Dossier de Presse "23 ème Concours National de la

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Dossier de Presse "23 ème Concours National de la
DOSSIER DE PRESSE
Agropole
23ème édition
“L’innovation est une alliance entre recherche, marketing, instinct, imagination, produit et
courage industriel.”
Antoine Riboud
Contact Presse Marie TETARD
[email protected]
06 85 03 46 80
SOMMAIRE
Agropole, la technopole agroalimentaire
Page 2
L'actualité d'Agropole
Page 3
Le Concours National Agropole,
Création d’Entreprises Agroalimentaires
Page 6
Les finalistes de la 23ème édition du Concours
Page 7
Par la globalité de son offre, par la qualité des outils mis à disposition des industriels et par sa
spécialisation, AGROPOLE permet aux entreprises agroalimentaires d'accélérer leur développement et
de sécuriser leur croissance.
Sur un même lieu géographique, un ensemble de services uniques en Europe :
-
Recherche et Développement : le CRT AGROTEC accompagne les industriels de l’agroalimentaire dans
la mise au point de nouveaux produits et procédés, dans leur développement et leurs projets industriels,
mais aussi dans la validation de leurs produits auprès des consommateurs.
-
Outils de production et de stockage de la pépinière : la technopole propose plus de 5 000m2 de
surfaces de production modulables répondant aux normes agroalimentaires.
-
Disponibilité foncière : sur près de 60 hectares réservés à son propre développement, AGROPOLE peut
assurer l’implantation d’entreprises agroalimentaires sortant de pépinière ou le développement d'usines
existantes.
-
Atouts logistiques : une situation géographique centrale et une plate-forme d’allotissement dédiée au site,
optimisent les flux d’approvisionnement et de distribution.
-
Accompagnement : l’équipe de la pépinière (certifiée AFNOR) suit le porteur de projet ou l’industriel, de
l’idée à l’industrialisation. Agropole accompagne également les entreprises de la pépinière dans la
recherche de capitaux pour financer leur croissance.
Ce sont au total plus de 6,713 millions d'euros qui ont été ainsi mobilisés pour financer le développement
des jeunes sociétés du site.
-
Services mutualisés : un standard personnalisé sous protocole informatisé (IP), un service intégré de
courrier et de reprographie, des salles de réunion et de visioconférence permettent aux entreprises de
limiter leurs charges d’exploitation.
-
Main d’œuvre et formation : implantés sur le site, les centres de formation SUD MANAGEMENT facilitent
le recrutement d’une main d’œuvre formée aux spécificités de l’agroalimentaire.
120 sociétés sont aujourd'hui installées sur AGROPOLE.
L’actualité d’
1. Un site toujours en croissance
Le dynamisme d'investissement d'AGROPOLE est constant. Depuis 2015, le programme des investissements
privés est de nouveau soutenu.
La plateforme du futur pour les fruits et légumes AGROTEC a été inaugurée en juin 2016 (1,276 M€ de
bâtiment et 600 K€ pour les équipements intérieurs et le programme de recherche), Natura Plus Ultra Pet Food
a construit sa propre usine sur la technopole et Cité Gourmande a démarré, le chantier de doublement de sa
surface de production.
2. Le nouvel outil industriel de Natura Plus Ultra Pet Food
Matthieu WINCKER est le fondateur de la société NATURA PLUS ULTRA PET FOOD.
Après 20 ans d'expérience en agroalimentaire, passionné d'animaux, il décide de créer sa propre société en
2014, pour s'attaquer au marché de la nourriture pour chien et chat. C'est un pari ambitieux que relève la jeune
société : s’affranchir des intermédiaires de la distribution, pour proposer en direct au consommateur une
nutrition de qualité via ses sites internet : www.ultrapremiumdirect.com ; www.naturaplusultra.com
Après un passage rapide en pépinière (à peine 2 ans!), Matthieu WINCKER décide de construire son propre
outil industriel. Implanté sur AGROPOLE III, le nouveau site s'étend sur près de 2 000 mètres carrés (bureaux
et unité d'assemblage), sur une hauteur de 11 mètres et représente un investissement de 2 millions d'euros. Ce
nouvel outil permettra de répondre aux exigences de près de 15 000 consommateurs de la marque. L'année
2016 démarre avec un CA prévisionnel de 4,5 Millions d'euros, croissance qui ne cesse d'accélérer avec une
prévision pour 2018 de 10 Millions d'euros. Une option a d'ores et déjà été posée sur 1 hectare de terrain
mitoyen en vue d'un futur agrandissement. Cela permettra d’intégrer progressivement l’ensemble des process
de production et d'accueillir les 35 employés prévus dès 2018.
