Claire Chesnier

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Claire Chesnier
Claire Chesnier
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Claire Chesnier
Fragments d’une déposition
Vincent Dulom | décembre 2011
Née en 1986, Claire Chesnier vit et travaille à Paris. Elle est diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure
des Beaux-Arts de Paris où elle a également suivi un post-diplôme et prépare actuellement un doctorat à
l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne en Arts et Sciences de l’Art.
Lauréate en 2011 du Prix agnès b. des Amis des Beaux-Arts de Paris, Claire Chesnier fut découverte et
soutenue dès 2010 par agnès b. lors de sa troisième année aux Beaux-Arts de Paris. Véritable rencontre
coup de coeur, elle lui propose, à seulement 25 ans, de dévoiler ce travail poétique lors d’une exposition
personnelle Fragments d’une déposition, en janvier 2012 à la Galerie du jour agnès b., perpétuant ainsi
l’héritage de ce grand défenseur de la peinture abstraite qu’était Jean Fournier. Cette exposition fut ensuite
présentée à Marseille en juillet 2012 dans le cadre du Festival International du Film Documentaire. Les
peintures de Claire Chesnier font partie de la Collection agnès b. (Paris) et de The CCNOA Collective
Collection (Bruxelles, Belgique).
Son travail pourrait se traduire comme une passerelle tendue, et sans cesse tentée, entre la lumière
et l’encre qui s’en détache comme une ombre. Des papiers suspendus, affranchis de la toile dégagent
immédiatement un sentiment de légèreté et de grâce. Des forles abstraites, parfois vaporeuses, parfois
rigoureuses, cherchent leur place sur le blanc lumineux de ces fonds. Travaillant à partir d’un processus
qu’elle appelle «revoilement», Claire Chesnier réalise des oeuvres dont la forte présence subjugue.
(Extrait du texte de Marguerite Pilven)
Ses peintures ont déjà été présentées lors de plusieurs expositions personnelles et collectives: Galerie
du jour agnès b. (Paris), Galerie agnès b. (Marseille), T-Gallery (Bratislava, Slovaquie), Salon de
Montrouge, le CentQuatre (Paris), Rosenblum Collection & Friends (Paris), Musée des Arts et Métiers
(Paris), Biennale de la Jeune Création (Houilles), Prix International de Peinture (Vitry-sur-Seine), Note
on (Berlin, Allemagne), Parcours Saint Germain (Paris), Espace Commines (Paris), Vente aux enchères
du Salon de Montrouge, The CCNOA Collective Collection, (Paris), Espace de l’Art Concret, Centre d’Art
Contemporain, Château de Mouans. Actuellement en résidence à La Forge / Point Ephémère (Paris)
et prochainement à la Maison des Arts de Pékin (Chine), Claire Chesnier poursuit sa recherche d’une
peinture à l’ombre de l’encre.
Le peintre Jean-Michel Alberola, dans l’atelier duquel elle a suivit sa formation, explique sa pratique en
ces termes :
Définition possible du travail en cours de Claire Chesnier
1)
2)
3)
4)
5)
6)
7)
Construire un récipient.
Y mettre un liquide (de préférence de l’eau)
Construire une pipelette ou un compte-goutte.
Prendre à l’aide de la pipelette ou du compte-goutte un peu d’encre.
Laisser tomber une goutte de cette encre choisie dans le récipient.
Prendre le récipient, le mettre à la lumière du jour.
Regarder.
Ce n’est pas un travail d’alchimiste, mais de maçon ou de moine.
Le reste lui appartient...
Au mur de la salle d’exposition, tendues aux quatre coins par un clou, les feuilles cambrent leurs bords.
Elles n’offrent pas la surface calme du plan. Leurs arrêtes marquent nerveusement les arcs en stigmates de
leur origine et de leur transport. Elles ont été roulées. C’est leur première spécificité. Claire Chesnier peint
ses grandes peintures sur des feuilles qui lui opposent un corps en tension.
