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JANVIER 2007
Bulle n Paroissial de liaison Pibrac et Brax
Tél : 05.61.86.00.20
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SOMMAIRE
EDITORIAL
Éditorial
Pages 3
Les 4 bougies
Page 4-5
Noël
Page 6
Comment parler de Dieu aux fiancés
Pages 7-8
Qu’as-tu fait de ton frère ?
Page 9-10-11
Publicités
Pages 12-13
Pastorale des funérailles
Pages 14-15
Témoignage
Page 16-17
Anniversaire de Frère Lucien
Page 18
Un temps fort d’aumônerie
Page 19
Charte des chercheurs de Paix
Page 20
Joies et Peines
Page 21
Agenda K.T réunions
Page 22-23
Messes
Page 24
Noël, un phare dans la nuit du monde
A regarder ce monde en ébulli on, à regarder la terre de Jésus marquée par la
violence, à regarder le contexte du travail aujourd’hui : pour les uns une recherche sans résultats, pour d’autres une pression usant les forces physiques
voire psychologiques, pour d’autres encore des heures interminables au détriment de la vie familiales ou d’un équilibre de vie,
À regarder ce monde aux milles contrastes, de la richesse criante aux sans abris,
on peut s’interroger : y-a-t-il encore des raisons d’espérer, de croire en un avenir
meilleur ?
Vivre dans ce monde relève souvent d’un combat permanent: il faut toujours se
ba&re pour avoir sa place, pour garder sa place. C’est souvent la nuit du doute,
la nuit du désespoir, la nuit de la fa gue, la nuit de l’exclusion, la nuit de la
souffrance.
Y-a- l encore des raisons d’espérer un meilleur goût de vivre?
Et si Noël n’était pas comme un phare dans la nuit de nos vies ?
Un phare qui fait signe dans la grisaille, dans la tempête. Ce phare, n’est-il pas
l’étoile de Bethléem pour annoncer que l’enfant de la crèche est la lumière du
monde.
L’enfant de Bethléem est là pour éclairer nos routes, pour donner sens à nos
vies souvent tumultueuses, désorientées par les épreuves que nous traversons.
L’enfant de Bethléem nous est donné pour nous dire combien au cœur de nos
difficultés comme de nos réussites Dieu est au milieu de nous, avec nous, en
nous.
L’Emmanuel est là, pour nous manifester l’Amour infini du Père pour tous les
hommes, pour nous révéler que Dieu marche avec nous et nous
apporte la
paix sur les chemins escarpés de nos vies.
Alors, comme un marin pêcheur en mer apercevant le phare, l’Espérance ne
peut qu’éclater en ce&e nuit de Noël. L’espérance ne peut que nous redonner
confiance. L’Espérance ne peut que nous apporter la force de croire que l’Amour
est toujours possible, que le Partage est toujours d’actualité, que la paix est toujours nécessaire, que la joie est toujours vitale dans le cœur des hommes.
Alors, oui, nous ne pouvons que nous associer aux messages des
bergers pour chanter :
« Gloire à Dieu et paix aux hommes qu’Il aime »
Joyeux Noël à tous Bonne année 2007.
Père Jean Do
3
Les 4 bougies
Les quatre bougies brûlaient lentement.
L'ambiance était tellement silencieuse
qu'on pouvait entendre leur conversation.
La première dit :
'' Je suis la Paix !
Cependant personne
n'arrive à me maintenir allumée.
Je crois que je vais m'éteindre.''
Sa flamme diminua rapidement,
et elle s'éteignit complètement.
La deuxième dit :
'' Je suis la Foi !
Dorénavant je ne suis plus indispensable,
cela n'a pas de sens
que je reste allumée plus longtemps.''
Quand elle eut fini de parler,
une brise souffla sur elle et l'éteignit.
Triste, la troisième bougie se manifesta à son tour :
'' Je suis l'Amour !
Je n'ai pas de force pour rester allumée.
Les personnes me laissent de côté et
ne comprennent pas mon importance.
Elles oublient même d'aimer ceux
qui sont proches d'eux.''
Et, sans plus attendre, elle s'éteignit.
4
Je n'ai pas de force pour rester allumée.
Les personnes me laissent de côté et
ne comprennent pas mon importance.
Elles oublient même d'aimer ceux
qui sont proches d'eux.''
Et, sans plus attendre, elle s'éteignit.
