Réflexion sur les choix de carrière

Transcription

Réflexion sur les choix de carrière
BHC
BHC: :
Annexe 5
Rapport au
Barreau du HautCanada
Réflexion sur les choix de
carrière
Méthodologie et
objectifs
Méthodologie
‹
C’est avec fierté que la firme Strategic Counsel présente ce rapport au Barreau du Haut-Canada. Ledit rapport fait état des
résultats tirés d’un sondage ayant été effectué à la fin de juin et en juillet 2007, auprès des candidats à l’accès à la
profession et des avocats récemment assermentés.
‹
Des invitations à prendre part au sondage ont été envoyées à 5 310 candidats à l’accès à la profession et nouveaux
assermentés.
–
Nouveaux assermentés au cours des deux dernières années (n=2 501)
–
Personnes inscrites au Programme d’accès à la profession 2006-2007 (n=1 366)
–
Personnes inscrites au Programme d’accès à la profession 2007-2008 (n=1 443)
‹
L’échantillon nous a été fourni par le Barreau. Le sondage a été effectué à l’aide d’une méthodologie hybride, soit par la
poste et en ligne, étant donné que le Barreau avait les adresses courriel des personnes inscrites au programme d’accès à
la profession en 2006-2007 et 2007-2008, mais pas celles de chacune des personnes assermentées au cours des deux
dernières années.
‹
Conséquemment, les 5 164 personnes dont le Barreau possédait l’adresse électronique ont reçu un courriel qui les invitait
à effectuer le sondage en ligne. Quant aux 146 personnes dont le Barreau n’avait pas l’adresse électronique, une trousse
contenant une lettre de présentation, un questionnaire et une enveloppe-réponse d’affaires leur a été envoyée par la poste.
‹
Le sondage était offert en français et en anglais. Les personnes prenant part au sondage en ligne pouvaient choisir une
version anglaise ou française du sondage. Celles qu’on a invitées à participer par la poste ont reçu une trousse en anglais
ou en français selon la langue de préférence apparaissant aux archives du Barreau.
‹
Parmi les personnes sollicitées en vue du sondage, 1 303 y ont pris part. Le taux de réponse était donc de 24,54 %.
‹
Pour l’ensemble de l’échantillon de 1 303 personnes, la marge d’erreur est de plus ou moins 2,36 points de pourcentage,
dix-neuf fois sur vingt. Les sous-échantillons tirés de l’échantillon global (par exemple, échantillon basé sur le sexe) sont
assortis d’une marge d’erreur plus élevée.
3
Objectifs
‹
De façon générale, l’objective de la recherche était de découvrir les préférences et expériences des personnes
nouvellement assermentées et de celles inscrites au programme d’accès à la profession, à compter de leur entrée en
faculté de droit jusqu’au début de leur pratique.
‹
De façon plus précise, les objectifs principaux de la recherche étaient de mieux comprendre :
–
Les préférences relatives aux facultés de droit et les raisons soutenant ces préférences;
–
Les facteurs clés influençant le choix d’un poste de stage;
–
Les préférences relatives au stage et le milieu réel du stage;
–
Les préférences relatives à l’expérience de stage et l’expérience réelle de stage, plus particulièrement à l’égard des domaines
de droit dans lesquels l’expérience a été acquise;
–
Les préférences relatives au milieu de pratique et les conditions réelles de pratique;
–
Les facteurs clés influençant le choix du milieu de travail après l’assermentation;
–
Les facteurs clés influençant les domaines de pratique;
–
Les préférences relatives aux domaines de pratique et les domaines de pratique réels;
–
Les sources utilisées pour payer les études de droit;
–
Les dettes parmi les candidats et candidates à l’accès à la profession et parmi les personnes nouvellement diplômées, et les
effets de ces dettes;
–
La connaissance de programmes permettant d’alléger les dettes des étudiants et leur utilisation.
4
Données
démographiques
de l’échantillon
Données démographiques de l’échantillon – Sexe, âge, état
professionnel
‹
Un nombre plus grand de femmes (56 %) que d’hommes (44 %) ont répondu au sondage.
‹
Ainsi qu’il fallait s’y attendre, étant donné que seuls les candidats et candidates au programme d’accès à la profession et
les avocats et avocates en première ou deuxième année de pratique étaient invités à prendre part au sondage, la majorité
des personnes interrogées (82 %) avaient entre 25 et 34 ans.
‹
–
Environ la moitié des personnes interrogées (52 %) avaient entre 25 et 39 ans, et un peu moins du tiers d’entre elles avaient
entre 30 et 34 ans.
–
Parmi le reste des personnes interrogées, 2 % sont plus jeunes (18-24 ans) et 16 % sont plus âgées (8 %, entre 35 et 39 ans, 6
%, entre 40 et 49 ans, 2 %, 50 ans et plus).
Les personnes interrogées qui feront leur stage, qui sont en train de faire leur stage ou qui ont fait leur stage en Ontario
sont vastement majoritaires au sein de l’échantillon (96 %).
–
Une petite minorité (3 %) de personnes interrogées pratique ou travaille en ce moment en Ontario, mais n’y a pas fait son stage.
–
Une minorité encore plus petite (1 %) n’a pas encore commencé son stage et n’entend pas faire de stage en Ontario.
‹
Au sein de l’échantillon, un petit groupe (n=50) a reçu sa formation juridique à l’extérieur du Canada et, en conséquence, a
dû se conformer aux critères du Comité national sur les équivalences des diplômes de droit (CNEDD) avant d’entamer le
processus d’accès à la formation du Barreau. Au sein du présent rapport, ces personnes interrogées sont désignées par le
terme « personnes interrogées CNEDD ».
‹
Les personnes interrogées CNEDD paraissent plus âgées que les autres personnes interrogées.
–
‹
Un peu plus de la moitié des personnes interrogées CNEDD (54 %) ont 35 ans ou plus, alors que seulement 13 % des autres
font partie de ce groupe d’âge.
Les personnes interrogées CNEDD sont légèrement plus susceptibles (de façon importante au chapitre du niveau de
confiance à 90 %) que les autres de déclarer que bien qu’elles n’aient pas encore commencé leur pratique, elles n’ont ni
fait, ni ne feront leur stage en Ontario.
6
Sexe
Hommes
44%
Femmes
56%
Q.36
Veuillez indiquer votre sexe.
Niveau de référence :
toutes les personnes interrogées (n=1 303)
7
Âge
Échantillon total
1 303
%
2
25 – 29
52
30 – 34
30
35 – 39
8
40 – 49
6
50+
2
Q.37
Quelle est l’année de votre naissance?
Niveau de référence :
toutes les personnes interrogées
8
État professionnel actuel
Échantillon total
n=
1 303
%
Je ferai mon stage en Ontario, mais je ne l’ai pas encore commencé
27
Je fais actuellement mon stage en Ontario
5
J’ai fait mon stage en Ontario, mais je n’ai pas encore commencé à pratiquer / travailler
8
J’ai fait mon stage en Ontario et je pratique / travaille
56
Je n’ai pas fait ni ne ferai mon stage en Ontario, mais je n’ai pas commencé à pratiquer / travailler
1
Je pratique / travaille mais je n’ai pas fait mon stage en Ontario
3
Aucune réponse
<1
Q.10
Quelle réponse décrit le mieux votre situation actuelle?
Niveau de référence :
toutes les personnes interrogées
9
Données démographiques de l’échantillon - langue
‹
Dans la très grande majorité des cas, la langue dans laquelle les personnes interrogées se sentaient le plus à l’aise pour
fournir des services juridiques était l’anglais (95 %).
–
Parmi les personnes qui étaient plus à l’aise dans une langue autre que l’anglais, 80 % (ce qui représente 4 % du total de
l’échantillon) déclaraient que leur langue de préférence pour offrir des services juridiques était le français.
–
Le reste des personnes interrogées, soit 1 %, indiquait une langue autre que l’anglais ou le français.
‹
Bien qu’une majorité (56 %) des personnes interrogées préférant offrir des services juridiques dans une langue autre que
l’anglais ait déclaré que cela n’avait pas eu d’effet sur leur choix de carrière ou de stage, 44 % de ces personnes
interrogées déclaraient que cela avait eu un certain effet.
‹
Nous avons demandé aux personnes interrogées qui se sentaient plus à l’aise dans une langue autre que l’anglais
d’expliquer la nature de l’effet ressenti sur leur choix de carrière ou de stage, afin de nous renseigner sur les défis
auxquels ces personnes font face.
‹
Les inquiétudes relatives à la langue française dominent au sein des 26 commentaires émis. Un peu moins d’un tiers de
ces personnes interrogées disent vouloir travailler dans un environnement bilingue, alors qu’environ 38 % déclarent vouloir
travailler dans un environnement de langue française.
10
Préférences linguistiques
Autre
1%
Français
4%
Anglais
95%
Q.38
Dans quelle langue êtes-vous le plus à l’aise pour fournir des services juridiques?
Niveau de référence :
toutes les personnes interrogées (n=1303)
11
La langue et ses effets sur les choix de stage / de carrière
Langue de préférence
Anglais
95%
Effets sur les choix de stage / de carrière
Oui
44%
Autre
1%
Français
4%
Non
56%
Q.38
Dans quelle langue êtes-vous le plus à l’aise pour fournir des services juridiques?
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées (n=1303)
Q.39
La langue dans laquelle vous êtes le plus à l’aise a-t-elle eu un effet sur vos choix de stage ou de carrière?
Niveau de référence :
Les personnes interrogées qui sont plus à l’aise dans une langue autre que l’anglais (n=59)
12
Données démographiques de l’échantillon – Communautés visant
l’égalité
‹
Les résultats de la présente recherche comprennent les opinions d’un certain nombre de communautés visant l’égalité, témoignant de la diversité
croissante des membres de la profession juridique en Ontario.
–
L’appartenance à une communauté visant l’égalité a été déterminée par les personnes interrogées par l’intermédiaire d’une question les
invitant à indiquer leur appartenance à une ou plusieurs communautés visant l’égalité.
‹
Bien que la majorité des personnes interrogées ayant répondu au sondage (61 %) ne se soient pas associées aux caractéristiques énumérées, une
minorité importante le fait.
‹
Au sein de cette minorité, les catégories « personne racialisée » ou « de couleur » forment la plus grande proportion de personnes interrogées (16
% de l’ensemble des personnes interrogées). Viennent ensuite les personnes pratiquant une religion ou croyance minoritaire au Canada (10 %). Au
sein de l’échantillon, on retrouve également des personnes s’identifiant aux communautés suivantes :
‹
–
Francophone (7 %);
–
Gai, lesbienne ou bisexuel (4 %);
–
Autochtone (p. ex., Premières Nations, Métis, Inuit) (2 %);
–
Personne souffrant d’un handicap (2 %);
–
Transgenre, transsexuel ou transsexuelle (moins de 1 %).
Parmi les personnes interrogées CNEDD, la majorité (60 %) s’identifiait à une ou plusieurs communautés visant l’égalité, ce qui représente une
proportion considérablement plus élevée qu’au sein des autres personnes interrogées (38 %).
–
Tout particulièrement, les personnes interrogées CNEDD étaient deux fois plus susceptibles que les autres de s’identifier comme personnes
racialisées ou de couleur (38 % et 15 %, respectivement).
–
Parmi les personnes interrogées CNEDD, aucune ne s’identifiait comme Francophone, transgenre, transsexuel ou transsexuelle.
13
Appartenance à une communauté visant l’égalité
Total de l’échantillon
n=
1303
%
Personne racialisée ou de couleur (minorité visible)
16
Religion ou croyance minoritaire au Canada
10
Francophone
7
Gai, lesbienne ou bisexuel(le)
4
Autochtone (p. ex. Premières Nations, Métis, Inuit)
2
Personne ayant un handicap
2
Transgenre/transsexuel ou transsexuelle
<1
Autre
5
Aucune de ces caractéristiques ne s’applique à moi
61
Q.40
Veuillez cocher les caractéristiques suivantes qui s’appliquent à vous.
Niveau de référence :
toutes les personnes interrogées
Note : réponses multiples
14
Données démographiques de l’échantillon – Race
‹
Nous avons demandé aux personnes s’étant identifiées comme Autochtones ou personnes racialisées ou de couleur de
préciser davantage leurs caractéristiques.
‹
Les résultats tirés de cette question révèlent la diversité régnant parmi les personnes ayant répondu au sondage. En voici
certains :
‹
–
Sud-Asiatique (p. ex. Indo-Canadien ou Indo-Canadienne, Canadien ou Canadienne originaire du Sous-continent indien) (27
%);
–
Sino-Canadien ou Sino-Canadienne (20 %);
–
Afro-Canadien ou Afro-Canadienne, Canadien noir ou Canadienne noire (16 %);
–
Premières Nations (7 %);
–
Canadien ou Canadienne originaire de l’Asie de l’Est (p. ex. Japon, Corée) (7 %);
–
Canadien ou Canadienne originaire de l’Asie du Sud-Est (p. ex. Vietnam, Cambodge, Thaïlande, Philippines) (6 %);
–
Métis (5%);
–
Canadien ou Canadienne d’origine arabe (5 %);
–
Inuit (moins de 1 %);
–
Latino-américain ou Latino-américaine, hispanique ou Latino-canadien ou Latino-canadienne (moins de 1 %).
Parmi les personnes interrogées CNEDD qui s’identifient comme Autochtones ou personnes racialisées ou de couleur, la
plus grande proportion d’identifie comme originaire de l’Asie du Sud (47 %). La seconde plus grande proportion est celle
des Afro-canadiens ou Afro-canadiennes ou des Canadiens noirs ou Canadiennes noires (37 %). Une personne sur dix (1
%) s’identifie comme Canadien ou Canadienne de l’Asie du Sud-Est.
–
Aucune des personnes interrogées CNEDD ne s’identifie comme étant Sino-canadien ou Sino-canadienne, membre des
Premières Nations, Métis, Inuit, Canadien ou Canadienne originaire de l’Asie du Sud-Est, Canadien ou Canadienne d’origine
arabe, Latino-américain ou Latino-américaine, Hispanique ou Latino-canadien ou Latino-canadienne.
15
Race
Total - base
n=
234
%
Sud-asiatique (p. ex., Indo-Canadien ou Indo-Canadienne, Canadien ou Canadienne du sous-continent
indien)
27
Sino-Canadien ou Sino-Canadienne
20
Afro-Canadien ou Afro-Canadienne, Canadien noir ou Canadienne noire
16
Premières Nations
7
Canadien ou Canadienne originaire de l’Asie de l’Est (p. ex., Japon, Corée)
7
Canadien ou Canadienne de l’Asie du Sud-Est (p. ex., Vietnam, Cambodge, Thaïlande, Philippines)
6
Métis
5
Canadien ou Canadienne d’origine arabe
5
Inuit
<1
Latino-américain ou Latino-américaine, Hispanique ou Latino-Canadien ou Latino-Canadienne
<1
Autre
14
Q.41
Veuillez indiquer, parmi les caractéristiques suivantes, celles qui s’appliquent à vous.
