Florence Louise Petetin

Transcription

Florence Louise Petetin
Florence Louise Petetin,
Florence Louise Petetin
“Je n’ai pas dit (...) : cherchez moi dans le vide !”(Is 45, 19)
Château-Mairie
Place Maximin Escalier
06140 Tourettes-sur-Loup
du 13 novembre 2015 au 01 avril 2016
Une proposition du FRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur
En partenariat avec l' Espace muséal de Tourettes Lieu relais du Frac dans les Alpes-Maritimes
Dossier de presse
Florence Louise Petetin
“Je n’ai pas dit (...) : cherchez moi dans le vide !”
Espace muséal
Tourettes-sur-Loup
13 novembre 2015 — 01 avril 2016
(Is 45, 19)
Vernissage
13 novembre 2015 à 18h30
Artiste
Florence Louise Petetin
Exposition
du 13 novembre 2015 au 1er avril 2016
Infos pratiques
Château-Mairie
Place Maximin Escalier
06140 Tourettes-sur-Loup
contact : Olivia Gustinelli
Tél. 04 93 59 40 78
www.Tourettessurloup.com
Ouvert du mardi au samedi de 14h à 18h
Visites pour les groupes scolaires sur rendez-vous
contact : Patrick Rosiu, enseignant d'arts plastiques
Tél. 06 69 22 33 65
[email protected]
Publication
Florence Louise Petetin, Je suis terre et cendre,
Éditions Al Dante, 2012
Texte pour l'exposition
Frédéric Valabrègue, Florence Louise Petetin, 2015.
Florence Louise Petetin Je n’ai pas dit (...) : cherchez moi dans le vide !" (Is 45, 19) Hors les murs Page 2
Exposition
Lieu relais du Frac dans les Alpes-Maritimes depuis 2001,
l’Espace muséal de Tourettes présente tous les ans une exposition
réalisée en partenariat avec le Frac. Ce partenariat à long terme
tisse des liens avec les populations locales et amène les publics à la
découverte et à la rencontre des pratiques artistiques contemporaines et de leurs enjeux.
Florence-Louise Petetin, Sans titre, Peintures
récentes
Cette année, l'artiste invitée est Florence Louise Petetin.
"...La peinture de Florence Petetin tend vers une forme d’abstraction. Sans que cette tension corresponde à une évolution chronologique, même si les plus récents paysages, qui ne sont que
jaillissements de formes et de couleurs, pourraient inciter à une
telle analyse. Il s’agit plutôt d’un va-et-vient. Dans les peintures les
plus réalistes, le recours à la photographie participe de cette
recherche de simplicité : recouvrir une image, c’est aussi s’abstraire
d’une forme de réalité. C’est se dispenser de la représentation, pour
atteindre à la présentation. Florence Petetin dit se donner cette fin
ultime : la peinture pour elle-même. Cette expression ne recouvre
pas un désir de retrait du monde, bien au contraire. Cette œuvre est
porteuse d’un discours extrêmement fort, elle est révolte et dénonciation. Elle parle de la douleur de vivre, elle parle du bonheur, elle
parle des faux-semblants qui président aux rapports sociaux. Elle
cherche à démasquer, elle traque le faux qui si souvent se fait
prendre pour le vrai. Mais pour démasquer, rien n’est plus efficace
que de montrer le masque. Recouvrir le monde de peinture, pour
qu’il se découvre. À nu. Et ne plus essayer de faire bonne figure : au
propre, au sale, comme au figuré."
Jean Poussin
(extrait texte catalogue : Florence Louise Petetin, Je suis terre et cendre ,
Editions Al Dante, 2012)
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Florence Louise Petetin
Florence-Louise Petetin, Sans titre, Peintures
récentes
Florence-Louise Petetin, Sans titre, Peintures
récentes
La peinture de Florence Petetin est multiple. Elle n’obéit pas à un
programme, ne constitue des séries mais des moments qui
reviennent et dont les leitmotivs se transforment. Certains sont
fantasmatiques, cauchemardesques, d’autres provocateurs et insolents. Certains témoignent quasiment à la manière d’un reportage
d’après photos, d’autres s’affrontent au paysage. Chacune de ces
expériences demandent des vitesses différentes, des impulsions
rapides ou différées, des moments instantanés et des lenteurs. Elles
se rejoignent par la tonalité des valeurs, des couleurs et des
lumières, mais elles ont autant d’horizons différents que d’heures
du jour. Elles sont une recherche de soi : l’exorcisme des démons,
les conditions de l’émerveillement, en même temps qu’un journal
de bord des états de conscience : le trouble, le clair, l’obtus ou l’extase. Le monde est loin quand le mental se ferme et il se rapproche
en sortant de soi : c’est de cela dont cette peinture est le journal, du
combat des aspirations et des refus. Ce qui est figuré là, parce qu’il y
a de partout de l’identifiable et de la mémoire même dans ce qui
semble proche de la peinture nue, est le récit d’un apprentissage
spirituel ou plutôt les jalons de ce récit, les sensations qui y font
signes. Il est constitué de dessins, de gravures, d’écrits, de photographies et de films. Il n’induit pas un déroulement dans ce qu’il
aurait de chronologique mais des retours sur des éléments-clés à
forte charge comme une aspiration à l’Eden ou l’explosion d’une
vision, d’une violence. Il y a le balancier du calme et de l’orage.
