Programme de salle - Opéra de Saint
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Programme de salle - Opéra de Saint
les 20 ans de la maîtrise voix En partenariat avec le Conseil général de la Loire. établissement de la Ville de Saint-étienne, l’Opéra Théâtre bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication ( Direction Régionale des Affaires Culturelles ), du Conseil régional Rhône-Alpes et du Conseil général de la Loire L’Opéra Théâtre remercie l’ensemble de ses partenaires pour leur confiance et leur fidélité à l’opéra théâtre Musique Théâtre Jeune Public LE BŒUF SUR LE TOIT OUASMOK ? ALEXANDRE THARAUD AND FRIENDS ! Cie PANTAÏ Bienvenue à Paris, dans les années 1920, à l’intérieur du célèbre cabaret parisien Le Boeuf sur le Toit ! Grand Théâtre Massenet Mercredi 10 oct. : 20h Tarifs : de 10 € à 28 € (et tarifs réduits) Musique TE DEUM - MAGNIFICAT LES OMBRES Deux pièces emblématiques du plus grand maître de l’art musical sacré de son temps : Marc-Antoine Charpentier. Marc-Antoine Charpentier Sonate à huit Magnificat à trois voix Miserere à deux dessus et deux flûtes François Colin de Blamont Te Deum L’écriture de Sylvain Levey conjugue humour, finesse et justesse du regard un rien poil à gratter. Sur scène, l’intérêt de ce dialogue à deux personnages tient autant à la fraîcheur du texte qu’à son intelligence et au jeu des comédiens. Auteur Sylvain Levey Mise en scène Anaïs Simon Avec Emma Barcaroli, Mathieu Saccucci, Anaïs Simon Théâtre Copeau Mercredi 17 oct. : 15h Samedi 20 oct. : 17h Tarif : 15 € (et tarifs réduits) 11e édition Église de Saint-Galmier Mercredi 10 oct. : 20h Tarif : 15 € (et tarifs réduits) Du 20 octobre au 7 décembre Retrouvez tout au long de la saison les détails des spectacles (distributions, vidéos...) sur www.operatheatredesaintetienne.fr 1 octobre En préparation 11e Biennale Massenet du 20 octobre au 7 décembre 650 C’est le nombre de nouvelles familles abonnées à l’Opéra Théâtre de Saint-étienne. En faites-vous partie ? Brèves Bienvenue à Stéphane Bégou, nouveau directeur administratif et financier de l’Opéra Théâtre de Saint-Étienne. Bonnes retraites à Chantal Faugier et Michèle Fallu, habilleuses à l’Opéra Théâtre. © DR 2 En cette année de commémoration de la mort du célèbre compositeur stéphanois, l’Opéra Théâtre a souhaité, fidèle à sa tradition, contribuer à faire redécouvrir ses œuvres, à travers notamment la recréation d’un opéra Le Mage, mais aussi d’autres soirées d’opéra, de récitals, une exposition, un colloque international... Retrouvez toute la programmation de ce festival, ainsi que les concerts du “off” sur le site internet de l’Opéra. Théâtre Jeune Public Ouasmok ? Représentation en langue des signes française le 17 octobre à 15h à l’Opéra Théâtre les 20 ans de la maîtrise Direction Jacques Berthelon, Jean-Baptiste Bertrand Soprano Marion Grange Orchestre Symphonique Saint-Étienne Loire Maîtrise du Conseil général de la Loire Georges Bizet Carmen (extrait) / Chœur des gamins « la garde montante » Léo Delibes Messe brève pour voix d’enfants et cordes Matthieu Burgard Soir en Forez création à partir d’un poème de Victor de Laprade Francis Poulenc Gloria Grand Théâtre Massenet Vendredi 5 octobre 20h Durée 1h20 sans entracte Mademoiselle Marion Grange est pensionnaire du Centre National d’Artistes Lyriques (CNIPAL). 