Niveau de référence :
Personnes déclarant être Autochtones ou personnes racialisées ou de couleur (n=234)
Note : Mentions multiples
A
Attention : échantillon de petite taille
16
Données démographiques de l’échantillon – Obligations relatives
au soutien financier
‹
La présente étude s’est également penchée sur l’incidence de soutien financier pendant les études de droit.
‹
Les personnes interrogées, en majorité (88 %), déclarent qu’aucune personne ne dépendait d’elle financièrement, en tout ou en partie, pendant
qu’elles effectuaient leurs études de droit.
‹
Néanmoins, de petites minorités déclarent que d’autres personnes dépendent d’elles pour obtenir un certain soutien financier :
‹
–
6 % déclarent avoir la garde partagée d’un ou plusieurs enfants;
–
2 % déclarent avoir la garde exclusive d’un ou plusieurs enfants;
–
3 % déclarent avoir eu des responsabilités partagées relativement au soutien d’un adulte;
–
2 % déclarent avoir eu des responsabilités exclusives relativement au soutien d’un adulte.
Bien que les échantillons de personnes ayant eu des obligations de soutien envers d’autres pendant leurs études de droit soient très petits et que
les différences devraient être interprétées prudemment, les femmes (3 %) sont trois fois plus susceptibles que les hommes (1 %) de déclarer avoir
la garde exclusive d’enfants qui dépendaient d’elles financièrement, en tout ou en partie. Aucune autre différence entre les sexes n’a été constatée
en ce qui concerne les obligations de soutien.
17
Données démographiques de l’échantillon – Obligations relatives
au soutien financier
‹
À ce sujet, des différences ont également été constatées selon l’appartenance à des communautés visant l’égalité, malgré
qu’encore une fois, les tailles des échantillons soient très petites et que les résultats doivent être interprétés prudemment.
‹
Les personnes qui s’identifient avec l’une ou l’autre des caractéristiques des communautés visant l’égalité (3 %) sont trois
fois plus susceptibles (3 %) que celles qui ne s’identifient pas à ces caractéristiques (1 %) de déclarer avoir la garde
exclusive d’enfants ou des responsabilités exclusives à l’égard d’un adulte, et deux fois plus susceptibles de déclarer avoir
des responsabilités partagées à l’égard d’un adulte (4 % et 2 %, respectivement).
18
Obligations relatives au soutien financier
Échantillon total
n=
1303
%
J’avais la garde seule d’enfants dépendant entièrement ou partiellement de moi sur le plan financier
2
Je partageais la garde des enfants dépendant entièrement ou partiellement de moi sur le plan financier
6
J’étais le seul soutien d’un adulte dépendant entièrement ou partiellement de moi sur le plan financier
2
Je partageais le rôle de soutien d’un adulte dépendant entièrement ou en partie de moi sur le plan financier
3
Aucune personne ne dépendait de moi seul(e), ou de moi en partie sur le plan financier
88
Q.43
Veuillez cocher, parmi les énoncés suivants, ceux qui s’appliquaient à vous pendant que vous étudiiez à la faculté de droit?
Niveau de référence :
Échantillon total
Note : mentions multiples
19
Études antérieures
à celles du droit et
préférences en
matière de
facultés de droit
Études précédant celles à la faculté de droit
‹
‹
‹
La grande majorité des personnes interrogées (92 %) avait parachevé, au moins, un diplôme de premier cycle avant
d’entrer en faculté de droit. Parmi les personnes interrogées, une proportion plus grande que toutes les autres avait obtenu
un diplôme de premier cycle de 4 ans.
–
14 % avaient obtenu un diplôme de premier cycle de 3 ans;
–
61 % avaient obtenu un diplôme de premier cycle de 4 ans;
–
2 % avaient obtenu un diplôme de premier cycle de 1 an;
–
15 % avaient obtenu un diplôme d’études supérieures.
Parmi les 8 % restants :
–
3 % avaient effectué 3 ans d’études de premier cycle sans obtenir de diplôme;
–
3 % avaient effectué 2 ans d’études de premier cycle; et,
–
2 % avaient effectué moins de deux ans d’études de premier cycle.
Bien que les tailles des échantillons soient petites, les personnes interrogées CNEDD semblent avoir parachevé moins
d’années d’études de premier cycle au moment de leur entrée en faculté de droit que les autres personnes.
–
Parmi les personnes interrogées CNEDD, 8 % avaient parachevé moins de deux ans d’années d’études de premier cycle
comparativement à seulement 2 % parmi les autres personnes interrogées.
–
À l'opposé, les personnes interrogées qui ne sont pas des personnes CNEDD sont deux fois moins susceptibles que les
personnes interrogées CNEDD d’avoir obtenu un diplôme de premier cycle de quatre ans (62 % et 32 %, respectivement).
–
Néanmoins, les personnes interrogées CNEDD sont légèrement (important au niveau 90 %) plus susceptibles que les autres
personnes interrogées d’avoir obtenu un diplôme d’études supérieures (26 % et 15 %), ce qui pourrait expliquer en partie le
profil légèrement plus âgé des personnes interrogées CNEDD.
21
Niveau d’éducation atteint lors de l’entrée en faculté de droit
Total de l’échantillon
n=
1 303
%
J’avais terminé moins de deux ans d’études de premier cycle
2
J’avais terminé deux ans sans obtenir de diplôme d'études de premier cycle
3
J’avais terminé trois ans sans obtenir de diplôme d'études de premier cycle
3
J’avais obtenu un diplôme de premier cycle de trois ans
14
J’avais obtenu un diplôme de premier cycle de quatre ans
61
J’avais terminé au moins un an d’études supérieures
2
J’avais obtenu un diplôme d’études supérieures
15
Q.1
Où en étiez-vous dans vos études au moment où vous êtes entré(e) à la faculté de droit?
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées
22
Étudiants ou étudiantes adultes
‹
‹
Un peu moins du quart des personnes interrogées (23 %) ont effectué leurs études de droit alors qu’elles étaient des
adultes. Le laps de temps passé par les étudiants et étudiantes adultes au sein du marché du travail avant d’entamer leurs
études en droit varient beaucoup :
–
34 % étaient sur le marché du travail depuis 5 ans ou moins;
–
35 % s’y trouvaient depuis 5 à 9 ans;
–
31 % s’y trouvaient depuis 10 ans ou plus.
D’une manière prévisible compte tenu du fait qu’elles sont un peu plus âgées, les personnes interrogées CNEDD sont
beaucoup plus susceptibles (38 %) que les autres (22 %) d’avoir effectué leurs études en droit alors qu’elles étaient des
étudiants ou étudiantes adultes.
–
Il ne semble pas, néanmoins, y avoir de différences prévisibles entre les personnes interrogées CNEDD et les autres au
chapitre de la longueur du laps de temps passé au sein du marché du travail avant de faire leurs études en droit.
23
Nombre d’années sur le marché du travail avant d’entrer en
faculté de droit
Échantillon total
n=
1303
%
1 à 2 ans
4
3 à 4 ans
4
5 à 9 ans
8
10 à 14 ans
3
15 à 19 ans
2
20 ans ou plus
2
Je n’étais pas un étudiant adulte lorsque je fréquentais la faculté de droit
77
Q.2
Si, au moment de votre entrée à la faculté de droit, vous étiez un étudiant ou une étudiante adulte, indiquez, le cas échéant, pendant combien d’années vous avez
travaillé avant d’entrer à la faculté de droit.
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées
24
Préférences au chapitre des facultés de droit
‹
‹
Nous avons demandé aux personnes interrogées d’indiquer les facultés de droit qu’elles préféraient. Les facultés ont été
évaluées comme suit :
–
L’université de Toronto était le premier choix de 24 % des personnes interrogées;
–
Osgoode Hall (19 % des personnes interrogées);
–
Université d’Ottawa, section de common law, langue anglaise (10 %);
–
Université Western Ontario (8 %);
–
Université Queen’s (6 %);
–
Université de Windsor (4 %);
–
Université d’Ottawa, section de common law, langue française (3 %);
–
Université d’Ottawa, droit civil (2 %).
Il est intéressant de constater que certains étudiants et certaines étudiantes cherchaient à effectuer leurs études juridiques
au-delà des frontières de l’Ontario. En effet, une des personnes interrogées sur quatre (24 %) indiquait, comme
préférence, une faculté de droit située hors de l’Ontario :
–
20 % des personnes interrogées ont indiqué comme premier choix une faculté de droit canadienne située en dehors des
frontières de l’Ontario;
–
4 % des personnes interrogées ont indiqué comme premier choix une faculté de droit située en dehors du Canada.
‹
Parmi les personnes interrogées qui indiquaient comme premier choix une faculté de droit canadienne située hors de
l’Ontario, l’Université McGill arrivait au premier rang avec 11 % des voix. Suivaient l’université Dalhousie (6 %), l’université
de la Colombie-Britannique et l’université de Victoria (chacune étant le premier choix de 5 % des personnes interrogées).
‹
Environ 3 % des personnes interrogées ont indiqué comme premier choix une faculté de droit située aux États-Unis, alors
qu’un peu moins de 1 % indiquaient, comme premier choix, une faculté de droit située au Royaume-Uni.
25
Préférences relatives aux facultés de droit
‹
Il convient de mentionner que parmi les personnes interrogées, celles qui indiquaient être francophones étaient très
fortement susceptibles d’indiquer, comme premier choix, soit la section de common law de langue française de l’université
d’Ottawa, soit le programme de droit civil de l’université d’Ottawa. Ces personnes étaient également beaucoup plus
susceptibles d’inclure de tels programmes parmi leurs trois premiers choix de facultés de droit.
‹
Les femmes (22 %) étaient légèrement plus susceptibles que les hommes (16 %) d’indiquer Osgoode Hall comme premier
choix. Par opposition, les hommes (26 %) étaient un peu plus susceptibles que les femmes (21 %) d’indiquer comme
premier choix l’université de Toronto. Ils étaient deux fois plus susceptibles que les femmes de faire de l’université de
Windsor leur premier choix (6 % et 3 %, respectivement).
‹
Ainsi qu’on peut s’y attendre, 70 % des personnes interrogées CNEDD indiquaient, comme premier choix, une faculté de
droit située hors du Canada.
–
Néanmoins, environ une personne interrogée CNEDD sur quatre (26 %) indiquait comme premier choix une faculté de droit
située en Ontario, ce qui pourrait indiquer que la fréquentation d’une faculté de droit à l’extérieur du Canada pourrait être
davantage une question de nécessité que l’expression d’une préférence.
26
Préférences relatives aux facultés de droit
Total de l’échantillon
Premier
choix
Deuxième
choix
Troisième
choix
NET
1 303
%
1 303
%
1 303
%
1 303
%
Faculté de droit d’Osgoode Hall (université York)
19
20
13
53
Université Queen’s
6
12
17
34
Université d’Ottawa, section de common law, anglais
10
10
10
30
Université d’Ottawa, section de common law, français
3
2
1
5
Université d’Ottawa, droit civil
2
<1
1
3
Université de Toronto
24
16
7
46
Université Western Ontario
8
9
13
30
Université de Windsor
4
3
6
13
Hors province
20
11
7
38
Hors du pays
4
6
5
15
Aucune / pas de réponse
-
12
20
-
n=
Q.3
Veuillez indiquer quelles facultés de droit suivantes étaient votre premier, second et troisième choix. Si vous avez fait une demande pour plus d’une année
universitaire, veuillez vous fonder sur la demande la plus récente pour répondre.
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées
27
Raisons justifiant le premier choix
‹
Les personnes interrogées ont pris en considération une vaste gamme de raisons justifiant leur choix de la faculté de droit
qu’elles préféraient. Les suivantes ont été citées par au moins une des personnes interrogées sur cinq :
–
Un peu moins des deux tiers des personnes interrogées (63 %) citaient : Solide réputation sur le plan universitaire (63 %);
–
Le site de la faculté de droit était là où la personne interrogée désirait exercer / travailler (42 %);
–
Le site de la faculté de droit était à la mesure des moyens de la personne interrogée (37 %);
–
Programme fortement lié aux domaines dans lesquels la personne interrogée désirait étudier ou exercer (33 %);
–
Frais de scolarité (30 %);
–
Soutien familial (22 %).
‹
Cependant, lorsque nous avons demandé aux personnes interrogées de choisir les deux plus importantes de ces raisons,
la solidité de la réputation académique s’est révélée la raison la plus importante par une marge déterminante, puisque
presque une personne interrogée sur deux (48 %) la choisissait.
‹
En ce qui concerne la solidité de la réputation universitaire, il n’existe pour ainsi dire aucune différence quant à la
détermination de la faculté de droit de premier choix parmi les sous-groupes démographiques. Ceci tend à démontrer que
les étudiants et étudiantes perçoivent largement ce facteur comme étant une qualité fondamentale pour une faculté de
droit.
–
‹
Il est intéressant de noter que les étudiants et étudiantes adultes sont l’unique exception. Les étudiants et étudiantes adultes (38
%) sont beaucoup moins susceptibles que les étudiants et étudiantes plus jeunes (51 %) de déclarer que la solidité de la
réputation universitaire est l’un des deux facteurs les plus importants dans leur choix de faculté de droit préférée.
Les résultats tendent à démontrer que la réputation universitaire était un facteur particulièrement important pour ceux et
celles qui avaient fréquenté l’Université de Toronto ou Osgoode Hall. Pratiquement 87 % de ceux et celles qui ont
fréquenté l’université de Toronto, et plus de la moitié de ceux et celles qui ont fréquenté Osgoode Hall (58 %), déclarent
que la solidité de la réputation universitaire est l’un des deux facteurs clés dans leur choix de faculté de droit.
28
Raisons justifiant le premier choix
‹
La deuxième raison en importance citée par 28 % des personnes interrogées au soutien de leur premier choix de faculté,
est que le site de la faculté de droit était là où la personne interrogée désirait exercer / travailler.
‹
En ce qui concerne cette raison, les différences entre les sous-groupes démographiques sont encore une fois minimes.
Par contre, des résultats intéressants surgissent lorsqu’on catégorise l’étude en fonction de chaque faculté fréquentée.
–
‹
‹
Une plus petite proportion de personnes interrogées ont choisi les raisons suivantes parmi les deux plus importantes :
–
Emplacement de la faculté abordable (17 %);
–
Programme fortement lié aux domaines dans lesquels les personnes interrogées voulaient étudier / dans lesquels elles
voulaient exercer (15 %);
–
Frais de scolarité (15 %);
–
Soutien familial (11 %).
Peut-être à cause du peu d’importance qu’ils et elles donnent à la solidité de la réputation académique, les étudiants et
étudiantes adultes (10 %) sont moins portés que les étudiants et étudiantes plus jeunes (17 %) à mentionner que le fait
que le programme soit lié aux domaines d’études / d’exercice désirés comme raison du choix de faculté.
–
‹
Plus particulièrement, ceux et celles qui ont fréquenté la faculté de droit de l'université de Toronto (53 %) et, dans une
proportion moindre, ceux et celles qui ont fréquenté Osgoode Hall (36 %) sont plus nombreux que la majorité des personnes
interrogées à considérer ce fait comme l'une des deux raisons les plus importantes au soutien de leur choix, ce qui suggère que
la proximité de ces écoles avec le marché du droit de Toronto est un avantage attirant.
