Procès verbal du 04 octobre 2016
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Procès verbal du 04 octobre 2016
Procès-verbal des délibérations du conseil communautaire du mardi 4 octobre 2016 – 18h ----- Conseillers communautaires présents ou représentés : - Claire BERTHOUD - Michel BUFFET - Patrick CETTOUR-BARON - Philippe CHARBONNEL - Paul CHARLES - Gérard COLOMER - Bernard MAXIT - Pierre MERCIER-GALLAY - Nicole MOUTHON - Denis PETIT-JEAN - Catherine ROQUIGNY Conseillers communautaires excusés : - Jean-François BLANC - Gérald DAVID-CRUZ - Paul GIRARD-DESPRAULEX - André GRILLET-AUBERT - Ange MÉDORI - Nicolas RUBIN Autres personnes présentes : - Véronique GRIMBERT, directrice aménagement et développement local à la 2CVA - Cédric LEHUÉDÉ, secrétaire général de la 2CVA Le conseil communautaire s’est réuni sous la présidence de Gérard COLOMER, sur convocation en date du mercredi 28 septembre 2016. Mme Catherine ROQUIGNY a été désignée secrétaire de séance par le conseil communautaire. Nombre de membres votants : 11 (quorum atteint) Gérard COLOMER ouvre la séance à 18h05 et demande s’il y a des observations sur le procès-verbal du précédent conseil communautaire, en date du mardi 6 septembre 2016. Philippe CHARBONNEL souhaite revenir sur le point concernant les stades de football, où il a été dit lors de la dernière séance que la 2CVA aurait mieux fait d’investir dans des bancs de touche sur les stades de football plutôt que de financer un évènement comme le Wintertrail OXFAM. Philippe CHARBONNEL estime que ces reproches n’étaient pas justifiés car le 2CVA a fait beaucoup ces derniers temps pour les stades de football ; ces abris de bancs de touche étaient, de surcroît, prévus. Pour conclure, Philippe CHARBONNEL insiste pour qu’il y ait une bonne communication au sein de la future CCPEVA, pour éviter toute déconvenue liée à un manque d’information et de dialogue. Gérard COLOMER répond que l’organigramme est en discussion et qu’il y est bien prévu un agent en charge de la communication, de manière transversale. Aucune autre remarque n’étant formulée, le procès-verbal du conseil communautaire du mardi 6 septembre 2016 est validé à l’unanimité. 1/14 Ordre du jour I. AMÉNAGEMENT ET ENVIRONNEMENT ....................................................................................... 2 1. II. Visite chaudière bois de Morgins.................................................................................................. 2 TRANSPORT.................................................................................................................................... 2 2. III. Bilan transport scolaire 2015 – 2016 – circuits spéciaux ............................................................. 2 ADMINISTRATION GÉNÉRALE, FINANCES, RESSOURCES HUMAINES .................................. 4 3. IV. 4. Compte-rendu des délégations exercées par le président par délégation de l’organe délibérant 4 ÉVOLUTION DE L’INTERCOMMUNALITÉ ................................................................................. 5 Statuts de la CCPEVA (communauté de communes Pays d’Evian vallée d’Abondance) ........... 5 5. Délibération à prendre sur l’accord local - répartition du nombre de conseillers communautaires par commune ...................................................................................................................................... 10 V. DATES DE RÉUNIONS .................................................................................................................. 13 6. Rappels de dates ........................................................................................................................ 13 7. Dates à prendre .......................................................................................................................... 13 VI. QUESTIONS DIVERSES ........................................................................................................... 13 __________________________________ I. AMÉNAGEMENT ET ENVIRONNEMENT 1. Visite chaudière bois de Morgins Bernard MAXIT rappelle qu’il avait été abordé en comités de pilotage Natura 2000 et PPT (plan pastoral territorial) l’intérêt de visiter la chaudière bois de Morgins, qui s’approvisionne en bois humide, contrairement aux chaudières bois françaises, qui elles utilisent des plaquettes ou pellets séchés. Ce peut être une filière intéressante en termes de débouchés locaux pour les communes, notamment lors de débroussaillages des alpages ou pour tirer parti de résidus de coupes de bois. A ce jour, les rémanents sont souvent laissés sur place, ce qui peut poser problème pour les alpages. Bernard MAXIT ajoute qu’il regrette que cette filière de chauffage au bois humide n’existe pas en France à l’heure actuelle. Gérard COLOMER ajoute qu’il y a un projet bois dans le cadre du programme LEADER. Il serait aussi bien de changer les types de chaudières pour qu’elles puissent fonctionner avec du bois plus humide. Concernant la visite de la chaudière bois de Morgins, l’ONF ayant pris contact avec les responsables de l’équipement, il est donc proposé d’organiser cette