3. L'extension de la halle technologique d'AGROTEC, plateforme du futur pour les fruits et
légumes
AGROTEC est devenu, en 27 ans, le Centre de Ressources Technologiques de référence du secteur des fruits
et légumes transformés.
Depuis plusieurs années, l'objectif stratégique d'AGROTEC est de chercher à maîtriser la consommation
énergétique des process agroalimentaires existants pour permettre, notamment, la valorisation des coproduits
végétaux dans des conditions économiques optimales.
Pour acquérir ces nouvelles compétences, de nouveaux moyens matériels et humains étaient nécessaires
1ère étape : l'accueil de nouveaux chercheurs
AGROTEC a du compléter sa compétence produits par des compétences "procédés" en recrutant des
doctorants/chercheurs pour travailler sur un même thème :
"l'optimisation des procédés thermiques sous contraintes énergétiques et nutritionnelles".
Le volet nutritionnel est intégré depuis 2012.
Une thèse sur la valorisation des coproduits végétaux à des fins nutritionnelles, a été menée en alternance
avec l'Université de Bordeaux ; Sylène BRIANCEAU, chef de projet AGROTEC, est aujourd'hui en poste pour
développer cette offre de service.
Depuis début 2016, le volet énergétique est porté par une doctorante dans le cadre d'une thèse CIFRE,
réalisée elle aussi, en alternance avec le laboratoire I2M de l’ENSAM de Bordeaux.
2ème étape : construction de la nouvelle plateforme
L'extension-restructuration de la halle technologique offre aux agriculteurs et industriels clients du Centre
Technique un outil innovant : cette construction permet d'étudier de quelles façons un bâtiment industriel peut
être mis en interaction avec la gestion des procédés agroalimentaires.
Les 3 objectifs de ce nouveau bâtiment sont :
-
d'accueillir les petites entreprises qui veulent transformer leurs produits dans des locaux
adaptés aux exigences d’aujourd’hui et de demain,
de développer l’activité du Centre Technologique du Séchage des Fruits et légumes
d'étudier les interactions entre le bâtiment industriel et les process qu'il abrite (équipe
Recherche d’AGROTEC).
Ce bâtiment permettra de suivre en temps réel sa consommation générale en énergies et fluides, ainsi que la
consommation de chaque process, poste par poste. Mais il permettra surtout d'intervenir dans le process pour
moduler la consommation et ainsi l'optimiser.
Dans la continuité, AGROTEC équipera la structure de systèmes de récupération d'énergie pour piloter
l'optimisation les coûts de production (récupération de chaleur ou des eaux de process par exemple…). Cette
deuxième tranche d'équipements débutera en 2016.
3ème étape : l'application industrielle
Pour travailler sur les procédés thermiques, AGROTEC s'équipe de pilotes et d'outils spécifiques aux
traitements thermiques et au séchage. Depuis fin 2015, cet équipement ultra spécialisé permet d'accueillir le
Centre Technologique du Séchage des Fruits et Légumes, dont les premières applications industrielles sont
développées en partenariat avec le BIP (Bureau national Interprofessionnel du Pruneau).
François CHABRIER interviendra sur le plateau de SIAL TV le mercredi 19 octobre 2016 entre 16h et
16h45 sur ce sujet.
Plus d'informations: François CHABRIER (05 53 77 20 21 ou [email protected])
4. Le nouveau Village d'Entreprises d'AGROPOLE
Le Village d'Entreprises d'Agropole est le tout dernier outil mis en place par la technopole, pour compléter son
dispositif d'accompagnement des entreprises.
En 2012, le déménagement de l'usine BONCOLAC dans un nouvel outil industriel sur AGROPOLE III a libéré
une friche industrielle de 2 600 mètres carrés.
Dans le même temps, on constate que la pression de l'environnement économique actuel retarde souvent la
réalisation du projet d'implantation de nombreuses entreprises à leur sortie de pépinière. L'idée qu'AGROPOLE
puisse proposer un "site-relais" à ces entreprises a donc vu le jour.
1ère étape, Immo CCI, structure immobilière de la Chambre de Commerce du Lot-et-Garonne, a racheté le site à
BONCOLAC pour pouvoir disposer des locaux.
