Travaux d`ecriture - Collège Notre Dame de Sion

C’était notre premier jour en sixième. Nous étions en cours de français et nous attendions notre
professeur. Quand il arriva, il écrivit son nom au tableau : M.Crastaing. Ce nom, nous le connaissions,
c’était celui que M.Margerelle, notre instituteur de CM2, avait imité l’année précédente pour nous préparer à
la sixième.
Soudain, la sonnerie retentit et le visage de Kamo s’illumina : il avait trouvé (encore) l’idée du
siècle !
Pendant la récréation, Kamo nous expliqua son idée :
« Ce professeur me rappelle M.Margerelle. Pour lui montrer que nous ne l’avons pas oublié, offronslui un cadeau ! »
Tous se déchaînèrent :
« Un livre, une trousse, une bougie, un cadre, des lunettes !! »
Kamo proposa :
« Pourquoi pas une nouvelle moto ? »
Le grand Lanthier nous fit remarquer qu’on n’avait pas assez d’argent. Alors, le petit Malaussène dit
qu’il aimerait bien faire un spectacle de cirque pour récolter de l’argent. Nous étions tous d’accord avec lui.
Nous décidâmes de nous retrouver tous les mercredis pour créer notre spectacle.
Quand le spectacle fut prêt, nous le montrâmes à nos familles, aux professeurs et aux élèves du
collège. Nous gagnâmes assez d’argent pour acheter la moto de M.Margerelle.
M.Margerelle fut très heureux de ce cadeau quand il découvrit la moto…en plastique !
Dhyana, Julia, Juliette
Nous étions dimanche après-midi. Kamo et moi avions décidé d’aller au cinéma car il pleuvait depuis
un bon moment.
Soudain, au cinéma, Kamo eut une idée folle : faire la grève de l’école !
Le lendemain matin, à la récréation, il parla de son idée à tout le monde. Le petit Malaussène
demanda ce qu’était une grève. Quelqu’un lui répondit qu’une grève c’était quand on arrêtait de travailler.
« On se cachera dans la forêt » suggéra le grand Lanthier. Tout le monde était d’accord. A la fin des cours,
nous étions tous très excités à l’idée de faire cette grève.
Le lendemain, nous nous réunîmes dans la forêt et nous commençâmes à nous enfoncer dans les bois.
« Où sommes-nous ? demanda le petit Malaussène.
- Je crois que nous sommes perdus ! dit le grand Lanthier. Bravo pour ton idée du siècle Kamo ! »
Pendant ce temps, nos parents nous cherchaient. Ils étaient inquiets et se demandaient si nous étions
vivants. Nous cherchions une solution pour retrouver notre chemin mais nous ne trouvions rien.
Heureusement, un surveillant avait entendu notre conversation dans la cour. Il avertit nos parents qui
se mirent en direction de la forêt. Mais elle était trop grande. Ils étaient démoralisés. Mon ami, Kamo,
essayait de trouver un moyen de nous sortir de cette situation car, après tout, c’était de SA faute !
Soudain, il eut une idée. Kamo se mit à rassembler des branches, il prit deux pierres et les frotta l’une
contre l’autre. Un feu jaillit. A ce moment-là je compris qu’il voulait faire de la fumée. Nos parents
aperçurent cette fumée et purent nous retrouver.
Après nous être fait disputés, nous rentrâmes à la maison. La grève de l’école avait été de courte
durée !
Alhane, Naïm, Thomas
C’était au milieu de l’année de CM2. Kamo et moi étions très tristes car l’école allait fermer. Un
incendie avait endommagé l’école pendant la nuit et elle n’avait plus d’argent.
Tout à coup, Kamo eut l’idée du siècle : participer à un concours de maths contre les meilleurs
troisièmes de France.
Kamo et moi allâmes proposer cette idée folle à notre instituteur, M.Margerelle. Il hésita avant
d’accepter. Kamo était fort en maths mais il fallait quand même nous entraîner pour le concours qui avait
lieu le 6 mai 2013.
Deux semaines étaient déjà passées et nous avions progressé. Mais il restait encore beaucoup de
travail.
Le jour du concours arriva. Tout le monde était angoissé. Les élèves de troisième avaient l’air sûrs
d’eux. Le jury fut surpris de voir des élèves de CM2 se présenter à ce concours. Le concours démarra. Tout
se déroulait bien mais les questions étaient de plus en plus difficiles.
A la fin du concours, le jury alla annoncer les résultats. Nous étions angoissés. Les élèves de
troisième avaient quatre-vingt-dix points et nous, nous avions quatre-vingt-onze points. Nous remportâmes
le concours et la somme de cent mille euros.
L’école n’allait pas fermer !
Jimmy, Lucas, Vincent
Kamo a une autre idée du siècle
M.Margerelle, notre instituteur, avait décidé de nous faire visiter un collège un après-midi de mai
pour nous montrer son fonctionnement. Kamo ne voulait pas rentrer dans le collège car il le trouvait trop
grand. J’étais d’accord avec lui. Mais M.Margerelle nous incita à le suivre.
Soudain, nous vîmes un professeur qui ressemblait à M.Crastaing, le professeur que notre instituteur
avait imité en début d’année pour nous habituer aux différents professeurs que nous aurions en sixième.
Ce professeur s’approcha de Kamo et de moi. Il crut que nous étions des élèves du collège. Il nous
emmena dans sa classe et nous restâmes à faire du français pendant une heure.
A la fin du cours, nous retrouvâmes M.Margerelle et le reste du groupe. Notre instituteur nous avait
cherchés pendant toute l’heure ! Il nous disputa.