visite le 17 ou le 24 novembre (date à arrêter). Il pourrait être intéressant de prévoir ultérieurement la visite de la chaudière des Gets, qui elle fonctionne en approvisionnement local, notamment ces résidus de débroussaillages effectués sur la commune. Le conseil communautaire arrête la date du jeudi 17 novembre matin. Participeraient à cette réunion Gérard COLOMER, Philippe CHARBONNEL, Denis PETIT-JEAN, Pierre MERCIER-GALLAY, Bernard MAXIT. Une information plus large sera passée dans les communes. __________________________________ II. TRANSPORT 2. Bilan transport scolaire 2015 – 2016 – circuits spéciaux a / Bonnevaux (circuits 225-001 et 225-001M) Michel BUFFET précise que, dans le cadre de la convention de remboursement signée entre la 2CVA et la commune de Bonnevaux, le solde à la charge de la commune de Bonnevaux après déduction de la subvention versée par le département de Haute-Savoie s’élève à 996,60 € pour l’année scolaire 2014/2015. 2/14 2014-2015 Nombre d'élèves Circuit 225-001 transportés (L,M, J,V) Nombre d'élèves subventionnés* Nombre d'élèves Circuit 225transportés 001M Nombre d'élèves (Mercredi) subventionnés* Facturation GAGNEUX Subvention conseil général Solde commune de Bonnevaux 2015-2016 20 18 16 15 19 13 17 11 42 040,46 € 25 717,12 € 41 065,76 € 24 720, 96 € 974,70 € 996, 60 € L’année 2014-2015, la rotation du mercredi a fait l’objet d’un marché à part. En 2015-2016, cette rotation a été intégrée dans un marché global d’où une diminution du coût. S’ajoute à cela le regroupement des élèves transportés dans un bus de plus grand gabarit, réduisant d’autant les coûts de facturation (moins de rotation = moins de kilomètres). La plupart des élèves sont pris charge et rentrent dans les critères d’attribution de subvention du département (collège et écoles publiques, plus de 3 kilomètres de distance entre école et le domicile). b/ Abondance - circuits 225-002 (Sous le Pas) 225-002A (Richebourg) - circuits 225 14A1 / 14A2 - 225 14R1 / 14R2 - 225 314 (Charmy – 1er trimestre) - circuits 225 03A1/03A2/03A3/03A4 - 03R1/03R2 – 225303A/303B (Charmy – 2ème trimestre) - circuits 225 24A1/24A2/24R1/24R2 - 225 324 (Charmy – 3ème trimestre) Dans le cadre de la convention de remboursement signée entre la 2CVA et la commune d'Abondance, le solde à la charge d’Abondance après déduction de la subvention versée par le département s’élève à 29 295,07 € pour l’année scolaire 2015/2016. 2014-2015 Circuit 225-002 (Sous le Pas) LMJV MERCREDI Circuit 225-002A (Richebourg) LMJV MERCREDI Circuits 225 14A1 / 14A2 225 14R1 / 14R2 (Charmy – 1er trimestre) LMJV Nombre d'élèves transportés Nombre d'élèves subventionnés* Nombre d'élèves transportés Nombre d'élèves subventionnés* Nombre d'élèves transportés Nombre d'élèves subventionnés* Nombre d'élèves Circuits 225 314 transportés er (Charmy – 1 Nombre d'élèves trimestre) MERCREDI subventionnés* Circuits 225 Nombre d'élèves 03A1/03A2/03A3/03A4 transportés 03R1/03R2 (Charmy – 2ème Nombre d'élèves trimestre) LMJV subventionnés* 17 3 15 11 30 11 2015-2016 17 2 9 6 26 12 25 11 30 12 26 12 3/14 Nombre d'élèves Circuits 225303A/303B transportés ème (Charmy – 2 Nombre d'élèves trimestre) MERCREDI subventionnés* Nombre d'élèves Circuits 225 24A1/24A2/24R1/24R2 transportés - (Charmy – 3ème Nombre d'élèves trimestre) LMJV subventionnés* Nombre d'élèves Circuits 225 324 transportés ème (Charmy – 3 Nombre d'élèves trimestre) MERCREDI subventionnés* Facturation GAGNEUX Subvention conseil général Solde commune d'Abondance 25 11 30 26 11 12 25 11 60 467,62 € 61 203,58 € 28 465,78 € 31 908,51 € 32 001,84 € 29 295,07 € Pour le circuit de « Charmy », la rotation du mercredi fait état d’un enfant transporté en moins par rapport aux autres jours de la semaine, donc également d’un enfant subventionné en moins. Il faut donc calculer le nombre des enfants transportés et subventionnés en fractionnant la semaine. * Pour rappel les élèves non subventionnés sont tous les maternelles ainsi que les primaires habitant à moins de 3 kms de l'école. Seuls les primaires habitant à plus de 3 kms de l'école sont pris en charge par le département. Claire BERTHOUD précise qu’il y a un changement de circuit sur Charmy au 2 ème trimestre, en raison des conditions de circulations différentes à cause de la neige. c/ Châtel La commune de Châtel assure le transport vers l’école primaire par un circuit spécial communal. Il n’y a donc pas de coût supporté par la 2CVA. Le conseil communautaire, à l’unanimité, - approuve le bilan des circuits spéciaux 2015-2016 tel que détaillé ci-dessus ; - approuve la sollicitation auprès de la commune de Bonnevaux la somme de 996, 60 € et auprès de la commune d’Abondance la somme de 29 295,07 €, dans le cadre des conventions de remboursement avec les communes. __________________________________ III. ADMINISTRATION GÉNÉRALE, FINANCES, RESSOURCES HUMAINES 3. Compte-rendu des délégations exercées par le président par délégation de l’organe délibérant 07/09/2016 Décathlon // achat VTT et matériel cyclo pour service BDD Alpes contrôles // vestiaires Revenette // mission spécifique d'assistance Géo Arve // étude