Banne, ce village du sud de l`Ardèche bâti en pente s`étend sur
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Banne, ce village du sud de l`Ardèche bâti en pente s`étend sur
BANNE BANNE A côté de l'église N 44.36516° E 4.15611° 10/04/2011 De passage le 06/04/2011, la borne est toujours en panne d'eau donc impossible de rester. La balade vaut le coup le village est merveilleux. 01/01/2011 De passage, l'aire est calme, bien située pour des randonnées, pas très loin du bois de Païolive (circuits de 1h ou 1h30 ou 2h). Je confirme que la boucherie de Saint-Paul le Jeune vaut le détour. Par contre, la borne n'était pas utilisable à cause d'une fuite. 08/06/2009 Prendre la rue à gauche de l'église en contrebas de celle ci, le panneau n'est pas très visible. Nuit très calme, joli village à visiter. Attention, pour atteindre la borne, les barrières en bois ont tendance à venir sur les parechocs !!! 06/05/2009 Joli village et des habitants très sympas. Le 4 avril la borne était hors service et le terrain détrempé. Nous avons passé la nuit sur le parking un peu plus loin. Pour les commerces, aller à Saint Paul le Jeune où il y a une très bonne charcuterie à l'entrée du village en venant de Barjac. 30/09/2008 Très sympa. Calme, beauté, parking en montant à droite avant l'église juste après le petit escalier. Sans les cloches. A voir château, les vans. Dommage pas de commerce. Banne, ce village du sud de l'Ardèche bâti en pente s'étend sur 3268 hectares au pied des Cévennes. On appelle "Bannards" les habitants de Banne. Situé dans le canton des Vans, entre les territoires de Malbosc, Brahic, Naves, Chassagnes, Berrias, SaintAndré de Cruzières et Saint-Paul le Jeune. Banne s'ouvre sur le Gard au sud vers Gagnières et Bordezac. Outre ses gites et campings, le village de Banne, au centre de la commune, se partage entre l'église et le château. Dans le "quartier du fort", les maisons se trouvent sous les ruines du château. Beaucoup de ces vieilles demeurent ont l'architecture spéciale du bas Vivarais calcaire Les demeures étaient très pittoresques (escalier extérieur conduisant au premier étage à une terrasse couverte et aux locaux d'habitation, le rez- de-chaussée est généralement occupé par les écuries et le cellier). La tuile ronde, fabriquée anciennement dans le pays, a pris avec le temps des nuances variées et harmonieuses. Autour de la place ornée d'une fontaine et de platanes se dressent des maisons moins anciennes mais plus confortables. Le quartier de l'église rassemble autour du clocher un groupe de maisons ainsi que la mairie et l'école Banne est une commune riche en dolmens, elle dispose d'un patrimoine important sur le plateau de Champs Grands et au nord du hameau de La Lauze qui témoigne de son passé néolithique. La moitié de ce territoire est constitué de garrigues, et 1400 hectares sont boisés. L'agriculture n'exploite que 285 hectares. Encore quelques kilomètres et nous apercevons longtemps à l'avance l'église de dont le clocher capte tous les regards. Banne Nous montons à travers les arbres pour déboucher sur une placette à l'ombre des platanes et des marronniers où les boulistes sont nombreux. Notre camping-car se glisse dans des rues larges de trois mètres par endroits pour arriver finalement sur une terrasse où se trouve l'aire de services. LES VANS Rue Ferdinand Nadal Parking du Carrefour Market N 44.40623° E 4.13705 Les églises romanes au pays des Vans NAVES Ce village médiéval a su garder son caractère. L' église romane est l'une des plus anciennes du pays des Vans. Vouée à Saint Jacques le Majeur, elle est l'expression de l'art roman primitif et a été détruite plusieurs fois. Elle a subi de nombreuses vicissitudes au cours des siècles, dues aux évènements de l'histoire et surtout à l'instabilité du sol. Des chapelles latérales ont été construites au XIXème siècle en partie pour servir de contreforts. Comme l'ensemble du village, elle est bâtie sur un massif rocheux formé par différentes couches de calcaire dur et de marnes tendres. GRAVIERES Le village est au pied du Serre de Barre, en pleine zone de transition entre le bas Vivarais et la montagne. L'église, alliance de roman et de gothique, offre un ensemble original et unique dans le pays. Elle date du XIIème siècle et a été classée monument historique en 1907. Le clocher à contrefort culmine à 27 m et date de la deuxième moitié du XVIème siècle ; on peut y voir encore les impacts des arquebuses des protestants. Le portail, avec ses arcs en accolade, est de style flamboyant ( rappelant l'église des Salelles).A l'intérieur la nef possède deux travées voûtées en berceau. Les colonnes soutenues par des chapiteaux historiés s'élèvent jusqu'à 9,40m. L'arbre de Jessé tout en pierre sculptée est placé dans le chœur à droite. Il représente à partir de Jessé, père de David roi d'Israël, la généalogie du Christ. Autour de l'autel doré, des fresques et des enluminures décorent les murs. Dans le village ou les hameaux, les belles maisons témoignent de la prospérité d'une époque où l'on éduquait les vers à soie. THINES Ce site grandiose au cœur des Cévennes est d'une sauvage beauté. Le village aux maisons de schiste perchées sur un serre rocailleux, domine la vallée de la Thines. Son église du XIIème siècle, Notre Dame de Thines, est un joyau d'architecture, de sculpture et de décoration. Construite en granit clair et grès rouge et beige, elle réunit à elle seule tous les éléments qui font la beauté de l'art roman. Il est difficile de trouver une église aussi accomplie, équilibrée, qui présente en un même édifice et sans surcharge, une telle convergence d'éléments généralement dissociés. Une église dans laquelle chaque élément se fond pour donner ce chef-d'œuvre architectural. CHAMBONAS Ce bourg conserve de nombreuses traces du passé à découvrir .On y accède par un pont médiéval (XIIème) dont les maîtres d'œuvres furent certainement les moines de l'abbaye de Saint Gilles (Gard). L'église (XIIIème) est d'une richesse iconographique remarquable (modillons). Elle est blottie contre le château, célèbre pour ses jardins à la française déssinés par les élèves de Le Nôtre (Vaux le Vicomte). L'aspect architectural de l'édifice (linteaux de voûte finement sculptés,fenêtres à meneaux),les placettes, les ruelles étroites et sinueuses donnent du caractère à ce lieu intelligemment préservé. SAINT PIERRE LE DECHAUSSELAT Village perché sur les premiers contreforts de la montagne. On y découvre des maisons paysannes du XIVème siècle en moellons de grès soigneusement appareillés qui donnent une couleur chaude au paysage. L'église se situe au bout du village, au sommet de la montagne. Depuis le parvis de l'église en grès rose, nous avons une vue splendide sur la vallée de la Sure. SAINT JEAN DE POURCHARESSE Les hameaux de St Jean s'étagent au milieu des châtaigniers, jusqu'à 800 mètres. Les grandes maisons aux toits de lauzes sont construites en schiste. L'église date du XIIème siècle. Elle est surmontée par un clocher-peigne typiquement cévenol. Dominant la vallée de la Sure, il s'agit certainement d'une des plus étonnantes églises de la région. Le clocher visible