panorama 2014 de la cession-reprise d`entreprises en ile-de
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PANORAMA 2014 DE LA CESSION-REPRISE D’ENTREPRISES EN ILE-DE-FRANCE En Ile-de-France, 88 100 entreprises employant au moins un salarié ont à leur tête un dirigeant qui atteindra l’âge de la retraite au cours des dix prochaines années. Faute de trouver un repreneur, ces entreprises pourraient disparaître. Chaque année 59 300 salariés sont concernés par le départ de leur dirigeant. A cela s’ajoutent 193 300 entreprises sans salarié, elles aussi concernées par un départ en retraite du dirigeant d’ici dix ans. Afin de permettre à ces entreprises de poursuivre leurs activités et de préserver leurs emplois, de nombreux dispositifs d’aide et de mise en relation entre dirigeants-cédants et repreneurs potentiels ont été créés. Plus d’une entreprise francilienne sur trois est dirigée par un chef d’entreprise âgé de 55 ans ou plus. Potentiellement, ce sont donc 281 400 entreprises de moins de 50 salariés qui sont ou vont être concernées à court ou moyen terme par la problématique du changement de dirigeant. 31 % de ces entreprises emploient un ou plusieurs salariés, ce sont donc environ 59 300 salariés qui se trouveraient chaque année menacés par la disparition de leur entreprise, faute de repreneurs. A ces conséquences sur l’emploi s’ajoute la perte de savoir-faire liée aux départs de dirigeants expérimentés. 193 300 entrepreneurs indépendants sans salarié atteindront l’âge de la retraite d’ici dix ans ; parmi ces derniers se compte un nombre croissant d’auto-entrepreneurs qui ne seront pas concernés par la transmission, une auto-entreprise n’étant pas cessible. mission des entreprises, mais il s’agit de la situation qui pose le plus de difficultés, la transmission devant se faire rapidement. En effet, la cession d’une entreprise est un processus complexe et généralement long, qui doit se préparer bien en amont. Ainsi, le dirigeant doit continuer à gérer et à investir pour son entreprise. Il doit parallèlement s’approprier les mécanismes de la reprise (lettre d’intention, due diligence, garantie de passif, etc.), fixer le prix adéquat, organiser la transmission sur les plans juridique et patrimonial, trouver le ou les repreneurs. L’accompagnement du dirigeant et du repreneur est alors un facteur déterminant dans la transmission d’entreprise. Céder au bon moment est enfin un élément-clé : la période idéale est celle où les conditions (conjoncture du marché, situation de l’entreprise…) sont optimales pour vendre, quitte à céder de façon anticipée. Pour cette raison, plus tôt l’entreprise se Ces estimations relatives aux entreprises à transmettre consti- prépare à être mise sur le marché, plus élevées sont les chances tuent un chiffre maximum. En effet, les entreprises dont le diri- de réaliser une vente satisfaisante. geant atteindra l’âge de la retraite ne seront pas toutes concernées par la transmission : certaines disparaîtront sans chercher Il est communément admis qu’environ 60 % des transmissions de repreneur(s) -ce phénomène est plus répandu pour les d’entreprises se font sur le « marché caché » et 40 % sur le entreprises sans salarié que pour les entreprises employeuses- « marché ouvert ». Le « marché caché » est celui sur lequel céd’autres seront reprises par un membre de la famille ou un em- dants et repreneurs se rencontrent sans que l’information selon ployé. laquelle l’entreprise est à céder soit rendue publique, c’est-àdire les transmissions familiales, les transmissions en interne Pour les moyennes et grandes entreprises (50 salariés et plus), (reprise par un salarié) et les transmissions pour lesquelles les la problématique de la transmission est différente. En effet, il deux parties se sont rencontrées via un réseau ou un contact paraît peu probable que de telles entreprises disparaissent commun. C’est au sein de ce marché que se réalisent les plus faute de repreneurs. Les transmissions de