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M 07128 - 21 H - F: 4,20 E - RD
3:HIKRLC=]UYWU]:?k@k@c@b@f;
France 4 euros - Belgique 4,50 euros - Suisse 7 FS
Luxembourg 4,30 euros - Canada 6,25 CAD - DOM 4,50 euros
Nlle-Calédonie 520 XPF - Polynésie 550 XPF - Maroc 40 DH
Portugal (PORT.CONT) 4,60 euros - Ile Maurice 4,60 euros
Sénégal, Côte-d’Ivoire, Gabon, Cameroun 2 800 CFA
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actualité
Edito
Mac, ton Univers impitoyable
omptant au nombre des magazines historiques de la presse
Mac francophone (avec SVM Mac
et même Avosmac qui fait désormais
lui aussi figure d’ancêtre), Univers Mac
se trouve aujourd’hui dans la tourmente.
Après les déboires de la société qui
publie iCreate et la disparition corps et
biens de Mac&Co deuxième formule,
c’est au tour d’Univers Mac de rencontrer des problèmes.
Certes, pour les deux ex-piliers de
la presse Mac, les difficultés ne sont
pas nouvelles. Cela fait belle lurette
qu’Apple ne soutient plus la presse qui
lui est pourtant tout entière dédiée (et
n’a jamais apporté le moindre coup de
pouce à Avosmac), mais les autres annonceurs se font aussi de plus en plus
rares.
Quand la rentabilité d’un magazine
n’est fondée que sur les rentrées d’argent générées par la pub, les incertitudes sont forcément plus nombreuses.
c
Le groupe CLG est quasiment le seul
à financer les magazines Mac actuellement, transformant du même coup
certains titres en « Catalogue CLG ». A
5,50 € ou 6 €, merci du cadeau !
Dans ce contexte, la concurrence
d’internet qui rase gratis à tout instant,
a évidemment mis à mal la presse informatique. Encore faut-il accepter de
passer des heures devant un écran à
lire la prose plus ou moins digeste déversée au fil de milliers de pages à trier
soi-même. C’est un choix de vie. Après
avoir été des inconditionnels de cette
tour de Babel, c’est de moins en moins
notre option et nous ne perdons pas
espoir qu’il en soit ainsi pour d’autres
internautes. Le papier offre un confort
de lecture sans égal.
Univers Mac va-t-il survivre à ce
nouvel avatar ? Sans doute, tant ses
vicissitudes ont été nombreuses depuis sa naissance. Né Univers Mac
chez Pressimage, rebaptisé Univers
Macworld puis Macwolrd tout court
chez IXO Publishing pour revenir à
Univers Mac avec le Groupe Test, le
mensuel a troqué il y a quelques mois
son supplément CD en dur par un CD à
télécharger. Il fallait oser !
Celui qui ose à présent racheter le
Groupe Test et donc Univers Mac (entre autres titres) c’est NextRadioTV,
maison mère de RMC, BFM et BFMTV.
80 millions d’euros ont été mis sur la
table pour cet achat.
« Grâce à cette acquisition, NextRadioTV devient un acteur majeur de
la publicité sur Internet et le premier
La puce à 4,7 Ghz arrive, mais pas sur Mac
On a failli oublier que le PowerPC, la puce qui équipait les Mac, n’est pas tout à
fait morte après son abandon par Apple. IBM qui développait le Power5 une variante
survitaminée et cousine lointaine des PowerPC destinés à équiper les grosses stations
Linux ou Windows NT (celles de Bull notamment) a poursuivi ses travaux. Le Power6
vient d’être présenté et ses performances s’annoncent d’ores et déjà décoiffantes.
Annoncé comme le processeur le plus rapide du monde, le Power6 pulse à 4,7 Ghz en
64 bits et renferme deux cœurs. Pour mémoire le PowerPC des Mac était un dérivé
du Power4.
Nous écrire : Magazine Avosmac - La Favrière
79250 Nueil-les-Aubiers - FRANCE
Répondeur : 05 49 80 58 76
Fax : 02 41 43 98 85
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Xavier Maudet.
Responsables de la rédaction :
Florent Chartier
et Xavier Maudet.
Conception graphique :
Florent Chartier.
Assistante administrative :
Martine Humeau.
3e trimestre 2007 - hors série n° 21 - page Contributions extérieures : J.-Y. Auger, JeanBaptiste Leheup, P.-M. Leheup, Alain Saunier,
Michel et Dany Bonin, Paul Heroin, Didier Gross,
Alex Thomas, RayXambeR., Abel Hanger, Lionel
(MacBruSoft), Francis Querson, Philippe R., .
Les articles non signés sont de X. Maudet.
Photos : Kaluzko.
Illustrations : Raffi.
opérateur de la presse nouvelles technologies », indique le communiqué de
l’acquéreur. Ce rachat entraîne le licenciement de 160 des 400 salariés du
groupe.
Florian Innocente, salarié d’Univers
Mac, indique qu’Univers Mac (ainsi que
Micro Photo Vidéo) sera ensuite revendu à un autre investisseur.
« Le projet qu’il a développé pour
Univers Mac est intéressant en cela
qu’il considère – en tant que fan de
Mac lui-même - que le monde Apple
a son univers, ses codes, une personnalité propre et qu’on ne fait pas un
magazine Mac – autant dans la forme
que dans le fond - comme on fait un
magazine PC », explique Florian Innocente.
En attendant cette nouvelle formule, à qui le tour ? IDG France (Le
Monde Informatique, Digital World,
etc.) est également en vente tout comme le serait Volnay Publications France
(SVM, SVM Mac, PC Expert, PC Direct).
IDG Communication France a enregistré l’an dernier 2,3 millions d’euros de
pertes, en raison de la baisse des investissements publicitaires constatée
depuis 2001 dans la presse informatique et télécoms. Chez VNU, un plan
social concernant 40 suppressions de
postes sur 120 est envisagé.
>CrossOver Mac 6.1
CodeWeavers vient de sortir CrossOver Mac 6.1 et CrossOver Linux 6.1. CrossOver permet aux utilisateurs sous Mac et
Linux de faire tourner des logiciels Windows sans avoir recours à l’environnement
de Microsoft. Cette nouvelle version améliore considérablement les performances
3D des jeux ainsi que la prise en charge
de nouveaux jeux et le support de Outlook. CrossOver Mac 6.1 vaut 60 dollars et
nécessite un Mac sous Intel. Alx.
Impression : Aubin Imprimeur
Chemin des Deux-Croix - BP 02
86240 LIGUGÉ - FRANCE
Distribution France et export : NMPP.
N° ISSN : 1768-0107
N° de commission paritaire :
1006 K 79285.
Dépôt légal : juin 2007.
Toutes les marques citées dans ce numéro
sont des marques déposées.
Le magazine « Avosmac » est édité
par la SARL Avosmac
La Favrière
79250 Nueil-les-Aubiers - FRANCE
RCS Bressuire B 434 701 066.
Gérants : Xavier Maudet et Florent Chartier
actualité
Portables
Nouveaux MacBooks
ROIS nouveaux MacBook
sont arrivés sur l’Apple Store
en mai et la déception s’est
emparée de nombreuses
personnes qui n’hésitent pas à qualifier cette mise à jour de ridicule.
Ces MacBook possèdent toujours
un Core 2 Duo un peu plus puissant que le précédent, la mémoire
est à 1Go et les disques durs qui
équipent chaque modèle ont une
plus grande capacité. De plus, ils
disposent tous du wireless 802.11n
intégré et une très légère baisse de
prix. Peut-être que les processeurs
Santa Rosa ainsi que les écrans
LED feront leur apparition lors de
la prochaine révision des MacBook
Pro.
Alx.
t
www.avosmac.com
(rubrique Boutique puis Achat Produits Apple)
• MacBook 2 GHz bus 667
Mhz, 1 Go de RAM, 80Go,
combo. 1 049 €
• MacBook 2,16 GHz bus
667 Mhz, 1 Go de RAM,
120Go, superdrive. 1 249 €
DRM en voie de disparition
L y a quelques mois, cédant aux
pressions des grands éditeurs de
musique mais aussi des sociétés
commercialisant de la musique en
ligne, les députés avaient accouché dans
la douleur d’une loi répondant au nom imprononçable de «loi Dadvsi».
Cette loi en vigueur désormais, interdit, entre autres activités prohibées, de
contourner les systèmes de protection des
fichiers musicaux sous quelque prétexte
que ce soit.
Ces « DRM » ont pour but de réduire
la diffusion de ces fichiers sous forme de
MP3. Peine perdue, la loi Dadvsi va devenir très vite obsolète au rythme où vont
les choses. Car les DRM sont en passe de
disparaître !
La loi Dadvsi interdira donc de contour-
i
• MacBook 2,16 GHz Noir
bus 667 Mhz, 1 Go de RAM,
160Go, superdrive. 1 449 €
Le Mac dessoudé
ner des verrous qui n’existeront plus.
On rigole. Récemment, Apple et Emi ont
passé un accord pour vendre, plus cher,
des morceaux sur l’iTunes Store dépourvus des fameux verrous. De toute façon,
la gravure d’un CD audio les faisait déjà
sauter.
Mieux, le site Amazon vient d’annoncer
son intention d’ouvrir à son tour son magasin de musique en ligne en proposant
des millions de titres sans DRM et compatibles avec tous les baladeurs (contrairement à l’usage qui a cours sur l’iTunes
Store compatible avec iPod uniquement,
sauf pour les titres sans DRM). Moralité,
à force de céder aux pressions des uns et
des autres, nos députés passent vraiment
pour des couillons.
U Danemark, une association
de consommateurs vient de
tomber sur le râble d’Apple en
dénonçant le manque de fiabilité des
iBook G4 (les iBook G3 avaient aussi
été victimes de problèmes). Selon le
document publié, des problèmes de
fixation d’un régulateur de tension
entraîneraient des dommages et une
panne définitive que la garantie ne
couvrirait pas. Ce défaut concernerait
les iBook G4 800 MHz et 1 GHz.
a
www.forbrug.dk/fileadmin/Filer/PDF/
ENGF959-orig.pdf
http://phx.corporate-ir.net/phoenix.zhtml?c=176060&p=irol-newsArticle&ID=1003003&highlight=
Convention Avosmac
Voici les conventions propres à Avosmac utilisées dans certains articles.
Nous vous demandons d’apprendre tout cela par cœur pour vous prémunir
d’une interro surprise.
• : ne pas prendre en compte le gros point et le remplacer par une espace
(barre d’espace).
<commentaire> : les indications placées entre <…> sont de simples
commentaires destinés à l’utilisateur. Ils ne sont pas à intégrer au code,
pas plus que les signes < et >.
La maison ou la petite maison : c’est le répertoire «home», celui qui
est créé lorsque vous passez par Compte dans le tableau des Préférences
système. Il contient tous les éléments d’un même utilisateur. Cette maison
(et son contenu) est ce que vous avez de plus précieux au monde. Nous
vous suggérons de placer votre maison dans le Dock pour y avoir accès
plus vite.
Le tilde ~ s’obtient en combinant les touches Alt-N puis espace
(Alt-ç sur
clavier QWERTY)
L’anti slash \ s’obtient en combinant les touches
Alt-Maj-/ (Maj-/ sur clavier QWERTY)
Le pipe | s’obtient en combinant les touches Alt-Maj-L
(Alt-/ sur clavier QWERTY)
Pomme : il s’agit des deux touches frappées d’une pomme de part
et d’autre de la barre d’espace du clavier
Alt : ou touche Options existe aussi de part et d’autre du clavier
Maj : ou touche Shift sur les PC, il s’agit de la touche avec laquelle on
obtient des lettres majuscules. Elle présente une flèche pointant vers le
haut (à gauche du clavier)
Répertoire = Dossier
3e trimestre 2007 - hors série n° 21 - page actualité
Brèves d’actus…
>Meteorologist 1.4.5
>Mac OS X 10.4.10
en chantier
Finalement Mac OS X 10.4.9 ne sera
pas la dernière version du Tigre. AppleInsider rapportait que les pré-versions de Mac
OS X 10.4.10 circulaient dans les locaux de
Cupertino et, finalement, elles sont arrivées
chez les développeurs de l’ADC. Ces builds
ont pour nom 8R2205 pour Intel et 8R205
pour PowerPC.
Cette mise à jour fixe des problèmes
liés à mds, network home directories ainsi
que le kernel BSD. Pour la version PowerPC, elle corrige également un problème
avec JavaScriptCore. Cependant, aucune
date n’est précisée sur la sortie de Mac OS
X 10.4.10.
La dernière mise à jour (10.4.9) remonte au mois de mars.
Alx.
>Adieu FreeHand
Nous allons observer une minute de
silence à la mémoire de FreeHand qui
vient d’être définitivement abandonné par
Adobe.
Sur son blog, la compagnie demande
aux utilisateurs de ce logiciel de s’orienter,
et donc d’acheter, Adobe Illustrator CS3.
La dernière révision de FreeHand remonte
à 4 ans, du temps où Macromedia en était
encore propriétaire.
Il n’y aura plus aucune mise à jour,
aucun patch, mais Adobe continuera de le
vendre et offrira toujours un support clientèle et technique. Adobe fournit aussi un
guide pour effectuer la transition de FreeHand vers Illustrator.
Alx.
>Un retard pour avoir
de l’avance
Il y a un mois, Apple annonçait que
Leopard n’arriverait que pour le mois d’octobre. Les raisons invoquées étaient le
débauchage des ingénieurs de Mac OS X
pour travailler sur l’iPhone.
Cependant, SeekingAlpha a une toute
autre théorie.
Apple aurait retardé la sortie du Leopard pour permettre aux développeurs de
se familiariser avec ce nouveau système et
de prendre de l’avance sur le portage de
leurs applications ou bien d’en développer
de nouvelles.
Il est vrai que le développement sous
Leopard sera bien différent que celui sous
Tiger, surtout avec Core Animation qui
conduira, peut-être, vers une nouvelle interface comme le prouve Time Machine.
Alx.
Meteorologist est une excellente application en open source qui permet d’afficher le temps de sa région dans la barre
des menus. Sauf qu’il n’y a eu aucune révision depuis presque deux ans. Cependant,
on apprend par le site Sourceforge qu’un
volontaire, Marcus Brenneman, a repris le
projet en main et c’est plutôt une bonne
nouvelle. Ainsi cette version de Meteorologist 1.4.5, qui n’est pour l’instant pas
officielle, résout de nombreux problèmes.
Le plus important, c’est qu’elle est désormais en universelle. Certes, il reste encore
quelques bugs, mais il est agréable de voir
renaître cette application.
Alx.
www.cs.ttu.edu/~brennema/
Meteorologist%201.4.5.dmg
http://heat-meteo.sourceforge.net/
http://sourceforge.net/forum/
forum.php?forum_id=268087
>Convertir les documents
Office en Open XML
Microsoft a changé le format de sa suite
bureautique Office 2007 pour Windows en
Open XML, rendant impossible à ouvrir ce
type de document sous Mac OS X. Heureusement, la Macintosh
Business Unit a travaillé
sur un programme en
bêta qui comble cette
lacune en convertissant
les fichiers .docx en .rtf.
Cette application se
nomme « Microsoft Open Office XML File
Format Converter for Mac ». Il aurait été
plus joli de rajouter à la fin « 2007 Basic
Home Edition ».
Alx.
www.microsoft.com/mac/downloads.aspx?
pid=download&location=/mac/download/
Office2004/ConverterBeta.xml&secid=
4&ssid=34&flgnosysreq=True
>Les hauts et les bas d’Apple
Tous les employés de chez Apple ont
reçu un mémo leur annonçant qu’il y aurait
un nouveau retard pour Leopard et l’iPhone. Leopard serait alors prévu pour le mois
3e trimestre 2007 - hors série n° 21 - page de janvier et l’iPhone pour le mois d’octobre. Une personne de la compagnie a alors
décidé de transmettre ce message au site
Engadget qui s’est empressé de le publier.
Cette annonce a eu l’effet d’une bombe
puisque, en juste 6 minutes, Apple avait
perdu 4 milliards de son capital boursier.
Apple a alors immédiatement réagi en démentant formellement cette information et
confirmant que l’iPhone sera bien présenté
en juin et Leopard en octobre. Engadget
avait rectifié cette information sur son site
mais continue d’affirmer que cet email
provenait bien d’une personne interne de
chez Apple. Apple avait alors, à la clôture
de la bourse, récupéré presque la totalité
de son capital perdu. Depuis, la compagnie continue de pulvériser jour après jour
de nouveaux records pour l’AAPL.
Apple a déjà lancé des rumeurs juste
pour démasquer les infidèles de sa compagnie. Alors est-ce une nouvelle ruse de
Steve Jobs qui pourrait très bien être derrière ce faux mémo ? Ou bien quelqu’un
a-t-il réussi à s’infiltrer dans leur système
pour créer la panique ?
Alx.
>Canvas s’en va
ACD Systems, l’éditeur de Canvas, logiciel de dessin assisté par ordinateur (DAO),
de retouche d’image et de Publication assistée par ordinateur (PAO) a annoncé qu’il
cessait le développement de son application pour la plate-forme Mac. La nouvelle
version qui sera disponible cet automne
ne tournera sur Mac que par l’entremise
du système Windows que la plate-forme
Apple supporte désormais. Les professionnels vont devoir se tourner vers la seule
solution crédible aujourd’hui en matière de
DAO : Illustrator d’Adobe. Et pour les courageux, le logiciel libre Inkscape devrait
contribuer aussi à remplir le vide laissé par
l’absence de Canvas.
www.acdamerica.com/
>Un ver dans l’OOo
Un ver (worm) ciblant tout particulièrement OpenOffice.org vient d’être découvert par Sophos. Il s’agit d’une macro qui
se charge d’installer différents scripts malicieux dans le système lorsque l’utilisateur
ouvre un fichier nommé badbunny.odg, à
l’aide d’OpenOffice Draw. De plus, certains
scripts se chargeront de télécharger et
d’afficher des images que l’on va qualifier
d’indécentes. Pour être plus précis, il s’agit
d’un homme habillé avec un costume de
lapin et d’une femme légèrement vêtue se
trouvant dans les bois... Le plus important
est que ce vers infecte toutes les platesformes, c’est à dire Mac, Linux et Windows
avec un comportement différent pour chacun des systèmes.
Alx.
actualité
Starcraft II
Zergs, Protoss, Humans… le combat va reprendre
Les scènes s’annoncent plus dynamiques.
s
I les jeux ne sont pas le premier argument de vente d’un Mac,
loin s’en faut, l’annonce récente de la sortie d’un second volet
de la campagne galactique Starcraft nous transporte de joie. A
la rédaction d’Avosmac, nous avons passé des heures et des
heures à écumer l’espace pour éradiquer les affreux Zergs et lutter jusqu’à épuisement pour percer la carapace des Protoss.