Par contre, les étudiants et étudiantes adultes (34 %) sont plus enclins que les autres (27 %) à inclure la proximité de la faculté
de droit au lieu de pratique / travail comme l'une des deux raisons les plus importantes dans leur premier choix de faculté de
droit.
Il n'est guère surprenant de constater que les personnes qui, avant leur entrée à la faculté de droit, étaient déjà endettées
soient plus portées (19 %) que les autres (13 %) à mentionner les frais de scolarité comme l'une des deux plus
importantes raisons de leur choix.
29
Raisons justifiant le premier choix
Échantillon total
n=
Solide réputation sur le plan universitaire
Le site de la faculté de droit était situé là où je désirais travailler / exercer
Le site de la faculté de droit était à la mesure de mes moyens
Programme fortement lié aux domaines dans lesquels je voulais étudier/désire exercer
Frais de scolarité
Soutien familial
Programmes conjoints
Aide financière disponible
Activités hors-programme intéressantes
Possibilité d'acquérir des compétences pertinentes à l'exercice du droit
Langue du programme
Mon niveau universitaire de premier cycle
Programme flexible / à temps partiel
Soutien communautaire
Programmes de soutien aux étudiants
Services offerts par le bureau des services de carrières de la faculté de droit
Autre
Pas de réponse
Q.5
A influencé le choix
Deux raisons les
plus importantes
1 303
%
63
42
37
33
30
22
11
14
18
18
11
12
1
6
2
3
21
<1
1 303
%
48
28
17
15
15
11
6
5
5
4
4
4
1
1
<1
<1
17
<1
Parmi les raisons énumérées ci-dessous, laquelle ou lesquelles, le cas échant, vous ont amené(e) à préférer une faculté de droit plutôt qu'une autre? (indiquez toutes
celles qui s'appliquent)
Q.6
Identifiez les deux raisons les plus importantes.
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées
30
Faculté de droit où a été obtenu le diplôme
‹
‹
En général, les résultats concernant les facultés de droit où les personnes interrogées ont obtenu leur diplôme suivent ceux qui concernent leurs
préférences en cette matière :
–
Faculté de droit Osgoode Hall (19 %);
–
Université d'Ottawa, section de Common Law de langue anglaise (14 %);
–
Université de Toronto (14 %);
–
Université Queen’s (10 %);
–
Université Western Ontario (9 %);
–
Université de Windsor (9 %);
–
Université d'Ottawa, section de Common Law, langue française (5 %);
–
Université d'Ottawa, Droit Civil (2 %).
Environ une personne interrogée sur quatre a obtenu son diplôme d'un établissement situé à l'extérieur de l'Ontario :
–
18 % des personnes interrogées ont obtenu un diplôme d'une faculté de droit canadienne à l'extérieur de l'Ontario;
–
5 % ont obtenu un diplôme d'une faculté de droit à l'extérieur du Canada.
31
Faculté de droit où a été obtenu le diplôme
Échantillon total
n=
1303
%
Faculté de droit d'Osgoode Hall (université York)
19
Université Queen’s
10
Université d'Ottawa, section de Common Law, langue anglaise
14
Université d'Ottawa, section de Common Law, langue française
5
Université d'Ottawa, droit civil
2
Université de Toronto
14
Université Western Ontario
9
Université de Windsor
9
Hors province
18
Hors du pays
5
Q.4
De quel établissement avez-vous obtenu votre diplôme en droit?
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées
Note:
La somme des proportions est plus grande que 100 % puisque certaines personnes interrogées possèdent plus d'un diplôme.
32
Admission au barreau
‹
68 % des personnes interrogées ont été admises au Barreau, contrairement à 30 % qui n'ont pas encore été admises, ce
qui est le reflet de notre échantillon.
–
‹
Comme l'on peut s'y attendre compte tenu de la proportion des personnes interrogées qui ont obtenu un diplôme d'une
faculté de droit à l'extérieur du Canada, 5 % des personnes interrogées ont été admises au Barreau à l'extérieur du
Canada et près de trois quarts d'entre elles (77 %) ont exercé le droit sous la juridiction de ce Barreau.
–
‹
Parmi les personnes interrogées, un pour cent ou moins ont été admises à un barreau canadien à l'extérieur de l'Ontario, dans
chacun des cas.
Par contre, parmi les personnes interrogées CNEDD, la proportion admise à un barreau à l'extérieur du Canada est plus élevée
(60 %). Un peu plus d’une personne interrogée CNEDD sur deux (52 %) a été admise au Barreau en Ontario (52%).
Parmi les personnes interrogées ayant exercé à l'extérieur du Canada, une sur deux l’a fait pendant 3 ans ou moins (52
%). Par contre, certaines de ces personnes interrogées ont exercé à l'extérieur du Canada pendant beaucoup plus
longtemps; 7 % d'entre elles ont exercé pendant 10 ans ou plus.
33
Admission au Barreau
Échantillon total
n=
1 303
%
Alberta
1
Colombie-Britannique
1
Manitoba
<1
Nouveau-Brunswick
1
Terre-Neuve
<1
Nouvelle-Écosse
<1
Ontario
68
I.-P.-É.
-
Québec
1
Saskatchewan
<1
Yukon
<1
Territoires du Nord-Ouest
<1
Nunavut
-
Barreau hors du Canada
5
Je ne suis pas admis(e) à un Barreau
30
Barreau au Canada hors de l'Ontario
5
Q.7
À quel Barreau avez-vous été admis(e)?
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées
Note:
Personnes pouvaient répondre plus d'une fois.. Proportions totales dépassent 100%
34
Pratique à l'extérieur du Canada
Ceux et celles admis(es) au Barreau hors du Canada
Étudiants ou étudiantes CNEDD
Échantillon total
Oui
Non
%
%
%
n = 60
n = 30a
n = 30a
Oui
77
77
77
Non
23
23
23
n = 46a
n = 23a
n = 23a
1 an
13
4
22
2 ans
22
17
26
3 ans
17
13
22
4 ans
9
13
4
5 ans
4
4
4
6 ans
9
13
4
7 ans
9
9
9
8 ans
4
4
4
9 ans
7
13
-
10 ans ou plus
7
9
4
Pas de réponse
-
-
-
Pratiqué hors du Canada?
Pendant combien d'années?
Q.8
Si vous avez été admis(e) à un barreau à l'extérieur du Canada, avez-vous pratiqué dans ce pays ou cette région?
Niveau de référence :
Ceux et celles admis(es) à un barreau à l'extérieur du Canada
Q.9
Pendant combien d'années avez-vous pratiqué dans ce pays ou cette région?
Niveau de référence :
Ceux et celles ayant pratiqué à l'extérieur du Canada
A
Attention, petit échantillon
35
Stage
Facteurs clés influençant le choix de stage (Question ouverte)
‹
Les personnes interrogées qui se trouvaient en cours de stage ou qui allaient faire ou qui avaient fait un stage en Ontario ont répondu à une
question ouverte (sans choix de réponses) à propos des facteurs clés qui ont influencé leur choix de stage. (La différence clé entre les questions
ouvertes et fermées est que ces dernières comportent une gamme de catégories de réponses parmi lesquelles les personnes interrogées peuvent
choisir, alors que les questions ouvertes ne sont pas assorties de telles catégories, ce qui permet aux personnes interrogées de répondre dans
leurs propres mots.)
‹
Quatre facteurs clés ont été identifiés suite à cette question ouverte :
‹
‹
–
Domaines d'intérêt / d'exercice offerts (mentionné par 39 % des personnes interrogées);
–
Prestige / réputation (21 %);
–
Emplacement préféré (20 %);
–
Rémunération / bénéfices (20 %).
On retrouve des différences selon le sexe qui, bien que négligeables, sont importantes au niveau statistique. Les femmes sont plus susceptibles de
mentionner :
–
Domaines d'intérêt / d'exercice offerts (42 % de femmes et 35 % d'hommes)
–
Bon milieu de travail (9 % et 6 %); et
–
Préférence pour un type particulier d'organisme (par exemple ONG / gouvernement) (9 % et 5 %)
Les hommes sont plus susceptibles de mentionner :
–
Bonne rémunération / salaire / bénéfices (23 % d'hommes et 18 % de femmes);
–
Expérience d'exercice / en cour / en litiges (11 % et 7 %).
37
Facteurs clés influençant le choix de stage (Question ouverte)
‹
En général, les personnes interrogées s'associant à des communautés visant l'égalité ne se démarquent pas de celles qui
ne s'y associent pas au chapitre des facteurs identifiés comme ayant influencé leur choix de stage.
‹
Il existe des différences significatives au sein des personnes interrogées CNEDD. D'abord, elles sont beaucoup moins
susceptibles que les personnes non CNEDD à mentionner une bonne rémunération comme facteur clé influençant leur
choix de stage (10 % et 20 % respectivement).
‹
Les personnes interrogées CNEDD accordent également moins d'importance aux caractéristiques suivantes lors du choix
de stage :
–
Impression de prestige / réputation (5 % des personnes interrogées CNEDD contrairement à 22 % de non-CNEDD)
–
Bon milieu de travail (2 % et 8 % respectivement); et,
–
Correspond bien avec la culture de la compagnie (0 % et 6 %, respectivement).
38
Facteurs clés influençant le choix de stage (Question ouverte)
Étudiant CNEDD
Échantillon total
Oui
Non
1 260
42a
1218
%
%
%
Domaines d'intérêt / secteurs de pratique offerts par le cabinet
39
36
39
Prestige / réputation attribué(e)
21
5
22
Emplacement préféré
20
19
20
Bonne rémunération/salaire/avantages sociaux
20
10
20
Programme de rotation / domaines de pratique multiples
9
2
9
Expérience en litige / pratique / en cour
9
10
9
A reçu offre pour le poste / offre d'emploi
9
12
9
Bon environnement de travail
8
2
8
Taille de cabinet préférée
7
12
7
Type d'organisme préféré – public / privé / ONG / gouvernement
7
2
7
Collègues sympathiques, amicaux
7
5
7
Possibilités d'avenir
7
5
7
À l'aise avec la culture / les valeurs de la compagnie
6
-
6
Ville préférée
5
7
5
Bon équilibre entre la vie personnelle et le travail
5
2
5
Possibilités de formation / d'apprentissage
5
5
5
Expérience en stage / en travail d'été / expérience antérieure
5
7
5
Poste / emploi disponible
4
10
4
Embauché suite à un stage pendant l'été / politiques de réembauche
3
-
4
n=
Q.11
Quels sont les facteurs clés qui ont influencé votre choix de stage?
Niveau de référence :
Personnes interrogées qui vont faire un stage, sont en stage, ou ont fait un stage en Ontario
A
Attention, petit échantillon
39
Facteurs clés influençant le choix de stage (Question ouverte)
(suite)
Échantillon total
Étudiant CNEDD
Oui
Non
1 260
%
42a
1 218
%
%
Travail stimulant / intéressant
3
-
3
Bonnes heures / heures de travail / flexibilité
3
2
3
Bons avocats / avocats d'expérience
Faire progresser des causes de justice sociale / travail pour l'intérêt
public
Programme de tutorat offert
2
-
2
2
-
2
2
-
2
Je n'ai pas de poste décidé
2
5
2
Toutes les autres réponses (égales à ou moins de 1%)
7
10
6
Aucune / aucune réponse
<1
2
<1
n=
Q.11
Quels sont les facteurs clés qui ont influencé votre choix de stage?
Niveau de référence :
Personnes interrogées qui vont faire un stage, sont en stage, ou ont fait un stage en Ontario
A
Attention, petit échantillon
40
Facteurs clés influençant le choix de stage (Question fermée)
‹
Nous avons ensuite présenté aux personnes interrogées une liste de facteurs et leur avons posé deux questions fermées. La première avait pour
but de comprendre ce que les candidats privilégient dans un milieu de stage, en leur demandant quels facteurs ont influencé leur choix de stage. La
deuxième question avait pour but de savoir ce qui avait fait pencher la balance pour les personnes interrogées, en leur demandant d'identifier le
facteur qui les avait le plus influencé.
‹
Relativement à la première question, voici les sept facteurs les plus privilégiés :
‹
–
Les domaines d'exercice offerts (53 %);
–
Le cabinet / l'organisme offre du soutien dans son environnement (47 %);
–
Prestige attribué au cabinet / à l'organisme (44 %);
–
Vouloir faire un stage dans une ville particulière (43 %);
–
Bonne rémunération (41 %);
–
Réembauche suite à un travail d'été pour le cabinet / la firme (35 %);
–
Politiques / déclarations / pratiques mises en place relativement à l'équilibre entre la vie personnelle et le travail (34 %).
L’analyse des réponses à la seconde question, qui portait sur le facteur le plus influent, révèle les deux facteurs les plus privilégiés :
–
Les domaines d'exercice offerts (facteur le plus influent pour 19 % des personnes interrogées);
–
Réembauche suite à un travail d'été pour le cabinet / la firme (19 % également).
‹
Il n'est guère étonnant de constater que les domaines d'exercice offerts se retrouvent parmi les deux facteurs les plus importants choisis dans le
cadre d'une question à choix multiples, car ce facteur a été également mentionné le plus fréquemment dans le cadre d'une question ouverte.
‹
Bien que le fait d'avoir reçu une offre de réembauche suite à un travail d'été n'ait pas été mentionné par une proportion significative des personnes
interrogées dans le cadre d'une question ouverte, ce facteur l'est dans le cadre d'une question fermée. Dans le cadre d'une question ouverte, ce
n'est pas un facteur qui vient à l'esprit, mais sur le plan logique, il s'agirait d'un facteur de grande influence lors du choix d'un stage étant donné
l'importance rattachée aux placements d'été et la compétition qui y est reliée.
41
Facteurs clés influençant le choix de stage (Question fermée)
‹
En ce qui concerne le facteur clé ayant la plus grande influence dans le choix du stage, il n'y a aucune différence dans les
sous-groupes.
‹
Par contre, ceux et celles qui ne se sont pas identifiés comme membre d'une communauté visant l'égalité (21 %) sont
légèrement plus susceptibles que ceux et celles qui l’ont fait (16 %) de dire qu'ils ont été réembauchés suite à un stage
durant l'été. Il s'agit du seul facteur qui diffère pour les membres d'une communauté visant l'égalité.
‹
Il semble que les femmes aient accès, dans un pourcentage semblable à celui des hommes, à des offres de réembauche
suite à un stage durant l'été, car il n'y a pas de différence entre les sexes à ce sujet.
‹
Trois facteurs indiquent des différences émanant des personnes interrogées CNEDD.
‹
–
D'abord, comme ce qui a été découvert parmi les membres de communautés visant l'égalité, les personnes interrogées CNEDD
sont beaucoup moins susceptibles de mentionner avoir été réembauchées suite à un travail d'été.
–
Ensuite, les personnes interrogées CNEDD sont beaucoup moins susceptibles de choisir une bonne rémunération.
–
Finalement, les personnes interrogées CNEDD sont beaucoup plus susceptibles de mentionner la présence de membres de
leur famille qui sont avocats ou avocates comme facteur déterminant lors de leur choix de stage.
