ambassade britannique à Téhéran,Ehud Barak révèle trois

Transcription

ambassade britannique à Téhéran,Ehud Barak révèle trois
Hammond rouvre l’ambassade
britannique à Téhéran
A Téhéran, l’ambassade du Royaume-Uni a
rouvert avec « Mort à l’Angleterre »
griffonné sur le portrait de la reine !
L’ambassade était fermée depuis près de
quatre ans, après avoir été saccagée par
des activistes soutenant le régime.
Une (mauvaise) surprise attendait les personnalités britanniques à Téhéran
lors de la réouverture de l’ambassade du Royaume-Uni en Iran, ce dimanche.
The Telegraph rapporte que « Mort à l’Angleterre » était griffonné en persan
au-dessus d’un portrait de la reine Elizabeth II à l’intérieur du bâtiment de
l’ambassade, ainsi que dans d’autres endroits du bâtiment.
Les graffitis et des dégâts ont été commis quand les foules ont pris d’assaut
l’ambassade du Royaume-Uni, après la rupture des relations diplomatiques avec
Téhéran il y a quatre ans.
Selon The Telegraph, « les fonctionnaires ont affirmé que la suppression des
graffitis sans endommager les élégants murs victoriens du bâtiment
nécessitaient des spécialistes qui n’ont pas encore été emmenés sur les
lieux. Mais il était surprenant que le graffiti incriminé, qui a été écrit en
persan, n’ait pas été couvert d’une quelconque façon avant la visite du
[ministre des Affaires étrangères britannique] Hammond.
Source :©
Israël
Hammond rouvre l’ambassade britannique à Téhéran | The Times of
Ehud Barak révèle trois attaques
avortées contre l’Iran
Les différents chefs d’état-major ont successivement dissuadé les
dirigeants politiques israéliens de passer à l’action ; Réactions des
politiciens israéliens
L’ex-ministre israélien de la Défense Ehud Barak a affirmé que trois projets
d’attaques contre l’Iran soutenus par lui-même et le chef du gouvernement
Benjamin Netanyahu avaient été bloqués par l’armée.
Ministre de la Défense de 2009 à 2013, Barak a déclaré à la Deuxième chaîne
de télévision privée que des plans d’attaque avaient été mis au point entre
2009 et 2010 et approuvés par lui-même et Netanyahu mais que la réponse du
chef d’état-major de l’époque, le général Gabi Ashkenazi, « n’avait pas été
positive ».
L’année suivante, le nouveau chef d’état-major, le général Benny Gantz, a
expliqué aux dirigeants politiques que les possibilités d’une attaque
existaient mais a mis en garde contre « les risques », a poursuivi Barak dans
cet entretien dans la nuit de vendredi à samedi.
Les réserves des militaires ont convaincu Moshe Yaalon, actuel ministre de la
Défense et ministre des Affaires stratégiques de l’époque, et Yuval Steinitz,
alors ministre des Finances et actuel ministre des Infrastructures, a-t-il
ajouté.
Le refus de Yaalon et de Steinitz, qui faisaient partie des huit membres du
cabinet de sécurité restreint, a privé Netanyahu de la majorité nécessaire
pour aller de l’avant, a ajouté Ehud Barak.
En 2012, Israël a eu une nouvelle occasion d’attaquer l’Iran, mais elle n’a
pas été exploitée car elle devait « avoir lieu au même moment que
d’importantes manœuvres militaires avec les Etats-Unis, ce qui risquait
d’embarrasser Washington et de donner l’impression que les Américains étaient
directement impliqués dans l’attaque », a-t-il poursuivi.
L’ancien Premier ministre Ehud Olmert a accusé en 2013 son successeur
Benjamin Netanyahu d’avoir dépensé près de 3 milliards de dollars pour les
préparatifs d’une attaque contre l’Iran qui n’a finalement pas eu lieu.
