territoires / corps / memoire

TERRITOIRES / CORPS / MEMOIRE
UN ATELIER IMMERSIF DE CREATION ARTISTIQUE INTERACTIVE
METTANT EN JEU LES NOTIONS DE TERRITOIRES / CORPS / MEMOIRE
Territoires / Corps / Mémoire est un atelier utilisant une installation numérique interactive qui introduit une nouvelle
approche dans la relation Art et connaissance de soi.
La figuration virtuelle, picturale et musicale, des participants au travers de ce dispositif, les déstabilise en raison de la perte
des repères de la connaissance traditionnelle, mais ouvre des perspectives nouvelles sur les rapports entre vie,
représentation et création.
Le langage de la création allié aux technologies de pointe, est proposé pour transcrire cette navigation entre l’individu et son
environnement, générer du sens et réaliser une œuvre, un palimpseste numérique personnel et collectif.
B2Fays∗∗ est l’auteur du concept original et la réalisatrice de cet atelier de création et de transmission.
***
Le scénario est co-écrit par B2Fays, Mathieu Constans et Marc Caro .
∗∗
***
1.
Objectifs
2.
Intention artistique
3.
Description du dispositif : fonctionnement
4.
Description du dispositif : utilisation
5.
Structure de développement
6.
Contact
Béatrice de Fays : www.atelierxposelive.net www.xposelive.net www.fildariane.com
Marc Caro : réalisateur (Delicatessen, La Cité des enfants perdus, Dante 01), scénariste, acteur, compositeur
1.
OBJECTIF
Cet atelier permet de « découvrir/expérimenter/révéler » un processus de communication et d’introduire une nouvelle
approche dans la relation Art et connaissance de soi.
« Territoires - Corps - Mémoire » met en œuvre un atelier multimédia immersif de création permettant de mener des activités
s’adressant à tous les publics et en particulier aux structures ayant le souci de l’individu : c’est un outil de découverte, de création
et d’expression qui permet de « découvrir/expérimenter/révéler » un processus de communication.
Il s’inscrit dans une recherche de sens, dans la réalisation d’une œuvre, un palimpseste numérique personnel et collectif.
Activer le processus de connaissance de soi et conscience de notre environnement en rendant le spectateur acteur grâce à
une synergie fondée sur la trilogie « Mouvement - Image – Son », une mise en scène interactive et un support multimédia.
Invitation à s’inscrire dans le territoire d’une manière singulière en utilisant des outils transmetteurs qui prolongent l’expression
motrice et émotionnelle de l’individu.
Incitation ludique à mettre en relation territoires personnels et territoires collectifs.
•
•
•
Le réel revisité.
Un programme d’atelier permet de vivre cette création dans la durée. Les mémoires / le corps / les territoires du participant
s’inscrivent, pour une maturation, dans un mouvement de construction / destruction / reconstruction symbolique.
Les ateliers sont réalisés sur deux modes distincts, entre perception objective et interprétation subjective : dans une
performance/spectacle en temps réel, mais aussi hors spectacle par la verbalisation de l’expérience vécue.
•
L’utilisation du corps et de la voix du participant active ses aptitudes sensorielles et lui révèle sa capacité émotionnelle : la
découverte de l’environnement est ressentie non pas d’une manière détachée imposée de l’extérieur, mais au contraire,
vécu par le corps et l’esprit comme un prolongement, une nécessité. L’émotion, le plaisir, la beauté de « l’œuvre-spectacle »
à laquelle le visiteur participe, contribuent consciemment à l’édification de son être.
•
Cette expérience permet d’avoir un autre regard sur sa propre représentation et sur le monde qui nous entoure.
•
Le dispositif donne un accès privilégié à différentes formes de langage. Ceci offre un mode de socialisation et permet
d’établir une rencontre entre l’individu et son environnement. Ainsi, les médias (image, son, texte…) utilisés deviennent des
alliés, des outils d’expression et de perception que le participant utilise avec confiance pour approfondir sa quête de sens.
•
Cette démarche sensorielle et expérimentale interactive entraîne le participant à percevoir en lui un être créateur et
modeleur du réel et à développer son sens critique : il comprend comment se compose une image ou un son, comment
décrypter un message visuel ou sonore.
Il constate ainsi comment un environnement, construit avec les mêmes matériaux visuels et sonores, peut devenir
enchanteur ou désespérant selon l’angle de vue ou d’écoute et selon sa vitesse de perception. Il se rend compte que la
transformation de sa perception transforme, au-delà de la simple vision d’un objet, la réalité même de cet objet.
