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MAJ Avril 2012
Industries Agroalimentaires
Hausse des exportations et croissance en 2011
Premier secteur industriel français en chiffre d’affaires et troisième en tant qu’employeur,
l’agroalimentaire reste relativement épargné au milieu des turbulences qui agitent l’industrie.
Après une période de baisse, les exportations de produits alimentaires ont retrouvé en 2011 le
chemin de la croissance, notamment grâce aux céréales, aux boissons et aux produits du
terroir. Dans un contexte accru de concurrence et de mondialisation, les défis à relever pour
les industries agroalimentaires françaises concernent l’adaptation des produits aux normes
internationales alimentaires, aux attentes des consommateurs et au développement de
l’innovation.
Le secteur agroalimentaire transforme des produits issus de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche
en produits consommables tant pour les hommes que pour les animaux. Il se compose en majorité de
petites structures de production (moins de 20 salariés), souvent d’origine familiale. Cependant, le
chiffre d’affaires et les emplois sont concentrés sur un tiers des entreprises. Fortement concurrencé
par les grands groupes étrangers, le secteur fait l’objet de rachats et de fusions. En période de crise,
les grandes entreprises de transformation ont réorganisé leur activité pour se rapprocher des lieux de
production. Le nombre des emplois du secteur a baissé, moins toutefois que pour d'autres pans
industriels. Les enjeux à venir se situent dans le recrutement d’une main d’œuvre qualifiée,
notamment pour remplacer les nombreux départs en retraite.
Au niveau mondial, la bataille est vive pour conquérir et conserver de nouvelles parts de marchés,
malgré les aléas des récoltes et la fluctuation des cours. La France reste un acteur majeur dans ces
échanges, avec des leaders tels que Danone, Lactalis, Pernod-Ricard, Bongrain, Bonduelle (très
présent en Picardie)… Le marché alimentaire national et européen est saturé en volume pour de
nombreux produits. Les gains potentiels sont à rechercher dans l’évolution qualitative de l’offre
(traçabilité des produits, bonne qualité gustative, offre répondant aux exigences nutritionnelles des
consommateurs…) et vers de nouveaux marchés internationaux (pays émergents…).
Pour l’avenir, l’innovation constitue une priorité, tout particulièrement pour les petites et moyennes
entreprises (PME), qui peuvent développer l’emploi sur le territoire national, à travers une
diversification de leurs débouchés hors alimentaire. Les pôles de compétitivité participent à cet
objectif, à l’instar du pôle Industrie et Agro Ressources créé à l’initiative des Régions Picardie et
Champagne-Ardenne.
Le secteur en Picardie
Un secteur phare porté par les grands groupes
Les performances de son agriculture expliquent la forte implantation de l'industrie alimentaire
en Picardie. La région est notamment la première productrice en France de conserves et de
surgelés avec de grands groupes comme Bonduelle ou Nestlé. Bien que marquées par un fort
recul de l’emploi ces dernières années, les entreprises alimentaires picardes relancent leurs
investissements.
Implantées majoritairement près des centres de production agricole, les entreprises agroalimentaires
emploient plus de 15 000 personnes en Picardie. La moitié de ces emplois se concentre sur 4
territoires : le Santerre Haute Somme et le Grand Amiénois (80), le Grand Beauvaisis (60) et la
Thiérache (02).
La boulangerie-pâtisserie, première filière présente dans la région, regroupe un tiers des emplois. Elle
compte une majorité d’entreprises artisanales de moins de 10 salariés, ainsi que de grands
établissements industriels tels que l’allemand INTERSNACK et le groupe PASQUIER… Parmi les
nouveaux venus, LA BOULANGEOISE, PME spécialisée dans la fabrication de pains et viennoiseries
bio, a installé fin 2011 un nouveau fournil à Noailles (60). Dans l’Oise également, AIT INGREDIENTS
a réalisé un investissement de 3 M€ pour développer de nouvelles gammes de produits dans le
secteur de la boulangerie-viennoiserie-biscuiterie. Avec la création d’une vingtaine d’emplois d’ici
2015, l’objectif est de doubler le chiffre d’affaires actuel. SAINTE LUCIE à Gouvieux (60) a investi
dans des locaux et du matériel pour construire une halle technologique et lancer une nouvelle gamme
d’aides aux desserts biologiques. De même, FLOREPI, à Guignicourt (02), emploie 130 salariés à la
fabrication de pâtisseries traditionnelles et de mini-gâteaux. Un investissement de 2,7 M€ a permis
l’extension de ses locaux et la création de nouveaux emplois.
