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MAGAZ INES L A L E TT R E D ’ I N F O R MAT I O N D E L A P R E S S E M A G A Z I N E - NU M É R O 3 Décembre 2004 ÉDIT O R IAL P2/3 NEWS : Plus on lit,plus on est exposé à la publicité et plus on l’apprécie : telles Faisons un rêve sont les principales conclusions de l’étude “les Français et la publicité”.Les chiffres clés de Didier Suberbielle, président de la commission promotion de l’APPM Et si la publicité était la bienvenue ? Et si elle n’était pas considérée par le consommateur comme une interruption irritante, mais comme une information additionnelle qui l’aide à bien consommer ? Imaginons :monsieur Consommateur passe plusieurs minutes à regarder une publicité.Il la trouve belle, il la montre à sa famille, en parle à ses amis. Elle fait naître en lui l’envie. Il peut même éventuellement l’emporter avec lui sur le lieu de vente. N’imaginez plus : ce rêve existe, et nulle part ailleurs qu’en Presse Magazine, où la publicité fait clairement partie du "Contrat de lecture",et où le lecteur peut librement choisir son temps d’exposition aux messages qui lui sont proposés.S’il regarde votre annonce, c’est qu’il a librement choisi de le faire. S’il vous laisse rentrer dans son "cerveau", c’est par un libre consentement de sa part.Dans un monde où le "Marketing de la Permission" remplacera progressivement le "Marketing de l’Interruption" (relisons Seth Godin),la Presse Magazine est plus que jamais un média d’avenir. B E S T P R AC T I C E S P4 EFFICACITÉ : Comment une création et un format spécifiques ont créé l’événement pour Renault Grand Scenic P5 MEDIAPLANNING PRESSE : La nouvelle donne temporelle. P6/7 DOSSIER Valeur ajoutée : Les apports de la marque magazine à la marque annonceur. P8 JEU : Du champagne à gagner ! la presse magazine italienne. DOSSIER 3 P. 3 La valeur ajoutée de la marque magazine Christofle - le grand retour L’orfèvre rentre à nouveau en communication en privilégiant la presse magazine.Il vient y chercher “une capacité de ciblage pointu et une relation intime et privilégiée avec son public”. Une publicité dans un magazine, ce n’est pas un message brut ; c’est un message qui s’inscrit dans une relation construite entre le titre et ses lecteurs. Étant lui-même une marque,donc un système de valeurs porteur de sens, le magazine offre aux marques annonceurs et aux messages publicitaires un environnement rédactionnel qui a valeur d’écrin. Comment imprime-t-il sa personnalité ? (suite p.6) N EW S LETTRE D’INFORMATION DE LA PRESSE MAGAZINE Sans frontières La presse magazine en Italie Cerner le marché de presse magazine en Italie n’est pas chose facile , Magazines a mené l’enquête (récap.complet sur www.pressemagazine.com). L’ADS (équivalent de Diffusion Contrôle) certifie la diffusion de 178 mensuels et 69 autres périodiques. La Fieg (la Fédération des éditeurs) évoque quant à elle 9 000 périodiques . Il n’y a plus de statistique nationale depuis 1998. Top 5 hebdos Un seul hebdo TV devant un titre historique et des hebdos people . Sorrisi e canzoni TV :1,374 Ms d’ex. Famiglia Cristiana :774 975 ex. Oggi :678 055 ex. Dipiù :639 780 ex. Gente :593 243 ex; (hors suppléments des quotidiens . Source l’ADS, moyenne juillet2003-juin 2004) Top 5 mensuels L’équivalent de Ça m’intéresse, 2 titres de presse auto,de la déco et de la santé. Focus 767 188 ex. Al volante (auto) 729 739 ex. Quattroruote (auto) 475 628 ex. Cose di casa (deco) 455 033 ex. Starbene (santé,bien-être) 407 621 ex. Déclarations éditeurs à l’ADS , moyenne juillet 2003-juin 2004.En excluant des titres comme le Messaggero di Sant’Antonio ou le mensuel de l’automobile-club. Audience de la presse magazine ITALIE Population 14 ans et + Hebdos Mensuels Lecteur périodique Eff. Pen. 49720000 24192000 23152000 32818000 487 466 660 FRANCE Population 15 ans et + Hebdos Mensuels Lecteur périodique 48322000 42697000 36776000 46071000 884 761 953 Attention :les méthodologies sont différentes. Plus on lit, plus on aime la pub… Les Français n’ont pas d’état d’âme par rapport à la pub :ils sont 42 % à l’apprécier et depuis 1992, date à laquelle TNS Sofres a commencé à le mesurer, l’équilibre publiphilie- publiphobie est stable. Stable, mais non linéaire ; des diffé rences apparaissant en fonction des niveaux de consommation des médias. En gros, « plus on consomme le média, plus on est exposé à la publicité et plus on l’apprécie » a rappelé Dominique Lévy, directrice du département média de TNS Sofres en présentant les résultats de l’enquête " Les Français et la publicité ". C’est particulièrement vrai pour la presse en général _ 45 % de publiphiles parmi les gros lecteurs _ et ça l’est encore davantage pour les lecteurs de certaines familles de titres (56 % des lecteurs des parentaux,54 % de ceux de la presse people…). La publiphilie évolue en fonction des habitudes de lecture 56 % Apprécient la publicité* Petits consommateurs de presse 55 % 54 % Lecteurs de masculins Lecteurs de people 42 % Part de marché 2002 :17,5 % 