Voyage - La Fabrique Imaginaire

Transcription

Voyage - La Fabrique Imaginaire
Voyage
De Eve Bonfanti et Yves Hunstad
Production : La Fabrique Imaginaire
Coproduction Théâtre de la Balsamine de Bruxelles,
Groupe des 20 Théâtres en Ile de France
Partenaires de création : Espace Jules Verne de Brétigny-sur-Orge, Théâtre Paul Eluard de Choisy-le-Roi,
Hexagone de Meylan, Centre culturel de Dinant, les Théatrales Charles Dullin, Théâtre Jean Vilar de
Suresnes, Théâtre du Pays de Morlaix.
Avec l’aide du Ministère de la Communauté française de Belgique-service du théâtre et du Service de la
Promotion des Lettres.
VOYAGE - Premier Episode.
« Voyage » est l’histoire imaginaire de divers personnages qui évoluent sans cloison dans
différents couloirs du Temps : un généticien qui donne une conférence sur l’ADN, une
sexologue qui s’interroge sur l’amour et suit le généticien jusqu’à Barcelone, un musicien
québécois qui débarque à l’instant à l’aéroport et une actrice qui semble concevoir et
présenter le spectacle mais qui étrangement, vient d’avoir un accident de voiture… Dans quel
monde voyage-t-elle ? On ne sait pas si elle est morte, si elle est dans le coma, si on est dans
son rêve ou si c’est elle qui imagine cette histoire comme étant celle de son prochain
spectacle.
Ajoutez à cela un pilote d’avion qui est le régisseur du spectacle et une violoniste d’à peine
vingt ans mais qui par le jeu du temps est aussi la mère de l’actrice adulte.
Les personnages déambulent dans des temps où les forces du passé et du présent se
mélangent. C’est ainsi qu’ils déambulent, se croisent et se rencontrent pour nous entraîner
dans un monde aux repères changeants. Les heures se décalent, les espaces entrent en
collision et des combinaisons imprévues se forment qui sont autant de points de vue sur
notre perception de la vie.
Il sera question d’un « voyage » à vivre avec le public, avec le temps comme maître d’œuvre,
celui-là même qui nous rassemble et nous sépare.
Voilà pour la trame de l’histoire, mais si vous avez vu « Du vent des Fantômes » ou « Au
bord de l’eau », vous savez qu’il n’est pas possible de résumer une pièce d’Eve Bonfanti et
Yves Hunstad. Il faut juste se laisser porter, juste prendre le temps du voyage…
Avec
Eve Bonfanti, Katia Ponomareva, Lola Bonfanti, Yves Hunstad,
Etienne Van der Belen, Valère Le Dourner
Conception et réalisation
Eve Bonfanti et Yves Hunstad
Compositions originales
Lola Bonfanti
Direction technique et régie
Valère Le Dourner
Déléguée de production
Sylviane Evrard
Etapes de création de « Voyage, premier épisode »
Première résidence d'écriture et présentation le 30 novembre 2004 au Théâtre de Rungis
(Île-de-France) devant le Groupe des 20 Île-de-France.
Deuxième résidence d'écriture le 28 février à Bourgoin Jallieu (Rhône-Alpes) devant le
Groupe des 20 Rhône-Alpes.
Troisième résidence d'écriture avec présentation le 8 mars 2005 à l'Espace Jules Verne de
Bretigny-sur-Orge (Île-de-France), devant le public du théâtre.
Quatrième résidence d'écriture : trois semaines en Corrèze en vue de la présentation du 8
novembre 2005 à Choisy-le-Roi (Île de France) devant le groupe des 20 et d'autres
producteurs de théâtre.
Présentation publique le lundi 14 novembre 2005 à l'Hexagone de Meylan (Rhône-Alpes).
Cinquième résidence : dix jours à Dinant (Belgique) en partenariat avec le Centre culturel
régional. Présentation publique le jeudi 12 janvier 2006.
Sixième résidence : cinq jours en mars 2006 au Théâtre-Cinéma de Choisy-le-Roi (Île-deFrance). Présentation publique le 10 mars 2006.