Devant la large bande de papier déroulé, elle choisit son format, prépare son regard, la découpe, prend à
bras-le-corps l’écran blanc qui se love sur lui-même, s’en saisit. Elle ne sait rien encore de la peinture. A
bout de bras, d’un éloignement impossible, en haut de la planche à l’échelle d’une porte à peine inclinée
qui repose sur le mur, elle plaque la feuille. Dessous, elle pourrait voir la couleur sombre et bigarrée des
coulées d’encres successives de ses peintures précédentes, ne la voit pas pourtant, s’assure de sa hauteur,
du rapport physique qu’elle entretient à son propre corps, de son aplomb et de son niveau puis la fixe au
ruban adhésif. L’écran lui fait face, blanc sans limites, ou plutôt en l’absence des limites que recouvre le
ruban adhésif posé sur la totalité du pourtour de son format faisant ainsi disparaître avec lui toute possibilité
d’inscription de son travail dans une composition liée au format initial.
Avant de peindre, elle lave la feuille, la détrempe. Elle l’apaise. Elle prépare l’écoulement de l’encre, sa
diffusion et fait que ses futures touches n’embossent pas le papier, ne le scarifient pas.
Elle regarde la feuille, la laisse sécher et se tendre. De cette tension, des quatre bords recouverts et de
l’impossibilité de composer ainsi le format dans son ensemble, le dessein d’une peinture détachée du bord
se fait jour. Le cadre du ruban adhésif glissera du pourtour vers le centre.
Déterminée, elle dessine l’ouvert du travail à venir au ruban adhésif sur la feuille. Elle danse libérée de
la composition, une forme inscrite à la gravité de son bras ou à la décision qui la change. Elle enchâsse
le corps du dessin de la paume de la main et vérifie que le cadre épais de sa fenêtre fait corps avec le
papier. A l’intérieur, sa peinture s’ouvrira à l’étendue d’un fragment. A l’extérieur, elle ménagera un espace
vierge de toute trace, sans limites, conscience fragile de l’impossibilité de peindre. Cette réserve bordera la
peinture, sans anecdote.
A l’intérieur de sa fenêtre, elle dépose à l’effleurement de la surface, en larges allers-retours, l’encre
fortement pigmentée dont sont gorgés ses pinceaux et qui s’aterre en poudre de velours. Ses gestes répétés
soulèveraient la fleur du papier si elle ne veillait pas à son intégrité et n’était pas appliquée à ne rien
laisser dans son travail qui la trahisse. Elle passe et repasse en haut de chaque nouvelle forme, ne laisse
rien de cette ombre qui survient sur l’écran, s’assure à l’horizon de la couleur que son bord a la justesse
voulue puis accompagne dans sa chute l’encre à la vague régulière de son geste. Elle efface les premières
coulures pour faire naître, sans traces de ses passages, dans le recouvrement régulier de la surface, le
plan étendu d’une couleur inidentifiable. Ses gris sont argentés, ses ocres, verts et ses verts, dorés. Ils
caressent dans l’indétermination volontaire qui les fait naître le corps en lumière d’une couleur de terre et
d’une profondeur plane.
La fenêtre entièrement peinte, Claire Chesnier se recule. Elle s’aventure une première fois à la contemplation
du paysage qu’elle a fait naître. Elle le considère avec l’incertitude du regard qui se pose sur une chose
improbable. Elle se risque à savoir ce que sera vraiment sa peinture sans ce cadre chaotique, le blanc
retrouvé. Elle se rapproche, en regarde de près la surface, guette un incident, un accroc, une particule
d’encre trop épaisse qui aurait pu en marquer l’étendue et ne voyant rien, en retrouve la totalité.
Elle se demande ce qui s’est passé cette fois encore. Elle pose le regard à la bordure des mots et ne
sachant pas nommer sa couleur, décide de la laisser sécher. Ce qu’elle fait, juste assez pour pouvoir retirer
le ruban moucheté et les feuilles de protection qui l’entourent.
Elle retire méticuleusement le ruban adhésif de la fenêtre en prenant soin de ne pas mettre à mal les fibres
du papier, repousse doucement de l’ongle celle qui se sont soulevées de trop. Le blanc est là. Indemne.
Ca.
C’est là aussi. Il reste le cadre mais ça va. A voir... Au moins c’est là.
La peinture est là. Au sol. C’est étrange. Le temps de s’habituer.