2003 :17,2 % Premier semestre 2004 :14,4 % À titre de comparaison,en France la Pdm de la presse magazine sur les six premiers mois de 2004 est de 16,5 % (source TNS adexpress). Plus gros investisseurs Premier semestre 2004 1- L’Oréal 2- Autogerma 3- Procter & Gamble 4- Unilever div. Lever Fabergé 5- C. Dior Sources Nielsen Media Researc h 49 % Lecteurs de cinéma Lecteurs de santé 35 % Moyens consommateurs de presse Gros consommateurs de presse 46 % 46 % * 3 % vraiment; 39 % plutôt Lecteurs de parentaux …et plus le contact pub est suivi d’effets 80 % des personnes interrogées par TNS Sofres déclarent, dans la même enquête, regarder les pages de publicité avec attention lorsqu’elles lisent ou feuillettent un magazine ou un quotidien et 25 % (un score élevé quand on connaît la réticence naturelle des gens à ce genre d’exercice !) avouent même découper la page pour la garder ou l’utiliser. Avec une constante : plus on est lecteur, plus on est attentif (indice 143 sur les gros lecteurs de presse magazine). « La presse apparaît aussi comme un assez bon précurseur de comportement d’achat », explique Dominique Lévy. Signe des temps,dès qu’elle annonce un avantage ou une bonne affaire en perspective, la publicité dans la presse induit des comportements très actifs. Ainsi, 82 % des sondés déclarent s’être déjà rendus dans un magasin après avoir vu une pub pour des soldes ou des promotions ;77 % ont utilisé un bon à découper et 57 % ont répondu à une offre spéciale . Là encore, les gros lecteurs montrent une sensibilité et une vitalité accrues (indice 141 sur l’utilisation du bon à découper),mais ce sont surtout les lecteurs de presse à centre d’intérêt qui font exploser les standards : à 89 %, les lecteurs de parentaux s’avèrent adeptes du couponning (83 % people, 82 % cinéma et santé, 81 % sport). À 96% les lecteurs de masculins se déplacent dans un magasin (92 % cinéma,91 % parentaux et sport,88 % auto-moto … Ce qui permet de vérifier une nouvelle fois que plus l’on se rapproche de ses centres d’intérêt,plus la publicité joue un rôle informatif ! La publicité dans la presse induit des comportements actifs ... Investissements publicitaires nets 2002 :1,151 md d’euros 2003 :1,163 md d’euros Premier semestre 2004 :574,79 M euros 49 % Lecteurs Vous est-il déjà arrivé ? 1 - de vous rendre dans un magasin après avoir vu,dans un magazine ou un journal,une publicité pour des soldes ou une promotion ? 2 - d’utiliser un bon de réduction découpé dans un magazine... ? 3 - de répondre à une offre spéciale (promotion) découpée dans un magazine ou un journal ? 4 - de consulter le site Internet indiqué dans la publicité pour obtenir des renseignements ou participer à un jeu,un concours ... ? 5 - de vous rendre dans une concession automobile après avoir vu, dans un magazine ou un journal,une publicité pour des journées de promotion ? 6 - d’appeler le numéro vert indiqué dans la publicité pour obtenir des renseignements ou participer à un jeu,un concours ... ? Petits (274) Moyens (388) Gros (305) 100 105 141 100 100 100 98 114 116 100 121 126 100 107 121 100 122 117 Source :TNSSofres base ensemble (1000) des Français regardent la publicité dans la presse 80 % avec attention. La suite sur pressemagazine.com N EW S L E T T R E D ’ I N F O R M AT I O N D E L A P R E S S E M A G A Z I N E Best Practices Christofle revient en com dans la presse magazine L’orfèvre assoit le repositionnement de sa marque en élargissant son territoire médiatique d’origine. L’objectif reste le même : profiter de la relation intime magazine/lecteur. Après plusieurs années d’absence de la scène médiatique, Christofle renoue avec la presse magazine autour d’un plan média, important pour la marque, orchestré par ZenithOptimedia. Une première vague se déroule jusqu’à la fin de l’année ;deux autres étant prévues sur 2005.La campagne, signée 133 (Publicis),s’inscrit dans la droite ligne du nouveau positionnement de la marque, résumé en une nouvelle signature :“Glamour attitude”. «Il s’agit de casser les conventions de l’argenterie en rentrant dans un univers de cadeaux et dans une logique de mode», explique Christophe Mayer, Dg de ZenithOptimedia.Le plan média (une quinzaine de titres pour environ 30 parutions) s’organise autour de trois pôles équilibrés.Outre son territoire médiatique d’origine - la presse décoration et art de vivre -la maison investit la presse féminine haut de gamme, pour inscrire sa marque dans un contexte de modernité et cherche à en renforcer la visibilité par le biais de la presse news et les suppléments cadeaux de la PQN.La campagne de presse américaine (en 2005) se déroulera de façon similaire. La reprise de contact de Christofle avec son public repose donc en grande partie sur la presse magazine « qui permet une relation intime et très privilégiée avec son lectorat » , poursuit Christophe Mayer. En évoquant également son « ciblage très pointu » ; en l’occurence les femmes CSP+ pour les presses féminine et décoration haut de gamme et les news pour toucher une cible