Télécharger - 5ème Forum Centraliens Supelec
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29 ET 30 MAI 2016 HÔTEL HYATT REGENCY CASABLANCA - MAROC #FCS5 www.forumcentralesupelec.com PARTENAIRES PLATINUM PARTENAIRES SILVER PARTENAIRES GOLD PARTENAIRES MÉDIAS PARTENAIRE INSTITUTIONNEL 1 2 Préambule Mustapha METAICH Président de la 5ème édition du Forum Centraliens Supélec Ahmed RAHMANI Directeur Scientifique Said EL BAGHDADI Directeur Partenariats et Communication La cinquième édition du Forum Centraliens Supélec coïncide avec le regroupement des réseaux des Centraliens et des Supélec du Maroc au sein de l’Association CentraleSupélec Alumni Maroc, donnant ainsi naissance au plus important réseau d’Alumni d’écoles d’ingénieurs françaises au Maroc. Depuis sa création en 2007, le Forum Centraliens Supélec est un concept unique qui répond à deux objectifs majeurs : Réunir des décideurs de la sphère publique, du monde des affaires et des experts pendant deux jours dans un espace d’échange et de réflexion ; Fournir aux décideurs des idées et des propositions sur un thème donné, agissant ainsi en véritable Think Tank. Pour la présente édition, notre choix s’est porté sur un thème d’une forte actualité : la tenue à Marrakech, du 7 au 18 Novembre 2016, du sommet de la COP 22. Après le succès historique de la COP 21 à Paris, Marrakech ambitionne de proposer et faire adopter les modalités relatives à l’opérationnalisation des mesures retenues dans le cadre de la COP 21. La cinquième édition du Forum Centraliens Supélec se veut une occasion de réunir les experts, les opérateurs publics et privés et les acteurs politiques nationaux et internationaux, dans un cadre d’échanges d’expériences et de réflexions sur les questions en lien avec la mise en place des mesures adoptées lors du sommet de la COP 21 à Paris. De ce fait, nous souhaitons que les résultats de notre Forum soient utiles et alimentent les travaux du sommet de la COP 22 à Marrakech. Pour aborder efficacement la thématique du Forum, dans toute sa complexité, nous avons choisi de cibler trois sujets essentiels, dans le cadre de workshops dédiés : • Adaptation : Gouvernance et Financement ; • Energies renouvelables ; • Economie circulaire et écologie urbaine. Nous comptons sur votre implication pour réussir cet événement et faire rayonner l’image de l’expertise et de l’expérience marocaine à travers le monde. Nos idées et conclusions contribueront ainsi à faire avancer la question cruciale du Climat. 3 A propos de l’École CentraleSupélec CentraleSupélec est l’école d’ingénieurs issue de la fusion, le 1er Janvier 2015, de Centrale Paris (créée en 1829) et de Supélec (créée en 1894). Elle a pour vocation de former des ingénieurs généralistes de haut niveau. Elle forme annuellement un millier d’ingénieurs généralistes, 500 docteurs et 500 mastères. Avec seize laboratoires de Recherche répartis sur quatre sites, CentraleSupélec est devenu un acteur mondial majeur dans la Recherche et la formation des ingénieurs, rivalisant avec les plus grands instituts technologiques dans le monde. CentraleSupélec est l’une des rares grandes écoles françaises à figurer dans le top des classements mondiaux, grâce à l’excellence académique de ses lauréats, un large réseau de partenariats avec les meilleures institutions de formation d’ingénieurs dans le monde (MIT, Stanford, Georgia Tech, …) et une stratégie de développement à l’international avec l’ouverture de Centrale Pékin en 2005, de Mahindra Ecole Centrale en 2014 et de Centrale Casablanca en 2015. A propos de l’Association CentraleSupélec Alumni Maroc Le réseau consolidé des Centraliens et Supélec compte près de 40 000 membres en activité, en France et à travers le monde. De grands noms de l’industrie mondiale sont des Centraliens (Gustave Eiffel, Armand Peugeot, Marcel Schlumberger, André Michelin ou plus récemment Francis Bouygues, Carlos Tavares ou Bernard Liautaud, fondateur de Business Object) ou des Supélec (Louis Charles Breguet, Jean Luc Lagardère, Thierry Breton ou tout récemment Jean Baptiste Rudelle, fondateur de Criteo). Au Maroc, l’association CentraleSupélec Alumni Maroc compte un millier de diplômés dont un grand nombre assument de hautes responsabilités dans tous les secteurs d’activité : industrie, service, finance ou fonction publique. Elle a pour vocation de soutenir les actions de l’Ecole, ou encore d’apporter des services à ses adhérents : visites, conférences mensuelles, carrières et emploi, édition de l’annuaire… Depuis 2007, l’Association des Centraliens du Maroc organise tous les deux ans le FORUM CENTRALIEN, devenu depuis 2015, le FORUM CENTRALIENS SUPELEC et qui réunit plus de 200 décideurs du monde des affaires et de la sphère publique pendant deux jours, autour d’une thématique d’actualité : Energie (2007), Mobilité Durable (2010), e-Administration (2012) et Positionnement du Maroc dans la dynamique africaine (2014). Le succès des précédentes éditions a motivé la décision de lancer la cinquième édition du Forum sous le thème : LES CENTRALIENS ET LES SUPELEC S’ENGAGENT POUR LE CLIMAT. 