ces entreprises sont « belles » transactions. Sur le « marché ouvert », l’information donc généralement résolues avant, ou plus rarement au mo- de la cessibilité d’une entreprise est publique, le plus souvent ment du départ en retraite du dirigeant, soit par une succession via des bourses d’opportunités mettant en relation cédants et en interne, soit par l’arrivée d’un chef d’entreprise extérieur, repreneurs. qui bien souvent possède une expérience conséquente en tant que dirigeant. Ces entreprises, lorsqu’elles affichent une bonne Dans un contexte d’inquiétude sur la fiscalité relative aux cessanté économique, sont convoitées par de nombreux candidats sions d’entreprises, le nombre de transmissions réalisées durant à la reprise. l’année 2012 a été inférieur à celui des années précédentes. Les organismes de mise en relation des cédants avec les repreneurs Le départ à la retraite ne constitue pas la cause unique de trans- s’attendaient à ce que 2013 soit l’année du rebond. Ce rebond Transmission d’entreprises en Ile-de-France - n° 7 - juin 2014 n’a pas eu lieu et le stock d’entreprises à transmettre continue d’augmenter. Cela s’explique par plusieurs facteurs : bien qu’il existe globalement plus de repreneurs que de cédants, la plupart des repreneurs cherchent le même profil d’entreprises : une entreprise de services en bonne santé, avec un chiffre d’affaires important et dont l’activité constitue une niche. La réalité de l’offre d’entreprises à reprendre est différente : il s’agit de structures beaucoup plus modestes exerçant dans des secteurs d’activité différents des souhaits des repreneurs. La situation écono- mique globale fait que les cédants n’arrivent pas à vendre leur entreprise à la valeur souhaitée : aussi, nombreux sont ceux qui préfèrent continuer leur activité en attendant une meilleure conjoncture. Le commerce constitue une problématique à part : - il existe plus de commerces à céder que de repreneurs potentiels, - ce qui motive l’achat d’un commerce n’est pas forcément l’entreprise en elle-même, mais plus souvent l’emplacement de la boutique. LA MAJORITE DES ENTREPRISES A TRANSMETTRE SONT DES ENTREPRISES DE SERVICES Si, pour l’ensemble des activités franciliennes, un tiers des entreprises est dirigé par un entrepreneur âgé de 55 ans ou plus, cette proportion varie selon les secteurs d’activité. Ainsi, 37 % des entreprises industrielles régionales sont ou seront concernées par la succession de leur dirigeant d’ici dix ans, contre seuParmi les 281 400 entreprises dont le représentant légal a 55 lement 24 % pour la construction. Le succès des transmissions ans ou plus, 68 % sont des entreprises de services. Le commerce d’entreprises représente donc un enjeu primordial pour tenter représente quant à lui 20 % des entreprises. La construction et d’enrayer la désindustrialisation de l’Ile-de-France. l’industrie représentent respectivement 7 % et 5 % de ces entreprises. Répartition par secteur d’activité des entreprises de moins de 50 salariés dont le dirigeant est âgé de 55 ans ou plus 52 100 Part des entreprises dont le dirigeant est âgé de 55 ans ou plus, par secteur d’activité 37 % entre 1 et 49 salariés 35 % 34 % 34 % Services Moyenne 24 % 0 salarié 139 100 8 900 5 960 7 440 12 000 Industrie Construction 21 240 34 660 Commerce Services Industrie Construction Commerce Estimation CROCIS de la CCI Paris Ile-de-France, voir méthodologie LES PETITES ENTREPRISES PROPORTIONNELLEMENT MOINS CONCERNÉES PAR LA TRANSMISSION À l’image du tissu économique francilien au sein duquel les entreprises sont majoritairement sans salarié (66 %), les entreprises dont le dirigeant a 55 ans ou plus n’ont pas de salarié (69 %) ou peu (entre 1 et 5 salariés pour 22 %). Parmi les entreprises sans salarié sont recensés les auto-entrepreneurs, qui sont à la tête d’entreprises par définition ne sont pas cessibles. Il existe en revanche des disparités entre les secteurs d’activité : parmi les entreprises industrielles