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Magazine PLUME RUBRIQUE : « L’envers de la Lettre » L’art d’interpréter l’écriture : Pour connaître l’envers de la lettre, c’est-à-dire ce que la lettre révèle de l’esprit qui l’a créée, Il nous faut resituer l’écrit dans le temps (à une époque donnée) et dans l’espace (géographiquement), car l’écriture ne peut s’analyser en dehors de son contexte historique, sociologique, qu’elle illustre souvent fort bien….. Donner un sens aux signes que sont les lettres ou idéogrammes, n’est-ce pas là le but initial de l’écriture ? L’écriture au fil du temps : Dès la préhistoire, l’homme a laissé son empreinte à l’aide de différents outils et sur des supports variés…d’abord liés à son environnement direct : pierre, sable, terre, bois…. Des premières tablettes en argile ou en cire retrouvées en Mésopotamie, aux papyrus des dynasties Egyptiennes, puis des parchemins de l’Asie mineure et de l’antiquité Grecque et Latine jusqu’au moyen âge occidental ; les supports, au fil du temps, seront de plus en plus élaborés, sophistiqués. Le papier fut inventé en chine par Tsaï-Lun, vers l’an 105 après J.C. Ce support fut transmis par les Mongols aux Arabes, puis en Occident. Quant aux instruments utilisés : ils passeront des os aux stylets en métaux, ou en bois, roseaux ou bambous taillés, à la plume d’oie, puis de la plume métallique, pour finir, plus récemment, aux stylos billes en plastique ou en métal et feutres. L’interprétation de l’écriture au fil du temps : Depuis la plus haute antiquité, et pour commencer en Egypte avec le Dieu Thot, lequel présidait à l’écriture et était vénéré des scribes, jusqu’aux philosophes grecs Aristote et Cicéron, l’être humain a toujours cherché à donner une signification symbolique à « l’écrit » : inscrivant ainsi sa pensée, sa psyché dans la matière. 1 Sans doute parce qu’il savait que cette projection de lui-même le révélait consciemment et inconsciemment et reflétait, à travers les âges sa propre dynamique. Historique de la Graphologie : Les précurseurs : Les précurseurs de l’art d’interpréter l’écriture furent : Tout d’abord, l’italien Camillo Baldi, Professeur de Philosophie et mondain, qui publia en 1622 l’ouvrage « Du moyen de connaître les mœurs et les qualités d’un écrivain d’après ses lettres missives ». Il s’agissait là d’un œuvre littéraire et philosophique et de réflexions empiriques. Il sera suivi, à la fin du XVIIIème siècle par le Physiognomoniste Lavater (1741-1801) qui observa « une analogie admirable entre le langage, la démarche et l’écriture… ». Des Philosophes, hommes de lettres, tels que Goethe et Balzac décrivaient déjà intuitivement les personnalités à travers leurs écrits Puis au début du XIXème siècle, en 1812, le parisien Hocquart publia « L’art de juger de l’esprit et du caractère des hommes sur leur écriture ». En 1863, l’Allemand Adolph Henze, publia l’ouvrage « Chirogrammatomancie » regroupant une série d’appréciations sur les écritures des abonnés à un journal. Les fondateurs : Il nous faudra attendre la fin du XIXème siècle pour que l’interprétation de l’écriture prenne le nom de « graphologie » en 1871, grâce à l’Abbé Jean-Hippolyte Michon ( Directeur en 1830 d’un établissement religieux, il fut initié par le Chanoine de Notre-Dame de Paris : l’Abbé Flandrin, Professeur dans son établissement, lequel lui transmis oralement ses connaissances en matière d’interprétation des écrits) et soit érigée en tant que méthode analytique, dans un premier temps, publiée dans ses ouvrages : « Les mystères de l’écriture », « Système de Graphologie », puis dans la « Méthode pratique de Graphologie » et « l’art de connaître les hommes d’après leur écriture » en 1875. L’Abbé Michon a fondé la Société Française de Graphologie en 1871. 