Décembre - Secteur Pastoral de Palaiseau
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Décembre - Secteur Pastoral de Palaiseau
SOMMAIRE Page 1 Edito, Il est venu, il va venir. Page 2 Page L.V.V.. Page 3 Rencontre avec le Père P. Daveau Pain bénit Page 4 Pain bénit (suite) Quelques nouvelles de Marseille. Page 5 Vivre et aimer Page 6 Les journées d’amitié Les Covenant players Page 7 Notre premier pélerinage Second cycle à Taizé Page 8 S’informer sur l’Islam. Nos joies nos peines. Page 9 Prière Coloriage. Page 10 Calendrier. Il est venu. Il va venir. « Encore un peu de temps. Très peu de temps... » (Isaïe 29,17) La parole transmise par le prophète Isaïe est sans ambiguïté : le jour du Seigneur est proche. Il l’est aussi pour nous, aujourd’hui, alors que, dans quelques jours, nous entrerons dans la joie de Noël. Si le Sauveur est déjà venu, il va encore venir, et sa venue, d’une certaine manière, est à la mesure de notre attente et de notre espérance. Le Sauveur est venu. La fête de Noël traduit la réalisation de la promesse de Dieu. Elle dépasse l’attente d’Israël. Dieu se donne lui-même en nous envoyant son Fils. Il entre dans l’histoire de son peuple. Il rejoint la marche de l’humanité en lui donnant son véritable sens. Le mystère de l’Incarnation nous conduit d’abord à la contemplation d’un enfant qui nous est donné. Dès lors, comment ne pas voir en chaque petit enfant, fragile et vulnérable, le visage du nouveau-né de Bethléem ? Comment ne pas penser à ces petits jetés dans les guerres voulues par les grands, à ces petits qui meurent de faim… et à ceux qui ne naîtront jamais ? Le Sauveur va venir. La rencontre avec le Christ n’est pas de l’ordre du passé mais du présent et de l’avenir. Le Seigneur est toujours devant nous, prêt à venir demeurer en nous, à condition de le vouloir. Cette période de l’Avent qui s’achève, si nous en comprenons bien le sens, nous rappelle que nos vies sont prises dans un mouvement d’attente permanente du Sauveur. Dans le prologue de son évangile, saint Jean nous révèle que le Verbe « est venu chez les siens, et les siens ne l’ont pas Paroisse Saint-Martin de Palaiseau : reçu » (1,11). Aujourd’hui, sommes-nous en mesure d’accueillir le 5, impasse de la Terrasse Sauveur pour le révéler à l’humanité qui est nôtre ? Sommes-nous 01.60.14.01.83 en mesure de manifester la Bonne Nouvelle à ce monde 01.69.31.27.85 contemporain qui semble être en proie à toutes sortes de [email protected] tourments ? Paroisse Saint-Michel de Palaiseau : Plus simplement, sommes-nous en mesure de fêter Noël 45, rue de l’Effort Mutuel autrement, comme nous y invitent les représentants du conseil 01.60.14.11.44 d’Eglise Chrétienne en France, en faisant preuve de plus de Paroisses de lucidité, en manifestant plus d‘espérance et en œuvrant pour plus Lozère-Villebon-Villejust : de fraternité ? 5 rue Charles Péguy Vous le voyez, le Sauveur doit encore venir et sa venue n’est 01 60 10 33 83 pas près d’être réalisée ! [email protected] http://secteurpalaiseau.free.fr Sainte fête de Noël à tous ! PAROISSES-INFOS - journal des paroisses de PALAISEAU - VILLEBON - VILLEJUST Responsable : Père Juvénal RUTUMBU avec les équipes animatrices. Père Pascal DAVEAU Nous vous présentions dans les précédents numéros de Paroisses-Infos les équipes animatrices de St-Martin puis de St-Michel, aujourd’hui c’est : L’Équipe Animatrice de L.V.V.* Daniel Doré Catherine Yolle (Saint-Julien de Villejust) Miche Durand (Saints-Côme et Damien de Villebon) François Danis (Saint-Sébastien de Villebon) Christian Bedel (Notre-Dame-de-la-Nativité de Lozère) Laurent et Véronique Loth (Notre-Dame-de-la-nativité de Lozère) *Lozère-Villebon-Villejust Journée de rencontre paroissiale L.V.V. dimanche 12 octobre autour du château de Breteuil Chaque année, après les vacances d’été, les quatre clochers de St-Julien (Villejust), Notre-Dame-de la-Nativité (Lozère), St-Sébastien et St-Côme (Villebon) se réunissent pour une marche de partage, c’est l’occasion de se retrouver ou de se découvrir. Notre périple a débuté par la traversée du parc, nous avons pu admirer son aménagement harmonieux et ses pièces d’eau. Nous nous sommes retrouvés devant l’église de Choisel blottie dans le joli vallon du ru d’Ecosse. Le curé de Chevreuse a mis à notre disposition l’église pour la célébration de l’eucharistie par le Père Daniel Doré. La cérémonie a débuté par un cantique de circonstance : «Seigneur nous arrivons des quatre coins de l’horizon ». Après