Puis IMMO CCI a aménagé la friche pour adapter le site aux 3 premiers occupants, LEXEM, FRUITIS et
FLOWERSEP.
Le mode d'occupation des locaux dépend de l'objectif de chaque "locataire", il peut prendre la forme d'un bail
commercial classique (3/6/9 ans) ou celle d'un bail avec option d'achat.
Les premiers locataires du Village d'entreprises :
LEXEM :
Par sa maîtrise de l'automatisme, de la robotique, de l’informatique industrielle et de la réhabilitation de
machines (retrofit), LEXEM peut répondre à un large éventail de besoins clients, essentiellement dans la filière
agroalimentaire (palettisation, étiquetage…). Par exemple, quelle que soit la taille de l'entreprise, LEXEM peut
automatiser certaines taches du process de production pour réduire la pénibilité des postes de travail. Ces
réalisations "sur mesure" sont accessibles à tous les profils de chaînes de fabrication.
Cette société s'est installée dans la pépinière d'Agropole début 2004 et vient d'aménager dans le Village
d'Entreprises du site sur 1 156m2.
http://www.lexem-automation.com
FLOWERSEP :
FlowerSEP est une société pionnière dans la séparation solide/liquide haute performance pour des
suspensions bi ou tri phasique de l’industrie et des collectivités.
FlowerSEP conçoit et fabrique des séparateurs centrifuges à flux laminaire protégés par des brevets déposés
en commun avec le Commissariat à l’Énergie Atomique et aux Énergies Alternatives (CEA). Ces systèmes sont
développés avec le soutien des équipes Recherche & Développement de la Direction de l’Énergie Nucléaire
(DEN) du CEA, avec une exigence extrême de qualité, performance, sécurité et robustesse.
De nouvelles perspectives s’offrent désormais aux industriels qui traitent des suspensions difficiles à clarifier ou
à déshydrater, notamment dans l'industrie agroalimentaire.
http://www.flowersep.com/
FRUITIS :
Fruitis est un transformateur de fruits et de légumes en poudre, dont le process de production préserve les
qualités gustatives et nutritionnelles du produit d'origine. Sa technique n'utilise aucun additif. Fruitis travaille
actuellement avec des producteurs régionaux de fruits et légumes sur la valorisation des écarts de production
et avec des industriels sur la transformation d'ingrédients en poudre. Ce process industriel trouve des
applications en épicerie fine, en pâtisserie (pour l’élaboration de desserts ou de cocktails), mais également
dans la conception de plats préparés ...
http://www.agritech-france.fr
Une surface de 614 m2 reste encore disponible pour une, ou plusieurs nouvelles entreprises.
Le Concours National AGROPOLE récompensant la création d'entreprises agroalimentaires a été lancé en
1994 par AGROPOLE en partenariat avec BpiFrance, l'AFE (ex APCE), l’ANIA, le SIAL, RIA et maintenant
SOPEXA. Il est sponsorisé par Ernst &Young.
Ce concours récompense, chaque année, des projets de création, ou des entreprises du secteur de l'industrie
agroalimentaire de moins de 3 ans, en produit, process ou service.
Un seul impératif :
l'innovation.
Depuis 1994, 59 dossiers ont été primés, 38 sociétés sont toujours en activité, 9 ont arrêté leur projet et 12 ont
déposé leur bilan.
Ces 38 sociétés, dont 10 sont installées sur Agropole, emploient 890 personnes et ont construit 46 890 m2 de
bâtiments industriels (au 31 décembre 2015).
Le jury de cette 23ème édition est présidé par Monsieur Alain ROUSSET, Président de la Région NouvelleAquitaine. La Vice-présidence est assurée par Monsieur Pierre CAMANI, Sénateur et Président du Conseil
Départemental de Lot-et-Garonne.
Le jury est composé des personnalités suivantes :
Membre du Jury Industrie et Distribution
Monsieur Jean-Bernard BONDUELLE (BONDUELLE) ; Monsieur Gérard BOULEAU (SAVENCIA) ; Monsieur
Grégoire GONNORD (FLEURY MICHON) ; Monsieur Jean-François HUET (LECLERC) ; Monsieur Laurent
SACCHI (DANONE)
Membre du Jury Partenaires
Monsieur Alain BELAIS (AFE) Madame Catherine CHAPALAIN (ANIA) Monsieur Gérard JULIEN
(RIA) Monsieur Philippe NAUCHE (SOPEXA) Monsieur Nicolas TRENTESAUX (SIAL) Madame Ariane
VOYATZAKIS (Bpifrance)
Dans l’espace presse du site internet www.agropole.com vous trouverez un lien vous permettant de
charger les photos des lauréats.