5 Cadrage du Forum I. INTRODUCTION ET GENÈSE DU THÈME Le 5ème rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du Climat), adopté en novembre 2014, ne laisse aucun doute, quant aux changements observés dans le système climatique : « Le réchauffement du système climatique est sans équivoque, et depuis les années 1950, la plupart des changements observés sont sans précédent depuis des décennies à des millénaires. L’atmosphère et l’océan se sont réchauffés, les quantités de neige et de glace ont diminué et le niveau de mer a augmenté ». Il est tout aussi catégorique sur les causes des changements climatiques : « Les émissions de gaz à effet de serre ont augmenté depuis l’ère préindustrielle, largement contrôlées par la croissance démographique et la croissance économique et sont aujourd’hui plus élevées que jamais. Ceci a conduit à des concentrations atmosphériques de dioxyde de carbone, de méthane et d’oxyde nitreux sans précédent depuis au moins 800 000 ans. Leurs effets, conjugués à ceux d’autres facteurs anthropiques, ont été détectés au sein du système climatique et sont, avec une probabilité extrêmement élevée, la cause dominante du réchauffement observé depuis le milieu du 20ème siècle ». Le sommet de la COP 21 tenu à Paris du 30 Novembre au 11 Décembre 2015, a été de l’avis général un succès historique et a dégagé un accord sur des points majeurs : • Contenir l’élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels et en poursuivant l’action menée pour limiter l’élévation des températures à 1,5°C, étant entendu que cela réduirait sensiblement les risques et les effets des changements climatiques ; 6 • Renforcer les capacités d’adaptation aux effets néfastes des changements climatiques et en promouvant la résilience à ces changements et un développement à faible émission de gaz à effet de serre, d’une manière qui ne menace pas la production alimentaire ; • Rendre les flux financiers compatibles avec un profil d’évolution vers un développement à faible émission de gaz à effet de serre et résilient aux changements climatiques. Ces grands objectifs ont été déclinés dans le cadre de l’accord de Paris, dont le sommet de la COP 22 à Marrakech, constituera le prolongement naturel, et aura pour objectif de trouver les mécanismes opérationnels pour rendre applicables les mesures issues de l’accord de Paris. C’est dans ce contexte que se situe la 5ème édition de notre forum, dont le choix du thème a été dicté par trois considérations majeures : • Une forte actualité, puisque le forum aura lieu à mi-chemin entre la tenue de la COP 21 à Paris et la COP 22 à Marrakech ; • Un thème dont le contenu scientifique et technologique est en ligne avec la formation d’ingénieur des membres de notre association ; • L’existence d’un vivier de camarades qui opèrent dans les secteurs d’activité liés à la thématique du climat et de l’environnement : chercheurs en climatologie et en nouvelles énergies au sein de laboratoires internationaux reconnus, dirigeants d’entreprises multinationales ou de startup à travers le monde. La problématique du Climat étant globale par essence, la 5ème édition du Forum Centraliens Supélec aura une dimension internationale : « Notre ambition étant de mobiliser des camarades Centraliens et Supélec, experts et opérateurs dans le segment de l’environnement, du développement durable et des Energies Renouvelables à travers le monde. De ce fait, nous travaillerons en étroite collaboration avec les groupements internationaux de notre réseau mondial, via les associations mères à Paris, ainsi qu’avec l’école qui mobilisera le réseau Time (réseau mondial de 100 universités et instituts technologiques mondiaux et de premier plan, dont Centrale est co-fondateur et président), et le réseau des écoles Centrale à Travers le monde : La Chine et l’Inde plus particulièrement ». II. CONTENU DE LA CINQUIÈME ÉDITION La COP21 a donné naissance à l’Accord de Paris, considéré comme historique en raison de son adoption par 196 pays. Le 22 Avril 2016, les chefs de gouvernements les plus engagés se sont retrouvés à New York pour la signature de l’accord. Cependant, tout reste à faire pour que cet accord devienne le cadre permettant d’atteindre réellement l’objectif d’un réchauffement en 2100 limité à 2°C de plus par rapport à l’ère préindustrielle. Les pays devront ensuite ratifier l’accord pour que des mesures concrètes soient prises au niveau local. Il est prévu que l’Accord de Paris entre en vigueur dans un délai de 30 jours à partir du moment où au moins 55 pays, représentant l’équivalent d’au moins 55% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, l’auront ratifié. Les pays du sud, particulièrement ceux d’Afrique, sont repartis de la COP 21 sans certitudes sur la question des financements. Le compte n’y est pas : les 100 milliards annuels promis au pays du Sud dans l’Accord de Paris ne sont accompagnés d’aucunes modalités précises à ce jour. Convictions du Forum C’est dans ce cadre que les ingénieurs Centraliens et Supelec du Maroc, ont décidé de lancer la 5° édition de leur Forum Bi-annuel avec un Engagement fort : POUR UNE INNOVATION RESPONSABLE ET UNE ACTION SOLIDAIRE. Partant de cet engagement, Les Centraliens et Les Supélec se sont faits, trois convictions majeures, en lien avec la problématique du Changement Climatique : • Il existe des outils performants et innovants pour financer l’adaptation de l’Afrique au Changement Climatique et orienter les investisseurs institutionnels vers des secteurs bas carbone. • Il est possible, grâce à un mix-énergétique