Réseaux - Swiss Life Asset Managers
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Réseaux n°5 Jan.2012 Conjoncture Perspectives 2012 : il suffirait de presque rien… Par Eric Bourguignon, Directeur de la gestion de Taux et Crédit, Swiss Life AM Le parcours devrait encore être semé d’embûche pour les investisseurs cette année. Il serait vain de le nier. Mais 2012 ne sera pas 2011. Les marchés qui avaient été pris de court par la généralisation de la crise des dettes souveraines en Europe l’an dernier, ont aujourd’hui largement intégré les scénarios les plus extrêmes. Dans le même temps, les politiques mises en place sur tous les continents devraient permettre d’éviter que ces scénarios ne se réalisent. Zone euro : le verre à moitié plein Si la zone euro doit encore faire face à des défis majeurs, elle semble avoir pris son destin en main, et adopté, certes dans la douleur, un cadre qui devrait assurer sa pérennité. Le choix de l’austérité budgétaire imposé par l’Allemagne, coûteux dans l’immédiat en matière de croissance et d’emplois, est effectivement à terme de nature à renforcer la crédibilité de la zone, et à favoriser un relâchement des pressions qui s’exercent sur elle. Les dernières décisions de la Banque Centrale Européenne en matière de politique monétaire vont dans le même sens, car elles visent aussi à consolider la construction européenne sur la durée. Premiers signes encourageants aux États-Unis La politique économique poursuivie par les États-Unis est diamétralement opposée à celle La Lettre de Swiss Life AM Nos convictions Zones Europe Pays développés Pays émergents ++* - Taux longs Crédit Actions Volatilité + + + = + + + = = = Très positif + -- Positif = Négatif Très négatif Neutre * Positif sur la volatilité signifie que nous anticipons une baisse de la volatilité. prônée par les dirigeants européens. Là-bas, les déficits publics restent à des niveaux record, sans que cela n’émeuve, et la planche à billets tourne à plein régime. Cette fuite en avant budgétaire et monétaire finira probablement par coûter cher aux créanciers de l’Amérique, car elle porte le germe d’une accélération de l’inflation et d’un affaissement du dollar. Mais en attendant, elle commence à porter ses fruits semble-t-il. Les dernières statistiques montrent effectivement que les créations d’emploi repartent. Les enquêtes réalisées auprès des entreprises témoignent de leur confiance dans l’avenir. Un frémissement est même perceptible sur le marché immobilier après plusieurs années d’encéphalogramme plat. Pays émergents : réussir l’atterrissage en douceur La problématique des pays émergents est très éloignée de celle à laquelle nous sommes confrontés. Ils ne souffrent ni d’excès de dette ni de sous emploi chronique. Ils doivent en revanche impérativement résorber les graves déséquilibres provoqués par leur croissance effrénée de ces dernières années. L’exercice est particulièrement délicat à mener. Il s’agit de ralentir la machine sans la faire caler, mais on peut cependant imaginer que ces pays feront tout pour éviter de briser leur dynamique de croissance. Beaucoup d’entre eux disposent par ailleurs de réserves de change considérables qui pourront être utilisées à bon escient le cas échéant. Des marchés résignés Le scénario du pire ne nous semble donc pas le plus probable en 2012. Mais les marchés ne l’entendent pas de cette oreille. Pour preuve, l’engouement pour les emprunts d’État allemands ou américains, considérés comme des valeurs refuges, ne se dément pas, et leur rémunération atteint des niveaux ridicules. La valeur boursière des entreprises est désormais souvent déconnectée de leur valeur intrinsèque. Sur le marché du crédit, marché des obligations émises par les entreprises privées, les cours reflètent des anticipations de défaut qui ne sont pas réalistes, même dans les scénarios les plus noirs. Il suffirait donc de peu de chose, dans cette ambiance de capitulation des marchés, pour que les perdants de 2011, effectuent leur grand retour sur le devant de la scène. 1 Réseaux La Lettre de Swiss Life AM / Jan. 2012 Taux et crédits Marchés financiers et stratégies Au cours du 4e trimestre, une accalmie relative a permis de stabiliser les marchés de taux et de crédit de la zone euro après un été marqué par une forte volatilité. Jean-Claude Trichet ayant terminé son mandat, Mario Draghi, ancien président de la Banque d’Italie, l’a remplacé à la tête de la BCE. Symboliquement, la première décision de l’institut monétaire européen suite à ce changement a été d’abaisser ses taux directeurs de 25 points de base début novembre, et de 25 points de base supplémentaires un mois plus tard. Ainsi, le taux refi s’établissait à 1,00 % fin décembre. La BCE a fait le choix de considérer la hausse actuelle de l’inflation en zone euro comme un phénomène temporaire n’empêchant pas d’assouplir le coût du crédit. ACTIONS Actions