mixte, dans une logique de cadeaux. Dermophil : le renouveau passe par la presse magazine Entre 2002 et 2004, Dermophil aura multiplié par trois son budget de communication, essentiellement au profit de la presse magazine. Et ça marche… Investissements Podiums Chaque mois, retrouvez les indices qui mon trent la vitalité de la presse magazine :les annonceurs ayant le plus investi,les secteurs économiques ayant le plus progressé,les familles de presse qui en ont profité et les titres leaders en pagination pour le mois (octobre). Annonceurs :les poids lourds du mois (oct.2004) RENAULT 119 PAGES PHILIPS EDF 100 PAGES 95 PAGES À la faveur du Mondial,Renault prend la pole position,et EDF remplace GDF… Secteurs :les champions du mois (oct.2004/oct.2003) SERVICES CORPORATE + 150 PAGES (total mois :895) + 140 PAGES (total mois :187) CULTURE LOISIRS + 91 PAGES (total mois :387) Les services prennent la tête et le secteur culture/loisirs fait une incursion prometteuse . Familles de titres :les grands gagnants (oct.2004/oct.2003) PRESSE ECONOMIQUE PRESSE TV + 41 PAGES (total mois : 1 041) + 31 PAGES (total mois : 1202) PRESSE AUTOMOBILE + 28 PAGES (total mois : 305) En 2003, Dermophil (1), du groupe Melisana, avait déjà mis le turbo côté communication à l’occasion d’une campagne de publicité pour Hydra Gloss, un brillant hydratant pour les lèvres. À l’époque, la marque s’était distinguée en communiquant au printemps sur un produit à connotation plutôt hivernale. Bingo ! 12 parutions dans 6 titres de la presse féminine permettent à Hydra Gloss de multiplier par deux ses parts de marché en valeur et volume entre avril et juillet 2003. En 2004,Dermophil persiste et signe, double son budget de communication et revoit de fond en comble sa stratégie marketing. Deux campagnes affichent sa nouvelle signature “Dermophil aime ma peau”, parfois adaptée en “Dermophil aime mes lèvres” :l’une, au printemps, pour Hydra Gloss, l’autre à l’automne pour Nutri Gloss. Avec le même dispositif média dans les deux cas (12 à 14 parutions dans les six féminins).Résultat des courses :les ventes de Dermophil progressent d’environ 10 % en valeur à fin 2004,par rapport à 2003.De son côté,Dermophil Indien,le grand frère,apparaît dans la presse parentale et la presse santé (6 titres et 10 parutions à l’automne en 2003 comme en 2004).Au final,ce sont 20 M de contacts qui auront été générés sur les deux marques. « La presse magazine permet d’atteindre une cible précise et spécifique , explique Anne Maugrenier, responsable marketing de Dermophil.Cette presse favorise également la mémorisation des marques car la lecture des magazines se fait en plusieurs fois. On peut également y présenter les produits tout en expliquant leur efficacité ». Source TNS Média Intelligence (1)Dermophil est vendu en GMS tandis que Dermophil Indien est réservé au circuit pharmaceutique. (Total pages hors autopromotion et abonnement) Le Presse économique relève la tête . La presse Tv continue, et la presse automobile surfe sur le Mondial de l’Auto. Les performeurs du mois (oct.2004) LE FIGARO MAGAZINE VERSION FEMINA + 47 PAGES + 32 PAGES TELEK7 DVD + 24 PAGES Bravo aux équipes de ces 3 titres et encouragements aux autres pour le mois prochain. À noter le premier mensuel de ce classement est Management avec un gain de 22 pages ! E F FI CA C IT É LETTRE D’INFORMATION DE LA P RES SE MAGAZINE L’efficacité prouvée de l’utilisation de la presse magazine Le cas Renault Grand Scénic Une création spécifique sur le cœur de cible, totalement cohérente avec l’offre produit Objectifs du test Double : Valider la visibilité de la campagne et l’effet sur la présence à l’esprit de la marque et du nouveau modèle Grand Scénic. Et ceci, en fonction de l’exposition au dispositif double d’ouve rt u re panoramique (exposés/non exposés) et en fonction de l’exposition aux médias (PMG Presse, PMG TV). Caractéristiques de la campagne Cible :les familles. Campagne tri-média :presse magazine, TV et affichage. Presse magazine : 318 GRP ; 82 % de couverture 25-49 ans, 3.9 de répétition. Dispositif : 14 titres, 27 insertions en DPQ dont 4 en double panoramique dans la presse parentale. Dispositif du test Interrogation par téléphone de deux échantillons : 200 lectrices abonnées à l’un des titres de l’offre Esprit de Famille d’Interdeco (Parents, Enfants Magazine, Top Famille) et 200 non-lectrices des parentaux, donc non exposées à la campagne panoramique. Les deux échantillons sont toutefois exposés aux campagnes TV, affichage et presse en double page quadri. Résultats du test - Effets sur l’impact : L’utilisation d’un dispositif créatif spécifique a permis au modèle Grand Scénic d’obtenir 39,5 % de souvenir assisté,score très supérieur aux normes (+ 16 points). Cette performance atteint 49 % auprès des futurs acheteurs auto dans les deux ans. Ce dispositif a aussi obtenu un score de reconnaissance de 60 % (+ 21 points norme). L’efficacité de la répétition du message et du for mat presse est probante :le souvenir est optimisé auprès