Les 6 Finalistes de la 23ème édition du Concours
•
Fathi BENNI
PETIT BÉRET
•
Thiphaine BORDIER
Fanny BICHON
MATATIE
•
Nawal QUINSON
François QUINSON
SO KOMBUCHA
•
Maxime TANGUY
KRIPS
•
Nicolas RICHARDOT
TASSIOPÉE
•
François ROLIN-MAAROUF
LABIOCRAC
PETIT BERET
Créateurs : Fathi BENNI, Rachid BENNI & Sabrina BENNI
Adresse : 4 rue des Rosiers – 34300 AGDE
Tel. : 06 11 37 31 05
Mail : [email protected]
Fathi BENNI est le Président, le responsable marketing et commercial de PETIT BERET. Il est diplômé d’une
école de commerce à Montpellier (2004) et a réalisé la totalité de son parcours professionnel chez MONDELEZ
INTERNATIONAL (KRAFT FOOD), en tant que responsable merchandising et marketing, puis en tant que
directeur régional des ventes ; il détient 51% des parts de l’entreprise.
Rachid BENNI est le Directeur Général, chargé de la stratégie et des finances de la société. Il est diplômé de
l’Ecole des Mines d’Alès et a réalisé son parcours professionnel chez EIFFAGE en tant que chef de centre et
responsable d’exploitation. Il détient 25% des parts de PETIT BERET.
Sabrina BENNI est Responsable de la qualité, de l’innovation et du suivi des fournisseurs. Elle est également
diplômée de l’Ecole des Mines d’Alès et a réalisé sa carrière professionnelle chez ALTRAN en tant qu’ingénieur
projet et consultante. Elle détient 24% des parts de la société.
PETIT BERET est une SAS au capital de 20 K€ dont Fathi, Rachid et Sabrina sont les fondateurs et associés.
Elle développe, produit et commercialise des boissons sans alcool et sans fermentation, au goût de vin.
Tous les assemblages aromatiques sont réalisés par Dominique LAPORTE, meilleur sommelier et meilleur
ouvrier en sommellerie de France. Les "fruits de vignes" proviennent de producteurs locaux issus de la région
Languedoc-Roussillon. Le procédé de fabrication est innovant car il utilise une technologie sans fermentation.
PETIT BERET a mis au point une boisson d’accompagnement aux "fruits de vignes", sans alcool ni
fermentation, au goût de vin avec un taux de calories cinq fois moins élevé qu’un verre de vin classique. Cette
boisson reprend également tous les codes du vin, mais s’adresse à un public non-initié ou ne pouvant pas boire
d’alcool comme, par exemple, les femmes enceintes, les musulmans, les mineurs ou les seniors. Elle se
positionne comme une alternative aux boissons de type soda lors des repas, apéritifs et snacking.
Cette boisson naturelle ne contient ni sulfites, ni conservateurs ; elle est labellisée Sud de France et possède la
certification Halal.
La gamme actuelle se décline en trois produits de couleurs différentes :
- Un rouge intense, puissant et onctueux avec un profil proche du cépage Syrah
- Un rosé fruité au profil similaire aux cépages Grenache et Cinsault
- Un blanc frais et léger proche d'un Sauvignon.
Depuis 40 ans, la consommation d’alcool a été diminuée de moitié. PETIT BERET se positionne comme une
alternative aux boissons alcoolisées consommées lors de repas ou de moments conviviaux, en remplacement
des sodas et des jus de fruits habituels. C'est une "boisson bien-être" 100% naturelle à faible valeur calorique
pour les femmes enceintes, les musulmans, les seniors et les jeunes mineurs…
PETIT BERET veut commercialiser sa gamme dans 3 canaux de distribution principaux, la vente en ligne (site
vitrine et sites spécialisés comme Wine Advisor ou plateformes de e-commerce comme Ventes Privées), la
Restauration Hors Foyers (sélection de revendeurs exclusifs par pays) et la GMS.
Les prévisions de vente 2020 sont de 1 Million de bouteilles, tous canaux confondus.