Septième résidence : quatre jours au Théâtre Jean Vilar de Suresnes (Île-de-France).
Présentation publique le jeudi 27 avril 2006.
Huitième résidence : du 4 au 16 juin 2006 au Théâtre du Pays de Morlaix (Bretagne).
Présentation publique le vendredi 16 juin à 20h.
Neuvième résidence : du 12 au 16 février et du 26 février au 1er mars 2007 au Théâtre de la
Balsamine (Bruxelles).
Dixième étape : représentations de Voyage – Ier épisode au Théâtre de la Balsamine du 24
avril au 19 mai 2007
Perspectives…
Nous souhaitons continuer à construire le spectacle en partenariat avec des lieux susceptibles
de nous accueillir pour une période de résidence de minimum dix jours.
Un devis détaillé vous sera adressé sur demande.
Périodes disponibles pour la saison 08-09 :
Octobre & novembre 08
Mars 09
D’autres périodes sont envisageables selon vos possibilités.
Tournée 2007-2008
Du vent… des Fantômes
Du 7 septembre au 28 octobre : Théâtre du Rond Point – Paris (75)
Dimanche 18 novembre : Théâtre des Chalands – Val de Reuil (27)
Le 22 et 23 mars : Théâtre des Bergeries – Noisy le Sec (93)
Du 20 au 24 mai : La Balsamine – Bruxelles (Belgique)
Au Bord de L’eau
Vendredi et samedi 7 et 8 mars : Moulin de Saint-Denis (Belgique)
Mardi 11 mars : Théâtre de Beaune – Beaune (21)
Mercredi 12 mars : Espace Culturel Louis Aragon – Saint-Vallier (71)
Mardi 18 mars : Centre Culturel Sidney Bechet - Garches (92)
Jeudi 20 mars : Théâtre Firmin Gémier – Antony (92)
Mardi 25 mars : Théâtre 95 – Pontoise (95)
Voyage – Premier Episode
Du 5 au 10 novembre : Maison de la Culture - Tournai (Belgique)
Le 14 et 15 mars : Théâtre de l’Ouest Parisien – Boulogne-Bill. (92)
Le 15 mai : Scène du Jura - Théâtre de Lons-le-Saunier (39)
Les 3 & 4 juin : Théâtre de Verdun – Verdun (55)
Du 24 au 26 juin : Centre Marius Staquet - Mouscron (Belgique)
Extraits de presse
Le puzzle de la conscience
Eve Bonfanti et Yves Hunstad jonglent avec la perception du temps et les spirales de la
conscience : un décoiffant Voyage !
N’accrochez pas vos ceintures, laissez filer la pensée dans les détours de ces deux inimitables
fabricants-philosophes de l’illusion que sont Eve Bonfanti et Yves Hunstad. Leur Voyage traverse
toutes les cloisons.
Scène, salle ? Les comédiens passent de l’une à l’autre, et le spectateur se retrouve tour à tour voisin
d’une sexologue, d’un généticien végétarien, d’une violoniste… Présent, passé, futur ? Le télescopage
est garanti. Réalité, rêve ? Même porosité entre les différents niveaux de conscience… Sommes-nous
dans un avion, dans un congrès, dans un studio d’enregistrement, dans la tête de cette femme qui
nous dit d’emblée qu’elle a eu un accident de voiture (mortel) ? A vos puzzles ! Le plaisir titille tant les
neurones que les zygomatiques.
Car ce Voyage est un vrai moment de théâtre qui donne l’impression de s’enfanter devant nous, sur un
plateau vide, ou presque : un tabouret, un verre d’eau, trois valises, une toile d’écran pour vivre, du
cockpit, un atterrissage problématique. Le reste est affaire d’imagination, et elle est grandiose chez nos
artistes, nourrie de science et de conscience.
Car, en filigrane de la scène, courent d’authentiques questions sur la destinée humaine, ses choix et ses
hasards, sur ce long parchemin que déroule notre ADN à travers la nuit des temps, bien au-delà de
notre dernier souffle. Un bienfait inestimable, à partager avec Eve et Lola Bonfanti, Katia Ponomareva,
Yves Hunstad, Etienne Van der Belen et Valère Le Dourner, tous formidables.