de loin se présente à nous dans toute sa beauté dès l'entrée du village. L'église a été érigée sur un terrain avec un léger dénivelé ce qui lui donne l'impression d'un léger déséquilibre. Naves 44.400771, 4.11372 Accroché aux premiers reliefs des Cévennes, Naves sent bon le Sud, lové dans ses collines d’oliviers. Il connut son heure de gloire au XIXe siècle avec le développement de la sériciculture et de l’élevage des vers à soie, activité qui, déclinant peu à peu, le fit tomber dans l’oubli. Aujourd’hui, il renaît de ses cendres, et a su préserver sa beauté rude, son charme rustique. Une cour de justice Un site défensif L’éperon rocheux sur lequel fut élevé Naves, se casse à l’est en trois marches, trois petits plateaux. Le village actuel se dresse sur la plus basse et s’agrippe sur ses flancs. C’est de cette situation qu’il tirerait son nom, dont l’origine viendrait de “nava” mot préceltique qui signifie “lieu plat, plateau”. Le choix de cette position dominante fut avant tout défensif, comme en témoignent le château et les ruines des remparts. Mentionné pour la première fois vers l’an mille, Naves aurait possédé successivement trois châteaux, les deux premiers ruinés par le mouvement du sol. Le troisième (XIIe siècle) dont il subsiste de nombreuses traces se déploie au sud-ouest, légèrement à l’écart du village, sur un emplacement au relief moins tourmenté. Plus proche du “castrum” que de l’habituel château, il est composé d’un anneau de maisons reliées par un mur d’enceinte. La plus vaste était la résidence des seigneurs de Naves, qu’ils n’occupèrent que rarement et dont il subsiste une salle voûtée en pierre. Ici point de faste, les familles nobles du pays avaient pour habitude, jusqu’au XVIe de vivre sans grand confort et plutôt à l’étroit. Si le village a conservé un caractère moyenâgeux, il s’exprime davantage dans ses ruelles étroites, ses portes, ses petits passages voûtés que par l’architecture de ses maisons maintes fois rebâties. Une balade dans ce dédale de venelles réserve bien des surprises. L’œil vif, la curiosité en éveil, le promeneur sera séduit par un jardin en cascades, un escalier étroit grimpant à pic, une cheminée cévenole, les jeux subtils de la lumière sur les couleurs changeantes des pierres des murs, les pavés, les tuiles canal gris rosé. L’église romane est mentionnée dès 1096 dans un acte de cession de l'évêque d'Uzès à l'abbé de Saint-Ruf d'Avignon. Elle fut en partie reconstruite au XVIIe siècle avec son clocher en pierres de taille de grès se révèle un petit bijou. Le retable de son église, en noyer sculpté et œuvre de Pierre et Jean Duhamel. L'église date du XIVe siècle et est classée monument historique. Le site gallo-romain de Tintignac situé à la sortie de la ville. Le viaduc du Pays de Tulle de 150 m de haut (aire de repos avec panorama après la sortie de la ville). N 44.402944, E 4.109455 LA BLACHERE (France Passion) Quartier Notre Dame La Ferme Théâtre N 44.45494° E 4.22053° Spectacle Jean Ferrat Jeudi 4 Lundi 8 Jeudi 11 JOYEUSE N 44.480099, E 4.242133 MARCHE LE Mercredi Connue comme la citée de Charlemagne, qui y livra bataille, Joyeuse doit son nom, si on en croit la légende, à sa célèbre épée. Ce village médiéval situé entre 2 rivières, la Baume et la Drobie, est l'étape idéale pour partir à la découverte des Cévennes Ardéchoises. Les gites, campings ou restaurants de Joyeuse vous accueilleront chaleureusement. Capitale de l'ancien duché de Joyeuse, la vieille ville atteste d'un passé historique très riche, avec le château des Ducs de Joyeuse du XVI e siècle et sa Tour de la Recluse, les restes de remparts et ses portes Sainte Anne et de Jales, ainsi que l'église St Pierre qui est l'ancienne chapelle ducale. urant une semaine début août, le Festival de la Joye met en scène ce passé à travers des spectacles de rue à connotations historiques, un défilé d'une centaine de figurants en costume et de nombreuses troupes théâtrales. L'espace historique et légendaire propose aussi de découvrir ce passé prestigieux, durant tout l'été, à travers son musée et des visites théâtralisées dans la vieille ville. Joyeuse est aussi une ancienne capitale de la soie, avec magnaneries, moulinages et vieilles échoppes qui revivent chaque année en octobre lors de son traditionnel salon gourmand. Autre atout de cette petite ville, son musée de la châtaigne, qui raconte l'histoire de l'arbre à pain qui peut vivre mille ans et de son fruit, qui a nourri de nombreuses générations. Petite ville très commerçante, son marché du mercredi matin est très animé. Des sorties à thèmes sont organisées, à pied ou en vélo, par les joyeux randonneurs et d'autres associations, l'office de tourisme Beaume Drobie tient de nombreux topo guide à la disposition des touristes ballade à cheval, visite des vignobles des villages voisins et dégustation du Chatus, ce vin issu des vignes centenaires, sont aussi des activités à la fois ludiques et culturelles proposées Le lendemain, c'est le grand soleil. Nous arrivons guillerets à Joyeuse où nous faisons le plein d'eau à la borne du poste à essence du supermarché Champion. Emergeant d'un paysage doucement vallonné, dominée par les vestiges de son château Renaissance, cette petite ville cache de biens jolis trésors historiques et architecturaux derrière ses remparts médiévaux. Flânerie dans les vieilles rues escarpées qui montent jusqu'au château. Il abrite aujourd'hui la mairie. Ici, tout n'est que maisons anciennes et passages couverts. Il y a de très belles vues sur la ville basse. Les remparts élevés pour protéger la protéger des brigands et des paysans révoltés contre les taxes sont encore visibles à de nombreux endroits. VINEZAC N 44.53939, E 4.32494 Vers Vinezacp 15/06/2011 Autre solution:monter au joli village proche de Chassier(à visiter)le traverser sans problème et aller au parking indiqué;choisir P1 Merveille médiévale Après avoir cheminé entre les murets de pierre sèche, on découvre les vestiges des fortifications élevées pendant la guerre de Cent ans et qui, jusqu’au XIXe siècle enserraient la partie ancienne du village. A cette époque, trois seigneurs régnaient sur Vinezac qui ne détient pas moins de trois châteaux. Au Sud, le château Julien a conservé un important donjon (fin XIIe siècle), une tour ronde (XIVe siècle) et une extension du XVIIe siècle avec un décor en gypserie représentant les 4 saisons, des guirlandes et des danseurs avec tambourins. Ce château accueille l’épicerie-bar du village et l’association "Savoir de Terroirs". Du château dit de La Motte, de style roman, on ne devine plus que la présence, tandis que l’ancienne demeure de la famille Charbonnel de Chauzon a été transformée en hôtel restaurant de prestige. Une rue voûtée conduit à l’église romane du XIIe siècle, classée Monument historique. Elle fut plusieurs fois remaniée, tout en conservant les caractéristiques des églises médiévales de la région, et son clocher, fait rarissime, a été déplacé, a troqué ses tuiles vernissées contre des lauzes. Les peintures de la coupole, qui datent probablement du XVIIIe siècle, révèlent une qualité exceptionnelle, le bas-relief illustrant "Daniel dans la fosse aux lions", une maladresse touchante. Elle abrite encore le "ban des pénitents", en souvenir de la confrérie des Pénitents noirs créée en 1612, pendant les guerres des religions. Une balade buissonnière à travers le dédale de ruelles voûtées ou bordées de maisons qui se serrent les unes contre les autres et sont bichonnées avec soins par les habitants ne constitue pas un des moindres charmes de Vinezac. Les lauriers roses et rosiers courent le long des façades de grès rouge, la place s’assoupit à l’ombre des mûriers, attendant, "à la fraîche", les joueurs de pétanque. Nous mettons le cap sur Vinezac. C'est un petit village fortifié qui se donne des airs de carte-postale : ces pierres teintées de blanc et d'ocre orangé chatoient sous le soleil, inondant de lumière le vert généreux des vignes qui lui servent d'écrin. Nous nous baladons à travers le dédale de ruelles voûtées ou bordées de maisons qui se serrent les unes contre les autres bichonnées avec soin par les habitants. Les rosiers et les lauriers roses courent le long des façades de grès rouge. Donjon, tour ronde et surtout une église romane du XIIe siècle sont les principaux points d'intérêt. Il se fait tard. Nous décidons de rejoindre une nouvelle fois l'endroit très tranquille que constitue le parking de Vogüe pour passer la nuit. LARGENTIERE BORNES CAMPING CAR CC A Largentière Parking de la Vergnade (près Shopi) Déjeuner en extérieur sur le parking de la coopérative MARCHE LE Mardi Situation Altitude 224 mètres - 2040 habitants Cette cité médiévale, l'une des plus petites sous-préfecture de France, doit son nom "argentaria" aux mines de plomb argentifères déjà exploitées par les Romains. Puis du 10ème au 15ème siècle par les comtes de Toulouse et les évêques de Viviers. En 1146, l'empereur germanique Conrad, accorde à la cité le droit de "battre la monnaie", ce qui permit à la ville un grand essor économique et culturel. En 1830, c'est le grand boom de la soie. Des moulinages s'établissent et prospèrent en amont et en aval de la ville, jusqu'à l'arrivée des étoffes et soie d'Orient. A voir Le château des évêques (12ème) se dresse sur un éperon rocheux. Il accueille des expositions en été. Inscrit aux Monuments Historiques depuis 1927. L'église Notre Dame des Pomiers (du latin Pomérium) du 13ème. Elle est classée Monument Historique depuis 1926. La porte des Recollets (16ème), vestige des anciens remparts et le pont (19ème) donnant accès à la vieille ville. les remparts, la tour des remparts encastrée dans l'église N.D. des Pomiers, La porte de Tauriers, La montée Mazon, Le canal, visible du pont des Recollets. Il permettait d'alimenter les commerces (moulin, tannerie) en eau. La beauté et le charme des petites rues pavées qui recèlent des trésors architecturaux..... Le Château de Largentière Le château domine de sa masse l'ensemble de la cité. Ancienne possession de l'évèque de Viviers, il est vendu en 1716 au Comte de Brison qui fait de nombreux travaux pour le rendre plus confortable. Au centre du Château, le Donjon carré ou Bastide de Bonnegarde date du XIIème siècle. Epargné par la Révolution, il abrita le tribunal et les prisons puis devint l'hopital local. Il abritera en 2004 le lycée professionnel hôtelier de Largentière. Une vingtaine de kilomètres et Largentière se dessine. Déjeuner en extérieur sur le parking de la coopérative. Au pied des Cévennes, blottie au creux des gorges de la Ligne, la sous-préfecture de l'Ardèche rompt par son animation avec le calme des villages superbes mais désertés des vallées environnantes. Là aussi de petites ruelles tortueuses sillonnent la vieille ville qui est dominée par son puissant château. De beaux hôtels particuliers, des escaliers de pierre et de nombreux recoins voûtés sont également au programme de cette agréable balade. Nous arrivons au Pont des Récollets d'où la vue sur le Palais de Justice aux allures de temple grec est étonnante. L'église gothique Notre Dame des Pommiers mérite une halte. Elle tient son drôle de nom du terme latin "pomerium" qui désignait la limite entre la cité et la campagne alentour. L'endroit étant très calme, c'est finalement sur le parking de la coopérative que nous passerons la nuit en compagnie d'un autre camping-car. BALAZUC N 44.50683 - E 4.37377 Nous nous garons au parking des cars situé à l'entrée du village Perchée sur sa falaise en surplomb de l’Ardèche, l’ancienne place forte des « Seigneurs de Balazuc » a gardé de nombreuses traces de son passé médiéval. A voir : Dédale de ruelles tortueuses, passages voûtés, le fameux passage de « la Fachinière », L’église romane Sainte Madeleine : L'Association de la Roche Haute organise des concerts et des expositions de peintures en été. La Tour de la Reine Jeanne : offre un panorama face au village. Le sarcophage : réplique exacte du sarcophage gallo-romain découvert au hameau des Salles et exposé actuellement au Musée de la Civilisation gallo-romaine de Lyon. Le donjon carré du 12è siècle qui abrite actuellement le Point Info en été. Le hameau pittoresque du Viel Audon : on y accède par un sentier 15 mn à pied en longeant l’Ardèche. Des chantiers de jeunes viennent restaurer les ruines depuis 35 ans et redonnent vie à ce hameau abandonné depuis un siècle. Une boutique est ouverte toute l’année et propose des produits confectionnés à la ferme sur place : fromages de chèvre, sirops et sel aux plantes aromatiques, miel … Un des Plus Beaux Villages de France Il faut rejoindre la rive opposée de l'Ardèche pour avoir le recul suffisant et découvrir ce superbe village dans son ensemble. Balazuc fut occupé aux VIIIe et IXe siècles par les Maures, mais son architecture actuelle se compose d'éléments allant du XIIIe au XVIIIe siècle. Autrefois protégées par des fortifications, les maisons se sont groupées autour du château féodal, plusieurs fois remanié, mais conservant néanmoins une portion de tour du Xe siècle. A côté, une église romane dresse son clocher à arcades surmonté d'un clocheton. Pour la rejoindre, il faut suivre des petites rues tortueuses et escarpées, bordées par endroits d'anciennes échoppes d'artisans. Merveilleux cheminement où se succèdent arc-boutants, passages voûtés, portions d'escaliers. Balazuc est au programme de cette matinée. Nous nous garons au parking des cars situé à l'entrée du village. La rue principale est tellement étroite qu'il est impossible de se croiser à certains endroits. L'Ardèche a ouvert sur son chemin, dans un plateau calcaire planté de garrigue et de forêts, une large trouée bordée d'impressionnantes falaises abruptes plongeant de 80 mètres Surplombant la rivière, le village accroche ses pierres bleutées à flanc de paroi. C'est après avoir traversé le pont que l'on a la plus belle vue sur le site. Balazuc, c'est aussi un enchevêtrement de ruelles sinueuses, d'escaliers, de rampes empierrées et d'arcades ombragées. Les restes des remparts mènent au château dont les origines remontent au XIIIe siècle, la Tour carrée remontant quant à elle au Xè siècle. La place de la vieille église a conservé intact son charme d'antan avec ses échoppes aux atours médiévaux et ses