la messe, le groupe composé d’une cinquantaine de participants avec de nombreux jeunes enfants, a repris sa marche : visite du lavoir de Choisel, aperçu du château de la Madeleine, montée à travers bois jusqu’au château de Méridon et retour à Breteuil par le pittoresque village de Herbouvillers. C’est à regret que nous nous quittons après cette belle journée de partage et de convivialité. Le soleil était non seulement dans le ciel mais aussi dans les cœurs. Toutes les photos de cette journée (56) sont visibles sur le site : http://paroisseslvv.spaces.live.com/photos/ Les enfants marchent tout en jouant A 13 h : repas partagé autour de l’Orangerie du château 2 Après midi : à la grande joie des enfants spectacle de cape et d’épée et visite. Rencontre avec le Père Pascal DAVEAU Dans ses numéros précédents, Paroisses Infos vous a présenté deux des nouveaux prêtres qui auront en charge les paroisses Saint-Martin– Saint-Michel et de LVV, les Pères Juvénal et Daniel. Aujourd’hui, nous avons rencontré pour vous le Père Pascal Daveau. Père Pascal, Mgr Dubost vous a nommé pour trois ans dans le secteur de Palaiseau. Où étiez-vous affecté ces dernières années ? J’étais responsable du secteur de Savigny-Viry. C’est un gros secteur de plus de 70 000 habitants, avec une grande proportion de population immigrée, et qui englobe des quartiers sensibles comme une partie de la Grande-Borne. Autrement dit, c’est un secteur fort différent tant par le nombre d’habitants que par sa composition sociologique du secteur de Palaiseau, et tout particulièrement du soussecteur de Bièvres-Igny-Vauhallan (BIV), que le Père Juvénal m’a demandé d’accompagner. Etes-vous originaire du diocèse d’Evry ? Non, je viens du diocèse de Versailles. J’ai passé toute ma jeunesse à La Celle-Saint-Cloud, dans une famille chrétienne, entouré de trois sœurs. J’ai effectué toute ma scolarité à Versailles, à l’école Saint-Exupéry. J’ai ensuite exercé une activité professionnelle dans le domaine des assurances, une tradition familiale. Votre vocation vous est-elle venue de cette expérience professionnelle ? Non, j’avais l’idée de devenir prêtre depuis ma petite enfance, idée qui a été confortée par le témoignage de l’aumônier de l’établissement. Il est assez fréquent maintenant que l’on n’entre pas au séminaire directement après le bac. Je suis donc rentré à Issy-les-Moulineaux, pour un premier cycle de deux ans pour le compte du diocèse de Versailles. En entrant en second cycle, j’ai opté pour le diocèse de l’Essonne. Je passais mes week-ends dans une paroisse d’Evry (c’était avant la cathédrale) ; on m’y avait confié l’accueil, et après mon ordination diaconale, j’ai célébré beaucoup de baptêmes et de mariages. En quelle année avez-vous été ordonné prêtre ? Mon ordination a eu lieu à Longpont, en juin 1984. J’ai passé 6 ans à Etampes, 6 dans le secteur de Montlhéry (Longpont). J’ai ensuite été responsable du secteur de Longjumeau pendant 4 ans, puis du secteur de Savigny– Viry pendant 8 ans. Je pense qu’au travers de mes divers ministères, j’ai appris à connaître la plupart des domaines d’une vie paroissiale. J’ajouterais que j’ai toujours désiré être prêtre en paroisse, à la base. J’en apprécie la variété, donc la richesse. Et je me trouve très bien loin d’Evry ! Comment voyez-vous votre action dans le secteur ? J’habite au presbytère de Bièvres, et je suis plus particulièrement en charge des paroisses de BIV, mais comme les Pères Juvénal et Daniel, je préside des assemblées dominicales dans le reste du secteur, environ une fois par mois. C’est une fréquence qui me semble compatible avec la continuité que demande une communauté paroissiale. J’accompagne donc l’équipe animatrice de BIV, maintenant unifiée. Pour ces premiers mois, j’ai besoin et envie de découvrir cette communauté fort différente de celles que j’ai connues auparavant. En équipe pastorale, nous nous sommes répartis les différentes responsabilités. Dans le cadre de la réforme de la catéchèse, je voudrais réunir les équipes de préparation au baptême et les équipes de catéchistes, non pour tout uniformiser, mais pour élaborer si possible un projet de secteur. Cela devrait aussi permettre à chacun d’exprimer ses difficultés et ses points forts, et ainsi d’aider les autres. Je suis aussi aumônier des scouts et guides de France du secteur, c’est-à-dire que j’accompagnerai les chefs et répondrai à l’invitation de rencontre des jeunes sur le terrain. En dehors de vos activités pastorales, comment