Depuis des années, Benjamin Netanyahu agite la menace de recourir à «
l’option militaire » pour empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire. Il
s’oppose, comme une grande majorité de la classe politique israélienne, à
l’accord conclu en juillet entre l’Iran et les grandes puissances.
Pour Netanyahu, les clauses de l’accord ne sont pas suffisamment strictes
pour empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire et de s’en servir contre
Israël, dont les dirigeants iraniens appellent à la destruction.
L’ancien ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman a accusé dimanche
le ministre de la défense d’autrefois, Ehud Barak, d’avoir exposé ces secrets
d’État.
Liberman a déclaré à la radio militaire qu’il était « plus que surpris » de
la diffusion des secrets d’Etat par Barak, et affirme que de telles
déclarations finiraient par renforcer l’Iran.
« Je pense que quand des mesures et des discussions qui auraient dû
résolument rester des secrets d’Etat sont débattues dans la presse, cela
laisse entendre que vous êtes un beau parleur, que vous n’êtes pas sérieux,
que vous n’êtes pas fiable, » a-t-il dit.
« Voilà pourquoi, entre autres raisons, l’Iran est choyé par la communauté
internationale, tandis que nous avons été acculés dans un coin… Ces sujets
auraient dû être débattus uniquement dans des forums fermés. »
A la question de savoir s’il croyait que Barak était coupable de la
divulgation des secrets d’Etat, Liberman a répondu qu’il n’y avait « aucun
doute » que c’était le cas.
Selon la Deuxième chaîne samedi, « la colère » envers l’ancien ministre de la
Défense est très répandue au sein des dirigeants israéliens, et de nombreux
hauts-responsables politiques et sécuritaires suggèrent que la version des
événements de Barak n’est pas entièrement exacte. Le bureau du Premier
ministre n’a pas donné de réponse officielle à la diffusion.
Suite à ces révélations, la Deuxième chaîne a déclaré samedi que selon
diverses personnalités israéliennes clés, Ashkenazi n’a pas exclu une
opération aussi catégoriquement que Barak l’a laissé entendre.
En outre, d’après le rapport télévisé de samedi, Ashkenazi n’était nullement
la seule personnalité de haut rang n’ayant pas soutenu une attaque à ce
moment-là. D’autres l’ont imité, comme l’ancien chef du Mossad, Meir Dagan,
qui a plus tard diffusé son opposition, et des principaux ministres, y
compris Dan Meridor et Eli Yishai.
La Deuxième chaîne a également suggéré que Barak jouait peut-être la
politique du parti avec ses commentaires.
Ashkenazi envisagerait d’entrer en politique, et Barak, qui s’est retiré de
la vie politique, pourrait vouloir le contrecarrer. Les deux sont devenus
rivaux au fil des ans, et la relation de Barak avec l’actuel ministre de la
Défense Yaalon est tout aussi orageuse.
Le matériau des bandes provient de conversations liées à une nouvelle
biographie de Barak écrite par Danny Dor et Ilan Kfir. L’ancien ministre de
la Défense, qui était aussi précédemment Premier ministre et chef d’étatmajor, a tenté d’empêcher la diffusion des enregistrements, mais la censure
militaire israélienne a permis à la Deuxième chaîne de les révéler.
Les frappes aériennes sur les installations nucléaires iraniennes devaient
avoir lieu en raison du fait que Netanyahu et Barak avaient prévu que l’Iran
entrerait dans une « zone d’immunité », dans laquelle ses installations
étaient si bien protégées ou développées qu’une future attaque serait
inutile.
Barak a exprimé vendredi soir son indignation devant la diffusion des
enregistrements.
Steinitz a déclaré qu’il était grave que ce matériel ait été diffusé et n’a
fait aucun commentaire sur les détails, tandis que Yaalon a affirmé n’avoir
aucun commentaire sur ce qu’il qualifie de matériau partial et biaisé
Source : Ehud Barak révèle trois attaques avortées contre l’Iran
Attaque du Thalys : « Sans eux, nous
serions tous morts »
François Hollande recevra lundi à Élysée « les citoyens
américains, français et britannique » ayant permis
d’éviter un carnage à bord du train Thalys.