L’arbre est orageux. Le sexuel est endeuillé. Il y a récit non pas parce
qu’il y a continuité mais contamination des différents moments du
travail se teintant les uns aux autres jusqu’à ne plus se détacher.
Une peinture, une gravure, un film peuvent certes être regardés
dans leur autonomie mais c’est l’ensemble qui les met en tension. Il
arrive qu’à propos de certains récits ou de journaux fragmentaires,
on avance l’épithète d’intime. Ce n’est pas ici le journal de bord de
l’intime parce qu’il tend à quelque chose de plus vaste que la personne. Intime est un mot vague, surtout quand tout prend l’allure
d’une fable sur l’étrangeté du monde, sur ce qui nous en repousse,
puis sur ce qui nous permet d’y entrer. C’est en effet une fable très
large et ancienne que de percevoir dans le monde des forces obscures, des menaces puis ce qui le réconcilie en une illumination.
Crier contre ses propres fantômes, ne pas fermer les yeux devant le
vertige du réel, c’est affronter, pousser sur les murs et ouvrir le
champ pour y faire entrer de l’espace. La peinture de Florence
Petetin est une façon de sortir de la nuit pour accueillir l’apparition.
Elle se coltine le mal - le terrible - pour resurgir sur un versant
ouvert fait de paysages et de voyages. C’est pour cela que nous parlons d’expérience spirituelle. Désirs de transcendance et de
rédemption sont présents, comme l’est la chute. La peinture n’est
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Florence-Louise Petetin, Sans titre, Peintures
récentes
Florence-Louise Petetin, Sans titre, Peintures
récentes
pourtant pas démonstrative parce qu’elle semble coller à
l’image de la réalité. Dans les toiles s’appuyant sur un reportage
photographique comme celles de la longue randonnée autour
de Paris, il semblerait qu’il n’y ait plus rien de ce que nous
venons d’annoncer hormis un récit encore plus littéral.
Pourtant la peinture d’après photo pousse entre les mailles de
cette dernière et va chercher dedans ce qui fait son mouvement
secret. L’aspect reportage est discrètement débordé par l’insistance sur une ombre, par exemple, ou plus simplement par le
fait de représenter des dormeurs comme des gisants ou un éveil
à l’aube comme un moment sans visage. Nous nous souvenons
d’une peinture de Florence Petetin tirée d’une photographie
d’un voyage lointain où des jeunes gens comme masqués par
leur chevelure jouaient au football sur un terrain en feu. La
peinture avait tiré l’image vers ce qui en faisait une apparition.
La main du peintre inscrit dans un autre temps ce que la photographie gèle. A contrario, grâce à cette friction avec la photo la
peinture gagne un caractère iconique. Même dans les paysages
et particulièrement dans les arbres gravés, dessinés ou peints sujet apparemment d’école -, nous sentons ce désir d’ouvrir et
de dépasser le motif pour qu’il indique un moment et un état : la
dilatation du temps, l’esseulement, l’apaisement. D’autres
tableaux nous disent : je fais mes gammes à la campagne, j’explore un autre registre... Les expérimentations et les explorations ne vont pas à la conquête d’un style mais résonnent entre
elles par leur unité d’intention : donner à la peinture la dimension d’un parcours, ne pas l’arrêter à un résultat ni la replier sur
elle-même, en faire la manifestation sans illustration d’une
recherche mystique.
Frédéric Valabrègue
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Extrait de l’entretien de l’artiste avec Pascal Neveux
Pascal Neveux – J’ai été très impressionné, lors de ma
première visite d’atelier, par la profusion des travaux qui envahissent ton espace de travail : peintures, dessins de toutes
tailles, vidéos… Et troublé par la facture même de ces travaux
qui laisse imaginer un univers très singulier et protéiforme.
Florence Louise Petetin – Ces derniers temps, l’atelier,
c’était surtout dehors. Et depuis peu, ce dehors, c’est devenu les
gens, l’autre. Ça s’est concrétisé par des portraits. Dans cette
pratique, la concentration doit être très grande. Mon travail de
peinture (avec sa diversité de supports et de formes), est intimement lié à ma vie.
