28 novembre 2011 - Maison De l`Emploi de Strasbourg
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28 novembre 2011 - Maison De l`Emploi de Strasbourg
Strasbourg-Ortenau Les métiers des ports de Strasbourg et Kehl 28 novembre Newsletter N°6 Des rendez-vous mensuels transfrontaliers 28.11.2011 Nlmk n Le coup d’envoi d’une GPEC * franco-allemande Au cours de cette rencontre qui se voulait le terrain de nouvelles collaborations transfrontalières, des dirigeants français et allemands ont pu s’interroger sur les perspectives et les évolutions des métiers des Ports et découvrir les nombreux enjeux économiques et sociaux liés à ces activités sur le bassin StrasbourgOrtenau. Cette date marquait aussi le coup d’envoi du programme transfrontalier de Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC) des Ports de Strasbourg et de Kehl que proposent de mener en 2012, la Maison de l’emploi de Strasbourg, la CCI de Strasbourg et du Bas-Rhin et l’Agentur für Arbeit. Ils ont pu en illustrer concrètement tous les enjeux, au travers des nombreux témoignages entendus au cours de cette soirée. n NLMK, quand un groupe mondial conforte son implantation au Port de Strasbourg Antonio D’Autilia, Directeur Général de NLMK Strasbourg, qui accueillait au sein de ses locaux ce 6e Afterwork, a présenté l’histoire de cette entreprise industrielle, implantée depuis 120 ans au Port de Strasbourg. Il a expliqué toutes les motivations stratégiques de cette implantation : « Le site strasbourgeois, qui a rejoint en 2011 ce leader mondial de l’acier, avait tous les atouts pour répondre au modèle d’approvisionnement intégré de notre groupe. Notre situation au cœur de l’Europe nous permet de réceptionner les matières premières en provenance des mines de Russie et d’expédier nos produits finis dans les pays européens voisins qui sont nos principaux clients (industrie, automobile, bâtiment). Idéalement situé, le Port de Strasbourg dispose d’une logistique multimodale très complète, par route, par voie ferrée et par une des plus grandes voies navigables d’Europe. C’est pourquoi notre usine a bénéficié de 12 millions d’euros d’investissements au cours des 5 dernières années pour augmenter sa capacité de production annuelle d’acier galvanisé et d’acier prélaqués. » Dans cette entreprise de 200 salariés, reconnue pour sa politique du management des performances, l’humain occupe une place de choix. Amélioration continue de la qualité, de la sécurité et des conditions de travail, engagements environnementaux (100% des déchets traités ou recyclés, zéro rejet liquide dans le Rhin), importance du travail d’équipe, signature de la charte de la Diversité, politique d’embauche et de formation des jeunes… illustrent une politique des ressources humaines et du management qui repose sur de solides valeurs et des investissements conséquents (plus de 4% de sa masse salariale est investie dans la formation). * GPEC : Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Les Afterworks sont organisés chaque mois le temps d’un apéritif, autour de diverses thématiques d’emploi et de formation, pour un public de dirigeants et de responsables de ressources humaines français et allemands. Le 28 novembre, ce 6e rendez-vous économique, organisé par la Maison de l’emploi et de la Formation de Strasbourg, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Strasbourg et du Bas-Rhin et l’Agentur für Arbeit d’Offenbourg s’est déroulé à l’usine NMLK, implantée au Port de Strasbourg et spécialisée dans le laminage et le laquage d’aciers galvanisés. Elle a rassemblé près d’une centaine d’invités issus des entreprises des Ports de Strasbourg et de Kehl qui innovent et recrutent dans l’industrie, le transport et la logistique, le traitement des déchets, les énergies, l’agro-alimentaire et bien d’autres domaines encore. La soirée s’est poursuivie avec la visite de la ligne de laquage des bobines d’acier galvanisé, par petits groupes guidés par le