Moselle-Est Le retour de Patricia Kaas - Patricia Kaas
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Moselle-Est Le retour de Patricia Kaas - Patricia Kaas
Moselle-Est hombourg-haut Violences conjugales répétées : sursis et nouveau départ Un homme de 48 ans résidant à HombourgHaut a écopé d’une peine de six mois de prison avec sursis pour des faits de violences volontaires et d’agression sexuelle sur sa femme. Cette dernière a retiré sa plainte. A l’annonce de leur dossier, mari et femme s’avancent ensemble vers la barre du tribunal correctionnel de Sarreguemines. Madame a retiré sa plainte, mais le parquet ayant l’opportunité des poursuites, le tribunal reste saisi de cette affaire d’agression sexuelle et de violences volontaires par conjoint. Depuis 2006, les forces de l’ordre sont intervenues au moins cinq fois au domicile du couple, à Hombourg-Haut. Un domicile que l’épouse a quitté plusieurs fois, et où vivent également leurs trois enfants âgés de 6 à 13 ans. Plusieurs passages aux urgences ont été enregistrés, des certificats médicaux établis. L’un d’eux précise que la victime ferait l’objet de violences depuis des années : elle indique que les problèmes ont commencé après un accident domestique où elle a été gravement brûlée par un produit inflammable. L’expertise psychologique relève chez la victime « un fonds sacrificiel qui l’a poussée à rester, dans les limites du supportable ». « Recommencer à zéro » « On est mariés depuis 28 ans », raconte l’homme, âgé de 48 ans, qui justifie ainsi ses coups : « Elle buvait, il y avait un climat catastrophique à la maison, elle faisait des crises et il fallait la calmer ». Il reconnaît finalement les violences, mais pas l’agression sexuelle. « On ne vous reproche pas un viol, sinon vous seriez à la cour d’assises, précise le président. Mais pourquoi avoir cherché à la contraindre ? » Mais le prévenu nie. La victime prend la parole à sa suite. Avec son mari, elle veut « recommencer à zéro ». Elle a interrompu la procédure de divorce qu’elle avait engagée. « Les histoires de couple ne sont jamais évidentes, et c’est son droit de retourner avec son mari, mais peu importe la situation : les faits de violence ne sont pas admissibles », souligne la représentante du ministère public. Elle cite « l’épisode le plus parlant », relaté par un témoin. « Il la pousse violemment à terre et s’acharne sur elle, la menace pendant que les deux jeunes enfants observent la scène depuis la voiture, raconte-t-elle. Ils ne se battent plus dans la sphère familiale, mais dans la rue ! » Elle demande au tribunal de tenir compte de la situation actuelle du couple, et requiert une peine de quatre mois de prison assortie d’un sursis mise à l’épreuve avec une obligation de soins. Le tribunal prononce une peine de six mois de prison assortie d’un sursis mise à l’épreuve ainsi qu’une obligation de soins. Estelle Fernandes AMBULANCES • VSL • TAXIS* 7/7 et 24h/24 Nous sommes à votre service ✆ 03 87 93 05 59 FALCK - BOUZONVILLE AC1214011 SCHŒNECK EVENEMENT samedi sur la place de-wendel à stiring Le retour de Patricia Kaas Une scène de pro A trois jours du spectacle de Patricia Kaas, les préparatifs s’accélèrent. Le montage de la scène et des barrières de protection place De Wendel à Stiring-Wendel a démarré mardi. Jean-Patrick Staub, Alain Mohr et Jean-Marie Legleitner s’investissent depuis neuf mois dans cet événement. Rencontre. S amedi soir, Patricia Kaas chantera pour la première fois à Stiring-Wendel, où elle a passé son enfance, sa jeunesse. Un événement pour la commune, et aussi beaucoup d’émotion pour la jeune femme qui se produira à domicile. Il y a deux ans, le 15 juillet 2007, Patricia était déjà revenue au bercail à l’occasion des festivités marquant les 150 ans de la ville. Le maire Jean-Claude Holtz l’avait nommée citoyenne d’honneur. Un titre accompagné d’une demande : donner un concert "chez elle". Un souhait auquel Patricia a répondu favorablement en octobre dernier. Depuis, une dizaine de membres des commissions des fêtes, communication et sécurité de Stiring-Wendel s’investissent dans l’organisation de cet événement. Chevilles ouvrières de l’équipe, Jean-Patrick Staub, Alain Mohr et JeanMarie Legleitner. « Nous travaillons en trinôme, les tâches sont bien définies, ce qui n’empêche pas de s’entraider, surtout à l’approche du grand jour. On est sous pression, car on veut que tout soit tip-top », confiait lundi Jean-Patrick. Et pour ne rien oublier, celui-ci fait usage de pense-bêtes. A profusion. Il en sort de sa poche de pantalon, de sa veste. « Il en a même sur la table de chevet », renchérit son épouse Danila. « Dès que je pense à un détail, je le note. C’est plus sûr… j’ai tellement de choses dans ma tête. Je passe des nuits blanches » Neuf mois de préparation Jean-Patrick Staub, adjoint, fait une rétrospective sur les neuf derniers mois. « Le budget pour le spectacle de Patricia, 100 000 €, a été voté lors d’un conseil municipal. Patricia renonce à son cachet. mais il faut quand même payer les musiciens, la danseuse, l’équipe technique, les ingénieurs du son et lumière, soit 19 personnes. A cela s’ajoutent la location d’une scène professionnelle, son montage effectué par une douzaine de personnes, l’installation de barrières… La ville a créé une régie permettant la vente de billets. Des billets uniques, dans la mesure où