Le mur est long. Assez pour six grands formats. On va le longer, passer de l’un à l’autre. Marcher. Alors,
elle construit le déplacement du regard. Fluide. Sans heurt. Chaque peinture doit épauler les autres, se
retirer et tout à la fois devenir celle que l’on regarde.
Juste sous le regard, le corps de la peinture danse. Au creux d’une temporalité infinie, dans le jaillissement
de l’attente, l’instant s’étend à la durée, Claire Chesnier vient de déposer son geste.
CCVIII
136 x 117 cm
encre sur papier
2012
CCIX
134 x 120 cm
encre sur papier
2012
CCXV
135 x 116,5 cm
encre sur papier
2012
Courtesy Galerie du jour agnès b., Paris.
CC
140 x 118 cm
encre sur papier
2012
CXCIX
136 x 120 cm
encre sur papier
2012
CCXXV
132 x 113,5 cm
encre sur papier
2012
CXCVII
135 x 116 cm
encre sur papier
2012
Léa Bismuth | août 2012
Depuis cinq ans, Claire Chesnier obéit à une contrainte qu’elle s’est donnée : elle se contente de faire
apparaître une forme colorée aux contours nets dans l’espace blanc de la feuille de papier. Par ce geste qui est avant tout un «revoilement», un recouvrement de la surface par un voile coloré - elle entre dans un
dialogue avec la fluidité de la couleur et la «peau» épaisse et immaculée du papier, faisant de chaque coup
de brosse l’instant d’une tension, entre intensité, amplitude, maîtrise et laisser aller du geste de la main et
du bras. A partir de là, tout est possible, et il y a bien une dialectique qui s’installe : la présence de la
forme comme suspendue au milieu d’une sorte de néant - telle une découpe posée sur un socle parfaitement
défini - entre en contradiction, en conflit peut-être, avec ce qui se passe à l’intérieur de cette forme jusque
dans les profondeurs du tissage velouté du papier qui se gorge des encres diluées. Pour l’artiste, il s’agit
là d’une mise en relation entre «l’autorité» des bords et «l’écoute» des infinis possibles qui se déploient à
l’intérieur de cette même forme. Et c’est de cette manière que le spectateur entre dans la matière : son
regard se perd dans les dégradés aquarellés ; il fait une expérience perceptive et phénoménologique de la
peinture pour reprendre le vocabulaire de Merleau-Ponty. Fidèle à la tradition minimale, Claire Chesnier cite
Ellsworth Kelly ou Josef Albers, à qui elle emprunte d’une belle manière l’idée de variation, comprise comme
répétition de la différence.
Hélène Meisel | février 2012
Certaines pratiques graphiques sont réversibles, elles autorisent le repentir et le gommage. D’autres s’avèrent
en revanche irréversibles, l’intervention de l’exécutant étant indélébile. Le travail de Claire Chesnier s’inscrit
dans cette seconde catégorie : celle du faire sans défaire. Le format choisi fixe l’étendue d’un geste soumis
à un protocole invariable : l’artiste prépare son papier à plat el le mouillant, y délimite avec des bandes de
masquage une réserve centrale dont les bords ne sont jamais orthogonaux, et redresse ensuite la feuille pour
y appliquer avec une brosse douce des encres pigmentaires très diluées. Le tout doit être effectué sur papier
humide, a fresco. L’évaporation fixera définitivement les couleurs, leurs migrations et leurs dégorgements.
Superposées en voiles translucides, les encres pourraient rappeler la technique inventée par Helen Frankenthaler
au début des années 1950, le soak-stain (imprégnation-maculation), reprise par Morris Louis dans ses
fameuses Veils. Il s’agissait alors de noyer résine acrylique et térébenthine pour laisser s’imprégner le
mélange fluide sur la toile crue. La procédure générait l’apparition de coulées antiform, ainsi qu’une sensation
d’expansion plane. Chez Claire Chesnier, l’imprégnation reste cependant sujette à la profondeur. car, la fenêtre
ménagée sur la feuille devient le fragment d’une nappe colorée qui la déborde virtuellement. Au fur et à
mesure que cette réserve centrale s’obscurcit, à force de boire les vagues successives d’encre, elle soustrait
au papier de sa luminosité, y creusant une perspective atmosphérique comparable aux nuées impressionnistes.
