château palmer - Fort et Clair
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CHÂTEAU PALMER LA LÉGENDE D’UN, DEUX, TROIS SIÈCLES OU L’ÉPOPÉE PALMER www.chateau-palmer.com Contact Presse : FORT et CLAIR 2 rue d’Alexandrie - 75002 Paris - Tél : +33 (0)1 46 33 30 76 E-mail : [email protected] CHÂTEAU PALMER SOMMAIRE I. L’ÉPOPÉE PALMER………………………………………………………. 3 II. LE CHÂTEAU ET LE VILLAGE PALMER………..…………………... III. LE VIGNOBLE ET LES VINS …………………………………………… 6 IV. LA TETE, LA MAIN, LE CŒUR… LA PASSION PALMER 5 les hommes et les femmes de Château Palmer…………………………………. 8 V. REPÈRES……………………………………………………………………. 10 VI. INFORMATIONS………………….. ………………………………………11 2014 Contact Presse | FORT et CLAIR | 2 rue d'alexandrie | 75002 paris | T. +33 146 333 076 | [email protected] 2 L’ÉPOPÉE PALMER L’histoire de Palmer débute comme un roman : un homme, une femme dans une voiture de poste, ils s’observent, il se plaisent… « Point de lendemain », aurait-on dit au Siècle des Lumières, une rencontre et on se quitte bons amis. 1814 : le colonel Palmer arrive en France avec les troupes du futur duc de Wellington. Paré de lauriers – de soldat, mais aussi de séducteur -, l’homme est ouvert à tout. C’est pourquoi sa rencontre avec Madame Marie de Gascq au gré d’un voyage en diligence à Paris portera des fruits inattendus. Ils se plaisent, comme dans le roman de Vivant Denon. Madame de Gascq divorcée et veuve depuis peu, désire se défaire d’une propriété viticole en Médoc. « C’est aussi bien que Château Lafite » dit-elle. Qu’à cela ne tienne, Palmer se laisse séduire, il achète ! Entreprenant, passionné, Charles Palmer (1777-1851) comprend la valeur de son acquisition et s’emploie à la magnifier. De 1816 à 1831, la propriété enfle en terres et en bâtiments sur les communes de Cantenac, Issan et Margaux. Charles Palmer, voit beau, voit grand. Engagement trop lourd pour le désormais major général, il ne peut faire face et doit vendre en 1843 à la Caisse hypothécaire. Mais en une décennie, il a su donner à Château Palmer, avec son nom, son style, tout en profondeur, en charme envoûtant. La Saga PEREIRE Deux frères parmi les personnalités les plus brillantes de ce début du second Empire, Émile et Isaac Pereire, ne rêvent que de Château Palmer. Pour ces Bordelais qui ont fait fortune dans les activités de pointe – chemins de fer, immobilier et l’invention de la ville d’Arcachon, banque, en créant le Crédit mobilier, transatlantiques -, l’acquisition de Château Palmer arrive comme une consécration en juin 1853. Ils réorganisent le vignoble, font construire en 1856 ce lieu symbolique : un exquis château de légende, porte-étendard des vignes et des bâtiments du village. Un seul regret, le temps leur a manqué pour hisser Château Palmer au premier rang lors du classement de 1855. Quand le second Empire sombre avec la défaite de 1870, l’étoile Pereire a déjà pâli. Oïdium et phylloxéra, couple maudit, attaquent les ceps à la fin du siècle ; la Grande Guerre, la crise des années trente soumettront les descendants des frères Pereire à dure épreuve. Il faudra céder. Une gestion FAMILIALE En 1938, quatre familles du négoce bordelais s’unissent à part égale pour reprendre Château Palmer : Fernand Ginestet, les frères Miailhe ainsi que les Mähler-Besse et les Sichel dont les descendants sont les actuels propriétaires. Deux d’entre elles quitteront la société, mais les Mähler-Besse et les Sichel en ont fait une affaire de cœur. Ces deux familles fidèles perpétuent à Château Palmer les principes qui ont contribué à la prospérité de ce grand cru : authenticité, qualité et pérennité. Contact Presse | FORT et