et gestion diversifiée Nos convictions En se basant sur des principes clairs et éprouvés d’investissement, la gestion d’un portefeuille actions doit s’effectuer suivant deux thèmes : la recherche de plus-value d’une part, la préservation du capital d’autre part. En schématisant, cash flows, valeurs intrinsèques, marge opérationnelle sont des éléments essentiels du choix des valeurs contribuant à la plus value. Mais la gestion du risque de chacun des titres (volatilité, corrélation) composant un portefeuille est l’élément fondamental qui contribuera à la préservation du capital. Nos conseils En ce début d’année, il convient de revenir sur les caractéristiques essentielles de la discipline d’investissement en actions : la seule décennie négative depuis la fin de la Première guerre mondiale est celle des années 30. Ce constat doit nous inciter à « penser » actions chaque fois que nous L’autre mesure particulièrement attendue était l’opération de refinancement long offerte par la BCE aux banques européennes en décembre. Le résultat de cette opération a été l’injection de 489 milliards d’euros dans le système bancaire, ce qui a contribué à l’apaisement des tensions qui affaiblissaient le refinancement interbancaire depuis de longs mois. Cette détente des taux courts n’a cependant pas empêché l’emprunt d’État italien à 10 ans de passer d’un spread contre l’Allemagne de 360 points de base début octobre à plus de 470 points de base fin décembre. L’Espagne cependant, a vu son spread à 10 ans se stabiliser à 325 points de base. Quant à la Grèce, elle a vu le prix de sa dette continuer de chuter, face à la méfiance croissante qu’elle inspire aux investisseurs. Dans ce contexte, les taux allemands à 10 ans ont terminé l’année à des niveaux proches de leurs plus bas, à 1,83 %. La courbe des rendements s’est sensiblement pentifiée, le 2 ans contre 10 ans s’établissant à environ 168 points de base contre 135 fin septembre. Le marché du crédit, et en particulier le secteur financier se sont également stabilisés, grâce notamment, aux mesures prises par les autorités monétaires. Mais les problèmes de fond -s’agissant des dettes souveraines mais aussi du niveau des fonds propres du secteur bancaire- n’ont pas été résolus à ce jour par les dirigeants européens. La nervosité des marchés pourrait donc réapparaître à tout moment. Nous gardons notre prudence s’agissant de notre exposition aux marchés de taux. La crise de l’endettement européen souverain reste le premier déterminant de l’évolution des marchés de taux en zone euro mais le bas niveau des taux des emprunts d’État allemands n’est guère attrayant. rencontrons une année négative. C’est le cas en 2011 avec un MSCI World Net Return à -5.54 % en US Dollar. Notre recommandation est simple : penser action mais penser long terme. C’est pourquoi les véhicules de placements basés sur la gestion du risque et la capacité des entreprises à générer des dividendes attractifs reflètent parfaitement nos convictions en la matière (SLF (F) Equity Eurozone Minimum Volatility, SLF (F) Equity Global High Dividend). ne peut être réalisé par une attitude passive mais nécessite une politique d’investissement active (et disciplinée !) permettant à l’investisseur d’adapter son portefeuille à l’environnement présent. GESTION DIVERSIFIEE Nos convictions Diversifier un portefeuille c’est bien, mais ce n’est pas suffisant ! La question fondamentale que l’investisseur doit se poser est la suivante : comment mon portefeuille peut réagir en cas de hausse ou de baisse des actions et réciproquement en cas de hausse ou de baisse des taux ? En d’autres termes, un portefeuille doit être le plus robuste possible sur l’ensemble du cycle économique. Cet objectif de robustesse Par Dimitri Andraos Responsable de la gestion Taux et Crédit, Swiss Life AM (France) Nos conseils La prime de risque long terme associée aux actions est élevée. En conséquence, nous privilégions dans nos allocations d’actifs les actions et les obligations émises par les entreprises. L’or aux niveaux actuels ne nous semble plus avoir beaucoup de potentiel de hausse : la prise de bénéfices s’impose. D’un point de vue général, la politique de prise de bénéfices sur les portefeuilles devra être limitée afin de profiter au maximum des effets de capitalisation sur les actifs risqués (actions, crédits). Par Pierre Guillemin, Directeur de la gestion Actions et allocation d’actifs, Swiss Life AM 2 Réseaux La Lettre de Swiss Life AM / Jan. 2012 Gérer Taux de défaut historique : Catégorie « Investissement » versus catégorie « Spéculative » Toutes catégories Interview Catégorie Investissement Gilles Frisch, Responsable Gestion Asset Opportunities chez Swiss Life AM (France) et gérant du fonds SLF (F) Rendement Catégorie Spéculative 1. Qu’est-ce que le High Yield ? Le marché High Yield regroupe les obligations notées BB, B ou CCC par les agences de notations. On parle aussi d’obligations de catégorie « spéculative ». En effet, contrairement aux obligations catégorie « investissement » notées de AAA à BBB, les obligations High Yield ou à haut rendement présentent un risque de défaut non négligeable (de 3 à 4 % de taux de défaut moyen par an) et, en cas de défaut, un risque de recouvrement partiel de la créance (qui peut être inférieur à 50 %). En contrepartie de ce risque de défaut, l’investisseur qui prête à une société en achetant une obligation High Yield se voit proposer un coupon entre 6 % et 10 %, coupon nettement plus élevé que les obligations d’État et qui offre une perspective de rendement comparable aux actions. 