vous détendez-vous ? J’aime beaucoup lire, dans de nombreux domaines. Je profite de la proximité de Versailles pour participer à sa vie culturelle. Et je suis aussi un bon marcheur. Les occasions ne manquent pas, car … j’ai un chien. Propos recueillis par Bernard COUTIN Le Pain Bénit Du pain béni, cette expression est courante, et parfois peu flatteuse. C’est pain béni pour…, cela signifie que le donateur involontaire a bêtement offert sur un plateau à ses adversaires des arguments qu’ils vont utiliser facilement contre lui. En ce moment dans les journaux sont mentionnés quasiment tous les jours de tels pains bénis. Oublions-les. Le vrai Pain Bénit prend un t et il est d’o rig ine re lig ieu se, surtou t chrétienne. Le pain est depuis très longtemps en région européenne ou méditerranéenne un aliment essentiel et quasiment sacré. Toute une s ymb o liq u e y e st a t ta c h é e . 3 des miracles du L’Evangile décrit Christ comme la multiplication des pains, et lui-même est pain de vie, qui s’offre pour notre salut et que nous retrouvons dans l’Eucharistie. Dans les premières églises chrétiennes de l’Orient et de l’Occident, les fidèles apportaient eux-mêmes les oblats, le pain et le vin qui allaient devenir le corps et le sang du Christ à la Consécration pendant la messe. Les fidèles étaient généreux (en ce temps là ?) et le prêtre ne consacrait pas tout. Les restes de pain non consacré, appelés aussi eulogies, étaient bénis, partagés et consommés par les membres de la communauté en signe d’amour fraternel et sanctifié, voire apportés à des absents qui ainsi participaient tout de même un peu aux grâces dont ils étaient privés. Cette pratique a été critiquée et par moment interdite, sous les carolingiens par exemple, car on craignait que des fidèles ne fassent une confusion avec le pain consacré - l’Eucharistie. Mais elle est réapparue un peu partout. En France les anciens se rappellent qu’assez couramment on bénissait et distribuait du Pain Bénit aux messes du dimanche. Chaque famille de quelque importance offrait le pain à tour de rôle. Avant l’Epître le plus souvent, deux enfants de chœur apportaient à l’autel le pain – souvent des couronnes – sur un brancard qui servait aussi aux processions du 15 août. Un troisième portait un cierge allumé. L’officiant récitait une prière de bénédiction, aspergeait (un peu seulement…) le pain d’eau bénite. Il était distribué souvent assez vite, mais il fallait le garder et ne le manger qu’après la communion. Ou mieux, on le distribuait à la sortie de la messe. Les fidèles, qui jadis jeûnaient rigoureusement avant la messe, étaient heureux de reprendre des forces, surtout que le boulanger s’attachait à faire un pain brioché délicieux. Le Pain Bénit a donné lieu dans toute la chrétienté à de nombreuse variantes et coutumes. Citons seulement celles de Noël en Pologne. Juste avant le repas de la Veillée de Noël, un petit morceau de pain azyme est partagé entre les convives. La coutume est de souhaiter alors à tous les meilleurs vœux pour l’année qui vient, en se pardonnant mutuellement. C’est le signe du lien très fort qui les unit et l’émotion est intense. Le grand poète Cyprian Norwid (émigré, mort à Paris) l’a décrite ainsi : Il y a, dans mon pays, la coutume que la veille de Noël, quand la première étoile se voit dans le ciel, les gens d‘un même foyer partagent ensemble le pain de la Bible en se transmettant par ce pain les sentiments les plus subtils. Le Pain Bénit est pour l’Eglise un sacramental, une coutume pieuse qui a la vertu de nous rapprocher de nos frères et de Dieu – on disait jadis, de nous faire obtenir le pardon de nos fautes vénielles ou tout au moins de nous y disposer. Et puis c’était sympathique. Alors, si on recommençait de temps en temps ? Elisabeth Nienaltowska et Jean-Noël Lhuillier Quelques nouvelles de Marseille... Aux lecteurs de « Paroisses-Infos » j’adresse mes salutations ensoleillées des rivages de la Méditerranée. (Je vous rassure, il pleut aussi, et souvent quand il fait meilleur chez vous d’après les infos météos que je peux suivre… Et il peut faire très frais ici aussi, surtout quand le mistral s’y met.) La paroisse St-Giniez m’a bien accueilli. Avec 2 autres prêtres, nous assurons une vie liturgique importante (5 messes par WE, une et parfois deux messes de semaine). Par contre, peu d’enfants au catéchisme (mais il y en a beaucoup qui vont dans les écoles privées) : 60 enfants pour 4 années. L’éveil à la foi n’attire pas