Entre-Nous (printemps 2013) - Institut de Réadaptation Gingras
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Entre-Nous (printemps 2013) - Institut de Réadaptation Gingras
VOLUME 4 N°1 PRINTEMPS 2013 La beauté de la réadaptation Par Marjorie Aunos Coordonnatrice, Centre de réadaptation de l’Ouest de Montréal Il est assez facile de reconnaître le défi de la réadaptation. Notre perception d’une paralysie suite à un accident ou une maladie est généralement assez claire. Un membre ne bouge plus comme avant... On le fait travailler, on renforcit les muscles qui répondent à la commande, on pallie avec des stratégies ergonomiques. Facile. Tout le monde sait ça. Tout le monde en parle. Tout le monde le voit. Sans savoir que ce que l’on pense être de la réadaptation n’est finalement qu’une infime partie de ce que c’est vraiment. La réadaptation est physio-ergo, mais c’est aussi l’amour. Le vrai. Le grand. Cet Amour... Je le vois dans une, deux, trois,... dans toutes ces familles qui restent unies dans l’adversité. C’est dur! Pour tout le monde. Mais on s’aime. Et ça, c’est beau! Le grand Amour est dans le cœur et dans les gestes d’une jeune femme envers sa maman. Je la vois, soulever une jambe avec douceur, le regard tourné vers sa mère, et ensemble, elles travaillent pour mobiliser ses jambes. L’amour avec un grand A est dans le sourire, le soupir, le regard d’un homme pour sa femme. D’une femme pour son mari. Ces conjoints restent unis, malgré les difficultés. Les gestes de tendresse sont là, parfois subtils, mais combien forts. Et c’est encore plus beau quand ces couples renouvellent leurs vœux d'union. Ils savent à quel point c’est précieux d’être à deux. Malgré les embuches. L’Amour version amitié, je la vois maintes fois dans les petites douceurs apportées : déodorant, brosses à cheveux, crayonspapier, sushi, crème glacée, bacon... (suite page 7) Institut dans les médias La série Mon meilleur ami débute le 26 mars à la chaîne SÉRIES + L’arrière-plan vous est familier? Rien de plus normal puisqu’une grande partie de la série Mon meilleur ami, mettant en vedette notamment Claude Legault (que l’on voit ici sur la photo), a été tournée ici même à l’Institut. C’est à compter du 26 mars que vous pourrez voir sur la chaîne Séries + cette série à la fois intense et émouvante qui, par la nature du sujet, est si proche de nous. En voici le synopsis : Simon et Alex sont des amis inséparables. Alors que les deux gars s'entraînent à l'escalade, la vie d'Alex bascule : il se heurte le cou contre un rocher. Alex ressortira de son accident paraplégique. Désormais, sa conjointe Maryse veille sur tout et doit faire le deuil de sa vie de famille et de couple. Rongé par la culpabilité, Simon offrira temps et réconfort à Maryse, qui est au bout du rouleau. Quand Alex verra que sa vie lui échappe, il tentera de renverser la situation... C’est Francis Leclerc (Apparences, Les rescapés II) qui assure la réalisation de la série, Benoît Chartier (Dans une galaxie près de chez vous) qui signe les textes alors que Diane England (Minuit, le soir) en est la productrice pour Zone 3. La série met en vedette : Claude Legault, David LaHaye, Catherine Sénart, Mélissa Désormeaux-Poulin, Louise Laparé, Guy Thauvette, Mathias Roussier, Aurelia Arandi-Longpré, Louisette Dussault et Frédéric Gilles. Flash RH Par Lyne Gauvreau Attachée de direction, Ressources humaines COMITÉ BIEN AU TRAVAIL Dans son engagement de devenir un employeur de choix, l’IRGLM, en collaboration avec la Direction des ressources humaines, entamera les prochaines étapes de son mandat avec l’aide des membres du comité Bien au travail, composé de : Dre Nicole Beaudoin, présidente du CMDP (à titre de membre consultatif); Denis Gagné, membre du comité des usagers et représentant du CA; • Louise Laframboise, agente administrative au programme santé physique; • Geneviève Lagarde, présidente du conseil multidisciplinaire; • Pierre-Carl Legault, coordonnateur du programme Bien au travail; • Suzy Martin, présidente FIQ; • Denis Phaneuf, chef du programme santé physique; • Caroline Picard, psychologue au programme neurologie. Les membres de ce comité auront le mandat de faire l’analyse des résultats des sondages Pulse et HPS pour l’ensemble de l’établissement afin de proposer un plan d’amélioration continue sur quatre (4) ans aux membres du conseil d’administration. De plus, ce comité doit élaborer d’ici les prochaines semaines une politique et établir une programmation d’activités pour le personnel. Nous vous communiquerons le fruit de leurs travaux prochainement! au TRAVAIL FIT TEST Assurer la sécurité de nos travailleurs fait partie de nos obligations en tant qu’employeur. À cet effet, le service de santé procédera, en mars et avril Coup de chapeau à… tous les donateurs de vêtements! Par Nicole Daubois Coordonnatrice des bénévoles J’ai lancé dernièrement un appel à tous afin de recevoir des dons de vêtements et de chaussures de sport pour regarnir le « vestiaire des patients ». Vous avez été très généreux! À tel point que nous pourrons sous peu « ouvrir » une succursale au pavillon Lindsay. Nous aurons bientôt accès à 2 ENTRE-NOUS − Printemps 2013 prochain, à des cliniques de « Fit test ». Ces cliniques ont pour but de procéder à des tests d’ajustement de masques protecteurs en vue de connaître lequel correspond le mieux à la forme du visage de