CLAIR | 2 rue d'alexandrie | 75002 paris | T. +33 146 333 076 | [email protected] 3 Originaire des Pays-Bas, la famille Mälher s’est imposée dans le commerce du textile et le négoce des vins. Le fondateur de la dynastie franco-néerlandaise, Frédérick Mälher, installé à Bordeaux avec son épouse Marguerite Besse, souhaite en 1938 acheter une propriété. Ses amis Sichel, Miailhe et Ginestet le persuadent de se lancer à leurs côtés dans l’aventure Château Palmer. Son fils Henry puis son petit-fils Franck assument la direction de la société de 1945 à 2007. C’est aujourd’hui le tour de Stéphanie Faguer, sœur de Franck. En 1938, Allan Sichel acquiert Château Palmer alors que les plus grands châteaux de Bordeaux traversent une période difficile. C’est un pari que cet achat, motivé par l’amour fou des vins de Bordeaux et, entre tous, de la noblesse naturelle de Château Palmer. Allan Sichel a déjà créé, à l’époque, en Angleterre, sa propre maison spécialisée aujourd’hui dans la distribution de grands crus, tandis que ses frères ont mené la même entreprise, l’un en France, l’autre en Allemagne. Peter, le fils d’Allan, passionné comme son père, s’installe à Bordeaux en 1960. Il y épouse Diana, d’origine anglaise. Leurs fils Allan, James, Charles et David poursuivent aujourd’hui son œuvre au sein de la maison Sichel. À Édouard Miailhe revient la lourde tâche de gérer la propriété sous l’occupation. Après les drames de la guerre et la détérioration du château par les troupes allemandes, les années 1950 voient la reconstruction du vignoble sous la gérance de Jean Bouteiller, gendre de Frédérick Mälher, actionnaire majoritaire de l’époque. Son fils, Bertrand Bouteiller lui a succédé en 1962. Quarante-deux ans à la tête du domaine, c’est toute une vie entièrement dédiée à Château Palmer qui s’était ouverte en apothéose avec le millésime 1961. Cette année devient légendaire pour sa splendeur et consacre le statut de Château Palmer comme l’un des meilleurs grands crus de Bordeaux. La vie quotidienne du domaine a été confiée à une famille, les Chardon, dont les membres restent liés à Château Palmer. La direction technique revient en 1996 à Philippe Delfaut. En 2004, les actionnaires confient les rênes de Château Palmer à Thomas Duroux, ingénieur agronome et œnologue. À son arrivée, à trente-quatre ans, Thomas Duroux a déjà vinifié à travers le monde, mais retrouve avec émotion le terroir bordelais dont il est originaire. Depuis 2007, la direction technique est assurée par Sabrina Pernet. Contact Presse | FORT et CLAIR | 2 rue d'alexandrie | 75002 paris | T. +33 146 333 076 | [email protected] 4 LE CHÂTEAU ET LE VILLAGE PALMER Le château à Bordeaux n’est pas toujours de pierre, c’est un tout dont le nom englobe les valeurs visibles et invisibles dédiées à l’élaboration d’un vin d’exception. Dans le cas de Palmer, pas de doute : le château en est bien un. Son style, à l’image du vin qui y naît, est un assemblage unique et original. Profondeur de la conception, élégance classique, avec des fulgurances Renaissance et de liberté baroque : Palmer, château et vin, échappe aux efforts de classification, il est au-delà des normes. Les frères Pereire ont voulu cet emblème du domaine qu’ils avaient conquis en 1853. Le château de leur rêve est bâti en 1856 par l’architecte Charles Burguet, actif à Bordeaux et dans le Médoc. Sa situation est idéale. À un détour de la célèbre départementale n° 2 qui sillonne les vignobles du Médoc surgissent les tourelles de Château Palmer, les drapeaux, un pour chacune des familles sociétaires : hollandais, anglais et français, ou bien encore celui qui accueille