maisons à fenêtre à meneaux. Ce village est très séduisant et les touristes ne s'y trompent pas en venant nombreux. VOGUË N 44.55163 - E 4.41308° N 44.5377 - E 4.417459 Classé « un des plus beaux Villages de France », puis « Village de caractère », Voguë, situé entre les gorges de l'Ardèche et les montagnes échoises, est un village médiéval bâti en amphithéâtre dans la falaise dominé par son beau château du XIIe siècle des seigneurs de Vogüé. Ce village touristique offre des structures de locations : gites, campings, chambres d'hôtes, hôtels, séjour en roulottes … La dernière fierté du village est l’obtention du label «Station verte de Vacances». Un labyrinthe de petites rues entrecoupées d’arcades, avec ses maisons pelotonnées, conduit jusqu’au château. Ses plus anciennes parties datent du XIème siècle. Il prend son aspect actuel avec ses 4 tours et poternes au XVIIème. Le château appartient actuellement au marquis Pierre de Vogüé. Il est ouvert au public depuis 1977 et a été confié à l’association Vivante Ardèche qui le fait vivre grâce à des manifestations et des expositions. Pour le visiter, il suffit de se renseigner auprès de l’office de tourisme de Vogüé. Aux alentours, de très jolis villages pittoresques et colorés comme Labeaume, situé au pied des gorges de la Beaume; Balazuc, perché sur une falaise dominant la rivière et quelques incontournables tels Pont’Arc, Gerbier de Jonc, musées ( châtaigneraie, lavande), produits locaux (vins, miel, charcuterie, fromage de chèvre, nougats …)Vo Vogüé est un petit village très animé, surtout en été, son marché du lundi matin (juillet et août) connaît un gros succès. Et le dimanche matin, en juillet et en Août, à partir de 11h, Vogüé aime ceux qui l’aiment, c’est pourquoi l’apéro est offert à tour de rôle à tous les visiteurs et vacanciers dans une des 4 communes que regroupe l’office du tourisme : Lanas, Rochecolombe, Saint Maurice d’Ardèche et Vogüé Vogüé est un village qui se déguste, alors il faut prendre son temps pour le découvrir d’une berge à l’autre, de bas en haut, de long en large, et les professionnels du tourisme vous réserveront un accueil chaleureux dans ce lieu pittoresque Altitude : 148 m Nombre d’habitants : 736 Classé l’un des « plus beaux villages de France » et « village de caractère », Voguë est un pittoresque village médiéval. Les tours et poternes du vieux château dominent les maisons adossées à la falaise. Des jardins suspendus, un magnifique panorama sur la vallée de l’Ardèche s’offre à vous. Le dédale de charmantes ruelles jalonnées d’arcades, de passages voûtés, d’escaliers extérieurs vous conduirons au bord de la rivière l’Ardèche au pied du village. Promenade, baignade, visite… Nous voulions visiter Villeneuve-de-Berg, le marché en interdit l'accès en ce mercredi. Tant pis, nous poursuivons sur Vogüe qui est un des "cent plus beaux villages de France". L'arrivée est saisissante : incrusté dans le calcaire doré par le soleil, le village semble faire partie intégrante de la montagne. La masse imposante du vieux château des seigneurs de Vogüe détache ses tours et poternes. Bordant de vieilles ruelles entrecoupées d'arcades, les maisons sont pelotonnées au pied du château. Beaucoup viennent tout droit du Moyen-Âge. Le vieux moulin seigneurial et la porte Saint-Benoît apportent la dernière touche à cette miniature médiévale. En bas sommeille l'Ardèche qui a ménagé une belle plage où il fait bon lézarder, bercé par le champ des cigales. Il y a aussi le vieux pont de pierre qui enjambe la rivière. Ailhon N 44.596614 - E 4.338929 Près d ’Aubenas, Ailhon a su conserver le cachet de ses maisons de grès et entoure d’un écrin protecteur son joyau d’architecture, une église romane du XIII e siècle. Le territoire est habité depuis fort longtemps, comme en atteste une sépulture préhistorique au Gay et de nombreux vestiges à Daüs. Au cours des siècles, la vie du village a été principalement marquée par les guerres de religion au XVIe siècle, puis, un siècle plus tard, par la révolte de Roure. Entre 1586 et 1591 les combats entre catholiques et protestants font rage ; du fort d’Ailhon, pris et repris, il ne reste plus qu’une tour noyée dans la maison Chabert au sud du village. Mais en 1593 un ormeau est planté, comme dans de nombreuses paroisses, sur ordre de Sully, pour célébrer l’adhésion de Henri IV à la religion catholique, étape importante vers la pacification du royaume. Son tronc monumental est exposé dans le fond de l’église. De mai à juillet 1670, Ailhon prend une part active à la révolte paysanne de Roure, provoquée par de fausses rumeurs. La répression, menée par d’Artagnan, est très dure et plusieurs Ailhonnais sont exécutés. Le village est puni, le clocher est écimé. La Révolution apporte son lot de convulsions et de désordres en même temps que l’avènement de la liberté. La bande de brigands de Fourniquet de Chassiers (exécuté à St Cirgues de Prades en mai 1800) laisse de fort mauvais souvenirs. Au cours du XIXe siècle, plusieurs sociétés minières exploitent les filons de minerai de fer qui courent principalement de Chaunes à Merzelet.Le plus beau joyau d’Ailhon est son église, dont les parties les plus anciennes remontent au XIIe siècle. Elle a été agrandie et remaniée jusqu’au début du XVIe siècle, très harmonieusement, et elle abrite de nombreuses sculptures remarquables. Mais il faut aussi se promener dans les calades du village et dans les hameaux nichés dans la forêt de pins maritimes (introduits vers 1825 seulement et principalement destinés au boisage des mines) pour admirer de très belles maisons, avec de nombreuses fenêtres et portes intéressantes : chacun de ces hameaux est un petit poème architectural... Créé en 1991, sur l’initiative commune de la mairie et de l’association des Amis d’Ailhon, avec l’assistance de la Direction Départementale de l’Agriculture et de la Forêt et le Lion’s Club d’Aubenas, l’Arborétum regroupe un nombre important d’essences très variées. C’est à la fois la salle de classe en plein air d’une école d’arboriculture, et un lieu de promenade et de détente très apprécié dans tout le bassin albenassien. Mais c’est aussi un lieu du souvenir où est planté, chaque année, un arbre pour chacun des enfants né dans une famille de la commune. AUBENAS N 44.61075 - E 4.40953 Aubenas 11/10/2008 Il vaut mieux aller sur le parking de la mairie de Pont d'Ucel, en face de la riviere Ardèche. Limité à 1 nuit. Aucune difficulté pour se garer à Aubenas sur le parking Olivier de Serres situé près de la Poste (N 44.621061 E 4.386806) Place de l'Airette et table d'orientation pour admirer un paysage grandiose et pour mieux comprendre l'histoire des hommes à travers leur environnement Rue Valleton : vous découvrirez la dernière des sept portes d'Aubenas et la maison d'une riche famille protestante dont l'entrée XVIIe est finement moulurée Place du château : ce magnifique« édifice à métamorphoses » porte la marque des six familles seigneuriales qui l'ont habité depuis le XIIe jusqu'à la Révolution Terrasse « à l'échauguette » : on y accède par le portail à bossages du XVIIe; cette terrasse domine le berceau industriel