2 Le créateur de l’école française de Graphologie :méthode utilisée actuellement comme référence de base, demeure Jean Crépieux-Jamin (1859 – 1940), Dentiste de formation initiale, doté d’un esprit cartésien et scientifique, il reprendra les travaux de Michon et mettra au point une méthodologie construite d’après une classification de 175 signes graphiques ou « espèces », répertoriées en 7 « genres » : l’ordonnance, la dimension, la direction, la continuité, la pression, la forme et la vitesse de l’écriture. Ces critères de base permettaient d’établir des syndromes ou ensembles de signes afin d’effectuer une synthèse aboutissant à l’articulation de la personnalité d’un scripteur. Une méthode à la fois analytique et synthétique était née……… Concernant l’interprétation de l’écriture, il déclarait en 1896 : « il n’y a pas de signes particuliers indépendants, il n’y a que des signes généraux dont les modes sont divers. Dans cette formule se trouve l’esprit de ma classification. J’ose même dire l’esprit de la Graphologie…. ». Les ouvrages les plus connus sont « L’ABC de la Graphologie » en 1930, mais aussi « les éléments de l’écriture des canailles » en 1923, « les bases fondamentales de la Graphologie et de l’expertise en graphologie » en 1927, « l’écriture et le caractère » 1894 Parallèlement, en Allemagne, dès la fin du XIXème siècle, les Docteurs Preyer et Meyer firent de la Graphologie une matière scientifique. En effet, ils étudièrent de manière physiologique, les variations et mouvements d’un graphisme. C’est le Philosophe et théoricien de « l’expression » : Ludwig Klages (1872 – 1956), qui fonda la méthode allemande d’interprétation de l’écriture en fonction du « niveau vital » ou « formniveau » de l’écriture. Son ouvrage «L’expression du caractère dans l’écriture » explicite son approche. D’autres, tels que Rudolph Pophal, et Roda Wieser poursuivront ces travaux avec l’étude de l’élasticité et de la tension du trait dans l’écriture. A la même époque, en Suisse, c’est le Graphologue Max Pulver, Médecin légiste, Psychanalyste et Philosophe de formation initiale, qui va marquer la Graphologie en fondant son interprétation sur la façon dont l’écriture s’organise dans l’espace. « Le Symbolisme de l’écriture » publié à Zurich en 1931 explore la répartition spatiale et permet d’interpréter un grand nombre de graphisme. 3 Actuellement, de nouvelles recherches sont en cours (la NeuroGraphologie…..) et la graphologie est une discipline évolutive et dynamique. L’apport des différentes approches constitue le fondement même de cette psychologie appliquée. Définition de la Graphologie : Le terme de Graphologie vient de « graphein » : écrire, et de « logos » : science, ce qui signifie : science de l’écriture. Elle est la technique de l’interprétation de l’écriture considérée comme une expression de la personnalité. Elle peut être considérée comme un test projectif. L’être se projette à travers ses productions, consciemment et inconsciemment. Il s’agit d’une science humaine, qui à l’aide de méthodes, vise une approche, voire une compréhension de la personnalité d’un individu sur les trois plans fondamentaux : l’intellect, le relationnel, l’instinctif/modalité d’actions. Comme tout moyen de communication, la Graphologie répond à la loi de la relativité du temps et de l’espace. Il est donc important de situer une écriture dans un contexte donné. De nombreuses variables existent : L’écriture change en fonction de l’état psychologique et physique dans lequel se trouve le scripteur (fatigue, angoisse, euphorie, détente, imprégnation médicamenteuse, handicap physique….) En fonction de la personne à laquelle elle s’adresse, du contenu qu’elle véhicule, de l’âge et du sexe du scripteur, de l’utilisation de la main droite ou gauche, de la nature du support et de l’instrument utilisé…. Egalement en fonction de la méthode d’apprentissage, du milieu éducatif et des influences sociologiques (phénomène de mode) La période d’apprentissage passée, le scripteur va automatiquement personnaliser son écriture, laquelle se détachera plus ou moins du modèle calligraphique appris. Cependant, le Graphologue professionnel tient compte de toutes ces variables et l’on retrouve certaines caractéristiques constantes dans une même écriture. C’est sur elles que travaillent les Graphologues. 