transmissibles à court ou moyen terme, 56 % n’emploient aucun salarié, cette proportion est bien plus élevée pour les services (71 %). Cela implique que l’enjeu de la transmission d’entreprise est proportionnellement plus important en termes d’emplois pour l’industrie que pour les services. Mais ce sont dans les services que le nombre d’emplois menacés est le plus important : 68 % des entreprises dont le dirigeant est âgé de 55 ans ou plus ont des activités de services. Il existe une corrélation évidente entre la taille de l’entreprise et l’âge du dirigeant ; ainsi plus le nombre de salariés est élevé, plus la part de dirigeants de 55 ans ou plus est forte. L’activité et la taille de l’entreprise ayant un impact sur la proportion d’entreprises qui seront à transmettre, il est normal d’observer que 49 % des entreprises industrielles ayant entre 20 et 49 salariés seront à transmettre à court ou moyen terme, tandis qu’elles ne seront « que » 21 % pour les entreprises de construction n’ayant aucun salarié. Il existe en revanche des disparités entre les secteurs d’activi- Transmission d’entreprises en Ile-de-France - n° 7 - juin 2014 2 té : parmi les entreprises industrielles transmissibles à court ou moyen terme, 45 % emploient au moins un salarié. Cette proportion est bien plus faible pour les services (27 %). Cela implique que l’enjeu de la transmission d’entreprise est proportionnellement plus important en termes d’emplois pour l’industrie que pour les services. Mais ce sont dans les services que le nombre d’emplois menacés est le plus important : 68 % des entreprises dont le dirigeant est âgé de 55 ans ou plus ont des activités de services. Répartition des entreprises dont le dirigeant est âgé de 55 ans ou plus, par tranche de salariés 0 Industrie 55 % Construction 57 % Commerce 62 % Services 73 % Tous secteurs 69 % 1 à 5 25 % 30 % 27 % 19 % 22 % 6 à 9 8 % 6 % 5 % 4 % 4 % 10 à 19 6 % 3 % 3 % 3 % 3 % 20 à 49 Ensemble 5 % 100 % 3 % 100 % 2 % 100 % 2 % 100 % 2 % 100 % Estimation CROCIS de la CCI Paris Ile-de-France, voir méthodologie Part des entreprises dont le dirigeant est âgé de 55 ans ou plus, par tranche de salariés Il existe un lien entre l’âge du dirigeant et la taille de l’entreprise ; ainsi plus la part de dirigeants de 55 ans ou plus est 0 forte, plus le nombre de salariés est Industrie 34 % élevé. Construction 21 % Commerce 33 % Services 32 % Tous secteurs 31 % 1 à 5 38 % 25 % 38 % 35 % 35 % 6 à 9 38 % 30 % 38 % 38 % 37 % 10 à 19 37 % 25 % 39 % 41 % 38 % 20 à 49 Ensemble 49 % 37 % 42 % 24 % 40 % 35 % 43 % 34 % 43 % 34 % Estimation CROCIS de la CCI Paris Ile-de-France, voir méthodologie CEDANTS ET REPRENEURS : DES PROFILS TYPES BIEN DIFFERENTS Ile-de-France. L’ensemble de ces données permet de dresser un profil-type de l’entrepreneur cédant ou du repreneur. La majorité des cédants sont des personnes en âge de préparer ou prendre leur retraite : 66 % ont entre 50 et 69 ans. 70 % des Le réseau Transentreprise Ile-de-France animé par la CCI Paris cessions sont motivées par la retraite du chef d’entreprise : 53 % Ile-de-France dispose de nombreuses informations, aussi bien des dirigeants déclarent anticiper cette retraite tandis que 17 % quantitatives que qualitatives, permettant d’apprécier la situa- souhaitent un départ en retraite proche. tion du marché de la cession et de la reprise d’entreprises en Méthodologie - Le fichier consulaire de la CCI Paris Ile-de-France recense les entreprises franciliennes inscrites au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS), parmi les nombreuses informations présentes dans ce fichier se trouvent les dates de naissances des représentants légaux des entreprises. Ainsi il peut être établi des comptages et des proportions de dirigeants âgés de 55 ans ou plus, par secteur d’activité et par tranche d’effectif. - Ces chiffres ont ensuite été redressés par code d’activité grâce aux données présentes dans le fichier Sirene de l’Insee, afin d’estimer le nombre