Michèle Friche, Le Vif/L’Express, 04/05/07
Théâtre / Un vertigineux « Voyage » à la Balsamine
La tragédie cosmique
Rien dans les mains, rien dans les poches, tout dans l’imaginaire. Au Théâtre de la Balsamine, à
Bruxelles, Eve Bonfanti et Yves Hunstad nous emmènent pour un Voyage exceptionnel, à la lisière du
rêve, de la science, de la vie et de la mort.
Pendant une heure trente, le temps se détend. Est-on hier, aujourd’hui ou demain ? Est-on au théâtre,
dans un avion ou dans la conscience du personnage principal ? Accrochez-vous. Il y a quelques trous
d’air dans le récit, qui s’effiloche et s’emberlificote parfois. Mais soyez sûr d’une chose : ce Voyage est
dépaysant. On en ressort comme d’un rêve éveillé.
Depuis 20 ans, Bonfanti et Hunstad prouvent qu’on peut donner le vertige au public avec les mains
dans les poches. Tout a commencé en 1988, avec la bouleversante Tragédie comique qui fit naître un
genre : la poésie concrète, où les mots les plus légers créent une réalité à laquelle on croit dur comme
fer.
On peut dire qu’avec Voyage , on passe à la tragédie cosmique. D’abord, les deux étoiles agrandissent
leur constellation, avec quatre nouveaux acteurs. Ensuite, le sujet n’est plus seulement le théâtre,
comme dans Au bord de l’eau, leur précédente création. Ici, on plonge dans les mystères de la
génétique, dans les hasards qui fondent la vie, dans l’intuition scientifique.
L’aléatoire pour constante
Voyage mélange plusieurs degrés de fiction. Le spectacle commence avec quinze minutes de retard.
« »Il est 21h15, dit Yves Hunstad. Mais comme on avait prévu de commencer à 21H20, on n’est pas en retard,
on est en avance ! » Bien sûr, la représentation a déjà commencé… puisque l’acteur nous cause. Premier
décalage. Eve Bonfanti s’assied ensuite sur un tabouret, pour nous confier qu’elle a eu un petit
problème : elle a été renversée par une voiture en sortant d’une conférence sur la génétique, hier. Elle
est morte sur le coup.
Le spectacle pourrait s’achever ? Oui, mais il va remonter le temps, dévoiler les protagonistes de
l’aventure et ouvrir des tiroirs à l’infini. On verra la conférence en question, animée par un scientifique
(l’excellent Etienne Van der Belen). Des personnages inattendus vont se mettre à parler parmi nous,
dans la salle, comme une sexologue (Katia Ponomareva). On va prendre l’avion tous ensemble, piloté
par le régisseur (Valère Le Dourner), frôler le crash et défier le passé, avec la mère de l’héroïne (Lola
Bonfanti, la fille d’Eve qui joue sa mère !).
L’aventure est affolante. Le vrai sujet est un voyage au cœur de la conscience. Que percevons-nous ?
D’où venons-nous ? Comment se fait-il que nos chromosomes se souviennent d’aïeux dont nous ne
savons rien ? « L’aléatoire entre dans la composition de notre présent », dira Eve Bonfanti, pour un
spectacle qui n’évite pas tous les clichés. Ce puzzle géant sent encore un peu la peinture et doit
s’assouplir, mais le comble, c’est que rien n’y est laissé au hasard.
Laurent Ancion, Le Soir, 26/04/07
Conditions financières pour deux représentations
L’équipe
L’équipe est composée de 7 personnes : 5 comédiens et deux régisseurs. La première
représentation a lieu le lendemain du deuxième jour de montage. L’équipe repart le
lendemain (début d’après-midi) de la dernière représentation
Frais de séjour : repas - logement
Défraiements au tarif Syndeac pour 7 personnes
Arrivée J-3 en soirée pour 5 personnes
Arrivée J-1 dans l’après-midi pour 3 personnes
Frais de déplacement de l’équipe et du décor
1€du kilomètre aller-retour au départ de Bruxelles.