Dans la peau des Terrans, nous croyions les avoir vaincus à jamais.
Les voici qui reviennent. L’attente aura été longue, très longue. Et il
va falloir encore patienter car la sortie du bijou n’est pas prévue pour
demain. Blizzard peaufine son œuvre avant de la lancer sur le marché
à la fois pour PC et Mac.
Les premières vidéos de démonstration montrent que le concept
du jeu est resté le même, que l’environnement dans lequel se déroule
l’action du jeu n’a pas changé et que les décors sont de toute beauté.
Ce jeux de simulation en temps réel a d’ailleurs fait appel à un logiciel
open-source d’imagerie médicale développé en Suisse : Osirix. Le résultat est stupéfiant de finesse et de précision. Du grand art.
Starcraft est développé autour d’un nouveau moteur 3D.
Le jeu sera proposé en mode solo, multijoueurs et réseau.
Les impatients peuvent embarquer à bord de leur vaisseau pour un
petit tour de découverte du jeu grâce à plusieurs vidéos de démonstration disponibles depuis le site des développeurs.
http://eu.starcraft2.com/
Pas d’iGasm pour Apple
pple menace d’attaquer en justice
la chaîne de magasins pour adultes
Ann Summers si celle-ci n’enlève pas
les affiches vantant les mérites de
l’iGasm. L’iGasm est un vibromasseur qui s’attache à l’iPod et vaut 60 dollars.
Ce gadget ne dérange nullement Apple
mais ce qui rend la compagnie furieuse est
l’utilisation de l’affiche publicitaire qui est très
voire trop proche des silhouettes que l’on
peut voir dans sa campagne iPod+iTunes.
Quant au slogan de l’iGasm, il est légèrement
explicite.
Alx.
a
Les décors sont retravaillés et superbes.
Protoss, Zergs, Humans reviennent sur Mac.
Wikipedia sur DVD
En main votre numéro 74. Je lis page 4 au milieu,
« Wikipedia est à vendre ». Le contenu tient dans un
DVD à 13,99 dollars disponible, sans plus de précision.
J’ai sans doute mal cherché mais je ne sais pas à quelle
adresse taper. Vous la connaissez sûrement. Je pourrais
l’avoir ? S. B.
Avosmac : Effectivement, c’est un oubli de notre
part. Vous trouverez une version française sans image
et non officielle ici : www.moulinwiki.org/l/fr/
La version anglaise, seule disponible à l’heure où
nous écrivons ces lignes, se trouve là :
www.wikipediaondvd.com/site.php. Notez que
ces CD sont aussi téléchargeables gratuitement.
3e trimestre 2007 - hors série n° 21 - page é
MATERIEL
é
Gamme Apple
Choisir un Mac
l’heure de choisir un ordinateur, on s’interroge
le plus souvent entre le système Windows, monopole planétaire de Microsoft, et Mac OS X. Et
donc, on hésite entre un PC et un Mac. La montée en puissance des solutions dites «libres», grâce notamment au succès des applications gratuites telles que
le navigateur internet Firefox, le client de messagerie
Thunderbird, l’outil de retouche d’image The Gimp ou
encore les solutions comme Apache, MySQL, PHP, etc
peuvent aussi faire pencher la balance vers Linux.
Choisir un Mac ne conduit plus à se fermer des portes, mais au contraire, à en ouvrir.
a
Aujourd’hui équipé de la même motorisation que les
PC, à savoir un processeur Intel, un Mac est non seulement capable de faire fonctionner de base le système
d’exploitation d’Apple, Mac OS X mais aussi et sans artifice, Windows XP ou Vista ainsi que certaines distributions Linux.
A contrario, un PC ne sait pas faire tourner Mac OS X.
Et puis Mac OS X, c’est la garantie d’une utilisation sans
aucun virus !
La question du système d’exploitation ne se pose
donc plus à l’heure de choisir entre Mac et PC puisque
chaque Mac peut utiliser n’importe quel système d’exploitation sans contrainte particulière, sans ralentissement. Dès lors, pourquoi choisir un Mac plutôt qu’un
PC ? Certainement pas pour jouer. De coutume, le Mac
est sous équipé en carte graphique. Et la logithèque des
jeux pour Mac est extrêmement réduite même si les
jeux peuvent être plus facilement portés sur Mac depuis
qu’ils sont équipés de puces Intel.
Esthétiquement, les Mac surpassent toujours la plupart des modèles PC proposés. Le Mac est un modèle
d’intégration. Il n’est que d’admirer le travail réalisé par
les ingénieurs d’Apple pour un iMac ou un Mac mini pour
se convaincre de tout le soin que l’entreprise apporte
à ses machines. Certes, ces derniers temps, quelques
modèles de sa gamme ne sont pas exempts de défauts,
notamment les portables.
Une des critiques récurrentes est le prix. Autrefois, la
différence de tarif était bien réelle et tout à fait conséquente. Mais il y a longtemps et ce temps est révolu.
Avec une grille tarifaire qui démarre à seulement 619
euros (Mac mini sans écran) pour dépasser les 6000 €
avec le Mac Pro équipé de 2 microprocesseurs multicoeurs Intel Xeon à 3 Ghz, Apple propose une gamme
aussi complète que susceptible de satisfaire tous les
besoins. La différence n’est plus si évidente que ça à
configuration identique, un détail que l’on oublie trop
souvent d’étudier avec soin.
Voici, de notre point de vue, les principaux avantages
et inconvénients des ordinateurs proposés par Apple.
Pour connaître plus en détail la gamme des Mac, visitez le site
www.avosmac.com (rubrique Boutique)
• Mac mini
Vilain petit canard aux yeux d’Apple car cannibalisant le marché de l’Apple TV, le Mac mini est sorti en janvier 2005 et a évolué
tout doucement depuis. Ce n’est pas le Mac le plus puissant, loin
s’en faut, mais il regroupe tout de même nombre d’avantages.
A 619 € TTC en prix d’attaque (voire moins sur le Refurb
accessible depuis la Boutique Avosmac), le Mac mini n’est pas
un sous-Mac. Si vous possédez déjà un écran hérité d’une vieille
configuration PC, voire d’un clavier, si vos exigences se limitent à
internet, à la bureautique, à la musique, en clair, si vous n’avez
pas le souhait de faire de gros montages vidéo ou de la mise en
page sous InDesign d’Adobe, le Mac mini est un excellent choix.
Certes, son disque de 60 Go est un peu léger et le tarif grimpera vite à 1000 € si vous poussez de 512 Mo à 1 Go la mémoire
vive, si vous ajoutez un clavier et un écran (surtout pas Apple
eu égard au prix). Dans ce cas, il est de bon goût d’explorer la
gamme au dessus, celle des iMac, au look plutôt classe.
3e trimestre 2007 - hors série n° 21 - page • Conclusion : on choisit le Mac mini pour
le petit encombrement, pour la maison ou
l’entreprise (activités bureautiques classiques), pour le prix si l’on possède déjà un
écran et un clavier.
• Attention : la dernière évolution de la
machine date de presque un an ! Il est urgent d’attendre la sortie des nouveautés
avant de casser sa tirelire.
• iMac
L’iMac est un modèle
d’intégration et d’esthétique. Conçu pour tous les
usages, y compris la vidéo
familiale, il montrera ses
limites pour des travaux
professionnels sous FinalCut Pro (vidéo) ou InDesign
d’Adobe (mise en page). Le
modèle d’entrée de gamme
à 1000 € ne souffre que du
défaut de ne pas avoir assez
de mémoire vive.
Et il vous faudra vous
contenter d’un graveur de
CD, le graveur de DVD étant
réservé à la gamme au dessus à 1200 €. Laquelle des
quatre machines proposées
est le meilleur compromis ?
Nous estimons qu’un écran
20 pouces est le minimum
requis, qu’il faut disposer
d’1 Go de mémoire vive
et d’un lecteur/graveur de
DVD. La capacité du disque
• Conclusion : on choisit l’iMac pour la beauté
de la bête, pour ses performances à la maison
comme au bureau (bureautique, petite vidéo,
musique, etc), pour son
meilleur rapport prix/
équipement.
dur nous paraît secondaire dans la mesure où il
est toujours possible d’ajouter ultérieurement un
équipement externe. Au final, l’iMac à 1 200 €
équipé d’un processeur cadencé à 2,O GHz, un
disque dur de 160 Go et 1 Go de mémoire vive
(plus : Bluetooth, Airport, etc) nous semble le
meilleur compromis.
• Attention : la dernière
évolution de la machine
date de presque un an !
Il est urgent d’attendre
avant de franchir le pas
la sortie des nouveautés.
L’iMac 17 pouces pourrait disparaître lors de la
présentation de la nouvelle gamme, attendue
fin juin.
• Mac Pro
Cet appareil s’adresse clairement aux professionnels qui ont besoin de puissance pour faire tourner des
applications usines à gaz comme Quark XPress, Adobe
InDesign, Aperture, FinalCut Pro, etc. Cher, puissant, le
Mac Pro présente un avantage indéniable sur les autres
ordinateurs Apple : il peut évoluer.
Le processeur peut être changé pour un plus puissant, il est susceptible de recevoir de nouveaux périphériques (disques durs, graveurs, lecteur DVD, etc) dans 4
baies prévues à cet effet et peut recevoir 3 cartes supplémentaires (PCI Express) pour accroître ses fonctions.
Deux moniteurs peuvent être connectés afin d’augmenter la taille de la zone de travail.
• Conclusion : on choisit le Mac Pro pour sa puissance
et ses capacités d’évolution, parce qu’on dispose aussi
d’un solide budget.
MATERIEL
Et pourquoi pas un portable ?
l
ES portables Apple se vendent comme des petits pains.
Pourquoi ? Leur look y est pour beaucoup. Comme l’iPod,
un portable Apple fait plus classe que tout autre engin
estampillé d’une marque exotique. Les portables Apple
sont aussi ceux qui, en gamme de prix à configurations identiques sont les plus proches de la concurrence. Quant aux performances, elles sont aussi calquées sur celles des PC portables
puisque les microprocesseurs utilisés sont les mêmes. Sachant
qu’un portable Mac est capable de faire tourner Mac OS X ,
mais aussi Linux et surtout Windows, voire deux systèmes sur la
même machine, les acheteurs auraient tort de se priver.
Le portable présente évidemment de très gros avantages
en termes de mobilité et de systèmes de communication (Bluetooth, Airport, etc) installés par défaut.
Mais il n’est pas exempt de reproches.
Et les défauts des portables, de tous les portables quelle
que soit leur marque, nous font préférer des «transportables»
comme le Mac mini.
Le premier et principal écueil, c’est la batterie. Quand elle ne
brûle pas spontanément, quand elle ne gonfle pas jusqu’à faire
exploser la carrosserie de l’ordinateur, lorsqu’elle ne chauffe pas
au point d’empêcher qu’on puisse tenir l’ordinateur sur les genoux, un portable perd trop souvent et trop vite ses capacités de
recharge. Il faut alors acheter une nouvelle batterie qui, astuce
commerciale oblige, soit ne se fait plus, soit est d’un modèle si
rare que le tarif est exorbitant.
Nous avons aussi rencontré des problèmes inadmissibles
avec le système de recharge : connecteur cassé au bout de multiples usages, fils coupés, etc. Ce risque est limité aujourd’hui
grâce à des connecteurs aimantés !
A 13 pouces, les écrans des portables les moins chers sont
trop petits pour travailler confortablement. Et de nombreux utilisateurs ont protesté contre les défauts des dalles LCD équipant
les MacBook et MacBook Pro qui n’affichent pas des millions de
couleurs comme l’affirme Apple mais seulement 262144.
Quant au clavier, nous ne sommes décidément pas adaptés
à sa taille et surtout pas à la sensation que procurent les touches dont la course est trop réduite.
Enfin, à budget égal, les ordinateurs de bureau sont toujours
plus performants que les portables.
Mais ces réflexions ne concernent sans doute qu’une minorité de personnes au regard de l’engouement des clients pour ces
machines. Apple propose deux gammes de portables, la version
Pro et une version plus sage.
Pour connaître plus en détail la gamme des Mac, visitez le site
www.avosmac.com (rubrique Boutique)
• Mac Book
Digne héritier de l’iBook (lancé avec le fameux design
palourde), le MacBook est un portable passe-partout dont la
coque de plastique n’est pas toujours d’une solidité ni d’une
fiabilité à toute épreuve. Le prix d’attaque est de 1050 €, à
comparer à l’iMac de notre sélection.
Equipé d’un honnête microprocesseur de 2,0 Ghz, le premier modèle suffira amplement à remplir le même office que
l’iMac à 1000 ou 1200 €. Pour graver les DVD, il faudra viser
le modèle de la gamme au dessus, doté d’un microprocesseur
plus performant et d’un disque dur plus généreux.
Par contre Apple poursuit sa politique inadmissible de faire
payer la couleur noire de la carrosserie de l’iBook 200 € de
plus que le modèle blanc. La seule différence, outre le colori,
consiste en un disque dur de 40 Go de plus. Bref, le choix du
noir est une question de goût, de coût et de standing. Aucunement de performances.
3e trimestre 2007 - hors série n° 21 - page • Conclusion : A l’instar de l’iMac,
c’est le modèle à 1250 € qui remporte
nos faveurs, parce qu’équipé du graveur de DVD et d’un disque dur plus
généreux. La gamme vient tout juste
d’être renouvelée (mai 2007). Vous
pouvez donc vous faire plaisir.
• Gros défaut, l’écran n’est proposé
qu’en 13 pouces, c’est bien trop petit !
• Mac BookPro
Proposés à 2000 €, les portables haut
de gamme d’Apple ne sont pas donnés. Ils
sont certes bien dotés et proposent surtout
des écrans qui permettent de travailler correctement : 15 pouces et même 17 pouces. Les prix s’envolent alors pour atteindre
2 800 €.
Attention, avec un seul processeur Intel
Core 2 Duo à 2,33 Ghz au maximum, il ne
faut pas s’attendre à des miracles avec les
applications très gourmandes. Il n’empêche, le MacBook Pro est tout de même sensiblement plus efficace que le MacBook.
• Conclusion : incontestablement plus classe et plus solide que le MacBook, le MacBook Pro est
vraiment plus cher sans être forcément plus décoiffant. Un portable de 17 pouces c’est trop grand.
Nous adoptons, sans grande conviction, un MacBook Pro à 15 pouces.
é
MacBook Pro
Stopper le grésillement du MacBook Pro
Utilisation de Salling Clicker.
Utilisation de la fonction de MacOS X.
eureux possesseurs d’un MacBook
Pro Core Duo grésillant de première
génération, réjouissez-vous!
Non, la solution ultime supprimant à jamais cet insupportable bruit
n’existe a priori pas, mais il y a cependant
des voies pour y mettre fin. Le changement de carte-mère n’ayant rien changé
quant à ce bruit, nous nous sommes finalement rendu compte que la liaison Blue-
h
tooth de l’ordinateur avec un téléphone
cellulaire faisait cesser le bruit. Vous avez
donc plusieurs solutions : vous pouvez
tout simplement utiliser la fonction «Parcourir le contenu d’un appareil» du menu
Bluetooth, ou recourir à un logiciel utilisant cette liaison, comme BluePhoneElite
ou Salling Clicker. Notez cependant que
ces deux logiciels sont payants. Malheureusement le gratuiciel qu’était Romeo
n’est plus compatible avec les Mac Intel.
Certes, la consommation électrique de
l’ordinateur augmente, mais le grésillement ne se faisant entendre réellement
que sur secteur, cela n’a que peu d’importance. Si vous avez peur pour la batterie
de votre cellulaire, il vous suffit alors de
le brancher.
P.-M. Leheup.
MATERIEL
é
Choisir un périphérique pour le Mac
Autour d’un ordinateur, c’est toute une vie qui s’organise. Très vite, vous voudrez posséder
un de ces appareils : une imprimante, un scanner, voire une imprimante-scanner (qui fera office
de photocopieur), un appareil photo numérique, un caméscope, des disques durs de stockage, un
graveur de DVD externe, une webcam, un adaptateur TNT, un clavier MIDI, etc.
Les périphériques sont nombreux et il n’est pas question ici pour nous d’en établir le détail précis tant il faudrait y consacrer un grand nombre de pages. Nous allons toutefois donner quelques
grands principes qui nous semblent devoir être pris en compte avant l’acte d’achat.
• Imprimante : c’est l’outil incontournable même à
l’ère du « tout numérique ». Quelques marques (Canon,
Epson, HP, etc) se partagent le marché des imprimantes
dites « à jet d’encre ». Les machines sont généralement
fort peu coûteuses. Très gros revers de la médaille, l’encre nécessaire pour ces imprimantes est absolument hors
de prix.
On ne choisit une imprimante à jet d’encre que pour
des travaux à la maison, pour effectuer quelques dizaines
d’impressions par jour, et on exclut les travaux nécessitant des aplats de couleur.
Lorsque le volume des tirages augmente, il faut regarder du côté des modèles «laser» (HP, Lexmark, Xerox,
etc), guère plus onéreux à l’achat, généralement plus encombrants et surtout beaucoup moins coûteux en utilisation puisque l’encre a un prix de revient nettement plus
bas. Les imprimantes laser couleur sont tout à fait compétitives et donnent un résultat de qualité professionnelle.
Nous ne sommes pas de chauds partisans des tirages photo à la maison. D’une part le papier est coûteux,
d’autre part, la quantité d’encre nécessaire est importante
à chaque fois, mais surtout, il faut une imprimante parfaitement réglée pour obtenir un résultat convaincant. Les
tirages «par internet» auprès d’un professionnel (Pixmania, Kodak, Photoways, etc) nous semblent la meilleure
option.
• Scanner : tout dépendra du résultat que vous
souhaitez obtenir. Il existe des scanners à plat (HP, Epson, etc) qui ne sont pas très pratiques pour les grandes
quantités de documents mais permettent de scanner des
ouvrages. Leur qualité dépend du prix que vous êtes prêt
à y mettre.
Un autre type de scanner permet de traiter un très
grand nombre de documents en un temps record (Fujitsu, etc). Mais ils ne supportent pas autre chose que le
feuille à feuille. Quant à leur tarif, il est plus élevé que les
scanners à plat.
Des logiciels permettent ensuite de procéder à la reconnaissance des caractères sur un document numérisé
ou reçu par mail. L’image texte sera ainsi transformée
avec plus ou moins de bonheur en texte éditable avec
3e trimestre 2007 - hors série n° 21 - page 10
un traitement de texte. Le logiciel ReadIris s’en acquitte
généralement plutôt bien. Vous pouvez même associer
ses performances à un crayon-scanner Iris.