4 La graphologie aujourd’hui : Faut-il chercher à tout démontrer ? Cette interrogation s’applique naturellement aux sciences humaines dont fait partie la Graphologie. N’a-t-on pas brûlé les livres de Freud en prétendant alors que la Psychanalyse ne servait à rien car elle ne pouvait être démontrée et était considérée comme diffamatoire ? Aujourd’hui, qui se risquerait à affirmer qu’une cure analytique ou une psychothérapie ne peuvent répondre au souci de délivrance psychique d’un patient ? La graphologie bénéficie d’études de satisfaction qui contrent ses détracteurs. Par ailleurs, la mise en place de protocoles prouvant que la graphologie mesure ce qu’elle est effectivement censée mesurer est en cours dans les Universités traitant des Biosciences (sciences mettant en correspondance la physiologie, la biologie et la psychologie). Cette démarche marque une avancée dans le processus de la validation de la graphologie. Lors du Congrès International de Graphologie, qui s’était tenu à Québec (Canada) fin mai 2004, regroupant les principaux graphologues Nord Américains et Européens et auquel le S.E.G.P. (Syndicat Européen des Graphologues Professionnels) avait participé, le Docteur australien Bryan James Found avait présenté un « protocole de recherche qui permettra de valider trait par trait la graphologie ». Les applications de la Graphologie : De nos jours, elles sont nombreuses et offrent un grand champ d’investigation : Le développement personnel : pour une meilleure connaissance de soi et des autres, Dans le cadre d’associations professionnelles et personnelles : études de compatibilité de caractère, comparaison entre deux personnalités, Dans le cadre de l’aide à l’orientation scolaire et professionnelle, En collaboration ou association avec la Psychologie, la Psychanalyse ou la Psychothérapie – Egalement en médecine : neurologie et psychiatrie 5 En Graphothérapie : ou rééducation de l’écriture ou des dysgraphies chez l’enfant, l’adolescent et l’adulte. Dans le cadre de l’enseignement et de la recherche En formation de base dans le cadre de l’expertise en écritures (diplôme d’état ne nécessitant pas celui de Graphologue) Mais le domaine d’application le plus important reste (en France) encore celui de la gestion des ressources humaines, comportant : Le recrutement, la promotion, la reconversion, les bilans de compétences ou bilan professionnels. Les raisons en sont simples. La France est le premier pays utilisateur de la Graphologie dans le cadre de l’aide à la sélection professionnelle. En effet, environ 85% des entreprises françaises font appel à cet outil d’évaluation d’un candidat. Il est vrai que les Graphologues français, dès la fin de la seconde guerre mondiale ont mieux su promouvoir cet outil que nos voisins Britanniques et Germaniques. Les pays de culture Anglo-Saxonne utilisent peu la Graphologie dans le cadre du recrutement. Ils se limitent aux cadres juridique, judiciaire et universitaire. Par ailleurs, cette méthode est parfaitement légale, étant donné qu’un écrit, dès l’instant ou il est adressé ou donné à son destinataire, appartient à ce dernier. De plus, depuis le 28 novembre 2001, date de parution de la norme AFNOR NFX 50-767 au Journal Officiel, dans le cadre de la normalisation des Cabinets Conseil en recrutement, la Graphologie est reconnue en tant qu’outil d’aide à la sélection professionnelle ayant place parmi les techniques utilisées dans le processus du recrutement. La graphologie dans le cadre de l’aide au recrutement : En matière de détection et