adéquat, de résoudre l’équation issue du « Trilemne » : - Sécurité énergétique - Equité énergétique - Environnement durable • Une grande partie de la solution aux problèmes de changement climatique, passe par la ré-invention des Villes et la promotion d’un modèle de développement fondé sur la gestion durable et responsable des Ressources. ATELIER ADAPTATION : GOUVERNANCE ET FINANCEMENT 1. Comment financer l’adaptation pour accroître la résilience des territoires face au changement climatique ? Alors que les catastrophes naturelles et climatiques se multiplient partout à travers le monde, l’Afrique doit faire face à la sécheresse dans certaines zones, et aux inondations dans d’autres. La question de la gouvernance du financement de l’adaptation aux changements climatiques n’est toujours pas réglée et devra donc être abordée sinon réglée à l’occasion de la COP22 à Marrakech. Il est désormais vital pour les pays africains d’investir dans des actions leur permettant de renforcer leur « résilience climatique ». L’ONU a estimé le coût de l’adaptation à une fourchette allant de 7 à 15 milliards de dollars par an. Si le réchauffement est contenu à 2°C, ce coût atteindra 35 milliards de dollars par an d’ici 2040 et 200 milliards d’ici 2070, a prévenu le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (Pnue), dans une étude publiée en novembre 2013, en marge de la conférence sur le climat de Varsovie. Au-delà de ce fonds de 100 milliards, il existe d’autres formes de financement innovants (marchés carbone, 7 fonds verts, aide au développement...) qui pourraient être mobilisés dans le cadre du financement de l’adaptation au changement climatique. 2. Quelles politiques de développement en faveur de la transition bas-carbone (notamment les secteurs de l’industrie et de l’énergie) ? Les pays signataires de l’Accord de Paris auront à définir de nouvelles trajectoires de développement compatibles avec les objectifs fixés par la COP21. Pour ce faire, les Etats vont devoir modifier l’allocation des ressources afin de construire des économies résilientes et revoir leurs politiques énergétiques par rapport à la nouvelle donne. 3. Quel rôle pour les acteurs étatiques et non-étatiques ? La gouvernance de l’adaptation au changement climatique nécessite des accords multilatéraux et l’implication de tous les acteurs : Etats, opérateurs économiques, associations, citoyens, collectivités locales, associations, citoyens… Comment faciliter l’accompagnement des gouvernements et la coordination internationale pour permettre aux pays signataires de s’engager durablement dans la transition ? Comment accompagner les pays du sud pour leur permettre d’assurer un développement pérenne ? ATELIER ENERGIES RENOUVELABLES 1. Comment répondre aux besoins en énergie de l’humanité tout en limitant l’impact carbone ? L’économie mondiale doit trouver les moyens de se développer en s’appuyant sur un mix énergétique compatible avec l’objectif 2°C. Dans un contexte d’instabilité des marchés des énergies fossiles et face à l’impératif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, de nouvelles stratégies énergétiques doivent rapidement voir le jour. Des pays se sont déjà largement engagés dans les énergies renouvelables, et les accords de Paris conduisent à accélérer la transition vers des énergies « propres ». Eolien, solaire, biomasse, hydroélectricité, géothermie… 2. Comment décarboner le mix énergétique ? • Le soutien à l’hydroélectricité et/ou au photovoltaïque, pour accompagner les pays dans la mise en œuvre de ces grandes infrastructures qui posent les bases du développement, en incluant dès ce stade des préoccupations de développement durable ; • La promotion d’innovations technologiques et organisationnelles au service de l’électrification de zones mal desservies, qui nécessitent, dans les pays en développement, des subventions et la coordination de multiples acteurs sur la chaîne de production et de distribution. 3. Comment mener la transition vers un modèle énergétique décarboné et socialement acceptable ? L’électrification consiste à mettre à disposition des usagers un système de production et de distribution de l’électricité assorti de modalités d’accès et de règles de fonctionnement qui doivent être adaptées : • Rôle du régulateur et bilan des expériences des pays qui l’ont mis en place ; • Centre de mesure et de statistique ; • Zones urbaines ; • Zones suburbaines (bourgs non connectés, dont certains sont alimentés par des groupes électrogènes fonctionnant au diesel) ; • Zones rurales à habitats dispersés. Ces zones doivent trouver un modèle économique et social adapté afin de couvrir l’essentiel des besoins, notamment auprès des personnes les plus vulnérables. Comment identifier et développer les leviers permettant de concilier objectifs de développement, compétitivité et durabilité ? ATELIER ECONOMIE CIRCULAIRE ET ECOLOGIE URBAINE L’économie circulaire s’attache à promouvoir un modèle de développement fondé sur la gestion durable et responsable des ressources sous toutes leurs formes (foncières, financières, naturelles, humaines) en privilégiant les boucles courtes, la valorisation des déchets ainsi que l’optimisation des flux d’énergie et de logistique. 