3 Georges Bizet Carmen : Chœur des gamins 4 « Cette œuvre vaut pour moi un voyage en Espagne, une œuvre extrêmement méridionale. Il faut méditerraniser la musique. » C’est en ces termes que Nietzsche s’exprimait sur Carmen de Bizet (créé à Vienne en 1875), après avoir adulé Wagner. Extrait du premier acte (scène 3), le « Chœur des gamins » sonne comme une pièce dénuée de l’emphase wagnérienne à laquelle le romantisme germanique avait abouti. C’est paradoxalement dans la légèreté de son texte, dans l’ingénuité de ses tournures mélodiques et de son orchestration, ou encore dans la fraîcheur de sa vocalité enfantine, que la pièce - et l’opéra dans son ensemble - atteint une profondeur inégalée chez nombre de compositeurs contemporains de Bizet. Loin de pâtir de son fonctionnalisme descriptif - le rapprochement de la garde militaire -, l’extrait recèle un miracle de dosage de timbres et d’équilibre orchestral. Après une intervention de la trompette solo annonçant le lancement de la relève de la garde, une introduction instrumentale en trois parties, composée d’un contrepoint de flûtes piccolos, énonce le thème principal, ponctué d’une formule de trompette que les “gamins” imiteront par des « ta ra ta ta ». Le thème est bientôt rejoint par un marquage des cordes en pizzicato (les cordes des instruments sont pincées avec les doigts) et tout en légèreté, des temps fort de la mélodie. Le second thème est ensuite lancé par la trompette en dialogue avec les flûtes, avant que celles-ci ne réitèrent leur premier thème. Les “gamins”, au chant accompagné des cordes et ponctué par les vents, entrent à leur tour sur la thématique entendue. Avec l’élan insufflé par l’insouciance enfantine (cf. les effets d’échos des « ta ra ta ta » chantés à deux voix), l’orchestre se déchaîne peu à peu, libérant son énergie en un extraordinaire jeu instrumental et vocal, dans un espace sonore élargi. Carmen, qui reçut après sa création des critiques très dures, mais aussi l’admiration de Brahms, Tchaïkovski et de Wagner, est aujourd’hui un des opéras les plus joués du répertoire, malgré son “impureté” de caractère, car populaire et tragique à la fois. Léo Delibes Messe brève Léo Delibes (compositeur français, 1836-1891), dont l’histoire semble n’avoir retenu que les nombreuses œuvres pour la scène (ballets - Coppelia, opéras - Lakmé, et opéras-comiques - Jean de Nivelle…), n’a composé que de rares pièces de musique religieuse. Sa Messe brève comporte cinq parties : « Kyrie », « Gloria », « Sanctus », « O salutaris » et « Agnus Dei », constituant l’Ordinaire de la messe. Aux trois invocations « Kyrie - Christe - Kyrie » de la première pièce correspondent trois parties musicales (a b a’) dont l’extrême clarté et simplicité de l’écriture des voix invite à la prière : chacune d’elles énonce en alternance le début des phrases, puis les voix se superposent en parallélisme de sixtes ou de tierces pour leur conclusion. Tout autre est le « Gloria » qui offre une plus grande variété de types d’écriture. Ainsi le majestueux « Gloria in excelsis Deo » (« Gloire à Dieu au plus haut des cieux ») est d’abord énoncé en strict parallélisme des voix dans un tempo rapide. Puis le « Gratias agimus tibi » (« Nous te rendons grâce ») retrouve un certain recueillement dans une nuance apaisée, et des voix qui alternent puis se retrouvent en contrepoint. Vient ensuite le « Qui tollis peccata mundi » (« Toi qui enlèves les péchés du monde ») qui prend un ton nettement plus dramatique par ses rythmes pointés et son homophonie des voix dans un tempo très lent, puis qui se poursuit dans une écriture imitative. Enfin le « Quoniam tu solus Sanctus » (« Car toi seul es Saint ») reprend l’écriture majestueuse du début avant de s’orienter vers une écriture fuguée pour le « Cum Sancto Spiritu » (« Avec le Saint-Esprit »). Après un bref « Sanctus » essentiellement écrit en homophonie, et un « O