géotechnique vestiaires 14/09/2016 Revenette //étude de conception phase avantprojet 14/09/2016 14/09/2016 Valérie Besser graphiste // brochures transports hiver // affiches - Lot 1 - MP éditions Lorraine Graphic // impression brochures hiver 14/09/2016 (17000 exp) et affiches (205 explr) - Lot 2 MP éditions 14/09/2016 Valérie Besser graphiste // guides pratiques 2017 - Lot 1 - MP éditions 297,94 € ttc 1 250,00 € ttc 1 980,00 € ttc 1 925,00 € ttc 2 130,00 € ttc 1 980,00 € ttc 4/14 14/09/2016 Lorraine Graphic // impression guides pratiques (33250 explres) - Lot 2 MP éditions 14/09/2016 Valérie Besser graphiste //Buski flyers et affiches - Lot 1 - MP éditions 330,00 € ttc 14/09/2016 Lorraine Graphic // impression Buski flyers (3000 explr) affiches (250 explrs) - Lot 2 MP éditions 408,00 € ttc 14/09/2016 Birmann Majuscule Librairie / livres divers Natura 2000 421,10 € ttc 14/09/2016 Editions Hesse // livres divers animations Natura 2000 107,00 € ttc 14/09/2016 Au vieux campeur // Chaussures randonnée type Scarpa Charmoz (Natura 2000 - frais indirects) 215,10 € ttc 14/09/2016 CPN // matériel animations Natura 2000 9 303,60 € ttc 163,65 € ttc 19/09/2016 Doublet // ruban inauguration gendarmerie // 10m x 102mm _ délégat° signature CL 41,64 € ttc 27/09/2016 Intermarché LCA // chocolats napolitains exposition vieille douane 63,42 € ttc 27/09/2016 Majuscule Birmann // matériel ateliers automne et hiver 184,98 € ttc Le conseil communautaire prend connaissance de ces informations. __________________________________ IV. ÉVOLUTION DE L’INTERCOMMUNALITÉ 4. Statuts de la CCPEVA (communauté de communes Pays d’Evian vallée d’Abondance) Gérard COLOMER précise que le travail des commissions a permis d’affiner le contour des compétences de la future communauté de communes Pays d’Evian vallée d’Abondance (CCPEVA). Une ébauche des statuts a été discutée en comité de pilotage fusion puis transmise pour avis à la préfecture et, en parallèle, à l’expertise juridique SVP. Une deuxième version a été proposée au comité de pilotage fusion, ce jeudi 29 septembre. C’est ce projet qui est à présent discuté en conseil. Toutefois, la préfecture a indiqué le 28 septembre dernier aux services de la CCPE et de la 2CVA que les statuts de la future CCPEVA ne pouvaient être adoptés par les communes par anticipation, avant le 1 er janvier 2017. Effectivement, suite au premier arrêté de périmètre qui a été notifié le 13 avril 2016 et sur lequel les communes ont eu 75 jours pour se prononcer, le préfet prendra prochainement un arrêté de fusion. Cet arrêtera fixera le périmètre, le nom, le siège et les compétences du nouvel établissement public. La procédure de fusion « loi NOTRe » n’impose pas que l’arrêté de projet de périmètre notifié aux collectivités soit accompagné d’un projet de statuts du futur EPCI, contrairement à la procédure de fusion de droit commun prévue par l’article L.5211-41-3. Ainsi, les éléments qui sont habituellement mentionnés dans les statuts devront être fixés par le préfet dans l’arrêté de fusion qu‘il doit prendre et sur la base des statuts actuels des 2 EPCI. L’EPCI issu de la fusion disposera de la faculté, à compter de sa création au 1er janvier 2017, de modifier ses statuts dans les conditions de droit commun (article L.5211-17 portant sur le transfert de nouvelles compétences), c’est-à-dire une adoption des nouveaux statuts par le conseil communautaire puis, à la majorité qualifiée, par les 22 communes de la future CCPEVA. Par conséquent, dans l’immédiat, les conseils municipaux des communes incluses dans le projet de fusion ne pourront pas se prononcer, en 2016, sur un projet de statuts du futur EPCI. 5/14 La conséquence immédiate est que l’ensemble des compétences exercées à ce jour par les 2 EPCI continueront à être exercées par la future CCPEVA jusqu’à ce qu’une modification statutaire ait lieu. C’est en particulier le cas pour la gestion des centres sportifs de Sous-le-Saix et de la Revenette en vallée d’Abondance. Dans tous les cas, le travail mené jusqu’alors sera utilement repris pour une modification statutaire de la future CCPEVA à compter de sa création au 1er janvier 2017. Il convient donc de poursuivre le travail sur l’élaboration des statuts. Gérard COLOMER précise que les compétences sont à peu près arrêtées et que l’organigramme est en train de s’affiner sur la base de différents pôles. Par ailleurs, il conviendra de définir l’intérêt communautaire pour les compétences suivantes : - Aménagement du territoire (mais pas le transport) - Politique locale du commerce et soutien aux activités commerciales - Construction, entretien et fonctionnement d’équipements culturels et sportifs - Action sociale Cet intérêt communautaire traduit donc la répartition des compétences entre intercommunalité et communes. Il devra être défini par délibération de la CCPEVA à partir du 1er janvier 2017. Le document annexé au présent procès-verbal propose une délimitation de l’intérêt communautaire. Il n’y a pas d’intérêt communautaire pour les compétences facultatives qui doivent être définies dans les statuts. Le conseil communautaire formule les