• Imprimante-scanner : pourquoi ne pas associer
les deux ? Les modèles proposés sont désormais tout à
fait compétitifs. Mais ces machines sont aussi plus encombrantes.
• Tablette graphique : pour dessiner à main levée
dans un logiciel dédié (Inkscape, Illustrator, The Gimp,
etc) avec un stylet de plastique, une tablette graphique
est l’outil rêvé. Il en existe de toutes les tailles à des prix
d’entrée tout à fait raisonnables (lire par ailleurs). La marque incontournable en ce domaine, c’est Wacom.
• Caméscope : (lire page 22)
• Disque dur : si vous êtes un peu bricoleur, vous
pouvez changer le disque dur interne de votre machine
ou bien adopter une solution plus onéreuse mais aussi
bien plus souple en branchant un disque dur externe. Les
ports Firewire et USB 2 ont des performances assez proches.
Ajouter un tel support de stockage externe présente
plusieurs avantages. Vous pouvez stocker des fichiers qui
sont généralement gourmands en place : musiques, images et surtout vidéos. Vous pouvez surtout vous servir
de ce disque dur externe comme un outil nomade. Vous
pouvez ainsi transporter avec vous non seulement vos
données mais même le système d’exploitation complet.
Vous pourrez dès lors redémarrer sur votre environnement depuis un autre Mac. Inutile d’acheter un portable !
Enfin, le disque dur permet de procéder à des sauvegardes de sécurité absolument obligatoires. Il faut penser
à cloner vos données personnelles, si besoin même en
réalisant un système RAID avec au moins deux disques
durs (cf Avosmac n°65 p.7). Les marques sont légion sur
ce créneau. A la rédaction d’Avosmac, nous utilisons une
batterie de disques durs LaCie de très bonne facture et
robustes de surcroît.
Iomega est aussi de la partie ainsi que Maxtor.
• Webcam : pas si simple que ça de trouver une
webcam pour Mac. Apple propose certes son iSight intégrée à la plupart de ses machines. Mais pour de la vidéoconférence ou de la vidéosurveillance, il y a mieux.
Le site Macteriel.com répertorie les nombreux modèles
disponibles pour Mac.
http://macteriel.com/affiche_categorie.php?c
ategorie=Webcams&version=1&affichetous=oui
• Autres périphériques : sur un Mac, vous pouvez brancher un boîtier de transfert d’images vidéo issues
d’un magnétoscope à cassette VHS vers le Mac pour une
gravure ultérieure sur DVD par exemple. Les produits Elgato Eye TV sont faits pour ça. La même entreprise propose des adaptateurs TV TNT. Miglia propose avec Miglia
TV Max un système identique permettant de regarder et
d’enregistrer la télé sur son Mac.
Où trouver la plupart de ces produits ?
Passez par :
www.avosmac.com
(« Boutique » puis « Materiel »
ou « Materiel Apple »)
www.macteriel.com
(tous les produits compatibles Mac)
é
MATERIEL
Apple TV : comment éviter le flop ?
pple propose depuis le 1er juin
l’option disque dur à 160 Go pour
ses Apple TV. Cette disposition
nécessaire qui multiplie par quatre les capacités d’un produit très sous-dimensionné en ce domaine coûte 100 € de
plus au candidat, soit 400 € en tout. C’est
évidemment très cher. Dans le commerce, un disque d’une telle capacité et au
format ad-hoc (disque 2,5” SATA) coûte à
peu près 120 €.
Ceux qui ont acquis un AppleTV avec
un disque interne de seulement 40 Go
peuvent faire évoluer leur machine sans
le support technique d’Apple. C’est MacBidouille qui s’y colle et qui propose sur son
a
MacBidouille opère à cœur ouvert.
site un pas à pas pour ouvrir la machine
et installer un nouveau disque d’une capacité supérieure.
Selon ce site, l’AppleTV serait un véritable flop et des « tas énormes de ma-
chines » s’entasseraient dans les FNAC.
Outre une capacité rehaussée, Apple propose désormais la compatibilité avec le
site YouTube qui devra néanmoins fournir
des vidéos au format H-264, le format
pour être compatible avec l’engin d’Apple.
Du coup, seuls quelques centaines de
clips sont disponibles pour fonctionner
sur l’Apple TV. A terme, toutes les vidéos
du site seront réencodées dans ce format
de compression de haute qualité.
www.macbidouille.com/news/
2007-03-27/#14165
éEye TV Hybrid, TNT et télévision sur le Mac
yetv est le logiciel qui permet
d’enregistrer de découper, de supprimer des séquences mais pas de
monter la vidéo. Il est associé à
des matériels tel que EyeTV Hybrid sous
forme de boitiers ou de clés type USB
Eyetv Hybrid (170 €) réunit le Miniglia
(clé usbTNT) et TVMAX (boitier Tv analogique) en un seul.
La TV analogique devrait disparaitre
dans quelques années au profit de la
TNT. Pour bien recevoir la TNT il faut
être dans une zone de réception et bien
positionné car le signal numérique n’accepte pas les erreurs d’orientation et
l’éloignement, contrairement à la TV analogique qui, si on est mal orienté donnera
quand même une image «neigeuse» donc
l’antenne fournie avec Eyetv est bien si
l’on est près de l’émetteur. Sinon il est
e
La clé doit être bien orientée
pour bien fonctionner.
préférable de relier le boitier ou la clé à
une antenne TNT externe. L’avantage de
l’hybride comme de TVMAX c’est qu’il y a
une entrée analogique ce qui permet de
« digitaliser » au format MPG ses vieilles
cassettes ou ses films «perso» enregistrés par une caméra... ce qui évite l’achat
d’un boitier pour ce travail. C’est plutôt
propre. On accéde par le menu «exportation» à un tas d’autres formats : pour
le web, l’iPod, le DiviX etc... et ça c’est
plutôt très pratique, rapide et donne un
résultat correct (l’original n’étant pas détruit on peut exporter plusieurs fois)
Inconvénient : l’analogique n’a pas
une très bonne qualité d’image et est sujet aux « parasites electriques ». Il existe
une clé EyeTV double antenne et double
tuner à environ de 140 € qui permet sur
un portable de recevoir la TNT, de regarder un programme et d’enregister un
autre.
Brulois (forum Avosmac)
www.elgato.com/
Matériel disponible par le site Avosmac,
rubrique Boutique, Matériel puis saisir Eyetv
dans le champ nom du produit).
Enregistrer EyeTV après la diffusion
fficiellement, EyeTV permet
d’enregistrer le direct, ou de programmer un enregistrement à venir. Mais pas d’enregistrer ce qui a
déjà été diffusé, et que l’on peut pourtant
revoir grâce à la mémoire tampon du logiciel. C’est rageant : on peut revoir et revoir
une scène qui vient de passer en direct,
mais pas l’enregistrer sur son disque dur !
Enfin… C’était sans compter sur A Vos Mac
et la persévérance de ses rédacteurs. Pour
vous, voici la marche à suivre, finalement
pas si compliquée que ça : suivez bien les
étapes !
o
Premièrement : sans quitter EyeTV, localisez le fichier de votre disque dur dans
lequel ce logiciel a mémorisé la vidéo. Il
se trouve dans votre dossier « Départ »
(la petite maison), accessible par le menu
« Aller » du Finder. Dans ce dossier « Départ », vous trouverez un dossier « Documents » qui lui-même contient un dossier
« EyeTV Archive ». Ouvrez-le, et repérez le
document « Live TV Buffer », ce qui pourrait se traduire par « Tampon de télé en
direct ». Pour plus de sécurité, copiez ce
fichier, en le sélectionnant puis en tapant
Pomme-D. Une fois la copie réalisée, faites un clic-droit (ou un ctrl-clic) sur cette
copie, et choisissez le menu « Afficher le
Si EyeTV l’a diffusé, VLC peut le retrouver.
contenu du paquet ». Vous voilà en présence du contenu de cette mémoire tampon et, ô surprise, elle est composée de
fichier .MPG de 200 Mo chacun. Parmi ces
fichiers .MPG, repérez celui qui correspond
au moment de la diffusion de la séquence
qui vous intéresse. Ce n’est pas compliqué
: en présentation par colonnes, le Finder
affiche l’heure de fin d’enregistrement
de chaque séquence, qui correspond à
environ dix minutes de séquence. C’est
bon, vous l’avez trouvé ? Non, ne l’ouvrez
pas, QuickTime est incapable de le lire…
Ouvrez-le plutôt avec le logiciel gratuit
VLC. Vous voilà rassuré : vous pouvez regarder la séquence intéressante sans le
logiciel EyeTV, et sans crainte de la voir
s’effacer.
Vous voulez aller plus loin, par exemple transformer ce .MPG bizarroïde en un
DivX ou un MP4 universel ? Alors continuez sur votre lancée en lisant l’article
« Du MPEG-2 à QuickTime sans payer »
dans ce numéro.
J.-B. L.
Vos vidéos sont bien là.
é
MATERIEL
Eye TV : des astuces à l’œil
l
ES possesseurs de récepteurs TV pour
Mac connaissent bien le logiciel EyeTV,
fourni avec différents tuners USB. Celui-ci
est très abouti et offre de nombreux réglages dont voici un petit aperçu.
Pour zapper vite fait, vous pouvez utiliser le
pavé numérique de votre clavier : tapez simplement le numéro de la chaîne, y compris à deux
chiffres. Vous pouvez même taper la première
lettre du nom de la chaîne (i pour i>télé, a pour
arte...).
Gros avantage de la télévision sur ordinateur : vous pouvez à tout moment mettre la télé
sur pause et reprendre plus tard la lecture. Vous
pouvez même revenir en arrière pour revoir une
scène. Par défaut, la mémoire allouée à EyeTV
pour permettre ce retour en arrière est limitée,
mais vous pouvez l’augmenter dans les Préférences du logiciel, onglet « Enregistrement »,
rubrique « Tampon de TV en direct ».
Vous savez déjà que pour regarder la télé en
plein écran, il suffit de double-cliquer sur l’image. Problème : la télé est diffusée en 4/3, et
votre écran est souvent plus large (c’est notamment le cas des iMac). Résultat : des bordures
En 14/9e, l’image n’est plus déformée.
noires apparaissent à gauche et à droite de l’écran. Vous pouvez choisir d’élargir
l’image (menu « Préférences », puis « Affichage » et choisir « Etendu »), mais le
résultat est déformé. Alors modifiez plutôt la taille de la fenêtre en faisant un clic
droit (ou ctrl-clic) sur l’image, puis sélectionnez « Rapport de fenêtre » et « 14:9 »
qui est le plus proche de la taille d’un écran d’iMac. Ainsi, le haut et le bas de la
fenêtre disparaissent et l’image occupe tout l’écran.
J.-B. L.
é
iSight
Flash et webcam
Configurez
votre iSight
pour Flash.
N est parfois surpris de découvrir à quel point les produits
Apple sont aujourd’hui compatibles avec les plus grands
standards du marché. Par exemple, la webcam intégrée à
votre iMac, la fameuse iSight, est reconnue par le module
Flash de votre navigateur Internet. Ainsi, vous pouvez sans soucis vous connecter à des sites utilisant cette fonctionnalité. Seule
o
condition : effectuer les deux réglages nécessaires dans les fenêtres que ces sites feront apparaître. La caméra se nomme « USB
Video Class Video » et le microphone, « Built-in Microphone ».
C’est aussi simple que cela.
J.-B. L.
é
Ventilation
§ Panther § Mac Intel
§ Tiger
Surveiller la courbe des températures
s
I vous estimez que votre MacBook, MacBook Pro ou
même iBook et PowerBook chauffe trop, vous pouvez
accélérer la cadence des ventilateurs. Andréa Fabrizi a
conçu un outil open-source capable de modifier le pas
du moteur commandant le ventilateur des portables iBook et
PowerBook. Il se déclenche à partir d’une certaine température que vous définissez par une commande de Terminal de ce
type :
L’action
de l’utilitaire
donne
des résultats
visibles sur les
températures.
sudo ./g4fancontrol set 35
où 35 est la température à partir de laquelle les ventilateurs
se déclenchent. Les matériels testé et contrôlés sont :
PowerBook G4 1.5 GHz - Mac OSX 10.4.9
PowerBook G4 1.33 Ghz - Mac OSX 10.3.4
iBook G4 1.2 Ghz - Mac OSX 10.4.9
iBook G4 800 Mhz - Mac OSX 10.4.9
PowerBook G4 1.25 Ghz - Mac OSX 10.4.8
Ne semble pas fonctionner sur les :
PowerBook G4 1.67 Ghz
iBook G4 1.33 Ghz
A présent, si vous souhaitez contrôler les ventilateurs de
portables les plus récents, vous pouvez utiliser l’utilitaire smcFanControl et pour les Mac Intel smcFanControl2. Ce logiciel
requiert Mac OS 10.4 Intel.
www.andreafabrizi.it/g4fancontrol-download/
www.andreafabrizi.it/2007/05/26/powerbook-g4-manual-fan-control/
http://homepage.mac.com/holtmann/eidac/
é
Le réglage des ventilateurs est aussi disponible
pour un Mac de bureau en version Intel.
« Tout appareil photo est reconnu »
’une manière générale, tout Appareil photo numérique (APN) est
reconnu par un Mac en tant que périphérique USB. Si vous ne
souhaitez pas utiliser iPhoto pour rapatrier les photos (il se lance
automatiquement lors du branchement de l’APN), il est possible
d’utiliser le logiciel « Transfert d’images » et de choisir dans les Préférences de Transfert d’images cet outil afin qu’il se lance à la connexion d’un
APN.
Le transfert de photos peut se faire directement par le cordon USB, méthode qui a l’avantage d’être pratique car ne nécessitant rien d’autre qu’un
cordon, ou par l’adjonction d’un lecteur de carte, méthode qui a l’avantage
d’accélérer le transfert des photos. Si le transfert concerne à chaque fois
250 photos ou plus, l’idée d’utiliser un lecteur peut être bonne…
d
Transfert d’images est plus souple à utiliser qu’iPhoto.
PJG51 (forum Avosmac)
é
MATERIEL
Les clé USB U3
é
Un disque dur multimédia perfectible
l
E disque dur multimédia Tvix de DVICO est une station autonome de lecture de film, photo et audio très réussie esthétiquement. Elle intègre un
320Go (298Go formaté en FAT32). Malheureusement les bons points s’arrêtent là.
Gestion :
Les nouvelles clés USB affichent fièrement la technologie U3 permettant
la «mobilité» selon Microsoft car ça ne
marche que sur PC.
L’effet de cette technologie sur Mac,
apparaît sous la forme d’un disque
amovible en plus de l’icône de la clé. Il
faut alors éjecter LES deux volumes. De
plus, le volume du disque est en lecture
seule : impossible de s’en débarrasser.
Il y a pourtant sur le site de U3, un
lien vers un logiciel à exécuter sur un
Pc (ou Mactel), pour enlever cette partie : attention c’est irréversible.
Vous récupérez alors une clé USB
traditionnelle sans la partie occupée
auparavant par le logiciel U3. Ex : pour
une clé de 2Go, il reste après formatage : 1,842 Go
J.-Y. Auger, pour Atlantic.Mac
www.u3.com/uninstall/uninstall.aspx
Gratuit
Pour des raisons curieuses,
le disque est divisé en 4 dossiers
(disk1 à 4) et 8 autres dossiers
(usb 1 à 8) avec un tmp. La
documentation ne donne pas
d’explication sur cette répartition. Vous pouvez donc remplir
indifféremment n’importe quel
«disk». A cela il faudra créer
des sous-dossiers AUDIO VIDEO
et PHOTO. (Le format HFS+ et
UNIX ne sont pas reconnus).
Ce produit n’est pas adapté au Mac.
Cette station inclut un serveur FTP très instable qui vous
oblige à redémarrer pour retrouver la liaison réseau. De plus, il a fallu fouiller
sur internet pour trouver le nom du compte FTP afin de s’y connecter car le TVix
ne donne que le mot de passe FTP (bizarre).
Attention, il n’y a pas de serveur SMB, mais juste un client SMB, par conséquent, il est impossible de «monter» le TVix sur le bureau sauf par l’USB. C’est
lui qui va chercher les informations vers un serveur SMB (comme celui de Mac
Os x). Hélas, il impose un compte «invité» sans mot de passe. (Pour les PC,
il faut réactiver ce compte, qui, par défaut, est hors service dans Windows au
risque de laisser la porte ouverte aux pirates).
Les deux prises USB permettent enfin de remplir le disque, mais là il faut
s’armer de patience, car sur le MacMini, il a mis plus de 5 minutes à «monter»
sur le bureau.
L’interface dispose de nombreuses options, mais la partie réseau est assez
curieuse : il semble que le TVix puisse se connecter à un serveur NFS, mais il
faut paramétrer le Mac dans ce cas. Sur Pc, il faut un logiciel en plus non livré
car il n’y a pas de CD ni DVD fournis. On est loin des disques NAS.
Utilisation :
Pièces détachées
et Mac d’occase
Si le refurb d’Apple accessible depuis le site
Avosmac (Boutique > Refurb) ne répond
pas toujours à vos attentes en matériel à tarif avantageux, vous pouvez toujours filer vers
Degriff’Mac qui vient de créer son site marchand. Il propose la vente en ligne de pièces
détachées pour réparer son matériel, des Mac
d’occasion, des Mac neufs et destockés.
www.degriffmac.com/
Tout se passe à l’écran via la télécommande aux très nombreuses touches
minuscules (dommage).
La navigation est loin de celle de FrontRow, malgré la présence de dossiers
adéquats créés sur le disque auparavant. Il faut fouiller parmi l’arborescence et
les fichiers (on voit même les extensions avec les sous-dossiers façon Windows).
Le lancement d’une séquence vidéo (beaucoup de formats sont reconnus) est
assez long : 15 secondes maximum avant que le film se lance (bizarre).
Attention : La lecture des fichiers PLS (radio en streaming) provoque le redémarrage immédiat du TviX et la destruction du fichier.
Conclusion :
Si vous avez un Mac, ce n’est pas le produit adapté (trop de problèmes liés
à la gestion). Il faudra attendre le DVico, un nouveau firmware. Quant à son
utilisation au quotidien, c’est très discutable.
Prix : 399 €
é
Graveur CD/DVD
Du format au matériel
Panneau des informations Apple. Ici un G4 modifié
avec un graveur interne Pioneer DVR-106D.
-R, +R, -RW, +RW, -R DL, +R DL...