La transformation des fruits et légumes est également une filière représentative en terme d'effectifs
salariés. L’usine BONDUELLE d’Estrées Mons (80) emploie 1.100 personnes et conditionne 170.000
tonnes de légumes par an (conserves et surgelés). En 2012, un investissement de 17 M€ a permis la
mise en service d’une nouvelle chambre froide ultra perfectionnée. MATERNE à Boué (02) cherche à
conquérir les marchés étrangers avec sa célèbre gourde de compote Pom’Pote. L’usine a augmenté
ses effectifs et investi 9 M€ pour lancer de nouveaux produits.
Dans la filière viande, DS - France-marque Soussana - construit une nouvelle usine à Moreuil (80)
pour remplacer celle de Boves (80), mal adaptée aux productions visées (merguez, burgers,
saucisses, et aides culinaires). Avec 13 M€ d’investissements, le site sera opérationnel en 2013 et
devrait permettre la création de nouveaux postes.
Dans le secteur des plats cuisinés, le géant WILLIAM SAURIN, déjà implanté à Pouilly-sur-Serre et à
Château-Thierry, a retardé au printemps 2012 la construction de sa nouvelle usine de Laon. Ce projet
de près de 14 M€ comporte à la clé, 40 emplois. A noter que la plupart des grandes entreprises ont
leur siège social hors Picardie, ce qui les rend dépendantes de décisions prises à l'extérieur de la
région.
Enfin, la valorisation non alimentaire des ressources végétales est déterminante en Picardie, qui
dispose d’importantes ressources (colza, orge, betteraves pour la production de bioéthanol, lin,
chanvre, miscanthus, pour la production d’énergie ou de biocarburants 2ème génération… En
témoigne le projet Pivert mené dans le cadre du pôle de compétitivité Industrie et Agro Ressources,
qui prévoit la construction à Compiègne d’une bio raffinerie nouvelle génération.
Les employeurs en Picardie
Liste des plus grands établissements du secteur en Picardie
Nom de l'établissement
Commune
Effectif
Secteur d'activité
BONDUELLE SURGELE INTERNATIONAL
ESTREES-MONS (80)
700 à 799
salariés
Autre transformation et conservation de légumes
BONDUELLE CONSERVE INTERNATIONAL
ESTREES-MONS (80)
600 à 699
salariés
Autre transformation et conservation de légumes
NESTLE GRAND FROID
BEAUVAIS (60)
600 à 699
salariés
Fabrication de glaces et sorbets
NESTLE PURINA PETCARE FRANCE
AUBIGNY (80)
300 à 399
salariés
Fabrication d'aliments pour animaux de compagnie
NESTLE FRANCE
BOUE (02)
300 à 399
salariés
Fabrication d'autres produits laitiers
PATISSERIE PASQUIER VRON
VRON (80)
300 à 399
salariés
Fabrication industrielle de pain et de pâtisserie fraîche
WILLIAM SAURIN
POUILLY-SUR-SERRE
(02)
300 à 399
salariés
Fabrication de plats préparés
DAILYCER
FAVEROLLES (80)
300 à 399
salariés
Autres activités du travail des grains
SAINT LOUIS SUCRE SA
EPPEVILLE (80)
300 à 399
salariés
Fabrication de sucre
ETS LUCIEN
ALLONNE (60)
250 à 299
salariés
Transformation et conservation de la viande de
boucherie
SYRAL
MESNIL-SAINT-NICAISE
(80)
250 à 299
salariés
Fabrication de produits amylacés
CEREAL PARTNERS FRANCE
ITANCOURT (02)
250 à 299
salariés
Autres activités du travail des grains
MATERNE
BOUE (02)
250 à 299
salariés
Transformation et conservation de fruits
NESTLE FRANCE
ITANCOURT (02)
250 à 299
salariés
Fabrication d'autres produits alimentaires n.c.a.