Elle en est la source. Cependant le travail artistique doit à
un moment s’ouvrir au monde afin d’éviter une sorte de sclérose, un sentiment d’étouffement. Ce geste d’ouverture est vital.
Pour moi il a pu avoir lieu grâce aux voyages en Inde.
PN – La construction même de tes peintures construit
des dramaturgies où le paysage semble fusionner avec cette présence humaine, souvent énigmatique, comme saisi dans l’instant. Là encore, je ressens chez toi cette importance du paysage,
comme une façon de traduire ton rapport au monde, au présent
du monde, et sa confrontation avec ta propre histoire… Et en
même temps, il y a cette énergie joyeuse, quasi festive…
FLP – Tu fais probablement allusion aux dernières peintures des jardins. J’ai réintroduit des personnages dans les paysages. Ce sont des portraits doubles ou plutôt absolus. Le jardin
représente l’espace intérieur. C’est aussi une représentation
sociologique, notre environnement nous constitue, et/ou nous
le construisons selon notre influence culturelle. L’autre partie
du portrait suit la tradition classique, le personnage se tient
droit face au peintre et au spectateur, il adopte une posture par
laquelle il se présente – quoique dans certains portraits, le personnage soit en mouvement. J’essaie de travailler l’être de la
même façon que le paysage, comme si nous étions faits de la
même matière. Je refuse qu’il soit collé artificiellement « dans
l’espace de la nature, comme un étranger, c’est-à-dire différent.
Pour moi, il en fait partie.
PN – […] Un paysage peint est une image, une représentation des choses en leur absence. Peindre un paysage, ne peut
pas être complètement dissocié de la manière dont nous nous le
représentons. Peindre des paysages sensibles semble relever
pour toi d’une aventure spirituelle, méditative…
FLP – Pour moi le paysage témoigne d’une attention,
mais d’une attention au réel et à l’instant présent. Et si ce thème
fait référence, pour beaucoup de gens, au passé, pour moi, il
l’est au présent, et je réfute cette notion de souvenir. Même
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quand j’évoque l’Inde. Ce n’est pas une évocation de souvenirs,
mais une évocation forte, motrice, pleine d’émotions ; une évocation « au présent ».
Ces voyages m’ont bouleversée – comme m’ont bouleversée l’expérience de certains paysages. Ils ont remis en cause ma
vision du monde. Ils ont ouvert le monde.
Ils lui ont donné de l’air et un début de sens. Mon travail
en a aussi été profondément transformé.
Extrait de l’entretien de l’artiste avec Pascal Neveux,
paru dans Florence Louise Petetin, Je suis terre et cendre,
Éditions Al Dante, 2012.
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Florence Louise Petetin
née en 1967, à Paris
vit et travaille à Marseille
06 88 53 51 37
[email protected]
www.documentsdartistes.org/petetin
EXPOSITIONS
Florence-Louise Petetin, Peintures
récentes
EXPOSITIONS INDIVIDUELLES
2014
• Habiter le paysage, FRAC, Marseille
• A l'ombre de tes ailes, Chapelle des Pénitents, Lurs
avec le FRAC Provence-Alpes-Côte d'Azur
2011
• Florence Louise Petetin paysages peintures,
Maison d’Art Contemporain de Chailloux, Fresnes
2010
• Cultivez mon jardin, Passage de l’Art, Marseille
2009
• Paysage, Ermitage St Jean du Puy, Trets
• Troëne et Térébinthe, Galerie Porte Avion, Marseille
2008
• Portes ouvertes des ateliers d’artistes,
Association le Château de Servières, Marseille
2007
• Florence Petetin, Luminy les-galeries,
Ecole des Beaux Arts de Marseille
2005
• En Avant en Arrière, Passage de l'Art, Marseille
2003
• Eloge du Bureau, Passage de l'Art, Marseille
2001
• Galerie du Tableau, Marseille
• Crac de Baillargues, Montpellier
2000
• Ateliers d'artistes, Le ventre de la baleine, Pantin, Paris
1998
• Florence Louise Petetin, Villa Daumier, Valmondois
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'Habiter le paysage' Florence-Louise Petetin
EXPOSITIONS COLLECTIVES
2015
• Histoires parallèles, Frac Provence-Alpes-Côte d'Azur, Marseille
2012
• Affinités électives, Galerie Vieille du Temple, Paris.
2011
• Artistes marseillais, artistes chinois, Alcasar, Marseille.
• Cabinet de curiosités, Collection de l’Artothèque
du Limousin, Scène Nationale d’Aubusson, Aubusson.
