Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) FUSELAGE CENTURY
Transcription
Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) FUSELAGE CENTURY
Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Je vous propose de montrer pas à pas les travaux que j'entreprends depuis décembre 2009 pour traiter mon fuselage « BELL 222 » en semi-maquette. C’est ma 1ère réalisation en « hélico » et je souhaite largement utiliser ma « CNC » pour mener à bien ce projet. Dans ce sujet, je mettrai les liens des informations que j’ai trouvé sur internet et qui me permettent d’avancer dans de bonnes conditions. Mon projet: 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. Une mécanique 60 d'un millénium, Un BELL 222 de chez CENTURY taille 60, réalisation du train rentrant arrière avec amortisseur hydraulique de voiture RC, réalisation du train rentrant avant auto directionnel avec amortisseur hydraulique de voiture RC et trappes centrale des éclairages, conception du phare d’approche et animation des feux de position, conception du cockpit avec son tableau de bord, les sièges et la liaison avec le train rentrant avant, ouverture des portes et doublage de celles-ci avec mise en place de raidisseurs et points d'encrage sur la mécanique dans le fuselage, accessoires extérieurs, finition du fuselage avec simulation des rivets et mise en peinture, essais en vol, aménagements intérieurs de l'avant du fuselage. Je disposais d’une numérisation complète en 3D d’un fuselage de BELL 222 de chez VARIO (http://www.vario-france.com/) mais le maillage du fichier ne m’a pas permis d’en retirer quoi que ce soit. Avoir le fuselage à disposition fut réellement le départ des travaux. Il me reste maintenant deux choses à faire : • • Un dispositif électronique permettant de régler les fins de courses du servo et sa vitesse afin que le mouvement soit réaliste, le montage dans le fuselage de manière à ce qu'il reste accessible pour d’éventuelles interventions. Fuselage tel que livré avec la mécanique mise en place pour se rendre compte de l’espace restant à l’intérieur. L'ensemble pèse 230gr avec le système UNISERCOM pour ralentir et régler les butées de déplacement. Phase 3 (janvier-mars 2010): Les pièces en 2D et en 3D sont usinées avec une CNC que j'ai fabriqué en décembre 2008. Après donc un 1er prototype, voici, en photo, la dernière conception qui me paraît aujourd'hui satisfaisante: Voilà tout un programme qui représente de nombreuses heures de travail en perspectives ; mais bon... le résultat en vaut sans doute la peine. Les masters des moules sont usinés dans du médium, avec une fraise de Ф3mm pour dégrossir et avec une fraise de Ф1,6mm en passes de 0,4mm pour la finition. Ces petites passes réduisent considérablement les opérations de ponçage finales. Ils sont ensuite traités avec de l'enduit nitro-cellulosique chargé talc pour obtenir une finition lisse et brillante au bout de 2 ou 3 couches: Phase n° 1 : Master du support de roue: 10. 11. Tout d’abord il me fallait trouver une mécanique suffisamment fiable et puissante pour enlever les 6 à 7kg prévisibles que fera la « machine ». Comme toujours, cela prend du temps car pour un coup d’essai, je ne voulais pas investir dans une mécanique neuve. Après quelques semaines de recherches, finalement j’avais la solution à coté de chez moi, dans mon club. « Fredoc » vendait son Millénium Classe 60 http://www.francesur « France-Hélico : helico.com/index.php » et je ne l’avais pas vu tout de suite… Il me fit un excellent prix pour un appareil en parfait état et je récupérais la machine avant les vacances 2009 ; merci encore « Fredoc : http://fredoc.blog4ever.com/blog/index-74164.html » et comme tu disais : « … il reste dans le club donc plus sympa… ». Si un jour tu lis cet article, j’espère ne pas te décevoir sur les futurs résultats en statique et en vol. Numérisation du projet "train arrière" Usinages et traitement du master Moules en silicone: (support de roue) 2 pièces identiques Donc la première étape était franchie. Je montais un récepteur 2,4Ghz, un Bec avec batterie LIPO, changeais 2 ou 3 chapes et jusqu’à la fin de l’année 2009, je me suis familiarisé avec son comportement en vol. On s’est même essayé de faire un peu de vol de formation avec « Fredoc » mais il faut reconnaître que mon niveau de pilotage est loin de valoir le sien et ce fut très laborieux mais pas totalement loupé… à refaire à l’occasion… Phase 2: J'ai reçu le fuselage, commandé chez CENTURY (http://www.centuryheli.fr/) , en décembre 2009 et depuis j'ai commencé à travailler sur la conception du train rentrant et réalisé, en février 2010, un premier prototype qui ne me donnait pas entière satisfaction. Je suis donc retourné à la planche à dessin pour peaufiner la cinématique. Prototype fonctionnel du train rentré Chaque train sera actionné par un servo classique genre TowerPro MG995 (13kg sous 6V - 55gr) largement suffisant pour les faibles efforts à fournir. lien pour les sevos: http://www.modelplus.fr/servomg995-towerpro-p-11.html Une vidéo sur « YouTube » pour voir fonctionnement : http://www.youtube.com/watch?v=rfDFPobfmLc Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr son date mise à jour : 12/03/2011 – page 1/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Comme dans tous projets, il y a ce qui est en cours et ce qui suit, alors pour le reste il faut malgré tout y penser : Master de la jambe de train: (2ème version pour une meilleure cinématique) Phase n°4 : Train rentrant avant auto directionnel avec amortisseur hydraulique de voiture RC et trappes : Le support de roue sera identique à ceux des trains arrières. Ce qui change c’est la jambe principale qui elle doit être modifiée pour pouvoir s’articuler et permettre ainsi à l’hélicoptère un taxiage normal. Numérisation de la jambe avant autodirectrice: Master du Noyau intérieur pour le moule de la jambe de train : Pour la programmation du pic, j'ai donc fabriqué un programmateur sur port série (JDM) que l'on peut retrouver à partir du post ci-dessus. J'en ai profité pour utiliser ma CNC également en numérisant le circuit imprimé. Sa réalisation à été faite par gravage de la plaque cuivrée - un avantage de la CNC c'est que pour les perçages, ici 111, ils sont fait avec un forêt diamètre 0,8mm et cela en automatique. numérisation du circuit: Projet jambe du train avant Le principe est d'avoir une jambe fixe et une partie inférieure pivotante sur l'axe du vérin hydraulique et sur la partie