salutaris Hostia » (« Ô réconfortante Hostie ») qui fait appel à la technique d’alternance d’une voix soliste avec le tutti, l’« Agnus Dei » clôt cette messe, réaffirmant le caractère recueilli et quelque peu archaïque de l’écriture de Léo Delibes dont Maurice Emmanuel avait noté « la fermeture à toute tentative extra-classique. » 5 Matthieu Burgard Soir en Forez 6 Marqué par un certain onirisme, Soir en Forez de Matthieu Burgard (compositeur français né en 1970) s’offre en une seule trajectoire musicale et par le choix même d’un atypique effectif orchestral, comme une vision sonore très impressionniste de la nature. Des harmonies tonales mais aux fonctions incertaines sillonnent la partition au gré d’une écriture musicale aérée, souple et aux aspects changeants. Oscillant entre homorythmie et contrepoint canonique, l’écriture rend tour à tour du texte, une vision sémantique et lui donne son aura méditative. Ainsi, dans la partie centrale, le violon et le violoncelle solistes semblent, par leur canon strict, préfigurer le sens du texte à venir : « Bientôt, submergeant tout, de l’une à l’autre chaîne… ». Puis le chœur d’enfants à trois voix en restitue le sens en une parfaite homorythmie, alors que le canon gagne, d’abord en accompagnement du chœur, les vents de l’orchestre, enfin comme thème principal, sa texture entière. Francis Poulenc Gloria Dans une période riche en innovations avant-gardistes (le Gloria date de 1959), la musique de Poulenc faisait figure, aux yeux des compositeurs sériels français, de gardienne « de la tradition de la légèreté française » (André Hodeir). Conscient de ne pas apporter la nouveauté de langage musical d’un Schœnberg ou d’un Stravinsky, Poulenc défendait pourtant ses œuvres en affirmant qu’il n’était guidé que par son seul instinct. Pour lui, la nouveauté était dans l’instinctif, donc le tonal… Fort de ses principes, Poulenc était confiant dans ses capacités à créer un art dont la valeur saurait être reconnue. Il avouait même être très satisfait de son Gloria, lequel fut ovationné à Boston, lieu de sa création en 1961. « Le Gloria est sans doute ce que j’ai fait de mieux » avait-il affirmé. Malgré une grande diversité dans l’écriture orchestrale, plusieurs éléments thématiques unifient l’œuvre, telle la cellule mélodico-rythmique qui l’introduit (rythmes pointés et homophones), omniprésente et soudant les parties chorales de la sixième et dernière pièce (« Qui sedes… »). Le « Laudamus te » (seconde pièce) recèle quant à lui une grande pureté et mise à nu des lignes mélodiques. Mais si le dépouillement des timbres instrumentaux accompagnant l’écriture homophonique des chœurs lui donne un côté stravinskien, le « Domine Deus » (troisième pièce) retrouve sa profondeur mélodique dans le plus pur style du Poulenc des Litanies à la Vierge noire. Après un « Domine Fili unigenite » (quatrième pièce) marqué par d’incessantes répétitions thématiques, le second « Domine Deus » (cinquième pièce) renoue avec l’intériorité du premier dans un air de soprano des plus propices à la ferveur religieuse. C’est dans le lyrisme poignant du « Qui sedes ad dexteram Patris » déjà évoqué que s’achève le Gloria de Poulenc. Tout en douceur et en sérénité retrouvées, sa coda s’inscrit en contraste avec une sonorité d’ensemble somme toute éclatante et grandiose. Jean-Marc Bardot Professeur agrégé de musique et docteur en musicologie, Jean-Marc Bardot est chercheur associé au CIEREC de l’Université de Saint-Étienne. Auteur d’une thèse consacrée à la musique de Philippe Hersant, il a fait publier une série d’entretiens avec ce compositeur (Cig’Art édition, 2003), ainsi que plusieurs articles sur la musique française contemporaine (François-Bernard Mâche, Jean-Louis Florentz, Olivier Greif). 