Tous les graveurs de CD/DVD ne supportent pas toujours tous les formats (et ceux
à venir !). Il peut donc être utile de savoir
ce qu’il en est réellement de votre matériel ou de celui que vous comptez acqué-
La page www.videohelp.com/dvdwriters.
rir prochainement. Après avoir récupéré
le nom et le modèle de votre lecteur/graveur dans le panneau des Informations
Système (menu Pomme>A propos de ce
Mac>Plus d’infos), rendez-vous sur www.
videohelp.com (puis menu à gauche) qui
liste un nombre impressionnant de graveurs et parallèlement des formats de
disque supportés par chacun d’eux.
Philippe R.
Écran plasma et MacBook : mariage heureux
Peut-on brancher un écran plasma sur un Macbook. Si oui, quelle
est la marche à suivre ?
Plumber (forum Avosmac)
Avosmac (Rfr sur le forum) : Il faut acheter un adaptateur miniDVI vers VGA (ou autre selon le type de connecteur disponible sur
l’écran plasma) et se munir d’un câble vidéo (VGA pour une TV) pour
le relier de l’adaptateur à la télévision plasma. Conçu pour les modèles iMac (à puce Intel Core Duo), MacBook et PowerBook G4 12
pouces, l’adaptateur mini-DVI vers VGA vendu 19 € sur l’AppleStore
permet de relier un moniteur ou un projecteur VGA externe à votre
ordinateur. Pour le reste, Mac OS X s’en chargera. Ce système fonctionne avec un iMac Intel Core Duo tant en recopie vidéo (même
image sur le Mac et l’écran plasma) qu’en bureau étendu (l’écran
plasma est la suite de l’écran de l’iMac).
Vous devez utiliser un adaptateur mini-DVI
vers VGA.
http://store.apple.com/Apple/WebObjects/francestore.woa/
wo/StoreReentry.wo?productLearnMore=M9320
é
MATERIEL
é
Storex PI10
Plus qu’un simple lecteur de cartes mémoire
l
E lecteur de cartes mémoire Storex (SD Card, Compact Flash,
Microdrive, MMC, XD, MS, MS Pro, MS Pro Duo) est en fait un
déchargeur de photos vers un disque dur de 60 Go alimenté par
une petite batterie amovible (autonomie annoncée : 5 heures).
On peut s’en servir comme disque dur externe USB, malheureusement, formaté PC, il est assez lent en écriture.
L’écran couleur (480x220) permet de naviguer parmi les dossiers et
de retrouver les photos (JPG) afin de les visualiser sous la forme d’un
diaporama.
Le logiciel intégré en ROM est une réplique fidèle de l’explorateur
Windows, toutefois, même si ce concept de logiciel n’existe pas sur
Mac, son utilisation est aisée grâce aux 9 grosses touches sensitives.
Malgré un produit bien présenté dans un emballage à la «Apple»,
son interface est typée «windows» en plus de l’ épaisseur et du poids
un peu excessif.
www.storex.fr/storex/htm/scripts/produit.asp?
categorie_produit=Disque+Dur+Externe&nom_produit=PI10
Prix : 299 €
é
Vidéoconférence sur Skype avec caméscope
Je viens de charger la dernière version de Skype
et de Macam. Jusqu’a présent j’estimais que cela était
un peu gadget, car c’était sans vidéo et pas aussi
fonctionnel que sur PC.
J’ai eu une webcam (usb) en prêt et j’ai chargé le
pilote Macam, sans résultat spectaculaire car Skype
n’affichait pas une image stable et décrochait très
souvent de la webcam, il faut avouer que l’image était
d’une qualité médiocre.
Macam dit être compatible avec divers produits
nécessitant un driver et une connexion usb. J’ai fait
le tour des produits en question, mais je n’étais pas
décidé à payer entre 50 et 110 euros pour ce type
de matos d’autant que voilà 5 ans j’avais acheté un
caméscope de qualité et très cher. Depuis j’avais interpellé le fabriquant à plusieurs reprises par mail
pour savoir si cela était utilisable en webcam sans
réponse.
J’estimais que mon caméscope, c’était du numérique, qu’il y avait un tas de connexions possibles, et
que cela ne me semblait pas impossible.
Dans le matériel compatible cité par Macam il
y avait la webcam Isight d’Apple. Je me suis rendu
compte que c’était la seule de cette petite liste à ne
pas devoir recourir à un driver et avoir une connectique firewire.
Idée, et si je branchais mon caméscope, une fois
de plus mais en firewire, cette fois ? En effet, je venais d’essayer via usb et Macam, mais sans résultat.
Une fois branché sur firewire, génial. Macam ne le
reconnaît pas mais Skype fonctionne. Pour faire fonctionner, simple.
Le caméscope est du type Sony (faut bien le nommer) DCR-PC120E, le câble firewire branché sur le
Powerbook G4. On allume l’ordi qui lance automatiquement Skype (si on l’a installé de la sorte), on allume le caméscope sur MEMORY par la molette comme
pour faire des photos mais sans stick, on va dans les
préférences de Skype et dès que l’on a cliqué sur «vidéo» l’image apparaît. On contrôle même son image
avec l’écran réversible du caméscope.
Immédiatement, j’ai établi contact avec un correspondant référencé Skype et cela a été fa-bu-leux.
Image très stable et d’excellente qualité.
Je n’ai donc pas décaissé ni pour un câble, ni webcam, ni driver ou autre ni dû courir les magasins avec
le risque que cela ne fonctionne pas.
C’est bien une webcam free ! On peut même dire
de luxe et de très haut niveau qualité image.
Francis Querson.
é
c
Moniteur PW191S
E moniteur LCD 19” possède quelques particularités .
La connectique : entrée son,
sortie casque (jack 3.5) et les câbles fournis : son, VGA, DVI.
La double entrée : DVI (très bonne qualité d’image) et VGA. Le passage
de l’un à l’autre s’effectue par un menu
à touche sensitive en façade. Ce dernier
en français, permet un ajustement très fin
des couleurs et de la luminosité bien que
celle-ci soit assez puissante même au minimum. Le poids de l’ensemble (8 kg) est
élevé à cause du pied qui le maintient très
bien au sol. Il faut y ajouter à un système
solide d’articulation et rotation bien conçu.
Il est toutefois possible de le démonter
pour le fixer au mur (la notice le montre
en image).
Une originalité : la fonction de «pivot» (portrait/paysage) qui, bien que gérée uniquement sur PC, est palliée par
le menu « Pivoter » de Mac OS X. C’est
é
d’ailleurs très étrange d’avoir un écran
de 1440 pixels de haut sur 900 pixels de
large.
rendez-vous : l’ image, mais aussi la finition et les accessoires inclus.
Conclusion : Pour un prix raisonnable, la qualité (DVI notamment) est au
Prix : 299 €
Changer de microprocesseur
> Panther et les vieux Mac
Mac OS X 10.3 tourne sur la plupart des Mac, 333 Mhz peuvent
suffire, il faut installer 512 Mo de mémoire vive et un disque de 6 Go
au minimum. Voici des configurations d’utilisateurs ayant installé Mac
OS X Panther sur des Mac de prime abord sous dimensionnés :
- iMac à 333 Mhz
- iMac à 350 Mhz
- PowerBook Pismo (G3-400MHz) avec 384 Mo de RAM et un
DD de 6 Go
- iMac G3 500 Mhz, 512 Mo, disque dur 20 Go plus un disque
externe 160 Go et un lecteur graveur DVD-RW externe. Mac OSX
Tiger 10.4.8 tourne très bien.
> Lire un mini-disque
J’ai un mini disc, je fais comment pour le lire ? Mathilde
Avosmac : A notre connaissance, il est impossible de lire un
mini DVD (ceux des caméscopes, par exemple) depuis un Mac
«mange disque».
Il est d’ailleurs tout à fait déconseillé d’insérer ce type de mini
disque dans un Mac au risque de causer des dommages irrémédiables.
La seule solution que nous connaissions c’est d’utiliser un lecteur externe muni d’un tiroir classique comme en sont équipés la
plupart des PC.
Les gars et les filles qui ont bien du
courage et un fer à souder gracile comme
une mannequin anorexique, peuvent visiter le site de Macbidouille. com. Un pazapa a été mis en ligne par le maître des
lieux, Lionel, pour expliquer dans le détail
comment changer les processeurs d’origine d’un Mac Pro par des Xeon X3355
dotés chacun de 4 coeurs à 2,66 GHz. Il y
a un tas de photos pour ne pas se planter.
«Techniquement, la plus grosse difficulté
est de trouver le bon tournevis long» assure Lionel.
Ceux qui ne tiennent pas à brûler une
machine onéreuse, peuvent se rabattre
sur le Mac Mini, version Intel bien entendu. Lionel s’est attelé à la tâche avec succès. Lionel souligne que les processeurs
de ces machines sont interchangeables ce
qui est tout de même moins risqué que
de faire sauter des résistances. «Le Mac
mini est une machine relativement facile à
démonter, bien plus qu’un portable» souligne le mécano.
www.macbidouille.com/articles/227/
www.macbidouille.com/articles/225/
é
MATERIEL
é
iControl
§ Tiger
Le complément idéal à GarageBand
IEN qu’étant sorti en milieu d’année 2005, iControl demeure le
complément idéal à GarageBand. Il
vient grossir le nombre de «surfaces de contrôle» pour logiciels de montage audionumériques (La société M-Audio
réalise de nombreux autres périphériques
de ce type non dédiés à un logiciel). L’intérêt de iControl est d’être spécifique à
GarageBand et d’être accessible, de par
son prix, au plus grand nombre.
b
GarageBand est reconnu pour sa
simplicité et propose des performances
intéressantes pour le musicien amateur
éclairé. Celui-ci n’est pour autant pas
nécessairement familier avec l’usage
d’un ordinateur et, manipuler toutes les
fonctions avec une souris, n’est pas fondamentalement aussi intuitif pour lui que
son instrument ! Cependant, réduire iControl à ce profil de personne serait lui faire
injure. Ce périphérique apporte le toucher
qu’une souris ne remplacera jamais, et
surtout une plus grande rapidité de manipulation. Aspect qui trouvera toute son
utilité en pleine séance d’enregistrement
avec la possibilité de modifier de nombreux paramètres sur différentes pistes
en un éclair. Et si vous jouez en groupe
de musique, cela peut être appréciable de
passer la main lorsque vous vous apprêtez à jouer, à quelqu’un qui ne connaît pas
nécessairement GarageBand !
iControl se borne à reprendre les
fonctions du logiciel et rend accessible
huit pistes simultanément. Si votre morceau en comporte plus (ce qui arrive plus
iControl
reprend les
fonctions
de
GarageBand.
vite qu’on ne le croit !), il faut agir avec
les deux touches Track/Parameter pour
aller chercher les huit autres pistes. Les
petites molettes à droite de chaque piste
permettent quant à elles de modifier le
volume mais aussi le panoramique de la
piste (pour peu que la touche Volume ou
Pan soit éclairée). Les autres touches activent les Mute, Solo et enregistrement
pour chaque piste.
En plus, il existe de nombreuses combinaisons apportant d’autres fonctions
et rendant encore plus rapides les manipulations. Les petites molettes peuvent
servir à paramétrer les effets (pour peu
que l’on ait activé au préalable une touche telle que «Generator», «Effect 1» ou
«Effect 2»). Dans ce cas la piste choisie
correspond à la ligne de réglage de l’effet : la première piste permet de changer
le type d’effet et les sept autres chacun
des paramètres ! Aussi, si l’on maintient
la touche Option appuyée, on met au mini
ou au maxi chaque paramètre. Pas bête !
L’autre molette, la plus volumineuse
baptisée JogWheel, est un élément incontournable : elle permet de se déplacer dans le morceau bien plus facilement
qu’avec les ascenceurs du logiciel. Combinée avec la touche Option, on fait aussi
défiler les pistes verticalement (incontournable lorsque votre musique contient de
nombreuses pistes). En relativement peu
de touches, il est donc possible de (presque) tout faire dans GarageBand. Presque
car, bien entendu, la souris ne peut être
remisée au placard, ne serait-ce que pour
lancer le logiciel et créer les pistes !
La qualité de conception du iControl
est très bonne avec une coque extérieure
inspirant confiance au niveau robustesse
(reste à voir à long terme) avec des touches plastique lumineuses lorsqu’elles
sont activées (idéal dans une atmosphère
sombre). L’esthétique reprend le contour
imitation bois du logiciel. De plus il est
intégralement alimenté par le port Usb et
reconnu immédiatement par le logiciel,
sans driver. Enfin, une prise Midi existe
pour connecter un clavier externe. A noter qu’il ne fonctionne qu’à partir de Panther et de GarageBand version 2.
M-Audio propose une vidéo de pré-
Ce matériel ne nécessite pas de logiciel
de pilotage dédié.
Ce tableau permet de contrôler à la main
GarageBand.
sentation (en anglais) sur son site http://
www.m-audio.fr/index.php?do=media.
video&ID=960757989423e4d27055db8d
fb432279
RayXambeR.
www.m-audio.fr/products/fr_fr/iControl-main.html
Le câble Usb est fourni. Aussi, l’Apple
Store le proposait, au moment de rédaction de cet article, à 100 euros grâce à
une remise de 40% !
é
Keyspan Easy Presenter
L s’agit d’une télécommande pour
les présentations multimédia faites sous Keynote et/ou Powerpoint. Elle intègre un pointeur
laser permettant de venir pointer sur
l’écran. Son installation est on ne peut
plus simple : aucun driver hormis si
vous souhaitez utiliser la touche «F5»
permettant de démarrer le slideshow
(dans le cas contraire, il vous faudra
toujours utiliser la souris !)
i
Cette télécommande est fournie
avec une clé USB faisant office de
récepteur d’une portée bien suffisante pour la plupart des utilisations
(le constructeur donne une portée de
18m). La télécommande fonctionne
avec une pile (fournie) et possède
un interrupteur On/Off. Aussi, sous
le dessous, on trouve un petit bouton
«change ID» utile pour sécuriser les
manipulations. Nul doute que vous ne
l’utiliserez que très rarement. Au ni-
veau fonctionnalités, la télécommande
propose tout ce qu’il faut avec les boutons avant/arrière, deux touches pour
monter et diminuer le volume sonore,
une touche Mute, une touche Esc pour
stopper le diaporama. Une touche Stop
afin de mettre en Pause (écran noir) :
utile pour focaliser l’attention sur vos
paroles sans être perturbé par ce qui
est projeté. Aussi il y a une touche Visual reprenant la touche F5 de lance-
ment de diaporama. Enfin, une touche
rouge qui active le pointeur laser tant
qu’elle est maintenue appuyée.
Ergonomique, ultra-légère, elle est
accompagnée d’une petite pochette
incluant deux emplacements distincts
pour accueillir la clé Usb et la télécommande. Un produit parfaitement
conçu et dont vous ne pourrez plus
vous passer, la souris à fil apparaissant
alors bien ringarde à vos yeux d’embourgeoisé : vous auriez bien tort de
vous passer d’un tel confort !
Ce produit fonctionne aussi sous
Windows. Les utilisateurs de Mac OS 9
seront ravis puisque ce produit fonctionne aussi hormis la touche F5 pour
laquelle il n’existe pas de driver. Son
prix, un peu plus de 30 euros, saura
finir de vous convaincre de l’acquérir !
RayXambeR.
www.keyspan.com
Moins pratique car plus volumineuse au niveau du récepteur tout
au moins, Keyspan propose une
autre télécommande, la Express Remote, qui, en plus de gérer Keynote
et Powerpoint, pourra être utilisée
pour piloter iTunes, Quicktime, Lecteur DVD et la borne Airport Express !
Un peu moins chère, sa portée est
cependant plus réduite (un peu plus
de 10 m). Faites votre choix !
A noter que d’autres fabricants
proposent des produits plus ou
moins similaires. C’est le cas de la
Kesington Si600 ou de la Griffin Airclick.
Une webcam pour mon Mac
Pourriez-vous m’indiquer une Webcam qui marcherait
sans trop de difficultés sur un eMac pour me permettre de
communiquer avec mon rejeton en Nouvelle Calédonie. Je
vous en remercie beaucoup.
Toutes celles que je trouve ici en magasin sont marquées
pour PC.
JP Ramognino.
tour. Mais il en existe d’autres, nombreuses, dont vous pourrez connaître les détails de compatibilité sur le site : www.
materiel-compatible.net.
Les pilotes pour les webcams Philips et Logitech peuvent
être téléchargés sur :
Philips SPC900NC ou Logitech QuickCam Pro 4000 sont
des modèles préconisés notamment par Skype pour travailler sur un Mac. Nous vous les conseillons donc à notre
www.osxcompatible.free.fr/affiche_categorie.php?
categorie=Webcams&version=1&langue=fr
http://webcam-osx.sourceforge.net/.
é
MATERIEL
é
Choisir
Devant le rayon caméscope
p
lantez-vous devant le rayon caméscopes numériques d’un grand
magasin d’électronique et tentez de
comprendre. Si vous n’avez aucune
notion de base en la matière, vous allez
très vite vous sentir malheureux.
Dans la jungle de l’électronique, il y a
un tas de solutions qui ont leurs détracteurs et leurs inconditionnels. Voici en résumé, quelques notions pour différencier
les modèles en matière de format.
• DV ou mini-DV : Les vrais amateurs de vidéo ne jurent que par le format DV, le format le moins compressé
enregistré sur des mini-cassettes magnétiques. Le format DV (ou mini-DV) est directement reconnu par iMovie, le logiciel
de montage d’Apple et par la plupart des
systèmes de montage. Les modèles sont
très nombreux et plutôt bon marché. Le
DV présente pourtant des inconvénients
à nos yeux rédhibitoires : le transfert du
film se fait à la vitesse x1. On ne peut
avoir accès à une scène en particulier eu
égard à l’utilisation d’une bande magnétique.
Conseil : Veillez à vous équiper d’un
matériel disposant d’une prise DV In (entrée DV) pour pouvoir enregistrer vos
montages sur cassette afin d’utiliser le
caméscope comme lecteur sur la télé.
• DVDcam : Plutôt que d’enregistrer
sur une cassette à bande magnétique,
l’enregistrement a lieu sur un mini-DVD
(voire DVD ram c’est-à-dire, ré-enregistrable). Le format d’enregistrement est
celui des DVD vidéo du commerce, le
Mpeg-2. Cette solution présente une kyrielle d’inconvénients. Le DVD doit être
finalisé pour être lu sur une platine de salon. Les films bruts sont enregistrés dans
un dossier VIDEO_TS qui implique une
conversion pour réaliser un montage. La
capacité de ces mini-DVD est fort limitée
alors que ces supports coûtent plus chers
et sont fragiles.
Conseil : n’achetez pas ça sauf si vous
ne voulez pas vous fatiguer à monter vos
films ! Ne confondez pas DVDcam et DVcam, déclinaison professionnelle du DV.
Les caméscopes DV restent
très abordables et sont préconisés
pour les amateurs de vidéo.