beaucoup, malgré les belles propositions qui sont faites. L’aumônerie des collèges – lycées est excentrée sur une autre paroisse, et assez autonome (locaux indépendants), donc pas de professions de foi ni de confirmations à ma paroisse. J’ai toutefois de bons contacts avec des lycéens, puisque je suis aumônier du lycée ND de Sion. La paroisse publie un journal mensuel qui me donne l’occasion d’écrire des éditos ou des articles de fond. Cette année, on aborde souvent St Paul. Nous allons faire un grand pèlerinage paroissial (44 places) sur les pas de St Paul en Turquie fin avril prochain. Les préparatifs nous feront travailler sur le Nouveau Testament, mais aussi l’histoire de l’Eglise (Le ‘Credo’ a été écrit dans cette région avant le 4° siècle) et l’œcuménisme. Les paroissiens sont d’une grande diversité de milieu social même si la dominante est assez aisée, et d’origines géographiques variées (30 % de « vrais » marseillais de longue date). Les mutations professionnelles font aussi qu’il y a pas mal de nouveaux arrivants et de départs chaque été. Je découvre aussi le milieu maritime (officiers de la Marine Marchande ou de la « Royale »), et du grand commerce vers l’Afrique ou l’Asie. La Communauté de l’Emmanuel locale est bien impliquée dans le diocèse (7 prêtres dans 3 secteurs paroissiaux), et on la retrouve souvent dans les domaines de l’animation liturgique, de la formation (couples et familles) et de l’évangélisation. Il y a une certaine vie de secteur avec les paroisses voisines et les autres communautés locales : patronage, Eglise Maronite, Mission Espagnole, religieuses Clarisses, Hospitalières, etc. Les confrères sont accueillants et prêts à une certaine entraide. J’adresse déjà tous mes bons vœux de Noël à tous et à toutes, gardant encore bien profond dans mon cœur tant de visages et de souvenirs de mes années à Palaiseau, et vous assure de ma prière au Seigneur pour que l’Eglise en Essonne autant qu’à Marseille transmette toujours 4 autant la lumière de l’Evangile de Noël. Père Jean-Christophe LEURENT LA PASTORALE FAMILIALE En 2009, un forum des mouvements de la Pastorale Familiale sera organisé à Palaiseau. ‘’Paroisses Infos’’ donne la parole, à partir de ce numéro, à ces mouvements, présents sur le secteur… aujourd’hui Vivre et Aimer… Sur les conseils d'amis, nous sommes allés suivre une session de 48 heures, organisée par le mouvement Mariage-Rencontre, aujourd'hui VIVRE et AIMER. Ce week-end a réveillé notre amour et notre enthousiasme l'un pour l'autre. Avoir un regard positif sur son conjoint, aborder ensemble les sujets de tension, s'écouter avec le cœur, choisir d'aimer, dans la confiance... ; autant de thèmes et bien d'autres ont été abordés pendant ce week-end par les animateurs suscitant réflexion et échange chez les couples participants. 30 ans après, notre vie est toujours "éclairée" par ce week-end. Même au milieu des difficultés, nous savons que notre amour est bien vivant et qu'il est le plus fort. Jour après jour nous construisons notre route ensemble… Jeannine et Michel Descaves Vivre et Aimer propose 2 types de week-ends à l’issue desquels différentes propositions de suivi sont faites… Le WE Vivre &Aimer Pour qui ? pour les couples qui veulent donner un nouvel élan à leur amour et le fortifier. Pour quoi ? Pour se donner un temps privilégié d’échange en couple, relire le chemin parcouru, découvrir une nouvelle façon de communiquer. Comment ? Les témoignages de 3 couples (et un prêtre quand c’est possible) basés sur les faits de vie concrets alternent avec des temps de réflexion personnelle et d’échange dans le couple, la personnalité et l’intimité des couples sont respectées. Les thèmes abordés : La connaissance de soi, de l’autre, l’écoute et la confiance, la communication, la sexualité, la réconciliation dans le couple, vivre notre sacrement au quotidien, la place du couple dans la société et dans l’Eglise En pratique : Régulièrement des week-ends ont lieu à Villebon-sur-Yvette (maison des Lazaristes), ils commencent le vendredi à 20 h et se terminent le dimanche à 18 h. Participation pour frais d’hébergement et de repas. Ils l’ont vécu et témoignent : ‘’ On nous donne une clé, on peut la prendre et la conserver avec précaution comme un objet précieux ou alors on peut s’en servir pour ouvrir des portes jusque là inconnues et continuer à avancer...