Voici des facteurs d’influence sur le choix du stage qui ont été mentionnés par moins de 10 % des personnes interrogées :
–
Prestige attribué au cabinet / à l'organisme (9 %);
–
Vouloir faire un stage dans une ville particulière (9 %);
–
Le cabinet / l'organisme offre du soutien dans son environnement (8 %);
–
Politiques / déclarations / pratiques mises en place relatives à l'équilibre entre la vie personnelle et le travail (6 %).
42
Facteurs clés influençant le choix de stage (Question fermée)
‹
Il est intéressant de constater que le pourcentage de personnes interrogées mentionnant une bonne rémunération comme facteur le plus influent
lors de leur choix de stage est minime (5 %), considérant que 41 % le mentionnent comme l'un des deux facteurs ayant influencé leur choix.
–
Il est plus particulièrement intéressant de constater que ni ceux et celles qui étaient endettés en entamant leurs études (5 %), ni ceux et
celles qui se sont endettés au cours de leurs études (5 %) sont davantage susceptibles que ceux qui ne se sont pas endettés (4 %) de citer
une bonne rémunération comme facteur le plus influent dans le cadre du choix de stage.
‹
De la même façon, que le cabinet / l'organisme offre du soutien dans son environnement, que l'on attribue du prestige au cabinet ou à l'organisme,
ou que le lieu de stage soit dans une ville particulière (facteurs mentionnés comme ayant influencé leur choix par 47 %, 44 % et 43 % des
personnes interrogées), sont des facteurs beaucoup moins susceptibles d'être choisis comme plus influents.
‹
Toutefois, les femmes (9%) sont plus susceptibles que les hommes (6%) de mentionner que le soutien offert par le cabinet / l'organisme dans son
environnement représentait le facteur le plus influent lors de leur choix. Elles sont également deux fois plus susceptibles que les hommes (8%
contre 4%) de mentionner les politiques / déclarations / pratiques mises en place relativement à l'équilibre entre la vie personnelle et le travail
comme facteur le plus influent.
–
Même si les femmes n'accordent à ni l’un ni l'autre de ces facteurs autant d'importance qu'aux domaines de pratique offerts dans le cadre du
facteur le plus influent pour le choix de stage, les résultats suggèrent que devant deux offres compétitives similaires, un lieu offrant du soutien
dans son environnement ou des politiques relatives à l'équilibre entre la vie personnelle et le travail sont des facteurs qui peuvent suffire à
faire pencher la balance.
43
Facteurs clés influençant le choix de stage/Facteur le plus
influent (Question fermée)
Influence sur votre choix de stage
n=
Les domaines d'exercice offerts par le cabinet / l'organisme
Travaillé pour le cabinet / l'organisme pendant l'été et été
réembauché(e)
Prestige attribué au cabinet / à l'organisme
Je voulais faire mon stage dans une ville particulière
Le cabinet / l'organisme offre du soutien dans son environnement
Politiques / déclarations / pratiques mises en place relatives à l'équilibre
entre la vie personnelle et le travail
Bonne rémunération
Je voulais retourner à la maison pour faire mon stage
J'avais travaillé dans ce secteur du droit pendant que j'étais à la faculté
Politiques de réembauche
Le cabinet / l'organisme offre un programme de mentorat
Diversité du personnel du cabinet / de l'organisme
Programmes de formation professionnelle à l'interne offerts
Le cabinet / l'organisme offre du soutien à la formation professionnelle à
l'externe
Politiques / déclarations / pratiques mises en place relatives aux congés
de maternité / parentaux ou aux responsabilités familiales
Bons avantages sociaux
Des membres de ma famille sont avocats ou avocates
Autre
Aucun de ces facteurs n'a influencé mon choix de stage
Pas de réponse
Plus grande influence
Échantillon total
Étudiant CNEDD
Échantillon total
Étudiants
CNEDD
1 260
%
42c
%
1 260
%
42c
%
53
35
44
43
47
45
7
21
33
40
19
19
9
9
8
17
7
10
10
7
34
29
6
7
41
12
17
16
14
14
19
33
10
5
14
14
19
12
5
3
3
2
1
1
<1
5
2
2
2
-
12
2
<1
-
9
5
<1
-
29
2
10
6
<1
24
7
14
12
-
<1
<1
8
6
<1
2
7
10
12
-
Q.12
Est-ce que l'un ou plusieurs des facteurs énumérés ci-dessous a (ont) influencé votre choix de stage? (Indiquez tous ceux qui s'appliquent)
Q.13
Et quel est celui qui a eu la plus grande influence sur votre choix de stage?
Niveau de référence :
Personnes interrogées qui vont faire un stage, sont en stage, ou ont fait un stage en Ontario
A
Attention, petit échantillon
44
Préférences au chapitre des secteurs de stage / secteurs de stage réels
‹
Afin de comprendre ce que les personnes interrogées désiraient obtenir de leur expérience en stage, et à quel point leur
expérience réelle de stage réelle les satisfaisait, nous leur avons demandé d'indiquer les trois secteurs dans lesquels elles
désiraient acquérir de l'expérience et les trois secteurs dans lesquels elles ont bel et bien acquis de l'expérience.
‹
En fusionnant les trois secteurs les plus privilégiés pour acquérir de l'expérience, nous obtenons les résultats suivants :
‹
‹
–
Droit des sociétés / droit commercial (35 % des personnes interrogées ont mentionné ce secteur comme l'un des trois secteurs
dans lesquels elles désiraient acquérir de l'expérience)
–
Litige civil – Plaignant ou plaignante (32 % l'ont choisi comme l'un de leurs trois domaines préférés)
–
Litige civil – défendeur ou défenderesse (25 %)
–
Droit administratif – (18 %)
–
Droits de la personne / justice sociale (18 %)
–
Droit criminel / droit quasi criminel – (17 %)
Il existe, selon le sexe, des différences au chapitre des secteurs d’expérience recherchés lors d'un stage.
–
Les femmes sont beaucoup plus susceptibles que les hommes de désirer acquérir de l'expérience en Droits de la personne /
justice sociale (22 % contre 11 %), en droit matrimonial / de la famille (18 % et 8 %), en testaments, successions, fiducies (11 %
et 6 %), en droit de l'immigration (7 % et 4 %), et en droit de l'environnement (6 % et 3 %).
–
Les hommes sont beaucoup plus susceptibles que les femmes de désirer acquérir de l'expérience en droit des sociétés / droit
commercial (43 % contre 30 %), en litige civil - plaignant ou plaignante (36 % et 29 %), en sûretés (16 % et 8 %), en droit fiscal
(13 % et 7 %), et en propriété intellectuelle (14 % et 9 %).
Il existe également des différences entre les personnes qui s'identifient comme membres d'une communauté visant
l'égalité et celles qui ne le font pas.
–
Les membres d'une communauté visant l'égalité sont beaucoup plus susceptibles de désirer acquérir de l'expérience en droits
de la personne / justice sociale (20 % contre 15 %), en droit de l'immigration (9 % et 4 %), et en droit autochtone (6 % et 3 %).
45
Préférences au chapitre des secteurs de stage / secteurs de stage réels
‹
Des différences existent également entre les personnes interrogées CNEDD et les personnes interrogées non CNEDD dans les préférences en
secteurs de stage.
–
‹
‹
Les personnes interrogées CNEDD sont beaucoup plus susceptibles que les non CNEDD de désirer acquérir de l'expérience en droit de la
famille (29 % contre 13 %), en immobilier (29 % et 12 %) et en droit de l'immigration (19 % et 5 %).
L'analyse des secteurs de droit dans lesquels les personnes interrogées ont complété un stage et acquis de l'expérience démontre que dans la
plupart des cas, les étudiants et étudiantes ont été satisfaits :
–
Litige civil – plaignant ou plaignante (39 %)
–
Litige civil – défendeur ou défenderesse (39 %)
–
Droit des sociétés / droit commercial (35 %)
–
Droit administratif (23 %)
–
Droit criminel / quasi criminel (18 %)
L'un des secteurs dans lequel les étudiants ne semblent pas obtenir l'expérience désirée est en droits de la personne / justice sociale :
–
Même si 18 % des personnes interrogées ont indiqué qu'il s'agissait d'un secteur au sein duquel elles souhaitaient acquérir de l'expérience
durant le stage, seulement 9 % des étudiants et étudiantes ont bel et bien acquis de l'expérience dans ce secteur.
–
Le fossé entre ce qui était recherché et ce qui a été obtenu dans ce secteur a probablement eu un impact plus grand sur les femmes et les
membres de communautés visant l'égalité, car ces groupes sont plus portés à désirer de l'expérience dans ce secteur.
46
Préférences au chapitre des secteurs de stage / secteurs de stage réels
Échantillon total
n=
Droit autochtone
MARC / services de médiation
Droit administratif
Faillite et insolvabilité
Litige civil – plaignant ou plaignante
Litige civil – défendeur, défenderesse
Droit de la construction
Droit des sociétés / droit commercial
Droit criminel / quasi criminel
Droit de l'emploi / du travail
Droit de l'environnement
Droit matrimonial / de la famille
Droits de la personne / justice sociale
Droit de l'immigration
Propriété intellectuelle
Droit international
Droits linguistiques
Droit de la pauvreté
Droit de l'immobilier
Sûretés
Droit fiscal
Testaments, successions, fiducies
Santé et sécurité au travail
Autre
Aucun / aucune réponse
3 secteurs principaux - acquérir expérience
2ème
NET
1er
3ème
1 260
1 260
1 260
1 260
%
%
%
%
1
1
2
4
1
2
5
8
4
7
7
18
1
2
3
6
13
12
7
32
8
10
7
25
<1
<1
1
2
16
11
8
35
10
4
3
17
8
5
5
18
1
1
2
4
5
5
4
14
4
8
6
18
2
2
2
6
5
3
3
11
3
2
3
8
<1
<1
<1
1
1
2
4
2
4
5
11
3
5
4
12
4
2
3
9
1
3
5
9
<1
1
1
2
5
4
3
12
<1
5
9
14
3 secteurs principaux – expérience acquise
2ème
NET
1er
3ème
840
840
840
840
%
%
%
%
1
1
2
4
<1
1
2
4
5
9
9
23
<1
2
2
5
17
15
8
39
15
16
8
39
<1
1
2
3
11
11
13
35
10
4
4
18
8
5
5
18
1
1
1
3
6
3
3
12
1
4
4
9
2
2
1
5
3
2
2
7
1
1
1
3
<1
<1
1
1
1
3
3
4
5
12
3
4
3
10
3
1
3
7
2
3
5
10
<1
1
1
2
8
3
4
15
<1
7
12
19
Q.14
Parmi les secteurs du droit énumérés , veuillez indiquer les trois principaux secteurs dans lesquels vous désiriez acquérir de l'expérience pendant votre stage.
Q.15
Et quels sont les trois principaux secteurs dans lesquels vous avez bel et bien acquis de l'expérience pendant votre stage?
Niveau de référence :
Q.14 Ceux et celles qui ont fait un stage ou qui font un stage ou qui feront un stage en Ontario. Q.15 Ceux et celles ayant terminé un
stage en Ontario.
47
Préférences relatives au milieu de stage
‹
Les préférences en milieu de stage et les milieux réels de stage ont été étudiés de la même façon que les secteurs de droit
abordés lors du stage.
‹
D’abord, les préférences. L’expérience en pratique privée, et particulièrement à Toronto, occupe la plus grande place :
‹
‹
–
Le choix de prédilection des personnes interrogées était les grands cabinets privés à Toronto (28 %); cette préférence était
choisie parmi les trois principales préférences de 44 % des personnes interrogées
–
Cabinet privé de taille moyenne à Toronto (14 % et 47 %)
–
Gouvernement ou organisme public (14 % et 42 %)
–
Grand cabinet privé à l'extérieur de Toronto (10 % et 22 %)
–
Cabinet privé de taille moyenne à l'extérieur de Toronto (6 % et 19 %)
–
Bureau de la Couronne (6 % et 19 %)
Deux différences importantes selon le sexe ont été découvertes lors de l’étude des choix de milieu de stage :
–
Les hommes (36 %) sont beaucoup plus susceptibles que les femmes (22 %) de choisir un grand cabinet privé à Toronto
comme choix de prédilection.
–
À l'opposé, les femmes (18 %) sont deux fois plus susceptibles que les hommes (9 %) de choisir le gouvernement ou un
organisme public.
Des différences similaires selon le sexe apparaissent lors de l'examen des trois principales préférences combinées. Les
hommes sont beaucoup plus susceptibles que les femmes de désirer faire un stage dans trois types de milieux privés.
–
Grand cabinet privé à Toronto (55 % contre 37 %)
–
Cabinet privé de taille moyenne à Toronto (53 % et 41 %)
–
Grand cabinet privé à l'extérieur de Toronto (28 % et 18 %)
48
Préférences relatives au milieu de stage
‹
Les femmes sont beaucoup plus susceptibles que les hommes d'inclure parmi leurs trois principales préférences des lieux qui ne sont pas des
cabinets.
–
Gouvernement ou organisme public (50 % contre 32 %)
–
Clinique juridique (17 % et 7 %)
–
ONG (15 % et 6 %)
‹
Bien que le nombre de personnes interrogées désirant faire un stage dans un cabinet de petite taille à l'extérieur de Toronto soit minime, les
femmes sont deux fois plus susceptibles que les hommes de choisir ce milieu comme plus grande préférence (2 % contre 1 %), et de choisir ce
milieu parmi leurs trois principales préférences (4 % et 2 %).
‹
Les préférences des membres d'une communauté visant l'égalité ne sont pas vraiment différentes de celle des autres en termes de stage, à
l'exception du choix du gouvernement ou d'un organisme public. Les membres d'une communauté visant l'égalité (46 %) sont légèrement plus
susceptibles que ceux qui ne le sont pas (40 %) d'inclure ces lieux parmi leurs trois principales préférences.
‹
Bien que les échantillons soient extrêmement petits, et que les découvertes doivent par conséquent être considérées avec précaution, il existe des
différences intéressantes entre les personnes interrogées CNEDD et les personnes non-CNEDD au chapitre des préférences en milieu de stage.
–
Les personnes interrogées CNEDD sont plus susceptibles que les personnes non CNEDD d'inclure un cabinet d'avocat de petite taille à
l'extérieur de Toronto (24 % contre 12 %) et un praticien exerçant seul à Toronto (10 % et 2 %) parmi leurs trois principales préférences, et
beaucoup moins susceptibles d'inclure un grand cabinet privé à Toronto (24 % et 46 %) et le gouvernement ou un organisme public (26 % et
43 %).
49
Milieu réel de stage
‹
Maintenant, abordons le milieu dans lequel les personnes interrogées ont fait, font ou feront leur stage. Le classement est similaire à celui des
milieux de stage recherchés. Ce classement illustre aussi le fait que certains milieux offrent un plus grand nombre de postes de stage :
–
Grand cabinet privé à Toronto (22 %)
–
Cabinet privé de taille moyenne à Toronto (14 %)
–
Grand cabinet privé à l'extérieur de Toronto (14 %)
–
Gouvernement ou organisme public (12 %)
–
Cabinet privé de taille moyenne à l'extérieur de Toronto (7 %)
‹
Bien que le Bureau de la Couronne soit le choix de prédilection de 6 % des personnes interrogées, et l'un des trois premiers choix de 19 % des
personnes interrogées, seulement 3 % des personnes interrogées mentionnent avoir fait un stage en ce milieu.