des gros exposés presse avec un score assisté de 50 % (quand il n’est qu’à 45 % chez les gros exposés TV). - Effets sur la notoriété : Compte tenu du nom du modèle, la campagne a profité d’abord à la marque Scénic. La double panoramique lui fait gagner 10 points en top of mind et 11 points en notoriété spontanée sur les exposés (par rapport aux non exposés). La double panoramique a eu également une efficacité significative sur la présence à l’esprit de la marque ombrelle Renault (avec respectivement + 11 points et + 13 points). On a également mesuré l’apport spécifique de la double panoramique au plan presse : + 15 points sur la notoriété spontanée de Scénic. Conclusion :le test d’efficacité prouve la force des spécificités du média presse. À la fois dans l’utilisation d’un format exclusif à la presse apportant une visibilité exceptionnelle ;et en complémentarité avec la TV d’une part et avec une campagne presse en double page d’autre part. Présence à l’esprit de la marque L’efficacité de la répétition média et de la complémentarité double + DPQ Souvenir assisté Grand Scénic 39,5 % Presse Non exposées TV 50 30 35 35 Efficacité significative de la double panor amique sur la présence à l’esprit de la marque ombrelle et de la marque mère Scénic Renault 45 38 163 100 Petits exposés Exposées Moyens exposés Gros exposés Top of mind 100 132 Notoriété spontanée 100 122 Top of mind 100 119 Notoriété spontanée Sabine Petrisot Directrice de clientèle chez Carat 2010 Pourquoi ce type d’utilisation de la presse magazine avec un format particulier ? Les occasions “média”d'exprimer aussi facilement la valeur ajoutée d’un modèle automobile sont rares. Le modèle et la création sont clairement servis par l’utilisation de ce format qui présente le double avantage d’exprimer instantanément le passage de 5 à 7 places et de créer “un événement”susceptible d’attirer plus fortement l’attention pour assurer une efficacité optimale de ce lancement sur le cœur de cible. Isabelle Fossecave Chef de publicité sur Scénic Quelles conclusions avez-vous tirées de cette opération ? L’objectif principal de cette opération spéciale était d’assurer l’émergence de notre campagne de lancement Grand Scénic sur les familles qui sont le cœur de cible de ce modèle . Les scores de l’étude nous montrent que cet objectif est parfaitement atteint, puisque l’impact et la reconnaissance de la campagne sont très élevés. Sur la notoriété de nos modèles, cette opération a été profitable à Renault et Scénic et dans une moindre mesure à Grand Scénic ce qui nous semble normal en période de lancement. LE TTRE D’I NF ORMATION DE LA PRE SSE MAGAZINE DY NAM ISM E L’avancée du “Mediaplanning temporel” La presse magazine bouge : l’heure est à l’introduction de la donne temporelle dans le mediaplanning presse. L’intérêt ? Une gestion plus experte du calendrier puisqu’on peut désormais construire la distribution des contacts presse en nombre de jours et en intensité ! Trois méthodologies cohabitent : avec ou sans prise en compte des reprises en main. Un mensuel féminin,appelons-le A, délivre 57 % de ses GRP en une semaine,66 % sur 10 jours et 75 % à 14 jours,alors que le titre B appartenant à la même famille développe une pression beaucoup plus étalée dans le temps.Cela vous fait réfléchir ? Bienvenue dans le mediaplanning temporel, une avancée qui rend le mediaplanning presse plus pointu, à l’instar d’autres médias ! Il y a peu, les mediaplanners travaillaient sur des performances presse globales, évaluant l’apport, la durée de vie de chacun des titres et leur complémentarité dans l’accumulation et la construction de la couverture d’un plan en se laissant souvent guider par le bon sens :on se doute bien qu’en matière d’hebdo, un magazine télé a une durée de vie moins longue qu’un Gala ou un Elle… ! Mais grâce au mediaplanning temporel,on dispose désormais de données chiffrées pour « coller au plus près à la réalité de la presse magazine en construisant la distribution des contacts presse en nombre de jours et en intensité », explique Carole Fagot, directrice déléguée d’Emap Media. « Dans le temps et au-delà de la période de parution de chaque numéro ». Autrement dit par Marie-Laure Sauty de Chalon, présidente de La Grande Régie : « Le médiaplanning temporel permet d’adapter le mediaplanning à la date de parution et à la durée de vie d’un titre, donc de caler des campagnes en fonction d’un lancement,d’une occasion particulière ou d’optimiser la durée de vie d’une campagne en dosant les GRP par semaine active ». Le mediaplanning temporel apporte ainsi « une réponse aux questions que l’on se pose à chaque plan », insiste Carole Fagot, « Faut-il placer les hebdos et les mensuels au début, au milieu ou en fin de campagne ? » ou « compte tenu de mes objectifs à court et moyen termes, quels sont les titres les plus appropriés et le calendrier à adopter ? » Ainsi,pour reprendre notre exemple, en fonction des objectifs de l’annonceur, le mensuel A interviendra plutôt en lancement de campagne dans un