supérieure. Le système de rappel automatique de la roue dans l'axe de la trappe de train sera fait par gravité et un guide dans le puits de train avant. Moules et noyau intérieur en silicone pour la jambe de train : Numérisation avec Autocad Construction du circuit imprimé par gravure – photos coté composants et coté pistes (vue des pistes gravées: 0,8mm et interstices de 0,8mm mini) En fait quand l’hélicoptère réel est taxié sur une piste, sa roue avant suit les virages et lorsque le Bell 222 décolle, sa roue avant est rappelée dans l'axe automatiquement avant que le train puisse entrer dans son logement (enfin c'est ce que je pense avoir compris sur les quelques vidéos que j'ai pu visionner). Je pense que faire ce détail est pertinent même sur une semi-maquette. Là l’automatisme sera celui de la gravité… j’espère que cela fonctionnera normalement. On peut voir le comportement de ce train à la fin de cette vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=LOp_aEoVKBs&feat ure=player_embedded Dans chaque moule, des cordes à piano sont insérées pour concrétiser les perçages et parfois même des tubes laiton pour les articulations. En ce qui concerne les ralentisseurs et réglages fins de course, j'ai commencé les montages UNISERCOM mais je bloque avec le programmateur de pic que je n'arrive pas à faire fonctionner actuellement car mon port série des pc dont je dispose ne développent pas les 12V requis. Qu’à cela ne tienne, l’entraide entre modélistes par l’intermédiaire des FORUM fonctionne à merveille et « WARECK » m’a programmé mes puces… je m’occuperai de mon alimentation du PC plus tard… Pour la réalisation du système UNISERCOM, j'ai pris les informations depuis le post: "Astuce pour réduire vitesse train rentrant" de « France–Hélico » : lien : http://www.francehelico.com/viewtopic.php?f=20&t=35557 et notamment les informations de WARECK. Pour les trappes de ce train avant, j'ai trouvé ceci sur "YouTtube" et donc je vais essayer de le reproduire: http://www.youtube.com/watch?v=oi2on1vgN6s&featur e=player_embedded JDM sur port série Nota concernant les travaux CNC sur circuits imprimés : Deux problématiques principales : • • La dureté du matériau pour la pénétration des outils : fraises et forets utiliser de préférence une pointe à graver pour la gravure et pour marquer les perçages… pour ma part j’ai obtenu le meilleur résultat avec une fraise cônique diamanté et pour les perçage un simple forêt. La précision tant pour la profondeur d’usinage que pour les contours… là il faut être proche du 10ème. Exemple sur une maquette... donc le fonctionnement des trappes a déjà été essayé: http://www.youtube.com/watch?v=CAQVedP_n50&feat ure=player_embedded http://www.youtube.com/watch?v=dMEcyXt1I4&feature=player_embedded Pour le moment ma numérisation est terminée et je conçois maintenant les masters des moules pour les envoyer sur la CNC. Lien : http://bateaux-alain.chezalice.fr/unisercompratique.html pour le concepteur (Philippe LOUSSOUARN) de l’UNISERCOM. Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 2/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) cours…) FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Une vue éclatée de l’ensemble : Phase n°5 (janvier 2011): Pour la centrale des éclairages, je suivais de près le projet de « WARECK »: "Centrale D'éclairage "home made" http://www.francehelico.com/viewtopic.php?f=20&t=35909 6 Documentation sur des systèmes existants : http://www.mminfo.biz/nightfly/index.ph ... e=uvod.htm Pour la répartition des lumières et du reste, j'ai trouvé ce lien sur le post: "Centrale D'’clairage clairage "home made" http://www.rclighting.net/rc_lighting_12_038.htm 5 1 Après quelques moments d’attente, je me suis décidé à me lancer directement dans la conception de mon système car j’avais en tête de faire également égalemen un tableau de bord éclairé… donc tant qu’à faire… Optique (10°) LUXEON 7 Les étapes seront donc les suivantes : • • 4 2 3 Projecteur et centrale entrale extérieurs du fuselage Tableau de bord d’éclairages Une photo plus précise du phare : Projecteur : Sur le réel, il y a deux cas de figure ; le Bell 222 avec patins d’atterrissages rrissages et celui avec le train rentrant. Ce phare est place à l’avant et sous le fuselage pour le premier et à l’arrière du fuselage pour le second. Le mien étant équipé avec un train rentrant, ce phare d’approche sera donc positionné à l’arrière du fuselage. Le tube aluminium « 1 » est de 20mm de diamètre intérieur, la LUXEON « 2 », avec son optique focaliseur (10°), est équipée d’un radiateur aluminium, les fermetures avant « 3 » et arrière « 4 » du tube aluminium seront moulées en silicone chargé de noir de crayon de papier. L’articulation sera un fil aluminium de Ф 5mm « 5 » et un « U » en aluminium « 6 ». Le schéma électronique : L’optique de la LUXEON sera protégée par une lentille thermoformée en pvc transparent « 7 ». La gestion électronique de la LUXEON et des autres Leds de navigation : Le réel avec patins : La LUXEON LU 3W sera montée en « flash » et les autres Leds en allumage « fixe ». La réalisation (début mars 2011): Ce phare, je vais l’équiper d’une Led « haute puissance » de type LUXEON 3W. Elle sera gérer par son propre dispositif électronique et une commande sur la radio. 1 - Les fils électriques et les connecteurs La conception : Le Bell 222 avec train d’atterrissage : Vue globale de la numérisation du phare : On voit ici les deux connecteurs espacés de 100mm. Le principe p sera de surmouler les fils électriques avec une patte bi-composante bi le connecteur relié au projecteur et de tourner, dans un tourillon Ф8mm celui qui se place sur le fuselage. fuselage Celui du fuselage est tourné au tour à bois… non ☺ directement dans le mandrin de la perceuse. J’utilise un connecteur connecte électrique « mâle » de batterie Lypo sur lequel je fais glisser la pièce en bois. Je place une gaine thermo rétractable, d’une longueur d’environ 80mm, puis je la rétracte. Pour finir, je moule à la main et directement sur les câbles, à l’aide de la patte, pat la pièce qui viendra se loger à l’arrière du projecteur : pièce « 4 ». Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr da mise à jour : 12/03/2011 – page 3/20 date Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) Le câble ainsi réalisé: FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 3 – fabrication de l’axe d’articulation du phare et de jonction, transmission de chaleur, de la luxeon 3W. Il restera à mettre un peu de peinture noir sur ces deux pièces et une couche de vernis pour les protéger des projections de carburant. Le support intérieur de la LUXEON et l’articulation: 5 – assemblage de l’ensemble (35gr à la pesée ☺) 2 – les pièces de fermetures du tube aluminium La pièce arrière « 4 » est prévue d’être moulée en silicone de moulage teinté dans la masse, et teintée à la mine de crayon. La pièce « 3 » sera directement moulée à la résine époxy. Les moules : Ils sont usinés pour l’un en 3D (à droite), compte tenue des parties rayonnées visibles, et l’autre en 2D (à gauche). Ici on peut voir la LUXEON et la pièce en aluminium. Les trous, pratiqués au centre de cette dernière, sont prévus pour souder la LED de puissance et garantir une bonne dissipation de la chaleur vers l’extérieur et notamment le cylindre en aluminium. Les pattes repliées permettent l’articulation du projecteur. 4 – fabrication de l’équerre en tôle aluminium de 15/10ème d’épaisseur et de la platine de montage sur le fuselage en tôle d’aluminium de 30/10ème d’épaisseur: 1 Vue de l’avant : 2 3 Une fois traité à l’enduit nitro-cellulosique chargé talc et fermé, on y injecte le silicone de moulage et l’époxy à l’aide d’une seringue. 1. équerre (aluminium 15/10ème) 2. platine (aluminium 30/10ème) 3. contre plaque pour la fixation sur le fuselage (aluminium 15/10ème). Elle servira de support à l’écrou et rondelle. Les pièces obtenues avant un montage à blanc : Les trous permettent l’injection et également le dégazage du silicone et de l’époxy qui évite les cavités de bulle d’air dans les pièces. Pour obtenir un bon démoulage, exceptionnellement le moule sur la photo ci-dessus sera traité légèrement à l’huile de vaseline car la forme à démouler est cylindrique et construite sans dépouille. L’étanchéité de la jonction du moule est traitée à la patte à modeler, sur les flancs des deux moules assemblés. Le silicone et l’époxy utilisés sont des produits très fluides qui s’infiltrent dans de tout petits espaces. Il faudra attendre au moins 24heures avant le démoulage ou alors porter l’ensemble au moins 4heures à 50°C pour accélérer la polymérisation. Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 4/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Vue de l’arrière : 6 – essais de fonctionnement et vérification de la chaleur dégagée 8 – présentation et montage sur le fuselage avec mise en place du connecteur d’alimentation électrique. 7 – anodisation des pièces aluminium en couleur noire : le tube, l’équerre et la platine Le test sera réputé satisfaisant lorsque la température restera en dessous de 60°C pendant un fonctionnement d’un quart d’heure et cela avec le maximum de luminosité. Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 5/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Réalisation : Centrale d’éclairages extérieurs du fuselage : (janvier 2011) La répartition des Leds sur le fuselage : 2 En fin de compte, en lieu et place d’un circuit dessiné pour être imprimé et fraisé tel quel, j’ai du le transformer en circuit spécifique pour le gravage. Là j’ai enfin pu sortir ma pièce. Voici l’outil en question : 1 1 4 3 Les essais sont réalisés sur une plaque d’essais électroniques, donc sans soudage des composants, pour vérifier le montage. Le résultat et plus que satisfaisant et la Luxeon 3W donne vraiment un éclat de flash très près de la réalité. Le circuit sera alimenté avec une batterie Lipo 2 éléments. La réalisation : • • • • en « 1 » : une LUXEON 3W avec capuchon de couleur rouge ; une au dessus et une en dessous du fuselage ; éclairage « flash », en « 2 » : une LUXEON 1W en allumage continu avec capuchon sans couleur et transparent, en « 3 » une Leds Ф 5mm de couleur rouge, en éclairage continu, en « 4 » une Leds Ф 5mm de couleur verte, en éclairage continu. Le schéma électronique du projet qui pilotera et les feux de position et le phare d’approche: Tout d’abord il s’agit de faire le circuit imprimé. J’ai décidé de le fraiser car cela évite l’achat d’une insoleuse et l’emploi du perchlorure de fer qui est un produit très corrosif Et le dessin du circuit : Bien qu’ayant déjà fait des essais réussis avec les systèmes électroniques du train rentrant, j’ai vraiment galéré pour celui-ci car je cherchais à réutiliser directement mes paramètres acquis. Il n’en fût rien et j’ai du refaire un tas d’essais pour au final terminer avec un outil de gravage spécifique : une pointe dit « javelot ». J’avais cela en stock mais elle n’était pas tout à fait adaptée à la finesse des pistes de mon circuit. L’outil parfait aurait été avec un angle de 15°. Pour ma part je n’en avais qu’une avec un angle de 30° ne permettant pas d’usiner des largeurs de 0.8mm qui sont les espaces minimum que j’avais dessiné entre deux pistes ; d’où mes problèmes. . Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 6/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) Le circuit gravé, il sera étamé entièrement après montage des composants : L’ensemble des pièces à monter : FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Voilà le dispositif en détail : Un « rilsan » maintient les fils afin d’éviter de solliciter les soudures car c’est très souvent ce qui provoque leur rupture. Voilà les réglages des résistances variables calculées sont tout bonnement ajustées comme prévu et une fois la batterie connectée tout fonctionne à merveille… ça valait le coup de prendre le temps nécessaire pour sa conception ☺. Juste une précision, avant de le monter dans le fuselage : • 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. Le circuit imprimé 2 résistances réglables de 5 K^ 1 résistance réglable de 500 K^ Un NE556 + ses deux supports 7 broches 4 condensateurs 10 µF 1 résistance 1 k^ pour le transistor 1 résistance 320^ pour le régulateur de tension 1 résistance de 520^ 1 transistor NPN BD135 1 régulateur de tension LM317T Eventuellement une led verte 1,8mm et sa résistance pour un voyant témoin de mise sous tension • une goutte de colle chaude sera injectée sous les composants qui risqueraient de bouger par les vibrations, les résistances réglables seront dessoudées et remplacées par des fils qui en relieront d’autres montées toutes sur un seul panneau facile d’accès à l’arrière du fuselage. Ce panneau sera commun à toutes les résistances de réglages de toute l’électronique embarquée comme celui de tableau de bord. La conception : Sur ce croquis on peut voir le catadioptre en rouge, la semelle de la luxeon