Affiches
La Fabrique Imaginaire fournira 50 affiches du spectacle. Les affiches supplémentaires
seront facturées 0,8 € + frais de port.
Cachet du spectacle
le cachet artistique de la première représentation est de 5600 € et de 2800 € pour la
seconde représentations, soit 8400 euros pour deux représentations.
Les représentations supplémentaires sont à 2800 €.
Droits d’auteur
Ils seront perçu par à la S.A.C.D sur base d’un minimum de 10 % du prix du cachet.
Fiche technique
L'Equipe
Eve Bonfanti, actrice, auteur-concepteur, scénographe.
Yves Hunstad, acteur, auteur-concepteur, scénographe.
Katia Ponomareva, actrice.
Etienne Vanderbelen, acteur.
Lola Bonfanti, actrice, composition musicale.
Valère Le Dourner, acteur, direction technique, régisseur son.
François Ridard, régisseur lumière et vidéo
Sylviane Evrard, déléguée de production.
Caractéristiques du spectacle
La scène et la salle du théâtre tiennent lieu de décor et d’espace de jeu, les comédiens évoluent à vue ou non,
de l’une à l’autre pendant toute la durée du spectacle. Pour cela, il est nécessaire pour la circulation des acteurs
de disposer si nécessaire d’escaliers de nez de scène à cour et à jardin mais aussi en coulisses, de circuler de
cour à jardin et inversement sans être à vue, de passer derrière le rideau de fond et enfin d’avoir la possibilité
de sortir et d’entrée par les portes d’accès de la salle. Six fauteuils dans les rangs du public sont à réserver
avant le début de la représentation comme espace de jeu pour les comédiens.
Rideau de fond et pendrillons noirs à l’italienne avec 4 accès à cour et jardin et si nécessaire en fonction des
découvertes : un deuxième pendrillonnage à l’allemande (lesté en partie : cf effet machines à vent) à cour et à
jardin avec couloir pour la circulation non à vue des comédiens.
Plancher sombre, mat et lisse. Si celui-ci est trop « fatigué » alors tapis de danse.
La scénographie sur scène se compose d’un tabouret et d’une toile blanche de 5m x 3,6 m (apporté par la
compagnie) suspendue à une perche noire montée sur poulie et manipulé par un comédien à vue depuis les
coulisses à la cour. Au début du spectacle, la perche et la toile sont posées au sol et dissimulées derrière le
rideau de fond
L’espace de jeu sur le plateau est cerné et délimité par 3 séries de projecteurs PAR 64 sur platines au sol à
cour et à jardin et sous perchés au lointain devant le rideau de fond, à l’aide de 2 perches noires proches du sol
et laissant une ouverture centrale pour le passage d’une comédienne.
Un espace dégagé est nécessaire en coulisse 4/5 de scène côté jardin, pour une double machine à vent (apporté
par la compagnie) à commander depuis le jeu lumière.
La régie lumière, son et vidéo qui tient lieu de décor également est à placer dans la salle au milieu du public sur
une table réglable (apporté par la compagnie) à un emplacement adéquat au milieu des fauteuils, avec un micro
sur pied et deux sièges pour les régisseurs. Une adaptation particulière est à envisager pour l’éclairage public
de la salle car celui-ci participe activement à la conduite lumière.
Un projecteur vidéo (apporté par la compagnie) est à placer dans la salle au-dessus du public sur un plateau
réglable (apporté par la compagnie) pour une projection frontale sur la toile sur perche. La commande de cet
appareil se fait en direct depuis la régie lumière dans la salle.
Description du matériel demandé à L'ORGANISATEUR
Décor :
Boite noire à l’italienne, avec double pendrillonnage lointain cour et lointain jardin et en partie lesté
pour limité son soulèvement au moment de l’effet machine à vent.
Un espace en coulisse pour placer la machine à vent non à vue à 4/5 de scène côté jardin.
Le rideau de fond avec ouverture centrale et accessible à l’arrière pour le passage d’une comédienne.
Deux perches noires de 5 m au lointain devant le rideau de fond pour les projecteurs Par 64, avec
une ouverture centrale.