but d’efficacité immédiate, là où intuitivement on aurait peut-être choisi un hebdo, et le titre B plutôt en fin de plan pour entrete- « Le GRP en presse s’intéressait au lecteur et non aux lectures, explique Philippe Kaufman Dga Research de ZenithOptimedia.Si pour les autres médias, il se définit par le produit de la couverture par la répétition, en presse cette dernière n’était pas jusqu’à maintenant prise en compte. Nous avons donc souhaité mettre la presse magazine au même niveau que les autres médias en termes de diffusion de GRP (ce travail avait déjà éte conduit en Angleterre avec Real Time ) ».Résultat :le GRP + est d’une part un GRP lectures ; une insertion étant égale à plusieurs contacts par lecteur et d’autre part une audience prenant en compte la durée de vie d’un titre. En passe d’arriver en n° 3 sur le marché, François Charton de la société Carthage, qui travaille pour Carat qui avait déjà adopté la voie PopCorn,a choisi, à l’image de ce dernier, de « ne pas changer les habitudes des mediaplanners »,même si la version JFC lui paraît un nir un bruit de « intéressant objectif à terme ». Le module temfond,un accompagneporel de Medialand Presse comporte néanment. Trois modules de moins une différence par rapport à celui mediaplanning temporels sont lancés ou en d’Emap Media :il ne travaille pas au jour mais à passe d’être lancés sur le marché.Il existe une la semaine. « La méthode que j’utilise part du différence importante entre celui d’Emap principe que dans la Media (le premier à avoir tiré) réalisé en partenariat avec Optimiser la durée de vie mesure où l’on ne disPopCorn/Sysprint et celui de d’une campagne en dosant pose pas de données suffisamment préZenithOptimedia/La Grande les GRP par semaine active cises et qu’il faut Régie mis au point avec JFC. donc modéliser ce qui Pour Emap Media, un titre manque, il faut garder le modèle aussi simple que génère un contact. Avantage :on ne casse pas possible », explique-t-il. " C’est aussi pour cela le thermomètre ;les performances globales du que j’utilise un découpage temporel un peu plan restent identiques à celles qu’on aurait gros et que j’essaie d’utiliser plusieurs données obtenues avec un mediaplanning classique. (LDP, habitude et provenance) pour essayer de Comprenez :on retrouve le même nombre de mettre dans le modèle, le plus de données et GRP répartis différemment. En revanche, en le moins d’a priori possibles ". intégrant les reprises en main, ce qui colle Cela étant, trois intervenants et trois davantage à la réalité de la consommation de approches différentes, c’est beaucoup. Il est la presse, ZenithOptimedia/La Grande probable que le marché sera amené à trancher Régie/JFC créent un GRP +, forcément inflaassez rapidement. tionniste par rapport à la donnée officielle. 35% 30% Source :Emap Media Masculin 1 25% 20% 15% Masculin 2 Deux magazines d’une même famille ne délivrent pas leur pression publicitaire dans le même temps et de la même façon. 10% 5% 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 Les méthodologies sur www.pressemagazine.com D OSSI E R LETTRE D’INFORMAT ION DE LA PRE SSE MAGAZINE La valeur ajoutée de la marque magazine Optimiser les relations marques-consommateurs Emap Media a analysé les occasions de rencontre marques-consommateurs pour voir comment la presse magazine permet d’optimiser cette relation,que Carole Fagot,directrice déléguée d’Emap Media décompose en quatre fonctions (1) : “intermédiation,présentation,caution et conviction ”. Fonction d’intermédiation (2 ) : Les spécificités de la presse magazine résident dans sa capacité de ciblage et de complémentarité aux autres médias ;dans la possibilité de choisir le support en fonction de la stratégie de l’annonceur et non de cibles médias préformatées , en pouvant même segmenter les messages selon le support. Fonction de présentation (3) : Aucun autre média n’offre une telle puissance de l’effet de contexte, du fait de la proximité rédactionnelle entre support et pub, de la possibilité d’intégrer la communication au cœur du média, de sa capacité à offrir au consommateur une expérimentation immédiate du produit (scentstrips et autres échantillons). Et du fait que la consommation de la pub se fait “on demand ” en fréquence et en durée. Fonction de caution (4) : Elle tient à la relation de confiance entre le lecteur/ consommateur et son magazine, à l’effet de contexte et au fait que le magazine est lui-même une marque. Fonction de conviction (5): À travers ses rubriques, la presse magazine accompagne le consommateur dans ses choix de consommation. Le magazine est lui-même un lieu d’échanges des consommateurs sur les marques et les produits (tests…). Par ailleurs, le média a prouvé qu’il savait faire vendre. (1)Sur chacune de ces fonctions , Emap Media a mis en place des outils spécifiques . (2) Véhiculer le message à la bonne personne et au bon moment. (3) Capacité à faire émerger la communication. (4) Renforcement de l’action du message. (5) Faire vendre. Qu’est-ce qu’une marque ? Une