personnel de l’usine. n « Un territoire qui aime son industrie ! » Les Ports de Strasbourg et de Kehl occupent une position à part entière dans le paysage des plateformes logistiques. D’abord parce que ces infrastructures sont à cheval sur la frontière, en zone urbaine, et aussi parce que rares sont les habitants qui mesurent l’importance de cette structure qui constitue le 2e Port intérieur français et le 3e Port rhénan. Catherine Trautmann, Présidente du Port Autonome de Strasbourg et Vice-présidente de la Cus « Si les Ports de Kehl et Strasbourg ont fait le choix de la coopération, c’est parce qu’ensemble ils forment le 3e Port rhénan. C’est aussi parce que ce sont deux villes qui ont fait le choix d’aimer leur industrie, de vivre avec leurs entreprises industrielles. Ce n’est pas toujours facile, c’est parfois critiqué par les habitants, parfois contesté, mais il ne faut pas oublier que la richesse de nos villes vient aussi de nos entreprises industrielles. » David Trouchaud, Sous-Préfet de Strasbourg et administrateur de la Maison de l’emploi, a qualifié le Port de véritable plaque tournante de l’industrie et de l’économie locale. Il avait déjà exprimé fin 2010 le souhait que les Rendez-vous du Port ne soient pas un événement sans lendemain. Ils se sont poursuivis par REVE (Rapprochement entre les Entreprises et leurs Voisins pour l’Emploi), un dispositif expérimental toujours en développement, qui a permis à ce jour aux entreprises du Port de relayer, par l’intermédiaire de Pôle emploi, de la Mission locale et des associations de quartier du Neuhof et du Port du Rhin, 67 offres d’emploi ayant abouti au recrutement de 58 personnes, dont 9 issues des Zones Urbaines Sensibles. n Inventons la coopération transfrontalière n Doper l’attractivité des Ports pour créer des emplois Didier Dieudonné, DG du Port autonome de Strasbourg Jürgen Preiss, Responsable administratif du Port de Kehl « Le Port de Strasbourg est face à de nombreux défis : environnementaux du fait de sa proximité avec la ville, économiques et sociaux par sa capacité à proposer des emplois, notamment aux populations des quartiers proches, qui connaissent un fort taux de chômage. L’un des enjeux de cette GPEC, c’est d’augmenter les performances du Port et l’attractivité du territoire. » Jürgen Preiss, a décrit la grande diversité des entreprises industrielles, artisanales et de transport du Port de Kehl. Ses besoins en compétences dessinent une palette très large allant des métiers techniques de la mécanique et de métallurgie, des menuisiers, des électriciens… aux métiers de la logistique et aux ingénieurs très qualifiés des plus grandes entreprises. n Le GUP, des entreprises qui se mobilisent pour les quartiers Régine Aloird, Présidente du Groupement des Usagers du Port de Strasbourg qui fédère 85 entreprises, a rappelé ses objectifs de développement et de pérennisation des emplois, notamment grâce à des partenariats tels que REVE (Rapprochement entre les Entreprises et leurs Voisins pour l’Emploi) avec les quartiers du Port du Rhin et du Neuhof. n Rubis Terminal et le casse-tête des délais de formation Directrice de Rubis Terminal Alsace, une société de stockage et de distribution d’hydrocarbures et de produits chimiques installée aux Ports à Pétroles qui emploie 250 personnes, Régine Aloird a pointé les conséquences directes de la diminution du nombre de raffineries en Europe, sur l’évolution de ses besoins en compétences. David Trouchaud, Sous-Préfet de Strasbourg et administrateur de la Maison de l’emploi « Cette nouvelle action de GPEC participe à la fois à l’anticipation des besoins en recrutements et à une meilleure planification de nos programmes de formation pour ne plus agir au coup par coup, mais en mutualisant nos besoins des deux côtés du Rhin. Elle illustre et renforce notre volonté de nous ouvrir à l’Allemagne pour que nos ressources humaines profitent de nouveaux partenariats. » n Ici, l’industrie