9 Éclairer 1,5 million d’habitants À Tarfaya dans le désert côtier au Sud du Maroc, Nareva et Engie ont construit le plus grand parc éolien du continent africain, capable d’éclairer une ville de 1,5 million d’habitants : une ville comme Marrakech. Ce projet de 300 MW atteint un taux d’utilisation élevé de 45%, ce qui en fait une source d’énergie renouvelable compétitive et qui permet d’éviter l’émission de 900 000 tonnes de CO2 par an : soit l’équivalent de la quantité absorbée annuellement par 150 millions d’arbres. L’écologie urbaine est le domaine qui s’attache à l’étude de l’écosystème : la ville. Ce concept regroupe la prise en compte de l’ensemble des problématiques environnementales concernant le milieu urbain ou périurbain. L’écologie urbaine plus largement vise à articuler ces enjeux en les insérant dans les politiques territoriales pour limiter ou réparer les impacts environnementaux et améliorer le cadre de vie et la qualité de vie des habitants. L’écologie urbaine et l’économie circulaire s’attachent à apporter des réponses concrètes à la croissance urbaine, aux défis environnementaux et à la cohésion sociale. Ce sujet est d’autant plus urgent dans une perspective de croissance démographique forte dans des pays émergents. 1. Comment apporter des réponses durables à la plus forte croissance démographique africaine en milieu urbain ? Les conditions de vie en ville : les enjeux de développement équitable et de protection de la planète sont liés à une révision en profondeur des modes de développement urbain. Si rien n’est fait, ou mieux fait, dans les villes africaines, les lacunes en matière de gestion et de planification urbaine et le retard dans l’aménagement des quartiers vont engendrer des situations sociales explosives, des dégradations insupportables de l’environnement qui auront un impact important sur le changement climatique. Il est prioritaire d’investir à la hauteur des enjeux. 2. Comment anticiper la pression grandissante sur les ressources, l’économie circulaire une solution ? Un contexte mondialisé : Les entreprises et les territoires sont confrontées à trois tendances de fond auxquelles répond l’économie circulaire. Les ressources naturelles se raréfient, ce qui se traduit par un accroissement des coûts et des risques liés à l’approvisionnement en matières premières. La demande des consommateurs s’oriente vers l’usage plutôt que la propriété de biens matériels. Enfin, les pouvoirs publics mettent une pression croissante sur les acteurs économiques pour une extension de leurs responsabilités à l’ensemble du cycle de vie des produits. Des spécificités africaines : Garantir l’accès aux services de base (400 millions d’africains vivent dans l’extrême pauvreté et n’accèdent pas aux biens de première nécessité. Satisfaire des besoins croissants (émergence d’une classe moyenne : à l’échelle des villes africaines, celle-ci devrait représenter plus de 300 millions de personnes en 2050). 3. L’Afrique, championne de la valorisation des déchets ? Actuellement les décharges à ciel ouvert, souvent en périphérie des grandes villes, sont utilisées sans distinction de déchets. Ainsi dans le monde près de 15 millions de personnes vivent de la collecte et du tri dans les décharges. Des «micros» village se forment aux abords des décharges, où on retrouve une hiérarchie de récupération/ récupérateur, trieur et revendeur, une forme de spécialisation par matière à recycler et à réutiliser, avec les circuits de reventes bien établis. Avec un marché mondial estimé à près de 160 milliards, le continent Africain pourrait privilégier des modes de développement inspirés de l’économie circulaire, notamment à partir de la valorisation matière et/ou énergie des déchets. 4. Comment répondre aux défis urbanistiques des futures mégapoles africaines ? Les grandes villes africaines croient au rythme d’environ 7% par an et vivent une urbanisation accélérée. La mutation des villes qui s’est déroulée en un siècle en Europe se fera sans doute bien plus rapidement en Afrique. Plusieurs mégapoles comme Le Caire (13 millions d’habitants), Lagos (12 millions d’habitants) ou encore Kinshasa (10 millions d’habitants) ne cessent de voir affluer de nouveaux arrivants. Dans ces villes se côtoient le meilleur comme le pire, entre « projets verts » et développement des bidonvilles et circuits informels. Bénéficiant d’une tradition citadine plus ancienne, le Maghreb est parvenu à mieux maîtriser l’expansion de l’informel et de l’habitat précaire). 11 INTERVENANTS Abderrazak ALAMI SOUNNI Rapporteur Général du Forum Abderrazak Alami Sounni est diplômé de l’Ecole Centrale des Arts et Manufactures de Paris, de l’Ecole Nationale Supérieure des Pétroles et Moteurs (à l’IFP Paris) et de l’Institut d’Administration des Entreprises (à l’Université de Bordeaux). A œuvré dans les domaines de l’exploration pétrolière, du raffinage et de la distribution des produits pétroliers et des gaz de pétrole liquéfiés (butane et propane). Il a développé en particulier, une expertise dans le trading des produits pétroliers et de la supply chain assisté par le « LP Model ». A participé au programme « Gestion de la Demande en Energie » mis en place par le ministère de l’Energie et des Mines marocain et l’USAID entre 1990 et 2000. Ce programme a permis, entre autre, l’introduction du Gaz Naturel dans le mix énergétique, l’évaluation du potentiel éolien et solaire au Maroc ainsi que la promotion