marque c’est « d’abord une différence, explique Marie-Claude Sicard. Une marque se démarque et si elle oublie cette condition,son pouvoir d’influence décline inexorablement.Une marque c’est aussi une caution,une garantie de qualité.C’est enfin un imaginaire puissant à l’œuvre. Aucune de ses composantes ne sont suffisantes pour que la marque domine son secteur, mais toutes sont nécessaires », rappelle t-elle. Le magazine n’est ni un produit,ni une marque comme les autres. « Son contenu est formé de signes, de symboles , de mots et d’idées, d’images et de représentations qui lui donnent un statut particulier dans l’univers de la consommation », déclare Bruno Schmutz, directeur d’Interdeco Expert. Preuve en est : «Toucher une femme à travers un news magazine n’aura pas la même incidence qu’à travers un féminin », rappelle Dominique Lévy, directrice du département médias de TNS Sofres.Car l’effet de contexte jouant à fond,la même personne confrontée à la même publicité dans deux magazines différents ne la reçoit pas de la même manière. pelle Marie-Claude Sicard, fondatrice de MCPS Conseil. « Les magazines sont dans leur rôle quand ils identifient des tendances transversales lourdes qui se manifestent au-delà des tendances de consommation dans du comportement sociétal ». La représentation qu’ils donnent de l’actualité,de la mode, de l’automobile… créent des courants, des tendances, des interrogations, des polémiques parfois … Est-il besoin de rappeler avec Dominique Lévy que la presse permet de « s’adresser à des cerveaux actifs, pas des cerveaux disponibles ». Comme une personne, une marque de presse est multi-facettes,de par ses rubriques.Dans certains magazines, il en est des emblématiques. Pour autant, elles ne porUn magazine c’est comme une personne tent pas forcément le même caractère de La marque magazine a une personnalité. marque (cf.“Elle” sur la mode et sur les fiches Quand elle prend la parole, tout comme un cuisine). Les éditeurs ont beaucoup travaillé conférencier, elle modifie, elle amplifie, elle pour nourrir et déployer leurs marques. valorise ou dévalorise le message (cf. étude Exemple type :la presse féminine. « Le travail de Brand Keys p. 8). la marque est « Tout le magazitrès fort sur des Les contextes éditoriaux vont ne marque , pourtitres comme actualiser certains traits d’image “Vogue”, “Elle”, suit B. Schmutz. Parce que le “Marie-Claire” … plutôt que d’autres magazine est qui ont su se indissociable de son contenu,il est lui-même de la décliner sur d’autres médias, se développer à l’inpensée, de la représentation, de l’imaginaire ». ternational,créer des produits à leur nom vendus Car, dans le magazine tout porte du sens : le également en magasins…» expose Jean-Marie titre, la couverture, la maquette, le style… Charon,chercheur au CNRS. « Si vous ciblez un Parallèlement, le magazine imprime aussi sa certain style de femme, le fait de vous appuyer sur marque sur le monde. Récepteur (sa matière ces marques médias fortes vous donne tout de première :c’est l’actualité,l’air du temps…) ,il suite l’impression qu’elles vous apportent un renest également transformateur et émetteur forcement ou un confortement de l’image de votre d’un contenu qu’il s’est approprié et auquel il propre marque. Cette valeur ajoutée peut venir à a imprimé sa vision,sa touche, ses valeurs … la fois de l’histoire et de la pérennité d’un titre sur «La presse magazine surfe sur les tendances, elle son marché, poursuit-il, " mais aussi de la façon les récupère, les amplifie, les créé parfois », rapdont il est venu renouveler l’offre », cf.l’arrivée de Pleine Vie dans la presse senior qui, en jouant la carte “vous êtes un senior, mais vous souhaitez rester actif et élégant”,et en se décalant avec un visuel rajeuni tout en restant rassurant dans les informations de confort données, a apporté aux annonceurs une alternative moins marquée par le signe du vieillissement accolé au lecteur senior. chissant et important de rechercher, ajoute-t-elle. Notre enjeu est de travailler à partir du capital des marques (à savoir leur territoire, leur contenu, leur image actuels et leurs objectifs futurs) et de participer à l’enrichissement du contenu de la marque elle-même par la construction d’un dispositif média adapté. La presse magazine par ses titres couvre un spectre complet,qui va de l’information aux hobbies. Elle offre des univers d’exLe contrat de lecture : un engagement pression intéressants et développant l’affinité pour réciproque les marques ». Mais pour Christine Penel,il est Non seulement la logique éditoriale et la force évident qu’il faut aller encore plus loin entre le de la marque média produisent un effet sur croisement de valeur de la marque-annonceur l’expression publicitaire, mais encore, en pres(qui veut se déployer dans le temps selon des se magazine, le message de la marque- annonobjectifs particuliers) et celui de la marque ceur s’inscrit dans un engagement réciproque magazine (qui souhaite valoriser son contexte, entre le lecteur et