Soudain... un enfant entre
et voit les trois bougies éteintes.
'' Pourquoi êtes-vous éteintes ?
Vous deviez être allumées jusqu'à la fin''
En disant cela, l'enfant commença à pleurer.
Alors, la quatrième bougie parla :
'' N'aie pas peur, tant que j'ai ma flamme
nous pourrons allumer les autres bougies,
je suis l'Espérance ! ''
Avec des yeux brillants,
l'enfant prit la bougie de l'Espérance...
et alluma les autres.
Que l'Espérance ne s'éteigne jamais
en nos coeurs et que chacun de nous
puisse être l'outil nécessaire pour maintenir
l'Espérance, la Foi, la Paix et l'Amour !
5
COMMENT PARLER DE DIEU
AUX FIANCES ?
Noël
Noël !
Gloire à Dieu au plus haut des cieux !
Le beau miracle !
La grande merveille s'est accomplie !
Le ciel, cette nuit, a visité la terre .
Noël ! Pour moi, c'est la Fête des Fêtes,
celle où le ciel s'unit si magnifiquement à la terre
et où l'Enfant Dieu continue à se faire,
à naître en chacun de nous ... si nous l'appelons.
Noël ! Noël !
C'est Jésus Rédempteur !
Que pouvonspouvons-nous contempler de plus beau !
Que pouvonspouvons-nous admirer de plus sublime,
Que pouvonspouvons-nous adorer de plus merveilleux
que la naissance du Fils de Dieu,
Jésus venu apporter et allumer le feu (son Feu)
sur la terre.
Quand une étincelle de cet amour a jailli dans un coeur
il incendie l'âme du désir de connaître et d'aimer
ce Dieu toujours plus...de l'aimer sans partage,
comme il veut qu'on l'aime.
Dieu s'abaissant jusqu'à la créature
pour lui permettre d'aller jusqu'à lui...
(Suite)
Comment devient-on chrétiens dans notre société?
D’après Daniel Hervieu-Leger, 5 dimensions prévalent :
Une dimension communautaire : Parce que nous appartenons au Christianisme, qu’il fait partie intégrante de notre société et de notre éducation, nous
avons reçu le baptême, préparé la communion…. La suite est donc le sacrement
de mariage
Une dimension éthique : Parce que nous adhérons à des valeurs du message
religieux. Même si nous ne les partageons pas tous ou si nous les déconnectons de
la foi, nous reconnaissons leurs valeurs. Les 4 piliers du mariage chrétien : liberté,
fidélité, indissolubilité et fécondité sont les signes même de l’engagement qu’ils
veulent prendre même s’ils préssentent plus qu’ils ne réalisent les raisons de ce
choix.
Une dimension culturelle : On s’affirme catholique, sans partager tout. On
revendique l’appartenance à un groupe culturel, partage d’un bien commun, d’un
patrimoine : rites-doctrine-histoire, même si on n’assimile pas toutes les valeurs.
Une dimension émotionnelle : Celle-ci, difficile à exprimer, vient des profondeurs d’eux mêmes. Ils ont perçu un sentiment de communion collective lors
d’événements forts, vécus ou visualisés : mariage d’un copain, JMJ, Taizé…
Une dimension spirituelle : L’Amour les dépasse, il ne peut pas être que humain, quand il est là on ne peut pas revenir en arrière. Ils se posent des questions
existentielles : Amour, toujours transmission aux enfants, éducation chrétienne…
« C’est sur ce terrain qu’ils nous attendent, même s’ils ne perçoivent
souvent qu’une ou deux de ces dimensions. Ils sont demandeurs et le
mariage est pour eux « une démarche spirituelle qui les dépasse ! »
« l’Esprit Saint nous précède au cœur des hommes et accueillir leur demande c’est reconnaître une démarche qui doit laisser présumer d’une
intention religieuse ». Comme disent nos évêques.
Marthe Robin
6
7
Le rituel un chemin de foi pour les fiancés.
Le rituel : un trésor, 15 siècles de pratiques de prière de gestes humains et
un outil pour célébrer le sacrement.
C’est la prière que l’Église adapte, transforme, transmet au cours des
siècles. Il se comprend de l’intérieur, en intelligence, il nous apprend qui
nous sommes et nous nourrit de Dieu.