remarques suivantes sur le projet de statuts pour la future CCPEVA. Article 3 – siège Michel BUFFET précise que le siège aurait pu être déplacé de manière plus centrale, par exemple à Bernex, Saint-Paul-en-Chablais ou Vinzier. Gérard COLOMER répond qu’il existe actuellement des locaux à Abondance et Publier et que construire un nouveau siège sur une autre commune aurait représenté un certain coût Article 8 – compétences Transport Gérard COLOMER précise que la compétence transport doit passer à la région du fait de la loi NOTRe, mais que des discussions sont en cours pour éventuellement redéléguer au département cette compétence, sachant que tous les départements ne sont pas forcément d’accord pour reprendre cette compétence en délégation. Bernard MAXIT aborde la question du transport urbain et demande si l’on a une idée du coût supporté par la CCPE à ce jour. Cédric LEHUÉDÉ répond que la contribution de la CCPE au SIBAT (transport urbain) s’élève à 262 500 € par an en moyenne. Concernant le transport à la demande, Gérard COLOMER estime qu’il faudra: prévoir une réouverture du service à la vallée mais sans créer de nouvelle rotation de véhicule. Il faut optimiser les liaisons existantes sans créer de nouveaux frais. Bernard MAXIT s’interroge sur la prise en charge par la communauté de communes des élèves habitant à moins de 3 kms de leur lieu de scolarité, sachant que ces élèves ne sont pas subventionnés par le département. Gérard COLOMER répond qu’il y a eu une réflexion sur le sujet dans le cadre de la commission « transport » et que cette commission a préconisé une harmonisation en prenant en charge les élèves situés à moins de 3 kms de leur lieu de scolarité, mais uniquement les élèves du secondaire. 6/14 Compétences déléguées au SIAC Gérard COLOMER précise qu’il y a eu une réflexion au niveau du SIAC pour prendre de nouvelles compétences, en particulier l’accueil des gens du voyage ou l’accueil des saisonniers). Toutefois, les représentants de la future communauté d’agglomération de Thonon-les-Bains ont refusé cet élargissement, lors de la dernière réunion de bureau du SIAC. C’est ainsi que les statuts du SIAC resteraient en l’état pour ce qui est des compétences. Ces discussions difficiles préfigurent un redémarrage du SIAC compliqué au début de l’année 2017, compte tenu de la redécomposition du périmètre des communautés de communes. Claire BERTHOUD intervient par rapport au mobilier du Geopark, qui est actuellement installé et entretenu par les communes de la vallée d’Abondance. Elle demande ce qu’il en est au niveau du Pays d’Évian. Cédric LEHUÉDÉ répond que c’est la CCPE qui a acquis les éléments du mobilier et qui réalise les réparations si nécessaires, les communes entretenant les abords des sites. Une harmonisation des pratiques est bien prévue et sera proposée au comité de pilotage « fusion ». Michel BUFFET estime que les mobiliers relèvent de la compétence du SIAC au titre du Géopark, ce à quoi Gérard COLOMER répond que le SIAC n’est compétent que sur l’animation du Géopark et pas sur l’installation du mobilier.s Michel BUFFET craint que la compétence « démarches contractuelles et de planification relatives à la gestion globale et concertée de l’eau et des milieux aquatiques de type contrat de rivière » entraîne de facto la gestion de l’eau potable. Cédric LEHUÉDÉ répond que ce n’est pas le cas, la gestion de l’eau potable étant une compétence en soi, mais que la remarque sera faite au SIAC. Développement économique Cédric LEHUÉDÉ précise que la rédaction de cette compétence, comme pour toutes les compétences obligatoires, doit être calquée sur la rédaction du code des collectivités territoriales. Gérard COLOMER insiste sur le fait que la loi NOTRe entraîne le transfert de toutes les zones d’activités économiques vers l’intercommunalité, y compris les petites zones artisanales. Bernard MAXIT souhaite avoir une définition des « zones d’activités touristiques » telles que mentionnées dans les statuts. Un site nordique peut-il être considéré comme une telle zone ? Qu’en est-il des remontées mécaniques et des domaines skiables également ? De la même manière, sont mentionnées dans les statuts les « zones portuaires ». Le port de Publier doitil être considéré comme une zone portuaire relevant de l’intercommunalité ? Cédric LEHUÉDÉ répond que les zones d’activités touristiques ne sont pas définies d’un point de vue juridique et qu’il conviendra que la communauté de communes précise par délibération ce qu’elle a retenu comme « zones d’activités touristiques » et ce qu’elle en a exclu. En tout état de cause, les remontées mécaniques ne semblent pas être intégrées dans ce champ de zones d’activités touristiques. Concernant les commerces, Gérard COLOMER précise que la communauté de communes n’aurait comme compétence que de rendre des avis en commission départementale d’aménagement commercial, en particulier sur les projets commerciaux de grandes superficies. Les communes restent compétences en matière de politique commerciale et d’implantation des commerces. De manière plus générale, Bernard MAXIT souhaite avoir un récapitulatif