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Newsletter December 5, 2014 Dans ce numéro: Pulsar 2.a : confirmation et nouvelles données Comparable, mais approfondie sur un volet .................................... 2 Une remarquable stabilité ............................................................. 5 Une mesure, générale, de l’attention ............................................. 7 L’attention c’est bien, une masse critique, c’est mieux ................... 12 Plus près des processus habituels ................................................ 15 Editeur responsable: François Chaudoir Rédaction : Bernard Cools L’information contenue dans cette newsletter est strictement confidentielle. Elle ne peut être utilisée à des fins commerciales sans autorisation préalable December 5, 2014 PULSAR 2.A : CONFIRMATION ET NOUVELLES DONNÉES Après l’intérêt rencontré par la première édition de Pulsar (pour rappel : Silver Award for Best Media Research 2013 aux AMMA Awards), Space a conduit une enquête « bis » qui approfondit la partie « Connection points». Cette étude confirme pas mal des enseignements de la première sur les canaux de communication. Mais ajoute une dimension : celle de l’attention au contenu publicitaire. En très bref: • • 1 • • • • La partie « points de connexion » de l’étude Pulsar a été répliquée au cours de la fin de l’été 2014. Sur le plan des résultats « habituels », elle livre à peu de choses près les mêmes enseignements : la force des médias traditionnels qui allient une masse importante de contacts et une capacité généralement bonne à réaliser certaines tâches de communication… … tout en montrant l’intérêt du mix avec d’autres canaux moins traditionnels, qui remplissent des tâches plus spécifiques. Une nouveauté néanmoins : la dimension d’attention, déclarée par rapport aux différents points de connexion. Elle se révèle surtout importante pour prédire des effets cognitifs mais relativement basse sur les canaux digitaux. Alliée à la puissance (« reach »), l’attention amène une nouvelle dimension pour nos analyses Pulsar, avec une donnée qu’on peut qualifier de « probabilité de contact efficient ». En outre, cette édition « 2.a » accroît la granularité des cibles sur lesquelles peut porter l’analyse : une façon de s’aligner sur les process habituels de notre métier d’agence média. Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 Comparable, mais approfondie sur un volet 2 L’étude exclusive Pulsar « 2.a» a été réalisée en août-septembre 2014. Elle a interrogé en ligne 2.487 répondants âgés d’au moins 15 ans et représentatifs de la population belge. Comme lors de la première édition, le questionnaire a été fractionné : aucun des répondants n’en a rempli la totalité, mais on a visé environ 1.000 « completes » par grande Cette édition « 2.a » de Pulsar est catégorie, le tout est consolidé donc partiellement une dans une seule grande database. réplication. Comme dans la première vague d’enquêtes, nous A l’inverse de la première édition, avons sondé les répondants sur 40 cette enquête-ci n’a porté que points de connexion que l’on peut sur les points de connexion, pas classer de différentes manières. sur des secteurs de produits. De ce Comme le « POE » ci-dessous qui point de vue elle a été plus légère. consiste à distinguer « Paid media On verra toutefois plus loin que », ceux pour lesquels l’annonceur nous avons ajouté une dimension achète un espace publicitaire nouvelle et donc une section déterminé, avec une majorité de supplémentaire dans le protocole supports traditionnels, « owned » d’étude : celle de l’attention face à soit tous ceux qu’une marque la publicité ou au discours de possède en propre, même s’ils marque. peuvent avoir été créés pour une occasion particulière, comme les événements organisés par elle, et enfin le « earned », soit toute communication dans ou hors des médias et où la marque est évoquée. Cette dernière résulte souvent de l’impulsion du « paid » qui démarre la communication, ou du « owned », la voix de la marque sans aucun intermédiaire. Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 Paid media (24) 3 • Addressed (e)mail • Ads in social media • Ambient OOH • Banner ads • Brand content in magazines • Brand content newspapers • Cinema ad • FLP ads • Magazines ads • Mobile ad • Newspaper ad • Online video ads • OOH ad in public transport • POS ad • Radio ads • SMS ads/offers • Special offers in media • Sponsored radio programme • Sponsored TV programme • Sponsored website sections • Street poster ad • TV ad • Product placement TV • Branded TV programme Owned connection Earned points (9) communication (7) • Brand page on • Reco by experts Facebook • Reco by friends • Brand website or relatives • Branded shops • Reco by media • Flyers or editorial brochures • Search engines • Free samples • Shared brand • In store ads content • Smartphone • Social media apps conversations • Special POS • Radio editorial offer • Sponsored events On peut également classer ces points de connexion selon leur proximité plus ou moins grande avec l’un des trois stades Pulsar classiques : celui de la découverte (« Discover »), qui peut consister en une simple connaissance ou bien en un usage sans véritable implication, le stade "Engage » qui implique des niveaux croissants d’évaluation/approbation et enfin la phase « Act », plus rare, ou le consommateur est convaincu d’une réelle supériorité de la marque et peut même s’en faire l’ambassadeur auprès des autres. Attention, cela ne signifie pas qu’un canal « discover » ne puisse pas susciter des réactions d’empathie (Engage) voire d’action : on parle simplement de proximité plus grande avec un stade de relation à la marque. Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 4 Discover (15) eNgage (13) • • • • • • • • • • • Brand content in magazines • Brand content newspapers • Brand page on FB • Brand website • Reco by experts • Reco by media editorial • Smartphone apps • Sponsored events • Sponsored radio programme • Sponsored TV programme • Sponsored website sections • Branded TV programme • Radio editorial • • • • • Ads in social media Ambient OOH Banner ads Cinema ad FLP ads Magazines ads Mobile ad Newspaper ad Online video ads OOH ad in public transport Radio ads Special offers in media Street poster ad TV ad Product placement TV Act (12) • • • • • • • • • • • • Addressed (e)mail Branded shops Flyers or brochures Free samples In store ads POS ad Reco by friends or relatives Search engines Shared brand content SMS ads/offers Social media conversations Special POS offer Réplication également sur le plan de la mesure de la perception : pour chaque point de connexion, les individus interrogés ont dû se prononcer, via une échelle de 1 à 10, sur chacune des 18 propositions, suivantes. « Ce moyen de communication : • • • • • • • • • • • • • permet de donner une bonne image à une marque permet de dynamiser la marque permet de montrer la popularité d’une marque permet de présenter des nouveautés permet d’interpeller les consommateurs permet de générer des conversations chez les consommateurs permet d’aider les consommateurs à faire leur choix donne envie de rêver permet aux consommateurs de valoriser leur statut permet d’instaurer un contact direct avec la marque permet à la marque de récompenser ses consommateurs pour leur fidélité permet à la marque de rendre des services à ses clients permet à la marque de démontrer qu’elle tient compte des attentes de ses clients Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 • • • • • donne l’impression que la marque est présente partout permet au consommateur de s’interroger sur ses habitudes d’achats permet à la marque d’être au bon endroit au bon moment permet à la marque d’être présente dans l’esprit des consommateurs stimule la curiosité des consommateurs ». Une remarquable stabilité 5 En utilisant les notes moyennes pour chacun des points de connexion, il est alors possible de tracer un écosystème des moyens de communication, via une analyse de correspondances. Cet écosystème est l’objet du graphique ci-dessous, assez semblable à celui qui a été réalisé sur base de la première vague de Pulsar. Il positionne l’ensemble des items suivant un axe « personnalisé/massif » (horizontal) et un autre, vertical, qui oppose le contrôle du processus de communication par la marque à celui où c’est le consommateur qui est « en contrôle ». Comme la première fois, les médias traditionnels, de masse, figurent plutôt à droite, quand le plus personnalisé est à gauche. Il y a aussi des paradoxes, comme celui de points de connexion digitaux (annonce via mobile, banners Internet,…), donc interactifs, pour lesquels les consommateurs interrogés considèrent plutôt que c’est la marque qui contrôle : bref le « où je veux, quand je veux » ne semble pas d’application là. Par rapport à la 1e édition, la stabilité des emplacements est remarquable. Une exception au moins : la publicité par vidéo en ligne a évolué. Le consommateur la voit en effet toujours comme une expérience plus individualisée que la télévision, mais elle est aujourd’hui considérée comme plus maîtrisée, effet sans doute de la possibilité qu’offrent (souvent) les vidéos pre-roll de « passer l’annonce » après quelques secondes. Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 6 Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 Une mesure, générale, de l’attention Comme pour tous les autres éléments de l’enquête Pulsar, la question de l’attention n’a pas été posée à l’ensemble des répondants. En moyenne, pour chacun des points de connexion étudiés, les données proviennent d’environ 1.000 individus (989 précisément). L’attention n’est pas constante : selon les cas, les situations, les éventuelles combinaisons d’activités, le focus sur un média ou un point de contact peut être différent. Or, nous avons capturé l’attention comme une mesure unique, en demandant toutefois aux répondants de se prononcer à l’aide d’une échelle assez large, allant de 1 (peu d’attention) à 10 (focus maximum). Le but est ainsi d’identifier sans trop de mal pour les répondants une situation habituelle d’attention face aux communications publicitaires. Avec le risque inévitable que cette mesure « moyenne » ne soit pas valable partout et tout le temps. 