‹
Une comparaison des préférences avec les milieux réels de stage révèle quelques découvertes intéressantes concernant les membres de
communautés visant l'égalité. En particulier, bien qu'ils ne soient pas beaucoup moins susceptibles de préférer faire un stage dans un grand cabinet
privé à Toronto, ils sont beaucoup moins susceptibles d'avoir bel et bien fait un stage dans ce milieu (17 %) que ceux qui ne sont pas membres
d'une communauté (25 %).
–
‹
Bien que les échantillons soient petits, les membres d'une communauté visant l'égalité sont également beaucoup plus susceptibles de faire
un stage chez un praticien exerçant seul à Toronto (3 % contre 1 %), et beaucoup plus susceptibles (à un niveau de confiance de 90 %) de
faire un stage chez un praticien exerçant seul à l'extérieur de Toronto (4 % et 2 %) que ceux qui ne sont pas membres d'une telle
communauté.
Il existe également une particularité intéressante selon le sexe. Alors que le grand cabinet privé situé à Toronto est le choix de prédilection de 36 %
des hommes, seulement 25 % d’entre eux ont bel et bien effectué un stage dans un tel milieu. L'écart entre la proportion de femmes pour lesquelles
ce milieu était le choix de prédilection (22 %) et la proportion de femmes qui ont bel et bien fait un stage dans ce milieu (19 %) est beaucoup moins
grand, suggérant la conclusion que les femmes qui souhaitent faire un stage dans ce milieu ont une meilleure chance d'être acceptées que les
hommes qui ont les mêmes préférences.
50
Préférences relatives au milieu de stage / milieu réel
Total Base
3 principales préférences pour le stage
Milieu de
travail réel
du stage
1er
1 260
%
1
2e
1 260
%
<1
3e
1 260
%
1
NET
1 260
%
3
Petit cabinet privé à l'extérieur de Toronto (moins de 5 avocats)
3
4
5
12
6
Cabinet privé de taille moyenne à l'extérieur de Toronto (5 à 10 avocats)
6
8
5
19
7
Grand cabinet privé à l'extérieur de Toronto (plus de 10 avocats)
10
5
7
22
14
Praticien exerçant seul à Toronto
<1
1
1
2
2
Petit cabinet privé à Toronto (moins de 5 avocats)
4
4
10
18
5
Cabinet privé de taille moyenne à Toronto (5 à 50 avocats)
14
23
10
47
14
Grand cabinet privé à Toronto (plus de 50 avocats)
28
10
6
44
22
Juriste d'entreprise pour une société privée
2
5
8
15
2
Gouvernement ou organisme public
14
15
13
42
12
Éducation
<1
1
1
2
-
Bureau de la Couronne
6
6
7
19
3
Clinique juridique
2
4
6
12
2
Organisme non gouvernemental (ONG)
2
4
5
11
1
Autre milieu de travail
6
1
1
8
8
Aucune préférence
1
2
4
7
<1
Aucune réponse
-
6
9
n=
Praticien exerçant seul à l'extérieur de Toronto
1 260
%
3
-
Q.16
Parmi les milieux de travail énumérés ci-dessous, veuillez indiquer vos trois principales préférences de milieu de travail dans lequel vous désiriez faire votre STAGE
et ensuite, celui dans lequel vous avez fait votre stage ou êtes en train de faire votre stage?
Niveau de référence :
Personnes interrogées qui feront un stage, sont en stage, ou feront un stage en Ontario
51
L'exercice du droit
Préférences au chapitre du milieu de travail
‹
‹
Comme dans le cas des préférences pour lieu de stage, les cabinets privés sont en tête au chapitre des milieux de travail préférés :
–
Grand cabinet privé à Toronto (choix de prédilection de 22 % des personnes interrogées, et comme principale préférence par 39 %);
–
Gouvernement ou organisme public (17 % et 44 %);
–
Cabinet de taille moyenne à Toronto (12 % et 40 %);
–
Grand cabinet à l'extérieur de Toronto (9 % et 22 %);
–
Bureau de la Couronne (7 % et 19 %);
–
Cabinet de taille moyenne à l'extérieur de Toronto (6 % et 20 %).
Tout comme pour les préférences pour lieu de stage, il existe des différences selon le sexe au chapitre du milieu de travail de prédilection :
–
Grand cabinet privé à Toronto – 29 % d'hommes et 16 % de femmes;
–
Gouvernement ou organisme public – 21 % de femmes et 11 % d'hommes;
–
Juriste d'entreprise pour une compagnie privée – 6 % de femmes et 3 % d'hommes;
–
Clinique juridique – 4 % de femmes et 1 % d'hommes;
–
ONG – 4 % de femmes et 2 % d'hommes.
53
Préférences au chapitre du milieu de travail
‹
On retrouve certaines différences au chapitre des plus grandes préférences parmi les membres de communautés visant
l'égalité.
–
Ces derniers sont beaucoup moins susceptibles que les autres de choisir un grand cabinet à l'extérieur de Toronto comme
choix de prédilection (6 % contre 11 %).
–
Ils sont également moins portés (intervalle de confiance de 90 %) de choisir comme choix de prédilection un grand cabinet à
Toronto (19 % contre 23 %) et d'inclure ce choix parmi leurs trois principales préférences (35 % et 40 %).
‹
Dans une certaine mesure, ces découvertes concernant les membres de communautés visant l'égalité peuvent s'expliquer
par leur plus grand intérêt envers les droits de la personne et la justice sociale ainsi que le droit de l'immigration, des
secteurs que l’on retrouve moins fréquemment dans de grands cabinets que dans d'autres milieux de travail.
‹
Les plus grandes préférences de milieu de travail au sein des personnes interrogées CNEDD diffèrent de celles des autres
sous certains aspects.
–
Les personnes interrogées CNEDD sont beaucoup moins susceptibles que les autres d’indiquer comme choix de prédilection
un grand cabinet de Toronto (12 % contre 22 %) et le gouvernement ou un organisme public (8 % et 17 %).
–
Une autre différence surgit lorsque les trois principales préférences sont combinées. Les personnes interrogées CNEDD sont
beaucoup plus susceptibles que les autres d'inclure parmi leurs trois principales préférences le praticien exerçant seul à Toronto
(18 % contre 3 %), et s’orientent plus que les autres vers le praticien exerçant seul à l'extérieur de Toronto (12 % et 4 %).
54
Milieu réel de travail
‹
‹
Reflétant les préférences, les cabinets privés sont le milieu réel de travail le plus courant :
–
Grand cabinet privé à Toronto (16 %)
–
Gouvernement ou organisme public (16 %)
–
Cabinet de taille moyenne à Toronto (13 %)
–
Grand cabinet privé à l'extérieur de Toronto (9 %)
–
Cabinet de taille moyenne à l'extérieur de Toronto (6 %)
La comparaison entre les préférences et les milieux de travail réels révèle une différence intéressante, selon le sexe, en ce
qui concerne les grands cabinets situés à Toronto :
–
‹
Même si les hommes (29 %) sont plus susceptibles que les femmes (16 %) d’indiquer ce milieu de travail comme choix de
prédilection, les proportions d'hommes et de femmes qui mentionnent travailler dans un tel milieu se rapprochent (18 % des
hommes interrogés et 15 % des femmes interrogées). Ce fait confirme la tendance révélée dans le cas du milieu de stage.
D'autres différences selon le sexe ont été constatées en milieu réel de travail, et elles correspondent aux préférences.
–
Juriste d'entreprise pour une société privée – 6 % de femmes et 3 % d'hommes;
–
Gouvernement ou organisme public – 20 % de femmes et 11 % d'hommes.
55
Milieu réel de travail
‹
Des différences selon l'appartenance à une communauté visant l'égalité nous sont également révélées.
–
Conformément à leurs préférences, les membres d'une communauté visant l'égalité sont moins susceptibles que les autres de
travailler dans un grand cabinet privé à l'extérieur de Toronto (6 % contre 11 %) ou un grand cabinet à Toronto (11 % et 19 %).
–
Les membres d'une communauté visant l'égalité sont, au contraire, plus susceptibles que les autres d'exercer au sein du
gouvernement ou d'un organisme public (20 % contre 13 %).
‹
Bien que l'échantillon des personnes interrogées CNEDD qui exercent actuellement soit minime, les données suggèrent
que, conformément à leurs préférences, ces personnes sont plus susceptibles que les autres de travailler comme praticien
seul à Toronto (19 % contre 3 %) ou praticien seul à l'extérieur de Toronto (11 % et 3 %).
‹
La comparaison entre les milieux réels de travail et les préférences au chapitre des milieux de travail révèle que dans la
plupart des cas les personnes interrogées travaillent dans le milieu désiré. Il existe, par ailleurs, plusieurs lacunes :
–
Les proportions de personnes interrogées qui mentionnent travailler dans de grands cabinets privés à Toronto (16 %) ou au
Bureau de la Couronne (3 %) sont inférieures aux proportions de personnes interrogées qui ont indiqué ces milieux comme
choix de prédilection (22 % contre 7 %);
–
À l'opposé, la proportion de personnes interrogées qui mentionnent travailler dans un petit cabinet privé à l'extérieur de Toronto
(8 %) est plus grande que la proportion de personnes interrogées pour qui ce milieu était un choix de prédilection (4 %).
56
Préférences relatives aux milieux de travail / milieux réels
Échantillon total
3 principales préférences pour le milieu de
travail
Milieu de
travail réel
1er
1 303
%
2
2e
3e
1 303
%
1
1 303
%
1
NET
1 303
%
4
Petit cabinet privé à l'extérieur de Toronto (moins de 5 avocats)
4
5
6
15
8
Cabinet privé de taille moyenne hors de Toronto (5 à 10 avocats)
6
8
6
20
6
Grand cabinet privé à l'extérieur de Toronto (plus de 10 avocats)
9
6
7
22
9
Praticien exerçant seul à Toronto
1
1
2
4
3
Petit cabinet privé à Toronto (moins de 5 avocats)
4
5
11
20
6
Cabinet privé de taille moyenne à Toronto (5 à 50 avocats)
12
18
10
40
13
Grand cabinet privé à Toronto (plus de 50 avocats)
22
11
6
39
16
Juriste d'entreprise pour une société privée
5
10
11
26
5
Gouvernement ou organisme public
17
15
12
44
16
Éducation
1
1
3
5
1
Bureau de la Couronne
7
6
6
19
3
Clinique légale
3
3
7
13
1
Organisme non gouvernemental (ONG)
3
6
6
15
1
Autre milieu
3
1
1
5
8
Aucune préférence
1
3
5
9
-
Aucun / aucune réponse
<1
1
1
2
-
n=
Praticien exerçant seul à l'extérieur de Toronto
Q.17
772
%
3
Parmi les milieux de travail énumérés ci-dessous, veuillez indiquer vos trois principales préférences de milieu de travail dans lequel vous désiriez EXERCER LE
DROIT et ensuite, celui dans lequel vous exercez en ce moment? (indiquez votre milieu de travail SEULEMENT si vous exercez le droit présentement.)
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées pour le lieu préféré. Personnes exerçant le droit en Ontario pour le milieu réel de travail.
57
Facteurs clés influençant le choix de poste (question ouverte)
‹
Nous avons demandé aux personnes interrogées exerçant le droit en Ontario ou travaillant dans le domaine juridique
d'établir une liste de facteurs clés ayant influencé leur décision d’accepter le poste qu’elles occupent.
‹
Bien que de nombreux facteurs aient été mentionnés, ce sont les domaines d'exercice offerts qui ont été indiqués par la
plus grande proportion de personnes interrogées (26 %). Cette même raison a été choisie par la plus grande proportion de
personnes interrogées lorsqu’elles ont répondu à une question ouverte à propos des facteurs clés ayant influencé leur
choix de stage.
‹
Voici les résultats obtenus par d’autres facteurs, en ordre décroissant d’importance :
‹
‹
–
Bonne rémunération / bénéfice (mentionné par 17 % des personnes interrogées);
–
Bon équilibre vie personnelle et travail (15 %);
–
Poste ou emploi disponible (12 %);
–
Potentiel ou possibilités d'avenir (10 %).
On constate, ici, des différences basées sur le sexe. Les femmes sont plus susceptibles que les hommes de dire que les
éléments suivant étaient des facteurs clés dans leur choix de poste :
–
Les femmes sont deux fois plus susceptibles que les hommes d’indiquer à la fois un bon équilibre entre la vie personnelle et le
travail (19 % contre 8 %) et un bon environnement de travail (12 % contre 5 %) comme facteurs clés.
–
Bien que les échantillons soient très minimes, et que les résultats doivent être considérés avec prudence, les femmes semblent
également plus susceptibles que les hommes d’indiquer des horaires de travail souples (7 % et 2 %) et l'existence d'un
programme de mentorat (4 % et 2 %) bien que ni l'un ni l'autre de ces facteurs ne semble jouer un rôle primordial dans leur
choix.
–
Néanmoins, et comme en ce qui concerne les facteurs qui influencent le choix d’un poste de stage, ces facteurs pourraient jouer
un rôle décisif dans le choix d'un poste plutôt que l'autre si toutes les autres facettes du poste étaient équivalentes.
Il n'y a pas de différence majeure au sein des membres de communautés visant l'égalité ou de personnes interrogées
CNEDD à ce sujet
58
Facteurs clés influençant le choix de poste (question ouverte)
Échantillon total
n=
772
%
Domaines d'intérêt / de pratique offerts par les cabinets
26
Bonne rémunération / salaire / avantage sociaux
17
Bon équilibre entre la vie personnelle et le travail
15
Poste / travail disponible
12
Possibilités d'avancement / d'avenir
10
Bon environnement de travail
9
Collègues gentils, amicaux
9
Emplacement préféré
8
Travail stimulant / intéressant
6
Type d'organisme préféré – public, privé, ONG, gouvernement
6
Emploi offert / offre d'emploi
6
Expérience pratique / en cour / en litige
6
Prestige / réputation attribuée
5
Expérience en stage / en travail d'été / expérience antérieure
5
Bonnes heures / heures de travail / flexibilité
5
Réembauché / politiques de réembauche
4
Possibilité de formation / d'apprentissage
4
Q.21
Quels sont les facteurs clés qui ont influencé le choix de votre poste?
Niveau de référence :
Personnes interrogées qui exercent / pratiquent le droit
Note: La somme des pourcentages dépasse 100% à cause des choix multiples
59
Facteurs clés influençant le choix de poste (question ouverte)
(suite)
Échantillon total
n=
772
%
Ville préférée
3
Cabinet / organisme offre un programme de tutorat
3
Possibilité d'acquérir de l'expérience en litiges
3
Faire progresser des causes de justice sociale / servir l'intérêt public
3
S'identifie à la culture / aux valeurs de la compagnie
3
Autonomie / gestion de ses propres dossiers
3
Programme de rotation / domaines de pratique multiples
2
Taille de cabinet préférée
2
Aime travailler avec les clients / fournir des services aux clients
2
Expérience dans le domaine avant l'entrée à la faculté de droit
2
Variété du travail
2
Toute autre raison (égal à ou moins de 1%)
9
Aucune / pas de réponse / ne sait pas
4
Q.21
Quels sont les facteurs clés qui ont influencé votre choix de poste?