Ce sont trois jeunes américains, amis d’enfance, en vacances en Europe et qui
rentreront aux États-Unis en « héros ». Aleksander Skarlatos, Spencer Stone
et Anthony Sadler, qui ont été salués par leur président Barack Obama pour
avoir empêché un carnage vendredi dans le Thalys Amsterdam-Paris, seront
également reçus par François Hollande lundi à l’Elysée. Epaulés par un
sexagénaire britannique, Chris Norman, et un Français de 28 ans, ils ont
désarmé et maîtrisé un suspect lourdement armé qui avait commencé à faire feu
dans le wagon.
Touché lui aussi dans la mêlée par des coups de cutter, Spencer Stone est
sorti samedi après-midi de la clinique de Lille-Sud, à Lesquin, le bras
gauche en écharpe. Ses deux amis, Alek Skarlatos et Anthony Sadler, avaient
pu raconter les événements dès vendredi soir dans une brasserie d’Arras. Tous
trois ont été entendus samedi par la police. Les trois jeunes Américains se
connaissent depuis leur enfance passée en Californie. Le « First Class »
Stone, 23 ans, de l’armée de l’air, basé aux Açores, et le soldat Skarlatos,
22 ans, de la Garde nationale dans l’Oregon, sont des militaires, Sadler, 23
ans, un étudiant.
« Alek a dit à Spencer ’Vas-y, occupe-toi de lui’ »
Tous trois se trouvaient dans le Thalys 9364 circulant entre Amsterdam et
Paris pour une nouvelle étape de leurs vacances en Europe. Il semble que ce
soit Stone, gaillard de 1 m 90 et adepte des arts martiaux, qui ait pris le
plus de risque. « Il a été le premier à sauter sur le type, c’est lui qui a
été entaillé », a confié Sadler à Reuters. « C’est notre ami, alors lorsque
nous l’avons vu se lever, nous devions le suivre et l’aider […] C’était une
situation de folie », a poursuivi l’étudiant, inscrit à la Sacramento State
University.
Sadler ajoute que tout s’est passé très vite après un premier coup de feu,
celui qui a blessé le passager français, alors que la Kalachnikov AK-47 du
tireur semblait enrayée. « J’ai vu que tout le monde baissait la tête et
lorsque je me suis retourné, le tireur venait juste d’entrer dans la voiture
avec son AK. » Tard vendredi soir, le Britannique Chris Norman, 62 ans,
avait expliqué devant la presse: « Alek a dit à Spencer ’Vas-y, occupe-toi de
lui’. Spencer s’est précipité et l’a plaqué au sol. Ils ont commencé à
maîtriser le terroriste. » « Sans Spencer, nous serions tous morts », a-t-il
précisé samedi. Les trois Américains ont roué Ayoub El-khazzani de coups
jusqu’à ce qu’il perde connaissance. Aidé du passager britannique, ils l’ont
ligoté puis ont porté assistance au passager français.
« Il rentre d’Afghanistan et doit livrer bataille
en vacances en France… »
Barack Obama, qui avait salué dès vendredi soir leur « acte héroïque », les a
appelés samedi soir au téléphone pour leur dire « combien l’ensemble des
Américains étaient fiers de leur courage extraordinaire », a rapporté la
Maison blanche. « Ces hommes sont des héros », a déclaré le général Philip
Breedlove, commandant suprême des forces de l’Otan en Europe. François
Hollande, qui s’est entretenu samedi matin au téléphone avec eux, les recevra
lundi matin à Élysée afin de leur « témoigner la gratitude de la France », a
annoncé la présidence française. La SNCF va quant à elle aider leurs familles
à venir en France si elles le souhaitent.
Joint par téléphone chez lui, à San Jose, en Californie, Tim Eskel, l’oncle
du « First Class » Stone a dit combien toute sa famille était fière de lui.