des IPP pour la production électrique nationale Abderrazak Alami Sounni a été conseiller de Mme la Ministre de l’Energie et des Mines du Maroc pour la période 2007-2011 ; durant cette phase il a participé à la préparation des assises de l’énergie où ont défini la vision nationale énergétique à l’horizon 2020-2030. M. Alami Sounni est consultant en « Energie et Environnement », à ce titre il participe à ce jour à la promotion de deux projets spécifiques de l’économie durable : la production de gasoil à partir des algues marines et du gaz méthane issu du figuier de barbarie. Emilie ALBEROLA Directeur du programme « Industrie, Energie et Climat » à I4CE Emilie Alberola est docteur en sciences économiques de l’Université Paris I La Sorbonne et diplômée du Master Spécialisé « Management du Développement Durable » d’HEC. Auteur de nombreuses publications dans des revues généralistes et académiques, elle participe par ailleurs aux enseignements du Master « Energie-Finance-Carbone » de l’Université Paris-Dauphine et du Certificat « Energie-Finance » d’HEC Paris et d’autres universités en France. Elle est directeur du programme « Industrie, Energie et Climat » à I4CE – Institute for Climate Economics, think-tank français lancé en septembre 2015 par la Caisse des Dépôts en France et l’Agence Française de Développement. Jean-Louis BAL Président du Syndicat des énergies renouvelables Ingénieur civil électricien de Ecole Polytechnique de Louvain (Belgique), Jean-Louis Bal il a été directeur du programme prioritaire énergies renouvelables à l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l›énergie (Ademe) jusqu’en 2003. Il a été ensuite Directeur des énergies renouvelables, des réseaux et des marchés énergétiques (2004-09) puis Directeur des productions et énergies durables (2010-11). Jean-Louis Bal est aujourd’hui Président du Syndicat des énergies renouvelables (SER) (depuis 2011), Président du GT-EnR du Comité Stratégique de Filières Eco-industries (COSEI) depuis 2011, administrateur de l’Union Française de l’Electricité (UFE), de la Fondation Bâtiment Energie (depuis 2011). Saad BENDIDI Directeur Général Délégué du groupe Saham Diplômé de Centrale Paris (83), Sciences Po et HEC. Il a dirigé auparavant de grands groupes nationaux, après une première expérience dans le conseil en stratégie, puis la banque d’affaires. Il apportera son expertise dans le montage de financements innovants. Saad Bendidi a également présidé l’Association des Centraliens du Maroc de 2008 à 2012. Eric CHEVAILLIER Président d’Energic association de corporation énergie déchets Elu du Conseil Régional d’Ile de France de 1998-2014, ancien Président de l’Observatoire des déchets d’Ile-de-France. Membre du conseil d’administration de l’Institut de l’Economie Circulaire. Auteur de «dix questions sur les déchets en Ile de France » aux éditions Technip. 12 Pierre DUCRET Contrôleur général - Conseiller Climat pour le Groupe Caisse des Dépôts Titulaire d’un DEA de philosophie, diplômé de l’IEP de Paris, Pierre Ducret a exercé, depuis sa sortie de l’ENA en 1982, différentes fonctions de direction au sein du groupe Caisse des Dépôts. Il dispose d’une forte expérience du management territorial, comme directeur régional de la Caisse des Dépôts en Aquitaine et en Rhône-Alpes puis comme directeur général des services du Grand Lyon. Successivement directeur à la branche retraites, secrétaire général du groupe puis directeur des services bancaires, il a parallèlement été, entre 2000 et 2010, responsable de la stratégie du développement durable du groupe Caisse des Dépôts avant de créer CDC Climat en 2010, filiale dédiée à la transition écologique et énergétique de l’économie. Idriss ELASRI Ingénieur Supelec - MBA HEC, Membre du Comité Scientifique du Forum CentraleSupelec Ingénieur Supelec, titulaire d’un Master of Science de Georgia Tech (Atlanta, US) et du MBA Trium délivré par HEC Paris, New York Stern (US) et la LSE (UK), Idriss Elasri a 17 ans d’expérience en direction d’entreprises acquise en tant que dirigeant de sociétés industrielles (en France et au Maroc) et en tant que consultant en stratégie au sein de cabinets internationaux. Idriss Elasri a notamment été directeur stratégie & développement de Lafarge Maroc, directeur général d’Edifret, filiale SNCF Geodis spécialisée en IT logistique et ingénierie environnementale, et directeur général de Sadet, acteur marocain de matériaux de construction. Il a également exercé au sein de The Boston Consulting Group à Casablanca et de Bossard Gemini Consulting à Paris. Idriss Elasri est actuellement membre du comité de direction de Lafarge Maroc et y occupe la fonction de directeur logistique. Said ELBAGHDADI Directeur général de la société Afriquia SMDC (filiale de Akwagroup) Diplômé de l’école centrale paris (1991). Il a entamé sa carrière chez procter et Gamble avant de faire un passage par le cabinet du President de Maroc telecom et ensuite s’occuper de la direction commerciale grands publics au sein de la même entreprise. Said Elbaghdadi dispose aussi d’une grande expérience dans la distribution des produits de grandes consommations (FMCG). Après en avoir été secrétaire général, il est actuellement vice-President de l’association des centraliens du Maroc et directeur de la communication et des partenariats pour le 5ème forum