structure l’économie Jean-Luc Heimburger, Président de la CCI 67, partenaire du Port de Strasbourg et de cette future GPEC, a insisté sur les spécificités de cette démarche franco-allemande issue d’un partenariat public/privé. Il a rappelé ses enjeux : « Il s’agit de préserver sur place les compétences dont la logistique et l’industrie auront besoin demain, car l’industrie est structurante pour le territoire et elle doit continuer à trouver ici un tissu économique attractif ! » Régine Aloird, Directrice de Rubis Terminal Alsace « Aujourd’hui, les mélanges d’hydrocarbures se font dans nos dépôts et cela implique le respect de règles de sécurité, de normes, de règles douanières et une ingénierie qui requièrent des temps de formations très longs. Il faut 10 ans pour former un bon chef de dépôt dans notre secteur ! Cette évolution nous impose des décisions en matière de gestion des ressources humaines (évolution interne, recrutements externes). Nous espérons que cette GPEC va nous aider à prendre les bonnes ! » n BSW peine à faire traverser le Rhin aux ingénieurs français Bernd Wiegel, est Responsable du centre de formation de la Badische Stahl Werke, aciérie badoise qui compte parmi les spécialistes mondiaux de la barre et du fil d’acier. Le groupe BSW, installé dans le Port de Kehl, regroupe une douzaine d’entreprises du secteur, soit environ 800 salariés, et il forme chaque année 170 apprentis dans le secteur de la mécanique et de la métallurgie, pour le compte de ses entreprises et pour des besoins externes. « Nous parvenons à former des jeunes à un métier en 2 ans, y compris ceux qui sont en échec scolaire. Même si cela nous permet d’anticiper certaines pénuries de main d’oeuvre qualifiée, nous peinons toujours à attirer les compétences, notamment françaises. Pourtant nous avons besoin d’ingénieurs en nombre ! » n Chez Wincanton Mondia, des chauffeurs plus éco-responsables Marie-Christine Weiss, DRH de Wincanton Mondia, entreprise de transport et de logistique, qui emploie 200 conducteurs poids lourds, 80 caristes et 50 préparateurs de commandes, a expliqué comment l’entreprise a tiré parti de son engagement dans la charte « Objectif CO2 : les transporteurs s’engagent » pour motiver ses chauffeurs à changer leurs habitudes de conduite et à se former aux évolutions de leurs métiers. Marie-Christine Weiss, DRH de Wincanton Mondia « Nos chauffeurs ne sont plus de simples chauffeurs ! Ils sont responsables des marchandises qu’ils transportent, ils sont aussi nos premiers commerciaux et ils ont aussi des obligations environnementales. Nous les avons formés en interne à l’éco-conduite, aux bonnes pratiques et à l’usage de boîtes robotisées. Cela nous a permis de réduire notre consommation de carburants de 4 millions de litres par an ! » n Un centre formation intégré à Soprema Soprema, leader mondial de l’étanchéité, qui compte 4 300 salariés dans le monde dont près de la moitié en France, rencontrait depuis des années des difficultés à recruter des étancheurs, un métier clé de son activité. n Ils ont donné une chance à chacun Marie-Christine Weiss a également exposé comment certaines pratiques de recrutement peuvent permettre d’anticiper les besoins en compétences pour des métiers en tension. « Nous recrutons depuis 5 ans des préparateurs/caristes en contrats de professionnalisation, grâce à la méthode de recrutement par simulation (MRS) de Pôle emploi. La formation débouche sur un titre professionnel et l’intégration en entreprise s’accompagne de tutorat. Le bilan est très positif, puisque nous embauchons 50% d’entre eux en CDI.» Une démarche similaire a été menée chez NLMK afin de pallier les difficultés de recrutement d’opérateurs de production sur les lignes de galvanisation et de laquage. Pour Florent Ligi, DRH, l’expérience doit se poursuivre : « Les 6 candidats recrutés par la méthode MRS ont été embauchés en CDI après une formation qualifiante de 9 mois en alternance et l’accompagnement