‘’ ‘’les problèmes, les réalités de notre vie, tout cela n'a pas changé, mais notre relation a été renouvelée, vivifiée, comme si elle passait du noir et blanc, à la couleur…’’ ‘’depuis ce week-end, malgré les aléas de la vie, nous sommes habités tout au fond de nous par la confiance et l’espérance… nous y reconnaissons le signe de l’amour de Dieu pour nous….. ‘’ Le WE Amour et Engagement : Pour qui ? Pour les couples qui vont se marier (à la mairie, à l’église) ou qui hésitent encore à s’engager, qui veulent approfondir leur amour … Pour quoi ? Pour se donner un temps privilégié d’échange en couple…, se poser les questions importantes pour l’avenir, réfléchir à la construction de leur couple et les aider à s’engager dans une relation adulte et responsable. Comment ? Les témoignages de 2 couples basés sur leur vie, faite d’exemples concrets alternent avec des temps de réflexion personnelle, d’échange dans le couple et de partage en petits groupes. Les thèmes abordés : la connaissance de soi, la confiance, la communication ouverte, l’écoute, la sexualité, le pardon et la réconciliation, l’ouverture aux autres… le mariage comme sacrement. Ils peuvent percevoir que leur amour est un signe visible de l’Amour de Dieu pour les hommes. Les personnes incroyantes sont invitées à prendre conscience que leur amour est une force qui les fait vivre et grandir. En pratique : Ces week-ends sont donnés également à Villebonsur-Yvette (maison des Lazaristes) aux mêmes horaires que pour le week-end Vivre et Aimer. Contacts et renseignements sur le secteur : 01 60 14 11 17 5 Association Vivre et Aimer : 03 83 70 81 42 Mail : [email protected] Site : http://www.vivre-et-aimer.org Un nouveau visage pour les journées d’amitié Comme nous vous le laissions entendre dès le début de l’année, et compte tenu des personnes qui désiraient se retirer, les journées d’amitié devaient évoluer. Et c’est bien ce qui s’est passé. On peut le dire, l’après-midi du samedi a été « révolutionnée » et beaucoup plus animée que par le passé, grâce à un spectacle présenté par les Covenant Players sur le thème du « Respect », et plus particulièrement destiné aux jeunes, aux tout jeunes et à leurs parents. Gros succès tant par la participation interactive acteurs – spectateurs, que par le buffet qui a suivi, approvisionné entre autres par les membres de l’aumônerie. Ce sont ainsi 150 personnes qui se sont régalées tout en participant dans une bonne mesure au résultat financier de ces journées. Il y a bien longtemps que cette demi-journée n’avait pas été aussi animée. Le dimanche a été plus classique, avec le point fort du déjeuner : l’excellente paella (servie par les scouts de France) appréciée par 150 personnes également dans une ambiance toujours aussi conviviale a été suivie aussitôt par une série de sketches sur le thème du « Respect ». Les divers stands (produits portugais, cartonnages, bar entre autres) ont permis d’obtenir un résultat final de 4500€, un peu en retrait par rapport aux deux dernières années. Que tous ceux qui ont participé à l’installation et à l’organisation de ces journées, parfois depuis des mois et en toute discrétion soient ici vivement remerciés, et parmi eux permettons-nous de citer Isabelle, Marie-Blanche, Odette, la nouvelle équipe du bric-à-brac, la famille Maes, qui nous prête en toute confiance son véhicule pour les gros transports …(liste non exhaustive bien sûr) ! Raymond Le Texier et Bernard Coutin Les covenant players Sur 9 enfants, 5 étaient présents à la représentation : Christophe, Damien, Gabrielle, Joanna et Paul. L’impression générale est enthousiaste, seul un enfant est réservé. Par opposition à ses camarades qui, au début, ne savent dire que : « C’était super ! », lui, du coup, affirme : « C’était nul ! » Nous allons nous efforcer, donc, de formuler les choses avec un peu plus de finesse. « On se reconnaît » dans les situations imaginées, « C’est la vie de tous les jours », voilà pour eux des éléments positifs. Mais surtout, le côté interactif a séduit : « On ne s’ennuyait pas », disentils, sous-entendant que les mêmes pièces, jouées exclusivement par des acteurs, les auraient probablement lassés. Ils se remémorent avec plaisir certains gestes ou paroles, ceux qu’ils ont eus eux-mêmes quand « tous les hommes », puis « toutes les femmes » ont été appelés à se lever, ou ceux de leurs camarades sur la scène (scandant « Hô-pital Ur-gence» par exemple). L’enfant critique a, lui, déploré que cette interactivité impliquant naturellement des enfants qui ne savaient pas leur rôle, a enlevé du rythme aux saynètes et doublé les