centralien Supelec. Hamza EL KABBAJ Directeur Général Adjoint en charge de la banque transactionnelle au sein de AttijariWafa Bank Membre du Comité Scientifique du Forum Centraliens Supélec sur le Climat Ingénieur Supélec et diplômé en économie de l’Université Paris Sud, Hamza El Kabbaj a 10 ans d’expérience dans le conseil financier et l’investissement. Il a notamment été Manager chez Deloitte Finance, en tant que conseil de groupes industriels et de fonds d’investissement Private Equity dans des opérations M&A transnationales. Hamza El Kabbaj a pu travailler sur des opérations d’envergure, en particulier dans les secteurs de l’énergie (acquisition LBO de Cégelec par le groupe Vinci, prise de participation dans le secteur hydroélectrique, due diligences d’acquisition pour Gazprom). En 2010, Hamza El Kabbaj a rejoint Infra Invest, gestionnaire de fonds d’investissements dédiés aux infrastructures sur le continent africain. M. El Kabbaj y est directeur des investissements, spécialisé dans les PPP, et notamment dans les secteurs de l’énergie, l’eau, et les métiers liés à l’environnement. Durant sa carrière, Hamza El Kabbaj a travaillé sur des sujets variés tels que le développement de projets éoliens ou solaires dans diverses juridictions, les PPP dans le traitement des eaux et le dessalement d’eau de mer, ainsi que la valorisation des déchets industriels et ménagers. M. El Kabbaj a été membre du bureau de l’Association Marocaine des Industries Solaires et Eoliennes (AMISOLE), et est engagé au sujet de l’éveil scientifique au niveau préscolaire, notamment sur les thèmes liés à l’environnement et au développement durable. Mouawia ESSEKELLI Directeur Général Adjoint en charge de la banque transactionnelle au sein de AttijariWafa Bank Diplômé de Centrale Paris (92). Ancien Directeur d’AttijariWafa Bank Europe. Auparavant, Mouawia Essekelli a travaillé dans une importante banque de la place dans la finance de marché. 13 Geneviève FERONE CREUZET Docteur en Droit, diplômée de Sup de Co Geneviève Ferone Creuzet a travaillé au sein de différentes organisations internationales, Nations Unies, et OCDE. Elle a ensuite développé une expertise dans les fonds de pension et la finance socialement responsable aux Etats-Unis. Elle a été la PrésidenteFondatrice d’ARESE, la première agence française de notation sociale et environnementale sur les entreprises cotées puis successivement Directrice de Développement Durable des groupes Eiffage et Veolia Environnement. Elle est aujourd’hui Présidente de Casabee, créatrice et responsable scientifique du Mastère Spécialisé Ecologie Industrielle de Centrale Paris. Vice-Présidente de la Fondation Nicolas Hulot, du Shift Project sur la transition énergétique et d‘Agrisud International. Auteur de « 2030 le krach écologique » Grasset 2008 et co-auteur de « Bienvenue en transhumanie » Grasset 2011. « Le crépuscule fossile » Stock, 2015. Abdelouahed FIKRAT Ingénieur de l’Ecole Centrale de Paris Secrétaire général du Ministère chargé de l’Environnement M. Fikrat est depuis le 16 avril 2015 secrétaire général du ministère chargé de l’environnement. Avant cette nomination, il avait occupé, pendant plus de 6 ans, le poste de Directeur de l’Aménagement du Territoire au sein du Ministère de l’Urbanisme et de l’Aménagement du Territoire. Avant cela, et entre 2004 et 2008, il a été nommé à la tête de l’Agence Urbaine de Marrakech ensuite celle de Tetouan. Mr FIKRAT a contribué à la création de Majal, fédération des agences urbaines du Maroc, et il en a été le premier président. M. Fikrat a démarré sa carrière dans le secteur public à Casablanca, en octobre 1997 par sa nomination à la tête de l’ERAC Centre. Auparavant, il avait entamé sa carrière professionnelle dans le privé, juste après son diplôme de l’Ecole Centrale de Paris en 1989, par un poste de Directeur Administratif au sein d’une Ecole Supérieure Privée à Marrakech. M. Fikrat a été décoré en 2007 du Wissam Al-Moukafaa Al-Watania (Récompense Nationale) grade Officier. M. Fikrat, est marié et père de 3 enfants. Tarik HAMANE Directeur Projets Programmes Production à l’ONEE Tarik Hamane occupe le poste de Directeur Projets Programmes Production à l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEE) – Branche Electricité. Il a développé et conduit depuis 2009 les plus grands projets énergétiques de l’ONEE, notamment concessionnels (IPP et PPP), aussi bien conventionnels (Centrales Thermiques à Charbon Propre et à Gaz) que Renouvelables (Parcs Eoliens et Solaires), ainsi que les infrastructures y associées (Portuaires et de Stockage), notamment : Le Parc Eolien de Tarfaya 300MW, le Projet Eolien Intégré 850MW, le Parc Eolien de Taza 150MW, la Centrale Thermique de Safi 1400MW, Centrale Thermique de Jorf Lasfar U5&U6 700MW, l’extension du Port de Jorf Lasfar, … M. Hamane a un MBA de l’Ecole des Ponts et Chaussées Paris, un Mastère Spécialisé en Systèmes d’Information de Ecole Centrale et l’INSA Lyon, France. Il a une double formation d’ingénieur en Génie Electrique et en Automatique et Automatismes de l’Ecole Centrale-Supelec (Ecole Supérieure d’Electricité) Paris et de l’INSA Lyon. Mustapha METAICH Centralien, PhD, Président du Forum Centraliens Supélec édition 2016 Mustapha Metaich est Ingénieur Centralien (ECP 87) et PhD en Génie Industriel (ECP 90). Après une