TEREOS
ORIGNY-SAINTEBENOITE (02)
250 à 299
salariés
Fabrication de sucre
GROUPE BIGARD
AILLY-SUR-SOMME (80)
200 à 249
salariés
Transformation et conservation de la viande de
boucherie
INTERSNACK FRANCE
MONTIGNY-LENGRAIN
(02)
200 à 249
salariés
Fabrication de biscuits, biscottes et pâtisseries de
conservation
AJINOMOTO FOODS EUROPE SAS
MESNIL-SAINT-NICAISE
(80)
200 à 249
salariés
Fabrication d'autres produits alimentaires n.c.a.
NUTRIBIO
DOULLENS (80)
200 à 249
salariés
Fabrication d'aliments homogénéisés et diététiques
ROQUETTE FRERES
VECQUEMONT (80)
200 à 249
salariés
Fabrication de produits amylacés
TEREOS
BUCY-LE-LONG (02)
200 à 249
salariés
Fabrication de sucre
GROUPE BIGARD
FLIXECOURT (80)
200 à 249
salariés
Transformation et conservation de la viande de
boucherie
SOCIETE LAITIERE DE CLERMONT
CLERMONT (60)
200 à 249
salariés
Fabrication de lait liquide et de produits frais
LES FROMAGERS DE THIERACHE
NOUVION-ENTHIERACHE (02)
200 à 249
salariés
Fabrication de fromage
Source : INSEE SIRENE 2011
Perspectives
Compétitivité, adaptation, innovation, les trois défis de demain
Le secteur agroalimentaire doit intégrer des contraintes telles que la hausse du prix des
produits agricoles, les exigences en matière de qualité et de traçabilité, les enjeux
environnementaux… Même si des segments restent porteurs (bio, labels, produits à allégation
santé), la saturation des marchés européens réduit encore les marges de croissance. Face à la
concurrence des pays tiers, la compétitivité des entreprises dépendra de leur capacité à se
différencier de leurs concurrentes, donc à innover.
Dans un contexte concurrentiel exacerbé, les restructurations et fusions sont légion : on assiste à des
rachats de sociétés, à des regroupements d’unités de production (Materna, qui regroupe dans sa
nouvelle usine de Montigny-Lengrain, dans l'Aisne, l’ensemble de la production de petits pots et
assiettes Babynov répartie sur les sites de Meux, Courmelles et Nogent-le-Rotrou) ou à une stratégie
de diversification géographique (Bonduelle construit ainsi des usines de fabrication de petits pois et
maïs au Brésil et en Ukraine alors que Danone investit massivement en Russie).
Pour conserver des parts de marché face à l’augmentation du nombre de pays concurrents,
l’agroalimentaire français doit savoir répondre à une demande mondiale beaucoup plus diversifiée, par
une meilleure connaissance des goûts, des cultures et de l’évolution de la consommation dans les
pays étrangers, tout en valorisant les atouts propres à sa gastronomie. Danone, par exemple, a lancé
un yaourt à quelques centimes d’euros, avec un succès immédiat auprès des enfants pauvres
d’Indonésie. Les pays émergents (Afrique, Asie, Amérique latine…) représentent désormais la moitié
de l’activité du groupe.
La flambée persistante du prix des matières premières agricoles a contribué à fragiliser le secteur. Par
ailleurs, les entreprises agroalimentaires doivent respecter de nouvelles règlementations européennes
plus strictes en matière de protection du consommateur (étiquetage carbone obligatoire pour le 1 er
juillet 2011, traçabilité du produit, informations nutritionnelles, allergènes…).