C’est une action de tous : Liturgie : gestes, chants, lectures, prières…qui
nous fait avancer parfois à notre insu. Il recouvre la dimension ecclésiale et
trinitaire avec les rites d’ouverture, la dimension religieuse et le sens du
mariage chrétien avec la liturgie de la parole et la célébration du sacrement,
puis fait mémoire de ce sacrement à entretenir tous les jours en partant en
mission : de parents, de citoyens, de chrétiens…
De l’engagement inconditionnel des fiancés à une communauté de vie et
d’amour, avec le geste humain de l’échange des consentements et des alliances, Dieu répond par un geste divin du sacrement à travers la bénédiction nuptiale, leur donne son esprit et les envoie en mission pour accomplir
dans la durée le don de la vie et participer à la construction de son Église.
Le rituel, une liturgie qui passe par les actes et non une catéchèse qui passe
par l’enseignement.
Le rituel, un lieu majeur où on se vit, on se dit, on se construit.
(à suivre)
8
QU’ASQU’AS-TU FAIT DE TON FRÈRE ?
(Suite et fin)
3– Les principaux chan ers de la fraternité.
Parmi bien d’autres, nous souhaitons attirer l’attention sur trois chantiers
essentiels:
* la famille
(…) Nous sommes conscients, comme chacun, des fragilités de la vie familiale dans
un monde épris d’épanouissement individuel et soumis à de nombreuses sollicitations. Ces fragilités renforcent la nécessité de promouvoir l’institution familiale.
Nous aussi, nous sommes pour l’épanouissement de la personne, mais un
épanouissement qui soit pleinement responsable, qui respecte la dignité humaine, la
défense des faibles et permette l’instauration d’une société de confiance.
Comment construire la confiance si la société accepte l’exclusion des plus faibles,
depuis la pratique de l’avortement jusqu’à la tentation de l’euthanasie ?
Comment construire la confiance s’il est des malheurs que l’on ne peut exprimer:
- par exemple, la difficulté pour une femme, dans certains cas, de refuser l’avortement devant les pressions qui s’exercent sur elle;
- ou la difficulté pour les enfants d’exprimer leur souffrance face au divorce de leurs
parents;
- ou celle d’enfants qui ne peuvent exprimer leur désarroi d’ignorer qui est leur père
ou leur mère.
Et comment peut-on parler de ces traumatismes, sans tenir compte de leurs conséquences sur la vie sociale ? Il est normal que l’État se préoccupe des situations difficiles.
L’Église est prête, à leur propos, à prendre part à un débat loyal où son avis
ne serait pas disqualifié au départ ou marginalisé. (…)
Parmi les difficultés de rencontrer les familles, le logement est sûrement un
problème majeur. Notre pays connaît aujourd’hui une crise profonde du logement.
Son coût conduit trop de familles à un éloignement de leurs lieux de travail, source
d’ épuisement et de déstructuration. L’accès à la propriété reste souvent un rêve
inaccessible. Les logements sociaux sont trop peu nombreux, pas toujours habités
par ceux qui y auraient droit ou alors isolés dans des quartiers sans mixité sociale.
La séparation des couples et la recomposition des familles augmentent les besoins
9
Dans l’église, cependant,il n’y a pas d’étranger: le baptême fait accéder,
où que l’on soit, à la « citoyenneté » chrétienne et l’Évangile nous appelle à une frater-
* le travail et l’emploi
(…) Si le lien social se fragilise dans notre pays, beaucoup pensent que c’est largement à cause du chômage. (…)
La situation de l’emploi est, pour beaucoup aujourd’hui, une cause de difficulté et
de souffrance. Pour la majorité des Français, l’emploi est une cause nationale pour
laquelle des choix et des efforts, personnels ou collectifs, doivent être consentis.
Par exemple:
- choisir, pour les jeunes, une filière qui corresponde à la fois à leurs goûts, à leurs
aptitudes et aussi aux besoins du pays;
- accepter, pour le salarié, de se syndiquer et de penser que les entreprises ont besoin de ce partenariat pour continuer à s’adapter;
- oser fonder une entreprise ou prendre une responsabilité dans un monde économique souvent chaotique;
- permettre, pour le chef d’entreprise, que les salariés prennent part aux décisions
qui les concernent.
Bien des efforts sont aussi nécessaires pour embaucher, former, accepter des apprentis, valoriser le travail manuel. Effort enfin de tous pour soutenir les chômeurs
dans leur recherche de travail.