première expérience dans l’industrie (EDF, Dynatec), Il a intégré le monde du Conseil en Management et Stratégie, dans des cabinets Internationaux avant de fonder en 1997 le cabinet de conseil en Stratégie EMC, dont il est actuellement Managing Partner et spécialiste de la practice Transformation des grandes Organisations. Il est administrateur dans plusieurs entreprises dans le domaine des IT et de la Supply Chain (System@tic, Orika Technologies, Diagma) et intervient comme enseignant et conférencier à Centrale Paris, à l’université Paris XIII et à l’ISCAE. Depuis 2013, Mustapha Metaich préside l’association des Centraliens du Maroc, et est Administrateur de l’école Centrale de Casablanca. Il est également co-fondateur et membre du Bureau de l’association Marocaine du Conseil en Management depuis 2015. 14 Michèle PAPPALARDO Coordinatrice des actions relatives à la ville durable au sein de Ministère de l’écologie et du développement durable Haut fonctionnaire (conseiller maitre à la Cour des Comptes), ancienne élève de l’École nationale d’administration, Michèle Pappalardo a été notamment directrice du cabinet de Michel Barnier au ministère de l’Environnement de 1993 à 1995. Présidente de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) de 2003 à 2008, puis premier Commissaire général au développement durable au sein du Ministère de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire jusqu’en 2011. Elle a été ensuite coordinatrice du programme Vivapolis et dans le prolongement de cette fonction vient d’être nommée par la Ministre Ségolène Royal, en mars 2016, coordinatrice en France et à l’étranger des actions relatives à la ville durable. Michèle Pappalardo est, depuis 2012, membre de l’Académie des technologies. Ahmed RAHMANI Ingénieur Supélec Membre du Comité Scientifique du Forum Centraliens Supélec sur le Climat Ahmed Rahmani a démarré son parcours professionnel au Maroc en tant que chef de projets dans la production hydraulique et le transport de l’énergie électrique, puis en région parisienne dans le transport ferroviaire. Au retour au Maroc, il a dirigé pendant 12 ans le département énergie, industrie et tertiaire de Cegelec avant de prendre la direction générale. Il est actuellement en charge des activités de VINCI Energies au Maroc et en Afrique de l’Ouest. Avec plus de 30 ans d’expérience, Ahmed Rahmani a notamment participé aux grands projets de transport de l’énergie électrique et de l’électrification rurale ainsi que des réalisations directement liées à la préservation de l’environnement : - les centrales éoliennes dans le cadre de la loi 13-09, - l’efficacité énergétique dans l’industrie et le tertiaire, - l’électrification des tramway de Rabat/Salé et Casablanca, stations de traitement de l’eau potable et stations de traitement des eaux usées. Membre actif au sein de la CGEM et principalement pour les secteurs du BTP et de l’électricité, Ahmed Rahmani est administrateur dans le cluster solaire. Cédric RINGENBACH Directeur The Shift Projet Ingénieur de l’Ecole Centrale de Nantes, ancien consultant en informatique décisionnelle et entrepreneur, il est un spécialiste des questions de mix énergétique et du climat. Cédric Ringenbach est Directeur de The Shift Project, un think tank sur la transition énergétique, dont il pilote le développement stratégique, depuis 2010. Il est également conférencier sur la problématique du changement climatique. Rachid SMIDI Directeur Général du groupe Marita Rachid Smidi est diplômé de l’école Centrale Paris et expert international en mobilité durable et écologie urbaine : il a travaillé sur des projets d’envergure comme l’aménagement de la vallée du Bouregreg, du Tamway de Rabat-Salé, la Green Tech Valley du Bouregreg, le véhicule électrique… Rachid Smidi est actuellement Directeur Général du groupe Marita, entreprise marocaine active dans le domaine de l’immobilier, l’industrie et les technologies favorisant la mobilité durable et l’efficacité énergétique dans la région de MENA et en Afrique. 15 PROGRAMME ATELIERS - DIMANCHE 29 MAI 2016 14 HEURES / 18 HEURES Chaque atelier sera animé par un expert de la thématique abordée. Un rapporteur procédera à la synthèse des travaux et des recommandations. ATELIER 1 : ADAPTATION : GOUVERNANCE ET FINANCEMENT Animé par M. Abdelouahed FIKRAT, Secrétaire Général du Ministère Délégué auprès du Ministère de l’Énergie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement, chargé de l’Environnement. Rapporteurs : Abderrazak ALAMI SOUNNI, Rapporteur général du Forum et Omar EL IDRISSI, Directeur Général Maghreb Accessoires. Comment financer l’adaptation pour accroître la résilience des territoires face au changement climatique ? Quelles politiques de développement en faveur de la transition bas-carbone (notamment les secteurs de l’industrie et de l’énergie) ? Quel rôle pour les acteurs étatiques et non-étatiques ? INTERVENANTS : • Mme Emilie ALBEROLA, Experte Finance Climat et Carbone, I4CE ; • M. Saad BENDIDI, Directeur Général Délégué, SAHAM Group ; • M. Pierre DUCRET, Conseiller Climat Caisse des Dépôts, Président D’I4CE ; • M. Mouawia ESSEKELLI, Directeur Général Adjoint, Attijariwafa Bank. ATELIER 2 : ÉNERGIES RENOUVELABLES Animé par M. Tarik HAMANE, Directeur Projets Programmes de Production à l’ONEE, branche électricité. Rapporteur : Hamza