2010
• Hiver, Galerie Porte Avion, Marseille
2009
• Salon du Dessin Contemporain, Paris
(Galerie Porte Avion, Marseille)
2008
• Faites votre prix, Galerie des Grands bains douche, Marseille
• Salon du Dessin Contemporain, Paris
(Galerie Porte Avion, Marseille)
• A vendre, Association le Château de Servières, Marseille
2007
• Peinture(s), Galerie Athanor, Marseille
2006
• Figures du monde, Le 19, Crac de Montbeliard
2005
• Week-end, Espace Vallès, Grenoble
2003
• Choix d'oeuvres 1972-2003, Galerie Athanor, Marseille
2002
• Florence L Petetin, Max Armangaud,
Galerie Athanor, Marseille
1999
• Carte Blanche 4, Galerie Eof, Paris
• Carte Blanche 3, L'Atelier sur l'Autoroute, Paris
1996
• Galerie du Jour, Agnès b, Paris
• Espace Le Carreau de Cergy, Cergy Pontoise
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PERFORMANCES
2009
• Paysage, Ermitage St Jean du Puy, Trets
2003
• Eloge du bureau, Passage de l'art, Marseille
LECTURES
2009
Lecture à la Galerie Porte Avion, Marseille
2008
Lecture au Meeting Folie Quantitative.
Faculté de Droit, Marseille
2007
AUTRES PRODUCTIONS, AIDES, ACQUISITIONS
AIDES, PRIX, RÉSIDENCES
2012
• Aides à l’acquisition de matériel, DRAC Paca.
2011
• Aides au projet d’une édition monographique,
avec l’éditeur
Al Dente – Région Paca, DGAC de Marseille, Département des BDR. (Association Anésidora)
• CAC arts visuels, aide projet d’exposition,
Région Paca
2009
• Résidence, Ermitage St Jean du Puy Association Voyons Voir, Marseille.
• CAC arts visuels, Région Paca Association Anésidora, Marseille.
• Aide au projet, DGAC de la ville de Marseille Association Anésidora.
2008
• Aide à la Création (projet de vidéo), DRAC Paca.
2007
• Résidence, Ecole des Beaux Arts de Marseille
(gravure et peinture)
• Workshops Ecole des Beaux Arts de Marseille
• Projet vidéo Inde (Bombay, Meghalaya)
2006
• Aide au Projet (Inde), DGAC de Marseille –
Association Anésidora.
• Aide à l’achat de matériel, DRAC Paca.
• Résidence, Sanskriti Kendra, Delhi, Inde
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• Workshop Ecole d'Art, Guwahati, Inde
• Résidence, Ecole des Beaux Arts de Marseille (gravure)
2005
• Workshop et résidence Faculté des Beaux Arts Baroda, Inde
EDITIONS
2012
• Je suis ciel et terre, livre monographique,
textes Jean Poussin, Jean-Pierre Cometti,
Pascal Neveux, éditeur Al Dante, Conseil régional
Paca, Ville de Marseille,
Conseil général des Bouches-Du-Rhône
2009
• Dossier Florence Louise Petetin,
revue Il Particolare n°19 & 20,
Centre national du Livre, Conseil régional Paca,
Ville de Marseille, 2009
2008
• Dessins à l’encre de Chine, publiés dans la revue
A Bords : Paysage Jardin, Marseille 2008
2007
• Poésie publiée dans la revue
Le Cahier du Refuge n°159,
Centre international depoésie, Marseille, 2007
2006
• Dessins publiés dans la revue A Bords,
texte de Daniel Liotta :
Le sentiment sourd - Sur les dessins de
Florence Louise Petetin, Marseille, 2006
2005
• Textes non publiés de Charles Floren,
Jean Pierre Cometti, François Warin, à l'occasion
de l'exposition En avant, en arrière, Passage de l'art,
2005
2004
• Florence Louise Petetin : Je vais au travail comme à
l'abattoir (éloge du bureau),
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in revue Il Particolare n°9 & 10, pp. 160 à 190,
Centre national du Livre, Conseil régional Paca,
Ville de Marseille, 2003
1994
• Le Trou, recueil de poésies, éditeur La Pénultième
COLLECTIONS PUBLIQUES ET PRIVÉES
• Fond Communal, Marseille, 2007
• Artothèque du Limousin, Limoges, 2006 et 2008
• Présence dans des collections privées
CV
ÉCOLES, FORMATIONS
1996
• DNSEP, Ecole Nationale Supérieur des
Beaux Arts de Cergy Pontoise
1990
• DEUG Gestion et Economie appliquée (niveau),
Université Paris Dauphine
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contact presse
Marie-Aurélie Elkurd
[email protected]
t +33 (0)4 91 90 30 47
contact projet
France Paringaux
Responsable des projets Hors les Murs
[email protected]
t + 33 (0) 91 90 29 49
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