Pour être compétitives, les entreprises doivent s’adapter à l’évolution des modes de consommation
alimentaire. Les plats préparés, les surgelés, connaissent un développement constant. Sont
également très prisées les innovations relatives aux conditions d'utilisation des produits, aux goûts
nouveaux, au profil nutritionnel des aliments, aux informations portant sur la santé ou la protection de
l’environnement. … Enfin, le secteur innove en permanence de nouveaux modes de production. Les
défis à relever concernent aussi bien la prise en compte du développement durable tout au long du
processus de fabrication (prévention des pollutions, économie d’énergie, recyclage des déchets…)
que la sécurité sanitaire et la qualité des aliments produits, jusqu’à la contribution à l’équilibre
alimentaire mondial… Des enjeux importants sont liés à la chimie du végétal (production d’énergie
renouvelable…), domaine dans lequel les industries agroalimentaires sont déjà en pointe.
Débouchés
Des professionnels de mieux en mieux formés et qualifiés
Avec les normes qualité qui visent à renforcer la sécurité alimentaire, l’utilisation croissante
des nouvelles technologies et les exigences de la grande distribution, le secteur alimentaire a
besoin de professionnels de mieux en mieux formés et qualifiés.
Le recrutement à partir du niveau Bac se généralise. De façon générale, le niveau de qualification
demandé s’élève, même pour les emplois saisonniers. Les postes deviennent plus techniques et
polyvalents (besoin de connaissances à plusieurs niveaux : maintenance, électricité…). Les emplois à
dominante “process” (conduite de lignes...) augmentent par rapport aux emplois directement liés aux
produits. Il devient également indispensable pour le salarié d’avoir des connaissances liées aux
règlementations d’hygiène alimentaire.
Par ailleurs, les professions souffrent d’un déficit d’image. Les entreprises pourraient même rencontrer
des difficultés de recrutement pour certains métiers, notamment pour les postes d’encadrement.
Conscients de ces difficultés, les acteurs du secteur ont signé, en mai 2011, une charte nationale en
faveur de la formation et pour l'amélioration des conditions de travail. Plus d’un tiers des salariés du
secteur agroalimentaire est âgé de plus de 45 ans. Une partie des départs en retraite devrait être
compensée par des suppressions de postes (surtout ceux non qualifiés). Les emplois qualifiés
devraient continuer à progresser.
Le secteur agroalimentaire offre des opportunités d’emplois dans la fabrication, le conditionnement,
les fonctions technico-commerciales et dans les services connexes (logistique, qualité, achats,
maintenance). A noter cependant une part non négligeable d’emplois saisonniers, à temps partiel et
de contrats à durée déterminée… Parallèlement, le recours à l’intérim s’intensifie, en particulier dans
les secteurs où la croissance de l’activité est forte.
La fonction offrant le plus de débouchés est la production. Les entreprises ont particulièrement besoin
d’opérateurs de fabrication de produits ou de conducteurs de ligne de production (du CAP au Bac
Pro). Certaines fonctions sont transversales à la plupart des entreprises (gestion, commercialisation,
maintenance…). Pour les diplômés du supérieur, les PME donnent l’avantage aux diplômes
directement opérationnels (BTS, BTSA, DUT, licence pro) tandis que les grands groupes misent sur
les bac+5 (diplôme d’ingénieur, master) pour couvrir leurs besoins dans les domaines de la recherche
et du développement (R&D), de la qualité et de la sécurité alimentaire.
A noter que l’IFRIA (institut de formation des industries alimentaires) en Picardie, met en place des
formations spécifiques au secteur, principalement par la voie de l'apprentissage.
Formations
Formation initiale :
Vous êtes collégien, lycéen, étudiant... vous cherchez une formation, un diplôme, un établissement
scolaire.... trouvez toutes ces informations sur Planète métiers Picardie.
Formation continue :
Vous êtes salarié, demandeur d’emploi, travailleur indépendant… La formation est un droit dont
toute personne engagée dans la vie active peut bénéficier.
Après avoir fini ses études, il est essentiel de continuer à se former, parce que les métiers évoluent de
plus en plus rapidement. La formation continue est devenue indissociable de la vie professionnelle.