Une perche noire de 5m 20 sur poulie avec une commande en coulisse côté cour :
à équiper d’une toile blanche (apportée par la compagnie) de 5m de large sur 3m 60 de haut, avec
lichettes, légère et opaque.
Escaliers de nez de scène à cour et à jardin :
pour permettre aux comédiens d’évoluer de la scène à la salle et vice-versa.
Portes d’accès aux coulisses des loges au plateau et salle :
pour permettre aux comédiens d’évoluer de la scène à la salle et vice-versa.
La régie lumière/son/vidéo à installer dans la salle au milieu du public :
une table d’appoint pour la console lumière, 2 sièges, 1 pied de micro avec perchette,
2 lampes de régie,
un outillage minimum.
Description du matériel apporté par LE PRODUCTEUR.
Son :
Table digitale Yamaha 01V/68
5 micros HF
Vidéo :
1 projecteur vidéo, un shutter DMX à raccorder sur un circuit du jeu
d’orgue, un plateau réglable de fixation à placer en hauteur dans la salle
Effet spéciaux :
Une double machine à vent (vitesse : 2 x 13,000 m3/h – tension d’alimentation :
230V/50Hz/3,4A – puissance absorbée : 0,6 kW) sur son support amovible,
à raccorder sur un circuit du jeu d’orgue
Accessoires :
Une toile blanche de 5m x 3,6m avec lichettes de fixation, un tabouret, des papiers, un téléphone
portable, un verre à eau, une tasse en plastique, des valises et des sacs, un livre, un violon…Une
table réglable en hauteur pour la régie son.
Costumes :
les acteurs sont chacun responsable de leur costume.
Précisions techniques pour l'éclairage et le son.
La régie lumière son et vidéo: dans la salle au milieu du public. Emplacement exact à déterminer sur place
L'éclairage consiste en des latéraux, des contres, des faces, des solos sur scène et dans le public, notamment
vers certains fauteuils réservés pour les acteurs et quelques points spéciaux dans la salle, précision de
l’éclairage public de la salle. Deux perches à vue en position basse au lointain équipée de 10 PAR 64 en
contre et aussi 6 PAR 64 sur platines au sol à cour et jardin qui ensemble délimite l’espace de jeu sur le
plateau.
Matériels demandés :
-Eclairage
Un jeu d'orgue de 48 circuits de 2 kW
Pupitre à mémoires avec sous-groupes
1 projecteur 5 KW Fresnel avec volets
2 projecteurs 2 KW Fresnel avec volets
8 projecteurs PC 2 KW avec volets 4 faces
21 projecteurs PC 1KW
2 découpes 2 KW focale courte (type RJ 713)
10 découpes 1 KW focale courte (type RJ 613)
1 découpe 2 KW focale moyenne avec iris (type RJ 714)
10 découpes 1 KW focale moyenne avec iris (type RJ 614)
24 PAR 64 CP 61
5 PAR 64 CP 62
2 PAR 36 ou BT 250W
14 platines pour PAR 64.
-Son
2 lecteurs Mini Disc avec auto pause
1 lecteur CD avec auto pause et single repeat
1 micro voix et pied perchette
Diffusion salle stéréo habituelle, plus 2 ou 3 enceintes retours fond de scène suspendues
au lointain, 2 ou 3 enceintes accrochées dans la salle à l’aplomb du public
-Vidéo
1 lecteur DVD performant sans affichage à l’écran des commandes, 1 petit moniteur retour vidéo avec
commutateur
Loges
4 ou 5 loges chauffées pouvant accueillir toute l'équipe. Douche, savon et serviettes éponges.
Un fer et une planche à repasser. Des cintres pour les costumes
Boissons : café, thé, eaux minérales, jus, fruits et fruits secs bios seront les bienvenus.