* La mondialisation et l’immigration
(…) Nous nous sommes habitués à la libre circulation de l’argent, des marchandises, des informations, mais nous sommes plus réticents face à la liberté de circulation des personnes. Peut-on à la fois pratiquer la liberté du commerce, tout en
barrant la route aux immigrés ou en les renvoyant chez eux ?
nité universelle. Dans bien des communautés, les étrangers ont le souci de partager
avec d’autres, nous en sommes témoins !
La rencontre avec ces frères et sœurs venus d’ailleurs nous amène à poser fortement, dans le débat public, la question de l’extraordinaire inégalité qui règne dans le
monde. Sommes-nous attentifs aux choix politiques qui favorisent un développement
solidaire ? Sommes-nous prêts à modifier notre mode de vie, afin de permettre un réel
développement des pays les plus pauvres, en particulier en Afrique ?. Sommes-nous
prêts à partager concrètement pour les aider les pays les moins développés ? N’est-il
pas important de lancer cet appel aux Français ?
Parmi les migrants, beaucoup, pour s’établir en France, ont franchi des difficultés considérables et certains ont risqué leur vie. Pourquoi ne pas porter crédit cette volonté de rejoindre notre pays et ne pas se fonder sur elle pour leur trouver une place
dans la société nationale ?
Certes, nous ne pouvons pas recevoir tout le monde, mais il nous est aussi impossible de renvoyer tous les clandestins. Notre pays doit pouvoir continuer à recevoir
les réfugiés politiques et ceux qui risquent des persécutions, y compris religieuses,
dans leur pays.
Enfin, réguler l’immigration veut dire pourchasser les mafias et autres circuits d’immigration clandestine, employeurs véreux, marchands de sommeil, etc.
Conclusion:
(…) La fraternité est un objectif qui donne sens à la vie sociale et qui invite à
l’action politique. Elle passe par l’attention aux plus fragiles et le respect de
chaque personne humaine.
C’est dans ce cadre général qu’il faut réfléchir à la question de l’immigration.
Pour les chrétiens, l’accueil des migrants est signe de l’importance attachée à la fraternité. Le sujet est difficile et nous savons l’extrême sensibilité de nos concitoyens
en ce domaine. Comment pourrions-nous nier les problèmes ? Comment pourrionsnous nier qu’un pays comme le nôtre a des limites à sa capacité d’accueil ? Cependant, il convient de prendre notre juste part à cet accueil. Et juste, ici, veut dire de
façon généreuse. (…)
« Agissez en hommes libres, non pas en hommes qui font de la liberté un voile sur leur malice, mais en serviteurs de Dieu. Honorez tout
le monde, aimez vos frères, craignez Dieu »
(1er épître de Pierre 2, 16-17).
Nous estimons normal que notre pays définisse une politique de l’immigration. Cela fait partie de la responsabilité gouvernementale et tout gouvernement
doit faire face à cette question.
Conseil permanent de la conférence des évêques de France
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Paris le 18 octobre 2006
Sur www.la-croix.com
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PASTORALE DES FUNÉRAILLES
Nous sommes une douzaine à suivre une forma on en pastorale des funérailles
au rythme de 7 séances mensuelles autour de la soeur Xavière Emmanuelle Jacquart.
Ce&e forma on regroupe des personnes du doyenné Colomiers, Brax, Pibrac et
Léguevin.
Nous avons à témoigner humblement :
- DU SENS DE LA VIE , DE L’ESPERANCE EN LA
RÉSURRECTION ,
DE LA TENDRESSE DE DIEU POUR CHACUN
Nous vous proposons ce9e prière choisie par une par cipante :
Deux rencontres ont déjà eu lieu. Nous avons échangé sur la place de la mort
dans nos sociétés contemporaines et autrefois.
Auparavant, une solidarité de voisinage se faisait ins nc vement autour de la famille du défunt. Actuellement, la mort est plus cachée, confinée à la cellule familiale restreinte qui s’y trouve subitement confrontée.
L'Église a donc un rôle important à assumer car elle n'est pas étrangère à la
souffrance.
La communauté chré enne témoigne ainsi de la présence du Christ à nos côtés.
« Chaque fois que j'ouvre mes mains,
Chaque fois que je tente un sourire,
Une fenêtre s'ouvre en moi.