un visiteur ou tout amoureux de Château Palmer. Joyeuse courtoisie claquant au vent de la Rivière. Dans le château, un lieu concentre tous les fantasmes : l’œnothèque. Dissimulée dans le couloir par lequel on passe du château au village, passage secret des légendes, elle recèle les trésors Château Palmer. On aperçoit les bouteilles soigneusement rangées à travers un œil de bœuf grillagé. Les millésimes de Château Palmer y dorment, dont le plus ancien reste un témoignage du XIXe siècle : deux bouteilles de 1875… Village Palmer, cœur de domaine Si le château est la cerise sur le gâteau, l’éclat dans l’œil de Don Juan, l’âme du domaine, le village en est le cœur. Là se concentrent la vie au quotidien, l’activité du domaine. Tous les bâtiments y sont réunis, ceux du savoir-faire et ceux du faire-savoir. Château Palmer, c’est un vin, un terroir, une demeure, mais c’est aussi une communauté d’hommes et de femmes vivant de lui et pour lui. À l’origine, ce hameau a été conçu pour faire vivre en autarcie une petite société rurale constituée de noyaux familiaux comme l’étaient et le sont toujours les Chardon : maître de chai, régisseur, ouvriers de chai, vignerons et vigneronnes. Le cuvier, où le cœur fait tic-tac Son imposante charpente de bois adoucit de ses reflets dorés l’éclat métallique des cuves. Elle a permis l’installation d’un plancher sur de larges poutres, où se donnent des soirées d’exception. Mais le cuvier est d’abord un lieu de travail qui combine en harmonie les choix fonctionnels et architecturaux, entièrement repensé en 1995. Ses quarante-deux cuves tronconiques thermorégulées en inox permettent une vinification de précision. L’activité s’y déploie pendant les vendanges, cœur battant au cœur du domaine : cépage par cépage, parcelle par parcelle, lot par lot, les raisins rejoignent les cuves pour livrer leur jus. Organisation rigoureuse et méthodique, sens du détail et respect de règles d’hygiène strictes, autant de principes qui assurent au vin une naissance en gloire. Contact Presse | FORT et CLAIR | 2 rue d'alexandrie | 75002 paris | T. +33 146 333 076 | [email protected] 5 Secrets de chais Château Palmer est doté de deux chais. Dans celui dit « de première année » sont entreposées les barriques qui viennent de recevoir les vins du millésime. Elles y séjournent pendant la première année d'élevage avant d'être remplacées par une nouvelle vendange et de rejoindre le chai de deuxième année, récemment rénové. Élevage ou éducation ? La mise en barriques de chêne neuf fait partie du processus classique d'élaboration des grands crus de Bordeaux. À Château Palmer, l'élevage est en fait une véritable conception de l'éducation : mesure, attention aux besoins de chaque millésime, suivi constant de l'évolution du vin pendant son séjour dans les chais. Le boisé doit fonctionner comme un exhausteur de goût. La proportion de barriques neuves ne dépasse pas 45 à 60 % pour Château Palmer et 25 à 40 % pour Alter Ego. Dans le clair-obscur du chai, le vin passe par les différentes étapes de son élevage comme autant de cérémonies d’une liturgie initiatique : ouillages, soutirages, collage au blanc d’œuf. LE VIGNOBLE ET LES VINS Château Palmer, un vin, un grand cru, une œuvre d’art Cinquante-cinq hectares de graves maigres roulées depuis les Pyrénées et déposées là en des temps très anciens par la « Rivière, cette Gironde qui ouvre l’horizon vers l’océan. Sur ces graves, la densité de plantation très élevée de 10 000 pieds par hectare, le labour des sols réguliers qui augmente la concurrence entre les pieds et favorise l’enracinement en profondeur. Des parcelles à peine