L’horizon clair qui surmonte les aplats mats et luminescents s’offre alors comme une respiration, une éclaircie
que l’artiste appelle simplement «ouverture».
CL
150 x 114 cm
encre sur papier
2012
Courtesy Galerie du jour agnès b., Paris
Crédits photographiques : Laura Morsch
CXV
147 x 114 cm
encre sur papier
2011
Courtesy Galerie du jour agnès b., Paris
Crédits photographiques : Laura Morsch
CXVIII
150 x 114 cm
encre sur papier
2011
Collection privée agnès b., Paris
Crédits photographiques : Laura Morsch
XC
140 x 114 cm
encre sur papier
2010
Collection privée agnès b., Paris
Crédits photographiques : Laura Morsch
XCVIII
132 x 114 cm
encre sur papier
2010
Courtesy Galerie du jour agnès b., Paris
CXXVI
150 x 114 cm
encre sur papier
2011
Collection privée agnès b., Paris
CXL
150 x 114 cm
encre sur papier
2011
Courtesy Galerie du jour agnès b., Paris
Crédits photographiques : Laura Morsch
Marguerite Pilven | février 2012
Claire Chesnier se tient depuis quatre ans au protocole de création suivant : elle imprègne d’eau un papier
aquarelle épais qu’elle fixe verticalement, définit son cadre d’intervention avec des rubans adhésifs puis lâche
de grandes coulées de couleurs sombres au moyen d’un pinceau gorgé d’encre. Avec une large brosse
coréenne, elle intervient ensuite sur ce flux vertical pour le balayer horizontalement. Elle appelle «re-voilement»
ces va-et-vient qui ralentissent la chute des pigments sur le blanc de la page. En étirant les encres pour
travailler leur jus à bras-le-corps, elle les maintient liées à ce fond lumineux par le biais de gradations
chromatiques, avant qu’il ne soit trop tard. Impossible de revenir en arrière une fois l’encre séchée. Dans cette
pratique en temps réel, le repentir n’existe pas. En se raidissant à mesure qu’il s’assèche, le papier perd
aussi de sa capillarité. La maîtrise de ce protocole obtenue à force de pratique n’épuise jamais le caprice des
encres infiniment labiles. Tout est fonction du degré d’humidité du support, de la qualité des pigments. Autant
de micro-évènements auxquels Claire Chesnier répond avec le pinceau.
Par le dialogue vif et constant qu’elle exige avec la matière, l’exécution de ces peintures requiert une grande
concentration. La peinture est pour Claire Chesnier une passerelle tendue, et sans cesse tentée, entre la
lumière et l’encre qui s’en détache comme une ombre. Elle est considérée menée à son terme lorsque le
glissement des encres vers la lumière du «fond» s’est fait de manière fluide. Un passage qu’elle fixe en une
logique quasi-photographique d’instantanné. L’immédiateté du procédé fait qu’un dessin en appelle un autre ;
les questions formelles qu’il soulève lors de son exécution se reportant sur un autre dessin. C’est pourquoi
Claire Chesnier les numérote. Des résonances formelles apparaissent après coup, qu’un accrochage permettra
ensuite de dévoiler. D’un protocole physique et méditatif taillé aux mesures de son ambition, Claire Chesnier
tire des oeuvres dont la forte présence subjugue.
Fragments d’une déposition, 20|01 - 03|03 2012, Galerie du jour agnès b., Paris
Crédits photographiques : Laura Morsch
CLXVI
150 x 114 cm
encre sur papier
2012
Courtesy Galerie du jour agnès b., Paris
CLXX
150 x 114 cm
encre sur papier
2012
Courtesy Galerie du jour agnès b., Paris
CXCII
150 x 114 cm
encre sur papier
2012
CLIX
150 x 114 cm
encre sur papier
2012
57ème Salon de Montrouge 03|05 - 30|05 2012, Le Beffroi, Montrouge
Claire Chesnier
Née en 1986 à Clermont-Ferrand. Vit et travaille à Paris.
EXPOSITIONS PERSONNELLES
2012
2011
2010
2009
Fragments d’une déposition, Galerie du jour agnès b., Paris.
Fragments d’une déposition, Galerie agnès b., Marseille.
Parcours St Germain, Boutique agnès b., Paris.