de tous les projets d’investissement en cours de la CCPE, toutes compétences confondues. Cédric LEHUÉDÉ rappelle les projets qui figurent dans le compte-rendu du premier comité de pilotage « fusion » : - Zone de Montigny sur la commune de Maxilly : environ 417 000 € HT - Zone de la Créto : acquisition de terrains est en cours (18 929 m2) pour un total de 235 554 € - Pépinière d’entreprise à Thonon - Réhabilitation de la fruitière de Vinzier en vue d’une location à la coopérative du pays de Gavot Val d’Abondance, dans une optique de fabrication de reblochon et de valorisation des AOC. Ce projet consiste en l’achat du bâtiment estimé à 294 000 € par France Domaine. La réhabilitation – extension est évaluée à 1,47 M € HT. L’objectif est que les loyers couvrent le coût du projet. 7/14 - - - - Aménagement de la zone d’activité du Cartheray dans le cadre d’un Projet Urbain Partenarial : coût des travaux : 1 M € HT- participation aménageur 373 000 € après déduction du prix du terrain. SDIS : construction d’une caserne à Evian (caserne actuelle mal située et vétuste) et construction d’un Centre de Première Intervention (CPI) à Saint Paul la Créto sur un terrain mis à disposition par la CCPE Aménagement d’un GOLF sur les terrains appartenant à la CCPE (sur Montigny) : golf 9 trous La CCPE souhaite démocratiser cette activité dans un contexte de fréquentation maximale du golf d’Evian. Aménagement du site de l’ancien collège avec construction de logements et implantation d’un hôtel d’entreprises Tourisme Michel BUFFET a bien noté que les offices de tourisme d’Evian et de Châtel resteraient communaux. Il demande ce qu’il en serait des offices de La Chapelle d’Abondance et d’Abondance. Gérard COLOMER répond qu’ils seraient transférés à la communauté de communes pour ce qui est du financement et de la gouvernance mais qu’ils seraient maintenus « distincts » (dérogation des offices de tourisme de marque). Catherine ROQUIGNY estime qu’il subsiste encore de nombreux flous concernant cette compétence ; elle craint que l’on repousse toujours les décisions à prendre alors qu’à un moment donné il faudra bien se positionner clairement. Gérard COLOMER répond que les imprécisions de la loi NOTRe ont effectivement fait perdre une année sur le sujet. Philippe CHARBONNEL ajoute que pour le tourisme et la dérogation offerte aux stations classées de pouvoir maintenir communaux leurs offices de tourisme, on est encore en attente du vote de la « loi montagne 2 » car, pour l’instant, c’est encore la loi NOTRe qui s’applique. Accueil des gens du voyage Denis PETIT-JEAN regrette que la compétence « d’accueil des gens du voyage » ait été sortie du projet de nouveaux statuts du SIAC. Il estime qu’une gestion de cette compétence au niveau de tout le Chablais aurait été très cohérente. Gérard COLOMER est d’accord et précise qu’il s’agit là de la position tenue par la future agglomération de Thonon. Catherine ROQUIGNY demande si les besoins des travailleurs saisonniers peuvent être traités au niveau de la compétence d’accueil des gens du voyage. Gérard COLOMER répond par la négative ; il s’agit bien d’une compétence à part. Les besoins des saisonniers peuvent être traités par le biais du financement du point d’accueil des saisonniers. Point d’accueil des saisonniers Catherine ROQUIGNY trouve qu’il faudrait intervenir plus sur l’accueil des saisonniers car il s’agit des forces vives du territoire qui font fonctionner les stations en période touristique. Michel BUFFET n’est pas d’accord et ne voit pas pourquoi la communauté de communes paierait la moitié du loyer du logement des saisonniers comme cela se fait au niveau du camping de la Baume en vallée d’Aulps. Il y a des habitants de la vallée qui travaillent comme saisonniers et qui, avec un petit salaire, doivent trouver à se loger par leurs propres moyens. Catherine ROQUIGNY répond qu’il faut du personnel extérieur à la vallée car le personnel local ne suffit pas en période touristique. Elle ajoute qu’on peut intervenir en faveur des saisonniers sans faire exactement comme en vallée d’Aulps. Philippe CHARBONNEL précise qu’à Châtel certains employeurs financent 50% du coût d’hébergement de leurs saisonniers. Gérard COLOMER précise que la compétence se limite à ce stade au financement d’un point d’accueil des saisonniers. Denis PETIT-JEAN estime que le terme « point d’accueil des saisonniers » est trop vague. Gérard COLOMER répond qu’il s’agit d’un point d’accueil où les saisonniers peuvent trouver des informations sur leurs droits au travail, les possibilités de logement et la santé. 