chaque employé advenant le cas d’une pandémie. Les employés qui ne se sont jamais prévalus de ce test ou ceux dont la physionomie a considérablement changé à la suite d'une maladie ou d'une perte de poids pourront le faire aux dates qui seront divulguées prochainement. Surveillez la note de service ! VACANCES Vous n’avez pas encore écoulé votre banque de vacances de l’année en cours ? La Direction des ressources humaines vous rappelle que vous avez jusqu’au 30 avril 2013 pour le faire. Assurez-vous de planifier ces journées de vacances en accord avec votre supérieur immédiat ! un local qui nous permettra d’y entreposer des vêtements et, ainsi, accommoder des patients qui, pour diverses raisons, n’ont pas de vêtements appropriés pour participer à leurs thérapies. Nous avons reçu également des manteaux, des t-shirts, des tuques, des mitaines et des foulards en quantité. Si vous trouvez dans vos tiroirs des pantalons de type jogging et des bas sport, nous sommes preneurs! Merci à tous pour cette belle solidarité! Billet du DG Un printemps sous le signe du renouveau et de la collaboration Par Jean-Philippe Cotton, directeur général Le printemps 2013 commence sur de nouvelles bases. Aussi, je dois d’emblée vous remercier tous artisans du changement - d'avoir épaulé la direction dans le déploiement de la restructuration organisationnelle, avec tous les chamboulements qui en ont découlé. À la lumière de cette restructuration est né un nouvel organigramme de taille réduite dont l’essence se veut celle d’une philosophie de cogestion, orientée vers les pratiques collaboratives, particulièrement entre les directions cliniques et en interface avec la recherche et l'enseignement. L’Opération Rubik est maintenant terminée. C’est d’ailleurs l’activité portes ouvertes du 21 février qui est venue clore ce projet d’envergure à la suite duquel se dégage un sentiment d'appartenance, de fierté et de cohérence avec notre mission et nos façons de faire dont le travail en interdisciplinarité. Tel qu’annoncé au paravant, nous passons maintenant au Plan directeur immobilier (PDI) qui vise essentiellement à planifier les travaux en lien avec la structure physique de l’établissement pour les prochaines années. Sur une autre note, je suis heureux de vous annoncer que le Groupe conseil en traumatologie de l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS) a recommandé le maintien de la désignation du Centre d’expertise pour blessés médullaires de l’Ouest du Québec, dont nous faisons partie. À ce sujet, l’INESS « félicite toutes les personnes concernées dans l’offre de service à la clientèle et qui permettent l’atteinte de standards de qualité. » Bravo! Nouvelle cuvée des rendez-vous du DG C’est avec plaisir que je constate que la nouvelle série des Rendez-vous du DG, amorcée aussi en février, a permis des échanges intéressants et fructueux en lien avec les dossiers de l’heure et les enjeux de 2013-2014. L’un des points présentés dans le cadre de ces rencontres a été celui des résultats des deux sondages d’Agrément, l'un portant sur la qualité de vie au travail et l'autre en lien avec la culture de sécurité. Comme on l’a vu, les résultats du sondage Pulse appuient le postulat selon lequel l’IRGLM privilégie un climat de travail agréable et convivial puisque vos réponses à cet égard ont été fort éloquentes et positives. En ce qui concerne le sondage « Culture de sécurité », il ressort une amélioration de la perception à l'égard de l’engagement organisationnel envers la gestion des risques ainsi qu’une volonté d’amélioration en ce qui attrait à l’importance de la déclaration des incidents/accidents. « Votre passion pour votre travail ainsi que votre professionnalisme à l’endroit de nos patients mériteront toujours tout mon respect. Ils confirment à quel point nous sommes importants aux yeux de nos collègues, mais aussi, et surtout, auprès des personnes que nous accueillons chaque jour à l’IRGLM. » Deux dossiers retiendront plus particulièrement notre attention en 2013-2014 : celui de la démarche visant à obtenir la désignation Institut de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal universitaire des six établissements du Consortium des établissements exploitant un institut universitaire (CÉRIU), alors qu’un comité ministériel se penchera sur le projet de pôle universitaire en réadaptation (PUR). L’autre dossier majeur est celui du rapprochement entre l’IRGLM et le centre de réadaptation Lucie-Bruneau. À ce sujet, un plan de communication conjoint sera développé sous peu pour faire état de l’avancement de ce projet. Je rappelle que nous comptons procéder de façon participative avec les différentes parties concernées dans les démarches en lien avec ce dossier. Ce que nous réserve 2013-2014 Il est certain que le budget demeure un incontournable. À ce sujet, nous avons tous – directement ou indirectement - travaillé très fort à réduire le déficit et le résultat est des plus probants. Aussi, je tiens à vous remercier de votre collaboration inestimable dans l’atteinte de l’objectif que nous avons dû nous fixer. Sans être à la même hauteur, des efforts d’optimisation supplémentaires seront aussi au menu de 2013-2014. Je sais qu’ensemble, nous réussirons à relever à nouveau ce défi. Je termine ce billet en vous rappelant ma fierté et ma joie de travailler avec vous pour le bien-être de notre clientèle. Votre passion pour votre travail ainsi que votre professionnalisme à l’endroit de nos patients mériteront toujours tout mon respect. Ils confirment à quel point nous sommes importants aux yeux de nos collègues, mais aussi, et surtout, auprès des personnes que nous accueillons chaque jour à l’IRGLM. 