KABBAJ, Membre du Comité Scientifique du Forum. Comment répondre aux besoins en énergie de l’humanité tout en limitant l’impact carbone ? Comment décarboner le mix énergétique ? Comment mener la transition vers un modèle énergétique décarboné et socialement acceptable ? INTERVENANTS : • M. Jean-Louis BAL, Président du Syndicat Français des Energies Renouvelables ; • M. Ahmed RAHMANI, Président Directeur Général de Vinci Énergies au Maroc ; • M. Cédric RINGENBACH, Directeur Général du Shift Project sur la transition énergétique ; • M. Mohamed SEBTI, Ingénieur Supélec, Directeur Pôle Energie, Nareva Holding. ATELIER 3 : ÉCONOMIE CIRCULAIRE ET ÉCOLOGIE URBAINE Animé par M. Rachid SMIDI, Expert international en Mobilité Durable, Directeur Général du groupe Marita. Rapportrice : Majda MOUMNI, Regional Marketing Manager Africa, OCP group. Comment apporter des réponses durables à la plus forte croissance démographique africaine en milieu urbain ? Comment anticiper la pression grandissante sur les ressources ? L’économie circulaire, une solution. Comment répondre aux défis urbanistiques ? INTERVENANTS : • M. Eric CHEVAILLIER, Président d’Energic et ancien président de l’Observatoire des Déchets d’Ile-de-France ; • M. Idriss ELASRI, Directeur de la Logistique au sein de Lafarge-Holcim Maroc et membre du comité de direction ; • Mme Michèle PAPPALARDO, Coordinatrice du programme français « Villes Durables ». 16 Les ateliers se dérouleront en parallèle. SÉANCE PLÉNIÈRE - LUNDI 30 MAI 2016 9 HEURES / 10 HEURES 30 La première partie connaîtra des interventions de responsables politiques, ainsi que de représentants des institutions internationales en lien avec le thème du Forum : • Mot de Bienvenue et ouverture de la plénière par M. Mustapha METAICH Président du Forum Centraliens Supélec ; • Allocution de M. Abdelilah BENKIRANE, Chef du Gouvernement du Royaume du Maroc ; • Allocution de Mme Hakima EL HAITE, Ministre Déléguée chargée de l’Environnement auprès du Ministre de l’Energie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement ; • Allocution de M. Nicolas HULOT, Président de la Fondation Nicolas HULOT ; • Allocution de M. Nizar BARAKA, Président du Conseil Economique, Social et Environnemental ; • Allocution de M. Miguel Arias CANETE, Commissaire Européen de l’Action pour le Climat et l’Énergie ; • Allocution de Mme Michèle PAPPALARDO, Ancienne élève de l’ENA, Conseiller Maître à la Cour des Comptes française, membre de l’Académie des Technologies en France, ancienne présidente de l’ADEME (2003-2008), Coordinatrice en France et à l’étranger des actions relatives à la ville durable ; • Allocution M. Pierre DUCRET, Ancien élève de l’ENA et de Sciences Po Paris, Contrôleur Général et Conseiller Climat pour le groupe Caisse des Dépôts (France), après avoir créé en 2010 CDC Climat, filiale dédiée à la transition écologique et énergétique de l’économie. 11 HEURES / 13 HEURES La deuxième partie sera consacrée à la restitution des recommandations des workshops et à l’échange avec les participants, dans le cadre de panels d’experts. • M. Jean-Louis BAL, Ingénieur Civil Électricien de l’école Polytechnique de Louvain, Président du Syndicat des Énergies Renouvelables (SER depuis 2011), Président du GT-EnR du Comité Stratégique de Filières Eco Industries (COSEI) depuis 2011 ; • Mme Geneviève CREUZET FERONE, Docteur en droit, diplômée de Sup de Co, ancienne directrice de développement durable des groupes Eiffage et Veolia Environnement. Elle est créatrice et responsable scientifique du Mastère spécialisé Écologie Industrielle de Centrale Paris, Vice-présidente de la Fondation Nicolas Hulot, auteur de « 2030 le krach écologique » Grasset 2008 et « Le crépuscule fossile » Stock, 2015 ; • M. Idriss ELASRI, Ingénieur Supélec et Georgia Tech, titulaire d’un MBA HEC, Directeur de la Logistique au sein de Lafarge-Holcim Maroc et membre du comité de direction ; • M. Abdelouahed FIKRAT, Ingénieur diplômé de l’école Centrale Paris, Secrétaire Général du Ministère Délégué auprès du Ministère de l’Énergie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement, chargé de l’Environnement., ancien directeur de l’Aménagement du Territoire et ancien directeur de l’Agence Urbaine de Marrakech et de Tétouan ; • M. Tarik HAMANE, Ingénieur de Supélec et Mastère spécialisé à Centrale Paris, Directeur Projets Programmes de Production à l’ONEE, branche électricité ; • M. Ahmed RAHMANI, Ingénieur Supélec, Président Directeur Général de Vinci Énergies au Maroc, Directeur Scientifique de la 5ème édition du Forum Centraliens Supélec ; • M. Mohamed SEBTI, Ingénieur Supélec, Directeur Pôle Energie, Nareva Holding ; • M. Rachid SMIDI, Ingénieur diplômé de l’École Centrale Paris, Expert international en Mobilité Durable, Directeur Général du groupe Marita. 17 17 Merci à nos partenaires 19 Contact : Tél. : 05 22 95 38 38 - Fax : 05 22 36 10 86 Mail : [email protected] www.forumcentralesupelec.com Association CentraleSupélec Alumni Maroc Comité de Communication et Partenariats : Said EL BAGHDADI Directeur Communication et Partenariats - Mail : [email protected] Hamza EL KABBAJ Responsable Organisation - Mail : [email protected] Secrétariat du Forum : Tél. : 05 22 95 38 38 - Fax : 05 22 36 10 86 - Mail : [email protected] 20
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