8/14 Méthaniseur et réseaux de chaleur Bernard MAXIT souhaite savoir si la CCPE dispose de suffisamment de terrains pour épandre les digestats produits par le méthaniseur. Gérard COLOMER répond que la réunion prévue le jeudi suivant sera le lieu où il faudra poser ce type de question. Les membres du conseil communautaire estiment majoritairement que ces compétences méthaniseur et réseaux de chaleur ne devraient pas être portées par la communauté de communes. Assainissement et eau potable Bernard MAXIT déclare que la compétence « assainissement » ne sera obligatoire qu’à partir de 2020. Gérard COLOMER répond que la CCPE a déjà cette compétence et que, par conséquent, il paraît difficile de la rétrocéder aux communes sachant qu’elle sera obligatoire de toute façon en 2018 (vu que la 2CVA exerce déjà la compétence « assainissement non collectif »). Bernard MAXIT souhaite connaître les relations exactes entre la CCPE et le SERTE. Cédric LEHUÉDÉ répond que la CCPE verse une contribution au SERTE pour le fonctionnement de la station d’épuration de Thonon et l’entretien des réseaux partagés avec Thonon. Concernant l’eau potable, une majorité des membres du conseil communautaire estime que la réalisation d’études sur la prise de compétence « eau potable » n’a pas à être inscrite dans les statuts. La gestion de l’eau potable ne sera obligatoire qu’en 2020 et la loi peut changer entre temps. De manière générale, les membres du conseil communautaire estiment qu’il ne faut pas anticiper la prise des compétences qui ne sont pas encore obligatoires. Denis PETIT-JEAN estime que la conduite d’eau intercommunale, actuellement gérée par le SIVOM du Pays de Gavot, devrait être gérée par un système d’entente intercommunale entre les communes concernées sur le SIVOM du Pays de Gavot, plutôt que d’être rétrocédée à la communauté de communes. Services à la population Catherine ROQUIGNY explique en quoi consisterait le RAM (relais d’assistantes maternelles) itinérant. Il s’agit en fait d’un lieu où toutes les assistantes maternelles peuvent se retrouver, partager des activités pour les enfants et bénéficier d’un lieu d’écoute, d’échange et d’animation. Un RAM fonctionne avec une animatrice. L’idée du RAM itinérant est que l’animatrice irait périodiquement dans chacune des communes du territoire, au sein d’une salle mise à disposition par chaque commune d’accueil. Ainsi, l’ensemble des assistantes maternelles pourrait bénéficier des services du RAM. Un RAM n’est pas une maison d’assistantes maternelles où il y a une responsabilité de garde des enfants. Il s’agit d’un lieu avant tout destiné aux assistantes maternelles. Concernant les maisons de services au public, les membres du conseil communautaire en majorité s’interrogent sur la pertinence de cette compétence au niveau de la communauté de communes et ne s’y déclarent pas favorables a priori. Les membres du conseil communautaire formulent un avis favorable sur l’intervention de la communauté de communes dans le financement de la formation musicale collective (actuellement 209 € par élève versés par la CCPE) et notent toutefois qu’il faut répondre à un certain nombre de critère en particulier sur l’agrément des professeurs. Claire BERTHOUD demande si la communauté de communes continuerait toujours à verser des aides aux associations. Le foyer socio-éducatif du collège a d’ores et déjà précisé que s’il n’y avait plus de subvention versée, il diminuerait les activités auprès des collégiens. Gérard COLOMER répond que les aides aux associations ne seront pas reconduites au niveau intercommunal. Le SIVOM du Pays de Gavot est dans une problématique un peu similaire puisque les aides données aux associations ne seront pas reprises par la communauté de communes. Dans ce cas, ce sont désormais les communes qui prendront le relais. Les autres compétences optionnelles Denis PETIT-JEAN estime qu’il ne faut pas prendre trop de compétences ; on doit faire a minima dans le cadre de la fusion, par rapport aux compétences actuellement exercées. 9/14 Il n’y a pas de discussion sur les compétences obligatoires (par définition) mais les compétences optionnelles et encore plus les compétences facultatives ne devraient pas systématiquement être intégrées aux statuts de la communauté de communes, surtout si les projets ne sont pas murs. Michel BUFFET demande si les communes peuvent choisir de prendre ou non les compétences « optionnelles » et « facultatives ». Gérard COLOMER répond par la négative. Une communauté de communes n’est pas un syndicat à la carte. Le caractère « optionnel » ou « facultatif » fait simplement référence à une classification des compétences pour les communautés de communes, ces dernières étant tenues d’assurer toutes les compétences obligatoires et un certain nombre de compétences optionnelles. Une fois les compétences définies dans les statuts, ces compétences sont exercées sur la totalité des communes du territoire. Denis PETIT-JEAN estime qu’il subsiste encore une inconnue sur l’intégration dans les compétences de la communauté de communes de la construction des vestiaires de la Revenette et qu’il convient d’être prudent, dans l’attente de la tenue du conseil communautaire de la CCPE en date du 17 octobre. Par ailleurs, il est fait état d’un projet de terrain de golf à Maxilly-sur-Léman, à proximité de l’atelier relais. Bernard MAXIT souhaite connaître la position de la Chambre d’agriculture sur ce projet. Gérard COLOMER répond qu’il ne la connaît pas à ce jour. Michel BUFFET estime que s’il est question de réaliser un terrain de golf au niveau de la future CCPEVA, il faudrait aussi que la communauté de communes confirme qu’elle