3 Programme éducatif pour la prévention des plaies de pression pour les usagers Coup de cœur au programme des blessés médullaires Par Marie-Thérèse Laramée Coordonnatrice de la recherche clinique Quoi de mieux que de choisir le jour de la St-Valentin pour souligner un projet qui nous tient à cœur! Brèves Rapport fort positif de la visite d’évaluation du Centre d’expertise pour blessés médullaires de l’Ouest du Québec Une petite fête a eu lieu le 14 février dernier au programme lésions médullaires afin de souligner le lancement de la nouvelle mouture du programme éducatif pour la prévention des plaies de pression pour les usagers. Dans le cadre du projet SAGE et en collaboration avec cinq autres centres de réadaptation au Canada, l’équipe interdisciplinaire du programme a revisité tous les aspects du programme déjà en place. Nous avons donc maintenant un cours offert sur iPad, permettant ainsi que la formation soit dispensée en session de groupe ou de façon individuelle. En parallèle, un document papier - récemment mis à jour - ainsi qu’un outil interdisciplinaire Les 6 et 7 décembre dernier, l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS) rencontrait pour une visite d’évaluation le Centre d’expertise pour blessés médullaires de l’Ouest du Québec qui regroupe, entre autres, l’Institut de réadaptation Gingras-Lindsay de Montréal (IRGLM) et le Centre de réadaptation Lucie-Bruneau. À la lumière de cette rencontre, nous sommes heureux d’apprendre par lettre officielle que l’INESSS a recommandé le maintien de la désignation de ce Centre d’expertise. Dans sa missive, l’organisme « félicite toutes les personnes concernées dans l’offre de service à la clientèle et qui permettent l’atteinte de standards de qualité. » Bravo! 4 ENTRE-NOUS − Printemps 2013 ont été remis aux usagers au moment de leur départ. Ceci, afin de s’assurer que tout ce qu’ils ont à apprendre en lien avec les habitudes de soins leur soit enseigné avant leur congé. En parallèle, un petit questionnaire a été préparé à leur intention. Un travail vraiment collaboratif Un énorme merci à l’équipe interdisciplinaire du programme qui a participé avec enthousiasme (et patience) à la conception des différents outils. Merci également à la direction de l’IRGLM. Lancement de la thérapie par le miroir Par Marie-Hélène Forest Ergothérapeute, M.Sc. S.A.G.E. Le 21 février dernier, le programme Amputations et Blessures orthopédiques graves (BOG) de l’IRGLM a lancé son tout premier projet SAGE : l’utilisation de la thérapie par le miroir dans le but de soulager la douleur fantôme chez une clientèle amputée. La douleur fantôme est une sensation douloureuse perçue au niveau d’un membre absent (vives brûlures, fortes crampes, fort courant électrique, coups de couteau, écrasement) qui apparaît habituellement à la suite d'une amputation. La thérapie par le miroir peut alors être utilisée afin de diminuer, de soulager ou de faire disparaître la douleur fantôme chez une personne amputée en créant l’illusion d’un membre résiduel sain. Or, cette thérapie doit être régie par un protocole strict en plus de nécessiter un haut niveau de concentration. Deux salles ont été mises à la disposition des clients ciblés. L’une de ces salles est située près de l'unité de soins afin que les clients puissent utiliser la thérapie miroir le soir et la fin de semaine. Enfin, cette nouvelle et meilleure pratique, basée sur les données probantes et réalisée de façon interdisciplinaire, s’ajoute aux techniques de gestion et de soulagement de la douleur fantôme et au corpus de connaissances des intervenants du programme Amputations et BOG. Réadaptation double – la suite… Pour entretenir la flamme et la passion de la recherche Par Diane LeBel, Agent d’information « Cœurs meurtris et âmes en peine par l’absence momentanée de l’évènement qui entretient la flamme et favorise le rapprochement entre l’univers de la recherche et celui des cliniciens…Courage! » Voilà l’amorce de l’évènement Réadaptation double – la suite… qui se tiendra le jeudi 25 avril prochain à l’IRGLM. On se rappelle que l’évènement Réadaptation double – dont le concept est inspiré de la populaire émission de télé – a débuté en 2011 dans le cadre d’un projet visant à créer des liens et favoriser le rapprochement entre le monde de la recherche et celui des cliniciens de l’IRGLM. L’exercice consistait essentiellement à réfléchir à des enjeux cliniques importants pour la clientèle des différents programmes et à exposer ses idées devant un auditoire et un jury afin d’identifier les affinités entre ces deux mondes – cliniciens et chercheurs – pour ensuite envisager le développement, en commun, de projets cliniques. On se souviendra que lors de la tenue de la première partie de cet évènement, le 1er décembre 2011, huit projets (présentés par huit équipes différentes) ont été évalués par un comité scien- Institut de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal tifique et soumis à un vote du public. Les deux équipes qui ont obtenu la meilleure cote ont remporté une bourse de 6 000 $, gracieuseté