7 Jacques Berthelon Direction 8 Titulaire d’une maîtrise de Physiologie, il se consacre à l’enseignement et à la recherche en physiologie cellulaire tout en menant en parallèle des études de chant et de direction de chœurs. Membre du Choeur de Chambre de l’Orchestre National de Lyon (direction Bernard Tétu) et du Nouvel Ensemble Vocal (direction Henri Farge). Il chante actuellement au sein de l’ensemble vocal « Les Voix Six ». Après des études en classe de direction de chœurs au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon, il est chargé en 1984 de la création du Centre Polyphonique Régional Rhône-Alpes qu’il anime jusqu’en 1988. A cette date il est sollicité par le Département de la Loire pour développer la pratique du chant choral dans le milieu scolaire et les écoles de Musique afin d’aboutir à la création d’une école maîtrisienne départementale. Celle-ci ouvre ses portes en septembre 1992 avec Jacques Berthelon en directeur pédagogique et musical. Sous son impulsion la Maîtrise de la Loire a rapidement atteint un excellent niveau musical. Il est aussi directeur de la Schola Witkowski à Lyon et du chœur des Marais à Villefranche. Il dirige de nombreux concerts tant en France qu’à l’étranger et aborde avec bonheur tous les répertoires, avec une prédilection pour la période baroque et la musique française du xxe siècle. Jean-Baptiste Bertrand Direction Chef de chœur et Professeur d’enseignement artistique territorial de chant choral du Conservatoire de Saint-étienne pendant 7 ans, puis à la Maîtrise du Conseil général de la Loire, JeanBaptiste Bertrand a été l’élève de Daniel Kawka, Philippe Caillard et François Lusignant. Il est invité par Jacques Berthelon à prendre la fonction de chef de chœur à la Maîtrise du Conseil général de la Loire, et depuis septembre 2011, en est le Directeur artistique et Pédagogique. Il est également Directeur Musical de l’Académie Internationale de chant choral In terra Pax (Pologne et Allemagne) et représente la France dans le cadre World Choir Council à Shanghai (Chine). Il est invité comme chef de chœur et jury par le Bali International Choir Festival (Indonésie) au mois d’août 2012. Il dirige le Groupe Vocal Chœur Universitaire de Saint-Étienne de 1996 à 2011 ainsi que l’Académie des jeunes chanteurs du festival des Voix de L’Aures en Normandie depuis 2009. Marion Grange Soprano Née en 1985 à Saint-Étienne, elle débute sa formation musicale par l’étude du violoncelle au Conservatoire de Saint-Étienne, puis étudie le chant avec la Maîtrise du Conseil général de la Loire. à12 ans, elle fait ses premiers pas sur scène dans Die Zauberflöte de Mozart (rôle du 3ème enfant) à l’Opéra de Toulon et dans Tosca de Puccini (rôle du Pâtre) à l’Opéra Théâtre de Saint-Étienne. Elle intègre ensuite la Haute École de Musique de Genève, où elle obtient un Master spécialisé Soliste en 2012. En 2011, elle interprète les Illuminations de Britten avec l’Orchestre de la Haute école de Musique de Genève, puis Les Noces de Stravinsky en 2012 au Festival de Villefavard et à la Cathédrale de Lausanne. Au Grand Théâtre de Genève, en 2012 elle chante dans le Chœur de Solistes dans le Devin du village de Rousseau. Elle est ensuite Sylvabelle dans L’Auberge du Cheval Blanc de Benatzky. Marion Grange a obtenu pour la saison 2011/2012, une bourse de la Fondation Sigg (Genève), puis le Prix de la Ville de Genève. En 2012, elle chante la partie Soprano Solo du Requiem Allemand de J. Brahms au Victoria Hall de Genève (Dir : Michel Corboz) ainsi que celle de la 9ème Symphonie de Beethoven à Salvador de Bahia au Brésil. En janvier 2013, elle chantera notamment un programme de Lieder en récital au Goethe Institut de Paris. Marion Grange est Lauréate du 2ème Prix catégorie opéra, du Concours International de Chant Lyrique de Béziers 2012. Elle intègre le CNIPAL en septembre 2012, pour la saison 2012-2013. 