finalisera bien la construction des vestiaires de la Revenette. Les compétences facultatives Catherine ROQUIGNY demande quels sont les avantages de la réalisation des casernes du SDIS au niveau intercommunal, comme c’est le cas actuellement sur le Pays d’Evian. Cédric LEHUÉDÉ répond que ça a été un choix politique au sein de la CCPE dans la mesure où ces casernes ont un rayon d’intervention qui dépasse le niveau communal. Le fonctionnement du SDIS reste dans tous les cas financé par les communes, la communauté de communes n’intervenant que sur l’investissement et l’achat du terrain. Les membres du conseil communautaire expriment une préférence pour que la construction des casernes du SDIS reste au niveau communal. Il est précisé que l’entretien des sentiers pourrait être réalisé en régie sur la vallée d’Abondance en 2017. Catherine ROQUIGNY précise qu’un inventaire et un estimatif ont été faits en commission de fusion « sentiers ». Bernard MAXIT s’interroge sur les sentiers équestres et demande des précisions sur les sentiers qui relèveraient de la compétence de la communauté de communes. Il se demande par ailleurs s’il y aurait possibilité de s’opposer au passage des chevaux sur un sentier du fait que la communauté de communes détiendrait la compétence « sentiers équestres ». A propos de la compétence nordique, Gérard COLOMER déclare qu’une rencontre est à prévoir prochainement avec la commune de La Chapelle d’Abondance et son délégataire, en intégrant des élus du Pays d’Evian plus concernés par cette problématique. Catherine ROQUIGNY se demande où il y a des activités nordiques dans le Pays d’Evian. Gérard COLOMER répond qu’il y a une petite boucle de ski de fond à Thollon-les-Mémises, mais a priori plus rien sur Bernex. Le conseil communautaire, après avoir exprimé ses remarques sur le projet de statuts de la future CCPEVA, note que ces statuts seront à approuver par le conseil communautaire de la future communauté de communes une fois celle-ci créée, puis ensuite par les 22 communes membres. 5. Délibération à prendre sur l’accord local - répartition du nombre de conseillers communautaires par commune Gérard COLOMER rappelle que les communes doivent délibérer rapidement pour entériner l’accord local concernant la gouvernance de future communauté de communes. Effectivement, pour que le conseil communautaire puisse élire son ou sa présidente, il convient que cet arrêté de composition ait été pris par le préfet. Pour rappel, le conseil communautaire réuni le 7 juillet dernier avait approuvé une répartition dérogatoire à celle de droit commun (qui aurait voulu qu’il y ait 42 conseillers communautaires). 10/14 Cet accord local prévoit donc 49 conseillers communautaires, dont 8 pour la vallée d’Abondance, répartis comme suit. Il est à noter que les communes n’ayant qu’un seul siège disposeront de droit d’un siège de suppléant qui sera appelé à siéger dans le conseil communautaire en cas d’absence du conseiller titulaire de la commune. Communes EVIAN-LES-BAINS PUBLIER NEUVECELLE LUGRIN SAINT-PAUL-ENCHABLAIS MARIN FETERNES ABONDANCE MAXILLY-SUR-LEMAN LARRINGES BERNEX CHATEL CHAMPANGES CHAPELLED'ABONDANCE SAINT-GINGOLPH VACHERESSE THOLLON-LESMEMISES VINZIER CHEVENOZ MEILLERIE BONNEVAUX NOVEL TOTAL Nombre maximal VP par défaut (1) Population municipale Répartition actuelle* Droit commun Accord local 8 675 6 589 10 8 2 843 2 366 3 3 10 7 3 9 7 3 2 3 2 236 1 673 1 379 1 344 1 330 1 282 2 2 1 4 1 1 2 3 1 236 1 171 880 1 4 1 2 1 1 1 1 1 2 2 2 2 2 2 1 1 2 1 866 801 785 3 1 3 1 1 1 1 1 1 728 718 578 326 254 1 1 3 1 2 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 51 1 1 1 57 42 49 11 9 10 NA 12 14 38 111 de Nombre maximal de VP par dérogation (2) (1) 20% maximum du nombre de sièges de conseillers communautaires et 15 vice-présidents au maximum, arrondi à l'entier supérieur (2) si majorité des 2/3, possibilité de monter à 30% du nombre de sièges de conseillers communautaires et 15 vice-présidents au maximum * répartition actuelle dans les 2 conseils communautaires respectifs Pour que le préfet prenne un arrêté de composition du futur conseil communautaire, il convient que les 22 communes délibèrent rapidement. Le choix sera confirmé à la majorité qualifiée (au moins la moitié des communes représentant au moins les 2/3 des habitants ou les 2/3 des communes au moins représentant au moins la moitié des habitants). Les communes sont invitées à délibérer sur cet accord local et à transmettre une copie de leur délibération aux services de la 2CVA. 11/14 Une délibération type sera transmise par les services de la 2CVA aux communes. La nouvelle répartition va engendrer une modification du nombre de conseillers communautaires dans plusieurs communes, par rapport à la répartition actuelle, que ce soit à la hausse ou à la baisse (plus fréquemment). En cas de changement, c’est l’article L.5211-6-2 du CGCT qui s’applique. - Communes de 1 000 habitants et plus : En cas de baisse du nombre de conseillers : élection au sein du conseil municipal des nouveaux conseillers communautaires parmi les conseillers communautaires sortants, au scrutin de liste à un