de la Fondation de l’IRGLM. Puis, quatre bourses se sont ajoutées pour les projets restants au nombre de six - qui ont reçu la meilleure cote. Ce sont donc ces six projets qui seront présentés dans le cadre de l’évènement Réadaptation double - la suite… Suivez les communications prochaines en lien avec le dénouement de cette opération séduction… 5 Projet Lean Processus d’administration des médicaments Par Diane LeBel, Agent d’information Dans notre dernier numéro, nous avons « démystifié » le mythe circulant sur la gestion Lean en cernant le but de ce processus relativement nouveau, qui se résume essentiellement en trois préceptes : placer la bonne personne au bon endroit, au bon moment, et ce, dans l’optique d’implanter une culture d’amélioration continue. Parmi les trois projets Lean présentement en cours à l’IRGLM, voyons d’un peu plus près celui portant sur le processus d’administration des médicaments. Pourquoi? Avec le regroupement des services et des programmes-clientèles, il est devenu primordial d’harmoniser le processus d’administration des médicaments afin d’améliorer la sécurité des soins et de la qualité des services offerts à nos patients. Cette façon de faire s’inscrit dans notre culture d’établissement qui préconise les meilleures pratiques. De façon plus spécifique, nous souhaitons atteindre certaines cibles : Réduire de 30% le nombre d’erreurs d’omission (omission de médicaments et de signature); Mettre en place les pratiques organisationnelles requises par Agrément Canada, l’OIIQ et le MSSS; Développer et pérenniser les meilleures pratiques (performance organisationnelle); Diminuer de 50% le nombre d’interruptions dans l’administration des médicaments. Plusieurs actions dans ce dossier ont été réalisées jusqu’ici ou sont en cours de 6 réalisation. Mentionnons d’abord que le premier programme visé par ce projet pilote a été celui de la neurologie, alors que l’implantation du processus y a débuté en septembre 2012. L’établissement cible une conformité de l’ensemble de l’organisation (c’est-à-dire tous les programmes) d’ici la fin de l’année. Les actions réalisées ou en cours de réalisation touchent différents aspects de l’administration des médicaments : depuis la prescription jusqu’à l’apposition de sa signature, en passant par la préparation, la livraison et l’administration comme telle. Comme on l’a dit, le processus d’administration des médicaments vise aussi à optimiser le rôle des intervenants qui y prennent part. On pense tout de suite à celui de l’infirmière et de l’infirmièreauxiliaire, mais il faut aussi inclure le rôle du commis, du pharmacien et du médecin. Qu’en est-il des bénéfices et des retombées du projet? Facile! Mémorisez les 3 M : Meilleure sécurité pour les patients Moins d’erreurs et celles-ci, de gravité moindre Pour le 1er trimestre du projet, le taux d’erreur de médicament au programme neurologie a diminué de 6,6 à 4,2 erreurs par 1 000 jours-présence. De plus, on ne rapporte aucune erreur de médicament ayant eu une conséquence sur un patient. Meilleure organisation du temps de travail des infirmières Plus d’efficience; Une définition claire du rôle de chaque acteur dans le processus. ENTRE-NOUS − Printemps 2013 Meilleure performance organisationnelle Une conformité à 100% avec les pratiques organisationnelles requises (POR), les normes de l’OIIQ et du MSSS; Un taux de formation de 100% du personnel infirmier - infirmières et infirmières-auxiliaires - selon les meilleures pratiques (processus standardisé); Nous devenons une référence pour les établissements confrontés à la même problématique (benchmarking). Et qui sont les porteurs de ce projet pilote? Le processus d’administration des médicaments, à l’instar des autres projets Lean identifiés pour l’établissement, s’inscrit dans les orientations organisationnelles sanctionnées par le conseil d’administration et le comité de gestion des risques (CGR). Ce comité se penche sur les façons d’améliorer les processus et de diminuer les risques d’accident pour ainsi rendre les soins plus sécuritaires. Merci aux personnes qui ont contribué ou contribuent à la réussite du projet : Lucie Perreault, conseillère cadre, soutien à la pratique professionnelle, soins infirmiers Micheline Vilmé, coordonnatrice d’activités de jour Marjorie Joseph, infirmière au programme neurologie Soumiya El-Fassi, conseillère en soins infirmiers spécialisés Sandra Lavoie, agente de gestion de la qualité Sophie Boisvert, infirmière au programme neurologie Bravo pour le travail et les efforts déployés jusqu’ici. Le défi est grand! La beauté de la réadaptation (suite) Par Marjorie Aunos Coordonnatrice, Centre de réadaptation de l’Ouest de Montréal Dans la bravoure démontrée en venant de loin, en se perdant en ville, en étant la! Assister à un show de jazz! Et le Vrai Grand Amour pour moi... C’est de m’amener mon fils. TOUS les jours. Pour que du haut de ses trois pommes, il n’oublie pas que je suis sa maman et que je l’aime tellement... Que je suis devenue forte pour lui, que je n’ai pas le choix, et surtout, qu’il est mon courage! « L’amour avec un grand A est dans le sourire, le soupir, le regard d’un homme pour sa femme. D’une femme pour son mari. Ces conjoints restent unis, malgré les difficultés. » Mais malgré tout ce qui est dit, le vrai défi de la réadaptation reste d’être capable d’en voir la beauté. La