Niveau de référence :
Personnes interrogées qui exercent / pratiquent le droit
Note: La somme des pourcentages dépasse 100% à cause des choix multiples
60
Facteurs clés influençant le choix de poste (question fermée)
‹
Deux questions fermées ont aussi été posées aux personnes prenant part au sondage à propos des facteurs qui les ont
influencées dans le choix de leur emploi actuel. La première, destinée à comprendre les considérations jouant sur le
processus de décision, comptait une liste de facteurs et demandait aux personnes interrogées d'indiquer si ces facteurs les
avaient influencées. La deuxième, ayant pour objectif d'identifier les facteurs plus importants, demandait aux personnes
interrogées de choisir le facteur le plus déterminant.
‹
Comme on pouvait s'y attendre, les résultats de la première question démontrent qu'une vaste gamme de facteurs
influence cette décision. Voici les facteurs mentionnés par les plus grandes proportions de personnes interrogées. Ils
corroborent les facteurs découverts par la question ouverte :
‹
‹
–
Secteurs d'exercice offerts (mentionnés par 55 %);
–
Bonne rémunération (50 %);
–
Soutien au sein de l'environnement de travail (44 %);
–
Réembauche suite à un stage (43 %);
–
Politiques / déclarations / pratiques relatives à l'équilibre entre la vie personnelle et le travail (42 %);
–
Prestige (41%);
–
Bons avantages sociaux (39 %).
Encore une fois, quelques-uns de ces facteurs sont plus susceptibles d'être considérés comme importants par les femmes.
–
Soutien au sein de l'environnement de travail (mentionné comme facteur d'influence par 49 % de femmes et 38 % d'hommes);
–
Politiques relatives à l'équilibre entre la vie personnelle et le travail (49 % et 33 %);
–
Bons avantages sociaux (43 % et 35 %).
Bien que mentionnés par de plus petites proportions de personnes interrogées en général, les femmes sont également
plus susceptibles que les hommes de considérer comme importants :
–
Soutien à la formation professionnelle à l'externe (27% et 17%);
61
Facteurs clés influençant le choix de poste (question fermée)
‹
On retrouve également quelques différences intéressantes au sein des membres d'une communauté visant l'égalité. Ceux qui s'identifient à une
communauté visant l'égalité (32 %) sont beaucoup moins susceptibles que les autres (50 %) de dire que le fait d'être réembauché au cabinet ou à
l'organisme au sein duquel a été fait un stage représentait un facteur d'influence. Ils sont également moins susceptibles de voir le prestige attribué
au cabinet ou à l'organisme comme facteur d'influence (36 % contre 44 %).
‹
Comme l'on peut s'y attendre, les membres d'une communauté visant l'égalité sont plus susceptibles de considérer comme important la diversité du
personnel (19 % contre 10 %).
‹
Les personnes interrogées CNEDD se rapprochent des membres d'une communauté visant l'égalité en ce qu’elles sont beaucoup moins
susceptibles que les autres de mentionner qu'avoir été réembauché après un stage dans un cabinet ou au sein d'un organisme a influencé leur
choix de poste (22 % contre 44 %).
62
Plus grande influence sur le choix du poste
‹
Nous avons demandé aux personnes interrogées de choisir le facteur le plus déterminant sur le choix de leur poste. Elles
ont indiqué de façon prépondérante les deux facteurs suivants :
–
Être réembauché suite à un stage (24 %);
–
Secteurs d'exercice offerts (23 %).
‹
Bien qu’aucune différence basée sur le sexe n’existe dans les proportions identifiant le facteur de réembauche suite à un
stage comme le plus déterminant, il en existe en ce qui concerne les membres d'une communauté visant l'égalité. Ces
membres (17 %) sont beaucoup moins susceptibles que les autres (29 %) de mentionner le fait d'être réembauché comme
facteur ayant le plus d'influence.
‹
Aucun autre facteur ne fut choisi par plus de 10 % des personnes interrogées. Deux facteurs liés à l'environnement social
ont été, par contre, choisis par environ une personne sur dix comme le plus important :
‹
–
L'existence de politiques / déclarations / pratiques relatives à l'équilibre entre la vie personnelle et le travail (10 %);
–
Le cabinet / l'organisme offre du soutien dans son environnement (9 %).
–
Bien qu'il n'y ait aucune différence selon le sexe dans l'importance du soutien dans l'environnement du cabinet, les femmes (13
%) sont deux fois plus susceptibles que les hommes (6 %) de choisir l'existence de politiques / déclarations / pratiques comme
facteur le plus important.
–
Finalement, même si les échantillons sont petits, les hommes (9 %) semblent plus susceptibles que les femmes (5 %) de
considérer le prestige attribué au cabinet ou à l'organisme comme facteur important.
L'échantillon minime de personnes interrogées CNEDD exerçant actuellement le droit en Ontario n’a pas suffisamment de
portée pour être analysé sur ce sujet.
63
Facteurs clés influençant le choix de poste / plus grande influence
Échantillon total
n=
J'ai fait un stage au sein de ce cabinet et j'ai été réembauché(e)
Influence sur le
choix de poste
Plus grande
influence
772
%
43
772
%
24
55
23
Les domaines d'exercice offerts par le cabinet / l'organisme
Politiques/déclarations/pratiques mises en place relatives à l'équilibre entre la vie personnelle
et le travail
Le cabinet / l'organisme offre du soutien dans son environnement
42
10
44
9
Bonne rémunération
50
8
Prestige attribué au cabinet / à l'organisme
41
6
J'ai travaillé dans ce domaine durant mes études à la faculté de droit
18
4
Programme de mentorat offert
11
1
La main-d'œuvre est diversifiée
14
1
Politiques/déclarations/pratiques mises en place relatives aux congés de maternité/paternité
13
1
Bons avantages sociaux
39
1
Des membres de ma famille qui sont avocats ou avocates
2
1
Le cabinet / l'organisme offre des programmes de formation professionnelle à l'interne
22
<1
Le cabinet / l'organisme offre du soutien à la formation professionnelle à l'externe
23
<1
Autre
15
11
Pas de réponse
<1
<1
Q.22
Est-ce que l'un ou plusieurs des facteurs énumérés ci-dessous ont influencé votre choix de poste (indiquez tous ceux qui s'appliquent)?
Q.23
Et lequel a le plus influencé votre choix de poste?
Niveau de référence :
Personnes interrogées qui exercent / travaillent en droit
64
Facteurs clés influençant le choix de domaine d'exercice
‹
À l’aide d’une question ouverte, la recherche s'est penchée, sur les facteurs clés qui ont influencé le choix du domaine d'exercice. Les résultats ont
permis de découvrir les facteurs déterminants dans le choix d’un domaine d’exercice.
‹
Par une marge significative, et comme l‘indiquaient les résultats précédents, le facteur d’influence de prédilection au chapitre du choix du domaine
d'exercice est l'intérêt ressenti envers ledit domaine (38 %).
‹
L'intérêt envers le domaine d'exercice choisi ne varie pas en importance selon le sexe, mais est indiqué un peu moins souvent par les membres
d'une communauté visant l'égalité (33 %) que par les autres personnes interrogées (41 %). Ce facteur est, néanmoins, indiqué le plus fréquemment
par les membres de ces communautés en tant que facteur clé qui a influencé le choix du poste.
‹
Un certain nombre d’autres facteurs mentionnés presque aussi fréquemment les uns que les autres suivent, en termes d’importance, l'intérêt dans
le domaine d'exercice. Parmi ceux-ci, le fait que le domaine d'exercice favorise un bon équilibre entre la vie personnelle et le travail (13 %) et la
bonne rémunération (13 %) sont mentionnés le plus fréquemment.
‹
Conformément aux résultats précédents, les femmes sont plus susceptibles que les hommes d’indiquer qu'un bon équilibre entre la vie personnelle
et le travail (16 % contre 10 %), un bon environnement de travail (9 % et 4 %) et la défense de causes liées à la justice sociale / l’intérêt public (9 %
et 4 %) étaient des facteurs clés.
‹
Les résultats provenant de membres de communautés visant l'égalité et de personnes interrogées CNEDD ne diffèrent pas de façon significative
des résultats généraux sur cette question, bien que les personnes interrogées CNEDD semblent accorder un peu moins d'importance à la
rémunération et à l'environnement de travail que les autres.
65
Facteurs clés influençant le choix de domaine d'exercice
(question ouverte)
Étudiants NCEDD
Échantillon
total
Oui
Non
772
%
27a
%
745
%
Domaines d'intérêt
38
33
38
Bon équilibre entre la vie personnelle et le travail
13
7
14
Bonne rémunération
13
4
13
Expérience en stage / expériene du travail d'été / expérience antérieure
10
7
10
Travail stimulant / intéressant
9
4
9
Poste / emploi disponible
J'ai travaillé dans ces domaines durant mes études à la faculté de droit / intérêt
académique
Bon environnement de travail
9
11
9
8
4
8
7
-
7
Possibilités d'avancement
7
15
7
Faire avancer les causes de justice sociale / travailler pour l'intérêt public
7
11
7
Collègues gentils, amicaux, serviables
6
4
6
Expérience pratique / en cour / en litiges
6
7
6
Possibilité d'apprendre en litiges
6
7
6
Expérience dans le domaine avant la faculté de droit
5
11
5
Type d'organisme préféré – public / privé / ONG / gouvernement
4
-
5
Poste offert / Poste ouvert
4
7
4
Emplacement préféré
4
4
4
Bonnes heures / heures de travail / heures flexibles
3
4
3
Autonomie / Possibilité de gérer ses propres cas
3
7
3
n=
Q.18
Quels sont les facteurs clés qui ont influencé le choix de vos domaines de pratique actuelle?
Niveau de référence :
Personnes interrogées qui exercent / travaillent en droit
a
attention, petit échantillon
66
Facteurs clés influençant le choix de domaine d'exercice
(question ouverte) (suite)
Étudiant CNEDD
Échantillon
total
Oui
Non
772
%
27a
%
745
%
Aime travailler / fournir des services aux clients
3
7
3
Possibilités de promotion / de développement
3
-
3
Réembauché(e) suite à un stage durant l'été / politiques de réembauche
3
-
3
Programme de mentorat du cabinet / de l'organisme
2
-
3
Prestige attribué au cabinet / à l'organisme
2
-
2
Diversité des tâches
2
-
2
Ville préférée
2
-
2
Domaines d'exercices multiples / programme de rotation
2
-
2
Toute autre mention (égale à ou inférieure à 1 %)
9
11
9
n=
Q.18
Quels sont les facteurs clés qui ont influencé le choix de vos domaines de pratique actuelle?
Niveau de référence :
Personnes interrogées qui exercent / travaillent en droit
a
attention, petit échantillon
67
Domaines d'exercices préférés
‹
Ayant examiné les facteurs clés pour choisir un domaine d'exercice, la recherche s’est ensuite attardée sur les domaines
de pratique eux-mêmes. Tout comme en ce qui concerne les autres aspects de l'enquête de cette recherche, les
personnes interrogées ont indiqué les trois principaux domaines dans lesquels elles voulaient exercer, puis les trois
domaines dans lesquels elles exerçaient bel et bien.
‹
Quatre domaines ont été mentionnés par au moins une personne interrogée sur cinq lors de l’examen des trois domaines
juridiques combinés. Les résultats obtenus correspondent à ceux qu’a révélé l’étude des domaines d'exercice recherchés
durant le stage :
–
Droit des sociétés / droit commercial (33 %);
–
Litige civil – plaignant ou plaignante (27 %);
–
Litige civil – défendeur ou défenderesse (23 %);
–
Droits de la personne – justice sociale (23 %).
‹
Il existe des différences selon le sexe qui reflètent les différences découvertes lors de l’étude des préférences pour
l'expérience d'exercice durant le stage.
‹
Les hommes sont davantage susceptibles d'indiquer une préférence pour :
–
Droit des sociétés / droit commercial (41 % d'hommes, 27 % de femmes);
–
Litige civil – plaignant ou plaignante (31 % contre 23 %);
–
Litige civil – défendeur ou défenderesse (26 % et 20 %);
–
Sûretés (19 % et 10 %);
–
Droit fiscal (14 % et 7 %); et,
–
Propriété intellectuelle (14 % et 9 %).
68
Domaines d'exercices préférés
‹
‹
‹
Les femmes sont beaucoup plus susceptibles d'indiquer une préférence pour :
–
Droits de la personne – justice sociale (29 % de femmes, 14 % d'hommes);
–
Droit matrimonial / de la famille (17 % contre 7 %);
–
Testaments / successions / fiducies (11 % et 6 %);
–
Droit de la pauvreté (8 % et 3 %); et;
–
Droit de l'environnement (7 % et 4 %).
Majoritairement, les réponses de membres de communautés visant l'égalité révèlent la même échelle de préférences en
matière d'exercice que les autres personnes interrogées. Il existe néanmoins deux domaines envers lesquels les membres
de communautés visant l’égalité sont plus susceptibles d'exprimer un intérêt :
–
Droits de la personne – justice sociale (26 % contre 20 %);
–
Droit de l'immigration (11 % et 4 %).
Les personnes interrogées CNEDD sont beaucoup plus susceptibles que les autres d'inclure parmi leurs trois domaines
préférés le droit de l'immigration (30 % contre 6 %) et le droit de la famille (26 % et 12 %), et beaucoup moins susceptibles
d’indiquer les droits de la personne – justice sociale (12 % contre 23 %).
69
Domaines réels d'exercice
‹
Le trio de domaines de prédilection (combinés) correspond aux trois préférences de prédilection :
–
Droit des sociétés / droit commercial (32 %);
–
Litige civil – plaignant ou plaignante (27 %);
–
Litige civil – défendeur ou défenderesse (27 %).
‹
Dans la plupart des domaines d'exercice, la proportion de personnes interrogées y exerçant bel et bien se rapproche de la
proportion de personnes interrogées ayant indiqué vouloir y exercer.
‹
Dans plusieurs domaines d'exercice, l'exercice réel diffère du domaine préféré.
–
Les droits de la personne – justice sociale est le troisième domaine de prédilection (23 % des voix combinées) au chapitre des
préférence. Or, seulement onze pour cent des personnes interrogées y exercent (choix des trois domaines exercés combinés).
–
Les proportions de personnes interrogées exerçant le droit de l'environnement, de l'immigration, de la pauvreté, des sûretés et
le droit fiscal sont plus faibles qu’au chapitre des préférences, bien que les écarts soient plus petits que dans le cas du droit de
la personne.
‹
L’écart entre les domaines d'exercice préférés et les domaines réels d'exercice découvert dans le cas des droits de la
personne – justice sociale a des répercussions sur les femmes et les membres de communautés visant l'égalité, chez
lesquels et lesquelles l'intérêt envers ce domaine est plus grand.