répliques, dites par un acteur, puis par un enfant. Enfin, le côté « leçon de morale » de chacune des pièces ne leur a pas échappé, mais a été en général bien ressenti. Aucune pièce n’a été unanimement préférée ni moins aimée. M.H. Larrouturou "J'ai aimé lorsque la jeune fille - qui avait été attaquée - a crié "Au secours, j'ai mal Aie". Pour les enveloppes surprises, j'ai tiré le numéro 100 et j'ai gagné un livre de "Blanche-Neige". J'étais très contente. J'ai aussi pu serrer la main du prêtre. J'ai mangé trois délicieuses clémentines." (Kalaivaani 9 ans et demi). J'ai aimé les spectacles, les pizzas et les acteurs déguisés en koala. (Gaël Cubillé 9 ans) J'ai beaucoup aimé la pièce avec Anna et la boîte à jeux. Surtout quand Anna a répondu qu'elle avait encore envie de jouer avec, même si c'était défendu !!! J'ai aussi aimé la pièce où Jade était attaquée par trois voyous. Elle était ensuite emmenée par Samy à l'Hopital… Je suis contente d'avoir gagné une poupée en porcelaine. (Albane Baron 8 ans). J'ai adoré les petites pièces de théâtre qui étaient très amusantes et instructives. C'était la première fois que je venais à cette fête. Ma maman et mon frère étaient très contents. Mon frère Olivier est monté sur la scène. (Manon Legou- 9 ans).² 6 Catéchuménat Notre premier pèlerinage… Ce sera Vézelay. Mais où est-ce ? Qu’y fait-on ? Comment cela se passe-t-il ? C’est vrai que beaucoup de questions se posent. Et puis d’abord, qu’est-ce qu’un pèlerinage ? Pour y répondre, rien de mieux que l’expérience. De toutes manières, nous sommes catéchumènes ou néophytes, nous sommes là aussi pour découvrir. Nous voilà donc une quinzaine de personnes au départ, à St-Martin de Palaiseau. Après une lecture et une prière, nous recevons une ‘carte de pèlerin’, à faire tamponner sur les lieux que nous allons visiter. Et voilà déjà des réponses à nos questions : à la basilique de Vézelay, on prie Marie-Madeleine, la première à avoir vu Jésus ressuscité. Et cette basilique se trouve au Sud-Est de Paris, à environ 150 kilomètres de Palaiseau, sur le chemin qui mène à St-Jacques-de-Compostelle. D’où la déduction : faire un pèlerinage, c’est quitter le lieu où l’on vit pour se rendre ailleurs, sur un site de recueillement et de prière. Nous quittons donc Palaiseau en direction de Vézelay. A la différence de nos ancêtres, nous utilisons la voiture, c’est bien plus rapide. Mais nous profitons quand même du voyage pour discuter, réfléchir à ce qu’est un pèlerinage. Une autre réponse vient pendant ce temps-là : un pèlerinage, c’est un temps de réflexion, sur soi, sur la foi. C’est un cheminement physique, mais aussi et surtout un cheminement de foi, dans son coeur. Pour se mettre dans l’esprit de cheminement physique, nous faisons la dernière partie du voyage à pied. Pour cela, nous laissons les voitures à Asquins, une ville en contrebas, plus ancienne encore que Vézelay. Nous y visitons l’église, qui est tout en bois à l’intérieur. De très belles fresques anciennes sont conservées dans la sacristie. C’est impressionnant de voir ces peintures de près, sans vitre. Au cours du pèlerinage, tout est comme ça : sans vitre. On rencontre des gens, simples, vrais, et on réfléchit, on prie, sans artifice, sans protection aussi. On tombe les masques. Bien que la basilique soit sur les hauteurs, la marche n’est pas si difficile, et c’est allègrement que nous arrivons sur le parvis. Après un repaspique-nique, nous visitons la basilique. Dans cet édifice est synthétisé tout le catéchisme que nous connaissons, mais en relief. Tout y est représentatif d’une idée, d’un texte, que ce soient le tympan, le nombre de colonnes dans le chœur, les bas-reliefs sur les piliers… La visite est faite par l’un des frères qui vit à Vézelay, de la confrérie des frères de Jérusalem. Avant le repas, nous assistons aux vêpres. C’est très solennel, tout y est psalmodié. On se sent un peu à l’écart, mais cela n’empêche pas la prière. Après le repas du soir, une veillée nous aide à comparer les textes de la Bible avec leur représentation dans la basilique. Finalement, c’est avec bonheur que nous gagnons nos couchages, bien plus chauds que la température ambiante dehors et dans la basilique. Le lendemain, avant de petit déjeuner, nous assistons aux laudes. C’est assez inhabituel pour nous, qui allons à la messe vers 11 heures, mais cela resserre les liens de notre groupe dans la prière. Après le petit déjeuner, nous rencontrons le frère Clément, qui nous explique la vie