beauté est devenue pour nous, membres d’une société axée sur la performance, insidieuse. On ne la voit pas... Sauf quand elle nous est enlevée momentanément. Et là... là on la voit et l’apprécie réellement. La beauté je la vois dans la compli- cité entre une ergo et un préposé. Tou- jours le sourire et la confiance entre eux. La beauté fait partie intégrante de mon physio qui me fait hurler, mais avec qui j’obtiens des résultats. Et quels beaux résultats! Je peux me soulever avec mes bras! La beauté est dans la douceur et le sourire éternellement présent de mon ami Socom. La beauté est dans l’infirmier qui « brasse la cage » de mon collègue de chambre… Pour le motiver. Et ça marche! La beauté se retrouve dans les interactions, les échanges, les commentaires puérils entre deux membres du personnel. Ça nous fait rire! Ça nous change les idées! La beauté se retrouve un samedi matin dans ma chambre. On vient, on part, on discute. Je suis comme eux et ils savent qu’ils sont comme moi. La normalisation, l’inclusion... Ça part de cette réalisation : nous sommes tous pareils, et, à quelques situations près... les rôles pourraient être inversés. La beauté est partie prenante de la fierté de mes infirmières, mon ergo, mes préposés quand je réussis. La beauté est dans le regard, les gestes et l’attitude de mes infirmières. Elles me regardent toujours dans les yeux. Elles viennent me voir. Elles réussissent à me voir, moi. Comme une personne. Un être entier. Pas en un agencement de membres. Pas en une maladie ou une condition. Je suis moi. J’ai de la valeur. De la grande valeur et c’est pour ça qu’on m’aide. « La beauté est partie prenante de la fierté de mes infirmières, mon ergo, mes préposés quand je réussis. » La beauté est dans l’amitié qui se crée entre des gens de différents milieux socioculturels et économiques... Nous sommes tous égaux devant l’adversité. Et la force de caractère, le désir de s’en sortir est partout. La beauté est à la base du respect de l’autre. Elle est précieuse en réadaptation, car elle nous offre normalité et dignité. La beauté nous rappelle que nous sommes normaux, même avec des fonctions ou des membres en moins. et la nommer. Il faut l’apprécier. Alors MERCI! Merci à vous toutes et tous... Pour me montrer comment la beauté existe... Même et surtout en réadaptation! Samedi, je suis entrée dans ma nouvelle demeure - adaptée. Hier soir était le premier soir, en 14 mois, où j'ai pu coucher mon fils dans son lit, lui lire une histoire, le border, ... où j'ai pu, un peu plus tard en soirée, ouvrir la porte de sa chambre pour m'assurer qu'il dormait bien. J'ai pu être celle qui prend du temps à s'endormir car j'étais à l'écoute de ses petits bruits et respirations profondes et ce matin, je suis celle qui est allée le réveiller. Pour tout ça... je voulais vous remercier du plus profond de mon coeur. Vous m'avez fait suer et travailler, m'avez encouragé à confronter mes peurs et aujourd'hui... je peux utiliser les ailes que vous m'avez aidé à reconstruire! Je ne pourrais JAMAIS vous dire assez combien j'en suis reconnaissante. Et je ne pourrais JAMAIS vous rappeler assez combien votre "job" est importante, est essentielle dans la vie de beaucoup de gens. Du fond de mon coeur: un GROS GROS GROS merci!" La beauté a une grande valeur. La beauté, il faut prendre le temps de la voir et de la reconnaître. Il faut la pointer Institut de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal 7 Congrès de l’ISPO tenu à Hyderabad, en Inde, du 4 au 7 février 2013 Un congrès international…au parfum de l’Asie Par Diane LeBel, Agent d’information Ce n’est pas tous les jours que l’occasion se présente de participer à un congrès international à l’étranger! Grâce à un financement de la part de la Fondation LRH ainsi qu'à des bourses reçues de l’AQIPA et des Amputés de Guerre, Marie-Ève Demers, chef du programme amputations et BOG, Marie-Hélène Forest, ergothérapeute et SAGE au même programme et Josée Dubois, prothésiste à la DTR, ont pu assister au prestigieux congrès 2013 de l’International Society of Orthotics and Prosthetics (ISPO) qui s’est tenu à Hyderabad, en Inde, du 4 au 7 février dernier. De gauche à droite : Marie-Hélène Forest, Marie-Ève Demers et Josée Dubois Ce congrès international - lieu de partage des connaissances, de formation continue et d’éducation - se veut un des plus gros et des plus importants évènements planétaires dans le domaine des orthèses/prothèses et il a lieu tous les deux ans, à travers le monde. Plus de 80 pays y sont représentés. Emballées par leur expérience unique et encore sous l’adrénaline en racontant ce formidable voyage qui leur a permis, entre autres, de s’émerveiller devant le légendaire Taj Mahal, nos trois collègues ont présenté le 28 février dernier à l’Auditorium Charles U. Létourneau un bref exposé de ce voyage coup de cœur devant un public fasciné. 