d’entreprises potentiellement à céder lors des 10 prochaines années. - Ont été exclues du dénombrement des entreprises à transmettre toutes les activités non commerciales : associations, administration, etc. DES CEDANTS ET REPRENEURS DE COMMERCES PLUS JEUNES QUE CEUX DES PME Les cédants de PME ou de commerces présentent deux profilstypes différents : les dirigeants souhaitant transmettre une PME sont plus âgés : en effet, l’âge médian d’un cédant de PME est de 62 ans, tandis qu’il est de 58 ans pour un cédant de commerce. L’anticipation de retraite ou le départ en retraite motive 75 % des cessions de PME, contre 65 % des cessions de commerces. Les profils des repreneurs sont également différents. Les repreneurs de PME sont eux aussi plus âgés, ils ont un âge médian de 48 ans et seulement 12 % d’entre eux ont moins de 40 ans. Les repreneurs de commerces ont un âge médian de 44 ans mais surtout ils sont trois fois plus nombreux (36 %) à avoir moins de 40 ans. Le profil des repreneurs de PME et des repreneurs de commerce s’éloignent également en ce qui concerne le niveau d’études : 64 % des premiers ont un diplôme de niveau Bac + 5 voire plus, cette proportion n’est que de 29 % pour le commerce. Transmission d’entreprises en Ile-de-France - n° 7 - juin 2014 3 INADÉQUATION ENTRE LA RÉALITE DU MARCHÉ ET LES SOUHAITS DES REPRENEURS L’étude des données contenues dans la base Transentreprise fait apparaître des écarts entre, d’un côté, les souhaits des repreneurs potentiels et de l’autre, la réalité du marché de la transmission. 40 % des repreneurs souhaitent prendre la direction d’un commerce et 60 % d’une PME. Or, parmi la population d’entreprises à reprendre 52 % sont des commerces et « seulement » 48 % des PME. Activités des entreprises à céder et souhaits des repreneurs 60 % 52 % 48 % Commerce 40 % PME Entre les souhaits des repreneurs en matière de taille d’entreprise et la réalité du marché, on observe d’une part une adéquation entre offre et demande pour les commerces et une très forte inadéquation pour les PME d’autre part. Aucun repreneur de PME ne souhaite être à la tête d’une entreprise sans salarié, alors que 31 % des PME à céder n’ont pas d’employés. 54 % des repreneurs souhaitent diriger une entreprise de 10 salariés ou plus, alors que seulement 19 % des PME à reprendre ont un tel effectif. Un tel écart démontre que les repreneurs sont ambitieux, mais que leurs souhaits sont éloignés de la réalité du marché. entreprises à céder souhaits des repreneurs Source : Transentreprise Pour les commerces, la grande majorité (82 %) des repreneurs souhaitent une entreprise dont le chiffre d’affaires est compris entre 100 et 500 k€, tandis que seulement la moitié du marché (51 %) est composée de telles entreprises. Pour les PME, les repreneurs sont, au vu de la réalité du marché, ambitieux. Aucun ne veut reprendre une entreprise dont le chiffre d’affaires est inférieur à 100 k€, alors que ces entreprises représentent 9 % du marché. 62 % des repreneurs souhaitent diriger une entreprise dont le chiffre d’affaires est compris entre Pour les entreprises qui intéressent les repreneurs (celles réali- 1 et 9,9 M€, alors que ces entreprises ne représentent que 35 % sant un chiffre d’affaires), l’inadéquation existe aussi bien pour du marché. les commerces que les PME. Sur le marché de la transmission, certaines entreprises cherchant un repreneur déclarent un chiffre d’affaires nul ; celles-ci trouvent difficilement preneur car aucun candidat à la reprise ne désire prendre la tête d’une entreprise en inactivité. Taille des PME à céder et souhaits des repreneurs Taille des commerces à céder et souhaits des repreneurs 46 % 45 % 48 % 50 % commerces à céder souhait des repreneurs de commerces souhait des repreneurs de PME 31 % 29 % 26 % 19 % 5% 3% sans salariés 1 à 4 salariés 52 % PME à céder 5 à 9 salariés 1% 1% 0% 0% 10 à 49 salariés 50 salariés ou plus 20 % 18 % 1% 2% 0% sans salariés 1 à 4 salariés 5 à 9 salariés Source : Transentreprise Transmission d’entreprises en Ile-de-France - n° 7 - juin 2014 10 à 49 salariés 50 salariés ou plus Source : Transentreprise 4 Répartition des commerces à céder et des souhaits des repreneurs selon le chiffre d’affaires Répartition des PME à céder et des souhaits des repreneurs selon le chiffre d’affaires 82 % 62 % 51 % souhaits des repreneurs souhaits des repreneurs réalité du marché réalité du marché 25 % 19 % 10 % 4% moins de 100 k€ 100k€ à 499k€ 35 % 31 % 32 % 7% 500k€ à 999k€ 3%2% 0% 1M€ à 9,9 M€ 4% 10M€ à 99M€ 2%4% 100M€ et plus 16 % 9% 3% 0% moins de 100 k€ 100k€ à 499k€ 500k€ à 999k€ Source : Transentreprise Projet de loi Economie sociale et solidaire : institution d’un droit d’information préalable des salariés en cas de cession d’une entreprise saine. Actuellement en discussion au parlement, le projet de loi porté par Benoît Hamon, alors ministre délégué à l’Économie sociale et solidaire, contient plusieurs volets dont l’un porte sur la transmission d’entreprise. Le projet de loi comporte des dispositions visant à favoriser la reprise d’entreprises par les salariés dans les PME employant moins de 250 salariés. Il instaure, en cas de cession d’un fonds de commerce ou d’une participation majoritaire dans une société, « une obligation d’information anticipée permettant à un ou plusieurs salariés (…) de présenter une offre de rachat ». Cette information prend la forme d’une « notification » aux 1M€ à 9,9 M€ 0%1% 1% 10M€ à 99M€ 100M€ et plus Source : Transentreprise salariés, ou à l’exploitant du fonds de commerce lorsqu’il ne s’agit pas de son propriétaire, ou à la société, de l’intention de céder. Cette « notification » se double d’une « information » des salariés de leur faculté de présenter une offre, par tous moyens, à la charge de l’exploitant du fonds ou du représentant légal de la société. Par ailleurs, dans les entreprises de moins de 50 salariés, s’ajoute une interdiction de procéder à une cession avant l’expiration d’un délai de deux mois à compter de la « notification » de l’intention de céder. La cession de l’entreprise en violation de cette dernière disposition est sanctionnée par la nullité de la cession. Pour en savoir plus : http://www.etudes.cci-paris-idf.fr/prise-de-position/365-economie-sociale-solidaire Pour mieux vous servir Passer le Relais devient Votre Bourse d’opportunités d’affaires Passer le relais évolue en 2014 vers un outil national partagé aujourd’hui sur près de 15 régions pour : - améliorer la qualification et la promotion de vos offres de cession et reprise - bénéficier de services annexes : guide de la transmission, vidéos conseils… Votre CCI vous garantit : - le maintien des engagements contractuels pris dans le cadre de Passer le relais - un accompagnement par les conseillers de votre CCI dans l’appropriation de ce nouvel outil - une réponse à toutes vos interrogations : CROCIS de la CCI Paris-Ile-de-France - 27 avenue de Friedland - 75382 PARIS cedex 08 tél. : +33 (0) 1 55 65 82 00 - fax : +33 (0) 1 55 65 82 62 - e-mail : [email protected] Retrouvez toutes nos publications sur www.crocis.cci-paris-idf.fr ou suivez nous sur twitter Président du CROCIS : Alain Buat Rédacteur en chef : Isabelle SAVELLI-THIAULT Secrétaire général : Isabelle SAVELLI-THIAULT Chargée de mission : Martine DELASSUS Industrie - Démographie d’entreprise : Yves BURFIN Commerce - Enquêtes - Développement durable : Julien TUILLIER Conjoncture - Benchmark européen : Mickaël LE PRIOL Services : Bénédicte GUALBERT Veille économique : Marielle GUERARD ; Marie LEVAUFRE ; Catherine PICQ PAO - Multimédia : Nathalie PAGNOUX Administration - Secrétariat : Isabelle BURGOT-Lambert Directeur de la publication : Etienne GUYOT Directeur de la rédaction : France MOROT-VIDELAINE Maquette et mise en page : Nathalie PAGNOUX Reproduction autorisée à la condition expresse de mentionner la source Dépôt légal : juin 2014 ISSN : 1266-3255 Transmission d’entreprises en Ile-de-France - n° 7 - juin 2014