Ensuite, nous rentrâmes à l’école. M.Margerelle nous demanda si nous avions aimé cette visite.
Apparemment, seulement Kamo et moi l’avions appréciée. Alors, M.Margerelle demanda à M.Crastaing si
tous ses élèves pouvaient assister à une heure de son cours de français. Il accepta.
Cette fois-ci, à la fin de la journée, tous mes camarades étaient contents et plus personne n’avait peur
de rentrer en sixième.
Andréa, Angélina, Elsa, Safaã, Sarah
Kamo et moi faisions notre rentrée en sixième au collège Notre Dame de Sion à Grenoble. La
directrice était en train de faire l’appel dans la cour. Je me retrouvai dans la même classe que Kamo et le
petit Malaussène. Notre professeur principal nous fit faire la visite du collège une fois l’appel fini.
Tout à coup, nous passâmes devant un couloir noir et étrange. Kamo, le petit Malaussène et moi,
nous écartâmes du groupe. Nous entrâmes dans ce couloir. Nous découvrîmes alors une baignoire pleine de
sang et des miroirs cassés au sol.
Tout à coup, Malaussène hurla de peur. Kamo lui dit de se taire. Mais le professeur l’avait entendu. Il
arriva et nous gronda :
« Vous n’avez rien à faire là !
- Nous sommes désolés mais nous ne connaissons pas bien le collège encore.
- Ça ira cette fois-ci ! »
Après ce fut l’heure de la récréation. Nous décidâmes d’y retourner. En chemin, nous croisâmes des
élèves de quatrième. Ils nous racontèrent très vite la légende du collège, nous restâmes ébahis.
Tout à coup, nous entendîmes la sonnerie retentir. Au moment de redescendre, nous croisâmes à
nouveau notre professeur principal. Là, il commença à nous faire la morale et nous dit que nous serions
collés le lendemain après-midi.
Le lendemain, en colle, il se passa des choses étranges. Kamo et moi sortîmes discrètement dans le
couloir pour voir ce qu’il se passait. J’étais devant Kamo. Soudain, je vis une ombre défiler devant mes
yeux.
J’alarmai Kamo : « Kamo, viens vite ici ! »
Kamo arriva rapidement : « Mais, non ! Ce sont les quatrièmes qui essayent de nous faire peur ! »
L’enquête était résolue. Les élèves de quatrième furent sanctionnés. Tout était rentré dans l’ordre.
Anaïs, Mélanie, Sarah, Théa-Marie
Mes camarades et moi étions en cours d’anglais un mardi après-midi. Le petit Malaussène et Kamo
chuchotaient. Le professeur parlait sans s’arrêter comme d’habitude.
Tout à coup, Kamo se leva brusquement. Il proposa au professeur de partir en voyage de fin d’année
à Londres pour faire du parachute en partant de la grande roue.
Trois mois après, nous étions à Londres. Kamo était tout excité à l’idée de sauter en parachute. Nous
faisions la queue devant la grande roue depuis un moment. Kamo avait été désigné pour sauter le premier.
Alors, il monta sur la grande roue, fit la connaissance du moniteur de parachute et s’élança.
Une fois arrivé en bas, Kamo nous fit part de ses émotions. Il avait eu très peur mais il avait ressenti
aussi beaucoup de joie en voyant le palais de la reine et Big Ben.
Je compris ce que Kamo avait ressenti lorsque je m’élançai à mon tour de la grande roue. L’idée
folle de Kamo enchanta tout le monde.
Quelques jours après, nous étions à nouveau en cours d’anglais en train de rêver à nos exploits.
Louis, Valérian, Zinédine
Kamo et moi étions en sixième depuis deux mois. Nous en avions déjà assez des réflexions de nos
parents : « Il faut travailler plus pour réussir à passer en cinquième. »
Un jour, Kamo eut l’idée de fuguer et de se réfugier chez moi, dans mon grenier.
Depuis quelques jours, nous n’allions plus au collège pour ne plus avoir de devoirs. Pendant que
nous étions dans le grenier, la maman de Kamo, Tatiana, appela mes parents et leur apprit que son fils
n’allait plus à l’école. Elle voulait savoir si c’était mon cas. Nous avions entendu cette conversation
téléphonique.
Après un long moment, ma mère demanda à Tatiana de venir chez eux pour pouvoir discuter de la
situation. Quand la mère de Kamo arriva, nous décidâmes de descendre au salon pour avoir une discussion
avec nos parents.
Nous vîmes nos mères en colère mais après leur avoir expliqué les raisons de notre mécontentement,
elles nous pardonnèrent et décidèrent de nous mettre un peu moins la pression.
Estelle, Inès, Margaux, Yousra
Kamo et la peur de la sixième
Kamo, le petit Malaussène (le pleurnichard), le grand Lanthier (le plus grand de la classe) et moi
étions tous en CM2. Kamo était mon meilleur ami et il avait toujours des idées farfelues. Tout le monde
nous parlait de la sixième et cela nous agaçait.
Alors, un jour, Kamo eut l’idée du siècle (encore une !) : redoubler notre CM2.
En récréation, nous élaborâmes un plan : quand M.Margerelle nous ferait une dictée, nous ferions
exprès de faire des erreurs pour avoir zéro.
La sonnerie retentit ; le moment de la dictée arriva. M.Margerlle commença à nous dicter la première
phrase. Kamo nous fit un clin d’œil et nous mîmes son plan à exécution.
Imade, Marc, Killian
Rédaction inachevée par manque de temps