Les caméscopes à disque dur n’ont pas
les faveurs des vidéastes confirmés,
mais nous les trouvons très pratiques.
• HDV : premier format haute-définition grand public, le HDV enregistre sur
bande magnétique (cassette) comme le
DV. Bien plus coûteux que les appareils
DV, ils sont compatibles avec ce format.
Hormis la très belle qualité d’image qui
implique un bon matériel informatique
pour exploiter le tout, le HDV présente
les mêmes inconvénients liés au support.
Il exploite le format Mpeg-2 qui pourrait
être supplanté par le format Mpeg-4 des
matériels AVCHD.
Conseil : quitte à travailler en DV,
autant le faire en HDV si vous en avez
les moyens.
• HDD : Le concept de ce type d’appareil repose non plus sur une bande magnétique ou un DVD mais sur un disque
dur de grande capacité (plusieurs dizaines de Go). La durée d’enregistrement
peut atteindre plusieurs dizaines d’heures. C’est une de nos solutions préférées
bien que cette méthode présente tout de
même des inconvénients. Le format d’enregistrement (Mpeg-2 ou Mpeg-4) n’est
pas au sommet en terme de qualité et
en plus, les fichiers sont parfois livrés en
MOD qui implique une conversion avec
un logiciel adapté, notamment Toast de
Roxio (cf Avosmac n° 73 p.24).
Conseil : nous avons adopté ce format
et sommes surtout emballés par la souplesse offerte par le disque dur. Le format
MOD est une mauvaise surprise avant de
comprendre comment l’exploiter.
• AVCHD : on garde le meilleur pour
la fin. Ce type d’appareil est encore peu
répandu mais embarque un système de
compression au format H-264 promis à un
bel avenir. Le logiciel iMovie d’Apple sait
exploiter ce format à condition qu’il soit
converti en DV, ce qui ne manque pas de
sel ! QuickTime Pro est capable de réaliser ce transcodage. Le support d’enregistrement varie entre le disque dur, la carte
mémoire et le DVD. L’audio est enregistré
en Dolby Digital AC-3 ou PCM linéaire
Conseil : vous paierez sans doute votre avance technologique qui nécessite,
de surcroît, un équipement informatique
capable de traiter le signal.
• mais aussi : DVCpro HD, carte mémoire SD, D8 (obsolète), etc
SOS cartouche
Dernièrement, nous avons été
confrontés à une cartouche d’encre
inutilisée depuis plusieurs semaines.
Au moment d’imprimer, deux couleurs
étaient quasiment absentes, malgré
les tentatives de nettoyage automatique des buses… Plutôt que de considérer la cartouche comme bonne à
jeter, nous avons simplement nettoyé
sa tête d’impression à l’aide d’un coton-tige humide, en prenant soin de
ne pas mélanger les couleurs. Le résultat a été immédiat ! Notez cependant que la plupart des constructeurs
déconseillent ce genre de méthode, à
appliquer avec prudence…
J.-B. L.
Nettoyage
de clavier
J’ai vu , il y a quelques
mois , un article de revue
montrant la marche à suivre
pour le nettoyage du clavier
blanc keyboard, le mien est
vraiment crade... Où puis-je
le retrouver ?
Mb22 (forum Avosmac)
Avosmac : Quel est le
modèle précis, car sur le dernier en date, il suffit de faire
sauter les touches une à une
avec un tournevis par exemple. Délicatement, cela va de
soi.
Sinon, d’autres explications sont données sur cet
excellent site :
www.sterpin.net/prokeyboard.htm
Un test d’impression permet de constater la différence entre les eux stades.
é
p
Un écran protecteur pour iPod
renons deux exemples vraiment extrêmes du contenu
d’un iPod vidéo. Dans le premier cas, vous êtes un/une fan
du feu groupe 2Be3 et vous disposez
de l’intégralité de leurs clips vidéo.
Dans le deuxième cas, vous avez un
film avec la charmante Clara Morgane.
Il y a deux possibilités dans ce genre
de situation. Soit vous serez la risée
du public lorsque vous regarderez vos
clips vidéo, soit on vous prendra pour
un pervers avec le film. Du coup, comment regarder en toute discrétion son
iPod ? En utilisant l’iPod Video Privacy
Screen Protector de iStyles. Non seulement il protégera votre écran des
rayures, mais il le rendra quasiment
opaque pour les personnes localisées
à droite ou à gauche. Vous pourrez
ainsi regarder en toute tranquillité
vos photos, vidéos, et clips vidéo sans
être dérangé et sans attirer l’oeil indiscret de vos voisins. Sauf, bien évidemment, si la personne à vos côtés
décide de mettre sa tête par dessus
votre épaule, l’iPod Video Privacy
Screen Protector n’aura plus autant
d’efficacité.
En attendant, il serait fort intéressant de disposer de ce type d’écran
sur nos chers portables d’Apple.
Alx.
www.istyles.com/ipod-videoprivacy-screen-protector-p-4534.html
L’écran en question empêche
vos voisins de lire ce qui est affiché
sur l’écran de l’iPod.
é
MATERIEL
é
Sans fil
Clé WIfi USB D-Link
i
§ Tiger
L existe divers moyens d’équiper un Macintosh du WIFI,
le plus connu étant, bien sûr, Airport, livré en standard sur
tous les modèles.
Les clés Wifi USB sont plus complexes car elles sont basées
sur une puce pour laquelle le pilote est développé. C’est le cas de
cette clé D-Link, livrée avec le pilote pour Tiger (ce qui est assez
rare pour être souligné), qui va ajouter dans les préférences, le
nécessaire pour trouver un réseau WIFI et s’y connecter tout
simplement. La configuration réseau se voit ajouter un «adaptateur Ethernet» en1 ou 2 que vous renommerez clé USB WIFI.
Le paramétrage est simple : réglage en DHCP et ajout des DNS :
c’est tout !
Mais alors pourquoi équiper un Mac avec ce système WIFI au
lieu de se servir de l’Airport ?
- La puissance du signal est bien plus importante que l’Airport,
comparé au Mac-Mini. Là ou seuls 2 réseaux sont visibles, la clé
WIFI D-Link en voit 5 de plus.
- Le produit est livré avec une longue rallonge (pour placer
l’émetteur en hauteur) et de ce fait ne subit pas la chaleur inhérente du Mac.
- Certains logiciels exploitent ces clés Wifi (via les pilotes
appropriés), pour améliorer la sécurité de votre réseau WIFI.
Une clé wifi peut offrir un signal plus puissant qu’Airport.
(WPA), ce qui n’est pas possible avec une simple carte Airport
Extreme limitée au WEP (partage de connexion internet)
J.-Y. Auger, pour Atlantic.mac
Prix : 35 €
Lien : www.dlink.fr/?go=jN7uAYLx/oIJaWVUDLYZU93ygJVYLelXSNvhLPG3yV3oVIB8galtbNlwaaRp6jguAmu5j3cf/YEIBNf33KXpL00Ztu3bag==
Lien (pilote pour MacTel) : www.ralinktech.com/ralink/data/RTUSB%20D70-1.1.3.0%20D71W-1.1.7.0%20UI-1.3.0.0_2006_11_10.dmg
Protéger ses galettes
N support numérique de type CD ou DVD peut subir des dommages : salissures, rayures... qui altèrent la lecture des données de manière partielle ou totale.
Divers outils de réparation existent et plusieurs sociétés proposent d’essayer
de rendre les informations contenues de nouveau accessibles (par resurfaçage
/ polissage). Une autre voie consiste à protéger la surface gravée ou pressée avec un
adhésif transparent spécial. Ce film protecteur dit «scratch guard», assez fin, ne pose
visiblement pas de problème de lecture avec une immense majorité des très divers
lecteurs ou graveurs existants. La société Supa9 (supports à neuf) propose des tarifs
dégressifs en fonction de la quantité achetée.
Autre problème possible, moins fréquent mais toutefois pas tout à fait exceptionnel, avec les supports CD ou DVD : la dégradation de la structure centrale (qui est en
contact physique avec le mécanisme de rotation du bloc lecture). Pour renforcer mécaniquement cette structure centrale contre, par exemple, les fissures : des pastilles de
protection peuvent être ajoutées au centre des supports. Ici, pour une utilisation plus
professionnelle, il est possible de faire personnaliser ces pastilles de protection adhésives composées de polyester métallisé.
Lionel (MacBruSoft).
u
Film protecteur «scratch guard» :
www.supa9.com/boutique.html?lang=fr&target=d5.html
Pastilles centrales de protection :
www.supa9.com/boutique.html?lang=fr&target=d5.html
é
Jouer
Test de la manette Dual Action de Logitech
Le Mac et les manettes USB
l
A manette DualAction de Logitech,
reprenant presque à l’identique le
design des manettes PlayStation,
est de bonne qualité et répond bien
aux sollicitations. On pourra critiquer le
pad de direction qui est plutôt bruyant, de
même que les boutons.
La manette propose 4 boutons aux index, 4 boutons de tir disposés en losange
et trois autres boutons, en plus de deux
sticks analogiques, monnaie courante de
nos jours. Chaque bouton étant paramétrable.
Bon nombre de jeux commerciaux
sortent sur nos machines (même si on
est loin de la quantité industrielle qui arrive chaque jour sur Pc) et la plupart des
manettes Usb fonctionnent sans véritable
problème. Mais qu’en est-il des applications plus singulières comme les émulateurs, les «petits» jeux freeware et shareware, etc. ?
Nous sommes allés voir du côté des
émulateurs. Le développeur le plus prolifique sur nos machines est Richard Bannister. Il propose une bonne vingtaine d’émulateurs, couvrant la plupart des consoles
toutes. Ensuite le mieux est de tester un
ou plusieurs jeux émulés pour se rendre
compte si l’on doit choisir le stick analogique ou non. En effet, certaines vieilles
consoles incluaient déjà un stick analogique comme la Vectrex !
Du côté des freewares et sharewares,
cette manette s’en sort tout aussi bien et
sera reconnue sans programme particulier cette fois-ci. Le contexte n’étant pas
le même que pour un émulateur puisque
tous ces programmes ont été prévus pour
le Mac à l’origine.
et ordinateurs. Richard a la bonne idée
de proposer en parallèle à ses émulateurs
une application appelée Emulator Enhancer. Ce programme, une fois installé, permet de configurer toutes les actions de la
machines d’origine. On peut aussi choisir
que le bouton de tir soit autofire ou non,
que l’on choisisse de diriger avec le stick
analogique ou non, etc.
Il faut reproduire cela pour chaque
émulateur (logique étant donné les différences flagrantes entre les machines
émulées) mais cela sera fait une fois pour
Le packaging de la manette laissait
présager une gestion uniquement sur PC
avec des inscriptions PC sur fond rouge, le
logo Windows Vista, etc., la totale quoi !
Heureusement si on regarde la tranche de
la boîte on verra un joli petit logo Mac OS
avec une mention comme quoi elle fonctionne avec Mac OS 9 et Mac OS X (non
testée sous Mac OS 9)
RayXambeR.
www.bannister.org/software/emu.htm
(émulateurs pour Mac OS X)
é
MATERIEL
é
Wacom
§ Panther § Mac Intel § Tiger § Jaguar
Tablette graphique
à moins de 100 euros
l
E spécialiste des tablettes graphiques, c’est Wacom,
dont la gamme de produits propose de nombreuses
dimensions, pour tous les usages. Nous avons choisi
de vous présenter un des derniers modèles sortis, à
moins de 100 euros, et d’un format petit afin de pouvoir
être transporté facilement. Son format, A6, soit 4 fois moins
qu’une feuille A4 standard, peut sembler insuffisant. Mais à
l’usage c’est un pur bonheur ! La tablette est assez lourde et
possède quatre patins anti-dérapants pour lui conférer une
très bonne stabilité.
Le seul fait de brancher la tablette, reliée par port Usb,
fait apparaître dans les Préférences Système une icône Ink
permettant d’avoir une reconnaissance d’écriture ! Ces fonctions peuvent permettre d’envisager d’écrire du texte directement à partir de la tablette. Cela nécessite néanmoins une
période longue d’apprentissage, mais peut en valoir la peine
sur le long terme.
Bien que la tablette soit reconnue sans driver, pour pouvoir utiliser pleinement toutes les possibilités (comme la
gomme par exemple) il faut installer le logiciel fourni sur
CDRom. L’installation est très rapide et se déroule sans encombre. Une nouvelle icône apparaît alors dans les Préférences Système sous le nom «Pen Tablet». Ce dernier contient
tout ce qu’il faut pour paramétrer à sa guise l’ensemble
crayon+tablette. Ainsi il est possible d’affecter différentes
fonctions aux deux boutons du stylet. Par défaut, clic droit
et double clic semblent
bien pensés. Il en est
de même pour les deux
boutons et la molette de
la tablette, utilisés pour
avancer, reculer et faire
défiler les pages dans un navigateur par exemple.
A l’utilisation on prend vite goût à cette tablette graphique. Rien que la possibilité d’écrire/dessiner puis gommer en
retournant le stylet est un vrai plus et ne relève absolument
pas du gadget ! Elle est bien entendu destinée à tous les
graphistes et infographistes mais peut aussi remplacer avantageusement la souris en offrant une sensation nouvelle plus
proche de ce que l’on ferait naturellement sur une feuille de
papier. Les enfants seront aux anges car couplée avec un logiciel comme Art Rage (testé dans AVM n° 63, page 30), nos
chères têtes blondes peuvent réaliser de grandes choses et
ce bien plus précisément qu’avec une souris. Cette tablette
pourra aussi séduire les réfractaires à l’informatique pour
qui l’usage d’une souris n’a rien d’instinctif.
Nécessite Mac OS 10.2.8 minimum. A noter que le packaging contient un deuxième CD avec le logiciel Corel Painter Essentials 3. Un plus à ne pas négliger.
RayXambeR.
www.wacom.com
Le crayon dispose
de deux boutons
paramétrables.
Le branchement de la tablette active
la fonction Ink de reconnaissance d’écriture
de MacOS X.
PenTablet accessible dans les préférences
Système s’installe depuis le CD livré
avec la tablette Wacom.
La tablette possède une molette et un bouton
pour faciliter la navigation.
é
Courant porteur en ligne
L’Internet grâce à l’électricité, ça marche !
OUS n’avez pas envie de percer les murs ou les planchers de
votre maison pour faire passer
des câbles éthernet. Vous avez raison.
Aujourd’hui, le courant porteur en ligne
(CPL) peut vous sauver la vie. Il transforme votre installation électrique en réseau
informatique. Une solution à la fois économique et pratique pour être connecté à
l’Internet partout dans la maison.
V
Le courant porteur en ligne (CPL) est
une technologie qui permet de transmettre un signal réseau via l’infrastructure
électrique d’un bâtiment grâce à deux
« grosses prises électriques ». Là où le wifi ne passe pas ou si l’ordinateur n’a pas
de carte airport, le CPL est une solution
intéressante et pas trop onéreuse. Grâce
à ce courant porteur en ligne, vous pouvez
utiliser votre installation électrique pour
connecter toute la maison à un modem,
évitant de fait de percer les murs et les
planchers de sa maison pour faire passer
des câbles éthernet. Pratique, non ?
Concrètement, la manipulation est assez simple : il suffit de connecter les deux
prises CPL aux deux endroits où l’on souhaite être relié à l’Internet – l’ordinateur
dans le bureau et la télévision dans le salon par exemple.
Les deux prises devront recevoir chacune un câble éthernet. Chaque câble
devra communiquer directement avec le
modem pour la télévision pour le premier
et avec l’ordinateur pour le second. Et le
tour est joué. Tout est en ligne dans la
seconde.
Combien ça coûte ?
Les prises se vendent par deux et de
nombreux sites Internet se chargent de
leur vente. Leurs prix oscillent de 45 à 150
euros dans la majorité des cas, tout en sachant que les appareils les moins chers ne
sont pas forcément les plus performants.
Il convient donc de bien connaître l’utilisation que l’on souhaite en faire avant de
se jeter à corps perdu sur un modèle bon
marché.
Abel Hanger.
Deux « simples » prises de courant et hop, voilà que la maison est connectée à l’Internet.
é
iSight
Perte du micro
E phénomène rencontré sur les forums, a
pour solution de brancher et re-brancher
la caméra d’Apple pour retrouver le signal
vidéo et audio. En fait, ce dernier doit sa
reconnaissance à un petit fichier (iSightAudio.
plugin), placé dans le dossier Bibliothèque/audio/
Plug Ins/HAL/ . Dans le cas contraire, la iSight
n’apparaît plus dans les préférences Son / Entrée.
c
é
MATERIEL
é
Samson C03U
Micro de studio USB
à condensateur multi-directivité
E micro Usb est d’un tout autre calibre que le microphone de bureau
Logitech (lire par ailleurs). Son
prix, autour de 130 euros, pourra
être jugé élevé par le musicien amateur. Il
se base sur un micro du même nom déjà
existant mais en version non Usb. Ne possédant pas celui-ci il nous est difficile de
pouvoir certifier ce qu’avance le fabricant
à savoir que la version Usb propose les
mêmes performances.
Pourquoi ne pas plutôt craquer pour
un «simple» micro à raccordement audio
par prise XLR qui pourra tout aussi bien
être utilisé sans ordinateur qu’avec ? Tout
simplement parce que pour l’utiliser sur
le Mac il faut posséder une carte son présentant une alimentation fantôme (phantom power) ! Ce qui peut rapidement dépasser le budget.
Aussi le Samson C03U a pour lui plusieurs directivités : omni, cardioïde et
«en-huit». L’aspect multidirectionnalité
du micro pourra s’avérer bien utile pour
réaliser par exemple un enregistrement
en groupe dans des conditions proches
du live, en une seule prise, de façon à se
constituer une sorte de bloc-notes.
Ses performances sur le papier sont
très satisfaisantes. A l’utilisation on n’est
pas déçu même si ses caractéristiques (16
bits, 48 KHz) pourront être jugées insuffisantes en milieu purement professionnel.
c
La qualité de fabrication, si le poids est
un des critères (il pèse près d’un demikilo !), est irréprochable bien que ce micro soit un peu gros, ce qui ne facilite pas
sa prise en main. Il s’agit donc plus d’un
micro fixe, à placer idéalement en vue
d’un enregistrement. A noter qu’en tant
que micro statique, il est certainement un
peu plus sensible qu’un micro dynamique.
Il pourra aussi être utilisé pour le chant.
Ce micro se voit proposer plusieurs
types d’accessoires. Il existe par exemple
un bundle, le Recording Pack, regroupant
le micro ainsi qu’un pied pour le poser et
le logiciel Cakewalk Sonar LE. On peut
aussi lui ajouter des caches anti-bruit de
différentes couleurs, etc. Il est fourni par
défaut avec un seul accessoire permettant de le visser sur un pied.