d’évaluation des compétences comportementales durant le processus de recrutement, il est sage de ne pas avoir de religion. En privilégiant une seule approche, par exemple, l’entretien, sans s’appuyer sur un certain nombre d’autres outils disponibles, l’on commet souvent de graves erreurs dont pâtissent les candidats, les collaborateurs, mais aussi les entreprises. Face à la complexité de la tâche d’appréciation d’une personnalité, il y a, dans toute procédure, une notion de pari. 6 Il est donc raisonnable d’asseoir ce pari sur des indices complémentaires qui doivent concourir entre eux à la décision la plus étayée possible. Fleurissent actuellement sur le marché, et à l’attention des départements de gestion des ressources humaines des entreprises, des offres d’outils d’appréciation assez aléatoires. Faire le tri n’est pas toujours facile. La graphologie utilisée dans le cadre du recrutement est aujourd’hui le seul outil capable d’apporter une synthèse rédigée des aptitudes comportementales, intellectuelles et actives d’un candidat face aux attentes précises d’un poste à pourvoir en entreprise. Il ne s’agit aucunement d’un jugement de valeur mais d’un éclairage donné sur la personnalité et d’une mise en adéquation avec un profil prédéterminé. Très peu de Tests utilisés dans le cadre de la gestion des ressources humaines en entreprises ont subi les travaux de validation nécessaires. Le test psychotechnique produit des histogrammes ou autres graphiques parfois affublés de phrases types ne permettant pas d’affiner le profil d’un candidat et ne facilitant pas non plus l’interprétation des résultats par un non psychologue. Attention de ne pas succomber à la pseudoscience des tests et à la tentation du logiciel miracle ! Les spécialistes de l’évaluation d’un individu le savent : le recruteur ou décideur ne peut se contenter d’une seule technique ou des seuls tests pour régler la très complexe problématique : homme/poste. En revanche, en croisant différents outils d’évaluation, et notamment la Graphologie, on réduit le risque d’erreur inhérent à toute décision en matière d’appréciation humaine. Les limites de la Graphologie : Elles sont celles d’une psychologie appliquée et d’une science humaine. Aucune approche qu’elle soit psychologique, philosophique, clinique ne révèle l’être dans sa totalité. Il existe toujours, et heureusement, une part d’inconnu. La graphologie n’est pas une science occulte : il n’est pas possible de prévoir l’avenir ! On ne lit pas la même chose dans toutes les écritures : certaines sont plus « parlantes » que d’autres sur un plan de la personnalité, certaines demeurent assez hermétiques. 7 L’écriture ne révèle pas le Q.I. d’un individu, mais sa forme d’intelligence, son mode de raisonnement…. L’écriture ne révèle pas l’âge et le sexe de son auteur, pas plus que la main qu’il utilise pour écriture. L’avenir de la Graphologie : L’écart entre les progrès techniques et l’évolution sociale et psychologique de l’homme semble s’agrandir de jour en jour. Faire progresser plus vite les sciences humaines est un impératif maintenant bien compris. Toutes les techniques d’approche de la personnalité (P.N.L., Analyse transactionnelle, Morphopsychologie, approche comportementale…), issues de la psychologie moderne, se doivent de mettre en place des programmes de recherche portant sur l’amélioration de la technique, sur la validation et la fiabilité. La formation du graphologue devra s’élargir, au-delà de la formation technique, vers une meilleure connaissance du monde économique, afin de mieux s’adapter à la réalité mouvante de l’entreprise, pour ceux qui exerceront dans le cadre des ressources humaines, et dans les différentes applications de la discipline (orientation, développement personnel…). La formation du Graphologue : Tout d’abord, il est à noter qu’il s’agit, en France, d’un diplôme d’enseignement