MATATIE
Créatrices : Tiphaine BORDIER & Fanny BICHON
Adresse : 12 rue Gobert – 75011 PARIS
Tel. : 06 16 79 14 06
Mail : [email protected]
Tiphaine BORDIER est la "Tatie" d’une petite fille allergique aux œufs et aux arachides : c’est le point de
départ du projet MATATIE. Diplômée de l’école de commerce EMLyon, spécialisée en marketing et en
entrepreneuriat, Tiphaine BORDIER est actuellement installée dans l'incubateur Paris-Pionnière pour le projet
MATATIE. Elle a débuté sa carrière professionnelle par un stage chez Nestlé en tant qu’assistante chef de
produit pour les laboratoires Guigoz.
Fanny BICHON est actuellement étudiante en 3ème année d'école d’ingénieur double diplôme à
AgroParisTech/Chimie ParisTech, spécialisation "Ingénierie des Aliments, Biomolécules et Energie" et
"Sciences et Industries du vivant et de l'environnement".
MATATIE est une SAS, créée en juin 2016, au capital social de 5 K€. À l’heure actuelle, Tiphaine BORDIER
est l’unique gérante de l’entreprise, Fanny BICHON s’occupe de la R&D et de la production.
La société conçoit, fabrique et commercialise des pâtisseries industrielles à destination des enfants intolérants
ou allergiques, sans les 7 principaux allergènes que sont l’œuf, le lait, le gluten, les arachides, les fruits à
coque, le maïs et le soja. Les produits sont également certifiés sans traces.
L’objectif de Matatie est de faire en sorte que les enfants allergiques et intolérants se sentent comme les autres
enfants. Ainsi, les goûters sont gourmands (mélange de textures et de saveurs qui plaisent aux enfants),
pratiques (proposés en sachets individuels ) et joyeux (packaging coloré, univers de marque fort).
MATATIE veut rassembler la communauté des parents d’enfants allergiques ou intolérants autour de ses
valeurs (confiance, joie, praticité et communauté) et leur permettre, avec leurs enfants, d’imaginer les produits
de demain.
En France, le marché des produits « sans » est un marché naissant dont les ventes en GMS ont progressé
de 9% en 2016 pour s’élever à 215 millions d’euros. Aujourd’hui en France, 6 à 8% des enfants ont au moins
une allergie alimentaire, et ce chiffre est en constante augmentation. Ce marché, très strictement encadré,
permet à MATATIE de se démarquer de ses concurrents en proposant des produits ne contenant aucun des
sept allergènes à déclaration obligatoirement qu’elle exclut (Œuf, lait, gluten, arachides, fruits à coque, maïs,
soja), pas même à l’état de traces.
Le marché français des produits "sans" est dominé par trois gros acteurs : Nutrition & Santé (Gerblé, Valpiform’
et Allergo), Distriborg (Bjorg et Schär), ABCD Nutrition (Les Recettes de Céliane et Viadélice). Toutefois, aucun
des acteurs français présents sur ce marché ne propose actuellement de produits sans les sept allergènes
qu’élimine MATATIE.
Pour répondre à ses exigences de qualité, notamment au niveau des allergènes, MATATIE fabriquera ses
produits dans un atelier qui lui sera entièrement dédié.
L’entreprise distribuera ses produits par deux canaux : en ligne et en points de vente. L’objectif, à terme, est
d’atteindre la GMS.
La première année devrait permettre de réaliser un chiffre d’affaires de 17 K€ puis l’année suivante 117 K€ et
601 K€ en 2018.
Une campagne de crowdfunding sera lancée en octobre 2016 afin de récolter des fonds pour l’aider dans le
lancement de ses produits.
SO KOMBUCHA
Créateur : François & Nawal QUINSON
Adresse : 39 rue Alfred Smith – 33000 BORDEAUX
Tel. : 06 08 56 49 20 / 06 88 64 27 81
Mail : [email protected] / [email protected]
SO KOMBUCHA : UNE GAMME DE BOISSONS BIO, LOCALES & ARTISANALES
Fabriquée en France de manière artisanale, du brassage à l’embouteillage, SO KOMBUCHA est une gamme
de boissons Bio, savoureuses, désaltérantes et peu sucrées.
KOMBU… QUOI ?
Le kombucha est une boisson à base de thé, rafraîchissante et naturellement pétillante. Il est obtenu grâce à la
fermentation du thé par une symbiose de levures et de micro-organismes.