7 De plus, la façon dont la question a été posée a parfois varié, selon le point de connexion : ainsi pour les médias classiques, on a parlé d’attention. Exemple, avec la question sur le spot radio : « Lorsque j'écoute la radio, quand j'entends un spot publicitaire, je suis attentif au message transmis par la marque ». Il y a des variations, fonction des « connection points » étudiés : ainsi, avec les applications pour smartphone, le questionnaire évoquait le téléchargement comme variable « d’attention » et avec les échantillons gratuits, on parlait cette fois de leur utilisation. Ces aménagements destinés à être compris et correctement interprétés par les personnes interviewées constituent du point de vue strictement puriste une autre limite. L’attention telle que mesurée dans Pulsar est donc déclarée, de portée générale (ne se rapporte pas au contexte) et basée sur la conscience (à l’opposé donc de « l’attention faible » ou « low attention » qui constitue une autre forme possible d’engagement du consommateur 1). 1 Certaines études ont montré que l’attention faible pouvait également se révéler efficace, ce qui explique parfois l’effet de l’audio-visuel, très puissant sur l’émotionnel. Par exemple : Robert HEATH « Emotional engagement: how TV builds brands at low attention”, Admap Issue 507, July/August 2009, pp.29-31 Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 Pour chacun des points de connexion on obtient donc un panel de notes d’attention qui peuvent s’exprimer soit par niveau individuel (de 1, attention faible ou pas d’attention, à 10, valeur maximale) soit en moyenne pondérée, comme dans les 3 exemples ci-dessous. 8 Sur la totalité de l’échantillon, les notes moyennes d’attention récoltées varient entre 3.85 et 7.3 selon les points de connexion. Ces valeurs apparemment proches ne doivent pas cacher que la note moyenne d’attention d’un point de connexion tel qu’étudié dans Pulsar présente une différence statistiquement significative avec plus de 30 autres : en d’autres termes, nous avons ainsi une métrique très discriminante. On constate par ailleurs une forte corrélation entre l’attention « version Pulsar » et la capacité des différents points de connexion à générer un effet : en particulier, des notes d’attention élevées sont susceptibles de susciter de fortes réponses cognitives, comme la curiosité, la capacité de choisir entre les marques ou la notoriété de la marque. A l’inverse, sans surprise 2, une réponse émotionnelle (« fait rêver ») est 2 La perception fonctionne à deux niveaux : un « system 1 » automatique, rapide et émotionnelle, mais pas toujours très conscient (« with little conscient thoughts ») et un « system 2 », cognitif, plus rationnel, demandant plus d’efforts et donc plus lent. L’attention consciente que nous mesurons est donc plutôt « system 2 ». Source : Les BINET & Peter FIELD. The long and the short of it. Balancing short and long term marketing strategies. Institute of Practitioners in Advertising 2013, pp.50-51. Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 moins probable dans un contexte de forte attention consciente. Il n’y a statistiquement pas de lien entre une attention forte et le sentiment d’omniprésence de la marque chez le consommateur. 9 La valeur d’attention, c’est aussi un profil. Globalement, les individus les plus jeunes accordent le plus d’attention aux messages des marques. Ce que répugnent à reconnaître les seniors. Plus critiques, les individus à niveau d’instruction élevé ne déclarent pas non plus une grande attention aux points de connexion commerciaux. Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 10 Plus qualitativement, le mapping ci-dessous illustre les corrélations entre différentes caractéristiques socio-démographiques des répondants et la note d’attention déclarée par point de contact. Vu de loin, le graphique s’organise horizontalement selon l’âge des individus et verticalement suivant leur niveau d’instruction et/ou leur statut socio-professionnel, qui se recoupent. Ainsi, les individus appartenant aux groupes sociaux favorisés déclarent une attention plus soutenue aux expressions directes des marques, comme le site, les événements sponsorisés ou à des canaux indirects, comme les conversations entre pairs. Les responsables des achats des ménages ont une attention sélective plus importante pour la pub radio, l’affichage (en rue ou dans les points de vente) et/ou le placement de produits en TV. Les plus jeunes (moins de 25 ans) déclarent une attention généralement élevée à l’ensemble des points de connexion comme on l’a vu plus haut. Ils présentent donc une sélectivité plus faible sur la plupart des points de connexion (globalement tout leur convient…), mais affichent quand même une sensibilité un peu plus affinée pour les applications sur smartphone et les pages de marque Facebook. Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 11 Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 L’attention c’est bien, une masse critique, c’est mieux 12 Si tous les points de connexion n’ont pas la même utilité en communication, ils ont aussi chacun une capacité d’atteindre plus ou moins vite une masse critique de consommateurs. C’est pourquoi, à côté de l’interrogation sur les attributs ou l’attention, Pulsar demande aux répondants de se prononcer sur la fréquence (perçue) d’exposition aux différents touchpoints. Une manière d’établir le « reach », la puissance de connexion perceptuelle, de chacun des 40 canaux de communication étudiés. En pratique, les répondants devaient indiquer, pour chaque canal de communication, s’ils estimaient y être confrontés, avec un choix multiple entre « jamais » des fréquences allant de « plusieurs fois par an » jusqu’à « quotidiennement ». Cette répartition est illustrée ci-dessous avec trois canaux différents, un « paid medium », un « owned » (la page Facebook) et un « earned », les conversations sur les marques en médias sociaux. Typiquement, nous agrégeons les valeurs de fréquence concernées pour obtenir un niveau moyen hebdomadaire, qui traduit la force perceptuelle de chacun d’entre eux. Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 Et l’attention dans tout cela ? Elle peut être croisée avec la fréquence d’exposition hebdomadaire moyenne, comme dans le graphique cidessous. 13 Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 Le mapping détaille chacun des connection points en termes de force (le « reach » hebdomadaire moyen) et de note moyenne d’attention sur l’ensemble des répondants. Classiquement les médias traditionnels fournissent une masse critique de connexions et sont donc positionnés plutôt sur la droite. Par contre, leur valeur d’attention est proportionnellement plus faible. En termes d’attention, les médias digitaux scorent assez faiblement 3, malgré le mode d’enquête en ligne qui a été utilisé, ou… à cause de lui 4 ! Les expériences immersives comme le site de marque ou les flagship stores, les cadeaux et l’interpersonnel fonctionnent mieux. Encore faut-il déclencher ces conversations, et amener à connaître ces échantillons et autres, et de manière économique. C’est là qu’un mix de canaux puissants et d’autres créateurs d’attention s’avère pertinent. 14 On peut même combiner ; en multipliant la valeur de reach par la note moyenne d’attention pour chacun des touchpoints. On obtient alors une valeur brute de points d’attention qui a alors l’avantage d’être cumulée, déterminant pour chacun des points de connexion une part du total. A ce jeu, qui combine attention et force de frappe, les médias traditionnels ne 3 L’étude globale AdReaction 2014 de Millward Brown montre une valeur d’attention moindre pour la publicité sur écrans digitaux (laptop, smartphone ou tablette) par rapport à l’écran de TV : si on met la télévision à l’indice 100, la valeur pour la communication digitale est de 72 : http://www.millwardbrown.com/adreaction/2014/#/. La différence mesurée dans Pulsar est moins importante. 4 Des expériences par « eye tracking » ont montré que les surfeurs expérimentés ont tendance à éviter les zones de l’écran où ils savent que des messages publicitaires sont présents (source Leendert VAN MEEREM, Costa TCHAOUSSOGLOU, Janice JIE & Ignace HOOGE., “Measuring the true value of advertising in print against online – an eye tracking experiment” in Worldwide Readership Research Symposium Valencia 2009 Session papers, pp. 523-531) Pour peu que le public des répondants Pulsar soit constitué de beaucoup de « heavy Internet users », cet effet peut avoir joué. Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 se comportent pas mal. On peut même d’ailleurs les agréger ; en fonction des catégories ci-dessous. 15 C’est ainsi qu’on constate que le « earned » ou le « owned » possèdent bien de hautes valeurs moyennes d’attention, respectivement 5 et 5.3, nettement plus flatteuses que celle des médias payants (4.6). En revanche, en parts des contacts potentiellement efficaces, ces derniers occupent une large majorité. La vue « DNA » nous donne des résultats assez comparables. Vu les hauts scores d’attention de points de connexion direct, comme les échantillons et les magasins de marques, le volet « Act » présente une moyenne très élevée (5.4), nettement supérieure à celle des deux autres catégories. En revanche, celles-ci –et principalement le « Discover », qui reprend pas mal de médias de masse- pèsent lourd en parts de connexions efficients. Plus près des processus habituels Enfin, l’édition « 2.a » de Pulsar se caractérise par une plus grande granularité des cibles. Il est dorénavant possible de pratiquer plusieurs filtres successifs : après celui relatif à la langue, il est possible d’appliquer des sélections socio-démographiques successives, de type sexe, responsables des achats du ménage (PRA), âge, groupe sociaux, activité professionnelle, etc. Bref, d’adapter les définitions de cibles à pas mal de pratiques courantes dans l’analyse des consommateurs et le « connection planning ». Illustration ci-dessous avec un mapping « capacité à communiquer des nouveautés » (axe vertical) croisé avec la puissance hebdomadaire (« reach » perceptuel, sur l’axe horizontal), et valeur Newsletter on media, communication & more December 5, 2014 moyenne d’attention, le tout sur les femmes de 25 à 44 ans, le tout directement issu de l’outil d’exploitation Pulsar. 16 Avec sa large palette de « connection points », l’augmentation de la précision dans l’analyse et sa nouvelle dimension d’attention, notre étude Pulsar 2.a est donc prête à relever de nouveaux défis. Plus qu’une réplication, un nouveau départ. Newsletter on media, communication & more