8 Promouvoir l’IRGLM à l’échelle mondiale Lors de cette présentation, elles ont insisté sur le fait que la participation à ce genre d’évènement est importante pour le rayonnement de l’Institut, le réseautage et l’actualisation des connaissances. Marie-Hélène Forest, qui ne tarit pas d’éloges à l’endroit de l’expertise que nous avons ici même à l’Institut, espère que leur présence à ce congrès contribuera au rayonnement de l’Institut : « L’IRGLM fait des choses absolument formidables auprès des patients. Nous sommes très avancés en termes d’interventions interdisciplinaires et notre approche est unique; celle au niveau psychologique est particulièrement notable […] Nous développons beaucoup, mais n’exportons pas assez notre expertise. Plusieurs de nos interventions mériteraient d’être présentées à un congrès du type ISPO. » De l’avis de nos trois congressistes, ce constat est d’autant plus important que « l’on assiste présentement à un réel mouvement vers l’utilisation de données probantes dans le monde des prothèses et de la réadaptation pour la clientèle amputée et nous devons continuer à travailler en ce sens […] Les produits que sont les prothèses/orthèses coûtent de plus en plus cher et les agents payeurs exigeront des rapports et des études. Cela deviendra sans doute la norme.» Il est important de mentionner que des initiatives de l’IRGLM, telles que l’implantation des SAGES dans les programmes, suscitent un réel intérêt chez nos homonymes internationaux. Rappelons que l’édition 2013 du congrès de l’ISPO englobait quatre jours de ENTRE-NOUS − Printemps 2013 conférences libres, de cours, de symposiums, d’ateliers, d’expositions et de présentation d’affiches. Encore une fois, merci à nos donateurs pour ce généreux coup de pouce! Congrès ISPO 2013 : De nombreux exposants, des prothèses à la fine pointe de la technologie et tout ce qui est possible et imaginable en matière d’orthèses et de prothèses. « L’IRGLM fait des choses absolument formidables auprès des patients. Nous sommes très avancés en termes d’interventions interdisciplinaires et notre approche est unique […] Nous développons beaucoup, mais n’exportons pas assez notre expertise. Plusieurs de nos interventions mériteraient d’être présentées à un congrès du type ISPO. » Faites disparaître cette (vilaine) styromousse! Par Annie Marquez, Dt.P. Chef du secteur de production et de distribution alimentaire Plusieurs personnes m’en ont parlé et je frémis moi-même devant autant de contenants en styromousse qui se retrouvent à la poubelle… Depuis déjà plusieurs années, le service alimentaire tente de mettre en œuvre différentes tactiques pour réduire la quantité de déchets. Nous avons même, dans notre politique alimentaire adoptée en juin 2010, inclus un point sur le développement durable. Nous y mentionnons la nécessité de diminuer la production de matières résiduelles et de minimiser les impacts environnementaux du cycle que l’on appelle production - approvisionnement - entreposage - préparation - service. Il est donc prioritaire pour nous de se mettre enfin à jour côté virage vert, une partie intégrante du quotidien de chacun de nous depuis plusieurs années. Eh bien! Qui l’eût cru? Malheureusement, plusieurs ingrédients (sans jeu de mots!) manquent afin d’aller de l’avant. Je m’explique : il faut avant tout prendre en compte le cycle de vie complet des contenants que nous achetons pour comprendre pourquoi, en ce moment, il ne serait pas plus écologique pour le service alimentaire d’opter pour des produits biodégradables. Et ces renseignements peuvent s’avérer utiles pour vos choix à la maison… 1. Sur le plan environnemental, tous les bienfaits de la vaisselle biodégradable sont acquis une fois que celle-ci est compostée. Elle doit donc faire l’objet d’une collecte de déchets compostables qui seront dirigés vers un composteur industriel. Étant donné que la vaisselle biodégradable requiert beaucoup plus d'énergie pour être produite (plus d'intrants) que la styromousse, lorsque cette vaisselle est jetée à la poubelle puis enfouie au dépotoir, elle génère le même niveau de pollution que la styromousse et même plus! 2. La vaisselle compostable (autrement dit biodégradable) la plus respectueuse de l’environnement est celle faite de résidus de canne à sucre et non de maïs ou de fécule de pomme de terre. Ces derniers nécessitent beaucoup plus d’intrants (eau, minéraux, espace en terre fertile) pour les produire et réduisent le nombre de terres consacrées à cultiver de la nourriture pour les hommes. Or, les contenants de canne à sucre ne résistent pas à la chaleur. On ne peut donc pas les utiliser pour nos repas à la cafétéria. 3. La meilleure alternative à la vaisselle réutilisable est le carton, car même s'il est enfoui, il lui faut moins d'énergie pour être produit. Toutefois, on ne retrouve pas toujours les bons formats de vaisselle en carton pour l’utilisation au service alimentaire, sans compter Brèves Fin de l’opération Rubik. Place au PDI! L’opération Rubik a été clôturée de façon officielle par la tenue de la journée portes ouvertes du 21 février, alors que des employés, médecins, gens de la recherche, membres du comité des usagers et bénévoles ont parcouru les corridors de l’établissement accompagné de leur guide pour visiter les nouveaux emplacements des secteurs/directions et programmes qui ont été visés par l’opération Rubik. Cette activité a permis à plusieurs d’en connaître davantage sur le fonctionnement de ces unités administratives. Un groupe de visiteurs et leur guide, Caroline Joly, chef du programme lésions médullaires (à gauche). La fin de l’opération Rubik marque l’amorce du plan directeur immobilier (PDI) qui se penche sur nos besoins au Institut de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal chapitre des espaces et aménagements physiques afin de réaliser notre plan clinique et entretenir nos bâtiments. 