Il s'agit de me&re en place un accompagnement de la famille en deuil à travers
l'écoute parfois silencieuse mais toujours bienveillante des proches du défunt afin
de préparer le rite nécessaire des funérailles en sachant que le lien du défunt avec
Dieu ne nous appar ent pas car il est mystérieux.
La mise en oeuvre d'un rite approprié devra par conséquent tenir compte du vécu
de la personne défunte.
Lors des funérailles, dans le processus de sépara on, il est nécessaire de donner
du temps aux rites car les gestes d’adieu disent l’amour, le respect pour le défunt
comme les gestes spécifiques (la croix, la lumière, l’aspersion…) disent l’espérance
et la foi de l’Eglise.
Un jour, peutpeut-être,
beaucoup de fenêtres
se seront ouvertes en moi.
Et je découvrirai la source
de cette lumière. »
Mais cette fenêtre
donne sur une autre
où se devine plus de lumière encore.
Poé-
sie pour prier de Benoît Marchon
Mireille et Jocelyne
Nous avons été touchées par les remarques suivantes et amenées à réfléchir :
− l'accompagnement doit être simple et vrai. Il doit entendre aussi les quesons, les dénis et la révolte de la famille.
− la famille du défunt ne doit pas s'excuser de ne pas être pra quante.
14
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Témoignage
Ils m’ont aidée à me réconcilier avec l’Église
C’est une émission à la télévision belge l’an dernier qui m’a informée de
l’existence du renouveau charismatique. Il y était montré des fidèles tellement remplis d’amour, de fraternité, de joie par les chants de louange adressés au Seigneur que j’en suis demeurée très imprégnée. Jusque là, je n’imaginais même pas qu’il soit possible d’exprimer en groupe dans une église
tout l’amour que l’on ressent pour Dieu du fond de notre cœur, ayant gardé
l‘image d‘une Église plutôt rigide.. Aussi, j’étais très heureuse de voir que
cela existait, décidée alors à ne plus rester seule pour exprimer ma reconnaissance au Seigneur. Puis peu de temps après, j’ai vu une affiche de la Communion de l’Olivier à l’église de Colomiers invitant à des rencontres tous les
mardis soir. Je m’empressais bien évidemment d’y aller, heureuse de rencontrer d’autres personnes qui aimaient louer Dieu spontanément, le remercier
pour ses œuvres admirables et l’implorer aussi afin que des personnes trouvent un éclairage sur leur chemin ou un soulagement dans leurs épreuves.
Par la suite, j’ai assisté à plusieurs célébrations de l’Amour Miséricordieux
de Dieu organisées par tous les groupes de prières de la Communion de
l’Olivier de Toulouse et de ses environs. Grâce à la participation de plusieurs
prêtres, les sacrements de la Réconciliation et de l’Eucharistie y sont proposés.
Non seulement ces célébrations sont un temps de chants, de louanges, de joie
dans la prière mais aussi d’accueil, de grâces et de charismes de l’équipe
d’animation. De petits groupes formés de deux accueillants reçoivent les personnes désireuses de se confier au Seigneur ou de lui confier un proche. Et
là, dans cette entraide entre frères et sœurs par la prière qui nous relie au Seigneur, en laissant agir à travers nous Sa tendresse et Sa compassion, on ressent vraiment qu’il se passe quelque chose : le Seigneur est avec nous et Il
nous aime. Tout ce que je vivais au cours de ces célébrations me touchait et
j’en ai même plusieurs fois pleuré de joie, comme transportée par cet amour.
Merci Mon Dieu et Christ Sauveur ! Ces rencontres et Ton Amour miséricordieux ont largement contribué à me faire retrouver le chemin de ton
Église après être restée éloignée durant de nombreuses années.
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Ces rencontres et Ton Amour miséricordieux ont largement contribué à
me faire retrouver le chemin de ton Église après être restée éloignée durant de nombreuses années
A la fin de la célébration, des témoignages de participants sont recueillis
au micro montrant très souvent l’obtention de grâces de toutes sortes mais
ce qui ressort le plus, c’est une profonde reconnaissance envers Dieu car
Il a touché les cœurs.
Les prochaines célébrations de la miséricorde auront lieu les mercredi 31
janvier, mercredi 14 mars à 20h15 à l’église du Taur à Toulouse (près de
la place du Capitole). Elles se déroulent tous les deux mois environ.