« Spencer est quelqu’un de très courageux, il a un cœur énorme », a-t-il
ajouté. Emanuel Skarlatos, le père d’Alek, se réjouissait lui que les choses
aient bien tourné. Son fils rentrait d’une affectation en Afghanistan. « Un
gars rentre d’Afghanistan et doit livrer bataille en vacances dans un train
en France… », dit-il, interdit. Quant à Anthony Sadler Sr, le père du
troisième de la bande, il dit éprouver toujours des difficultés à réaliser ce
qui s’est passé vendredi à bord du Thalys. « Mais nous sommes fiers de lui et
nous sommes très reconnaissants envers Dieu qu’il n’ait été ni touché, ni
tué », dit ce pasteur de 57 ans qui officie à l’église baptiste de Shiloh, à
Sacramento.
© Le Monde.fr
Source : Attaque du Thalys : « Sans eux, nous serions tous morts »
Une affluence record : 11 000
personnes pour fêter Tel-Aviv sur
Seine !!!!
Un succès immense pour cette initiative qui a tant fait couler d’encre ces
derniers jours à la fois sur les réseaux sociaux mais aussi dans la presse
française. Les chiffres du communiqué de presse de la mairie de Paris
viennent de tomber, c’est près de 11 000 personnes qui ont profité de cette
journée ludique dans une ambiance décontractée d’échange, de tolérance aux
couleurs de Tel Aviv. Les juifs français mais aussi des non juifs ont répondu
présent pour venir supporter la ville de Tel Aviv et par conséquent Israël,
ils n’étaient que 4 000 l’année dernière à s’être déplacés pour soutenir
Israël lors de la guerre de gaza.
Des files
d’attentes de plusieurs centaines de personnes se sont formées tout au long
de la journée sur les quais de seine, tant « la plage de Tel Aviv sur Seine »
était bondée de monde. Un grand bravo à tous les parisiens après cette
polémique démesurée qui a enflé sur les réseaux sociaux mais aussi dans cette
presse française qui durant la semaine du 15 août, n’ayant absolument rien à
se mettre sous la dent, a vu arriver l’événement comme un scoop de plus pour
importer le conflit du moyen orient à Paris. L’esprit de tous est resté
serein et seulement une centaine d’opposant ont manifesté à une centaine de
mètres dans le calme, grâce évidement aux forces de police qui ont
parfaitement assuré la sécurité du public.
J’éprouve un sentiment de fierté face là la mobilisation de tous pour cet
événement exceptionnel organisé par les responsables de deux villes, Paris et
Tel Aviv, éminemment tolérantes et progressistes dans le seul but de
rassembler des individus différents qui ont toutefois les mêmes valeurs de
dialogue, de partage et d’échanges.
La C.J.F.A.I appelle tous les
parisiens à célébrer Tel-Aviv à
Paris-Plage
La Confédération des Juifs de France et Amis d’Israël ( C.J.F.A.I) appelle
tous les parisiens épris de Paix et de tolérance à venir festoyer sur les
rives de ParisPlage Jeudi 13 août.
Nous invitons tous les parisiens à venir découvrir l’insouciance, la
tolérance, la joie de vivre qui sont les symboles de cette ville, capitale du
gay friendly et de laisser sur les bords des rives de la haine les aigris et
les haineux qui appellent au boycott.
Les parisiens jugeront par eux-même de la nature de ceux qui dénigrent la
ville la plus tolérante du monde.
Comble de l’ironie, ce sont ceux-là mêmes qui ont encensé Staline, les
Khmers-rouges, Castro, Chavez, Saddam Hussein, Khadaffi et tous les autres
tortionnaires de l’histoire qui prétendent donner des leçons de morale !
Leur comportement ne mérite que le mépris, ce que visiblement les français
ont bien compris vu leur score aux élections !
Venons tous à Paris-plage, Jeudi 13 août, et Soutenons Tel-Aviv, capitale de
la tolérance et du vivre ensemble.