le magazine que l’on traduit ses numéros spéciaux…) en dépassant les terpar “contrat de lecture”. Intervenant pour ritoires d’expression publicitaire classique. Elle Emap Media sur le thème “la presse féminine parle de « partenariat où chacun peut s’enrichir aujourd’hui : une famille à recomposer”, des valeurs de l’autre ». Ce type d’opération Dominique événeLévy a explimentielle Un double émetteur : celui qui signe qué notamdoit « être la page de pub et celui qui la porte ment que, sur un cadeau un marché en plus (un dont on croyait tout savoir depuis toujours,les avantage, de l’info supplémentaire…) pour le lecnouveaux féminins “Isa”,“Bien dans ma vie”, teur-consommateur dans la vie duquel on entre “Glamour” … avaient su jouer sur un contrat sous un angle complice…», explique-t-elle. La de lecture différent des féminins existants, « presse magazine peut avoir alors un rôle de plus complice et plus explicite sur le fait que les décodage et sur cette base on peut parler de femmes se sentent toutes à des moments difféco-branding ; ce type d’opérations spéciales, rents des bimbos et des Mère Thérèsa » ! Cette étant porté par les deux marques. relation particulière, de confiance, qui s’instaure rend le magazine unique aux yeux du lecLe média du permission marketing teur (c’est aussi ce qui fait qu’il accepte de Les éditeurs sont parfois circonspects en payer ce média). En toute logique, le lecteur matière d’opérations spéciales. Certains accorde un plus grand crédit à ce que lui dit " voient dans cette retenue de la frilosité,quand son " magazine. il faudrait parfois tout simplement y lire la connaissance et le respect du lecteur. Car la S’enrichir chacun des valeurs de l’autre presse magazine, c’est le média du permission Quand on est en presse, il y a un double émetmarketing et elle tient à le rester. On le sait,la teur :celui qui signe la page de pub et celui qui publicité en presse magazine n’est pas subie. porte la page de pub. « Chaque média apporte « On la regarde si on le veut, à son rythme et avec son propre territoire d’expression aux marques », le degré d’attention qu’on est prêt à lui accorder », commente Christine Penel,directrice du planrappelle D. Lévy. À l’heure où cette demande ning stratégique chez KR Media. « À l’intérieur de permission marketing devient plus pressand’un même média en fonction de l’emplacete, ce caractère non intrusif s’affirme de plus ment… on émet même des signes complètement en plus comme une force. Sans oublier que différents :de la puissance, de la complicité,de la dans de nombreux magazines, la publicité fait proximité… C‘est le croisement de la valeur de même partie intégrante du contenu attendu marque des titres et des produits qu’il est enripar le lecteur ! La pub dans la presse magazine : plutôt agréable et non intrusive Voici les propos sur la publicité dans les magazines. Pour chacun d’eux,êtes-vous tout à fait d’accord,plutôt d’accord,plutôt pas d’accord ou pas d’accord du tout ? Tout à fait d’accord On peut lire la pub à son rythme . Les pubs sont agréables à regarder. Les pubs constituent souvent une information complémentaire. Les pubs font vraiment partie du magazine . Plutôt d’accord 49 % 37 % 19 % 64 % 52 % 14 % 12 % Source :TNSSofres base ensemble (1000) 86 % 38 % 83 % 66 % 50 % Mesurer l’effet de contexte en émission et en réception Interdeco mesure l'effet de contexte en émission,via la sémiologie (quels signaux émet un magazine, comment il construit les représentations ?) et en réception par un suivi exclusif SIMM Scanner (quelle perception les sondés ont-ils des titres ?) À la question :qu’est-ce qu’on attend Attentes :Presse vs d’une marque tous secteurs tous secteurs confondus ?,la 10 20 30 40 réponse des Français est à 46 % qu’elle 46 donne confiance. 43,7 Quand 18,4 % Confiance attendent de la proximité, 18,4 13,7 % de l’originalité, 33,5 11,4 % de la Proximité modernité et 8 % du rêve. 13,7 Lorsque l’on 21,2 déploie les attentes par Originalité secteur, c’est 11,4 8 sur l’électroménager 8,8 9,6 (81,5 %) qu’on perçoit Modernité Rêve les plus fortes attentes en Presse Moy. secteur matière de confiance, Brandplanner 2004.Source : devant les Interdeco Expert produits d’entretien et la banque . Les magazines, eux, se situent au niveau moyen (43,7 %),soit en N° 12 sur une liste de 20 secteurs. En revanche, sur l’attente de proximité, les magazines tiennent la pôle-position (33,5 % devant le n° 2,la mode masculine). À nouveau n° 2, sur l’attente d’originalité,les magazines (21,2 %) se font coiffer sur le poteau par l’ameublementdéco (22,6 %).Pour savoir si l’offre répond aux attentes des F rançais du point de vue des marqueurs d’image, Brandplanner considère les magazines en fonction de leur valeur de marque et non seulement de leur contenu éditorial. Interdeco l’utilise comme un profil de ciblage supplémentaire. Les sondés répondent sur les titres qu’ils connaissent (notoriété assistée),sur quatre marqueurs d’image évoluant selon les secteurs. Par exemple, pour “Télé 7 jours”,les