2. Quelles opportunités pour ce segment dans le contexte de marché actuel ? L’un des faits marquant de la crise actuelle est que les sociétés industrielles se désendettent, contrairement aux États et aux banques. Cette priorité donnée au service de la dette (par rapport aux dividendes et aux investissements entre autres) est un facteur de soutien pour les obligations High Yield et devrait conduire à des taux de défauts modérés. D’autre part, les rendements de ces obligations sont historiquement élevés. Aussi il nous semble que c’est le bon moment d’investir Les obligations à haut rendement dites « High Yield » Notés de BB+ à C, ce sont les émetteurs dont le risque de non remboursement est plus important sur le long terme. En contrepartie de cette prise de risque, ces obligations « high yield » offrent un rendement plus élevé. BB B C Sources: Standard & Poor’s Global Fixed Income Research and Standard & Poor’s CreditPro® © Standard & Poor’s dans un marché dont les valorisations sont très attractives. 3. Quels sont vos projets ? Notre gestion High Yield pour compte de tiers a un peu plus d’un an, sachant que je travaille sur ces marchés depuis 1999. Nous avons deux portefeuilles investis en High Yield : ● le fonds SLF (F) Rendement investit à hauteur de 40 % de son actif sur les obligations High Yield européennes et américaines, ● le mandat « SL Assurance et Patrimoine US HY », que nous gérons pour le compte de notre maison mère, qui est investi pour 100 % de son actif en obligations High Yield américaines de catégorie BB, soit au total 20 millions d’Euros et 155 millions de dollars gérés sur cette classe d’actifs. Nous avons 2 nouveaux projets actuellement : un fonds « Global High Yield Corporate » qui investira dans les obligations High Yield non financières européennes et américaines avec une grande latitude pour investir et gérer activement les crédits en portefeuille, un fonds « High Yield à horizon » qui investira dans les crédits que nous privilégions pour leur bon couple risque/ rendement attendu afin de réaliser un objectif de rendement affiché à un horizon déterminé au lancement de ce fonds. 4. Pouvez-vous nous faire un point sur les performances du fonds SLF (F) Rendement ? La performance du fonds SLF (F) Rendement est la somme de deux composantes : les flux reçus sur les investissements en actions et obligations (coupons, dividendes, remboursement) et la variation du prix de marché des actifs détenus en portefeuille. Notre stratégie d’investissement vise à optimiser les flux reçus à un horizon indicatif de 4 ans et non à jouer la hausse des marchés. Sur l’année écoulée tous les flux escomptés ont été reçus, par contre les prix de marché sont en baisse importante (principalement à cause des inquiétudes sur la zone Euro, la santé des banques, le risque de ralentissement économique global) : en net la performance du fonds est négative sur l’année écoulée à hauteur de -16,63 % (*), à cause de cette baisse des prix de marché. Il est important de noter que cette baisse de prix impacte des actifs que nous conservons en portefeuille et n’entraîne donc pas de pertes réalisées. 5. Quelles sont les perspectives sur ce fonds ? Ce début d’année 2012 voit à la fois de nombreux paiements de coupons et de dividendes sur notre portefeuille et un début de remontée des prix de marché sur les actifs du portefeuille, ce qui amène la performance à +7.59% pour la période du 31/12/11 au 27/01/12 (**). Si le contexte sur les prix de marché peut rester volatil jusqu’à ce que la crise de la zone Euro et les inquiétudes sur les bilans des banques soient résolues, le paiement des coupons et dividendes attendus est l’élément le plus important pour que notre stratégie réalise l’objectif de performance à moyen-terme et à cet égard nous restons optimistes sur la capacité des sociétés détenues en portefeuille à payer les flux attendus. Enfin nous profitons au cas par cas des soubresauts des marchés pour améliorer le rendement de notre portefeuille en substituant des actifs plus rémunérateurs à certains actifs du portefeuille. (*) Performance nette de la part P-C du fonds SLF Rendement sur l’année 2011. (**) Les performances passées ne présagent pas des performances futures. 