dans le monastère de Vézelay. Les frères de Jérusalem travaillent dans le monde civil le matin, puis se consacrent au monastère l’après midi. Ils s’occupent des visites, de l’administratif, tout en ayant de nombreux temps de prière. Le parcours du frère Clément provoque des questions diverses et variées : sur l’amour de Dieu, les relations que nous avons avec Jésus, jusqu’où nous pourrions aller avec lui… Et en même temps des interrogations sur la combinaison de la passion pour le football du frère Clément et de sa vie monastique. Finalement, après la messe dominicale et le repas, nous quittons Vézelay. La fatigue se fait sentir, mais les discussions redoublent dans les voitures, signe que le pèlerinage a été productif en réflexions. Un grand merci aux accompagnateurs, pour le temps et l’énergie déployés pendant ce week-end de prière et de vie en communauté. Anne-Sophie et Emmanuel Durant les vacances de Toussaint, nous étions 13 jeunes du second cycle à partir à Taizé pour partager pendant 3 jours la vie en communauté. Nous sommes arrivés sur place bien fatigués après une marche de trois heures. Le matin, nous avions la prière à 8 h, suivie du petit déjeuner. Ensuite, les jeunes de 17 et 18 ans faisaient le ménage pendant que les 15/16 ans avaient une rencontre avec Frère Maxime puis des carrefours. A 12 h 20, la prière et juste après, le repas où on pouvait tous se réunir. L'après-midi, nous étions libres jusqu'à 15h15. Les 15/16 ans rejoignaient ensuite Frère Maxime tandis que les 17/18 ans partaient en carrefour. A 17 h, goûter et juste après carrefour facultatif. Vers 19 h 30, souper puis prière et temps libre. Nous avons fait plein de rencontres de gens de différents horizons. Nous avons pu beaucoup prier. Merci aux animateurs (Alain-Marie, Camille, Yolaine) et à tous ceux qui ont permis ces quelques jours. 7 Ce fut une expérience fantastique ! Lucie S’informer sur l’Islam… Une invitation faite par le service des relations avec l’Islam. Nous étions une petite dizaine à avoir répondu à l’appel et nous ne l’avons pas regretté ! La responsable du service, Hélène Dixmier a su répondre à notre attente.. Tout d’abord en nous donnant quelques points de repères sur l’histoire et les fondements de l’Islam (le Coran, les cinq piliers …) après que chaque participant eût dit ce qu’il en connaissait. En nous présentant ensuite le monde musulman d’aujourd’hui : - comme un monde éclaté, il y a des « islams » et des « musulmans », il faut donc apprendre à connaître à quel musulman nous avons affaire. - comme un monde en crise, le modernisme pose problème dans le pays d’émigration comme dans le pays d’origine. - comme un monde où Dieu est partout, inséparable de la vie quotidienne, le politique est inséparable du religieux. En soulignant ensuite les points communs entre chrétiens et musulmans : Nous sommes les uns et les autres des croyants : nous croyons en un Dieu créateur et miséricordieux. Nous croyons à la conversion, au jugement dernier et à la résurrection. Puis en nous informant de ce qui se vit dans les groupes de réflexion et d’échange « islamo-chrétien », on y veille à tenir compte de tout l’inconscient collectif qui habite aussi bien les musulmans que les chrétiens. On y applique aussi les règles nécessaires pour un vrai dialogue : on ne compare pas, on ne juge pas ; on écoute l’autre exprimer sa foi. On ne « débat » pas, mais on se pose des questions, il ne faut pas avoir peur de se dire. C’est ainsi que l’on apprend à connaître TION FORMA t Pa n i a S E Anné l’autre et par là, à le respecter. En conclusion, nous avons été invités à écouter et à respecter l’autre comme croyant, en évitant toute certitude catégorique et dogmatique, mais en nous laissant enrichir par ce qu’il dit sans avoir peur de dire notre foi de chrétien. Voilà une rencontre qui m’a incitée à regarder autrement l’Islam et m’a donné envie d’aller plus loin… sur un sujet, ô combien d’actualité ! Danielle Belin. A lire, la déclaration finale conjointe du premier séminaire catholico-musulman. Rome le 6 novembre 2008. (zenit.org). Service Diocésain des Relations avec l'Islam Vous propose une conférence à deux voix Mgr DUBOST, évêque d'Evry-CorbeilEssonnes M.Larbi KECHAT,recteur de la mosquée Adda'wa Rencontre de l'autre croyant, chrétien ou musulman, rencontre de Dieu Dimanche 4 Janvier 2009 de 17 h à 19 h Salle de Conférences (entrée Cathédrale d'Evry) M.Larbi Kechat est recteur de la mosquée Adda'wa (Porte de la Villette) Sa vie