entre les deux platines qui seront serrées l’une contre l’autre grâce à 6 vis Ф2mm. Avant serrage, je placerai une rondelle d’autocollant double face épais pour éviter un trop fort serrage pouvant détériorer les connections de la luxeon sur son refroidisseur (petits fils soudés). Ce qui compte c’est un serrage suffisant pour ne pas avoir de jeu une fois en place. La platine du dessus sera usinée dans une tôle d’aluminium de 15/10ème d’épaisseur ainsi que la contre plaque du dessous qui comportera des trous Ф1,2mm taraudés. Le taraudage peut se faire directement avec la vis dans l’aluminium en prenant soin de pratiquer par avance d’un ¼ de tour avec ¼ de tour arrière sinon on risque de casser la vis ou encore de foirer le pas de vis. L’emplacement du panneau est à l’arrière et sur le flanc droit du fuselage et derrière cette porte qu’il faudra ouvrir : Un cordon mâle de connexion à la batterie et différents cordons pour les branchements des leds fixes et des flashs comme présenté ci-dessous Voici les pièces détachées et une assemblée connectée à la centrale d’éclairage. Elle accuse 7gramme à la pesée ☺ : Le résultat : (26 gr à la pesée) Maintenant je vais préparer les pièces qui permettront de monter les leds sur le fuselage et principalement les Luxeons : 1 au dessous et au dessus du fuselage et une à l’arrière de la dérive. Lien pour la vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=5n3Pme13m3M Tout d’abord les flashs du dessus et du dessous (mars 2011): Ils seront pris entre deux platines en aluminium pour dissiper la chaleur éventuellement mais il ne devrait pas y en avoir de trop compte tenu du fait que les leds vont fonctionner en flash. Les catadioptres étaient fournis dans mon kit de fuselage, ils sont rouges et il ne me reste donc qu’à fabriquer la platine et la contre platine qui les maintiendra, tout en emprisonnant la luxeon, sur le fuselage. Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 7/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Le flash arrière de la dérive : Je dispose d’une luxeon 1W sans refroidisseur, car pas la place pour cela, et d’une platine en zamak livrés avec mon fuselage ainsi que d’un catadioptre transparent mais plein ; c’est là le hic car il va falloir adapter tout cela. Je pense tout simplement percer le catadioptre pour laisser y entrer la luxeon et ensuite il sera collé à la résine époxy 5 minutes sur la platine en zamak. La luxeon sera préalablement collée sur cette platine à l’aide d’une colle dissipation de chaleur à base de silicone ; celle que l’on utilise en électronique. Le tout sera lui-même collé sur la dérive et cela définitivement. Je n’ai pas trouvé d’autres solution simple pour permettre une éventuelle réparation le cas échéant sans être obligé de tout décoller. Espérons que je n’aurais pas besoin de cela. Voilà les pièces à mettre en œuvre : Et le bas de la dérive qui recevra la pièce une fois préassemblée et câblée… Au sujet de cette dérive, celle-ci est montée à l’envers par rapport au réel. Elle est située à gauche alors que celle du réel est à droite et en plus ma mécanique de millénium a également son anti-couple à gauche ce qui va me conduire à devoir l’inverser…. Mais ce sera pour plus tard. Tout ce petit monde, le flash du dessus, celui du dessous et de la dérive, sera relié à l’unique sortie de la centrale d’éclairage qui est prévu pour un ampérage de 1A maximum en utilisation continu (c’est la puissance maximale admissible du transistor). Cet ampère ne sera jamais consommé en continu donc même si je pousse la puissance des flashs au maximum, je ne devrais pas avoir de dépassement de capacité. De toute façon, lors des essais, là aussi il suffira de laisser fonctionner tout cela 15 minutes et de contrôler à la température. Il conviendra également de contrôler la température des leds ; mais là aussi je suis assez confiant car un flash, toutes les deux secondes environ, ne devrait pas les faire monter en température. Ce qui compte c’est de s’en assurer pour déceler un éventuel problème et donc cela fera parti de la check liste des essais à entreprendre avant la phase de vol. Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 8/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) Phase n°6 : Conception du cockpit avec son tableau de bord, les sièges et la liaison avec le train rentrant avant, FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 En second, une feuille de PVC transparente qui sera thermoformée pour les verres des cadrans et des voyants de couleur. A l’endroit des voyants, je peindrai en couleur, les zones visibles et cela de l’intérieur. Montages des résistances des Leds : Tableau de bord (janvier 2011): Pour le tableau de bord, je me suis lancé, au 1er janvier 2011, dans l’apprentissage de l’électronique. J’ai pas mal fouillé sur le net et puis j’y ai trouvé beaucoup de chose qui m’ont permis d’avancer. Mon projet : mettre en place des Leds derrière les cadrans et les voyants et de créer une animation au lancement de l’éclairage. Voici donc le résultat après avoir numériser le tableau de bord en lui-même ce qui n’est déjà pas une mince affaire pour que cela ressemble à quelque chose. Le tableau de bord : En troisième, une feuille transparente de rétroprojecteur, sur laquelle seront imprimés les cadrans, viendra se positionner juste derrière. L’impression laser sera préférable pour une meilleure définition des images suite à quelques autres essais que j’ai pu réaliser. En sixième, une deuxième plaque de circuit imprimé pour brancher les Leds et la mise en place des Leds d’éclairage des cadrans : En quatrième, une plaque de 10/10 de ctp qui sera percée pour laisser passer la lumière des Leds. A ce stade les Leds sont connectées au « + » et au « » de la batterie. Avec ce panneau, toutes les Leds s’allument au démarrage. Il n’est pas encore entièrement terminé mais voici le principe : Une première plaque qui sera moulée en résine et qui comportera les instruments de bord en relief dont voici les photos du réel dont je me suis inspiré : En cinquième, une première plaque de circuit imprimé pour monter l’ensemble des Leds des voyants : Une troisième plaque de circuit imprimé vient terminer le montage des Leds et cette fois-ci, celle-ci ne reçoit que les queues de Leds en « + » pour l’animation des éclairages du tableau de bord. L’animation consistera à allumer l’ensemble des Leds au démarrage puis quelques secondes après, il ne restera que quelques Leds allumées en « fixe » et certaines en « clignotement rapide ». Le tout étant réglable en fréquence de clignotement, durée d’allumage de toutes les Leds au démarrage et une cellule photorésistante gérera la brillance de l’éclairage par journée fortement ensoleillée ou non. Montage des Leds des voyants : Voici donc la dernière plaque de circuit imprimé en place et, ci-dessous, l’ensemble une fois monté. Les Leds jaunes servent à rétro éclairer les cadrans ; les autres Leds sont pour les voyants. Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 9/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) Reste maintenant à connecter tout cela à la gestion électronique : FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Voilà donc l’arrière de la dernière plaque de circuit imprimé qui comporte la gestion électronique des Leds : • Leds allumées. C’est aussi sur cette alimentation qu’est connectée la cellule photorésistante. Avant de lancer cette fabrication, il me reste tout d’abord à terminer la numérisation du tableau de bord et à faire un prototype de forme pour le présenter dans le fuselage. à gauche un dispositif de mise en service et de protection de la batterie contre les décharges en dessous du seuil, au centre à gauche, la puce qui gère l’allumage des Leds en clignotement rapide, au centre à droite, une alimentation « pwm » qui est mieux pour la quantité de Leds à gérer, avec son interface de puissance, à droite, l’alimentation de puissance pour sortir les quelques 1,5A nécessaires au maximum de brillance et avec toutes les • • • Pour information, voici le schéma électronique du montage : Ce schéma est l’arrivée du pôle « négatif » de l’alimentation des séries de Leds qui sont toutes montées en parallèle avec chacune leur résistance : • • • toutes les Leds en fixe, quelques secondes, au démarrage, seulement quelques Leds en fixe constamment, quelques Leds en clignotement rapide. sécurité au seuil de tension < à prévoir soit une tension toujours > 9Volts sinon coupure de l'alimentation ? Interface de puissance (1) PWM 80Hz LM317T 4,3V maxi à 3,0V mini fois 2 éléments LIPO Tension d'entrée variant de 8,6V maxi à 6V mini et courant maxi selon la batterie (en général 800mA mais pouvant aller jusqu'à 3300mA assez facilement) Validation à compter = 8,6 Volts +VCC C1 montage type "monostable" et "monostable réenclenchable" (lien entre 4 et 2) rectangulaire 320 Ω R1 R1 R1 bistable 1 kΩ D1 8 Vcc 4 Reset 1 kΩ LED 3mm voyant OFF mais sous tension rouge 2-2,5V 20mA retenu: 2,5 V intensité max: 19 mA puissance maximale: 0,1 W 6 Thres 47 µF 1 Gnd 320 Ω R1 NE555 4,5 à 16V 100 kΩ P1 OFF BP 1 BP 2 LED 3mm voyant ON vert 3-3,5V 20mA retenu: 2,5 V I max 19 mA Pmax 0,1 W D2 100 nF C1 Out 3 7 Disch NE555 10 nF C2 100 nF C3 t1 = t2 = T= F= α= 2996,3 Ω 0,0069 s 0,0069 s 0,0139 s 72 Hz 0 10 nF C3 BD135 1A max gain 200 U 45V max P 8W max R2 8 Vcc montage type sorti minimum t1 = 0 s t2 = 0 s T = 0,1 s F= 18 Hz α= 0 7 Disch 47 µF C1 5326,7 Ω B Out 3 5 kΩ s s s Hz transistore Ib 0,0015 A NE555 0,1 kΩ 6 Thres R1 Cont 5 80 Leds vers allumage de 100% des Leds pendant 3 à 7" T1 1 Gnd 10 µF C2 C3 T t1 t 2 = Ln(2) * (R1 + R2) * C1 = 0,693* (R1 + R2) * C1 * R 2 * C 1 t 2 = 0,693* (R1 + R2 + P1) * C1 t 1 = 0 , 693 T = t1 + t 2 Ic gain U − 0 ,6 * ≈ 0 ,5 Ib 0,5 étant un coeff de protection 0,6V tension de commutation 300 1600 mA Ic gain U − 0 ,6 * ≈ 0 ,5 Ib 0,5 étant un coeff de protection 0,6V tension de commutation - + VCC 6V RELAIS sous "signal (1)" >0 au repos T1 R p 15 Leds de 3mm intensité maximale: t2 t 1 = Ln ( 2 ) * R * C R3 - E C T1 220 Ω Ib ≥ E C Ib ≥ 2 Trig 100 µF R3 R p R4 vers allumage des Leds en clignotement rapide astable 4 Reset P2 0,4 0,4 0,7 1,4 0,3 220 Ω R4 E C 10 µF R3 maximum 220 Ω R4 R4 Interface de puissance (2) t1 = t2 = T= F= α= B C4 F générale= 26 Hz la durée des impulsions délivrées par le monostable dépend de la tension d'entrée en "5" http://www.sonelec-musique.com/electronique_realisations_gene_pwm_002.html B 100 µF E C T1 par transistore Ib 0,0027 A 1 Gnd 0,1 kΩ B R3 1 Gnd 0,0125 s 0,0125 s 0,0249 s 40 Hz 0 mA 2996,3 Ω Cont 5 Cont 5 2 Trig C2 t1 = t2 = T= F= α= 1600 E C 2 Trig 1 Gnd monostable R 3 T1 NE555 6 Thres Cont 5 2 Trig 4 Reset 6 Thres ON 6 Thres Total = B 7 Disch NE555 100 Ω R 2 5 Leds de Ф 3mm 75 Leds de 3mm Total 80 Leds intensité maximale: 533,33 mA 533,33 mA 533,33 mA 2996,3 Ω Out 3 7 Disch à l'impulsion négative ==> tension + pendant "t1" secondes 8 Vcc 8 Vcc 4 Reset R3 Out 3 t1 = 1,1* R * C t1 = de 11(s) à 0,11(s) 1 kΩ 100 kΩ 8 Vcc 4 Reset R1 47 µF C1 2 Trig C1 47 µF t1 Out 3 NE555 Cont 5 monostable R1 sortie 7 Disch BD135 1A max gain 200 U 45V max P 8W max 180 κΩ signal (1) 220 Ω 800 mA R4 40 Leds - vers allumage des Leds en fixe mA F= fréquence (élevée = clignotement rapide) 1 1 F= = T (( R1 + (2 * R 2)) * C1) rapport cyclique: α= LEGENDE 2,5 t2 T chiffrage surligné --> dépendance par calcul Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 10/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Cet autre schéma représente l’arrivée du pôle « positif » : Alimentation de puissance Alimentation de puissance maximale en plein soleil et minimale en pénombre "Ro" à monter le plus proche du régulateur pour une question de précision à fort courant +VCC C1 3 A max 1,2 à 37V Vs max 8,6 V Vs min 2,5 V LM317T réglé en 6V maxi + VCC 6V 100 µF électrolitique P1 8 Vcc 20 kΩ A S P0 5000 Ω max Voltage Out 3 7 Disch NE555 6 Thres au repos Cont 5 B 2 Trig R3 1 Gnd E C T1 10 µF polyester C2 220 Ω R4 photorésistance 320 Ω min Voltage (toutes les Leds sont montées en parallèle) LM350 sous "signal (1)" >0 4 Reset (Ue) entrée 8,6 V 320 Ω R 0 P0 Rth Ta Tj Pd I max débitée (sans radiateur) Is max voulue 150 ΩR 1 10 °C 35 °C 70 °C 3,5 W 3000 mA 1523 mA I(Led) 19 mA nb de LEDs 80 R 320 Ω tous circuits + V réglage (Us) 8,6 V à 2,5V http://schema-electronique.blogspot.com/2010/02/un-interrupteur-crepusculaire-base-de.html Il reste à prévoir le pupitre central, les sièges et les manches de pilotage…. Encore quelques heures de conceptions en perspective… Numérisation du tableau de bord (février 2011): Le passage, à nouveau, sur « Autocad » permet de numériser le tableau de bord en « volume » afin de le présenter dans le fuselage et vérifier la place disponible. La construction se fera donc quand je serai parfaitement certain des cotes des pièces à réaliser et pour cela il va falloir passer par les sièges, le plancher, et rejoindre le train d’atterrissage avant. Numérisation du cockpit (février 2011): Tant qu’à faire, simulons jusqu’au bout en ayant un aperçu de la proportion des instruments de bord… on voit à l’avant ce qu’il va falloir retoucher sur cette 1ère ébauche de forme. Numérisation du pupitre central et des fauteuils pour compléter le prototype du tableau de bord… le but étant d’aller jusqu’à la jonction de l’ensemble sur le train avant.et de prévoir également le plancher : Cette forme va être fraisée dans de la mousse PU avec la « CNC ». La vue des pilotes ☺… euh je n’ai pas encore trouvé de figurines à la bonne taille… Les fauteuils seront réalisés en mousse PU usinés à la CNC et recouverts d’un tissus de verre 20g/m2 après avoir été renforcés au dos des sièges et en dessous puis aux endroits des appuis têtes et de l’équerre de liaison siège/dossier. La forme usinée dans la mousse PU et une bande de scotch pour simuler la casquette du tableau de bord… … bon il va y avoir quelques retouches à faire notamment au niveau du contact avant avec le fuselage… ça commence tout de même à prendre forme ☺… Quelques autres photos pour le plaisir… Une vue générale avec le train arrière mis en place et le prototype de forme du tableau de bord… Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 11/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) Réalisation des fauteuils (février 2011): FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Vue éclatée du siège : Le siège : 12 11 8 10 7 3 9 1 6 2 3 5 Fabrication : 4 Tout d’abord j’usine le siège par le dessus jusqu’à la courbure du dessous. Je dépose donc le siège, à l’envers, dans son support et je lance l’usinage du dessous. Description des composants : 1. 2. 3. 4. 5. 6. Ensuite je reprends la pièce pour usiner le dessous et également les dégagements pour encrer le siège au plancher. 7. Et voilà la pièce terminée : Pour cela j’usine en premier une forme négative du siège qui recevra celui-ci-dessus, posé à l’envers, pour l’usinage de son dessous. Il sera maintenu en place par des épingles posées latéralement. 8. 9. 10. 11. 12. siège usiné en mousse PU, recouvert d’un tissus de soie 20g/m2 collé à la résine époxy, plaque ctp 10/10ème de dessous de siège pour emprisonner la soie de recouvrement du siège et le collage sur le socle, équerre en aluminium 8/10ème, socle en ctp 20/10ème, baguettes 5*5 en pin pour la liaison du socle, collage du siège et le vissage des équerres aluminium, calles d’épaisseur des équerres aluminium, dossier usiné en mousse PU, recouvert d’un tissus de soie 20g/m2 collé à la résine époxy, plaque ctp 10/10ème de derrière le dossier du siège pour emprisonner la soie de recouvrement du dossier et le collage des renforts de vissage des équerres aluminium et du maintient des entretoises des barres du repose tête, renforts de vissage des équerres aluminium en pin 8*8, entretoises des barres de repose tête en balsa 3*1*25mm, barres de repose tête cap 30/10ème, repose tête en mousse PU, recouvert d’un tissus de soie 20g/m2 collé à la résine époxy, Elle recevra un tissu de verre ou de soie très léger (20 g/m2) qui sera collé à la résine époxy lors d’une opération dite de marouflage. Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 12/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) cours…) Vue du dessous du siège avec la plaque de ctp 10/10 : FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Le dossier : La préparation ainsi que la fabrication sont réalisées de la même manière que pour le siège. Le harnais de sécurité : Détail sur la boucle centrale réalisée en deux parties et reliée par boulon et écrou de Ф2mm simulant ainsi le système de blocage. Les pièces sont réalisées dans une plaque d’aluminium de 8/10ème d’épaisseur et les sangles avec un lacet de couleur noire. Vue des pièces montées sur les sangles avant de les coudre sur la boucle arrière et d’ajuster les sangles par les quatre boucles qui sont fonctionnelles « of course ☺ ». On voit la prise sur les équerres du bas du fauteuil, la boucle centrale et celle à l’arrière du dossier ainsi que les boucles de réglage des sangles. Le tissus sera pris en dessous de cette plaque et permettra ainsi une bonne finition. L’équerre de liaison siège/dossier : L’équerre est usinée dans une tôle aluminium d’épaisseur 8/10è. Vitesse de rotation faible, avance 1mm/s, attaque de la matière 0,01mm/s et passes de 0,2mm. De l’huile, vaseline par exemple, évite à la fraise de chauffer uffer et de forcer. La boucle du dossier sera vissée vissé sur la plaque de ctp 10/10ème. La fraise utilisée est une fraise « 1 dent » parfaite pour le PVC et l’aluminium. Pour la précision demandée, elle fait un diamètre de 1mm et par conséquent reste très fragile à l’emploi. En fait, fait quand je réalise des pièces, il est à noter, qu’en général, général la première pièce obtenue sera refaite car souvent il m’arrive d’apporter quelques aménagement comme ici, par exemple, l’épaisseur aménagements des boucles qui me paraissait pas assez réaliste et trop fines au final. Voici donc la photo des pièces définitives après retouches : L’ensemble est constitué de 4 boucles de réglage des ceintures, une boucle centrale et une attache au dos du dossier. Si on a le malheur de forcer elle casse comme me du verre… donc prudence ☺… … d’autant plus que ces outils au carbure ne sont pas donnés. Voici les pièces issues de la CNC avec les équerres déjà réalisées plus haut et qui servent d’attaches au pied du fauteuil : Voilà l’équerre terminée… la CNC est vraiment un outil formidable ... c’est également ma première pièce en aluminium que je réalise avec cette machine. Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr Elles sont plus régulières et mieux proportionnées à mon goût. On voit également le boulon et l’écrou qui servira à assembler les deux pièces en haut à gauche qui formeront ainsi la boucle principale du harnais. da mise à jour : 12/03/2011 – page 13/20 date Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) cours…) FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Ensuite le dossier : Voici les pièces marouflées : Et pour finir le repose tête : Je peux passer désormais à la phase de marouflage des sièges, des dossiers et des appuis tête à la soie: Les pièces sont déposées sur une plaque de dépron, par exemple, recouverte d’un film, type film plastique alimentaire, afin d’éviter un collage sur la plaque. L’adhérenc sur le film ne se fera pas et il sera très L’adhérence facile de le détacher ; un inconvénient tout de même : toutes les surfaces qui seront en contact contre ce film seront parfaitement lisse… enfin ce n’est pas très gênant pour ces pièces là et puis en plus cela ne n concernera que quelques millimètres en périphérie des plaques de bois situées à l’arrière. La prochaine étape sera la mise en peinture des pièces marouflées et des socles avec une préparation, à l’enduit nitro-cellulosique nitro chargé talc, des pièces en bois. s. En général deux couches suffiront car la charge de talc permet d’obtenir une surface lisse très rapidement. La première couche a pour effet de redresser toutes les fibres de bois qui sont alors poncées au papier de verre fin. La deuxième couche permet un u lissage correct et peut être complétée par une ou plusieurs autres couches selon l’aspect de surface désirée. Le résultat est vraiment impressionnant, enfin c’est ce que je constate et avec ces essais de la CNC sur de l’aluminium, cela me confirme que je vais prendre dorénavant cettee possibilité dans mes conceptions futures… Il reste quelques micro-bavures et copeaux,, invisibles à l’œil nu, mais bien réelss sur l’agrandissement de la photo ci-dessus. Un simple nettoyage avec une calle en bois dur, suffit pour les faire disparaître. Avant cette étape je dispose ces pièces marouflées au four à 50°C afin d’accélérer le séchage / durcissement de l’époxy et aussi avoir un état de surface plus dure… enfin presque car, pour la résine époxy que j’utilise, il aurait fallut monter la température à 120°C, inscription visible sur les recommandations du fabricant, mais dans ce cas vous pouvez imaginer la tête des pièces à l’issue des deux de heures nécessaires… ☺… je ne me permets cette température qu’avec des moules en silicone qui eux peuvent tenir à ces températures là. Cette opération n’est néanmoins pas obligatoire sauf pour les jambes de train par exemple qui doivent avoir une résistance résista mécanique la meilleure possible. Phase de finition : Voici donc l’ensemble des pièces constituant les fauteuils : Tout d’abord celles du siège avec le socle : Tout est prêt : les pièces en mousse et les renforts en bois dur puis les fonds des sièges et des dossiers, les coupons de soie, la résine époxy et son durcisseur (1/2 pour 1), un petit récipient pour nettoyer les outils (j’utilise du diluant cellulosique de peinture) sans oublier le récipient pour le mélange de résine, un pinceau et les gants bien sur car dans l’opération de marouflage il est nécessaire de manipuler les pièces à la main. Il reste à présenter les pièces pour voir si tout se monte correctement et définir les couleurs pour une peinture à faire à l’aérographe. L’étape suivante sera donc la mise en peinture et le montage définitif avant de les présenter sur le plancher du fuselage. Avant cette finition, un siège pèse 50grammes. La solidité est très correcte et les équerres de maintien ainsi que les morceaux de bois dur sur lesquels elles sont vissées jouent parfaitement leur rôle. Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr da mise à jour : 12/03/2011 – page 14/20 date Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) Voilà un fauteuil prêt à mettre en peinture, il manque encore le repose tête : FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Maintenant il me faut construire le plancher afin de rejoindre le train d’atterrissage avant et par la même occasion le tableau de bord ; ainsi la boucle sera bouclée et je pourrai enfin construire ce tableau de bord avec tous ces accessoires. Phase n°7 : Ouverture des portes et doublage de celles-ci avec mise en place de raidisseurs et points d'encrage sur la mécanique dans le fuselage : Tout d’abord, les charnières de portes : Sur le réel : Une autre vue de l’arrière cette fois-ci : Mise en peinture : Ici, on voit parfaitement le décalage de la charnière basse afin que l’axe d’articulation soit aligné malgré le galbe du fuselage. Le socle, la plaque du dessous du siège et de l’arrière du dossier seront de couleur noire Mon projet sera de construire ces charnières en aluminium pour plus de solidité. La numérisation : Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 15/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) Phase n°8 : Accessoires extérieurs : J'ai des informations avec la documentation de chez SSM Technik et VARIO et il me reste à numériser les pièces quand ce sera le moment. FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Tout d’abord une autre photographie montrant les rivets qui maintiennent les différentes pièces de cet accessoires de sécurité monté sur les hélicoptères devant évoluer à basse altitude et permettant de sectionner des câbles électriques le cas échéant afin d’éviter le crash. http://www.ssm-technik.de/start.html http://www.vario-france.com/ Un montage à blanc : La CNC fera encore son œuvre pour toutes ces pièces et les moules en silicone me seront sans aucun doute très utile... La cisaille haute (fin février 2011): La construction d’une maquette passe par de nombreuses phases et contrairement au programme que l’on s’est établi, parfois on a envie de concrétiser une idée quand on veut ; c’est aussi une liberté que l’on se s’octroie car avant tout ce travail doit rester un plaisir. Cette cisaille, il y a longtemps que j’y pense, et je souhaitais la voir montée sur le fuselage assez rapidement ; j’avais réfléchi à de nombreuses solutions pour la construire et l’idée de la concrétiser en aluminium me paraissait la meilleure d’autant plus que je voulais intégrer la protection du pare-brise, comme sur le réel, qui est une poutre en acier permettant au câble d’y glisser avant d’être sectionné par la cisaille. La numérisation des pièces : Mes progrès obtenus, grâce au fraises « mono dent » m’ayant permis de découper les accessoires du harnais dans de l’aluminium, m’ont donné envie de m’e lancer dès à présent dans ce travail. Tout d’abord la documentation : Ci-dessus, la contre-plaque de fixation au fuselage. La poutre sera réalisée dans un plat aluminium de 3mm d’épaisseur et intégrera les platines de fixation au haut du fuselage et en contrebas des pare-brises. Les autres pièces seront usinées dans une tôle de 15/10ème d’épaisseur. Voici les pièces terminées : La présentation des pièces, avant soudure, sur le fuselage avec le pliage en forme de la poutre centrale : On voit bien, sur cette photographie, la cisaille en partie haute et la poutre qui coure entre les deux parebrises pour descendre jusqu’à la poignée d’ouverture du capot avant de l’hélicoptère. Une autre photographie du Bell 222 en latéral, une copie de cette photo sur Autocad, une copie des contours puis une numérisation pour sortir les pièces et les programmes pour la CNC, voilà je vais pouvoir lancer cette fabrication et tester la CNC pour de l’usinage de l’aluminium sur des pièces encore plus techniques. Elles sont toutes pré-percées pour faciliter leur assemblage. L’assemblage sera réalisé à l’aide de « pointes à moulure » 0,9*32mm puis les pièces seront soudées ensembles. Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 16/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) cours…) FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Les essuies glaces (fin février 2011): La numérisation : En partie basse, les deux trous serviront à mettre en place les essuies glace en plus de la fixation de cette poutre Les cinq heures d’usinage (quatre pour la poutre principale) sont peu de chose à coté de ce rendu… Pour la finition, je ne sais pas encore si je vais peindre ces pièces ou alors tout simplement les anodiser… Pour finir, voici les haubans de cette cisaille et la poignée d’ouverture du capot avant : A noter que les essuies glaces seront de forme symétrique et fraisés directement dans une tôle d’aluminium de 15/10ème (fraise de Ф1mm une dent) et pliés ensuite à 90° entre le support de balai et la tige principale. L’ensemble monté en virtuel sur la poutre de la cisaille avec la poignée d’ouverture du capot avant : Les haubans : La poignée d’ouverture du capot avant : Pour le plaisir et surtout pour éviter de rayer le parebrise, un joint en silicone sera surmoulé sur la pièce aluminium et teintée en noir à la mine de crayon; il simulera alors correctement le caoutchouc du balai d’essuie glace. Un essuie glace fraisé avant l’anodisation en noir et le surmoulage en silicone sili : Il m’aura fallut pas moins de deux heures pour usiner cette pièce (fraise une dent avec une avancée lente par passes d’1/10ème de mm d’épaisseur) mais, pour ma part, le résultat est là ☺ et c’est ce qui compte après tout. La numérisation : 2 1 La fixation au capot se fera par l’intérieur en tordant les pattes « 1 » (au cas où 6 trous sont percés pour y mettre des vis ou des rivets par soudure) et la pièce sera pliée à l’avant « 2 » pour s’accrocher sur la poutre de la cisaille. La pièce est à usiner dans de la tôle d’aluminium de 8/10ème d’épaisseur. Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr da mise à jour : 12/03/2011 – page 17/20 date Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) Le même avant pliage tel qu’il sort avec la CNC: FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Les cisailles basses (fin février 2011): Ce dispositif de sécurité vient compléter celui du haut car lorsque qu’un hélicoptère rencontre un câble électrique, le but principale est que ce câble évite de détériorer le rotor et il peut soit se diriger en haut ou en bas du fuselage. Quoiqu’il en soit, les occupants de l’appareil on une chance de s’en sortir si le câble est coupé. En partie basse, le Bell 222 en reçoit deux : Une vue d’ensemble de toutes ces dernières pièces en aluminium : Numérisation des pièces : Fin février 2011 : Avant de construire ces pièces, il me faut impérativement monter le train d’atterrissage avant pour évaluer la place disponible jusqu’au sol… ce sera donc pour plus tard… La même vue en réalité: Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 18/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 Phase n° 9 : Finition du fuselage avec simulation des rivets et mise en peinture : Pour les rivets je m'y collerai avec la technique des points de colle, et pour la peinture j'espère bien trouver un professionnel car une maquette vaut bien cet effort. Pour la peinture, j’ai retenu la décoration de celui-ci-dessous : Un modéliste du club m’a dernièrement fait remarquer (janvier 2011) qu’il y avait une similitude entre son immatriculation (photo ci-dessus) et le « Nouvel Hôpital de Metz » en cours d’achèvement de travaux… : « MERCY AIR »… ce n’était pas fait exprès, mais en effet, c’est une coïncidence plutôt sympathique car cet Hôpital va également s’appeler « l’Hôpital de Mercy »; il est d’ailleurs construit à coté du château qui porte ce même nom… et bien voilà une prise de conscience qui va sans doute m’encourager à ajouter le blason de notre commune sur la décoration ; voire même me renseigner si Metz envisage le soutien héliporté pour cet hôpital et si oui quel en serait sa décoration… affaire à suivre ☺… Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 19/20 Sujet: MAQUETTE BELL 222 (En cours…) Phase n° 10 : FUSELAGE CENTURY & MECANIQUE MILLENIUM Classe 60 MicroBeast 3D V2 beastX Essais en vol : C’est prévu avant de faire les aménagements intérieurs. Phase n° 11 : Aménagements intérieurs de l'avant du fuselage : Il s’agit ici de compléter l’équipement déjà en place par des détails du genre extincteur, casque, pilote, etc… Là la CNC va encore être mise à contribution mais avant il me faudra bien numériser l'ensemble. J'ai des idées très précises de ce que je veux faire mais là aussi chaque chose en son temps. http://www.helidigital.com/shop/systeme-flybarless/14microbeast-flybarless-beastx.html + la Tete flybarless RJX 90 10mm Points divers : Sujet de « X-Clone »: "Autobalancer -System Robbe" http://www.francehelico.com/viewtopic.php?f=27&t=36027 http://www.helidigital.com/shop/tetes-flybarless/55-teteflybarless-rjx-700.html DOCUMENTATIONS DIVERSES Documentation trouvée le 14 février 2011 sur le net pour la conception des tableaux de bord : http://rc.runryder.com/helicopter/t557917p6/ JE COMPLETTE CE DOCUMENT AU FUR ET A MESURE DE L’AVANCEMENT DE MES TRAVAUX Cela peut aider et apporter des sécurités en vol ou au sol d’ailleurs... je me souviens trop d'un essai que j'avais fait avec un écureuil classe 50 et qui à 2m d'altitude s'est mis à vibrer de telle sorte que j'ai cru que tout allait se désintégrer en vol. Heureusement il s'est posé sans dégât... mais il n'était pas haut et j'ai eu bien peur après coup… Order No.: 1-S2631 (http://www.robbe.de/robbe/search/?q=1S2631&target=shopsku&dir=desc&order=price&submit.x=63&submit.y=1 6) Fluide de rechange: réf. S2631004 Transformation de la tête de rotor en flybarless; De ce fait il ressemblera encore plus au réel puisque la « barre de bell » va disparaître. Par exemple pour l’électronique: Bernard COLIN – site internet http://coliber.free.fr date mise à jour : 12/03/2011 – page 20/20