9 Maîtrise du Conseil général de la Loire Créée en 1992 par le Conseil général, la Maîtrise du Conseil général de la Loire est l’une des dix maîtrises en France fonctionnant sur le principe du mi-temps pédagogique et la seule gérée directement par un département. Elle regroupe actuellement 150 élèves garçons et filles de la 6ème à la terminale. En plus de la vingtaine de concerts que la Maîtrise donne chaque année dans le département, elle prépare des solistes et des chœurs d’enfants pour les productions lyriques. Ses élèves participent régulièrement à divers festivals estivaux comme ceux de La Chaise-Dieu et d’Ambronay. Orchestre Symphonique Saint-Étienne Loire 10 Créé en 1987, l’Orchestre Symphonique SaintÉtienne Loire (OSSEL) a su s’élever au rang des grands orchestres français. La critique, toujours attentive aux évolutions des institutions musicales, salue de façon enthousiaste cette phalange, considérant désormais que la Ville de Saint-Étienne possède un très bel instrument, capable de servir tant les grandes oeuvres du répertoire que la création contemporaine. En 2004 Laurent Campellone devient Directeur musical de l’orchestre et instaure une véritable complicité avec ses musiciens ; il entreprend un travail en profondeur sur la qualité artistique de cet ensemble, permettant d’engager l’OSSEL dans une nouvelle phase de développement. Sur le plan régional, l’OSSEL va à la rencontre de tous les publics au travers d’actions de médiation ou de la participation à des festivals (Festival Berlioz, Festival de La Chaise-Dieu...). Sur le plan national enfin, l’OSSEL a su acquérir une solide réputation, en particulier dans le répertoire romantique français. En septembre 2010, le Conseil général de la Loire confirme son attachement à l’Orchestre en signant avec la Ville de SaintÉtienne une convention visant notamment à développer l’action artistique et pédagogique sur l’ensemble du département. maîtrise du conseil général de la loire élèves de 6ème Garance Biffaud Mathis Billon Lise Bonnefoi Anouk Chaquet-Rostaing Mathilde Chavot Clémence Col Baptiste Coulomb Clémence Delaplane Lucien Fayolle Oumayma Kabil Swan Larcheveque Marine Lipowski Morgane Lipowski Roxane Macaudiere Théo Mazzini Amalia Mirzoyan Lalou Mohammedi-Menguy Thelma Morel Etienne Navaron Estelle Odo Noé Poix Violette Puchot Lilou Ribeyron Maëlle Rousson Baptiste Tranchant Laurie Viallard Téo Xavier élèves de 5ème Héloïse Barnabe Clémentine Carlion Marion Dottin Manon Fillatre Margot Finet Manon Gallo Keren Garcia Enora Gastel Diego Gatte Jules Henriot Hervé Le Bert Nellya Mamezy Mélina Marcoux Mathilde Massias Thaïs Oriol Emma Peatier Amandine Perisse Clara Prades Bertille Puchot Raphaël Schwitters Mathieu Struffi Clara Vacher Tom Weber Nagib Zeghdalou élèves de 4ème Pierre Bahr Valentine Berne Thomas Bertrand Lila Boughida Mattéo Caracciola Chloé Charras Océane Clere Isabelle Cotte Emmanuelle Defour Martin De Garsignies An-Lan Durieu Manon Foray-Murat Gaspard Gonthier Grégoire Granger Victor Grenier Pénélope Jacquet Augustin Magneron Nino Martin Irène Meunier Adam Mezaber Chloé Morales Yann Mourelon Léa Nourry Salomé Ribba Alicia Suchet Erwan Thevenon élèves de 3ème Mélanie Bader Loana Baroux