supérieur privé. De nombreuses écoles de formation proposent des cours oraux et par correspondance. Le diplôme « général » s’obtient en général en trois années, ou en cours intensif en un an. Les cours comprennent une partie théorie et de nombreux cas d’application. Le travail personnel, nécessaire à l’obtention du diplôme, est important. Les années de spécialisation viennent dans un second temps : graphothérapie, orientation des jeunes, sélection professionnelle ….. (voir la liste des écoles les plus connues) Le Graphologue professionnel, est, dans la plupart des cas, rattaché à un groupement de Graphologues (associations ou syndicats): il en existe 4 en France. (voir la liste des groupements de Graphologues) Aussi est-il tenu de respecter un code de déontologie. 8 Qui sont les Graphologues d’aujourd’hui ? : Il y a parmi les Graphologues beaucoup de Psychologues. Plus de littéraires que de scientifiques choisissent cette voie. Les femmes également sont largement représentées dans cette profession qui demande beaucoup d’intuition et de sensibilité, mais aussi un esprit à la fois analytique et synthétique, avec une forte capacité de concentration. Si le goût inné les y porte souvent, elles sont aussi attirées par le côté pratique. En effet, il est possible d’exercer cette profession de façon plus ou moins indépendante : à domicile, en cabinet, attaché auprès de plusieurs entreprises, à plein temps, à mi-temps, autrement dit, presque à la carte. Comme toutes les psychologies appliquées, la Graphologie passionne les êtres motivés pour travailler et explorer la psyché et d’une manière générale l’humain. Bertram Durand & Corine Blanc Président et Vice-Présidente du SEGP 9 ANNEXE distribuée par : S.E.G.P. ( Syndicat Européen des Graphologues Professionnels) (Préfecture de la Seine N°11526) Les groupements de Graphologues Professionnels en France : 1) Fédération Nationale des Graphologues Professionnels (F.N.G.P.) 60 cours Lafayette – 69421 LYON CEDEX 03 – Président : Robert Plouvier – 04 79 70 13 71 www.fngpgrapho.com - [email protected] 2) Groupement des Graphologues Conseil de France (G.G.C.F.) 43 rue Godot de Mauroy – 75009 PARIS – Présidente : Claude Toffart – 01 42 65 28 28 www.ggcf.fr - [email protected] 3) Syndicat Européen des Graphologues Professionnels (S.E.G.P.) 59 avenue Victor Hugo – 75116 PARIS – Président : Bertram Durand – Vice-Présidente : Corine Blanc – 0 820 000 193 ou à partir de l’étranger : 00 33 01 56 28 06 95 www.segp-asso.org – [email protected] 4) Syndicat des Graphologues diplômés de la Sté Française (S.G.D.S.) 16 place du Général de Gaulle – 13231 MARSEILLE CEDEX 01 – Présidente : Joëlle Osanno – 01 30 57 90 52 www.sgds.asso.fr – [email protected] Les écoles de formation : (enseignement supérieur privé) 1) SOCIETE FRANCAISE DE GRAPHOLOGIE (S.F.D.G.) Cours oraux et par correspondance – liste des Professeurs agréés sur demande Diplôme en 3 ans Spécialisations et mémoires : voir G.G.C.F 5 rue Las Cases – 75007 PARIS Secrétariat : 01 45 55 46 94 2) FEDER.H. FORMATION Cours oraux et par correspondance – séminaires Diplôme général en 3 ans ou en 1 an intensif – diplôme de spécialisation en sélection professionnelle/orientation des jeunes/graphothérapie 4ème & 5ème années d’approfondissement 32 avenue Bugeaud – 75116 PARIS Secrétariat : 01 44 34 23 23 www.federh.com – [email protected] 3) ECOLE DE PSYCHO-GRAPHOLOGIE (E.P.G.) Cours par correspondance et oraux (région Sud de la France) Diplôme de graphologue à l’issu de 3 cycles (de base, professionnel, perfectionnement) Diplôme de Psycho-Graphologue Praticien à l’issu de 3 cycles Secrétariat : 04 90 25 00 84 [email protected] 4) INSTITUT DES COMMUNICATIONS HUMAINES (I.C.H.) Cours oraux et par correspondance – séminaires Diplôme en 3 ans 8 rue d’Athènes – 75009 PARIS Secrétariat : 01 48 74 43 60 10
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