Planning et personnel
1er Jour:
9h-12h30 : Repérage et organisation de l'espace (1h avec le régisseur général)
Installation boite noire et pendrillonages, sous perchage et écran
(1 régisseur plateau, 1 machiniste et 1 cintrier si nécessaire)
Montage lumière (1 régisseur lumière et 2 électriciens)
14h-18h :
Suite montage lumière, montage son, installations des régies dans le public,
réglage lumière
(1 responsable technique, 1 régisseur son, 1 régisseur lumière, 2 électriciens)
19h-22h :
Fin des réglages lumière, mise en place vidéo projecteur et essais,
raccords techniques, test son
(1 responsable technique, 1 régisseur son, 1 régisseur lumière, 2 électriciens)
2ème Jour:
10h-12h30 :
14-18h :
Finitions décor, circulations coulisse, effet machine à vent, conduite lumière, raccord
comédiens
(1 responsable technique, 1 régisseur lumière, 1 régisseur plateau)
Essais son, hf comédiens
Raccords jeu et répétition générale
(1 régisseur lumière, 1 régisseur plateau, 1 régisseur son)
Démontage
A l'issue de la dernière représentation. Durée: environ 60 min.
(1 régisseur lumière, 1 régisseur plateau, 1 régisseur son)
Contacts
Direction technique
: Valère Le Dourner
tél :+32 2/502 57 19
Mob :+32 479/413 611
[email protected]
Régisseur lumière et vidéo : François Ridard
tél : 003306 09 44 17 94
[email protected]
Production : La Fabrique imaginaire
90, rue des Tanneurs
1000 Bruxelles
[email protected]
Administratrice : Sylviane Evrard
tél + 32 2/ 213 70 83
Mob + 32 476/ 877 287
La Fabrique Imaginaire
A partir de 1980…
Deux artistes se lancent seuls dans l’écriture de leurs spectacles.
Et après Hello Joseph! et Gilbert sur scène pour Yves Hunstad, Madame P, Concert à la Carte
et Dialogue d’une prostituée avec son client pour Eve Bonfanti, ils se rencontrent pour
écrire et concevoir des spectacles ensemble.
La Tragédie Comique
Nous décidons de nous lancer librement, sans limite de temps et donc au départ sans
producteur, dans l’écriture théâtrale.
Tout en utilisant l’improvisation et la libre inspiration poétique, nous souhaitons construire
un texte dont l’architecture complexe proposerait un support à l’explosion du jeu.
C’est la naissance, un an plus tard, de La Tragédie Comique créée à l’Atelier Saint Anne et
qui s’impose dans le monde du théâtre comme étant l’épanouissement de toute une démarche
et la concrétisation de la rencontre entre deux artistes.
L’existence du spectacle sera longue et intense ; elle s’étalera sur huit années et comptera des
centaines de représentations dans de nombreux théâtres et festivals en Belgique, en France
(dont 65 représentations aux Bouffes du Nord), en Italie, en Espagne, en Pologne, en Suède,
au Canada, à Cuba et au Nicaragua.
« Son art de la scène est exceptionnel et sa maîtrise du verbe hors du commun. Aux Bouffes du
Nord, il est, entre comique pur et tragique dur, un fabuleux personnage en quête d’acteur… »
Le Monde, Paris.
« Trois mots, trois mimiques, il tient la salle… Il y a un homme, surtout, Yves Hunstad, qui
embarque tout seul pour des mondes imaginaires sur un radeau à voile rouge. »
L’Express, Paris.
« … Une incroyable présence qui a permis à ce jeune comédien belge d’accrocher les
spectateurs à chacun de ses soupirs pendant deux heures. »
Jean Beaunoyer, La Presse, Montréal.
«… C’est un superbe duel, tout en finesse, en intelligence, en humour… Ce petit spectacle
de rien du tout qui tient dans une valise envisage dans sa simplicité même toute l’histoire du théâtre…
Peut-être le plus bel acteur qu’on ait vu sur une scène de théâtre depuis longtemps… »
Robert Lévesque, Le Devoir, Montréal.
« Extraordinaire Yves Hunstad ! Ce virtuose joue avec justesse de toutes les cordes de l’âme…
Son spectacle restera pour nous une inoubliable leçon de jeu et de théâtre, une leçon qu’on boit comme
un élixir de jeunesse. Une leçon qui agira longtemps en nous parce qu’elle colle d’un amour aussi
sincère du théâtre de la vie que de la vie au théâtre.»