Originaire d’Extrême-Orient et surnommé « Elixir de longue vie » en Chine orientale, le kombucha est
consommé depuis 2200 ans en Chine et au Japon. Depuis quelques années, le kombucha est largement
consommé en Amérique du Nord par une partie de la population soucieuse de son alimentation et de son bienêtre. En Europe et en France, cette boisson commence également à s’inscrire dans les nouveaux
comportements alimentaires, bio-sain-local-responsable.
LA GENESE DU PROJET
A l’origine de SO KOMBUCHA, il y a Nawal, franco-canadienne et François, franco-américain.
En Amérique du Nord, le kombucha s’est largement démocratisée ces dernières années, sortant des réseaux
Bio initiaux, pour se développer dans les bars, les restaurants, les centres de yogas et les supermarchés. Leurs
familles respectives, à Montréal et à New York, qui en consomment de manière régulière, les y ont initié. Ce
couple d’entrepreneurs a tout de suite eu un coup de cœur pour cette surprenante boisson pétillante
« healthy » ! Ils se sont donnés comme mission de faire connaître ce pop drink moderne en France et de faire
profiter de ses bienfaits le plus grand nombre.
LA GAMME SO KOMBUCHA
La gamme est composée de 3 parfums : So Sweet (Cerise Hibiscus), So Fresh (Menthe Citron vert), So
Spicy (Gingembre); les boissons sont certifiées Bio par ECOCERT.
LES VERTUS DE SO KOMBUCHA
SO KOMBUCHA est une gamme de boissons très aromatiques qui s’adressent à tous et en particulier aux
personnes soucieuses de leur bien-être, à la recherche d’authenticité et de naturalité. C’est une excellente
alternative aux sodas sucrés et aux boissons alcoolisées.
Outre le plaisir de la dégustation, SO KOMBUCHA :
- Renforce le système immunitaire (riche en probiotiques, vitamines B1, B2, B3, B6, B12, C, acides aminés,
acides organiques et polyphénols)
- Contribue à éliminer les toxines de l’organisme
- Favorise la digestion et rééquilibre la flore intestinale
- possède un fort pouvoir anti-oxydant
UNE ENTREPRISE EN CROISSANCE
Le Centre de Ressources Technologiques Agrotec d'Agropole a accompagné l’entreprise dans sa phase R&D.
L’utilisation de la plateforme technologique Agrotec a permis à SO KOMBUCHA de tester sa production en
limitant les investissements de départ. Aujourd’hui, l’entreprise travaille sur l’internalisation de sa production et
cherche à investir dans son propre atelier de production.
L’entreprise emploie actuellement les deux fondateurs ainsi qu’un stagiaire qui poursuivra son activité par un
contrat d’apprentissage en 2017. L’objectif du couple d’entrepreneurs, lauréats du Réseau Entreprendre
Aquitaine, est d’embaucher 3 salariés dès 2017 et d’être distribués au niveau national. Ils se donnent comme
mission de démocratiser le kombucha en le rendant accessible au plus grand nombre et d’offrir ainsi aux
consommateurs une alternative saine aux sodas sucrés et aux boissons alcoolisées…
QUELQUES DONNEES CLES
Raison sociale : Bd O2 - Siège social : Bordeaux - Objet : fabrication et commercialisation de produits naturels
- Date de création de l’entreprise : septembre 2015 - Forme juridique : SAS au capital social de 15 000 €
KRIPS
Créateur : Maxime Tanguy
Adresse : Kervastal Izella – 29710 Ploneis
Tel. : 07 61 26 00 83
Mail : [email protected]
Maxime Tanguy est avant tout un Breton de 26 ans. Diplômé d’un BTS Industries agroalimentaires et d’une
licence QSE agroalimentaire, il a travaillé dans plusieurs entreprises agroalimentaires bretonnes. Il s’est ensuite
formé à la restauration en tant que maître crêpier. Cette dernière formation associée à son envie de création
d’entreprise l’ont conduit à créer sa société Krips.
La société Krips est une SARL à associé unique au capital de 5 k€, créée le 4 février 2016 et dont le siège est
basé à Plonéis (29). L’unique associé et gérant est Maxime Tanguy.
L’entreprise produit et commercialise une gamme de tuiles de sarrasin séchées.
Ce produit est réalisé à partir d’une crêpe de blé noir (autre nom du sarrasin) qui est ensuite découpée et
séchée, pour obtenir une forme hexagonale et la texture croustillante qui fait sa particularité. Le produit ainsi
séché atteint une DLUO de 4 mois sans ajout de conservateurs.