questions portent sur la confiance, la modernité,l’originalité et la proximité.Il en ressort à la fois des indications par famille et par titre. Ainsi,sur l’item proximité,les plus fortes opinions concernent la presse parentale (24 %) devant la presse féminine grand public (22 %),la presse déco (19 %) et la presse senior (18 %). Par rapport à une attente de confiance , les familles les plus en phase s’avèrent être :la presse auto (55 %),parentale (54% ),la presse culture et connaissance(53 %), la presse TV (49%). DOSSI E R LETTRE D’INFORM ATION DE LA PRESS E MAGAZINE Made in USA Pub : cerner l’impact du titre sur une marque donnée Brand Keys, spécialiste de l’image de marque, a réalisé une étude sur 1500 lectrices pour évaluer la valeur ajoutée de la marque magazine. L’enquête a disséqué l’impact de 24 magazines sur l’image de marque de 7 grands noms de la mode. Pour “Magazines”, Robert Passikoff, président de Brand Keys, a accepté de partager ses conclusions. est qu’il y a un surnombre de magazines qui ciblent les mêmes lecteurs. Plus l’annonceur réussira à cerner l’impact du support magazine sur la marque, plus il optimisera son plan média. Qu’avez-vous vu ? On a vu que si Chanel passe dans des supports tels “Newsweek” par exemple, cette stratégie a un impact négatif sur la marque ;la valeur ajoutée de ces magazines par rapport à Chanel étant négative. Comment avez-vous procédé ? Pour cette étude qui portait sur Armani, Brooks Brothers, Calvin Klein, Chanel, Donna Karan, Gap et Ralph Lauren, nous avons élargi la liste des grands magazines de mode pour inclure des supports qui n’auraient pas forcément ou pas du tout figuré sur le plan média des marques étudiées. Et ce, afin de mieux mesurer la corrélation entre la valeur ajoutée de la marque magazine et son impact sur la marque annonceur. Le problème pour l’industrie des magazines JEU MO TS MÉLANGÉS Tous les mots figurant dans cette liste se trouvent dans la grille, placés en tous sens, y compris de bas en haut,de gauche à droite ou en diagonale. Une lettre peut servir plu sieurs fois. Une fois retrouvés tous les mots , il ne restera plus que la phrase mystérieuse . AD AEPM AFFINITE APPM ASTRAPI BIBA CIBLAGE COSMO COUVERTURE CSP DIVERSITE EFFICACITE ELLE ENTREVUE FAMILI FHM GALA GEO GLAMOUR GRP HEBDO IMPACT INVESTIR ISA LDP MASCULINE MATCH NEWS ODV OURS PAGE PARENTS PEOPLE PUISSANCE PRESSE PRIMA RECTO SENS SOMMAIRE TELERAMA TYPO UNE VALEUR VOICI Quelles leçons en tirez-vous ? Ce qui marche pour Ralph Lauren ne marche pas nécessairement pour Gap ou Chanel. Or les grandes marques de mode ont tendance à passer leurs pubs systématiquement dans les mêmes journaux, ceux que nous prénommons les “usual suspects”. Certains magazines ont une meilleure valeur ajoutée en fonction de l’image projetée et par la marque et par le magazine. Ce type d’études va permettre aux annonceurs de se montrer de plus en plus exigeants quand il faudra mesurer l’impact de leur publicité. L’interview complète sur pressemagazine.com - Exemples de magazines ayant un impact positif sur la marque : CHANEL :Esquire, New Yorker, Vogue, Bazaar, Allure. GAP :New York Magazine, People, Allure, Inside, Cosmopolitan,Newsweek, Playboy, Entertainment Weekly, New- yorker, Redbook. RALPH LAUREN : Vanity Fair, Elle, O (Oprah magazine),GQ, New York Magazine, New-yorker. - Exemples de magazines ayant un impact neutre sur la marque (1) : CHANEL :Redbook, O, Vanity Fair, GQ, Playboy, NY Magazine. GAP : O,Vanity Fair, Lucky, InStyle,Time, GQ. RALPH LAUREN :Inside, Esquire, Allure,Time, Newsweek,People, Entertainment Weekly, InStyle. NH T EL E R AMA PS E NS F S E L S Z E S S E R P U N E MH OB DOD V C GG I U A A PP M MD P E D I V E RS I T E R AD MOF Y B G A L A A S A I I OC A A E L RE C T OO S MMMOO I MA SCU L I NE AC S PS U R GT B I B AN L F NOURS V E RE E L L EF F I CAC I TE I T S P SWE I VP E O P L E R C Y A AS U NMGL AMOUR T I P P GU I H P AR E N T S S U OOT E T I A A I NV E S T I R V A L EURE CAST RA P I E E GE ODE N T R E V U E E O J U S SMA T C HE E FA M I L I Pour jouer, renvoyez cette phrase complétée avant le 17 décembre 17h -- ------ -------- ---- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - pleines de bulles ! par mail à [email protected] avec votre nom et vos coordonnées. Un tirage au sort déterminera,parmi les bonnes réponses, les 10 gagnants des bouteilles de champagne Maxim’s. Prochain numéro le 20 janvier Si vous préférez recevoir la e-lettre d’information de la presse magazine, envoyez-nous votre e-mail à [email protected] Magazines,la lettre d’information de la presse magazine,est édité par l’Association pour la promotion de la presse magazine (APPM), 45, rue de Courcelles, 75008 Paris-Tél.:01 42 89 32 60. Directeur de la publication : Xavier Dordor.Rédactrice en chef :Françoise Vidal. Réalisation : Stromboli (01 46 99 13 00). Magazines est imprimé sur papier Fine 110 g fabriqué par UPM,partenaire de l’APPM et des grands groupes de presse magazine.
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