Les rencontres pour le secteur de Colomiers ont lieu tous les mardis, à
20h30 à la chapelle Sainte Bernadette (proche du centre commercial).
L’Olivier propose aussi des adorations mensuelles, un accueil spirituel
pour les malades, les nécessiteux, des journées communautaires, des
week-ends spirituels et des retraites charismatiques dans la pédagogie
ignatienne.
Pour en savoir plus écrire à :
La Maison de l’Olivier
27, rue Paul Bert
31 400 Toulouse
ou Tel : 05 61 15 46 25 ou 05 61 24 03 37
http://communion.olivier.free.fr/
Marie-Thérèse
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UN TEMPS FORT D’AUMONERIE
C’est dans la bonne humeur que Jean Michel et Isabelle ont accompagné les 5°
et 4° de l’Aumônerie à Ste Marie du désert les 17 et 18 novembre.
Avec la volonté d’apprendre à mieux se connaître et en premier celui qui nous rassemblait là.
Tout partager : la prépara on d’une veillée, des promenades, les repas, une réflexion,
des célébra ons et rangements…
En suivant le fil conducteur de l’année : « choisir la vie » et se laisser toucher par les
œuvres de Dieu, Dieu créateur ?
Voici leurs témoignages:
« J’ai bien aimé l’ensemble du week end, la messe, la prépara#on de la veillée, de la table,
la rencontre des daims. »
« On était tous ensemble, c’était bien! On a découvert la nature un peu plus.
La promenade improvisée était reposante, j’ai aimé ramasser des éléments naturels
(feuilles, fruits, écorces…) et c’était une bonne idée de les intégrer dans le tableau avec le
ciel et la terre. »
« J’ai beaucoup aimé les paysages mais aussi les daims qui rôdaient autour de la maison.
On se sent au milieu dans la nature, de l’œuvre de Dieu. »
« J’ai bien aimé façonner des têtes de bonhommes en terre, qui sont devenues à la veillée
des marionne6es, jouant le chapitre 3 de la Genèse, pas facile… »
« C’était amusant de faire la vaisselle et de me6re la table, de préparer le dessert, bravo
pour le gâteau au chocolat. »
« J’ai aimé les repas pris ensemble, la veillée ensemble, la messe du Dimanche . Dommage
que la veillée ait été trop courte et j’aurais préféré rester quelques jours encore pour
mieux se connaître.
L’idée d’afficher les jours de créa#on de la Génèse était une très bonne idée mais les
blancs dans la texte moins.
Le lieu était génial «
« J’aurais aimé monter sur les collines pour voir les moines mais je n’ai pas pu venir… »
J’ai aîmé écouter les chants des moines au cours de l’office du soir (vêpres) et de la messe
du Dimanche ma#n… merci d’avoir partagé moi!
De la part de tous et du fond du cœur:
Merci 1000 fois Sophie d’être venue avec nous !
Tu as permis à chacun de t’aider un pe.t peu, tu nous répondais chaque fois par des
gestes de tendresse, ta gen.llesse, ton rire tout au long du séjour….
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CHARTE DES CHERCHEURS DE
PAIX
Nous avons la certitude que l’amour est plus fort que la mort et qu’il
habite le cœur de tout homme.
Nous avons la certitude que la paix existe et qu’elle n’est pas impossible pour notre monde.
Sachant que la haine ne peut produire que le fruit amer de la mort et
du désespoir.
Avec la grâce de Dieu et pour la paix, nous nous engageons à dépasser
la peur de la différence en regardant l’autre comme une personne.
Avec la grâce de Dieu et pour la paix, nous nous engageons à ne pas attendre que l’autre change pour commencer à changer nous-mêmes.
Avec la grâce de Dieu et pour la paix nous nous engageons à n’utiliser
que les armes de la foi, de l’espérance, de la patience, de la prière et du
pardon;
Avec la grâce de Dieu et pour la paix, nous nous engageons à persévérer, gratuitement et invisiblement, sur le chemin de l’amour et des Béatitudes.
« Seigneur, nous te bénissons pour toutes les semences d’espérance
dont nous sommes les témoins et les porteurs pour le monde.
Nous te présentons toutes les plaies de notre monde en quête de
justice et de pardon.
Nous te supplions de répandre sur chacun de tes enfants blessés
l’onction de ta douceur et de ta paix.