Jean St-Hilaire, Le Soleil, Montréal.
« Dans le spectacle donné à Bialystok, Hunstad a entraîné dans son jeu, avec le charme d’un
clown intelligent Violetta qui traduisait le texte et le technicien qui travaillait à la lumière. Il n’est pas
exagéré de dire que ces grandes notions théâtrales ont été lues ici d’une façon nouvelle. »
Andrzej Koziara, Kurier Podlaski, Bialystok.
Du vent…des fantômes
Après plus de 500 représentations à travers le monde, nous décidons d’arrêter les tournées de
La Tragédie Comique pour nous consacrer à de nouveaux projets. Notre souhait est
désormais de maîtriser la majeure partie de nos productions.
Nous acceptons en 1996 de la part du Théâtre de la Balsamine la proposition d’une carte
blanche pour entamer la conception de Du vent…des fantômes. Après une première période
de recherche de plusieurs mois passée au Théâtre de la Balsamine, le temps d’écriture et de
création de ce nouveau spectacle se poursuit durant deux saisons, de résidence d’écriture en
résidence d’écriture, dans plusieurs théâtres en France.
En 1998, c’est la création de Du vent…des fantômes . Ce spectacle devient pour nous
l’exemple d’une manière de faire. La production s’adapte à notre méthode de travail et nous
imposons l’idée qu’une création, en ce qui nous concerne, s’envisage sur un long terme. C’est
seulement dans ces conditions que nous pouvons mettre au jour un spectacle abouti dont la
vie est florissante.
Depuis sa création, Du vent…des fantômes tourne en Europe, en Amérique et en Australie.
Lorsqu’on évoque « deux saisons d’élaboration » pour un spectacle, il ne s’agit pas d’une
recherche expérimentale en vase clos dont le but serait le résultat de l’expérience réservé aux
expérimentateurs. Il est question ici de la proposition d’un théâtre pour des publics différents
et nombreux et ce dès l’initiative du projet.
Le public est impliqué dans la création dès le départ et est concerné par un spectacle comme
Du vent…des fantômes pendant une période qui couvre cinq saisons.
Durant les deux premières saisons de conception et de mise au point, Du vent…des fantômes
a donné lieu à 34 représentations, ce qui signifie qu’environ 4000 spectateurs ont participé et
assisté à sa fabrication.
Ensuite au cours des cinq saisons suivantes s’ajoutent plus de 200 représentations dont une
petite centaine à l’étranger.
Le spectacle a reçu le prix de la critique du Conseil des Arts du Canada.
« Un vrai bijou, le dernier spectacle d’Eve Bonfanti et Yves Hunstad. /…/ Qu’il suffise de dire
qu’on ne s’ennuie pas une seconde au cours de cette représentation. /…/Chahutant tous les codes de
la convention théâtrale, /…/ ils débouchent sur de véritables moments poétiques. »
Philip Tirard, La Libre Belgique, septembre 1999
« C’est une soirée magique, inhabituelle, inattendue, des instants trop courts entre rêves et
réalité où l’espace d’un soir, le public entre en scène. Il n’est d’histoire que celle du temps que l’on ne
voit pas passer, d’une aventure…entre vent et fantômes. »
Claire Leuris, La Revue Générale, octobre 1999
« Avec Du vent…des fantômes, ils (Eve Bonfanti et yves Hunstad) exhibent le fil de l’illusion
et autres ficelles de la scène ; ils partent du simple fait d’être là, acteurs et spectateurs réunis sur les
planches, à observer au plus vrai quand et comment naît le théâtre. Et il naît car ces deux magiciens
de la présence nous apprennent à faire confiance aux fantômes qui hantent les cintres, au vent de
l’imaginaire qui réinvente la vie. »
Le Vif/L’Express, septembre 1999
« Fusion et friction, ils jouent leur rôle et d’autres rôles, ils impliquent le public dans leur
jonglerie de l’esprit, dans leur glissement permanent entre prosaïque et poétique. Ils montrent que le
théâtre est l’affaire de conventions et de choix parmi une infinité de possibles. »
Françoise Nice, Culture Matin, R.T.B.F., octobre 1999
« Un spectacle surprenant et déroutant qui ravira tous ceux qui se sont déjà frottés au jeu
théâtral et séduira les autres. »
Grégory Bergez, Coups de théâtre, octobre 1999
« La fable mime étrangement la réalité… On ne sait plus si cette intimité est feinte ou réelle, si
ce qu’ils nous proposent ce soir est improvisé ou préparé, ni si ce qui est dit au public que nous
sommes est une déclaration d’amour ou une esquisse du spectacle de la vie à inventer ensemble… »
Le Guide, Rouen, février 1998
« Eve Bonfanti et Yves Hunstad sont des montreurs d’histoires, ils auscultent le théâtre, font
vêtement des riens qui habillent un plateau. Ils éloignent ce qui pourrait faire obstacle à l’échange,
pour reconstituer une cérémonie de la présence où le théâtre se perpétue, sans qu’une forme se fige.»