d’un tuteur dans l’entreprise. Ils ont des profils très diversifiés, certains n’avaient jamais travaillé. Mais ils ont parfaitement intégré la culture de l’entreprise et sont très motivés parce qu’on leur a donné une chance. Grâce au financement à 90 % par l’Adefim 67, cette formation n’a coûté que 4 000 euros à l’entreprise. » Jean-Marie Romilly, directeur du Centre de Formation Soprema, a présenté une solution sur mesure inédite pour l’entreprise et pour l’ensemble de la profession. « En partenariat avec le CFA Le Corbusier, nous proposons une formation au CAP Etancheur du Bâtiment et des travaux Publics ouverte à tous les jeunes et à toutes les entreprises. Et, grâce à notre centre de formation agréé à Strasbourg, nous proposons aussi des stages pratiques, des formations à la sécurité sur les chantiers ou à la conduite d’engins. De plus en plus d’entreprises demandent à y former leurs salariés sur mesure. » Depuis 2006, avec le concours de financements de la Région Alsace, Soprema forme aussi des demandeurs d’emploi de longue durée n’ayant jamais travaillé dans le bâtiment pour devenir étancheur en 6 mois, puis décrocher un emploi. D’abord conjoncturelle, cette formation est devenue qualifiante, inscrite au répertoire national des métiers. n 700 formations sur mesure à l’Université Jean-Marc Jeltsch, Vice-Président de l’Université de Strasbourg, en charge des Partenariats avec les Entreprises, a réaffirmé de façon très pragmatique le rôle de l’Institution pour former les personnes de niveaux 4 et 5 et les formateurs eux-mêmes. Il a rappelé qu’il existe au sein de l’Université un service de formation continue, qui propose plus de 700 formations créées à la demande. n Klumpp et Muller cultive l’art d’anticiper Winfried Reimer, Responsable de la succursale Klumpp et Muller, une entreprise de transport qui emploie 150 salariés au Port de Kehl et à Worms, est venu témoigner des grandes difficultés qui attendent les employeurs allemands pour recruter des chauffeurs professionnels. « Chaque année 30 000 chauffeurs partent en retraite, alors que seulement 2 500 entrent en formation. Autre difficulté : la formation de conducteurs qualifiés dure 3 ans. Pour anticiper ses besoins futurs, notre entreprise forme chaque année 22 apprentis, dans 8 métiers différents ! » …Les entreprises françaises et allemandes des Ports travaillaient ensemble dans des groupes de travail thématiques, pour définir des stratégies communes de GPEC ? …Cette GPEC permettait d’anticiper les pénuries de qualification par des programmes de formation conjoints ? …Les salariés français et allemands mesuraient mieux l’intérêt de parler la langue de leur voisin, afin d’élargir leurs possibilités d’emploi et de formation ? …On travaillait à une logistique multi-modale, moins routière, et on préparait ensemble ces nouveaux besoins en compétences ? Et si demain, autour de cette GPEC… Jean-Marc Jeltsch, Vice Président de l’Université de Strasbourg « Il faut écouter les entreprises pour mieux connaître leurs besoins en licences professionnelles, pour renforcer l’alternance, il faut aussi savoir fermer des filières qui n’offrent plus de débouchés. » …On renforçait les initiatives locales telles que REVE, ou si on développait des partenariats transfrontaliers pour proposer aux demandeurs d’emploi des quartiers défavorisés des formations à des emplois qualifiés et de proximité ? …On développait une micro-mobilité des salariés à l’échelle de notre bassin d’emploi ? …On profitait de la Conférence des Universités du Rhin Supérieur pour mieux développer les coopérations internationales en termes de formation ? Pourquoi une GPEC des Ports de Strasbourg et de Kehl ? Pour clore la soirée, Leslie Moog, RRH de Soprema, a dressé une synthèse des enjeux et des pratiques pouvant particulièrement motiver une démarche de GPEC territoriale des Ports de Strasbourg et de Kehl. Les enjeux de la GPEC : • Répondre « à temps » aux besoins en