Re-veiling, T-Gallery, Bratislava, Slovaquie.
Revoilement, Atelier Patrick Tosani, Beaux-Arts de Paris.
Encres sur papier, Beaux-Arts de Paris.
XC...XCIX, Galerie gauche, Beaux-Arts de Paris.
Sombre, Atelier Jean-Michel Alberola, Beaux-Arts de Paris.
Sombre, Galerie gauche, Beaux-Arts de Paris.
EXPOSITIONS COLLECTIVES
2013 Bruissements, Galerie Isabelle Gounod, Paris. (Commissariat : Léa Bismuth)
2012>13 Filiations, Espace de l’Art Concret, Centre d’Art Contemporain, Château de Mouans.
(Commissariat : Fabienne Fulchéri assistée d’Alexandra Deslys)
2012 Jeune Création, Exposition Internationale d’Art Contemporain, le CentQuatre, Paris.
Ready for fatality? News about the apocalypse #7, Note on, Berlin, Allemagne.
(Avec le soutien de l’Institut Français - Commissariat : Fabienne Bideaud)
30/30 - Image Archive Project, The CCNOA Collective Collection, Center for Contemporary
Non-Objective Art, Le Moins un, Paris. (Commissariat : Petra Bungert, Tilman Hoepfl)
Décalage, Association Florence pour l’Art Contemporain, Espace Commines, Paris.
Exposition et Vente aux enchères du 57ème Salon de Montrouge, Le Beffroi, Montrouge.
(Commissaire priseur : Pierre Cornette de Saint-Cyr - Expert : Stéphane Corréard)
Prix International de Peinture, Novembre à Vitry, Galerie Jean Collet, Vitry-sur-Seine.
Athématique, Espace Brochage Express, Paris.
(Commissariat : Vincent Dulom, Jennifer Douzenel, Thomas Tronel-Gauthier)
57ème Salon de Montrouge, Le Beffroi, Montrouge.
Biennale
de la Jeune Création, La Graineterie, Houilles.
Figures
du
sommeil, Galerie Jean Collet, Vitry-sur-Seine.
Comme
elle
vient, Exposition des Lauréats des Prix des Amis des Beaux-Arts de Paris,
2011
Rosenblum Collection & Friends, Paris. (Commissariat : Label Hypothèse)
Prix International de Peinture, Novembre à Vitry, Galerie Jean Collet, Vitry-sur-Seine.
Prix
des Amis des Amis des Beaux-Arts de Paris, Galerie gauche, Beaux-Arts de Paris.
Prix
International de Peinture Jean-Michel Mourlot (Fondation de France),
Galerie Mourlot Jeu de Paume, Marseille.
2010 Prix International de Peinture, Novembre à Vitry, Galerie Jean Collet, Vitry-sur-Seine.
2009 Kiitos II, Musée des Arts et Métiers, Paris.
Il y a, Espace Lhomond, Paris. (avec le soutien de l’Institut Suisse Océan)
Prix International de Peinture, Novembre à Vitry, Galerie Jean-Collet, Vitry-sur-Seine.
Kiitos
, Galerie droite, Beaux-Arts de Paris.
22ème
Grand Prix de Peinture, La Forge, Saint-Grégoire.
2008
COLLECTIONS
Collection privée agnès b., Paris.
The CCNOA Collective Collection (Center for Contemporary Non-objective Art), Bruxelles.
Collection Association Florence pour l’Art Contemporain, Paris.
Collections privées
PRIX / BOURSES
2013 Lauréate du Prix Yishu 8
2011 Lauréate du Prix agnès b. des Amis des Beaux-Arts de Paris.
Nominée pour la Bourse de la Fondation Jean-Claude Reynal(Fondation de France)
Bourse d’Aide au Projet, Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris.
2009>12 Allocation de Recherche en Arts et Sciences de l’Art, Université Paris I Panthéon-Sorbonne.
2009 Nominée pour la Bourse Jeune Talents (Fondation de France)
RESIDENCES
2013 Maison des Arts, Pékin.
2012>14 La Forge / Point Ephémère, Paris.
FORMATION
2009>13 Doctorat Arts et Sciences de l’Art, Institut Acte CNRS, Université Paris I Panthéon-Sorbonne.