•
Par voie de conséquence, cette démarche permet d’apprendre à se mettre en scène, à s’interpeller, à se critiquer soi-même,
à prendre confiance en son propre regard, ses propres perceptions, découvrir une autonomie gestuelle, une liberté de
regard et d’écoute sur soi, sur son environnement et sur les autres, prendre conscience que l’individu fait partie intégrante de
son environnement : Prendre possession de soi et de son environnement.
2/7
2. INTENTION ARTISTIQUE
L’œuvre d’art est un instant fugitif, une émotion ressentie ici et maintenant.
« L’expression picturale est imprégnée des actions et réactions des hommes qui laissent leurs empreintes sur leur
1
environnement, tant spatial que temporel, qui à son tour marquent ces hommes. » C’est cette chaîne créatrice qui est
proposée à travers Digital palimpsest.
Le langage de la création allié aux technologies de pointe, est choisi pour transcrire l’évolution d’un monde, à la fois en perpétuel
devenir et dans une démarche de remise en question permanente. Les pages de l’histoire s’effacent partiellement au fur et à
mesure qu’elles se réécrivent tout comme un palimpseste numérique en évolution permanente.
« La culture n’est rien si elle n’est une action exercée sur le monde afin d’investir la réalité de cette signification qui lui
2
manque et que l’homme seul est souverainement en mesure de lui donner ».
Strate par strate
L’atelier « Territoires / Corps / Mémoire » est issu du processus pictural de B2Fays : sa peinture est composée d’une multitude
d’étapes de création, des histoires ou des fragments d’histoires qui se superposent et se répondent selon une combinaison en
harmonie avec les couleurs, les formes et la matière. Ces étapes, ces strates sont les mémoires des actes créateurs de la toile.
Chaque strate est créée à partir d’un élément extérieur : une photographie, un texte, une vidéo, un enregistrement sonore qu’elle
inscrit dans ses scenarii picturaux. Chacune d’elles est numérisée avant d’être recouverte à nouveau.
Strate par strate, l’histoire est racontée et simultanément effacée, comme un palimpseste. L’informatique permet de relier ces
strates entre elles.
L’ensemble s’articule autour du participant placé au centre de la création.
Plongé dans la matière visuelle et sonore, le participant est mis dans une situation de questionnement. Ses réactions, mouvements,
paroles, cris, vociférations, chants… engendrent une transformation de l’univers traversé et deviennent des matières utilisées
comme éléments constitutifs des strates.
Cette démarche constitue une rupture radicale dans la relation classique qu’entretient le visiteur par rapport à l’œuvre et aussi de
l’artiste par rapport à l’objet de la création. De spectateur, il devient acteur : le visiteur entre en peinture.
Le spectateur a soudain la révélation de sa capacité et de son statut d’acteur, ici et maintenant. C’est tout un monde en perpétuel
changement qui s’ouvre à lui et tout en préservant la fraîcheur de son regard débarrassé des préjugés muséographiques, il prend
conscience qu’il « entre en peinture » : il est entré dans son territoire, son corps, sa mémoire.
Ainsi par le regard, la mémoire transite.
Chaque être humain étant dépositaire d’un patrimoine unique dont il rend compte par un son, une musique, un geste spécifiques,
l’atelier « Territoires / Corps / Mémoire » invite le participant à entrer dans l’univers qui se/le façonne, afin d’inscrire cette
expérience, comme une strate contemporaine, dans ce palimpseste numérique en création.
Expérimentation / Découverte
Cette mise en perspective ludique d’une forme de peinture en mouvement se transforme en lieu d’expérimentation pour les corps
qui pénètrent dans le dispositif.
Une démarche sensorielle émerge.
Les transformations obtenues par les outils informatiques se substituent à la matière picturale et sonore.
Le participant est l’artisan de la performance qu’il exécute : il n’est plus consommateur passif, mais devient acteur critique.
Ainsi, par ce dispositif interactif se trame une histoire qui en s’appuyant sur une certaine réalité du monde, permet aux formes, aux
couleurs, aux sons de suggérer une autre perspective et de prendre une signification nouvelle.
1
2
B2Fays commenté par Jean-René Tillard 2005
Extrait de Leçon de Francis Jeanson , conférence de Philippe Forest La culture, pratique du monde , APSV, 2004.
3/7
3. DESCRIPTION DU DISPOSITIF : FONCTIONNEMENT
« Territoires / Corps / Mémoire » met en œuvre un atelier multimédia immersif de création. Cet atelier utilise une installation
interactive (ou deux installations distantes reliées en réseau) qui propose un environnement immersif généré à partir des
comportements sonores et visuels des participants.