Le fabricant propose ce micro principalement pour le Podcasting. Effet de
mode bien légitime. Il sera donc un micro
résolument multi-usages pouvant servir à
chatter, à enregistrer une maquette sans
prise de tête et pourra aussi être utilisé
en complément à un carte son pour peu
que le logiciel de montage audio-numérique utilisé sache gérer plusieurs entrées
sonores.
Transition toute trouvée pour évoquer
certains logiciels de ce type. GarageBand
reconnaît et gère parfaitement ce micro,
CakeWalk (non testé) doit lui aussi le
gérer correctement (puisqu’il est vendu
dans un bundle avec). Par contre nos essais sous Cubase (en version LE) se sont
avérés infructueux car il lui faut un driver
Asio approprié. Cependant, nous l’avons
essayé avec ce même logiciel en version
Windows et ça fonctionne parfaitement !
Le packaging est un peu décevant :
un emballage plastique thermoformé
sans grand génie et assez peu pratique.
Heureusement une pochette est fournie
pour le transport de ce micro.
RayXambeR.
Lien pour driver mac (et windows) :
www.samsontech.com/products/productpage.cfm?prodID=1878&brandID=2
Le micro est pris
en compte par
les Préférences
système > Son.
Les professionnels
peuvent juger
les performances
un peu justes.
é
AK5370
Microphone de bureau Logitech USB
tant donné le tarif de ce type de
micro (autour de 30 euros), il est
évident qu’il ne faut pas compter
enregistrer votre prochain album
avec ! Cela dit, son ergonomie, sa stabilité (puisqu’il est solidaire d’un socle de
bonne facture) en font le complément
idéal pour le monteur vidéo qui souhaite
ajouter des commentaires à ses films, le
«chatteur» afin de faire entendre sa voix,
le téléphoneur par IP (une mention sur
la boîte le certifie compatible Skype) et
même le chansonnier ne serait-ce que
pour enregistrer ce qui lui passe par la
tête sans contrainte de qualité puisqu’il
s’agit d’un premier jet.
Aucun driver n’est nécessaire à son
installation. On branche le micro sur un
port Usb puis un petit tour du côté des
é
Préférences Système/Son pour
choisir en entrée le micro, de
référence AK5370 (autant le savoir !). On peut en profiter pour
régler le volume d’entrée afin de
ne pas saturer trop vite. Ce micro est orientable pour l’adapter
à la position de votre choix et inclut un composant éliminant les
bruits de fond. Il propose aussi
un bouton qui s’allume lorsqu’il
est actif.
Ensuite il faut se munir d’un
logiciel pour enregistrer ce que
l’on veut. iMovie le fera très bien dans son
onglet montage, GarageBand bien sûr
mais peut-être encore plus simplement il
pourra être judicieux d’utiliser l’incontournable Audacity.
La qualité du micro semble à l’usage fort convenable,
tout au moins pour les usages
cités en introduction. On peut
déplorer tout de même un
peu de souffle résiduel assez
logique dans cette gamme de
tarif.
Ensuite on peut en profiter
pour installer le logiciel Sound
Menu (évoqué dans AVM
n°62) afin de ne pas devoir
sans cesse ouvrir les Préférences système pour effectuer ce
réglage et basculer, en entrée comme en
sortie, entre les différents périphériques
(enceintes, casque, carte son, micro,
etc.).
RayXambeR.
Logitech : www.logitech.com/index.cfm/products/details/FR/FR,CRID=103,CONTENTID=6776
Audacity : http://audacity.sourceforge.net/download/mac?lang=fr
SoundMenu : www.aspirine.li/public/softwareup.php?ID=1
iMovie dispose d’une commande
pour capter l’entrée audio du micro.
Les préférences Système > Son servent à
sélectionner le micro en entrée.
Audacity trouve toute sa raison d’être grâce
à ce matériel.
é
MATERIEL
é
Logitech
Au rayon clavier et souris sans fil
l
ogitech a eu la riche idée de créer
un ensemble clavier et souris sans
fil dédié au Mac: le S530. Paré d’une
robe blanche et alu, ce kit s’harmonise fort bien avec le design de nos machines préférées.
Outre le clavier et la souris, il contient
une petite clé USB pour la liaison avec
la machine et un support avec un câble
d’environ 1,50m qui permet de déporter
cette clé. Sans oublier les jeux de piles alcalines qui autorisent ainsi une utilisation
immédiate.
Comme à l’accoutumée avec Logitech,
l’ensemble fait l’objet d’une réalisation
très propre, fonctionne parfaitement et
s’avère de bonne qualité.
Qu’on ne s’attende cependant pas
au niveau de finition d’un clavier Apple:
les plastiques font bon marché et paraissent moins nobles que chez la Pomme,
et le design n’a pas la même classe. Si
la frappe est à mon sens moins agréable
qu’avec un clavier d’origine, elle reste tout
de même très bonne. Notons cependant
qu’en dehors de la qualité des plastiques,
ces critères sont assez subjectifs. La souris, produit historique de Logitech, donne
une impression beaucoup plus sérieuse.
Le clavier
Très fin (19 mm), inclinable avec 2
béquilles, doté d’un repose-poignets, il
comporte toutes les touches spécifiques
au Mac (option, commande, touches de
fonctions) et de petites touches supplémentaires qui se révèlent bien pratiques.
Elles permettent de lancer des applications, de faire défiler les fenêtres et sont
paramétrables via le panneau de contrôle. Vous préférez lancer Photoshop plutôt
qu’iPhoto? Pas de problème, changez l’affectation de la touche correspondante.
Le clavier est équipé d’un voyant qui
indique que les piles (2 piles AAA) doivent
être remplacées sous 10 jours.
La souris
Il s’agit d’une souris laser, d’une forme
ergonomique parfaitement adaptée à la
main droite. Le déplacement du curseur
se fait très régulièrement,
sans les sauts qu’on obtient
parfois avec les souris optiques traditionnelles.
Les boutons supplémentaires (page suivante
et précédente, contrôle du
son) tombent bien sous les
doigts, et dès qu’on s’y est L’ensemble est beau, mais ne fait pas aussi classe
habitué, on en vient à se qu’un produit Apple.
demander comment on a
Logitech. Il comporte également un indipu s’en passer.
La molette a un débattement latéral, cateur du niveau des piles.
ce qui permet de contrôler le défilement
horizontal des fenêtres.
Les plus et les moins
Un des avantages de cette multiplicité
de boutons est d’effectuer des actions Généralités : compatible avec les anclavier courantes lorsqu’on manipule la ciennes machines, car ne nécessite pas
souris, et réciproquement. On est donc Bluetooth.
moins contraint de sauter de l’un à l’autre Mobilise un port USB (pour les possesde ces périphériques. En revanche, si vous seurs de machines récentes qui intègrent
ne manipulez la souris qu’1/4 d’heure par Bluetooth)
jour, il n’est pas évident que leur utilisa- Suivi des pilotes par Logitech
tion devienne naturelle.
Garantie de 5 ans
Comme le clavier, elle comporte un Autonomie de 6 mois (annoncée, pas vévoyant d’usure des piles (2 piles AA).
rifiée)
Compatibilité Mac OS
Ce kit a été géré directement par Mac
OS X 10.4.9 moyennant la réponse à
quelques questions posées par l’assistant
clavier. Celui-ci se lance automatiquement
dès la connexion des appareils.
Il est néanmoins nécessaire d’installer un panneau de préférences, qui sera
accessible dans les préférences système,
pour pouvoir paramétrer les nombreux
boutons spécifiques. Si vous possédez un
Mac Intel, avec un peu de chance, le pilote adéquat sera présent sur le CD livré
par Logitech. Si votre revendeur avait le
produit en stock depuis quelque temps
et que le CD ne comporte pas la version
Intel, pas de panique, elle existe bien, il
suffit de la télécharger. C’est un avantage
supplémentaire d’une grande marque
comme Logitech: les pilotes sont suivis.
Le panneau de contrôle donne également accès à une documentation qui a
l’avantage d’être en français, très riche et
actualisée, mais nécessite d’être connecté
car elle se trouve en ligne sur le site de
Prix : ce kit peut se trouver à moins de
80€, piles comprises
Souris : bonne ergonomie de la souris
pour les droitiers
Souris peu pratique pour les gauchers
Boutons supplémentaires sur la souris
Molette multi-fonctions
Précision de la technologie laser
Clavier : vrai clavier Mac
Les béquilles du clavier semblent fragiles
Plus de 10 touches de fonction spécifiques et personnalisables
Les plastiques font bon marché
Toucher agréable
Toucher moins bon que les claviers Apple
(à mon goût)
Repose-poignet incorporé
La personnalisation du clavier depuis le
panneau de contrôle. Et la même opération pour la souris.
Un ensemble au «look and feel» incontestablement Mac.
Didier Gross.
www.logitech.com/index.cfm/products/details/FR/FR,CRID=2162,CONTENTID=11420
3 trimestre 2007 - hors série n° 21 - page 30
e
é
Numériser à distance
l
E logiciel Transfert d’images sait très
bien gérer les partages de périphériques
d’images, et les scanners n’échappent pas
à cette règle.
Pour cela, il vous suffit de deux ordinateurs,
branchés à un routeur (Wifi ou filaire), ou tout
simplement reliés entre eux, par les ondes avec
un réseau Wifi, ou par un câble Ethernet. Sur
l’un des deux ordinateurs, installez, si ce n’est
déjà fait, les drivers du scanner, et branchez-y
ce dernier. Ensuite, lancez le logiciel Transfert
d’images et affichez les préférences. Cliquez
sur l’onglet «Partage», cochez la case «Partager mes appareils», et sélectionnez l’appareil
voulu, ici, Epson Twain 5. Si Transfert d’images
a ouvert la fenêtre de visualisation pour la numérisation, n’oubliez pas de la fermer. Assurez
vous ensuite qu’aucun logiciel n’utilise le scanner. Vous pouvez alors quitter Transfert d’images. Laissez cependant allumé cet ordinateur.
Sur le second ordinateur, lancez ensuite l’application Transfert d’images, et faites la combinaison de touches Pomme B, ou rendez vous
dans le menu «Appareils», et cliquez sur «Parcourir le contenu des appareils...». Développez
ensuite la catégorie «Appareils de transfert
d’images distants», et celle correspondant aux
périphériques du premier ordinateur. Cliquez
sur le scanner que vous souhaitez utiliser.
Ensuite, tout se passe comme lors de l’utilisation du scanner branché physiquement à
votre machine. L’intérêt principal est de pouvoir scanner à distance sans avoir à déplacer le
«Ici, interface sous Panther, sous Tiger il n’y a plus que deux onglets.
Sélectionnez
le périphérique voulu.
périphérique, et il est inutile d’installer les drivers du scanner sur la machine qui
pilote l’appareil à distance. À noter que le partage Internet n’est pas possible
pour les scanner.
P.-M. Leheup.
Un abonnement deux magazines
www.avosmac.com
Ne choisissez plus, optez
pour l’abonnement deux en un
et recevez pendant un an :
• 11 numéros Avosmac
• 6 numéros OpenSource Magazine
Tarif : 50 euros
Nom :
Prénom :
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Code Postal :
Ville :
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E.mail :
Avosmac-OSM - Service abonnements - La Favrière - 79250 Nueil-les-Aubiers - FRANCE
é
MATERIEL
é
iLuv i177
Trouver un partenaire pour accoupler l’iPod
iLuv i177
L’iPod est le jouet abominablement tendance. Et pour mieux
se la péter une fois que l’on possède le petit engin dans sa
poche, rien de mieux qu’un support digne de son rang : un système audio susceptible de restituer avec ampleur et efficacité
son contenu.
Pour que l’iPod puisse ainsi tenir son rang dans le salon, lors
d’une soirée entre filles ou dans sa chambre, on peut lui adjoindre un périphérique sensiblement plus imposant. La société
iLuv propose plusieurs appareils susceptibles de donner à l’iPod
un rôle central dans votre vie musicale.
L’iLuv i177 (et i277) se présente sous une carrosserie immaculée ou noire tout en rondeur. Le principe est simple, l’iPod
(attention à l’incompatibilité de certains modèles) se connecte
au sommet pour permettre aux deux appareils électroniques
de communiquer. iLuv, qui, accessoirement fait office de radioréveil, prend alors le relai et diffuse la musique par deux hautsparleurs hélas, largement sous dimensionnés.
Ce système audio ne manque toutefois pas d’atouts, même
si son tarif nous parait un peu élevé.
tions FM. Le bouton est certes pratique, mais il aurait été plus
simple de prévoir un scanner.
La position verticale de l’iPod présente des risques si le lecteur est posé par terre. Quelqu’un peut donner un coup de pied
dans l’iPod et le connecteur risque de ne pas supporter le shoot
involontaire.
L’écran à cristaux liquides fait un peu trop réveil-matin bas
de gamme.
Un énorme transformateur externe est livré avec la machine
ce qui la rend du coup fort peu mobile.
Il manque un convertisseur de prise Firewire pour les anciens iPod.
Les accessoires livrés :
- une télécommande
- 1 câble mini-jack - AV
- adaptateurs pour les différents modèles d’iPod (mais pas
pour tous)
- transformateur extérieur
Compatibilité :
iPod with video (30GB, 60GB, 80GB), iPod nano (1re generation, 2e generation), iPod mini, et iPod 4G uniquement.
Les bons points :
Le design de la carrosserie a été traité avec soin. Les lignes
courbes rendent l’objet discret, et lui donnent des airs de gros
radio-réveil.
La petite télécommande livrée avec l’appareil permet un
contrôle complet de l’iPod.
L’iLuv est une radio aux capacités complètes dotée d’une
antenne digne de ce nom. Il peut faire office de réveil et peut
fonctionner sur piles.
L’appareil est livré avec une kyrielle de supports pour que
l’iPod soit parfaitement installé au sommet de la carrosserie. Un
connecteur spécial est prévu pour l’iPod Shuffle.
On apprécie la compatibilité d’iLuv avec un iPod Vidéo et la
possibilité de le brancher sur un récepteur TV ou un vidéoprojecteur pour visionner les clips.
Le modèle i277 est livré avec un émetteur/récepteur Bluetooth ce qui permet, notamment, d’utiliser un casque sans fil ou
bien de recevoir la musique depuis un autre appareil équipé de
la technologie BlueTooth.
Les moins :
La qualité audio manque franchement d’ampleur dans les
basses et les problèmes de saturation surviennent rapidement
lorsque le niveau sonore augmente.
Il manque des commandes de sélection avant et recul des
chansons. Il faut passer par les commandes de l’iPod installé
sur son support ce qui peut fragiliser le connecteur à la longue.
Il manque aussi un système automatique de recherche des sta-
Tarif : 90 € (150 € pour la version BlueTooth i277)
www.i-Luv.com
iLuv i552
Outre l’esthétique, sensiblement différente de l’iLuv 177 et
pas forcément plus jolie, le modèle i552 dispose d’une grosse
poignée pour faciliter son transport. Il est doté d’une antenne
rétractable pour la fonction radio FM. Pour le reste, les fonctions
sont identiques (il ne fait cependant pas réveil) et les dotations
matérielles comme techniques sont les mêmes.
On retrouve donc la plupart des défauts et des qualités de
l’iLuv 177. On peut tout de même remarquer que la poignée
est la bienvenue pour protéger l’iPod qui se trouve, grâce à sa
présence, nettement moins exposé. Les risques de casse sont
sensiblement limités.
Si l’iLuv 552 est prévu pour être transportable (grâce à pas
moins de 8 piles non fournies), il lui faut toujours un imposant
transformateur externe pour pouvoir fonctionner sur secteur.
Et la qualité de restitution audio ? Elle nous a semblé bien
meilleure que pour l’iLuv 177 grâce à une meilleure gestion des
basses. Les soucis de saturation n’existent pas. La technologie
utilisée (speaker de 45 mm, 6 watts, 4 ohms) est pourtant absolument identique...
Conclusion : Bien qu’encore moins esthétique que l’iLuv
177, l’i522 présente plus de qualités globales, notamment en
matière de traitement audio. Sa poignée n’est pas seulement
pratique. Elle protège l’iPod. Quant au tarif, c’est le même :
90 €.
é
Archos
Utiliser une clé USB MP3 comme un iPod
l
La synchronisation des clefs USB mp3 est un réel problème lorsque l’on
apprécie la simplicité de l’interface d’iTunes. En effet alors que l’on possède de belles listes de lecture, on doit passer par une série de glisser /
déposer du Finder vers la clef, fastidieux à la longue. Il existe cependant
une solution afin d’utiliser directement une clef USB mp3 comme un iPod.
Il suffit d’installer le driver USB distribué par Archos dans le répertoire /
Utilisateurs/Librairie/iTunes/iTunes plug-ins : la clef apparaît directement dans le menu de gauche d’iTunes ! La synchronisation se limite ensuite
à glisser les listes de lecture voulues vers la clef.
Paul Heroin.
La clef mp3 dans ITunes Le driver USB Archos :
www.archos.com/support/download/drivers.html?country=fr&lang=fr
Une clé USB MP3 peut être reconnue par iTunes.
é
MATERIEL
é
DVD
Rendre le lecteur Apple compatible avec tous les appareils
N certain nombre de «vieilles» machines (G3, voire G4)
ne disposent pas en configuration de base de lecteur de
DVD interne. Or Lecteur DVD, le logiciel de lecture de
DVD Video fourni par Apple, n’accepte pas de fonctionner autrement qu’avec un lecteur de DVD interne.
u
Il existe néanmoins un patch pour contourner cette restriction. Il s’agit de dvdplayerpatcher, encore disponible sur le site
Vous devez être administrateur pour effectuer les changements et utiliser la commande sudo (votre mot de passe sera
demandé). Par exemple :
cd /System/Library/Frameworks/DVDPlayback.
framework/Versions/A/
Faites une sauvegarde !
http://danpritchard.com/public/?path=software/dvdpatch/
sudo DVDPlayback DVDPlayback.old
après la fermeture du site d’origine xvi.rpc1.org . Néanmoins, ce patch ne fonctionne pas avec les versions les plus
récentes d’OS X, en particulier 10.4.8 .
Recopiez le fichier téléchargé :
On trouve une solution à cette défaillance sur le forum anglophone:
http://forum.rpc1.org/viewtopic.php?t=38317&sid=
44d4d45d97b92f3d647ab8cd94a09194
Je reprends ici l’essentiel de ce qui y est dit : il s’agit de
modifier le fichier:
/System/Library/Frameworks/DVDPlayback.
framework/Versions/A/DVDPlayback
Cette modification peut se faire «à la main» ou par recopie
d’un fichier tout prêt que l’on peut télécharger sur le site:
http://rapidshare.com/files/6312007/
DVDPlayback.framework.zip.htm
Rappel : en version française, vous voyez les noms « Système » et « Bibliothèque » à la place de System et Library. Le
chemin d’accès tel qu’il est indiqué ci-dessus reste néanmoins
valide dans le Terminal où il suffit d’ailleurs de faire glisser les
icônes pour un affichage automatique du chemin d’accès.
sudo cp /Desktop/DVDPlayback.framework/
Versions/A/DVDPlayback .