compétences des entreprises qui évoluent avec leur environnement économique, social, national et international. • Adapter les salariés et les demandeurs d’emploi à ces besoins, en tenant compte des délais de formation. Les leviers de la GPEC : • Tirer parti des pratiques développées par les entreprises et les territoires pour mener à bien leurs recrutements actuels (développement de l’attractivité de certains métiers, développement des compétences des salariés, recrutements par simulation, tutorat, compagnonnage, actions en faveur du travail des femmes, immigration professionnelle…) • S’inspirer des solutions utilisées actuellement par les entreprises, les acteurs et les financeurs de la formation professionnelle pour former des candidats à leurs besoins en compétences (formations sur le tas, formations sur mesure, sous-traitance de formations à des organismes spécialisés, formations par alternance, partenariats privé/public, mutualisation de solutions franco-allemandes…) Catherine Trautmann : « Nous allons travailler ensemble pour que les entreprises puissent s’engager dans la démarche de GPEC et nous sommes convaincus que l’exemple des entreprises qui s’engageront incitera les autres à s’y associer… En cette période de crise, nous travaillons beaucoup au maintien des entreprises dans les Ports, mais nous aimerions aussi accueillir de nouvelles activités ! Cette démarche innovante sur le plan social peut aussi être attractive par la qualité de nos salariés ! » nVers un modèle européen de GPEC ? Catherine Trautmann, Présidente du Port Autonome de Strasbourg et Vice-présidente de la Cus a présenté avec beaucoup de conviction cette démarche de GPEC transfrontalière dont elle espère faire un modèle européen : « J’ai déjà des collègues au Parlement qui s’intéressent à la démarche et qui se disent : si vous arrivez à travailler ensemble, Strasbourg et l’Ortenau, si vous arrivez à mettre les compétences et l’emploi au cœur du développement des entreprises, alors ce modèle peut servir à d’autres régions européennes ! » nUne coopération qui profitera à tous Peter Saumer, Responsable d’Agence de l’Agentur für Arbeit de Kehl, s’est dit impatient de voir cette étude de GPEC commencer avec les entreprises des Ports de Strasbourg et de Kehl. « Le Rhin nous sépare, mais quand je vois, ce soir, autant de participants, je comprends surtout qu’il nous oblige à coopérer ! J’encourage tous les acteurs économiques français et allemands concernés à participer, car les résultats seront profitables à leurs entreprises, aux salariés et aux demandeurs d’emploi des deux côtés du Rhin ! » Ports XXL, enjeux majeurs • Le Port Autonome de Strasbourg (PAS) compte 320 entreprises et 13 000 emplois, c’est la première zone d’activité industrielle d’Alsace et sa plus grande plateforme logistique. • Le Port de Kehl compte 130 établissements et 4 300 emplois. • Le Port de Strasbourg a enregistré 7,6 millions de tonnes de trafic fluvial en 2011 (2,4 tonnes entrantes et 5,2 tonnes sortantes) et une augmentation annuelle de 6,5 % du trafic par containers. • Les deux ports comptent de nombreuses entreprises dont l’activité est liée aux installations portuaires et issues de secteurs très variés : industries, services, logistique, tourisme avec les 11 navettes fluviales qui transportent chaque année près de 800 000 touristes, ainsi que des entreprises artisanales côté allemand. • Ces ports jouent un rôle environnemental majeur par la promotion du transport fluvial, respectueux de l’environnement, et à travers une zone de valorisation des déchets urbains. n Pour aller plus loin Le rapport annuel d’activité du PAS et le projet d’entreprise Port 2020 à télécharger sur www.strasbourg.port.fr Les Cahiers d’espérance qui ont dressé en 2010 un état des lieux des attentes et des besoins des entreprises vis-à-vis du Port à télécharger sur www.alsaeco.com Pour en savoir plus sur les entreprises et le Port de Kehl : www.hafen-kehl.de/ On vous contactera au cours de l’année 2012 pour solliciter votre participation à cette GPEC. Pour anticiper cette démarche, n’hésitez pas à appeler dès maintenant : Sylvie Vigneron, chargée de ce projet, à la Maison de l’emploi et de la formation de Strasbourg au 03 88 45 96 24 ou par mail : [email protected] n A noter ! ERTE C E E ON OMIE V 9 février 2012 : Energies renouvelables 24 mai 2012 : Traitement des déchets/air/eau 16 octobre 2012 : Efficacité énergétique dans la construction 4 décembre 2012 : Mobilités et transports éco-responsables CYCL En septembre : GPEC congrès et rencontres économiques En novembre : GPEC Economie Sociale et Solidaire Programme et inscription en ligne sur www.maisonemploi-strasbourg.org ou www.arbeitsagentur.de Denis ALBISSER Pôle emploi Schiltigheim Régine ALOIRD Rubis terminal Pascal APPREDERISSE Direccte Pascal ARTH NLMK Strasbourg Rémy BANUYLS CUS Laurent BARLIER Colas Est Katia BECK Pole Formation CCI Axelle BENAMRAN CCI LE POINT ECO Bertrand BENHESSA Fidec SA Pascale BERNDT INFA Agathe BINNERT Maison de l’emploi David BRUNNER Thomsel Hélène CAVELLIER Conseil Général 67 Marie-André CHAPPAZ Afpa Anne CHEVANNE Conseil Général 67 Didier CLEMENT CARGILL MALT Strasbourg Antonio d’AUTILIA NLMK Strasbourg Tania DESFOSSEZ CCI Strasbourg Pascale DIEBOLT Mission locale pour l’emploi Didier DIEUDONNE Port autonome de Strasbourg Aurore DUBOIS-WENNER Maison de l’emploi Pierre ECKMANN NLMK Strasbourg Didier FREUND Marie-Stella FREYERMUTH CUS Thierry GOETSCHY PAS Philippe GROSLIER Photographe Mireille HAHNSCHUTZ CCI Strasbourg Anne HEBERLE AFGES Pierre HECKMANN NLMK Strasbourg Jean-Luc HEIMBURGER CCI Strasbourg Christian HERTER Pôle emploi Vincent HORVAT Maison de l’emploi Christian HURTHER NLMK Strasbourg Thierry JACOB NLMK Strasbourg Cécile JAHAN Région Alsace Catherine JAMIN Région Alsace Jean-Marc JELTSCH Université de Strasbourg Geneviève JOUFFRIEAU Yves JUNG Délégué du Préfet/Port du Rhin Guillaume KIEFFER Maison de l’emploi Christian KIEFFER NLMK Strasbourg Jean-Luc KIENTZ Pôle emploi Gilbert KISTNER SCHENKER S.A Sylviane KLEIMBERG CCI Strasbourg Sonia KLEISS CCI Strasbourg Valérie KOCHER ACST Colette KOENIG Adeus Bertrand LACHAUD NLMK Strasbourg Isabelle LAVILLE Pôle emploi Franck LIEBENGUTH Association au-delà des Ponts Florent LIGI NLMK Strasbourg Antonio LOPES NLMK Strasbourg Florence MAIER Direction Pôle emploi Schiltigheim Marina MAILLERET Interprète Corinne MAIX Rédactrice M.MARX Journaliste Christiane METZGER The propeller club Tiphanie MEYER Colas Est Leslie MOOG Soprema Jean-Luc MULLER NLMK Strasbourg Véronique OLAGNE Développement Strasbourg sud Luc OLAGNE Patrick ROGER RMT – CSC du Neuhof Jean-Marie ROMILLY Soprema Janine RUF Adeus Michaël SCHOULLER NLMK Strasbourg Brigitte SIMON NLMK Strasbourg André STEINHART SEGEC Lydia TAWREDU La Passerelle de l’export Bettina TOUSSAINT Mission locale pour l’emploi Catherine TRAUTMANN Port autonome de Strasbourg David TROUCHOT Sous-Préfet Stanislas TURCAT Colas Est Gwenaël VALLET Pôle emploi Sylvie VIGNERON Maison de l’emploi Claude VIX NLMK Strasbourg Jacques WAHL NLMK Strasbourg Marie-Christine WEISS Wincanton Mondia Philippe WINTER L’offre d’emploi Heike BLUST Agentur für Arbeit Heike HETZEL Hetzel Transporte GmbH Jürgen HETZEL Hetzel Transporte GmbH Frank HONAUER Zg Raiffeisen eG Ingrid ISSENMANN Bürstner Jürgen LOREY Mittelbadische Presse Carolin LUTZ Agentur für Arbeit Norbert MATTUSCH Agentur für Arbeit Hans METZDORF Bürstner Harmut MÖLLER IHK Südlicher Oberrhein Markus NEUMAIER Neumaier-Brunnen Richard NÜCKLES Agentur für Arbeit Jürgen PREIß Hafenverwaltung Kehl Reinhardt RECK Mittelbadische Presse Winfried REIMER Klumpp-Müller Iris ROTHETagesblatt Offenburg Peter SAUMER Agentur für Arbeit Julia SCHOPPE YTES Jens SYDOW Agentur für Arbeit Bernd WIEGELE Bag bsw Anlagebau und Ausbildung GmbH Rocchi & Cie - Synthèse Corinne Maix -Crédits photos : P.GROSLIER. Participants AFTERWORK 28 novembre 2011