Les ingrédients utilisés sont tous issus de l’agriculture biologique et sans gluten. Le sarrasin est cultivé
localement et moulu selon une méthode spécifique permettant de conserver toutes ses propriétés
organoleptiques.
Les Krips peuvent être mangés comme encas ou tartinées avec des préparations salées ou sucrées.
La gamme actuelle est composée de 2 produits :
- les Krips beurre et sel de Guérande,
- les Krips huile d’olive et sésame.
Deux autres recettes sont en cours de développement, dont une aux algues.
Les Krips sont commercialisés en sachets de 100 g à un prix allant de 4,50 € à 5,50 € le sachet.
Les Krips se positionnent sur le marché du bio, du sans gluten et du snack, soit au carrefour de trois marchés
en croissance.
Ce produit a également été conçu pour accompagner d'autres productions locales : tartares d’algues, terrines
de poisson, confits de légumes, rillettes de porc, confitures, bières et cidres…
Autant de produits et de producteurs qui réalisent de la vente directe et qui pourront donc associer ces petites
tuiles bretonnes à leur gamme.
Ce produit qualitatif est positionné milieu haut de gamme.
Aucun produit vraiment similaire n’existe sur le marché. En revanche le produit est en concurrence avec les
gâteaux apéritifs salés, les chips haut de gamme et les crackers à tartiner.
L’entreprise se démarque de ses concurrents grâce à des ingrédients et un produit fini très qualitatif ainsi que
par sa forte identité régionale.
La commercialisation est actuellement assurée en direct auprès d’épiceries fines, de restaurants et de
magasins bio.
L’objectif à moyen terme est de commercialiser le produit partout en Bretagne, sur Paris et sur la façade
Atlantique.
Un site Internet est en cours de développement.
Krips sera également présent lors d’événements régionaux (festivals…) et développe sa présence sur les
réseaux sociaux.
TASSIOPÉE
Créateurs : Nicolas Richardot & Octavie Millet
Adresse : 7 rue Garancière – 75006 Paris
Tel. : 06 74 35 18 09
Mail : [email protected]
Octavie Millet, 23 ans, est titulaire d’un diplôme d’Ingénieur AgroParisTech et d’un Master de l’ESSEC
Business School en management international agroalimentaire. Son expérience dans le domaine de la
distribution a été acquise au sein de grands groupes : Intermarché, Carrefour et Monoprix. Elle est aujourd’hui
responsable de l’aspect R&D et logistique de Tassiopée.
Nicolas Richardot, 27 ans, est également Ingénieur AgroParisTech, diplôme complété par un MBA obtenu au
Collège des Ingénieurs. Il a travaillé au sein de l’entreprise Air Liquide en tant que consultant stratégie. Il est
aujourd’hui le président de la société Tassiopée plus particulièrement en charge de la gestion et du
développement commercial.
La société Tassiopée est une SAS créée le 17 mars 2016 et située à Paris.
L’entreprise produit et commercialise Tassiopée, tasse éphémère à croquer ®.
Composée d’ingrédients sains et simples, sans colorant ni conservateur, cette tasse comestible parfaitement
étanche est faite d’un biscuit croustillant et contient l’équivalent d’une tasse à café classique (80 ml).
Cette tasse a été conçue pour résister à la chaleur de liquides chauds comme le café pendant toute la durée de
la dégustation. Le mode d’emploi de Tassiopée est simple : « Servez, buvez, puis croquez jusqu’à la
dernière miette ! » Le biscuit peut ensuite être dégusté et évite ainsi l’utilisation de gobelets jetables ou le
nettoyage.
Alternative originale au classique gobelet, Tassiopée renforce son engagement durable en utilisant des
ingrédients français de qualité.
Ce produit innovant est l’aboutissement d’un an de collaboration en partenariat avec l’INRA et AgroParisTech.
Le produit, aujourd’hui proposé avec un nappage intérieur en chocolat noir, sera bientôt décliné en version
nature (sans nappage au chocolat). Le produit est conditionné en carton de 100 unités pour la Restauration
Hors Foyer (RHF) et en pack de 6 unités pour les particuliers. Sa date limite d’utilisation optimale est de 6 mois.