2012 Post-diplôme, Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris.
Certificat d’étude de la gestion scientifique des oeuvres d’art contemporain,
Ecole du Louvre/Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris.
2011 Diplôme National Supérieur d’Arts Plastiques, Ecole Nationale Supérieures des Beaux-Arts de Paris.
2009 Diplôme National d’Arts Plastiques, Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Master II Arts et Sciences de l’Art (mention très bien), Université Paris I Panthéon-Sorbonne
PUBLICATIONS
2013
2012
30/30 - Image Archive Project, The CCNOA Collective Collection, Ed. CCNOA, Bruxelles.
Roven n°8, revue critique sur le dessin contemporain, Ed. Les Presses du réel, Paris.
Vente aux enchères du 57ème Salon de Montrouge, Ed. Ville de Montrouge.
57ème Salon de Montrouge, (texte : Jean-Michel Alberola), Ed. Particules, Paris.
Jeune Création, (texte : Léa Bismuth,), Ed. Jeune Création, Paris.
Biennale de la Jeune Création, (texte : Marguerite Pilven), Ed. La Graineterie, Houilles.
Figures du sommeil, (texte : Agnès Foiret), Ed. Galerie Jean Collet, Vitry-sur-Seine.
Comme elle vient (textes : Daniel Dobbels, Vincent Dulom) Ed. Les Amis des Beaux-Arts, Paris.
Diplômés 2011, (texte : Hélène Meisel), Ed. Les Beaux-Arts de Paris.
2012
EDITIONS
Fragments d’une déposition, Portfolio de lithographies, édité à 75 exemplaires, numéroté et signé, imprimé sur les Presses d’Idem, Paris, Ed. Galerie du jour agnès b., Paris.
Statement Archive 003 - Claire Chesnier, Ed. Shelter Press, Paris/Bruxelles
(Offprint, Salon de l’Edition Indépendante et des Pratiques Emergentes de l’Art, Ensba, Paris)
PRESSE
2012
2011
2012
2011
La peinture abstraite aujourd’hui, (en collaboration avec la Galerie Jean Fournier),
dans le cadre de l’exposition Fragments d’une déposition, avec Pierre Wat (Historien de l’art) et Emmanuel Van der Meulen (Artiste), Galerie du jour agnès b., Paris
Apparition/Disparition, dans le cadre de l’exposition L’écarté d’ombre de Vincent Dulom,
La Fabrique, Galerie d’Art Contemporain, Université Toulouse II Le Mirail
2010
2008
Assistante de Carlos Cruz-Diez, Ateliers Cruz-Diez Paris, Fondation Cruz-Diez, Paris/Houston.
Assistante de Mark Dion, Exposition Library for the birds & other fables, Galerie Journiac, Paris.
Télérama sortir, 18/01/12 (Fragments d’une déposition)
Vivement dimanche, 08/01/12, France 2 TV, invitée : agnès b. (Fragments d’une déposition)
Le Journal des Arts, 27/01/12 (Fragments d’une déposition)
Art Clair, 27/01/12 (Fragments d’une déposition)
Le Monde, blog de Lunettes Rouges, 11/05/12 (Salon de Montrouge)
Paris Art, 11/12 (Jeune Création, Athématique)
Slash Paris, 11/12 (Jeune Création)
Arté Média, 11/12, interview (Jeune Création)
Le Figaroscope, 01/12 (Fragments d’une déposition)
Novaplanet, 01/12 (Fragments d’une déposition)
Radio Grenouille, 04/07/12, interview (Fragments d’une déposition, Marseille)
France TV sorties, 01/12 (Fragments d’une déposition)
Arts Hebdo Medias, 07/02/12 (Fragments d’une déposition)
Alternatif Art TV, 10/12 - 11/12 (Athématique, Jeune Création)
Culture-13.fr, 01/12 (Fragments d’une déposition)
Kultura pradva, interview, 08/12 (Re-veiling)
Bratislava.sme.sk, 06/08/12 (Re-veiling)
Slovensky rozhlas, 10/08/12 (Re-veiling)
Artclue.net, 08/12 (Re-veiling)
Backslashgallery.com, 09/11 (Comme elle vient)
CONFERENCES
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