tour ; la répartition des sièges entre les listes est opérée à la représentation proportionnelle à la plus forte moyenne. Il s’agit de listes constituées spécialement pour ce scrutin. En cas de hausse du nombre de conseillers, les mandats du (des) conseiller(s) communautaire(s) sortant(s) est (sont) maintenu(s) et le(s) siège(s) supplémentaire(s) est (sont) pourvu(s) par élection au sein du conseil municipal. Pour les communes de 1 000 habitants et plus ne disposant que d’un siège, les listes des candidats devront comporter deux noms, le second candidat de la liste élue devenant conseiller communautaire suppléant. - Communes de moins de 1 000 habitants : Elles doivent se conformer à l’ordre du tableau en vigueur En cas de baisse du nombre de conseillers, le ou les conseillers communautaires les moins bien placés dans l’ordre du tableau perdent leur mandat intercommunal En cas de hausse du nombre de conseillers, les mandats des conseillers communautaires sortants sont maintenus et le(s) siège(s) supplémentaire(s) est (sont) attribué(s) aux conseillers municipaux placés dans l’ordre du tableau immédiatement après le dernier conseiller municipal disposant d’un mandat communautaire. Pour les communes de La Chapelle d’Abondance, Vacheresse, Chevenoz et Bonnevaux, le conseiller communautaire titulaire sera le maire et le suppléant sera le 1 er adjoint. Le maire peut éventuellement démissionner par la suite de son mandat de conseiller communautaire laissant ainsi sa place au 1 er adjoint. Pour les communes de Châtel et d’Abondance, les 2 conseillers communautaires de chacune de ces communes devront être élus au sein des conseils municipaux respectifs, parmi les conseillers communautaires sortants. Catherine ROQUIGNY demande qui définira les commissions. Il lui semblerait pertinent de constituer une « commission des petites communes » car les problématiques des petites communes sont différentes des grosses qui sont souvent, par ailleurs, des services structurés pour y répondre. Les problèmes des petites communes pourraient être travaillés dans cette commission afin de faire des propositions au conseil communautaire. Gérard COLOMER répond les commissions seront définies par le nouveau conseil communautaire, sur proposition du ou de la président(e). Toutefois, il estime qu’il faut travailler sur le sujet des viceprésidences et des commissions d’ici la fin de l’année et de ne pas attendre le 1er janvier pour avancer. Concernant la commission « petites communes », Gérard COLOMER répond que cela pourra être étudié, en fonction peut-être de sujets plus précis à regarder. Il pourrait aussi s’agir de la commission « services à la population » ou de la commission « transport », selon les sujets évoqués. Gérard COLOMER ajoute que les élus de la CCPE ont toujours précisé que les problématiques des petites communes n’avaient jamais été mises de côté. Michel BUFFET précise qu’à partir du moment où l’on sort d’une agglomération, le transport public est difficile. Il se demande par ailleurs pourquoi le transport à la demande fonctionne bien sur le pays d’Evian et pas dans la vallée d’Abondance. Le conseil communautaire prend note de ces informations. __________________________________ 12/14 V. DATES DE RÉUNIONS 6. Rappels de dates a. Commission Pays d’art et d’histoire (budget) : mercredi 5 octobre à 17h b. Rando rose : le 9 octobre – départ à 8h à Chevenoz, 9h à Vacheresse, 10h à Abondance et 11h La Chapelle d’Abondance et Châtel c. Rendez-vous du Geopark Chablais Bise à la Préhistoire : dimanche 9 octobre à 9h30 aux chalets de Bise (report du 18/09) d. Commission Transports : lundi 10 octobre à 18h e. Commission aménagement, agriculture et environnement : la date fixée en séance est reportée ultérieurement f. Rencontre avec Béatrice GRANDCHAMP (DRAC auvergne Rhône-Alpes) au sujet du projet d’extension du label Pays d’art et d’histoire au Pays d’Evian à la CCPE : jeudi 13 octobre à 17h30 g. Comité syndical du SIAC : jeudi 6 octobre à 18h reporté au mercredi 19 octobre à 18h – salle aérospatiale à Allinges h. Commission de fusion « assainissement » : jeudi 20 octobre à 15h à la CCPE i. Projet de territoire : mardi 25 octobre : o 9h00-10h30 : politiques de transport et d’aménagement o 10h30-12h00 : développement économique o 18h00 : Stratégie en matière de tourisme j. Prochain comité de pilotage fusion : mardi 25 octobre à 14h à la CCPE k. Prochain bureau : mardi 25 octobre à 16h dans les locaux de la CCPE l. Conférence Les monuments aux morts de Savoie : samedi 5 novembre à 16h30 à la mairie de Vacheresse m. Conseil communautaire de la 2CVA de novembre : mardi 8 novembre à 18h 7. Dates à prendre a. Comité de pilotage « bords de Dranse » : analyse des offres du 1er marché de travaux sur l’entrée de vallée à lancer cette année. Arrêté le lundi 7 novembre à 17h sous réserve que le cabinet UGUET soit près pour cette date. b. Visite de la chaufferie bois de Morgins : le 17 novembre. __________________________________ VI. QUESTIONS DIVERSES Néant __________________________________ L’ordre du jour étant épuisé, le président lève la séance à 20h20. 13/14 14/14