Le participant accède au processus de transformation en entrant dans l’installation d’immersion et de capture ; une œuvre
multimédia en développement liée à son territoire l’immerge totalement.
Le participant contribue au processus de création temps réel : sa présence physique captée (image, voix, mouvements) génère et
active le processus de création (Mixing et V-Jaying automatisés) qui s’organise autour d’un phénomène de transformation
automatique de l’univers ainsi révélé.
La création en cours intégrant le participant (image, voix, mouvement) et son environnement (interprétations picturales et musicales
réalisées préalablement par des artistes invités) prend la forme d’un spectacle sonore et visuel diffusée en temps réel dans
l’installation.
Si le dispositif se compose de deux installation reliées en réseau, les deux participant peuvent se rencontrer dans l’espace virtuel
afin de créent ensemble un spectacle sonore et visuel. Cette peinture musicale est modulé par le rythme de leur gestuelle et
engendre le mixage de leur territoire visuel et sonore respectif.
La structure globale d’une installation se compose :
•
une base de données multimédia (images, sons sélectionnés et réalisés par des artistes invités + plan spécifique du lieu)
ou BDD associée à un Système de Gestion de Bases de Données (SGBD) ;
•
une interface utilisateur permettant d’alimenter la BDD (les plans et les médias en lien avec le lieu y sont rassemblés),
suivre l’évolution de la représentation au fil des ateliers, sélectionner les données diffusées dans l’installation ;
•
une installation d’immersion et de capture permettant au participant d’accéder au processus de création ;
•
un système de capteur pour détecter la présence et les mouvements du participant ;
•
un programme informatique pour saisir, analyser, traiter et diffuser des informations en temps réel.
L’installation d’immersion et de capture :
Configuration minimale :
Espace clos occulté et insonorisé (minimum 7x13m, & 4,5m hauteur de plafond) – sol et murs foncé - surface de projection
(minimum 3mx4m) et projecteur vidéo (minimum 3200 lumens) – caméra night-shot et lumière infrarouge - système de multidiffusion sonore (4 enceintes identiques + amplis) et 2 micros casque HF - 2 ordinateurs – en cas 2 installations distantes reliées en
réseau : 1 connexion Internet dédié + 2 lignes téléphoniques dédiées.
Scénographie de base :
L’installation locale permet au participant d’accéder au processus de création au travers de plusieurs étapes d’interaction. Équipé
d’un micro-casque, le visiteur entre dans une salle obscure et découvre progressivement l’environnement.
Pour la première étape, le visiteur est face à un écran sur lequel est projeté un film vidéo représentant sa situation géographique sur
le globe terrestre.
Pour la seconde étape, dès que le visiteur se déplace dans l’espace interactif, sa silhouette apparaît sur l’écran à l’intérieur d’une
représentation tridimensionnelle et sonore du lieu où il se trouve.
Pour la troisième étape, le visiteur découvre les différentes dimensions picturales et musicales de l’espace visité.
Pour la quatrième étape, le visiteur entre dans l’espace de création en manipulant avec son corps et sa voix, l’environnement mis à
sa disposition.
Si un autre visiteur arrive dans cet espace virtuel, ils créent ensemble un spectacle sonore et visuel modulé par le rythme de leur
gestuelle.
Modalité de transformation des médias
Le dispositif de transformation développé pour l’installation, est régi par le logiciel MAX MSP Jitter Ce développement permet de
traiter instantanément des médias (image, son, plan…) selon des paramètres préétablis et en fonction de différents stimuli :
déplacements et mouvements du participant - critères relatifs aux données de la BDD. Ceci permettant la
construction/déconstruction du territoire représenté.
Capture de l’image – Détection de la présence et des mouvements - Interaction avec la BDD
La caméra capte l’image du participant (en noir et blanc) afin de l’intégrer au mixage visuel. Aliée à un développement informatique
approprié, elle détecte également la présence, la position et les mouvements du visiteur dans l’espace afin de traduire un
déplacement dans la BDD. L’éclairage infra-rouge permet la capture, tout en maintenant dans le dispositif l’obscurité nécessaire à
la diffusion simultanée du spectacle et à l’intimité du participant.
