette. Effectivement, j’avais remarqué cela en entrant, et aussi parce que l’odeur de ses pieds, quand il les avait déposé sur mes cuisses, était exceptionnellement forte, acide et même un peu étouffante. Il me recommanda d’en sniffer le contenu pour me brancher sur les sensations du personnage du film. Sentir les baskets de Charly en même temps qu’Antoine dans le film, c’était effectivement très excitant. L M Antoine prit la basket de Charly qui contenait sa semence et la sniffa. Puis, il y plongea la figure et l’on vit remonter lentement sa langue puis sortir de la basket avec un long filament de foutre. (Suite de la page 15) devait pénétrer dans ses narines, sa queue donna un bon coup et se dressa solidement vers le plafond. Il enfonça sa queue dans une de ses baskets et se masturba en même temps, faisant comme si sa queue pénétrait un vagin ou un cul. Il se coucha sur sa basket et continua de la pénétrer. On voyait les mouvements de ses fesses et ses couilles par derrière qui venaient cogner contre le talon de la basket. Au moment même où, dans le film, il retirait sa basket pour la sniffer de nouveau, dans le petit boudoir il avançait ses pieds et les déposait sur ma cuisse. L’odeur de ses pieds montait jusqu’à mes narines. C’était très excitant, à la fois virtuel et réel. Il se coucha sur le dos, lança ses jambes derrière sa tête et ramena lentement sa queue dans sa bouche pour se sucer. Juste avant de parvenir à la bouffer, il en sniffa le contour tout plein de l’odeur de ses baskets à laquelle s’ajoutait celle de son gland. « Ahhhh ! C’est super cochon, dis-je. Il va goûter à ses pieds en même temps qu’à sa queue. » e second film débuta semblablement au précédent. Antoine arrivait de travailler dans ses salopettes de travail. Il se dirigeait lui aussi vers le frigo mais prenait une bière au lieu d’un jus de fruit. En sortant de la cuisine vers le hall, il se dirigea directement vers le tas de linge sale, remarqua les baskets de Charly que ce dernier avait ais revenons au scénario du film ! Antoine se retirait dans son boudoir, mettait une autre vidéo d’une autre branlette de Charly assis sur le cabinet de toilette. Puis il s’enfonçait confortablement dans les coussins du boudoir. Tout en continuant de sniffer et lécher (Suite page 17) 16 SOCKS Opinion Littérature (Suite de la page 16) l’intérieur des baskets de son fils, Antoine se caressait le sexe au travers de sa salopette de travail. On voyait gonfler son machin. Il était un acteur impeccable car à aucun moment on eut l’impression que Charly était en train de le filmer. O n voyait Antoine ouvrir la bouche de désir et sortir la langue en regardant Charly écarter les jambes sur le cabinet de toilette, se masser les couilles avec sa main gauche, les soupeser en faisant gentiment le tour de sa poche et en allant caresser son anus avec ses doigts en enfouissant sa main derrière son scrotum. Antoine déboutonnait lentement sa salopette, laissait sortir sa grosse queue, la caressait de la main et dégageait bien le gland avec ses doigts. Il sentait ses doigts qui devaient avoir accrocher au passage, autour de son gland, toutes les odeurs accumulées là durant sa journée de travail et mêlait ces odeurs à celles des baskets en alternant le sniffage de ses doigts et celui des baskets. On le voyait ensuite enlever complètement sa salopette, sa chemise, ses bottes de travail, ses chaussettes humides, son slip et s’enfoncer dans les coussins après avoir récupérer une bouteille de poppers. Branlebas Extrait de « Bons baisers d’Alabama » (GE) Mes rapports aux Chaussettes porte-bonheur shoes par Kheiron* Je suis très heureux que la basket soit sortie du statut « basket = sportif ». Pour moi c’est un objet à part entière. Il était temps. En boîte de nuit, tu te fais plus emmerder par les videurs qui te disent « pas de baskets ». La basket, c’est l’équivalent du talon aiguille. Si