on les a conçus avant de les faire imprimer. » Il a également fallu gérer un gros volet communication : contacts avec le manager, la presse, la publicité, le courrier… Ça, c’est l’affaire d’Alain Mohr. « On est allé à Metz, en février quand Patricia donnait deux concerts à l’Arsenal. On a discuté avec sa Maison de production, on a montré les plans de la Jean-Patrick Staub, Alain Mohr et Jean-Marie Legleitner ne quittent plus la place de Wendel ! Le concert est l’aboutissement de neuf mois de travail. scène, des photos des loges pour s’assurer que tout convenait. On a donné tous les détails sur les préparatifs. On a même collé les affiches un peu partout dans la région. Tout un travail en amont en attendant le jour J, qui est tout proche. » JeanMarie Legleitner, lui, supervise tout ce qui est technique. « Un homme très précieux, qui sait tout faire, il est au four et au moulin », affirment Jean-Patrick et Alain, le voyant entrain d’observer le montage de la scène, Place de Wendel, de vérifier les barrières qui seront installées. Rien ne lui échappe. Tous trois reconnaissent : « on ne s’attendait pas à autant de travail, de contraintes… peu à peu les choses ont avancé. On s’est lancé un défi, on ira jusqu’au bout : on veut offrir aux Stiringeois un événement exceptionnel. » Des Stiringeois et tous les Est-Mosellans qui ont rendez-vous ce samedi à 21 h 30. La place peut contenir jusqu’à 6 000 personnes, debout. Comme le spectacle est donné en plein air, tout le monde espère que le ciel sera aussi au rendez-vous pour le retour de Mademoiselle. E.K. Côté pratique Changement d’allure pour la place De Wendel à Stiring-Wendel. La scène, montée devant la mairie, en occupe déjà une bonne partie. Ce mercredi, seront installées des barrières, depuis la mairie jusque devant la Maison d’œuvres ainsi que des sanitaires mobiles. Demain, dès 8 h, l’accès à la Place De Wendel sera interdit. Pour le spectacle, Elle comportera en son milieu une régie "son et lumière". A gauche de la scène seront érigés un gradin avec rampe d’accès pour personnes à mobilité réduite et un carré pour VIP. www.logial.fr • Circulation : elle sera coupée samedi dès 12h, dans la rue Jean Burger, au niveau du carrefour rue St-Humbert et au carrefour rue St-Charles, dans la rue St-Théodore au niveau de la Place de l’Eglise. Dès 19 h seront également posées des barrières dans la rue St-François au niveau de la Place de l’Eglise, dans la rue St-Jacques au niveau du parking Logi-Est et rue Jean-Burger. • Billetterie : Les billets d’entrée (25 €) seront en vente samedi après-midi dans deux chalets : l’un près de la statue De Wendel, en face de l’Office de tou- risme, l’autre à l’angle des rues St-François et Jean-Burger. • Parkings : le parking à gauche de la mairie sera réservé aux personnes à mobilité réduite. Il y aura possibilité de se garer à la Coulée Verte, sur l’aire des gens du voyage, mais aussi derrière les ateliers municipaux, le supermarché Champion, et Place de Chalais au Habsterdick. • Sécurité : le service sécurité sera assuré par une trentaine d’agents, accompagnés de chiens. Ils sont autorisés par la Préfecture à effectuer des fouilles au corps si nécessaire. • PC secours : le poste de commandement au niveau des secours à personne sera installé en mairie. Pompiers, policiers et ambulanciers se trouveront à la Maison d’œuvres. • CD T-shirts : au stand, installé derrière la régie, le public pourra acheter des CD de Patricia Kaas, des T-shirts etc. • Collations : des bénévoles d’une dizaine d’associations vendront des boissons et casse-croûte, aux stands installés à l’extérieur et à l’intérieur du périmètre réservé au public. Mardi matin, des professionnels ont déchargé les camions, ramenant tout le matériel nécessaire au montage de la scène, mais aussi le matériel son, éclairage… La scène a été louée à une société allemande près de Karlsruhe, spécialisée dans l’événementiel. Jasper De Silva, régisseur local, représentant Live sound show technic, est entouré d’une douzaine de personnes. Des techniciens chargés d’installer l’imposante structure métallique : 18 m de large, 12 m de haut, 12 m de profondeur. « On a commencé ce mardi à 8 h et on en aura jusque 20 h. La scène devrait être complètement terminée d’ici mercredi après-midi. Les professionnels commencent par mettre le ballast, avec 32 bacs remplis chacun de 500 litres d’eau, pour le stabiliser. Les phases suivantes consistent à monter deux tours latérales, hauteur 11 m, puis le toit : ce dernier à l’aide de 8 moteurs. Il restera alors à installer la scène en bois, tout le matériel technique, son et lumière. La scène est conçue pour de très grands événements. Elle a une superficie de 130 m2 et supporte un poids de 500 kg par m2. » Jasper De Silva précise que les techniciens de spectacle ont l’habitude d’élever de telles mégastructures. « Ils travaillent en respectant un règlement très strict et portent un harnais lorsqu’il s’agit d’intervenir en hauteur. » BALESTRERI Paul CHARPENTE - COUVERTURE - ZINGUERIE BARDAGE - TRAITEMENT DE CHARPENTE GUENVILLER Tél. 03 87 90 80 81 AC1211872 JUSTICE 22 PAY S A G I S T E Création, entretien, plantation, taille, pose de clôture, bassin, pavage... AC1218092 [email protected] 03 87 87 16 30 - 06 43 30 28 23 DEPUIS 1930 AC1208699 Jeudi 23 Juillet 2009 4
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