4/7
4. DESCRIPTION DU DISPOSITIF : UTILISATION
L’atelier « Territoires / Corps / Mémoire » permet de mener des activités s’adressant à différents publics (structures médicopédagogiques ou socio-éducatives, centres culturels…) : outil de découverte, de création, d’expression et de communication…
L’atelier se déroule dans une installation d’immersion et de capture. La mise en réseau de deux installations distantes
permet à deux participant de se rencontrer dans un espace virtuel pour créer, ensemble, une œuvre picturale et musicale.
Les caractéristiques de chaque installation peuvent varier : scénographie originale, technologie ou accompagnement humain
spécifique, architecture et design particuliers…
Ces particularités sont étudiées pour accentuer, par exemple, l’effet d’immersion, l’assistance physique ou psychique, l’aspect
ludique ou spectaculaire de la performance...
Cette configuration scénographique particulière permet à chaque structure, de valoriser sa spécificité et de mettre en
place, avec un objectif thérapeutique, social ou événementiel, diverses activités spécifiques.
Ces activités peuvent se dérouler exclusivement dans l’installation, toutefois un travail quotidien se déroulant sur du long terme et
sur les lieux de vie des participants, peut-être mené de façon complémentaire. Selon les activités, l’autonomie des participants ou
l’encadrement exigé, ce travail consiste en :
•
une création personnelle, par composition et décomposition, de l’image et du son ;
•
une recherche narrative ou chorégraphique originale ;
•
la réalisation d’une base de données de média (image, son, texte) en lien avec le lieu de vie, réalisées avec des artistes
locaux (une interface utilisateur simple permet d’alimenter la BDD) ;
•
la création d’objet artistique (spectacle, vidéo, composition sonore, BD…) à partir de médias réalisés dans le dispositif.
Il peut être proposé des ateliers individuels et des performances collectives.
ACTIVITÉS SPÉCIFIQUES
Outil de découverte : percevoir un autre regard, une autre écoute, par la parole, les mouvements du corps.
L’installation est un support de réalisation individuelle, de jeu musical ou chorégraphique : une expérience intérieure extériorisée.
Cet outil de mise en scène personnelle, du corps et de la voix, a pour objectif de dépasser les limites de chacun et de porter sur
soi, sur l’autre et sur son environnement, un autre regard, une autre écoute.
Cet espace d’expression et de communication fait appel à un mode d’échange universel : en entrant dans cet univers de création le
participant est invité à façonner la matière visuelle ou sonore comme une modélisation de son propre corps.
Un travail d’accompagnement par des artistes et des thérapeutes permet d’organiser des étapes, des moments de réflexion
personnelle.
Outil de création : acquérir un regard critique et un esprit d’analyse
Une transformation ludique de l’image et du son, par les mouvements du corps et de la voix, permet d’explorer et de se familiariser
avec une techniques de création visuelle et sonore informatique tout en utilisant des médias traditionnels (peinture, photographie,
musique…) et une source d’inspiration reliée à la réalité (photographie, enregistrement sonore du lieu de vie, de l’environnement,
du patrimoine).
Une analyse, par composition/décomposition d’images et de sons créés, permet d’apprendre à décrypter l’environnement visuel et
sonore, sans priori et avec un esprit d’analyse critique.
Outil d’expression et de communication : accompagner l’accès à la culture et à la connaissance.… par une utilisation
spécifique des nouvelles technologies impliquant une prise de conscience de soi et son environnement.
Aiguiser l’attention et apporter un nouveau regard avec une approche artistique et contemporaine :
•
Incitation ludique à mettre en relation territoires personnels et territoires collectifs. Accroissement de la conscience de notre
environnement et invitation à s’y inscrire d’une manière singulière ;
•
stimulation accompagnant un développement de la personnalité et de son expression vitale, encouragement à se saisir
d’outils transmetteurs qui prolongent l’expression motrice et émotionnelle de l’individu ;
•
la mise en scène du corps et de la voix entraîne une perception particulière de la culture, du patrimoine et de
l’environnement… ;
•
la transformation ludique de l’image et du son, par les mouvements du corps et de la voix, permet de se familiariser avec
une techniques de création, visuelle et sonore, informatique et donne envie de prolonger cette exploration ;
5/7
5. STRUCTURE DE DEVELOPPEMENT
Structure de production
Et Alors production et Fil d’Ariane Association en collaboration avec l’auteur B2Fays réalisent les développements spécifiques
des ateliers « Territoires / Corps / Mémoire ».
L’Espace Mendès France (Espace Culture Multimédia) s’associent à la diffusion, à l’expérimentation et à la mise en œuvre des
ateliers auprès de ses publics spécifiques.