surélevées sur le plateau, chacune avec son tempérament, où les ceps de merlot et de cabernet-sauvignon, sans oublier la touche de petit verdot, sucent le sang de la terre, boivent un air idéal, se baignent dans la lumière. Ici, s’accomplit le très ancien rêve des hommes : créer de la beauté, de la bonté, sans violence, par le travail, le courage quotidien, l’observation, le savoir et le goût. CHÂTEAU PALMER : Un style unique que le temps magnifie Le style de Château Palmer, ancré dans l’histoire, expression de son terroir, dépasse modes et tendances. Finesse et élégance sont des traits permanents de l’identité de Château Palmer, à l’instar des plus grands margaux : douceur et préciosité de la soie, chaleur du velours, noblesse du cuir. Expression d’un encépagement original où le merlot et le cabernet-sauvignon à égalité se complètent du petit verdot, Château Palmer révèle un bouquet d’une extraordinaire complexité où se mêlent les fruits, les fleurs, les épices, dans une structure charnue et généreuse. Contact Presse | FORT et CLAIR | 2 rue d'alexandrie | 75002 paris | T. +33 146 333 076 | [email protected] 6 Cet équilibre subtil entre richesse aromatique et puissance des tannins, sa persistance en font un vin au charme incomparable. Un élevage long en barrique est essentiel pour exprimer au mieux le terroir de graves, et permettre au vin de Château Palmer de révéler tout son volume et sa chair. Cette évolution se poursuit très lentement en bouteille pendant de nombreuses années et même plusieurs décennies. La patience est récompensée devant un millésime ancien : il exhale une finale aromatique riche, complexe, parfois exotique, toujours inoubliable. Enfin vient l’heure de la dégustation. Celle-ci est une rencontre entre deux êtres vivants, l’homme et le vin, qui se livrent l’un à l’autre. Le dégustateur a toujours des attentes à l'égard du vin qu’il a choisi : un bon vin les comble, Château Palmer les dépasse, sensations et émotions mêlées. ALTER EGO : Une autre expression du terroir Palmer Palmer et son Alter Ego sont deux traductions du terroir de Château Palmer, deux interprétations des variations offertes par les conditions climatiques de chaque millésime. Partant des mêmes principes de profondeur, de complexité, en musique, on ferait une symphonie et un riff de jazz, en art plastique une grande peinture et une installation, en poésie une épopée et un poème en prose. La beauté toujours. Alter Ego a vu le jour avec le millésime 1998. C’est le résultat d'une nouvelle approche dans les sélections et les assemblages visant à donner du terroir de Château Palmer une traduction respectueuse des valeurs qui en font la réputation : finesse et élégance, richesse aromatique, harmonie et longueur. Offrant un fruit intense, croquant et juteux, Alter Ego est un vin spontané, plein de naturel, tout en souplesse et rondeur dès la fin de l’élevage. La gourmandise de ses arômes et la suavité de ses tannins apparaissent aux premières années de bouteille. Les décisions en matière de vendange et de vinification dépendent du style de Château Palmer et d’Alter Ego. Pour Alter Ego, il faut des raisins gourmands qui vont libérer des arômes de fruit frais. Les dégustations en vue des assemblages confirment les intuitions du « croquage » des raisins en pleine vigne. Alter Ego est mis en barriques pour un élevage de dix-huit mois. Le fruit et l’intensité des arômes du vin sont préservés par une proportion mesurée de barriques neuves (25 à 40 %). Contact Presse | FORT et CLAIR | 2 rue d'alexandrie | 75002 paris | T. +33 146 333 076 | [email protected] 7 LA TÊTE, LA MAIN, LE CŒUR… LES