(un point à la fin)
Si vous préférer modifier le fichier «à la main» vous devrez
l’éditer en tant que super utilisateur et apporter les modifications suivantes :
Offset 669CC: 4082 0020 80A1 0040 3860 0000
7CA4 F430
-> 4082 0020 38A0 0000 3860 0000 7CA4 F430
Offset 9D7E8: 4E80 0020 7C48 02A6 429F 0005
BE01 FFC0 7FE8 02A6
-> 4E80 0020 3860 0000 4E80 0020 BE01 FFC0
7FE8 02A6
J’ai préféré télécharger le fichier tout prêt . Ca marche sur
mon G3 500 Mhz.
Michel et Dany Bonin.
Les disques durs vont disparaître
l
ES disques durs qui équipent
depuis des lustres les ordinateurs pourraient bien être supplantés plus tôt que prévu par
la nouvelle technologie Solid State
Disk ou SSD (à mémoire flash, DDR3) compatible serial-ATA (et donc Mac). Ces SSD
ont des performances décoiffantes avec
des temps d’accès aux données incomparables, aucun mécanisme en mouvement
et une faible consommation d’énergie. Ils
sont en outre tout à fait silencieux. Après
des modèles à 64 Go puis 128
Go, la société PQI propose un
support de stockage de 256 Go
construit sur la base de ce système de stockage promis à un
bel avenir, y compris dans les périphériques embarqués comme les caméscopes
(lire par ailleurs). Le fabricant SimpleTech
a présenté en avril un support de stockage SSD de 256 Go et même de 512 Go !
Ce dernier pourrait être disponible à la fin
de l’année.
Ces mémoires SSD sont déjà en vogue
avec les clés USB qui disposent désormais
de capacités largement supérieures à la
centaine de Mo. Les tarifs sont en revanche astronomiques comparés aux mêmes
capacités des disques classiques.
A titre indicatif, le SSD de 64 Go de
PQI dépassait les 2 000 € en février dernier. SimpleTech table sur un coût de
1 000 € pour son SSD à 512 Go mais pas
avant 2012.
é
Réseau
La jungle des modems-routeurs ADSL
lément indispensable pour une
connexion ADSL, ce périphérique
a évolué depuis l’USB (très mal
supporté sur Mac) jusqu’aux Box
(Free, Orange, Neuf, etc..) qui sont en
fait des modems ADSL avec une fonction
routeur.
C’est justement ce qui complique la
tâche car cette fonction de routeur intègre un pare-feu, qui comme son nom
l’indique bloque tout accès depuis l’extérieur (ce qui rend le contrôle et autre
fonction distante bien complexes à mettre en place).
Actuellement, avec le regroupement
des FAI (fournisseurs d’accès Internet),
le marché des modems/routeurs ADSL
est classé en deux catégories : les Box et
les indépendants.
e
Les Box :
Ce sont des modems / routeurs ADSL
à la « sauce » de chaque FAI (logo et
fonctions en plus ou moins) et parfois un
contrôle total : FREE et la Freebox.). La
plupart sont proposés en Wifi, avec les
fonctions TV et téléphonie, mais en cas
de panne, il est bien difficile de s’en sortir
ne serait-ce que pour appeler le dépanneur !
Les Indépendants :
Netgear, Linksys, D-Link etc... sont
beaucoup plus flexibles et permettent au
moins 4 connections filaires simultanées
(pour les Mac et NAS), plus le Wifi (pour
les DMA et portables). A réserver aux
amateurs éclairés et bidouilleurs. Ils sont
souvent complexes à configurer, même si
certains constructeurs incluent la documentation dans le routeur en français, à
défaut d’une version papier anglaise.
Le choix :
Si vous maîtrisez bien les notions de
réseau, prenez un appareil indépendant
qui vous apportera plus de paramètrage
et de contrôle sur votre installation (notamment WIFI).
Si vous n’y connaissez pas grand
chose, faites confiance aux FAI et à leur
« Box » : tout est intégré et le paramétrage est simple et souvent assisté par
les hotlines.
www-fr.linksys.com
www.netgear.fr/
www.dlink.fr/
www.bewan.fr/
Prix : environ 50 euros
Compatibilité : totale sur tous les systèmes à ce jour
é
MATERIEL
é
Digital Media Adapter
Plus efficace que le système AirTunes
igital Media Adapter sont des appareils orientés musique mais qui cachent de petits ordinateurs capables
de récupérer un signal WIFI afin de le diffuser vers un
amplificateur ou vers des enceintes par la prise casque.
La ressemblance avec les bornes Airtunes d’Apple est logique
car il s’agit du même principe mais certains constructeurs vont
plus loin.
d
En effet, ces DMA sont pourvus d’une fonction UPnp (auto
configuration) qui leur permet de se «débrouiller» pour trouver
l’émetteur Wifi ET le serveur de musique.
Le Mac est dépourvu de cette fonction donc fort logiquement incompatible, mais c’est sans compter sur iTunes et son
partage de musique associé à un logiciel Firefly (fournis avec
des DMA). Cet ensemble va permettre une parfaite cohésion et
donc la diffusion de toute la bibliothèque iTunes vers le DMA.
Les plus par rapport aux bornes Apple :
- Certains disques NAS (réseau) sont équipés du système
UPnp ainsi que d’un serveur de musique. Dès lors ils peuvent
communiquer et diffuser la musique qu’ils stockent directement
avec le DMA (Mac éteint) !
- Ces DMA sont capables d’aller trouver et diffuser aussi
des radios internet (surtout les étrangères qui nous sont inconnues) : La recherche des radios est un peu complexe tant
la diversité est grande et les URL variées même pour une seule
radio (ex : Europe 1). La plupart du temps il faut se rendre sur
le site du constructeur qui a déjà répertorié les radios (.pls)
compatibles. Il suffit alors de recopier l’adresse dans le DMA
(via Safari) car ce sont de véritables petits ordinateurs (ex : le
SoundBridge HomeMusic de Roku).
Le fin du fin : le partage de musique via iTunes fonctionne
avec le protocole Bonjour. Or le fait d’activer un serveur de musique compatible, « déclenche » la liaison. Dès lors, le DMA est
accessible depuis un navigateur web (Safari) parmi les périphériques Bonjour ! : c’est si simple.
Produit : SoundBridge HomeMusic
FireFly : (Panther et Tiger) : www.rokulabs.com/pinnacle/fr/firefly.php
Prix : environ 130 euros
www.pinnaclesys.com/PublicSite/fr/Products/Consumer+Products/Digital+Media+Adapters/Digital+Media+Player/SoundBridge+HomeMusic.htm
Trouver des pilotes pour les périphériques
Où trouver des pilotes (ou drivers) pour faire fonctionner les imprimantes ou tout autre périphérique de
marque Epson ?
marque Xerox ?
http://esupport.epson-europe.com/
SoftwareListing.aspx?lng=fr-FR
www.support.xerox.com/go/prodselect.
asp?Xlang=fr_FR&metrics=HDR
Puis sélectionnez votre modèle à l’aide du menu déroulant
marque Canon ?
http://fr.software.canon-europe.com/
marque Lexmark ?
http://downloads.lexmark.com/cgi-perl/
downloads.cgi?ccs=75
é
Boîtier nas
Partager des documents sur le réseau
l
’avènement des Box (Free, Orange, Neuf, etc...) ont fait entrer dans
les foyers la notion de réseau et par
la même occasion de partage de
documents. Une question alors, se pose :
comment partager des documents, voire
les centraliser et ainsi éviter les multiples
versions d’un même fichier ?
A cette question, nombre de constructeurs ont tenté de répondre par des boîtiers de toutes sortes (disque USB/Firewire, Hub Ethernet/USB, etc...).
Parmi ces produits, on trouve une catégorie NAS (Network Attached Storage)
qui se distingue par des fonctions intégrées aux boîtiers, ce qui les rend plus ou
moins autonomes.
C’est le cas de la gamme Synology
caractérisée par l’ajout de fonctions serveurs comme WEB, FTP, Photo (logiciel
spécial), Serveur iTunes, etc...
Le principe de fonctionnement est
simple :
Brancher le boîtier NAS sur votre réseau (sur la Box ou via un hub réseau),
lancer Safari pour configurer en français les fonctions en tapant l’adresse :
http://synology.local.:5000/
Le reste est simple grâce à la documentation au format PDF . Une case à
cocher active ou non les services (ITunes,
serveurs de fichiers) auxquels il suffira de
donner un nom, puis création d’un compte d’accès pour accéder à ce service
ex :
création du dossier : mes_photos
création du compte : avosmac avec
accès total sur le dossier mes_photos
Pour tester, cliquer dans Mac OS X
dans Aller / Se connecter au serveur
et taper synology.local. Il sera demandé
le nom et mot de passe du compte créé
auparavant : c’est fini.
A noter que les NAS de Synology ont
quelques avantages : ils sont ventilés
donc peuvent rester allumés en permanence. Tous les menus sont en français,
ils intègrent une fonction de sauvegarde
sur un disque externe USB et cerise sur
le gâteau, leur utilisation est totalement
transparente comme s’il s’agissait d’un
produit « Apple ».
Prix : environ 1 euros par Go
(selon la capacité du disque dur acheté avec)
www.synology.com
é
MATERIEL
é
Transfert d’images et partage
d’appareils photos
l
E logiciel «Transfert d’images» propose une fonction assez méconnue,
qui est le partage du contenu des
appareils photo. Il permet un partage des photos au sein d’un réseau local,
mais également via Internet.
Cela permet de partager des photos
que l’on ne souhaiterait pas forcément
récupérer sur sa propre machine, tout
en étant dans l’impossibilité de prêter la
carte mémoire ou l’appareil photo à la
personne voulue.
Pour cela, lancez d’abord le logiciel en
question, qui se trouve dans votre dossier
Applications. Branchez ensuite votre appareil photo à votre Mac, et quittez iPhoto
s’il se lance. Rendez vous ensuite dans les
préférences du logiciel. Dans la section
partage, cochez la case « Partager mes
appareils », et sélectionnez ensuite l’appareil voulu dans la liste.
L’appareil photo est alors accessible via le menu « Appareils » du logiciel
Transfert d’images, lancé sur les autres
machines branchées sur le même réseau
local que votre Mac. Il suffit de taper la
combinaison de touches Pomme B, ou cliquer sur « Parcourir le contenu des appareils » du menu. L’appareil photo apparaît
alors dans la liste « Appareils de transfert
Activez les partages.
d’images distants ».
Ensuite, si vous cochez la case « Activer le partage via le Web » des préférences, vous pourrez donner accès à
vos photos au travers d’Internet. Vous
pouvez protéger l’accès par un mot de
passe. Attention, le nom demandé lors de
la connexion n’est pas le «Nom partagé»
des préférences, mais le nom du compte
Accédez à votre appareil photo par le réseau local...
...ou par le Web
que vous utilisez sur votre Mac.
L’appareil est alors disponible par le
net, en entrant l’adresse apparaissant
sous la case à cocher pour l’activation de
ce partage. Si aucune adresse n’apparaît,
cliquez sur « OK », et ouvrez à nouveau
les préférences.
Attention, si vous êtes au sein d’un réseau local, derrière un routeur, l’adresse
indiquée est locale. Pour obtenir votre véritable adresse IP, tapez l’adresse http://
whatismyip.org/ dans un navigateur
(Safari, Firefox...). Fournissez ensuite
cette adresse IP, précédée de « http:// »
et suivie de « :5100/ », ainsi que le nom
de votre compte et le mot de passe éventuellement choisi, à la personne voulue.
Cette dernière pourra ainsi avoir accès au
contenu de votre carte mémoire.
Le partage peut fonctionner même
après avoir quitté Transfert d’images. Cependant, il faudra cocher l’appareil photo
dans les préférences à chaque branchement de celui-ci.
P.-M. Leheup.
é
s
Télécommander Front-Row avec Salling Clicker
alling Clicker, fameux logiciel permettant de piloter un Mac
grâce à un très grand nombre de
téléphones portables, et même de
PDA, par Bluetooth ou par Wifi, apporte
une nouvelle fonction de série, intéressante pour les personnes ne disposant
pas de la fameuse Apple Remote et ayant
installé Front Row sur leur Mac.
La dernière version de ce logiciel
propose un script Front Row permettant
d’émuler la télécommande d’Apple avec
ses 6 boutons.
Ce script est en fait caché au sein d’un
autre : le script «System». Après avoir activé le logiciel, accédez à Salling Clicker
sur votre cellulaire ou votre PDA, et lancez
le script System. Vous pourrez alors lancer
Front Row comme avec la télécommande
Apple. Utilisez ensuite le joystick ou les
touches de navigation du téléphone pour
vous déplacer au sein de l’interface.
Autre Fonction intéressante de cette
Apple Remote de substitution : elle vous
permet de piloter le logiciel au premier
plan comme le feraient les flèches et la
é
touches entrée. Cela
vous permet donc de piloter iTunes au premier
plan, sans avoir à lancer
Front Row.
Le logiciel Salling
Clicker n’est pas gratuit,
22,32 € exactement,
mais si vous possédez un téléphone ou
un PDA compatible, il
apporte des fonctions
intéressantes (pilotage
d’iTunes dans un style
iTunes light, contrôle
de PowerPoint, de Keynote...), et remplace
de façon avantageuse
une éventuelle télécommande dont vous feriez
Salling Clicker se greffe dans les Préférences Systèmes.
l’acquisition pour un prix
souvent supérieur. Ce
www.salling.com/Clicker/mac/
logiciel est disponible en téléchargement
libre, cependant, l’utilisation est limitée à
30 clics si vous ne le payez pas.
P.-M. Leheup.
Scanner avec Transfert d’images
ac OS X propose un logiciel polyvalent de traitement
des sources d’images qui est Transfert d’images. Une
de ses possibilités est de permettre la gestion de la numérisation d’images, sans avoir recours à des logiciels
comme Photoshop ou ceux livrés avec les scanners.
Avant toute chose, vérifiez bien que les drivers du scanner
sont bien installés sur votre machine et que le périphérique est
relié à votre ordinateur. Lancez ensuite le logiciel Transfert d’images. Si une fenêtre apparaît en bas à gauche de votre écran avec
m
indiqué «Aucun appareil de transfert d’images», cela signifie que
le scanner n’est pas reconnu. Vérifiez bien que les drivers installés sont les bons, et que le scanner est bien branché et sous
tension.
Si tout se passe bien, une fenêtre de visualisation va s’ouvrir,
et un aperçu de l’image sera automatiquement effectué (selon
les marques de scanner). Il suffit ensuite de sélectionner la zone
à scanner à l’aide de la souris, de régler les différents paramètres
comme la résolution, le nom du fichier, le dossier dans lequel
l’enregistrement sera fait, le format de l’image...
Il ne vous reste alors plus qu’à cliquer sur le
bouton «numériser» pour scanner l’image.
Vous avez accès à toutes les capacités du
scanner, comme, le cas échéant, la numérisation
de diapositives ou de négatifs (onglet «Transparence») ou la gestion de bacs de numérisation
(onglet «Bac auto»).
Tout ceci est possible grâce au protocole Twain
qui facilite la connexion entre les scanners et les
ordinateurs, et qui est supporté par la plupart,
voire la totalité des marques de scanner.
P.-M. Leheup.
MATERIEL
é
Transfert d’images, mieux qu’iPhoto ?
Photo est bien, mais il lui manque une fonction
fondamentale : visualiser le contenu de l’appareil photo pour choisir les photos à récupérer,
ou à effacer. Heureusement, Apple fournit un
logiciel qui sait faire tout ça.
i
Commencez par lancer le logiciel « Transfert
d’images » puis branchez votre appareil photo numérique. Immédiatement, apparaît une fenêtre vous
permettant, à la manière d’iPhoto, de récupérer toutes les photos dans le dossier indiqué, grâce au bouton « tout télécharger ». Mais il y a mieux : le bouton « Télécharger uniquement » vous donne accès
à une nouvelle fenêtre, sur laquelle vous découvrez
toutes vos photos, avant même de les télécharger.
Deux présentations cohabitent. La première est
le classement par icône (comme iPhoto), dont la
taille peut être ajustée à l’aide du curseur « Taille
de vignette », en haut de la fenêtre. Un clic droit
sur une photo permet de changer l’ordre de présentation : par nom, par date, par temps d’exposition ou ouverture du diaphragme… La deuxième
est un classement par liste (dans le style d’iTunes),
qui présente l’avantage d’afficher de nombreuses
informations sur les conditions de prise de vue. Il
est possible d’ajouter des colonnes, d’un simple clic
droit sur le titre de l’une d’elles. Là aussi, d’un simple
clic sur le titre d’une colonne, vous pouvez classer le
contenu de votre appareil photo par temps de pose,
par utilisation du flash…
La fonction « Télécharger uniquement » permet de ne sélectionner
que les photos dont on souhaite le transfert.
Tout cela n’est qu’un début : Transfert d’images
permet surtout de ne télécharger que certaines photos. Rien de plus simple : passez en présentation
par liste, puis cliquez sur chaque photo à récupérer
tout en maintenant la touche Commande (pomme)
appuyée. Une fois vos photos surlignées, cliquez sur
Télécharger.
Encore plus fort : si vous souhaitez simplement
faire de la place sur votre appareil photo numérique, ou supprimer quelques clichés avant de lancer
iPhoto, vous pouvez répéter la manipulation pour
sélectionner des photos, puis choisir le menu « Edition > Supprimer ». Et voici comment un logiciel
inconnu, mais vieux comme le monde, vient au secours d’iPhoto.
J.-B. L.
Dans cette situation, il vous est possible d’effacer des photos de votre carte.
iPod
iPodDisk
L’iPod est aussi un disque dur
l
A seule façon à ce jour pour remplir un iPod est de passer
par iTunes via la synchronisation. Il existe un autre moyen,
beaucoup plus simple et rapide. iPodDisk va monter l’iPod sur
le bureau comme un volume que vous allez par la suite remplir
par les dossiers : Playlists, Albums, Artists et Genres.
En fait, ce logiciel accède à l’iPod en créant à la volée un accès
iPodDisk type webdav sur le port 8765 ce qui provoque le montage
d’une deuxième icône sur le bureau. En revanche, il faudra « démonter » cette icône ET celle de l’IPod. C’est aussi simple que ça !
http://ipoddisk.ourbiti.com/
Gratuit
iPodDisk permet de gérer le contenu de l’iPod comme un disque dur.