de la ville. En contrebas, vue sur le canal de Baza, les moulinages et les filatures qui ont fait la richesse d'Aubenas Maison Delichères : face au château l'une des plus riches demeures du XVe, d'architecture gothique, ornée de gargouilles sculptées dans le grés Grand'rue : la plus large de la cité au Moyen Age, elle descend doucement du château vers l'église et a conservé sur ses abords de très belles maisons Place Jeanne d'Arc et église Saint-Laurent : l'église primitive fut édifiée en 1220; sa dernière reconstruction remonte à 1653. A noter la facade du XIXe siecle Place des cocons : mémoire de l'activité soyeuse d'Aubenas aux XVIIIe et XIXe siècles Place de la grenette, Dôme Saint Benoît : ancienne chapelle du couvent des Bénédictines, halle aux grains sous la Révolution, aujourd'hui musée d'objets Religieux Chapelle des Cordeliers, attenante à un couvent de moines, aujourd'hui détruit. Ornementations et tableaux du XVIIe, à découvrir en écoutant l'histoire des moines de Saint-Antoine Hôtel Goudard-Ruelle : ancien hôtel particulier du XIIIe abritant aujourd'hui la bibliothèque municipale. Buste et fontaine dédiés à Jean Mathon, instigateur de l'eau courante à Aubenas Anciens remparts sur le boulevard Gambetta, tourelles de défense de la ville derrière lesquelles s'abrite l'église primitive d'Aubenas Monuments et lieux touristiques[modifier] Le Château d'Aubenas est classé monument historique. Originellement c'était un château fort du XIVe siècle, remanié en élégante demeure aux XVIIe et XVIIIe siècles. Il présente une riche collection de peintures, sculptures et gravures. Du donjon, il offre un panorama exceptionnel. La maison aux gargouilles (maison Delichères) du XVIe siècle, sur la place du château. Le Dôme Saint-Benoît des XVIIe et XVIIIe siècles est l'ancienne chapelle d'un couvent de Bénédictines. On y a regroupé des objets d'art religieux et transféré le mausolée en marbre du maréchal et de la maréchale d'Ornano (qui se trouvait autrefois au Château). l'Hôtel Goudart-Ruelle ancien hôtel particulier du XVIIIe siècle, devenu ensuite la bibliothèque municipale jusqu'à la construction de la médiathèque. Les remparts, tourelles de défense de la ville. La place de l'Airette, d'où l'on domine la vallée de l'Ardèche (table d'orientation). Aucune difficulté pour se garer à Aubenas sur le parking Olivier de Serres situé près de la Poste. Nous sommes à deux pas de la vieille ville qui est assez pittoresque. Bâtie sur un promontoire rocheux, elle domine l'Ardèche. Parmi les curiosités à découvrir, il y a le Dôme Saint-Benoît qui est l'ancienne chapelle d'un couvent de bénédictines. Il se caractérise par une structure à tambour hexagonal et une coupole imposante. Emergeant des maisons anciennes et se dressant audessus des remparts, il rappelle la riche histoire de la ville qui a su conserver intacte au cours des siècles toute sa vitalité. Pendant la révolution, il servit de grenier à grain. L'église Saint-Laurent est surtout célèbre pour ses magnifiques boiseries intérieures. Quant au château, c'est sa façade entourée de tours rondes qui attire l'attention. Une "maison aux gargouilles" lui fait face. De pittoresques rues joignent ces monuments. VALS LES BAINS N 44.664803 - E 4.36560 Vals les Bains s'est construite au pied des jeunes volcans, sur la rive gauche de la rivière Ardèche. Vals les Bains est une ville touristique offrant des structures de location saisonnière : gites, campings, chambres d'hôtes, Hôtels... Station thermale renommée à la belle époque, Vals les Bains renoue depuis une dizaine d'année avec son passé prestigieux ; son casino, l'eau minérale de Vals et ses pastilles relancées sur le marché, ses thermes rénovés, en font désormais une vile d'eau qui attire curistes et touristes. Parmi ses nombreux atouts, son parc ombragé, dans lequel jaillit sa célèbre source intermittente et au milieu duquel coule la rivière Volane, est un lieu de promenade et de repos. De nombreuses activités culturelles sont organisées toute l'année par la municipalité et son office de tourisme ; pièces et spectacles dans le théâtre du casino, concerts dans son parc, expositions artistiques, carnavals de printemps, festivals du jeu en été drainent de nombreux spectateurs. D'autres manifestations, comme les concours de pétanque, attirent la foule. Depuis peu un musée exposition est ouvert au public, la maisonœuvres d'art. On peut y apprendre de nombreuses choses sur l'Ardèche et ses traditions. Le passage du rallye historique Monte Carlo, le départ du rallye de l'Ardèche ou l'exposition de vieilles voitures par le évènements remarqués. Vals les Bains est aussi une ville très commerçante, avec ses petites boutiques, ses restaurants, ses glaciers disposés le long de ses rues récemment aménagées pour faciliter la circulation des piétons, et son marché du dimanche matin. Vals les Bains dispose de tous les atouts d'une véritable station thermale, au cœur de l'Ardèche méridionale. Les professionnels du tourisme auront plaisir de vous recevoir dans leurs hôtels, restaurants, gites, chambres d'hôtes, campings et villages de gites et sauront vous faire apprécier la qualité de vie à Vals les Bains et ses alentours dans un cadre remarquable. Quelques kilomètres et nous voici à Vals-les-Bains, une station thermale tapie dans un étroit couloir réputée pour son eau minérale. Les parcs du casino sont agréables et nous offrent une belle promenade. Alternance de nuages et d'éclaircies mais la température avoisine les 28°. C'est bien agréable ! N'ayant pas peur du paradoxe, nous osons visiter une brasserie dans cette capitale de l'eau. Il s'agit de la brasserie Bourganel qui nous fait connaître les secrets de la fabrication de ses bières. Nous dégustons ses spécialités : la bière aux marrons et la bière aux myrtilles. Jaujac 44.636263, 4.258219 Petit bourg ardéchois pittoresque, situé au bord du Lignon, à une altitude de 420 mètres, Jaujac a su conserver et valoriser un profond caractère médiéval. Cette atmosphère est accentuée par ses ruelles pavées, son château de Castrevieille, le château du Bruget. Mais ce village est aussi un site majeur du volcanisme ardéchois. Le village tire son nom de l'ancienne seigneurie des Jaujac, qui vécurent au XIIe et demeuraient au château de Chastelas sur la rive gauche de la rivière. Bourg médiéval en forme d'étoile, il s'articule autour d'une place plantée d'arbres, ornée d'une fontaine. Son originalité repose sur sa triade de château : Castrevieille, Le Bruget, Rochemure. Une triade de châteaux Il existe trois châteaux sur la commune. Le château de Castrevieille, du XIIIe, se situe à l'entrée du village et appartint au Comte d'Antraigues avant de devenir la propriété de la commune. Masse imposante, il est caractéristique des bastides du sud de la France : grand bâtiment principal flanqué de tours lui donnant l'aspect d'un fort. Il abrite à l'heure actuelle la salle des fêtes, ainsi que plusieurs gîtes ruraux. Le château du Bruget, situé sur la route des Roudils, est le berceau de l'ancienne famille des Bruget vers l'an 1378. Le château mérite le détour, il possède de belles armoiries, une salle