Charlotte Bayon Aurore Beauchamp Aude Bourgier Lilly Buisson Mélisande Charles Audrey Chillet Maude Coulomb Cécile Defaux Jason Dherissard Sarah Duc Laurie Fanget Marie Forest-Dodelin Jean Fortunier Jolan Garcia Mathilde Guillot Léo Nil Joanin Julie Maisonneuve Julia Marco Mathilde Saignol Théo Samuel Noémie Vallat Leeloo Vial Philippine Zadeo 11 maîtrise du conseil général de la loire élèves de 2 élèves de t Florine Barry Apolline Beauchet Farah Belkorchia Lucy Benoit Anissa Chalal Charles Andréa Dupuy Mélissande Gallet Marie-Elise Gerossier Clara Girard Raphaelle Mourelon Candice Rolly Clémentine Seguin Ann-Laure Serra Célestine Seux Louise Seux Héloïse Therrat Adrien Xavier Zoé Achard Clément Brun Laurine Brun Tim Corbeau-Broly Lucas Cottancin Justine Leonard Loÿs Marechal Natacha Monteil Pauline Mourelon Tanguy Poble Julie Robert Etienne Seux Mégane Viallon de 12 élèves de 1ère Léna Anderson Rachel Arnaud Guillaume Bernard Margaux Catillon Eva Chaussinand Bénédicte Chevalier Karoline Fontrodona Anna Hoel Louise Le Maitre Margaux L’huillier Caroline Lopez Léa Mosnier Estelle Paracuellos Jessica Paris Audrey Suc Axel Sudrie Marie Taillandier ale Grand Chœur à voix mixtes (élèves non maîtrisiens) Pascale Antoine Timothée Asensio Betty Aurange Clarysse Bachongy Suzelle Barbaroux Valentine Bardel Candice Barjat Barbara Barnoud Meddy Bernard Sophie Bonaque Margot Bonini Théo Bonnefoy Romain Bouniard Emile Caillol Elsa Chomienne Roxane Choux Jehanne Crouzier Guillemette David François Defour Laureline Descos Léa Dupuy Arthur Epinat Emmanuel Fontana Julie Gaudin Gabrielle Gay Gaëtane Gillet Pierre-Yves Grange Gwendoline Guichard Léa Guillot Arsène Kapikian Mélanie Lapalus Norbert Maisse Nadine Maisse Jean-Luc Masset Lara Odin Charlotte Pabiou Mathilde Perrin Henri Pinet Yoann Piquenot Justine Poirieux Marjorie Poyard Mathilde Seux Amélie Tournaire orchestre symphonique saint-étienne loire Violons I Contrebasses Contrebasson Lyonel Schmit soliste Françoise Chignec soliste Elisabeth Gaudard Charlotte Vergnes Agnès Pereira Tigran Toumanian Virginie Fioriti Albane Genat Jérôme Bertrand soliste Daniel Romero soliste Marie Allemand Dominique Rochet Pierre Cathelain soliste Violons II François Vuilleumier soliste Alain Meunier Solange Becqueriaux Marie-Noëlle Villard Christophe Gerboud Caroline Bréchet Béatrice Meunier Altos Anne Perreau soliste Marc Rousselet Geneviève Rigot Aurélie Metivier Chen-Ling Huang Sophie Mouson Violoncelles Florence Auclin soliste Joël Schatzman Marianne Pey Louis Bonnard Clémence Ralincourt Cors Marion Sicouly soliste Frédéric Hechler soliste Serge Badol Thierry Gaillard Philippe Constant Flûtes Trompettes Denis Forchard soliste Christine Comtet Didier Martin soliste Gilles Peseyre Stéphane Fyon Harpe Piccolo Gilles Bauer Trombones Hautbois Nicolas Vasquez soliste Gilbert Bonnet Joël Castaingts Sébastien Giebler soliste Stéphane Mingasson Cor Anglais Mylène Coimbra soliste Clarinettes Bernard Gaviot-Blanc soliste André Guillaume Clarinette basse Didier Reymond Bassons Pierre-Michel Rivoire soliste Charles Villard Tuba Éric Varion soliste Timbalier Philippe Boisson soliste Percussionnistes Quentin Allemand soliste Patrick Gagne Locations / réservations du lundi au vendredi de 12h à 19h 04 77 47 83 40 [email protected] Conception graphique : Et d’eau fraîche / Opéra Théâtre de Saint-Étienne Réalisation : Opéra Théâtre de Saint-Étienne - Licences n°1028383-1028384-1028385 Opéra Théâtre de Saint-étienne Jardin des Plantes – BP 237 42013 Saint-étienne cedex 2 www.operatheatredesaintetienne.fr
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