c’est bien porté, c’est un accessoire de mode. Nous les artistes, on est un peu minimalistes, on s’en fout des codes. On porte ce que l’on veut. Moi, je me sens pas bien en chaussures de ville. Je suis toujours en baskets même quand je mets des costumes. Je suis accroc à Adidas. J’ai tout essayé mais je suis longtemps resté bloqué sur la Stan Smith et je suis resté fidèle à la marque. Je laisse toujours la chance aux autres shoes mais à chaque fois, c’est inévitable, je reviens vers Adidas. J’ai un pied un peu large et leurs modèles me vont bien. Ça rentre bien ! Un jour, mon ex m’a suggéré d’assortir la couleur de mes baskets à mes hauts et depuis c’est ma signature visuelle. Régulièrement, je dévalise les boutiques. Je veux des baskets de toutes les couleurs ! *Kheiron est humoriste et acteur de la série Bref (Canal +) D ans le taxi de Nankin à Shanghai. J’ai élucidé le mystère de l’odeur épouvantable qui règne dans cette voiture. Ce sont les chaussettes portebonheur de mon frère Doug. La chaleur qui règne en Chine les a dotées d’une puanteur nouvelle et remarquable. Après avoir passé son après-midi à ronfler, il s’étire de tout son long à présent pour s’approprier la banquette. Je ne recule que parce que je refuse qu’il s’approche de moi. Néanmoins, au cas où je mourrais d’asphyxie, ci-dessous ce que je sais de ces chaussettes fétides afin qu’on puisse le juger pour meurtre. Description : grosses chaussettes de marche en laine grise avec bande rouge au niveau de la cheville. Etat : l’une a le talon troué ; à l’avant de l’autre émerge une griffe jaunâtre (le gros orteil de Doug). Odeur : lait tourné par une journée torride. Passé : cadeau de Noël de Père il y a quatre ans lors de notre expédition au Bhoutan et dans l’Himalaya. N’ont jamais été lavées. Doug les porte lors de ses activités sportives (apparemment, c’est là qu’elles ont acquis leur statut de prétendu portebonheur) ainsi que pour tous ses examens. Aujourd’hui, il les a mises en l’honneur de notre prochaine rencontre avec le capitaine Fitzroy MacKenzie, notre nouveau tuteur. Joshua Mowll « Opération Zoridium » (Flammarion) 17 SOCKS Dvd STICHTAG (Pounding Day) Dans une cave délabrée, Alex, un lascar sexy, force le jeune Jordan à s’agenouiller, prend le temps de bien lui baiser la gueule, lui glaviotte dessus, lui colle ses Shox et ses cho7 humides dans la tronche, le défonce à le faire chialer et pour finir le laisse étalé dans sa crasse. JEUNES MACHOS EN RUT (avec Kenny Carlson, Mickael David) Filmée par Ali Lyck pour “Kallamacka”, une belle brochette de jeunes mecs bien dans leurs skets. Cinq scènes à la dure dans lesquelles le dominateur se montre sans merci envers le docile et le soumis. PLAISIRS D’ORIENT (avec Max Exe, Ruben Fux) Max se branle à son aise sur le sofa pendant que Ruben s’occupe de ses super Nike Shox et de ses cho7 blanches. Puis il lui défonce la gueule et le cul jusqu’à ce que tous deux jutent ensemble, dégoulinant de sueur. Deux lascars bandants se retrouvent dans les escaliers de la cave. Kenny s’avère très dominateur : il piétine EJAC DE OUF (avec Kirk James, Rado) Rado et Kirk baisent dans un bâtiment en ruine. Rado force son pote à le pomper bien à fond avant de lui bourrer le cul contre un vieux baril. Pour finir, il lui règle son compte en lui giclant abondamment dans la tronche. BONNE BOURRE EN CAVE (avec Alex Halwood, Jordan R. Jackson) son pote, se fait sucer et lécher les Airmax tout en fumant sa clope, pour ensuite lui faire prendre la meilleure position et le baiser sans merci. JUTE DE LASCARS DANS LES RUINES (avec Mickael David, Rado) Dans une maison en démolition, Rado bourre comme un malade le sexy Mickael. Il se fait ensuite lécher ses Nike blanches, lui enfourne sa bite dans la gueule et explose sur le punk, qui lui aussi finit par juter copieusement. 