Elle permet de développer ses compétences pour évoluer dans sa profession, pour changer de métier
ou pour faciliter le retour à l’emploi après une période de chômage.
Trouvez sa formation en
Picardie
Les principaux métiers du secteur (Liste non exhaustive)
Agronome - Attaché commercial - Boucher - Boulanger - caviste - Charcutier-traiteur Chargé
d’études marketing - Chef de produit marketing - Chef de cultures légumières - Chef de ventes
Contrôleur de performances - Commercial export - Commerçant en alimentation - Conducteur de ligne
de production alimentaire - Ingénieur recherche et développement en agroalimentaire - Œnologue
Opérateur de fabrication de produits alimentaires - Pâtissier - Qualiticien Responsable assurance
qualité - Responsable d’ordonnancement - Responsable qualité en agroalimentaire - Technicocommercial en agroalimentaire
Source : Planète Métiers Picardie
Liens utiles…
Panorama des Industries Agroalimentaires
Site réalisé par le Ministère de l’agriculture, de l’alimentation, de la pêche, de la ruralité et de
l’aménagement du territoire. Une manne d’informations sur les chiffres clés, enjeux et perspectives
des industries agroalimentaires et des fiches par filière et par région.
Possible de télécharger le dossier de 44 pages : enjeux des industries agroalimentaires
édition 2010 (format pdf)
ANIA - Association Nationale des Industries Alimentaires
L’ANIA est une association loi 1901 qui rassemble 22 fédérations nationales sectorielles et 18
associations régionales, représentatives des entreprises alimentaires de tous secteurs et de toutes
tailles. Son rôle est de défendre et promouvoir les intérêts des industries agroalimentaires françaises.
APECITA - Association pour l’emploi des cadres, ingénieurs et techniciens de l’agriculture et de
l’agroalimentaire
L'APECITA est une association paritaire, agréée par l’ANPE, spécialiste de l'emploi dans l'agriculture,
l'agroalimentaire et l'environnement. Son objectif principal est de favoriser la rencontre des
employeurs et des personnes à la recherche d’un emploi. On trouve sur le site des offres d’emplois et
de stages dans toute la France, des fiches métiers, un moteur de recherche pour les formations.
AGEFAFORIA - Association pour la Gestion du Fonds d'Assurance Formation des salariés des
Industries du secteur Agroalimentaire
Cet organisme finance la formation des salariés du secteur agroalimentaire et informe le public sur les
métiers et les formations de l’agroalimentaire.
www.agefaforia.com
www.metiers-industries-alimentaires.com
Site national des industries alimentaires géré par l’AGEFAFORIA, qui s’articule autour de 5 thèmes :
découvrir le secteur et ses métiers ; s'orienter, se former ; trouver un stage, un emploi ; accès
enseignants ; accès entreprises.
IFRIA Picardie - Institut de formation des industries alimentaires
L’IFRIA a été créé en 1997 par les branches professionnelles de l’industrie alimentaire. Son rôle est
d’informer sur les métiers de l’industrie alimentaire et de mettre en place des formations,
principalement par apprentissage, en collaboration avec des partenaires pédagogiques (CFA,
lycées…).
IFRIA Picardie - 41 avenue Paul Claudel 80480 DURY - 03 22 53 23 19
AGROSPHERES – L’association des entreprises agroalimentaires de Picardie
Agro-Sphères rassemble les acteurs de la filière agroalimentaire picarde : entreprises, centres
techniques et de formation, collectivités locales et organismes économiques. Le site présente les
produits fabriqués dans la région, les actualités de la filière, les événements à ne pas manquer, les
offres d'emplois, la revue de presse ainsi que toutes les opportunités pour faciliter une implantation ou
le développement d'entreprises agroalimentaires en Picardie.
Pôle de compétitivité Industrie et Agro-Ressources
Site du Pôle IAR, qui a vocation à rassembler les acteurs de la recherche, de l’enseignement et de
l’industrie de Champagne-Ardenne et de Picardie autour d’un axe commun : les valorisations non
alimentaires du végétal.