A. de M., Cassandre, février 1998
«… Repoussant toute tentation et tricherie, le duo cherche avant tout à rencontrer le public, à
discuter avec lui de ce rendez-vous particulier qu’est une soirée de théâtre mettant nez à nez
spectateurs et acteurs. »
Christelle Prouvost, Le Soir, octobre 1998
« Eve Bonfanti et Yves Hunstad sont bourrés de talent. Ils excellent dans la métamorphose.
Du vent ? Sûrement pas. Des fantômes ? Encore moins. Deux êtres qui s’interrogent sur le miracle
permanent du théâtre. »
John Erler, La Libre Belgique, juillet 1997
« Eve Bonfanti et Yves Hunstad sont un peu au théâtre ce que Pierre Etaix et Annie Fratellini
sont au cirque. Des équilibristes du rire et de l’émotion, des funambules de l’imaginaire, des poètes à
l’état pur. »
Sophie Creuz, L’Echo, juin 1996
Au bord de l’eau
Avec Au bord de l’eau, créé en 2002, plusieurs théâtres adhérant à notre façon de pratiquer,
nous ont ouvert des plages dans leur programmation pour concrétiser notre proposition
d’être des auteurs-acteurs. En nous invitant, ces théâtres offrent à leur public la particularité
d’être, pour un ou plusieurs soirs, nos partenaires-spectateurs et ainsi, de découvrir dans sa
fragilité et sa simplicité, une étape d’une pièce en cours d’écriture.
« A la fois narrateurs, philosophes et interprètes de quatre personnages, le duo joue avec les
mots comme dans une partie de ping-pong, à laquelle le public est bien-sûr convié. Un spectacle
spontané mais rôdé, à découvrir de toute urgence. »
Théâtre de la Place. Liège
La Meuse Octobre 2004
« Une vraie-fausse lecture de pièce de théâtre, une folie, un délire à deux d’une cocasserie
épatante.
Deux interprètes mobiles et irrésistibles, Eve Bonfanti et Yves Hunstad, entraînent le public ravi et
secoué de rire dans des aventures insensées et pourtant dramatiques. »
Théâtre des Doms / Festival d’avignon
Le Figaro juillet 2004
« Peu importe l’histoire. Ici, les auteurs s’amusent à montrer l’envers de la création, comme le
chasseur retourne une peau de lapin. C’est malin, cocasse, drôle. Les comédiens sont excellents,
passant d’un personnage à l’autre, changeant d’accent, de physionomie. Cela ne ressemble en rien de
ce qu’on présente aujourd’hui sur scène, c’est un petit régal d’humour. »
Marion Thébaud, Le Figaro, février 06
« … Les deux auteurs comédiens sont de première force. Eve Bonfanti est fine, maligne, et
prémédite ses chausse-trappes avec une patience savante. Yves Hunstad est un virtuose comme on en
voit rarement. Sa palette de nuances, précises, incroyablement variées, toujours en mouvement, est
proprement stupéfiante. A cette dose de talent, le spectacle est une drogue… »
Charlie Hebdo, février 06
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