avec un magnifique plafond à la française ainsi qu'un escalier tournant se terminant par une originale voûte en palmier. Enfin le château de Rochemure et son domaine, situé entre la bouche du volcan et le village, il a été transformé afin de devenir la maison du Parc Naturel Régional des Monts d'Ardèche. Lieu chargé d'histoire le donjon du Chastelas fut construit au XIIe et XIIIe. Situé dans le vieux quartier de Jaujac, fût construit par les De Jaujac, et rasé au XIVe. Il ne reste actuellement que la base des murs dans le quartier du Chastelas. A proximité se trouvent de nombreuses curiosités, comme la coupe de Jaujac, restes d'un ancien volcan. Le pont "romain" du Chastelas qui permet de traverser un affluent du Lignon en allant en direction de Neyrac. Les environs se prêtent parfaitement à l'observation des anciennes coulées basaltiques qui ont donné de magnifiques prismes à section octogonale, que l'on nomme des orgues basaltiques. MEYRAS Rue Grande, D26 Parking du stade N 44.67946° E 004.26848 14/06/2011 Avons passés 1 nuit sur cette aire superbe,très propre . Merci à la municipalité ,nous reviendrons,superette très sympathique et bien accueillis. 02/05/2011 Une aire comme on aimerait en avoir plus. 15/04/2011 § Avons passe 2 jours à Meyras,trés beau village à decouvrir,circuit des fresques à ne pas manquer, nombreuses randonnées ,montée au volcan du Soulhiol4 euros pour stationner sur ce bel emplacement Merci à la municipalité 13/08/2010 Aire très belle, employés municipaux sympas, concours de boules le 12 et 13 aout. Stationnement gratuit. En plus, le village est très beau. 22/06/2010 C'est le type d'aire modèle que chacun souhaiterait rencontrer. La municipalité nous a offert une belle étape et son prix n'est pas usurpé. Le village est très agréable, ce qui ne gâte rien. Thueyts N 44.67266 - E 4.21928 Thueyts, qui provient du celte Attegia, signifie les huttes. Laissez-vous séduire par la richesse et la beauté du patrimoine bâti, partez à la rencontre des vieilles pierres qui dévoileront l'histoire du village, à travers les ruelles anciennes. Au VIIe sera construite la chapelle Saint Bauzile détruite en 1572, elle deviendra chapelle Saint Roch lors de la reconstruction en 1718. En 938, la chapelle St Bauzile et la seigneurie reviendront aux moines de l'abbaye St Chaffre du Monastier sur Gazeille (Haute Loire). Le château de Blou, construit vers le XIIe par la famille des Pressis, passera aux mains de la famille de Blou en 1461, par le mariage de Marguerite des Pressis avec François de Blou. Il fut remanié à de nombreuses reprises, et devint un château de plaisance au XVIIIe siècle. En 1986, la commune en devient propriétaire. On peut y voir des toits de tuiles vernissées, une cheminée dite Sarrazine, et des salles voûtées restaurées. Thueyts possède plusieurs édifices classés : la Tour Pouget ou Gaschet, érigée à la Renaissance, elle est dotée de belles particularités architecturales comme un escalier en vis avec voûtes sur croisée d'ogives, une porte moulurée avec blason flammé ou des fenêtres à meneaux moulurés. L'église St Jean Baptiste, d'époque Romane, fut de nombreuses fois remaniée avant d'être entièrement reconstruite au XIXe siècle. L'ancien prieuré situé rue de la Fontaine, fut la maison des moines de St Chaffre, et devint collège clérical au XVIIe siècle. Rue Mercière, on peut admirer deux belles demeures Renaissance ; l'ancienne maison du notaire Eschallier ainsi que la demeure des seigneurs des Goys. Rue Haute une maison Renaissance, possède un bel escalier de pierres et un plafond à la française. Dans le quartier des Higoux, on peut voir la Maison Gast, demeure de la famille notariale De Gast au XIIIe. Place de la fontaine, la Maison Touvieille, demeure Sieur Pierre Fournier en 1640 devint au XIXe l'habitation de Emmanuel Tourvieille, médecin et maire de Thueyts de 1846 à 1848. Dans les environs se trouvent de nombreux sites naturels comme la chaussée des Géants, coulée basaltique parmi les plus hautes d'Europe. L'Echelle du Roi, faille naturelle dans la coulée basaltique, à son arrivée plusieurs belvédères offrent une vue panoramique sur la vallée de l'Ardèche et le Pont du Diable. L'Echelle de la Reine avec ses 215 marches permet de découvrir la vallée de la Vernède. La cascade de la Gueule d'Enfer, alimentée par le ruisseau le Merdaric, fait un saut vertigineux de 80 mètres. BURZET N 44.739867 - E 4.245551 Ruines et vestiges de plusieurs châteaux Eglise Saint André, datant du 16ème siècle, avec son (clocher à peigne) est une église qui fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 3 novembre 19302. p Le Prieuré de Belvezet (ancien) fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 23 février 19813. CASCADE DU RAY PIC 44.78969, 4.262642 ? Située sur la commune de Péreyres, petit village sur l’une des routes menant à la montagne ardéchoise, la cascade du Ray Pic est un spectacle grandiose pour les yeux et ainsi un des hauts lieux du tourisme en Ardèche. Site classé depuis 1931, la cascade du Ray Pic jaillit au milieu des orgues basaltiques. C’est le seul passage qu’a trouvé la Bourges au milieu des coulées volcaniques. La Cascade du Ray Pic est formée de deux chutes : la première, que l’on ne voit pas en étant au pied du bassin, est a environ une soixantaine de mètre au dessus et la seconde chutes, la principale, fait 35 mètres. La rivière s’écoule ensuite sur plus de 20 kilomètres. Cette cascade a rendu célèbre le volcan du Ray Pic (ou coupe de la Fialouse) qui, il y a encore quelques milliers d’années, débordait d’activité. Ce volcan est à l’origine d’une des plus longues coulées de lave de France (20kms). Pour vous rendre au pied de la cascade, il vous faut continuer sur la D215 entre Burzet et Lachamp-Raphaël et vous arrêter sur un parking aménagé le long de la route. Vous accéderez à la cascade par un petit chemin aménagé dans les bois en une quinzaine de minutes. La cascade est un site géologique très intéressant car il s’agit d’un site naturel volcanique où l’eau de la rivière Bourges tombe de plus de 60m. De plus, deux belvédères ont été aménagés avec tables d’orientation. L’un sur la route qui suit la vallée de la Bourges et qui conduit à la cascade du Ray Pic et l’autre en bordure de la D215 avec un point de vue magnifique sur le site du Ray Pic. La cascade du Ray Pic est donc la plus belle chute d’eau du département de l’Ardèche. LACHAMP RAPHAËL Entre le Mont Gerbier de Jonc et Mezilhac N 44.81079° E 004.2887 21/06/2011 Nous sommes passés par cette aire au début du mois de mai. Nous avons été désagréablement surpris de trouver une borne en très mauvais état. Nous nous étions arrêtés à l'ouverture et c'était parfait. J'avais même adressé un mèl de félicitations à la mairie. 23/04/2011 de passage en ce mois de avril nous avons passer une nuit vraiment calme merci a la commune. 