‹
De la même façon, l’écart entre les préférences et l'expérience réelle d'exercice en matière de droit de l'immigration a des
répercussions chez les membres de communautés visant l'égalité et les personnes interrogées CNEDD, qui sont plus
susceptibles que les autres d’être intéressées par ce domaine.
70
Domaines d'exercices préférés/réels
Échantillon total
Trois principaux domaines où vous désiriez travailler
n=
Droit autochtone
MARC/services de médiation
Droit administratif
Faillite et insolvabilité
Litige civil – Plaignant ou plaignante
Litige civil – Défendeur ou défenderesse
Droit de la construction
Droit des sociétés / droit commercial
Droit criminel / quasi criminel
Droit de l'emploi / du travail
Droit de l'environnement
Droit matrimonial / de la famille
Droits de la personne – justice sociale
Droit de l'immigration
Propriété intellectuelle
Droit international
Droits linguistiques
Droit de la pauvreté
Droit de l'immobilier
Sûretés
Droit fiscal
Testaments, successions, fiducies
Santé et sécurité au travail
Autre
Aucun / aucune réponse
Top
1 303
%
1
1
2
1
10
8
<1
13
11
7
2
5
6
1
6
5
<1
1
3
4
4
1
1
7
<1
2nd
1 303
%
2
2
7
1
10
9
1
12
3
5
2
5
9
3
3
4
<1
2
4
5
2
3
1
3
4
3rd
1 303
%
2
5
6
3
7
6
1
8
4
4
2
4
8
2
2
4
<1
3
5
5
3
5
1
3
7
NET
1 303
%
5
8
15
5
26
22
2
33
19
16
6
13
22
7
11
13
1
6
11
14
10
9
2
12
-
Trois principaux domaines d'exercice réel
Top
772
%
2
<1
4
1
10
12
<1
11
10
6
1
8
2
1
3
1
<1
1
6
4
3
2
<1
12
<1
2nd
772
%
1
1
7
1
11
10
1
12
4
3
1
2
5
2
2
2
1
4
4
1
4
1
4
17
3rd
772
%
1
3
9
3
6
5
1
9
2
4
<1
2
4
1
2
2
<1
1
3
2
1
4
2
5
28
NET
772
%
3
4
20
4
28
26
2
32
16
13
3
12
10
4
7
5
<1
2
13
10
6
10
4
21
-
Q.19
Veuillez indiquer les trois principaux domaines du droit dans lesquels vous désiriez pratiquer / travailler .
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées
Q.20
Et quels sont les trois principaux domaines du droit dans lesquels vous pratiquez / travaillez en réalité? (Veuillez répondre à cette question SEULEMENT si vous
pratiquez / travaillez en droit présentement)
Niveau de référence :
Personnes interrogées qui pratiquent / travaillent en droit présentement
71
Aspect financier
Sources de soutien financier pour les études de droit
‹
L'examen des moyens utilisés pour payer les frais scolaires révèle que les prêts, soit du gouvernement (48 %, RAFÉO 35
%, autres prêts 13 %), soit d'une banque (45 %) sont utilisés plus fréquemment que d'autres comme sources majeures de
financement.
–
‹
Par ailleurs, les prêts sont suivis de près par les revenus d'emploi des personnes interrogées (32 % les ont mentionnés
comme source principale), par le soutien des revenus de membres de la famille ou de leurs épargnes (29 %) et par les
propres épargnes des personnes interrogées (27 %).
–
‹
Les membres de groupes visant l'égalité ne diffèrent pas des autres dans l'utilisation du RAFÉO ou d'autres prêts du
gouvernement, mais ils sont beaucoup moins susceptibles de signaler l'utilisation de prêts d'une banque en tant que source
principale (39 % contre 48 %). Les hommes (48 %) sont légèrement plus susceptibles que les femmes (42 %) de signaler que
les prêts bancaires ont été une source principale de soutien, mais il n'existe pas de différence selon le sexe pour l'utilisation du
RAFÉO ou d'autres prêts du gouvernement.
Il n'y a aucune différence selon le sexe ou selon l'appartenance à une communauté visant l'égalité dans les proportions citant
les sources ci-haut comme sources principales de soutien.
Les bourses d'études de la faculté de droit ont été mentionnées par 16 % des personnes interrogées comme source
importante de soutien.
–
Les membres de communautés visant l'égalité (19 %) sont beaucoup plus susceptibles que les non-membres (14 %) de
mentionner que les bourses d'études de la faculté de droit sont une source importante de soutien.
73
Sources de soutien financier
‹
Un peu plus du tiers des personnes interrogées (35 %) mentionnent avoir fait application pour un prêt ou une bourse qui leur a été refusé. Fait
intéressant, 23 % des ces personnes ne connaissent pas la raison du refus (8 %) ou disent qu'aucune raison ne leur a été fournie (15 %). Il n'existe
pas, ici, de différence significative selon le sexe ou l'appartenance à une communauté visant l'égalité.
‹
Parmi ceux et celles dont le refus d’octroi de prêt ou de bourse s’accompagnait d’une raison, il s’agissait majoritairement de disqualification pour
raisons financières ou pour défaut de rencontrer les exigences.
‹
Six personnes interrogées sur dix (61%) déclarent qu‘elles ont été des travailleurs salariés à un moment ou un autre durant leurs études à la faculté
de droit.
–
Ceux et celles qui mentionnaient avoir des dettes à leur entrée à la faculté de droit (69 %) sont plus susceptibles que les autres (56 %) de
mentionner avoir travaillé à salaire durant leurs études à la faculté de droit, tout comme ceux et celles qui se sont endettés pendant leurs
études (63 %) contrairement à ceux et celles qui n'ont pas accumulé de dettes alors qu’ils étaient à la faculté (52 %).
74
Sources de soutien financier
Échantillon total
Source
principale
Source
modérée
NET
Non-utilisé
1 303
%
27
1 303
%
47
1 303
%
73
1 303
%
26
Revenus de votre emploi
32
50
82
17
Épargnes ou revenus de votre époux, épouse, conjoint, conjointe
9
11
19
80
Épargnes / revenus des membres de votre famille
29
22
51
48
Prêt RAFÉO
35
17
51
48
Autre(s) prêt(s) du gouvernement
13
6
19
80
Prêt(s) d'une banque
45
14
58
41
Carte(s) de crédit
9
31
40
59
Prêt privé de la famille / d'amis
10
14
24
75
Tout autre genre de prêt(s)
1
3
4
95
Bourses d'études de la faculté de droit
16
43
59
40
Bourses d'études de provenance autre que la faculté de droit
3
11
15
84
Financement de la Bande des Premières Nations pour étudiant(e)s
1
<1
1
98
Bourses d'études du gouvernement pour étudiants autochtones
<1
1
1
98
Bourses d'études privées ou d'une société pour les étudiants autochtones
<1
<1
<1
98
Autres sources
2
1
3
51
Aucune
3
10
<1
-
n=
Vos propres épargnes ou revenus
Q.31
Quelles sont les sources, parmi celles qui suivent, que vous avez utilisées pour payer vos études en droit?
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées
75
Prêts et bourses
Échantillon total
n=
%
Avez-vous demandé des prêts et bourses qui vous ont été refusés?
n =1 303
Oui
35
Non
65
Raison du refus
n = 450
Je ne répondais pas aux exigences / critères / n'étais pas qualifié
19
Ne semblait pas avoir un besoin financier suffisant
12
Revenus de la famille trop élevé
11
Emploi précédent / de l'an dernier au salaire trop élevé / gagnait trop d'argent
10
Je devais recevoir du soutien financier d'une autre façon
6
Trop de biens / propriétaires d'une maison / d'une voiture / d'un REER
6
Dossier académique faible / notes basses
5
J'avais déjà trop de dettes
4
Pas de co-signataire
3
Pas assez de fonds
3
Nouvel habitant/ immigrant/ problèmes de statut
2
Toute autre raison (égale ou moins de 1%)
4
Aucune / pas de raison / je ne sais pas
28
Q.26
Avez-vous demandé des prêts et bourses qui vous ont été refusés?
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées
Q.27
Si un prêt ou une bourse vous a été refusé et que des raisons de ce refus vous ont été données, veuillez en faire une brève description.
Niveau de référence :
Ceux à qui ont été refusé un prêt ou une bourse
76
Dettes à l'entrée à la faculté
‹
La dette étudiante a été examinée sous plusieurs facettes. La première était l'étendue de l'endettement au début des
études.
‹
Un peu plus de six étudiants sur dix (62 %) ont commencé leurs études sans dettes. Il n'existe pas de différence selon le
sexe (63 % d'hommes et 61 % de femmes) ou l'appartenance à une communauté visant l'égalité (61 % de membres et 63
% de non-membres).
‹
Le montant moyen de dette à l'entrée à la faculté de droit était d’un peu moins de 26 500$. Plus précisément :
–
Les prêts du RAFÉO, à 42 % des dettes mentionnées, représentent la plus grande part des dettes. Environ une personne
interrogée sur cinq (21 %) devait une somme d'argent au RAFÉO. La moyenne d'une dette RAFÉO était d’un peu plus de 20
000 $.
–
Les prêts bancaires, 17 % des dettes mentionnées, représentent la deuxième plus grande part de dettes. Une personne
interrogée sur dix (11 %) a commencé ses études avec un prêt d’une banque. La moyenne de dette à la banque dépassait
légèrement 16 000$.
–
« D'autres prêts » représentent la troisième plus grande part, étant mentionnée dans 15 % des cas. Fait intéressant, cette part
de l'endettement étudiant n’est indiquée que par 3 % des étudiants et étudiantes. Elle prend la troisième position pour la dette
totale car la moyenne de cette dette, selon ceux qui l'ont mentionnée, est d’un peu plus de 56 000 $; il s’agit de la moyenne la
plus élevée, et de loin, pour tout type de dettes.
–
Les prêts du gouvernement autres que le RAFÉO représentent 11 % de la dette totale mentionnée. Ce type de dette a été
mentionné par 7 % des personnes interrogées, et le montant représentait en moyenne un peu plus de 17 500 $.
–
Les dettes de cartes de crédit représentent 7 % du total des dettes mentionnées. Les dettes de cartes de crédit ont été
mentionnées par 14 % des personnes interrogées, et l'endettement moyen équivaut à un peu plus de 5 100$.
–
Les prêts privés importants consentis par la famille ou les amis représentent 7 % du total des dettes mentionnées. Les prêts
privés ont été mentionnés par 5 % des personnes interrogées, et la moyenne d'endettement se situait en dessous de 14 500$.
77
Dettes à l'entrée à la faculté de droit
Échantillon total
n=
1 303
%
Je n'avais pas de dette en entamant mes études
62
Montant de la dette de l'emprunteur *
($)
Dette totale de l'emprunteur
26 482
Prêt RAFÉO
20 008
Autre(s) prêt(s) du gouvernement
17 558
Prêt(s) d'une banque
16 073
Carte(s) de crédit
5 106
Prêt privé de la famille, d'amis
14 385
Autre genre de prêt
56 242
Q.24
Jusqu'à quel point étiez-vous endetté(e), le cas échéant, au moment où vous avez entamé vos études à la faculté de droit pour terminer vos études en droit?
(Indiquez toute dette personnelle, p. ex. un prêt, une marge de crédit, des cartes de crédit, ainsi que le montant approximatif)
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées
*
Montant de la dette de l'emprunteur (personne endettée) = Dette totale/personnes qui doivent de l'argent
78
Dettes encourues pendant les études
‹
Bien que 62 % des personnes interrogées aient commencé leurs études sans dette, seulement 22 % des personnes
interrogées mentionnent qu'elles n'ont contracté aucune dette d’études pendant leur séjour à la faculté de droit. Par
conséquent, plus des trois quarts des personnes interrogées ont contracté des dettes afin de compléter leurs études.
–
La différence dans les proportions d'hommes (20 %) et de femmes (23 %) et de membres de communautés visant l'égalité (24
%) et de non-membres (20 %), qui n'ont pas contracté de dettes durant leurs études n'est pas importante.
‹
Parmi ceux qui ont contracté des dettes durant leurs études, la moyenne du montant de la dette était de 45 246 $.
‹
Il n'y a pratiquement pas de différence entre le montant total en moyenne mentionné par les hommes (45 251$) et le
montant total en moyenne mentionné par les femmes (45 242$).
‹
Le montant moyen de dettes mentionné par les membres de communauté visant l'égalité (43 006 $) est légèrement plus
faible que le montant moyen de dettes mentionné par les autres personnes interrogées (46 583 $)
‹
Avec un pourcentage de 47 %, les prêts de la banque représentent la plus grande part de dette totale contractée durant
les études à la faculté de droit. Un peu plus de la moitié (52 %) des étudiants et étudiantes signalent avoir contracté un
prêt bancaire. L’endettement moyen à l’égard de la banque est de 31 828 $.
–
Les hommes (55 %) sont plus susceptibles que les femmes (50 %) de mentionner avoir contracté un prêt bancaire pour financer
leurs études en droit. Parmi ceux et celles qui mentionnaient un prêt bancaire, la moyenne d'endettement totale chez les
hommes (32 274 $) n‘est que légèrement supérieure à la moyenne chez les femmes (31 438 $).
–
Les membres de communautés visant l'égalité (46 %) sont beaucoup moins susceptibles que les non-membres (56 %) de
mentionner un prêt bancaire. Par contre, parmi ceux et celles qui dans chaque groupe ont contracté un prêt bancaire,
l'endettement moyen au sein des membres de communautés visant l'égalité (30 220 $) est légèrement plus faible que celui des
autres (32 647$).
79
Dettes encourues pendant les études
‹
‹
‹
Les prêts RAFÉO représentent la deuxième plus grande part de dettes contractées avec 26 %. Près de la moitié (49 %)
des personnes interrogées mentionnent avoir reçu de l'argent du RAFÉO durant leurs études en droit. La moyenne
d'endettement envers le RAFÉO parmi ceux et celles qui ont reçu un prêt de cette source est de 18 927 $.
–
Les hommes (49 %) et les femmes (49 %) sont également susceptibles d'avoir contracté une dette RAFÉO durant leurs études
en droit. En moyenne, parmi les endettés, la dette totale RAFÉO chez les hommes était de 18 690 $, alors que chez les
femmes, il s'agissait de 19 119$.
–
Tout comme entre les sexes, il n'y a pas de différence importante entre les membres de communautés visant l'égalité (47 %) et
les non-membres (50 %) dans les proportions de dette contractée du RAFÉO. En moyenne, parmi ceux et celles qui ont
contracté une dette, le total de la dette RAFÉO était légèrement plus élevé au sein de membres de communautés visant l'égalité
(20 277 $) que chez les non-membres (18 146 $).
Les « autres prêts du gouvernement » représentent une part de 10% de l'endettement total contracté durant les études.
Avec 15%, la proportion d'étudiants ayant eu recours à d'autres prêts du gouvernement est légèrement plus basse que les
proportions ayant eu recours à des prêts de banque et au RAFÉO. Le montant d'endettement en moyenne pour les autres
prêts du gouvernement est de 23 510$.
–
Encore une fois, les hommes (15%) et les femmes (14%) sont également susceptibles d'avoir contracté ce genre de dette. En
moyenne, pour les personnes ayant contracté cette dette, le montant total pour les autres prêts du gouvernement était
légèrement plus faible chez les hommes (22 362$) que chez les femmes (24 479$).