18 SOCKS Société Pompes à fric Le marché de la basket de collection obéit à la loi de la jungle. e magasin parisien House of Hoops, dans le quartier Châtelet-Les Halles, a tout d’un temple de la basket dans lequel les collectionneurs viendraient saliver et se prosterner devant le rayonnage de paires millésimées. Dans la réalité, les choses s’avèrent un peu plus compliquées, voire mouvementées. Récemment, une bagarre y a éclaté entre un vendeur et un client… L Depuis maintenant une dizaine d’années, le nombre de passionnés de baskets a considérablement augmenté. Résultat, face à une demande croissante, les baskets de collection sont devenues des objets terriblement exclusifs. « Il y a une sorte d’inconscient collectif débile autour de la sneakers et on se bat pour choper la paire de nos rêves », se désole le fondateur du site Sneakers.fr. C’est qu’une tension agite le petit milieu français des collectionneurs de baskets, prêts à faire le pied de grue pendant plusieurs heures puis à payer quelques centaines d’euros pour une paire exclusive. Au centre de la polémique, un système supposé de revente des modèles les plus rares au sein même de la boutique House of Hoops, propriété du géant Foot Locker et de Nike. « Ces derniers temps, nous n’arrivons pas à acheter dans ce magasin les paires que nous désirons parce que les vendeurs les trustent pour les revendre ensuite au moins trois fois leur prix pour arrondir leurs fins de mois », accuse la toute récente Union des consommateurs de sneakers (UCS). La spéculation a atteint un niveau tel qu’elle semble gangrener le monde de la basket. « L’achat et la revente ont pris le pas sur la passion, alerte Thibaut de Longeville, réalisateur du documentaire « Sneakers, le culte de la basket ». Si autant de monde veut récupérer des baskets aujourd’hui, c’est qu’ils savent qu’ils peuvent gagner de l’argent avec. Pour beaucoup, l’achat d’une paire est devenu une sorte d’investissement rentable. La culture sneakers se meurt ». Au final, la frustration des sneakers addicts met en lumière les problèmes de diffusion des baskets de collection. Pour l’UCS, les enseignes qui distribuent ces produits limités se fichent éperdument de leur disponibilité. « Ces magasins cherchent avant tout à vendre en grande quantité des baskets lambda, parce que c’est ce qui rapporte le plus. Ils se foutent des collectionneurs, ça ne représente rien pour eux. Alors, ils nous laissent nous battre pour un tout petit nombre de paires autour desquelles tout est permis », déplore l’UCS. (Source : Les Inrockuptibles) La Nike Air Yeezy 2 a débarqué La dernière frénésie concernant un modèle de baskets a secoué le monde début juin. Devant les magasins Nike, certains ont campé une dizaine de jours pour se procurer au moins une paire de cette pépite de chaussure. La paire de Nike Air Yeezy 2, imaginée par le rappeur Kanye West, a été commercialisée à un prix de 245 dollars. Oui, mais voilà, à propos de la mode il y a toujours des impatients et l'impatience a un prix, 89 000 dollars. C'est la somme déboursée par un internaute pour se procurer la paire de Nike Air Yeezy 2 avant tout le monde. La vente a eu lieu sur Ebay avec un système d'enchères. La Nike Air Yeezy 2 dépasse ainsi la réplique des chaussures portées par Marty McFly dans « Retour vers le futur » qui étaient partis au prix de 37 500 dollars. Inspirées des baskets des 80's, on retrouve dans la Yeezy 2 du cuir travaillé façon anaconda, une structure arrière moulée qui évoque une épine dorsale reptilienne, du nylon balistique, du nubuck et une semelle luminescente. Kanye West est le premier artiste a avoir signé un deal avec la marque Nike qui ne travaille qu'avec les sportifs. Il y a trois ans déjà la sortie des Yeezy 1 avait provoqué aux Etats-Unis une véritable frénésie. De 215 dollars la paire était rapidement montée à 1000 dollars. (www.booska-p.com) 19 SOCKS Pub 20
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