09/08/2009 De passage le 23.07. Aimant beaucoup cette région, nous avons apprécié le calme de cette aire, les environs et surtout l'effort fait par une commune de 60 habitants pour accueillir les camping-caristes. Merci à la municipalité et aux habitants! LE CHEYLARD AIRE Parking du Super U N 44.912° Décimaux E 4.44135° L'Arche des Métiers : présente l'ensemble des savoir-faire et des métiers du bassin de Le Cheylard4. Le château de La Chèze : place-forte protestante au XVIe siècle. Il est actuellement restauré par l'Association pour la Sauvegarde du Patrimoine Boutièrois (A.S.P.B. - château de La Chèze)5. la vieille ville de Le Cheylard. La fontaine sur la place de l'église : offerte par François de Saléon-Terras (député-maire). La Palisse : quartier du Cheylard ou se concentre les grandes surfaces, le stade de foot, la salle des fêtes. La base aquatique Eyrium. L'amphithéâtre de la vieille ville DESAIGNES Le village médiéval Flânez dans ses ruelles à la découverte de ses trésors. A voir: trois portes médiévales, des fragments du rempart, de vieilles maisons gothiques, l'auberge du Lion d'Or, l'église de style roman, le temple de l'église réformée accolé à la première forteresse du XIIè siècle, le château du XIVè siècle, la forge, l'atelier de sabotier et l'échoppe de l'artisanat. Visites accompagnées en Juillet et en Août au départ de l'Office du tourisme le jeudi à 10h. Durée:1h Tarif:2€,enfant:demi-tarif Visites accompagnées toute l'année sur réservation à partir de 10 personnes. Le château-musée La partie la plus ancienne du château date du XIVè siècle. Le musée municipal est installé dans ses murs. Il présente la vie rurale d'autrefois, l'histoire locale à travers de nombreuses expositions ( les écoles, la vie du château, l'architecture médiévale, le cahier de doléances de la ville, l'édit de Nantes, la résistance lors de la dernière guerre...). A voir aussi, le magnifique escalier à vis et de monumentales cheminées. Ouverture de Pâques à la Toussaint le samedi et le dimanche de 14h à 18h, en Juillet et en Août jusqu'aux journées du patrimoine du mardi au dimanche de 14h à 18h. Tarifs:adultes:3€, Visites guidées toute l'année sur réservation à partir de 10 personnes LAMASTRE Parking N 44.987011° E 004.579720° Un ancien moulin devenu une brasserie artisanale Suivez le parcours du grain dans les étages de cet ancien moulin à grain du 19ème siècle et partez à la découverte du plus ancien des breuvages : la bière. Visite libre de l’ancien moulin, présentation de la brasserie artisanale et dégustation de bières ou jus de fruits pour les enfants. http://www.leschopesdumoulin.com/ - Église, prieuré et vieux village de Macheville : Le chevet de l’église avec la fenêtre du chœur et ses modillons est roman (XII° siècle). A l’intérieur, dix chapiteaux, que l’on peut dater du XI° siècle, ont été probablement réemployés lors de la reconstruction partielle de l’église par les Jésuites au XVII° siècle. Le clocher et les premières travées de la nef sont de la fin du XIX° siècle. De l’ancien prieuré subsistent une tour et une belle porte du XV° siècle surmontée de sa bretèche. - Ruines du château de Peychelard (X° siècle) : Le château de Peychelard, construit sur un éperon barré, était la première résidence des seigneurs de Lamastre. Les pierres des maisons de la ville haute, peu à peu abandonnées, ont été réutilisées pour construire les maisons de la ville basse, le Lamastre actuel. - Ruines du château de Retourtour (X° siècle) : Bâti sur un monticule, ce château doit peut-être son nom au latin "Retortoris" à cause de la presqu’île fermée par le Doux. Des querelles de succession au XIV° siècle sont probablement à l’origine de la ruine du château. On raconte qu’au début du XVII° siècle y vivait encore un petit seigneur "brigand" qui rançonnait les environs ... - Le Parc Seignobos : Halte fraîcheur au cœur du village. Riche en essences rares, il est un bel exemple de jardin du 19ème siècle, appelé pompeusement "parc" par les gens du pays. Ne manquez pas d’observer le gingko biloba, l’araucaria et les autres essences rares, plantées voilà plus de cent ans. Ce petit havre de paix accueille en été des spectacles et de nombreux gourmands le temps d’un piquenique LA VOULTE SUR RHONE N 44.80078° E 4.78214° Marché le vendredi matin: ne pas stationner dans la nuit de jeudi à vendredi Le Château de La Voulte-sur-Rhône (datant du début XIVe siècle et terminé aux XVIe et XVIIe siècles). Il est classé Monument historique La vieille ville est constituée de ruelles montantes et étroites, de passages voûtés La chapelle des Princes (classée Monument historique) L'église Saint-Vincent La fontaine Giroud (classée Monument historique) Le site des fonderies avec 4 hauts fourneaux (classés Monument historique) Le viaduc ferroviaire de La Voulte-sur-Rhône, premier viaduc ferroviaire en béton précontraint construit en France, en 1952-1955, par la société Boussiron suivant la conception de Nicolas Esquillan, pour la SNCF. Le pont suspendu de La Voulte-sur-Rhône, construit entre 1889 et 1891 par l'ingénieur Ferdinand Arnodin. (COL DE L’ESCRINET) ? Le col est situé à une altitude de 787 mètres et se situe sur la Route nationale 304 entre Aubenas et Privas (France, département de l'Ardèche). Il ouvre sur la vallée de l'Ardèche et les plaines du Languedoc au sud-ouest, et sur la vallée du Rhône au nordest. Géologie[modifier] Le col de l'Escrinet est traversé par un étroit dyke volcanique qui émerge du substrat marno-calcaire. Il forme l'extrémité nord du massif du Coiron, massif caractérisé par une inversion de relief spectaculaire : il y a quelques millions d'années, des coulées volcaniques ont envahi des vallées creusées dans un substrat marnocalcaire. Ces coulées se trouvent aujourd'hui bien au-dessus des terrains environnants. Au col, sur la butte de la Tourrasse, une stèle rappelle, lapidairement, la mémoire de Jacques de Sugny et ses trois identités. Né à Lyon, originaire du nord de l'Ardèche, Jacques de Sugny (1910-1986) fut en effet résistant au nazisme sous le nom de Loyola et premier préfet de l'Ardèche lors de la libération de Privas par la résistance. Puis sous le nom de Jacques Trémolin, il devint écrivain et chroniqueur naturaliste sur France-Inter vers 1970. Ses chroniques pleines de vie sont à l'origine de plus d'un engagement en faveur de la protection de la nature. Ses cendres ont été épandues en 1986 au col de l'Escrinet, lieu d'un affrontement avec l'occupant en 1944. PRIVAS Parking ? 44.736758, 4.598637 Longitude : 4.59848000 Latitude : 44.73254000 Adresse : chemin du Mèzayon, derrière la gendarmerie. 