HOMMES ET LES FEMMES DE PALMER L’Histoire de Château Palmer l’a montré : il y a le vignoble, et il y a les hommes et les femmes. Les archives de Château Palmer ont conservé les noms des individus, des familles entières qui, dans le passé, ont entamé et perpétué cette œuvre. Depuis les plus modestes vignerons et vigneronnes qui façonnent le sol et le cep, et tout le paysage alentour, aux « artistes du vin », qui créent ensemble, à partir d’une matière composite et informe, mais infiniment pensée, préparée, étudiée, ce chef-d’œuvre qu’est un millésime de grand cru. Et qui le conduiront, l’élèveront en artistes, s’alliant au temps, jusqu’au moment parfait de la dégustation de Château Palmer. THOMAS DUROUX, Directeur Général - L’art et la science Thomas Duroux a trente-quatre ans lorsqu’il succède à Bertrand Bouteiller, en juillet 2004, au poste de gérant de Château Palmer. Ingénieur agronome et œnologue, il apporte avec lui dix ans d’expérience de vinification de grands vins à travers le monde : Bordeaux, Hongrie, Afrique du Sud, Californie et Toscane. De retour sur son terroir d’origine, Thomas Duroux peut concrétiser une nouvelle vision des grands crus de Bordeaux. Pour élever toujours plus haut la réputation de Château Palmer, il va revisiter les pratiques à toutes les étapes : à la vigne pour baisser de la façon la plus naturelle les rendements ; à la vendange dans le choix des maturités ; lors des sélections d’assemblage ; et même lors de la mise en marché. Il veut faire entrer Château Palmer, qui a profité pleinement de l’ère de l’œnologie, dans l’ère de l’agronomie. Maître des équilibres, toujours en quête de plus de profondeur, d’élégance, de raffinement des vins de Château Palmer, Thomas Duroux met en jeu dans cette tâche non seulement son goût assuré sur l’expérience, son respect d’une tradition incomparable, mais encore sa jeunesse, son indépendance d’esprit, son inventivité, son sens de l’innovation. SABRINA PERNET, Directrice Technique – Croqueuse de raisin hautement qualifiée La directrice technique de Château Palmer depuis 2007 a fait ses études à Bordeaux, venant de sa Normandie natale. Ingénieur diplômé de l’ENITA en viticulture, œnologie et économie viticole, elle est également œnologue diplômée de la faculté d’œnologie. Beau parcours, formation scientifique pointue : Sabrina Pernet sillonne les vignes tout au fil des saisons. Elle est assistée par Jacques Dupin, chef de culture, un Tourangeau voyageur, passionné de grands vins, qui a assuré la direction technique d’un cru bourgeois du Médoc et d’Olivier Campadieu, maître de chai, originaire du Roussillon, fils et petit fils de vignerons, qui a travaillé dix-sept ans dans un cru classé de Saint-Julien, titulaire d’un BTS œnologie. Sabrina Pernet croque le raisin pour en évaluer le degré de maturation, par exemple, opération complétée au laboratoire par des analyses fines, et elle participe, bien entendu, aux sélections d’assemblage. Au chai, elle épaule Thomas Duroux dans tous les choix de vinification et d’élevage. Sa jeunesse lui confère une fraîcheur de regard toujours bienvenue pour bousculer habitudes et certitudes. Ce qu’elle fait avec un enthousiasme communicatif. Question de caractère, qui fait sa place toujours à la passion Château Palmer. Contact Presse | FORT et CLAIR | 2 rue d'alexandrie | 75002 paris | T. +33 146 333 076 | [email protected] 8 Pendant ce temps, au village Palmer… ANNABELLE GRELLIER, Responsable Communication et Relations Publiques Annabelle Grellier a grandi au coeur des vignes de la Grande Champagne en Charente. Elle est en charge de la communication du Château