9 qu’il n’est pas toujours approprié pour les différents types d’aliments. 4.Il semble, vraisemblablement, que les verres compostables ne sont pas plus écologiques que les verres en plastique jetable (polyéthylène) transparents, et ce, peu importe s’ils sont compostés ou non parce que l’énergie requise pour fabriquer ces petits verres faits de plastique très mince est minime. Au revoir et Bienvenue Retraite Roger Fiset, technicien en prévention, Direction des services administratifs Lise Lauzon, travailleuse sociale professionnelle, Direction des programmesclientèles Mona Pierre-Louis, préposée aux bénéficiaires, Direction des programmesclientèles Hélène Roy, agent administratif classe 1, Direction des soins infirmiers Bienvenue Nedyalka Siveva, technicienne en administration, Direction des services administratifs Durville Prud’homme, agent administratif 2, liste de rappel Yves Gingras, technicien en prévention, Direction des services administratifs David Arbour-Croisetière, préposé au service alimentaire, Direction des services administratifs Raphaele Ferland-Verry, diététiste-nutritionniste, Direction des programmesclientèles Rosalba Guerrera, coordonnatrice, Direction des programmes-clientèles Diane Davantin, agent administratif 1, profil secrétariat, Direction des programmesclientèles Laurence Benoit-Dubé, agent administratif 3, profil adm., liste de rappel (téléphonie) Lucie Lorenzini, chef service ressources financières, Direction des services administratifs Christina Estel, travailleuse sociale professionnelle, Direction des programmes-clientèles François Drolet, aide-cuisinier, Direction des services administratifs Jennifer Héroux-Bourduas, travailleuse sociale professionnelle, Direction des programmesclientèles Cindy Mayen Vallejo, agent administratif 2, Direction des technologies de réadaptation 10 ENTRE-NOUS − Printemps 2013 Alors, que faire? Ainsi, tant et aussi longtemps que la collecte de compost et que le recyclage intégral ne seront pas instaurés à l’Institut, il ne sera pas plus écologique pour le service alimentaire ni pour la planète de changer tous ces contenants pour des contenants biodégradables. Pour vous déculpabiliser, sachez que la styromousse est un matériau avantageux à bien des égards. Mais, comme il met des centaines d’années à se dégrader, il contribue à l’augmentation des résidus qui encombreront les sites d’enfouissement pour des générations à venir (son principal défaut). Elle prend beaucoup de place, mais elle est peu susceptible d'affecter l’environnement et la santé. Lorsqu’elle est brûlée sous des conditions contrôlées industriellement, la styromousse n’émet pas de produits toxiques, car c’est un produit totalement inerte et ses grandes capacités calorifiques permettent de récupérer de l’énergie. Le problème réside dans le fait qu’actuellement, peu de compagnies veulent la recycler parce que ce n’est pas lucratif (son prix de vente est très faible). La meilleure solution à moyen terme pour tous ceux parmi vous qui voudraient faire leur part pour l’environnement serait d’apporter vos propres contenants réutilisables afin que notre charmant et aimable personnel serve votre repas dans ceux-ci. Par exemple, demandez à Agla Coucolis, attachée de direction des services admi- nistratifs, où elle s’est procuré sa très belle assiette avec couvercle hermétique en céramique vitrifiée qui ne contient pas de BPA, qui va au micro-onde, au four et au lave-vaisselle. Elle y emporte parfois même à la maison son souper acheté à la cafétéria! Vert demain! Stéphane Géronimo, chef de l’approvisionnement et de la sécurité, a organisé une première rencontre en février pour démarrer le comité vert et ainsi amorcer les discussions en lien avec l’implantation des différentes collectes de déchets. Je ferai, évidemment, partie de ce comité! Du côté de la recherche Par Isabelle David Coordonnatrice de projets, Direction de la recherche Un nouveau programme des plus…stimulants ! préhension palmaire, la préhension latérale et la pince. Un programme d’entraînement de la préhension par stimulation électrique fonctionnelle (FES) est présentement offert pendant la réadaptation d’individus ayant une lésion médullaire. Afin de confirmer son efficacité pour pouvoir l’intégrer dans les pratiques cliniques, une équipe clinique-recherche de l’Institut et une équipe du Toronto Rehabilitation Institute sont responsables d’évaluer les performances fonctionnelles du membre supérieur chez des participants sélectionnés en comparant les résultats d’un groupe contrôle et d’un groupe expérimental avant et après entraînement. Ces évaluations pratiquées par Hadjer Sichaib, ergothérapeute à l’Institut, permettront également de valider trois nouveaux tests d’évaluation fonctionnelle du membre supérieur chez la personne blessée médullaire. L’IRGLM fait actuellement partie des quatre centres au Canada testant un nouveau programme d’entraînement de la préhension chez les personnes blessées médullaires de niveau neurologique supérieur ou égal à C7 pendant leur réadaptation fonctionnelle intensive. Il s’agit de la préhension par FES (l’acronyme officiel du programme, que l’on pourrait traduire librement par SEF), permettant de produire des contractions musculaires sous l’effet d’impulsions électriques envoyées selon une séquence précise afin de saisir et relâcher des