Nous te demandons de nous aider à discerner dans notre monde
souffrant la naissance du monde nouveau même quand l’espérance
semble impossible. Nous appelons sur tous les peuples de la terre
l’abondance de ta bénédiction, de ta grâce et de ta paix.
Amen.
Extrait de la Chartes des chercheurs de Dieu publiée dans Sources vives.
Tiré de Messages du secours Catholique –décembre 2006
JOIES ET PEINES
Lors des obsèques, ils ont été confiés à Dieu:
PIBRAC : Paulette MIGUET
BRAX: Antoine TABORSKI
Par le baptême, ils sont entrés dans la famille des chrétiens:
PIBRAC: Melvyn et Ilona MOLLARD
MEDITATION:
« Aime la paix, cherche-la, possède-la. Invite les hommes au partage
de la paix: tu verras ses limites s’étendre grâce à ceux qui la vivent.
Une maison ne peut contenir qu’un nombre limité d’habitants: quant
à la paix, plus elle a de possesseurs (…). Quand tu partages du pain,
plus il y a d’invités, moins leur part est grosse. Mais pour la paix, plus
tu la partages, plus elle se mul#plie .
Il est bon d’aimer la paix; l’aimer c’est déjà l’avoir. »
(Saint Augus n)
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BAPTÊMES
KT Janvier
Eveil à la Foi : Samedi 13 janvier de 10h à 11h au Prieuré
« L’épiphanie »
CE1 –
mois de février (4 et 18 février)
MARIAGES: C.PM– Prépara on aux mariages: Samedi 13 janvier
1ère réunion de la 1ère session – 20h à 23h au Prieuré
Samedi 27 janvier de 9h45 à 11h 15
Adora on : Lundi 29 janvier de 20h45 à 21h45 à Pibrac
CE2– Samedi 13 janvier de 9h30 à 11h
CM1
Vendredi 5 janvier à 20h30 au prieuré : prépara on des baptêmes du
– Lundi 8 janvier de 17h à 18h30 et Vendredi 12 janvier de
Lundi 15 janvier de 20h45 à 21h45 à Brax
Équipe du Rosaire de Pibrac : Vendredi 12 janvier à 14h15
chez Pauline Brousse
17h à 18h30
CM2 – Samedi 13 janvier de 9h30 à 11h
et Mercredi 17 janvier de
10h à 12h
MESSE des Familles : Dimanche 14 janvier à 9h30 à
Brax pour les enfants de Brax et de Pibrac
E.A.P : Vendredi 26 janvier à 20h30
COMMUNICATION : Lundi 15 janvier à 20h30 au Prieuré
Messe à la Houle9e: le 4 janvier à 17h
Messe à l’Orée de Bouconne : le 5 janvier à 15h30
AUMÔNERIE:
6° : Samedi 13 janvier de 10h30 à 12h
5° et 4° : Vendredi 12 janvier de 18h30 à 20h
3ème et Lycéens : Samedi 13 janvier de 18h30 à 22h 30
PÈLERINAGE STE GERMAINE : Réunion de Prépara on : Lundi 8 janvier à
20h30
PERMANENCE DES PRÊTRES
Mardi et jeudi de 14h à 19h au Prieuré à Pibrac
SECRÉTARIAT DE LA PAROISSE
du lundi au vendredi de 14h à 17h
7 ancien chemin de Brax – 31820 PIBRAC
22
23
MESSES 2007
BRAX
: Eglise St Orens
♦
♦
tous les Jeudi ma n à 9h
2ème et 4ème Dimanche à 9h30
♦
Messe des familles : 14 janvier 2007, 22 avril
PIBRAC : Communauté des Frères – Rte de Toulouse
♦
Lundi soir à 18h30
PIBRAC : Eglise Ste Marie-Madeleine
♦
♦
♦
♦
♦
♦
Mardi ma n à 9h30
Mercredi soir à 18h30
Vendredi soir à 18h30
Samedi soir à 18h30
Dimanche ma n à 11h
Lundi 1er JANVIER : Messe à 11h à Pibrac
♦
Messe des familles :
4 février 2007, 25 mars, 17 juin
NOËL
Dimanche 24 décembre
- 11h – Messe à Pibrac ATTENTION: pas de messe à Brax à 9h30
- 19h30– Veillée à Brax
- 21h30 – Veillée à Pibrac
Lundi 25 décembre
- 9h30– Messe de Noël à Brax
- 11h – Messe de Noël à Pibrac
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