3 Réseaux La Lettre de Swiss Life AM Performance au 31.12.2011 Ce document recense la performance des fonds Swiss Life AM disponible dans les contrats d’assurance Swiss Life Nom de l’Unité de Compte indice de référence Univers d’investissement / Stratégie Ytd 1 an 3 ans 5 ans 2010 2009 2008 Ce Fonds de Fonds a un profil «Prudent» : l’allocation de référence est de 70% d’obligations et 30% d’actions. L’orientation de gestion permet de capter une partie de la performance de la classe actions tout en limitant fortement le risque grâce à la prédominance des obligations. Le fonds a pour objectif de surperformer son indice de référence au travers de stratégies actives qui exploitent les sur ou sous évaluations de marché tout en privilégiant les secteurs défensifs au sein de l’allocation actions comme de l’allocation obligataire. 2,91% 2,91% 25,70% - 6,84% 14,32% - -0,82% -0,82% 7,81% - 1,24% 7,38% - 10,75% 10,75% 31,12% 11,34% 8,81% 8,80% -15,93% 0,88% 0,88% 2,06% 10,40% 0,44% 0,72% -1,48% -1,48% 18,62% - 3,98% 15,80% - -5,48% -5,48% 4,71% - -0,63% 11,49% - -5,03% -5,03% 16,91% - 2,39% 20,23% - -10,13% -10,13% 1,05% - -2,62% 15,47% - Fonds à profil de gestion SLF (Lux) Pf Global Income Prudent R Code ISIN LU0367327417 30% DJ EuroStoxx 50 + 70% JP Morgan Government Bond Index Broad Hedged EuroTR SLF (F) Défensive P Code ISIN FR0010308825 Ce fonds à un profil «Prudent» : il vise à maximiser le couple rendement/risque et d’obtenir un rendement supérieur à L’EONIA capitalisé sur une période de 3 ans en tirant parti de la plus large diversification possible des primes de risque : actions, obligations internationales, crédits, matières premières et toute autre classe d’actifs pertinente pour diversifier les risques du portefeuille. Eonia capitalisé SLF (Lux) Pf Global Balanced Harmony R LU0367332680 Ce Fonds de Fonds a un profil «Equilibré» : l’allocation de référence est de 50% d’obligations et 50% d’actions. L’orientation de gestion permet de capter une partie assez importante de la performance de la classe actions tout en limitant le risque grâce à la part investie sur les obligations. Le fonds a pour objectif de surperformer son indice de référence au travers de stratégies actives qui exploitent les sur ou sous évaluations de marché tout en privilégiant les secteurs défensifs au sein de l’allocation actions comme de l’allocation obligataire. 50% DJ EuroStoxx 50 + 50% JP Morgan Government Bond Index Broad Hedged EuroTR FR0010308825 SLF (Lux) Pf Global Growth Vitality R Code ISIN LU0367334975 Ce Fonds de Fonds a un profil «Dynamique» : l’allocation de référence est de 30% d’obligations et 70% d’actions. L’orientation de gestion permet de capter la quasi totalité de la performance de la classe actions avec un risque inférieur grâce à la part investie sur les obligations. Le fonds a pour objectif de surperformer son indice de référence au travers de stratégies actives qui exploitent les sur ou sous évaluations de marché tout en privilégiant les secteurs défensifs au sein de l’allocation actions comme de l’allocation obligataire. 70% DJ EuroStoxx 50 + 30% JP Morgan Government Bond Index Broad Hedged EuroTR 4,00% Les performances passées ne présagent pas des performances futures. Pour en savoir plus, retrouvez tous nos news, vidéos, communiqués de presse, prospectus et reporting sur Ce document est exclusivement conçu à des fins d’information et de marketing. Il ne doit pas être interprété comme un conseil en investissement, une recherche sur investissement, un prospectus de vente, une offre de vente ou une incitation à effectuer un placement. 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Les données contenues dans cette fiche ne sont ni contractuelles, ni certifiées par les commissaires aux comptes. Risque pour les investisseurs. Selon les classes d’actifs dans lesquelles l’OPCVM investit, les investisseurs peuvent être exposés aux risques suivants : risque de perte en capital, risque de taux, risque de contrepartie, risque de crédit, risque de liquidité, risque spécifique ABS, risque lié à l’existence d’un effet de levier, risque de change, risque de gestion discrétionnaire, risque d’arbitrage, risque lié aux marchés émergents ou d’autres types de risques. Pour obtenir de plus amples informations et en particulier la description détaillée des risques liés à l’OPCVM dans lequel vous avez investi, veuillez consulter son prospectus sur notre site internet : www.sl-am-france.com Édition Swiss Life Asset Management (France) Directeur de la publication : Jean-Pierre Grimaud Coordination et édition: Communication Swiss Life AM (France) Marie Gente Tél. : 01 40 82 37 05 Coordination Réseaux Swiss Life Mathieu Caillier Tél. : 01 58 36 55 19 E-mail: [email protected] Création : 36nco – Crédit photo : ThinkStock www.sl-am-france.com
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