40 % de la population mondiale consomme du café au moins une fois par jour. Cela représente en France 40
milliards de tasses bues chaque année. Le café est associé à la gourmandise comme en témoigne le succès du
café gourmand (au restaurant, 1 dessert sur 3 commandés est un café gourmand).
Une étude de marché a été menée sur près de 300 personnes et il en ressort que 70 % des consommateurs
de café se déclarent intéressés par le produit proposé. Les premières dégustations du produit ont
également donné des résultats satisfaisants.
Les marchés ciblés sont les marchés concernés par la consommation de café: la RHF au travers des cafés,
restaurants, traiteurs et restaurants d’entreprises mais également la GMS Premium et les épiceries fines type La
Grande Epicerie de Paris.
Aucun produit concurrent équivalent n’est, à ce jour, disponible sur le marché.
KFC communique depuis plus d’un an sur le lancement d’une tasse à café comestible exclusivement vendue
dans ses restaurants, mais le produit n’est pas disponible en France.
Lavazza a également réalisé une opération de communication avec une tasse en biscuit, mais ce produit n’a
jamais été commercialisé car non industrialisable.
Tassiopée ne possède pas de glaçage sucré à l’intérieur de ses tasses, le café bu peut donc être non sucré,
contrairement aux deux exemples précédents.
Tassiopée prévoit un lancement de son produit à partir du SIAL (octobre 2016). Ces tasses seront les
premières sur le marché !
Une campagne de crowdfunding pour lancer des précommandes, des opérations d’animation type boutiques
éphémères et de l’échantillonnage seront réalisés dès novembre 2016 afin de consolider le lancement
commercial. L’objectif est de toucher rapidement des distributeurs sur les différents marchés visés.
LABIOCRAC
Créateur : François Rolin-Maarouf
Adresse : ZI des Waillons, rue Claude Reclus - 02220 Braine
Tel. : 06 79 04 62 66
Mail : [email protected]
François ROLIN-MAAROUF, 50 ans, ingénieur des techniques agricoles formé à l’ENITA de Dijon en 1989, a
travaillé pendant 20 ans pour Rhône-Poulenc puis pour l’entreprise allemande Begerow dans les domaines du
process agroalimentaire et pharmaceutique, en Allemagne, en France et aux Etats-Unis.
En 2008 il crée l’entreprise ChangeXplorer Production, spécialisée dans le reconditionnement de poudres
filtrantes à usage pharmaceutique, pour l’industrie du fractionnement sanguin. Depuis novembre 2015, il a créé
la société Labiocrac, dont il est le président.
LABIOCRAC commercialise une solution de valorisation des déchets et co-produits, pour l’industrie
agricole et agroalimentaire.
Cette solution, basée sur le principe du fractionnement, permet la séparation et la récupération, dans les
déchets solides ou liquides, de molécules pouvant avoir des propriétés fonctionnelles intéressantes (protéines,
pectines, polyphénols, fibres etc.).
Le procédé exploite la différence de solubilité des divers composants de la matrice de départ, en fonction des
conditions physico-chimiques. Aucun autre solvant que l’eau n’est utilisé dans les diverses étapes, sur le
même principe qu’une infusion. La floculation se fait par l’ajout de Protextra, un floculant naturel issu de
drêches de fruits, de légumes ou de tourteaux, fabriqué et commercialisé par Labiocrac. Le procédé de
floculation est protégé par un brevet.
Actuellement 50 à 70 % de la matière sèche du déchet est valorisée mais des solutions de valorisation du
résidu final (cellulose et lignine) sont à l’étude. L’objectif final est de valoriser 100% du produit.
Les molécules ainsi obtenues sont dans la plupart des cas directement valorisables dans le process de
l’industriel producteur du déchet car elles possèdent des propriétés fonctionnelles intéressantes :
bactériostatique, anti-oxydante, texturante, émulsifiante…
La solution Labiocrac est destinée à toute l’industrie agroalimentaire des filières fruits, légumes, graines,
boissons ou lait; elle est facile à mettre en place car elle utilise des équipements courants de l’agroalimentaire
(cuves, filtres, concentrateurs). Son coût varie en fonction du type de matière première mais globalement le
retour sur investissement est inférieur à un an pour l’industriel.
La mise au point du procédé pour chaque client fait l’objet d’une facturation de prestation de service.
Une licence d’exploitation est ensuite vendue à l’industriel avec versement de royalties à Labiocrac. La vente
du floculant Protextra vient compléter le chiffre d’affaires de Labiocrac.