depuis 2011, après dix années passées au sein d'une grande maison de Cognac puis du plus prestigieux maroquinier français. Elle gère les relations publiques, la presse, ainsi que le site internet dans lequel tout amateur de Château Palmer est invité à voyager, car « La connaissance augmente le plaisir ». Les réceptions qu’Annabelle organise au Château avec son équipe sont autant de moments privilégiés pour les hôtes de Château Palmer de connaître mieux les lieux, les hommes et les vins. SANDRINE MARSAN est en charge au domaine des questions administratives, comptables et financières. MARTINE MERLEN, tout en assistant la direction, anime l’intendance du château et du Village Palmer. CÉLINE CARRION, hôtesse du domaine, accueille et guide les visiteurs dans la découverte de la propriété et des vins. OLIVIER ROSA, chef cuisinier, virtuose des accords mets-vins, régale les hôtes conviés au Château. Des hommes, des femmes, tous vignerons et vigneronnes dans l’âme, quelle que soit leur fonction au domaine, caressant du regard et des mains ces vignes qui leur donnent le meilleur d’elles-mêmes, tous attentifs au secret des cuves, à la magie qui s’accomplit dans les barriques, participant tous à l’apparat – de travail, de savoir, d’action – qui précède et prépare la dégustation d’un verre de Château Palmer. Contact Presse | FORT et CLAIR | 2 rue d'alexandrie | 75002 paris | T. +33 146 333 076 | [email protected] 9 Repères Propriétaire : La Société Civile du Château Palmer, constituée en 1938 par des familles d’origine française, anglaise et hollandaise. Origine : Charles Palmer, major général anglais, acquit le domaine en 1814. Entrepreneur passionné, Charles Palmer agrandit et modernise le domaine, méritant de donner son nom à l’un des plus beaux domaines de Margaux. Superficie du vignoble : 55 hectares répartis sur les moutonnements de la commune de Cantenac. L'essentiel des parcelles est concentré sur un plateau de graves de l'ère de Güntz, situé au sommet des croupes de l'appellation Margaux. Sols : Graves profondes. Encépagement : 47 % merlot ; 47 % cabernet-sauvignon ; 6 % petit verdot. Densité : 10 000 pieds par hectare. Âge moyen des vignes : 38 ans. Vendanges : Manuelles, tri des raisins à la vigne, puis au cuvier avant et après égrappage. Vinification : Traditionnelle en cuves inox tronconiques et températures régulées, effectuée par cépage et par parcelle. Durée d’élevage : 20 à 21 mois pour l’assemblage Château Palmer, 17 à 18 mois pour l’assemblage Alter Ego. Vieillissement en barriques neuves : 45 à 60 % pour Château Palmer et 25 à 40 % pour Alter Ego. Élevage des vins : Logés en barriques dès la fin des fermentations malolactiques, collage au blanc d’œuf, soutirage au fin par gravité. Mise en bouteille : au Château. Volume moyen produit en Château Palmer : 10 000 caisses soit 120 000 bouteilles. Volume moyen produit en Alter Ego : 8 000 caisses soit 96 000 bouteilles. Personnel permanent travaillant à la propriété : 40 personnes. Personnel pendant les vendanges : 150 personnes environ. Contact Presse | FORT et CLAIR | 2 rue d'alexandrie | 75002 paris | T. +33 146 333 076 | [email protected] 10 Château Palmer 33460 Margaux France Tél. : +33 (0)5 57 88 72 72 Fax : +33 (0)5 57 88 37 16 http://www.chateau-palmer.com Facebook: www.facebook.com/ChateauPalmer Twitter: twitter.com/ChateauPalmer Contact Presse Jeannine Coureau - Laurence Desmousseaux FORT et CLAIR 2 rue d’Alexandrie - 75002 Paris - Tél : +33 (0)1 46 33 30 76 Email : [email protected] 2014 Contact Presse | FORT et CLAIR | 2 rue d'alexandrie | 75002 paris | T. +33 146 333 076 | [email protected] 11