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Transcription
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FOLKLORE d4 m a 4 La pompe à merde n k kz k k k kz k k k k kz k k k k k k k z k k k k k k k k k Et 6 puisqu’il faut que rien ne s’ pe - er - de Dans la na - tur' Dans la na- ture Où tout est k kz d z k k k k k z k k z k kz k j a k k kk - mis, pres-sons la pomp’ à me - er - de, Le jour pa - raît à m l’ho - ri - zon. d k k k k k z k k k k k k k k k k k j a En en - vo - yant s’fair’ foutr’ ceux qui n'sont pas con - tents dk kkk kk k k k k k k k k j kz k a 16 pom-pons-la gaie-ment En n k k k z k k k k Pom - pons la mer - de, et 12 pom - pons - la gaie - ment bon Où tout est bon A- en-vo-yant s’fair’ foutr’ ceux qui n'sont pas con-tents Copyright <2001-2014> - Tous droits réservés - http://www.zimmusic.com k kz k k k k Pom - pons la mer - de, et LA POMPE A MERDE REFRAIN Et puisqu’il faut que rien ne s’ perde Dans la nature (bis) Où tout est bon (bis) Amis, pressons la pomp’ à merde, Le jour paraît à l’horizon. UNE VOIX Faites avancer la première voiture, Vérifiez les manomètres, Renversez la vapeur : En avant, tout doucement. BRUITS (bis) Pompons la merde, et pompons-la gaiement En envoyant s’fair’ foutr’ ceux qui n’sont pas contents UNE VOIX (au dernier refrain) Arrêtez les batteries : un homme est tombé dans la fosse ! En passant plac’ de la République, Quand le p’tit jour commence à se lever, J’entendis un p’tit bruit métallique, La pompe à merde est prête à fonctionner. Soupe à l’oignon, bouillon démocratique, Perdreaux truffés du faubourg Saint-Germain Vous serez tous, c’est une loi physique, Bouffés un jour, chiés le lendemain. Fille de roi, de ta beauté si fière, Tu dois chier, ainsi Dieu l’a voulu, Ton cul royal, comme un cul prolétaire, À la nature doit payer son tribut. Humble ouvrier, ta modeste cuisine Te fait du riche envier les festins ; Console-toi, les produits qu’il rumine Ne se vendront pas plus cher que les tiens. Puissants du jour qui bouchez vos narines, Quand nous pompons le fruit de vos excès, Si nous cessions de vider vos latrines, Que sentiraient vos splendides palais ? Ô vanité des parfums de ce monde, Roses, jasmins, qu’êtes-vous devenus ? Vous embaumiez à cent lieues à la ronde, La merde passe, et vous ne sentez plus ! Nous voudrions bien que le canon tonne, Et proclamant la patrie en danger, Nous saurions tous, en vrais fils de Bellone, Mieux que Cambronne, emmerder l’étranger. Dieu, pour nos sens, créa les fraîches roses, Le papillon aux brillantes couleurs, Les gais refrains pour les esprits moroses, Et pour nos culs, il fit les vidangeurs !