objets selon trois types de préhension : la Un superbe travail d’équipe Le programme d’entraînement représente une heure d’ergothérapie administrée par Laura Iuticone et Antoinette De Iure pour le groupe contrôle et une heure de FES administrée par Philippe Ménard et Michel Danakas, physiothérapeutes, pour le groupe expérimental. Ces heures s’ajoutent aux soins et services habituellement offerts par les physiothérapeutes et ergothérapeutes pendant la réadaptation fonctionnelle intensive. L’attribution du participant dans tel ou tel groupe se fait de manière aléatoire. Depuis le démarrage en novembre 2012, le projet a inclus 4 participants. L’objectif de l’équipe est d’atteindre 10 participants d’ici fin septembre 2013. En plus des ergothérapeutes et physiothérapeutes nommés ci-dessus, l’équipe de l’Institut est composée du chercheur Dany Gagnon, de même que Murielle Grangeon, Carolyn Joly, Isabelle Robidoux et Marie-Thérèse Laramée. Merci également à toute l’équipe Lésions médullaires, sans qui ce projet ne pourrait voir le jour. Brèves « Spécial Agrément » Ne manquez pas le « Spécial Agrément » dans notre prochain numéro alors que nous vous amènerons – lentement mais sûrement! – vers la visite d’Agrément Canada qui se tiendra en septembre. Une belle équipe! De gauche à droite (assis): Isabelle Robidoux, Philippe Ménard, et Murielle Grangeon. Debout : Laura Iuticone, Michel Danakas, Marie-Thérèse Laramée, Antoinette De Iure et Hadjer Sichaib. Institut de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal 11 La Fondation à la une! Par Ginette Michaud Agente de développement et communications TIRAGE pour une folie ! 0$ TS 10 CERTIFICA r de d’une valeu 2 00 2 013 détaillant auprès d’un À échanger choix! de votre UN BILL ET DE TIRAGE À 15 0$ = 10 CHAN CES DE GAGNER . Tirage 2013 – Pour une folie ! C’est reparti ! La Fondation lance la troisième édition de son tirage annuel « Pour une folie ! ». Les gagnants remportent un certificat d’achat de 2 000 $ échangeable auprès d’un détaillant de leur choix. Le billet de tirage, au coût de 150 $, donne droit à une participation à 10 tirages, qui ont lieu le troisième jeudi du mois, à compter de juin 2013. Dans les cas où deux personnes voudraient s’associer pour acheter un billet, la fondation accepte cette année de remettre deux certificats d’achat de 1 000 $ chacun aux gagnants. En plus, les employés peuvent acheter leur billet par déduction à la source sur la paie, à raison de 10 $ par paie pendant 15 semaines. objectif consiste à vendre la totalité des 400 billets pour un profit de 40 000 $ ! Vous pouvez acheter votre billet auprès d’un des membres du comité, soit Caroll Boulay, Lyne Gauvreau, Stéphane Géronimo, Sylvain Mitchell, Nelly Siveva et Béatrice Zako. Rappelons que la vente de billets est également ouverte aux gens de l’externe. N’hésitez pas à en parler à vos familles et à votre entourage. le nouvel aménagement du jardin extérieur face au pavillon Gingras. Le plan prévoit un mobilier extérieur permanent comprenant tables, chaises, parasols et bancs de détente pour favoriser une plus grande convivialité et une facilité d’accès aux personnes à mobilité réduite. Il s’agit sans contredit d’un projet d’envergure. On mise sur la qualité et la durabilité des matériaux. Le coût exact et l’échéancier du projet n’ont pas encore été établis puisque nous attendons toujours les soumissions des différents entrepreneurs concernés. Cependant, la qualité a un prix et il est certain que les profits du tirage 2013 seront investis en totalité dans ce projet. Campagne des sous noirs La Fondation lance sa « Campagne des sous noirs », d’après une idée de M. Yves Gingras, notre sympathique responsable de la sécurité ! Pourquoi ne pas vous délester de tous ces encombrants sous noirs au profit de la cause de la réadaptation ? Vous n’avez qu’à déposer vos dons dans le récipient prévu à cet effet dans les bureaux de la Fondation, situés tout près des ascenseurs au pavillon Gingras. Nomination au CA de la Fondation La Fondation est heureuse d’accueillir un nouvel administrateur au sein de son conseil d’administration. Il s’agit de Me Eve Jacob-Tremblay, conseillère Fiscalité chez Richter S.E.N.C.R.L./LLP. Me Tremblay est détentrice d’un baccalauréat en droit de l’Université de Montréal et d’une maîtrise en droit, option fiscalité de HEC Montréal. Casino Royal Bienvenue à bord ! 2013: Les profits du tirage 2013 s’additionneront aux 20 700 $ déjà amassés lors du tirage 2012 pour le financement du projet d’aménagement du jardin extérieur face au pavillon Gingras. Notre En grande primeur Les maquettes du futur jardin extérieur du pavillon Gingras C’est en grande primeur que la Fondation présente ses maquettes pour • 3 octobre 2013 • Loft Hotel • Prix des billets: 500 $ ENTRE-NOUS PRINTEMPS 2013 VOLUME 4 N°1 Entre-nous est le journal interne de l’Institut de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal. Le contenu des articles n’engage que la responsabilité des signataires. Comité du bulletin : Félicité Ngadja, Marie-Louise Ngah Nkoa, Antonia Tsonis et Nehza Zahhar Édition : Diane LeBel, agent d'information Coordination : Diane LeBel, agent d'information • Mise en page : Tabasko Communications Photos : Gisèle Archambault, service de l’audiovisuel Les années folles et le Chicago des années 20
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