Développement des ateliers
Chaque structure partenaire se charge de réunir une équipe composée d’artistes, de thérapeutes ou de pédagogues afin
d’accompagner le développement informatique de l’atelier et de l’expérimenter, en partenariat avec des personnes handicapées. De
plus, elle se charge d’accueillir le public et de mettre en place des activités spécifiques et des événements.
Concepteur de l’outil
La plasticienne B2Fays, accompagnée du réalisateur Marc Caro et du programmeur Mathieu Constans, est concepteur des ateliers
en collaboration d’artistes, de thérapeutes et de pédagogues : sa création reste source et modèle du projet. Elle initie un processus
créatif, structure et accompagne sa réalisation, supervise l’ensemble en vue de le maintenir dans sa finalité artistique et esthétique
ouvrant des perspectives nouvelles sur les rapports entre vie, représentation et création.
A cette fin, l’équipe de réalisation définit, pilote et accompagne :
•
la réalisation de l’interface utilisateur de l’installation ;
•
la réalisation de l’interface utilisateur permettant d’alimenter la BDD ;
•
l’utilisation du dispositif immersif pour les diverses activités ainsi que l’œuvre globale résultante
Équipes du développement informatique des activités spécifiques :
•
•
•
•
•
Chef de projet
Co-auteurs / réalisateur
Développeur max msp jitter
Développeur interface web / BDD-ADMIN
Développeur interfaces utilisateurs spécifiques.
Équipes de réflexion et d’expérimentation :
•
•
•
Artistes
Thérapeute ou pédagogue
Personnes handicapées
EXPERIMENTATION DE L’OUTIL – INITIATION DES ATELIERS
Depuis 2004, le dispositif est déjà testé dans une approche de soin et d'intégration sociale auprès de publics spécifiques.
3
4
5
Dans le cadre des installations
Multimédia « Digital
palimpsest » et8 « Xposelive » en France (Digital palimpsest Mendès-France ,
6
7
Xposelive Cité Santé , Xposelive la Différence , Xposelive le Cube ), les artistes Daniel Boursin (Plasticien et thérapeute), Lotfi
Zitouni (Designer sonore et animateur socioculturel) et Jean-François de Fays (Musicien, plasticien et thérapeute), en co-réalisation
avec l’auteur, initient des ateliers en direction de publics spécifiques (socio-éducatif, médico-pédagogique).
Ce travail est parrainé par Louis Bec (Zoosystémicien et Président de CYPRES) et par André Fertier (Expert en accessibilité
culturelle, Président de Cemaforre et de Eucrea-France, Chargé de formation à l’Université Paris V).
PERENNISATION
Prolonger le développement pour une diffusion artistique : un développement du dispositif permettant de mettre en réseau
plusieurs ateliers (France - Inde - Canada) peut intéresser le monde de l’Art (intervention des artistes locaux et nationaux) et celui de
l’éducation (approche des autres cultures…).
Diffuser le dispositif : étendre l’utilisation du dispositif auprès des personnes handicapées grâce à un réseau pour la créativité
des personnes handicapées (Cemaforre et de Eucrea-France…).
Utiliser le dispositif comme outil d’expression artistique socio-éducatif en partenariat avec des animateurs de centres socioéducatifs et un réseau à identifier (Espace Culture multimédia, Cyber-base, Espace Publics Numériques…).
3
Installation interactive mettant en jeu le corps, la voix et les mouvements du visiteur dans un environnement pictural et musical www.fildariane.com > Digital
4
Performance mettant en jeu le corps et la voix du visiteur dans un environnement pictural et musical - www.fildariane.com > Xposelive + Atelier
5
Poitiers – France – ECM Mendès-France – Digital palimpsest 2006 - www.maison-des-sciences.org/ecm/programmation/b2faysOct2006
6
France Paris - Cité des Sciences et de l’Industrie – Cité de la santé - Villette Numérique 2004 - www.citesciences.fr/francais/ala_cite/expo/tempo/artsnum/2004/pages/index.php?pg=21&auteur=B2FAYS
7
France Angoulême – IUFM site de Charente (Institut Universitaire de Formation des Maîtres) – Journées culturelles « la différence » 2005
8
France Issy les Moulineaux – ART3000 le Cube – Fête de l’Internet 2006 - www.lesiteducube.com/site/breve.php?id=130
6/7
CONTACT
ET ALORS PRODUCTIONS - Marc marchand - m.marchand@ etalors.com - www.etalors.com
ASSOCIATION FIL D’ARIANE - Béatrice de Fays - [email protected] - www.fildariane.com