Lastfm.fr
Une fois inscrit, vous pouvez partager vos goûts
musicaux sur lastfm.fr
s
I vous souhaitez partager vos goûts
musicaux et publier vos charts personnels (ou profiter de ceux publiés par
d’autres membres) jetez un oeil et une
oreille sur www.lastfm.fr
Vous pourrez y créer un profil personnalisé ;
chaque titre que vous écouterez sur iTunes (ou
iPod Reset Utility
pple propose depuis quelques semaines un nouvel utilitaire : iPod Reset Utility.
Utilisez l’Utilitaire de réinitialisation iPod pour rétablir les réglages d’origine
sur les modèles d’iPod suivants, dans les cas
où iTunes n’y parvient pas :
• iPod shuffle (de première génération)
• iPod shuffle (de seconde génération)
a
Partager ses goûts musicaux
même sur votre iPod) figurera dans votre liste d’écoute personnelle, liste qui apparaitra
en signature de vos posts (pour peu que vous entriez le code de votre profil Last FM
dans la case « signature » des forums auxquels vous participez, le BBcode étant activé).
Liste évolutive bien sûr, puisqu’elle retracera les 5 (ou plus) derniers titres écoutés. Les
titres et artistes affichés dans votre « hit parade» personnel deviennent bien sûr des
liens cliquables, ce qui permet à vos lecteurs de découvrir ou de détester vos choix ! Les
titres écoutés /proposés viennent également alimenter des radios virtuelles classées par
thème musical que l’on peut écouter en continu (mais avec cet avantage énorme sur les
radios qui est que l’on peut « sauter » un titre qui ne nous convient pas, voire demander
à ne plus jamais le réentendre !).
Last Fm offre beaucoup d’autres possibilités et d’opportunités à découvrir (en particulier en fonction de vos choix d’écoute il vous renvoie à des listes succeptibles de vous
convenir). Le logiciel à charger fonctionne sous Tiger, mais les versions antérieures ne
sont pas oubliées et bénéficient de plug in spéciaux. Firefox est recommandé. Une fois
encore le système est bien plus maniable sous Mac que sous PC.
Hensley (forum Avosmac)
Réinitialiser le baladeur Apple
Le processus de restauration efface entièrement toute la musique et toutes les données se trouvant sur votre iPod, puis installe
le logiciel sur l’iPod.
L’Utilitaire de réinitialisation iPod résout
les problèmes suivants :
• L’iPod ne reproduit pas la musique comme prévu et sa restauration à l’aide d’iTunes
est impossible.
• L’iPod n’est pas reconnu par iTunes
mais reste visible dans Poste de travail ou
dans le Gestionnaire de périphériques sous
Windows, ou dans Informations Système Apple sur Mac.
• L’iPod shuffle (de première génération)
est identifié en tant qu’appareil en « mode
de récupération ». L’iPod shuffle (de seconde
génération) est identifié en tant qu’« appareil
DFU USB ».
www.apple.com/support/downloads/ipodresetutility10formac.html
BANC D’ESSAI
Elgato
L’encodeur Turbo 264 tient ses pro
l
’iPod 5G et, plus récemment, l’AppleTV,
obligent à convertir les vidéos au format
H.264. Cette conversion est possible à partir
de nombreux logiciels, parmi lesquels :
QuickTime Pro, iTunes, iSquint, VisualHub, EyeTV,
DVD to AppleTV Converter…
Las, les durées d’encodage varient d’un logiciel à
l’autre : QuickTime Pro, par exemple, se révèle bien
moins véloce que VisualHub.
Toutefois, même avec VisualHub, la conversion
d’un film d’1h30 dure, dans notre configuration(1),
environ 13 h et obère notablement les ressources
système.
La commercialisation, par la société munichoise
Elgato, d’un encodeur matériel répondant au
doux nom de Turbo.264 a fait bondir le tigre qui
sommeillait en nous. Carte bleue en main, nous
avons acheté le précieux appareil censé accélérer
l’encodage des films et… les résultats sont là.
Le Turbo.264 permet d’encoder, en moyenne,
six fois plus rapidement. Il permet aussi d’obtenir
un meilleur taux de compression pour les vidéos à
destination d’un iPod. En contexte AppleTV, aucune
différence notable sur la taille des fichiers n’a été
constatée. Le Turbo.264 collabore magnifiquement
bien avec le logiciel EyeTV, édité également par
Elgato.
Tout tourneboulé par ces résultats, et sachant
que le Turbo.264 est capable de s’adosser à un
certain nombre d’applications tierces, nous l’avons
associé à VisualHub, de façon à vérifier si nous
pouvions encore grapiller de précieuses secondes
sur la durée d’encodage.
L’utilisation de VisualHub avec Turbo.264 est
intéressante dans le cas de DivX ou de fichiers DV
destinés à être lus sur un iPod : on gagne alors sur
la durée d’encodage tout en conservant le bénéfice
de l’excellent taux de compression obtenu par
VisualHub. En revanche, s’il s’agit de convertir les
fichiers pour AppleTV, il est alors préférable d’utiliser
le Turbo.264 seul.
En effet, Elgato fournit avec son encodeur
matériel un logiciel dont l’interface est à l’image
du stick USB : sobre et élégant. Le logiciel permet
d’encoder « par lots » et sait lire la plupart des
formats vidéos existant à ce jour. Il lui a suffit d’1h45
pour convertir une vidéo d’1h36 au format wmv.
Benoit Salles.
(1)
Les tests ont été réalisés avec un iMac G5 cadencé à 1,9 GHz, doté de 1,5 Go
RAM et équipé d’un disque dur de 250 Go monté en miroir (RAID1). Cet iMac
tourne sous Mac OS X 10.4.9. La séquence vidéo initiale a été acquise via le
tuner TNT Miglia TVMini, puis déclinée au format EyeTV, AVI et DV. Le choix s’est
porté sur une durée d’une minute, afin de mieux apprécier les rapports de durée
liés à l’encodage.
(2)
Elgato : www.elgato.com/index.php?file=products_eyetvturbo
VisualHub : www.techspansion.com/visualhub/
(3)
Résultats détaillés
Turbo.264
omesses
Le Turbo 264 est vraiment la plus performante de toutes les solutions proposées sur Mac.
Turbo 264 d’Elgato offre d’intéressantes
possibilités d’encodage pour l’Apple TV.
courrier
Applenews.mqcd.fr
L’Apple TV, pas si génial que ça
Ce message pour vous signaler
l’ouverture de http://applenews.
mqcd.fr, site communautaire (oui
encore un digg like) exclusivement
réservé à l’univers Apple. C’est la
profusion de sites à l’emblème de la
Pomme qui nous à décidé à le créer.
A l’inverse de beaucoup, les articles
sur applenews.mqcd sont automatiquement publiés en première page,
le vote n’est là que pour signaler la
qualité de l’article.
Récent «switcher» et déjà lecteur régulier d’Avosmac, je ne partage cependant
pas votre enthousiasme pour l’AppleTV dans le numéro de mai.
En effet, la possibilité de convertir des DVD par Handbrake (ou D-Vision 3) implique d’abord que les-dits DVD ne soient pas protégés.
Autrement dit, il faut passer par un rippage effectué par un logiciel qui, à ma
connaissance, contrevient à la loi DAVSI (enfin, je dis ça mais en Belgique, on n’a
pas le problème), comme Mac-the-Ripper p.ex.
Bref, ripper, comprimer, transférer, ça fait beaucoup d’étapes pour un utilisateur
« alpha » qui se contente généralement d’insérer un DVD dans une platine, et qui
par ailleurs risque de vite saturer les 40 Go standards.... Quant aux divx/xvid, il faut
aussi repasser par la phase « reconversion » (que D-Vision - menu outils, fait également très bien). Et pour celui qui est prêt à effectuer ces opérations, des solutions
moins onéreuses et plus souples existent depuis longtemps comme les platines
DVD-Divx Kiss (avec disque dur intégré, ethernet/wifi) ou les appareils de type
« mediacenters ». Ces solutions offrent plus de capacité de stockage et le support
de formats tels divx-xvid-ogg sans oublier évidemment la lecture de DVD pour les
platines Kiss (et comparables). Un excellent site à ce propos: www.mpcclub.com
Bref, le « bidouilleur » que je suis conserve encore sa platine Kiss (disque 80Go)
pour quelques temps, même s’il faut le concéder, l’interface est «préhistorique»
comparée à Frontrow.
Guy De Lathouwer.
Nous sommes en train de peaufiner, les catégories afin de pouvoir offrir un panel aussi large que possible.
Pascal Oziol.
Montages photos
Je viens d’acquérir un Mac Intel .
avant j’étais sur Mac OS 9.
Pour mon site interent je fais des
montages images. Je le faisais avec
Appleworks. Désormais je ne sais
comment faire.
Chucky9 (forum Avosmac)
Avosmac : Tout d’abord, AppleWorks bien que plus livré avec Mac
OS X fonctionne toujours, même dans
un environnement Tiger. Et c’est heureux tant ce logiciel était pratique.
En lieu et place de cet outil souple,
vous pouvez utiliser les modules de
dessin
d’OpenOffice.org/NeoOffice.
Bien que moins souples, ils offrent les
mêmes possibilités. Il existe aussi une
kyrielle de logiciels qui peuvent vous
permettre de réaliser des montages
propres comme The Gimp ou même
Inkscape, autant d’applications qui
ont été présentées dans nos colonnes
et dans celles, surtout, d’OpensourceMagazine, un autre de nos titres.
Le site d’iDuck
Merci Avosmac d’avoir parlé de
mon site dans le dernier numéro. Et
merci pour les compliments. Surtout
que c’est vraiment fait sans prétention
et que je suis un néophyte complet en
la matière (merci iWeb).
Il y a juste un hic. J’ai quitté Wanadoo pour Free. Donc l’adresse donnée
dans l’article n’est plus la bonne. La
bonne est : http://lasserreg.free.
fr/site/download.html
iDuck
Avosmac : Nous ne sommes pas loin de partager ce point de vue même si
Handbrake se révèle nettement plus performant que le dit Guy. Aucun de nos DVD
n’a résisté. La capacité de l’Apple TV est certes très insuffisante, et ce point a été
souligné comme un gros défaut de l’Apple TV. Mais la diffusion du film en continu
depuis un disque dur branché à un Mac est aussi possible. Cela dit, le succès
commercial mitigé de l’Apple TV semblerait confirmer les réserves émises par les
premiers utilisateurs.
Les shadock pompaient, pas Avosmac
Destinataire fin mai, d’un mail en provenance d’Avosmac annonçant la sortie d’Avosmac n°74, Denis Boisseau n’a pas perdu une minute de son précieux temps pour nous
envoyer une salve de reproches.
Il nous accuse notamment d’avoir « entièrement repompé » auprès d’un magazine
concurrent l’article de la page 9 écrit par Henri-Dominique Rapin et intitulé « Changer
la taille des partitions à chaud». Non content de nous porter cette accusation et de
souligner que « ce n’est pas très joli de se comporter ainsi », il nous a mis au défit de
publier son mail. Nous nous empressons de le faire.
Nous avons rarement l’habitude de nous dégonfler d’autant que l’accusation de Denis Boisseau est totalement infondée. L’auteur de l’article, Henri-Dominique Rapin est le
même qui écrit par ailleurs. Il se trouve que cet article proposé à notre rédaction il y a
des mois par l’intéressé a mis un certain temps à passer de nos disques durs aux pages
du magazine. Impatient sans doute de lire sa prose noir sur blanc (et d’être légitimement payé pour son travail), Henri-Dominique a proposé le même sujet à nos concurrents, sans que nous en soyons pour autant avisés. La parution des deux articles en
deux endroits différents écrits par le même auteur s’explique tout simplement ainsi.
Personne n’a copié personne et nous ne pouvons que regretter que l’auteur ne nous
ait pas avisé de son intention de doublonner.
Denis Boisseau aurait, d’autre part, pu souligner que l’article supposé « entièrement
repompé » était, à la vérité, totalement différent dans sa forme bien qu’écrit par la
même personne, sur le même sujet. Ce qui, de surcroît, n’a rien de répréhensible.
Restons-en au Safari
Dans le numéro 70, page 22, vous conseillez de recopier dans Internet Explorer
l’URL donnée par Activités dans Safari de façon à télécharger la vidéo. Pourquoi faire
simple quand on peut faire compliqué ?
Restons donc dans Safari, et copions-y l’URL (surtout sans faire Entrée). Ouvrons la
fenêtre des téléchargements (raccourci Pomme Alt L) et glissons-y l’icône de l’URL. Le
téléchargement démarre. Olivier Herz.
courrier
A propos de généalogie et d’AppleWorks
Je lis toujours avec intérêt votre revue et voudrais vous faire part de deux suggestions:
1
Faisant moi-même de la généalogie depuis de nombreuses années, j’ai parcouru l’article d’Etienne Martin sur OhmiGene. J’ai été également déçu par le
logiciel HEREDIS X que j’ai acheté mais que je n’utilise pas ! Par contre, je reste sur
la version antérieure qui était très bien ! Pourquoi ? Tout simplement parce que la
nouvelle version est plutôt faite pour une généalogie familiale limitée à une famille
avec des enjolivements alors que la version précédente se prête mieux à ceux qui
visent plusieurs familles avec des références d’Archives (registres, minutes) à noter.
C’est mon cas avec presque 10 000 fiches à gérer. . . et je ne suis pas le seul.
Ma suggestion : puisque vous parlez du fichier GEDCOM, pourquoi ne pas faire
un petit article sur ce fichier, sa construction, sa gestion ? Après tout c’est un fichier
informatique comme un autre . . .
2
Malheureusement, et vous le savez, Apple abandonne AppleWorks . . . après
avoir encouragé le monde enseignant à l’adopter ! Pour nous utilisateurs se
pose évidemment le problème de la conversion de stocks de fichiers. On peut les
convertir un à un sans doute vers un programme plus sûr comme Microsoft Word
mais c’est pénible… d’où ma suggestion: nous faire un article sur les convertisseurs
globaux, avec des références Internet…
En définitive, ces deux suggestions se rejoignent. Nous voulons des fichiers
indépendants du temps !
Robert Faverge.
Paypal pas français
Je découvre votre magazine avec joie. Il est bien fait et
surtout en français. J’ai presque acheté un CD de formation en ligne.Je ne l’ai pas fait car au moment de choisir le
pays Canada, votre logiciel de vente passe automatiquement en anglais. Je comprend très bien l’anglais, là n’est
pas le problème. Pour votre information, nous sommes
8 millions de francophones au Canada (7 au Québec ).
Je suis certain que vous ne vendez aucun magazine aux
anglophones d’ici. Alors de grâce, corrigez cette situation
si vous voulez faire des affaires avec les Québécois.
Michel St-Jean.
Avosmac : Le problème c’est, qu’hélas, le service de
paiement en ligne est assuré par Paypal, une société de
droit américain qui n’a que faire de nos demandes de localiser la langue lors des transactions. Le problème se pose
avec autant, sinon plus, d’acuité pour nos voisins suisses
qui se retrouvent directement dirigés vers une page en
allemand alors qu’une part de la population parle en français en ne comprend rien à la langue de Goethe. Pour
pallier cet inconvénient, nous recherchons une alternative
aussi souple que Paypal, sans l’avoir trouvée.
J’avais lu dans un de vos numéros que certains iMac
G5 étaient rappelés par Apple, peu après leur lancement.
Je pense être en possession de l’un d’eux. Un composant
de la carte-mère semble lâcher provoquant des Kernel
Panic au démarrage. Pouvez-vous me communiquer les
références des produits rappelés ou me dire ou trouver
cette information. GM
Avosmac (merci à... GM) : Il s’agit du hors série n°
15 (4° trimestre 2005), page 5 : « L’iMac G5 n’est pas
blanc comme neige ».
Silence au
démarrage
Suite a l’article de
votre nº 70 page 8 (comment rendre un Mac silencieux au démarrage),
Safari m’indique « serveur introuvable » avec
l’adresse indiquée dans
votre revue :
www.5e.biglobe.ne.jp/
~arcana/index.en.html
Où est l’erreur ? S’il
y a erreur. Bravo pour
votre revue, très intéressante pour un nouveau
venu sur Mac.
Roger Havard.
Avosmac : L’adresse
du site a effectivement
été modifiée. Voici la
bonne jusqu’à nouvel ordre :
www5e.biglobe.ne.jp/
~arcana/StartupSound/
index.en.html
Pas d’URL sur le forum
Lors de mon inscription sur le
forum Avosmac, dans mon profil,
j’ai mentionné l’adresse du site de
notre club :
http://web.mac.com.rdelhaise
Vous est-il possible de reprendre cette adresse dans le champ
approprié ?
Roland Delhaise.
Avosmac : Pour éviter les sites
indésirables (médicaments, pornographie, etc), nous avons désactivé cette fonction sur les forums
techniques de nos magazines.
Mais vous pouvez faire apparaître
l’adresse de votre site dans votre
signature lorsque vous postez un
message ou postez une réponse à
une question d’un internaute.
Injuste ?
Je suis abonné, mais je ne
conserve pas l’intégralité des anciens numéros pour des raisons de
place.
Si je souhaite retrouver un
article ancien, dois-je payer pour
télécharger ? Ce serait un peu injuste...
Jean Mauriac.
Avosmac : A notre avis, la véritable injustice, ce serait de rendre gratuit un service qui est payé
par d’autres. L’ajout de la version
numérique à un abonnement classique avec hors-série ne représente qu’un surcoût de 15 euros, soit
1,05 euro par numéro en version
PDF (11 numéros + 3 HS). Cette
formule d’abonnement existe depuis fort longtemps et est adoptée par de plus en plus d’abonnés. D’autres préfèrent carrément
l’abonnement à la seule version
numérique. Il est aussi possible
de se procurer la collection complète d’Avosmac pour 39 euros, ce
qui représente près d’une centaine
de numéros en PDF, soit moins de
40 centimes le numéro.
24
Abonnement version papier 1 an - 6 numéros pour 24 euros (30 € pour l’étranger et DOM-TOM)
Abonnement version papier + PDF 1 an - 6 numéros pour 34 euros (40 € pour l’étranger et DOM-TOM)
Abonnement version PDF uniquement 1 an - 6 numéros pour 15 euros
Faites démarrer mon abonnement à partir du numéro : ……
Les 7 premiers numéros version PDF pour 19 euros
AU
VE
OU
N
Ì
Je commande le CD contenant
les numéros 1 à 9 pour 23 euros
la collection
PDF
Je commande le CD contenant
une année complète pour 15 euros
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Les 7 premiers numéros version papier pour 24 euros
l’année complète
2006 ou 2007
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