–
Il n'y a pas de différence dans les proportions de membres de communautés visant l'égalité (15%) et de non-membres (14%)
mentionnant avoir eu recours à un autre prêt du gouvernement. En moyenne, parmi ceux et celles qui ont mentionné ce type de
dette, le montant total de la dette pour les membres de communautés visant l'égalité (21 453$) est légèrement plus bas que le
la dette totale des non-membres (24 822$).
Les prêts privés de la part de la famille ou des amis représentent une part de 9 % de l'endettement total contracté durant
les études de droit. Les prêts privés ont été mentionnés par 17 % des personnes interrogées, avec une moyenne
d'endettement de 18 280 $.
–
Les hommes (17 %) et les femmes (18 %) mentionnent ce type de dette en proportions relativement égales. En moyenne, parmi
ceux et celles qui ont reçu un prêt de la part de la famille ou d'amis, la dette totale chez les hommes (20 040 $) est plus élevée
que chez les femmes (16 945 $).
80
Dettes encourues pendant les études
‹
‹
Les dettes de cartes de crédit représentent une part de 5 % de l'endettement total déclaré. Près d'un quart (24 %) des
personnes interrogées ont signalé avoir contracté une dette de carte de crédit, avec une moyenne d'endettement de 7 581
$.
–
Il existe une différence significative selon le sexe, car les femmes (26 %) sont plus susceptibles que les hommes (21 %) de
signaler une dette par carte de crédit. Par contre, sans tenir compte de la fréquence plus élevée de dettes par carte de crédit
chez les femmes, le montant total de la dette par carte de crédit parmi ceux et celles en ayant contracté une est en fait plus bas
chez les femmes (7 443$) que chez les hommes (7 797$).
–
Les membres de communautés visant l'égalité (23 %) et les non-membres (25 %) mentionnent avoir contracté une dette de
carte de crédit en proportions à peu près égales. Par contre, parmi ceux et celles qui ont mentionné cette dette, l'endettement
moyen est beaucoup plus élevé au sein des membres d'une communauté visant l'égalité (9 100 $) que chez les non-membres
(6 710$).
« Autre type de prêt » représente la dernière part, soit 3 % de l'endettement total. Encore une fois, la proportion de
personnes interrogées signalant ce type de prêt est faible (5 %), bien que la moyenne de la dette soit de 20 542 $.
–
Les femmes (6 %) sont plus susceptibles que les hommes (4 %) de signaler un « autre type de prêt ». En moyenne, parmi ceux
et celles qui ont mentionné ce genre de dettes, les femmes (21 102 $) mentionnent une dette totale légèrement plus élevée que
celles des hommes (19 583 $).
–
Il n'y a pas de différence entre les membres d'une communauté visant l'égalité (5 %) et les non-membres (5 %) dans le
signalement de ce genre de dettes. Par contre, parmi ceux et celles qui l'ont signalée, le montant moyen de la dette chez les
membres de communautés visant l'égalité (23 480$) est près de 50 % plus élevée que chez les non-membres (15 840 $).
81
Dettes encourues pendant les études
Échantillon total
n=
1303
%
Je n'avais aucune dette à la fin de mes études en droit
22
Montant de la dette
($)
Dette totale de l'emprunteur*
45 246
Prêt RAFÉO
18 927
Autre(s) prêt(s) du gouvernement
23 510
Prêt(s) d'une banque
31 828
Carte(s) de crédit
7 581
Prêt privé de la famille, d'amis
18 280
Autre genre de prêt
20 542
Q.25
Jusqu'à quel point avez-vous dû vous endetter, le cas échéant, pendant votre séjour à la faculté de droit pour terminer vos études en droit? (Indiquez toute dette
personnelle, p. ex. un prêt, une marge de crédit, des cartes de crédit, ainsi que le montant approximatif)
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées
*
Emprunteur (personne endettée) = Dette totale / personnes devant une somme d'argent
82
Effets des dettes
‹
Tant ceux et celles qui ont commencé leurs études de droit endettés que ceux et celles qui ont contracté des dettes durant
leurs études mentionnent que les dettes ont eu un certain impact négatif sur des aspects variés de leur expérience à la
faculté de droit et sur leur recherche de stage ainsi que d'emploi.
‹
Parmi les deux groupes de personnes interrogées, l’effet le plus important se faisait ressentir sur la recherche d’emploi.
‹
‹
–
38 % de ceux et celles qui ont commencé leurs études endettés, et 31 % de ceux et celles qui ont contracté des dettes durant
leurs études, indiquent que la dette a eu un fort impact lors de leur recherche d'emploi dans le domaine juridique.
–
De façon similaire, 33 % et 28 % respectivement mentionnent que la dette a eu un fort impact sur la recherche d'un lieu de
stage.
La dette a également eu un impact négatif sur la performance académique et les activités extra-scolaires :
–
23 % de ceux et celles qui ont commencé leurs études de droit endettés, et 18 % de ceux et celles qui ont contracté des dettes
durant leurs études mentionnent que la dette a eu un fort impact sur ces activités.
–
De façon moins prononcée, soit dans 14 % et 10 % des cas respectivement, les personnes interrogées suggèrent que la dette a
eu un impact négatif important sur leur rendement académique.
La dette conservée après la fin des études exerce également une influence sur les choix de carrière, avec 25 % des
personnes interrogées qui déclarent qu'elle a affecté ces choix de manière significative. Parmi les personnes qui
estimaient que la dette affectait les choix de carrière, près des trois quarts (73 %) ont mentionné que l'effet principal était
de mettre la rémunération en priorité d'une quelconque façon :
–
Près de la moitié (49 %) mentionne explicitement avoir cherché des emplois au salaire élevé, alors qu'un quart (24 %)
mentionne qu'un emploi aidant à payer la dette était nécessaire.
–
Pour certains et certaines (10 %), ceci signifiait que les emplois pro Bono ou liés à l’aide juridiques n’étaient plus accessibles.
Ces personnes se sentaient obligées de choisir un emploi qui correspondait moins à leurs préférences, ce qu’elles n’auraient
pas fait si elles n’avaient pas eu de dettes.
83
Effet des dettes (endettement depuis l'entrée à la faculté)
Total, effet
substantiel /
négligeable
%
Votre recherche de stage
29
33
Votre recherche d'emploi
dans le domaine juridique
25
38
Votre implication dans des
activités hors-programme
Votre rendement
académique
Le choix des domaines de
droit étudiés
15
9
La durée mise à
parachever le programme
6
7
0%
10%
32
19
57
17
73
12
1
2
20%
Effet substantiel
Aucun effet
cable, refus de répondre
30%
40%
50%
62
63
1
58
1
48
2
24
2
13
92
7 1
Autres
26
15
34
14
20
16
35
23
22
15
8
60%
Effet important
Ne sait pas, non applicable,
70%
80%
90%
100%
Pas trop d'effet
Bar 6
Q.28
Jusqu'à quel point, le cas échéant, la dette que vous aviez pendant vos études de droit a-t-elle porté préjudice à l'un ou plusieurs des éléments qui suivent?
Niveau de référence :
Personnes endettées dès le début de leurs études (n=496)
84
Effet des dettes (endettement au cours des études)
Total, effet
substantiel/
négligeable
%
Votre recherche de stage
28
Votre choix d'emploi dans
le domaine juridique
29
31
Votre implication dans des
activités hors-programme
26
18
Votre rendement
académique
Le choix des domaines de
droit étudiés
La durée mise à
parachever le programme
6
6
0%
26
2
1
41
2
59
11
3
75
5 11
Autres
15
34
16
14
1
21
26
8
27
17
30
10
15
2
20%
30%
40%
50%
Effet substantiel
Effet substantiel
Ne sait pas, non applicable, refus de répondre
57
48
36
22
12
6
93
10%
57
60%
70%
80%
90%
100%
Effet important
Aucun effet
Q.28
Jusqu'à quel point, le cas échéant, la dette que vous aviez pendant vos études de droit a-t-elle porté préjudice à l'un ou plusieurs des éléments qui suivent?
Niveau de référence :
Personnes interrogées qui se sont endettées durant leurs études (n=1017)
85
Influence de la dette sur le choix de carrière
TOTAL Effet substantiel /
modéré
46
Effet substantiel
25
Effet modéré
21
Effet négligeable
17
Aucun effet
37
TOTAL Effet négligeable \
aucun effet
54
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Q.29
Jusqu'à quel point, le cas échéant, la dette que vous aviez après avoir quitté la faculté de droit a-t-elle influencé votre choix de carrière?
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées (n=1303)
86
Effet de la dette sur le choix de carrière
Échantillon total
n=
817
%
Recherche d'emplois largement rémunérés / au salaire élevé
49
Avait besoin d'un emploi pour payer ses dettes
24
Ne pouvait pas choisir de poste stagiaire pro bono / d'aide juridique / non-payé
10
Devait trouver un emploi dans un grand cabinet corporatif / commercial / dans un cabinet de Bay Street
9
Avait besoin d'un emploi aussitôt / A accepté la première offre venue
9
Accepté un emploi qui ne représentait peut-être pas le premier choix au plan du domaine d'intérêt
8
Incapable d'exercer dans le milieu de son choix / A dû se relocaliser
7
Incapable de chercher un emploi dans le secteur public
6
Recherche d'emploi stable / avec sécurité d'emploi
5
Recherche de postes moins intéressants mais plus lucratifs
3
Incapable de poursuivre ses études
3
Choix limités / incapable d'être difficile sur le plan de l'emploi
3
Devait rechercher de l'emploi dans le secteur privé
2
Incapable de choisir d'être à son propre compte
2
Toute autre mention (égale à ou moins de 1 %)
3
Aucune / Pas de réponse / Ne sais pas
5
Q.30
Veuillez décrire de quelle façon la dette a influencé votre choix de carrière.
Niveau de référence :
Ceux dont la dette a influencé leur choix de carrière
87
Faire face au fardeau de dette étudiante
‹
La connaissance des programmes relatifs au fardeau de la dette étudiante semble limitée, car moins de la moitié des
personnes interrogées (48 %) était au courant de l'existence de tels programmes à la faculté de droit qu'ils fréquentaient.
En général, il n'y a pas de différence statistique en connaissance entre les hommes (50 %) et les femmes (46 %). Par
contre :
–
Les membres de communautés visant l'égalité (43 %) sont beaucoup moins susceptibles que les non-membres (51 %) à
mentionner ne pas être au courant de ces programmes.
–
Par contre, tant ceux et celles qui étaient endettés dès le début de leurs études (55 %, contrairement à 44 % parmi ceux et
celles qui n'avaient pas de dette à leur entrée en faculté) que ceux et celles qui ont contracté des dettes durant leurs études (54
% contrairement à 25 % parmi la faible minorité qui n'a pas contracté de dettes durant ses études) signalent une connaissance
beaucoup plus poussée de ce genre de programmes. Nous présumons que les personnes interrogées qui avaient besoin de
recourir à ce genre de programme ont fait le nécessaire pour savoir ce qui était disponible.
‹
Parmi ceux et celles qui étaient au courant de ces programmes, un peu plus de la moitié (54 %) y ont recouru, 28 %
n'étaient pas admissibles et 18 % n'y ont pas eu recours.
‹
Parmi ceux et celles qui ont eu recours au programme, plus de la moitié (52 %) mentionnent que moins de 20 % de leur
dette a été allégée, et la plus grande proportion (36 %) mentionne que moins de 10 % de leur dette a été allégée.
‹
30 % ne savent pas à quel point leur dette a été allégée.
‹
Parmi ceux et celles qui ont demandé un allégement de la dette conformément aux programmes mais dont les demandes
furent refusées, la raison la plus souvent mentionnée est que leur besoin d'allégement n'était pas suffisant. Plus de la
moitié (55 %) mentionnent que la raison était leur salaire trop élevé (28 %) ou qu'ils avaient des biens (10 %), que les
revenus de leurs parents étaient trop élevés (12 %) ou que le revenu de leur conjoint ou conjointe était trop élevé (5 %).
Pour 13 % la raison était que leur dette n'était pas assez importante, et 5 % n’étaient pas qualifiés pour le RAFÉO (ce qui
signifie que pour certains programmes d'allégement de la dette, il s’agit d’une condition d’admissibilité).
‹
Parmi les 18 % qui connaissaient les programmes et ont choisi de ne pas les utiliser, la raison principale était soit qu'ils
88
Information et programmes s'adressant au fardeau de la dette
étudiante en faculté de droit
Échantillon total
%
La faculté de droit a-t-elle un programme d'allégement de la dette?
n = 1303
Oui
48
Non
14
Pas certain(e)
38
Avez-vous utilisé ce programme?
n = 625
Oui
54
Non
18
Non-admissible
28
Q.32
Est-ce que la ou les facultés de droit que vous avez fréquentées offraient soit un programme formel ou informel d'allègement de la dette ou d'exonération ou
remboursement des prêts, comme un programme d'exonération des frais de scolarité?
Niveau de référence :
Toutes les personnes interrogées
Q.33
Avez-vous eu recours au programme?
Niveau de référence :
Personnes interrogées au courant d'un programme formel ou informel d'allégement de la dette à la faculté de droit qu‘elles fréquentaient.
89
Pourcentage global d'allègement de la dette
1
0%
36
1 – 9%
16
10 – 19%
10
20 – 29%
4
30 – 39%
40 – 49%
1
50 – 59%
1
60 – 99%
<1
30
Ne sait pas
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Q.33
Avez-vous eu recours au programme? Si oui, veuillez indiquer le montant de votre dette exonérée et le pourcentage global de votre dette qu'il représente.
Niveau de référence :
Personnes interrogées ayant eu recours au programme (n=337)
90
Raisons pour ne pas appliquer au programme
Échantillon total
n=
111
%
Pas de dette / pas nécessaire
41
Non-admissible
19
Ne pensait pas être admissible
12
D'autres en avaient plus besoin
8
Pas assez d'allègement / n'en vaut pas la peine
6
Pas au courant des programmes / de son éligibilité au programme
5
Refusé / application non concluante
4
Autre raison
11
Ne sais pas / ne se souvient pas
3
Aucune réponse
4
Q.33
Avez-vous eu recours au programme? Sinon, expliquez pourquoi vous n'avez pas eu recours au programme .
Niveau de référence :
Ceux qui n'ont pas eu recours au programme
91
Raisons empêchant l'admission au programme
Échantillon total
n=
177
%
Revenu trop élevé
28
Critères non rencontrés / non-admissible
14
Pas suffisamment de dettes
13
Revenus des parents trop élevés
12
Biens ou atouts (REER, épargnes, voiture)
10
Revenus du conjoint trop élevé
5
Non-qualifié(e) pour RAFÉO
5
Possédait un prêt bancaire
3
CNEDD/Hors de la province/Étudiant étranger
3
Autre raison
10
Ignore la raison
4
Q.33
Avez-vous eu recours au programme? Si vous n'étiez pas admissible au programme, veuillez expliquer pourquoi c'était le cas.
Niveau de référence :
Ceux qui n'étaient pas admissibles au programme
92