spirituelle est intense. Il est fervent partisan du dialogue, pensant que l'autre croyant est un reflet de Dieu . Il combat farouchement l'ignorance et l'injustice. Participation libre Contact : 01 69 06 44 53 / 06 75 72 78 93 [email protected] ul ré, o D l e i an vier 2009 Père D n Nos joies , nos peines, en novembre/décembre par le et 28 ja 09 7 s i d s 20 rcre les me t 4 et 25 mar pastoral e centre alaiseau u a , 0 20 h 3 neviève de P sse erra -Ge Sainte passe de la T 5, im Baptêmes : Guillaume RAMETTE, Mathieu et Zoé 8 NIVEAU, Chloé BOUCHET, Aubin DUDERMEL-LE BIHAN, Jade LARIOL, Randy RAVELOJAONA, Thomas CORIDI, Julien MAAS Mariages : James COLAS et Sandrine CORIDI Décès : Germaine ROUGEOT, Claude JACQUIN, Serge PECASTAINGS, René CHRISTMANN, Roger LE BORGNE, Paulette BAZZICONI, Ilidio DA SILVA SILVESTRE. PRIERE pour la paix S eigneur, je te rends grâce d’être venu naître Au cœur du monde pour donner un sens À la longue marche de tes enfants : A ta suite, nous sommes en route pour construire la paix Dans la vérité et la justice, dans l’amour et la liberté. Mgr Desmond Tutu 9 à colorier Messes de Noël Veillée de Noël, le mercredi 24 décembre 17 h 18 h 30 18 h 30 19 h 30 20 h 30 21 h 30 22 h 22 h 30 23 h à Notre-Dame de Lozère à la chapelle de l’école St-Nicolas d’Igny à St-Michel du Pileu à St-Julien de Villejust à l’abbaye St-Louis du Temple à Limon à St-Martin de Palaiseau à St-Sébastien de Villebon à St-Martin de Bièvres à la Clarté-Dieu à Orsay Jour de Noël, jeudi 25 décembre 9 h 45 10 h 10 h 30 10 h 30 11 h à Sts-Côme et Damien de Villebon à l’Abbaye de Limon - Vauhallan à-Sts-Rigomer & Tenestine de Vauhallan à St-Martin de Palaiseau à la Clarté-Dieu à Orsay DECEMBRE Dimanche 14 Lundi 15 Mardi 16 Jeudi 18 18 h 20 h 30 20 h 30 10 h 20 h 30 Vendredi 19 20 h 30 Samedi 20 14 h 30 17 h 20 h 30 Lundi 29 20 h 30 JANVIER Lundi 5 Mercredi 7 Jeudi 8 Accueil au centre pastoral Ste-Geneviève Permanences du Père Juvénal RUTUMBU le jeudi de 18 h à 19 h 30 et le samedi de 10 h à 12 h. Secrétariat : du lundi au vendredi de 8 h 30 à 11 h 30 et de 14 h à 16 h, fermé du jeudi 25 décembre au vendredi 2 janvier inclus Accueil au presbytère de Lozère Permanences du Père Daniel DORÉ Vendredi de 17 h 30 à 19 h POSSIBILITES DE CONFESSIONS Jeudi 18 décembre de 16 h à 21 h Père Juvénal au centre pastoral Vendredi 19 décembre 17 h 30 à 19 h Père Daniel Doré, presbytère de Lozère. Samedi 20 décembre 9 h 30 à 11 h 30 Père Pascal Daveau à l’église de Bièvres. Lundi 22 décembre 17 h à 18 h Père Pascal Daveau à l’église de Bièvres. Partage et Prière à l’oratoire St-Joseph. Prière de Taizé à N.D. de Lozère. Préparation au mariage au centre pastoral Ste-Geneviève. Célébration de Noël (avec étapes de baptême) de l’école Ste-Jeanne-d’Arc à St-Martin. Soirée Espérance à N.D. de l’Assomption de Verrières le Buisson. Réunion de l’équipe animatrice de St-Martin au centre pastoral Ste-Geneviève. Préparation au baptême (St-Martin), au centre pastoral Ste-Geneviève. Concert de Noël à St-Martin (cf page 8). Cabaret chantant à St-Sébastien de Villebon. Prière de Taizé à N.D. de Lozère. 20 h 30 10 h 20 h 30 20 h 30 20 h 30 Samedi 10 14 h30 14 h 30 16 h 18 h 30 Dimanche 11 18 h Mardi 13 9 h 30 Samedi 17 16 h 30 18 h 30 Dimanche 18 13 h Lundi 19 20 h 30 Prière de Taizé à N.D. de Lozère. Comité de rédaction de Paroisses-Infos. Réunion de l’équipe animatrice de St-Martin au centre pastoral, Soirée Espérance à Saint-Martin. Préparation au mariage au centre pastoral Ste-Geneviève. Catéchèse pour la confirmation à St-Michel. Préparation au baptême (St-Martin), au centre pastoral Ste-Geneviève. Goûter des familles des baptisés de l’année (Lozère/Villebon/Villejust) à la salle paroissiale de Lozère. Messe animée par l’aumônerie à St-Michel du Pileu. Partage et Prière à l’oratoire St-Joseph suivi d’un dîner. Réunion des équipes funérailles de secteur, salle St-Vincent, centre pastoral Ste Geneviève. Eveil à la Foi au centre pastoral Ste Geneviève. Messe des familles à N.D. de Lozère. Repas paroissial partagé à la salle paroissiale de Lozère. Prière de Taizé à N.D. de Lozère. Vendredi 23 19 h 20 h 30 Samedi 24 18 h 30 Samedi 31 17 h Réunion de l’équipe de préparation au baptême et formation du Père Guérin, centre pastoral Préparation au mariage au centre10 pastoral Ste-Geneviève. Messe des familles à St-Michel. Assemblée Générale de la paroisse St-Michel suivie de la messe puis du repas paroissial.
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