07000 Privas Je conseille 2 villages proche de Privas: Allisas et Chomérac. Prendre la direction de Montélimar par la D102. * Pour Allisas (N :44.712906, E 4.632626) (environ 5kms), passer devant le SuperU et au rond-point du viaduc prendre à droite, à 100m un parking à gauche en contre bas de la route à coté * Pour Chomérac (2 kms plus loin), grand parking sous les arbres, vers stade et proche du centre du village. Privas est la première " Ville porte " du Parc Naturel des Monts d'Ardèche en venant de la vallée du Rhône. Située en plein cœur du département, la ville est le lieu idéal pour partir à la découverte de toute l'Ardèche. Gites, campings, hôtels ou chambres d'hôtes vous permettront de séjouner dans les environs de Privas. Bâtie sur un éperon rocheux qui surplombe les étroites vallées de l'Ouvèze et du Charalon, haut lieu du protestantisme, elle dispose d'un patrimoine historique et religieux, constitué des ruines de l'ancienne cité huguenote ardéchoise du XVIème siècle, qui fut brûlée par Louis XIII, puis reconstruite. Le pont de pierre sur l'Ouvèze porte le nom du roi Louis XIII, à voir aussi le Cloître des Récollets, la Tour Diane de Poitiers, la porte aux Diamants. Plusieurs musées témoignent de cette époque où l'influence de la cité Privadoise s'étendait du pays des Boutières jusqu'au Rhône, le musée du Vivarais protestant à Pranles, les archives départementales. L'office de tourisme vous propose de suivre la visite commentée de la vieille ville. Autres sites à découvrir, les trois croix du Montoulon, la forêt de pins domaniale Le Bois Laville, avec vue imprenable sur le massif volcanique de Chamarouan, l'arboretum aux essences rares de feuillus et de résineux, le sentier des 5 ponts à travers la Cévenne privadoise. Privas a été classée " Site remarquable du goût " par le Conseil national des arts culinaires. Sa notoriété en tant que capitale du marron glacé est liée à celle de Clément Faugier, né en 1882, qui a su adapter de façon industrielle la recette traditionnelle du marron glacé, désormais apprécié dans le monde entier. Privas, préfecture de l'Ardèche bénéficie de toutes les infrastructures et équipements sportifs et culturels d'une ville moyenne, piscine couverte, stade, théâtre, cinémas, salles des fêtes De nombreuses activités peuvent y être pratiqué, ballade à vélo, vtt, escalade, tennis, accrobranche, randonnées pédestres, etc... Son commerce est très dynamique que ce soit dans le centre ville où son marché a lieu tous les samedis matins ou dans sa zone commerciale et artisanale en périphérie. Le Beffroi La première pierre fut posée en 1937, ce bâtiment est à l’image de l’architecture de l’entre deux guerres. (Particularités : vitrail, peinture…) - Le Montoulon qui surplombe la ville, fut le théâtre de l'ultime combat qui opposa en 1629, les gardes suisses de Louis XIII aux derniers huguenots privadois, réfugiés dans le fort qui le couronnait alors. Du Montoulon, point de vue imprenable d'où l'on découvre toute la région, de la montagne du Charray et de la Roche de Gourdon (Ouest) aux premiers contreforts des Alpes (Est). Belle vue sur les toits de la ville et sur la Chapelle- cathédrale Sainte-Marie. Curieux cône volcanique qui domine Privas du haut de ses trois croix illuminées la nuit. Emplacement idéal pour un poste de vigie, il fut le théâtre de luttes acharnées (1627-1629). En 1826, le père Chiron commence un ministère auprès des malades mentaux. Il y fera dresser en 1840 trois grandes croix de bois. Altérées par les intempéries, elles seront réédifiées à l'identique. La pietà du sculpteur Carlo Sarrabezolles sera sculptée sur place et plaquée contre le rocher, en 1957. Le site du Montoulon, est la propriété de l'hôpital Sainte-Marie. Il est possible d'y accéder par un sentier au départ de la place des Récollets ; ce belvédère offre une vue magnifique sur la ville de Privas La Tour Diane de Poitiers La Tour Diane de Poitiers fut construite au XV ème siècle par la puissance famille des comtes de Poitiers, ducs de Valentinois et barons de Privas. De pur style renaissance, elle est constituée d'un escalier à vis qui desservait des appartements qui, au cours des siècles, furent les demeures des administrateurs de la baronnie de Privas. A découvrir sur la place de la République, centre-ville Privas. Le Pont Louis XIII Le Pont Louis XIII, au 12ème siècle est situé sur une voie de communication très importante, reliant Baix sur le Rhône à la Montagne ardéchoise. Très endommagé par les combats du siège de Privas en 1629, le roi Louis XIII le fait réparer non par générosité, mais avec le dessein d'améliorer toutes les routes menant à Privas ; cela bien sûr, afin de permettre le passage de ses troupes en cas de nouvelles révoltes ! La Chapelle et le Parc des Récollets A Privas, derrière l'église des Récollets "cet ancien jardin de curé", offre aux curieux quiétude et sérénité. L'histoire débute en 1599. Jacques de Chambaud, capitaine huguenot, rachète au petit-fils de Diane de Poitiers la baronnie de Privas. Sur les ruines d'un fortin du XIème siècle (Le Château des Récollets date du 12ème siècle), il fait édifier un château. Achevé en 1620, mais au coeur d'une rivalité passionnelle entre catholiques et protestants, « la guerre des amoureux », il sera entièrement détruit par les Privadois en 1621. Après le siège de Privas, les Récollets s'installent en 1644. A la révolution, il devient le siège du tribunal révolutionnaire puis un ordre religieux y installe un collège de garçons qui devient laïque et ensuite mixte (ancêtre du collège Bernard de Ventadour et du Lycée Vincent d'Indy). Actuellement, il est le siège du conservatoire de Privas Privas possède trois monuments historiques8. Le Pont sur l'Ouvèze dit de Louis XIII est classé au titre des monuments historiques par arrêté du 9 mars 19239. Une borne militaire gallo-romaine est classé au titre des monuments historiques par arrêté du 26 septembre 190310. La tour Diane de Poitiers, dont la porte et tourelle d'escalier sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du 5 avril 193511. Autres lieux[modifier] La Porte aux diamants Le couvent des Récollets - Privas Le belvédère du Mont-Toulon, volcanique, porte une Piéta monumentale, sculpture de Carlo Sarrabezolles (1955) Le hameau médiéval de la Tour du Lac La chapelle de Lubilhac Hôtel de ville (1937) Église Saint-Thomas Monument aux morts de la Résistance, par Carlo Sarrabezolles Un temple Le Mézayon au pont du RN304 Moulin-usine en ruine au bord du Mézayon Saint-Vincent-de-Barrès Parking ? 44.662094, 4.70939 Un site médiéval, fortifié et perché, exceptionnellement préservé. Situé sur un promontoire rocheux en forme de goutte d’eau, le village domine la plaine du Barrès, mettant en valeur les vestiges de son passé médiéval. Dès la route départementale 2 qui passe en contrebas, on aperçoit parfaitement les 3 tours principales. Un peu d'histoire. La première mention d’un édifice religieux remonte à l’an 1020, date à laquelle l’église dédiée à St Vincent a été confié aux moines de Cluny. Dés le XIe siècle, la population a commencé à se rassembler autour de l’église puis de la demeure seigneuriale (XIIe). Située aux marges du Royaume de France et du Saint Empire Romain Germanique, St Vincent a, à plusieurs reprises, changé de domination (1213 à l’évêché de Viviers, 1256 aux comtes de Valentinois, 1424 au Duché de Savoie, 1448 au Dauphiné et Royaume de France,…). Les dernières fortifications (grosses tours rondes) ont été achevées à la fin de la guerre de cent ans (début XVe). Puis ce fût une petite place forte protestante (fin XVIe) dont le démantèlement a été oublié en 1622, ce qui explique qu’à la fin du XIXe siècle, les fortifications étaient encore quasiment intactes. Un village qui se découvre. Lorsque le visiteur arrive par la porte des Notables, qui était le principal accès, il peut voir la configuration particulière qui permettait d’en assurer la défense. Il n’y a qu’à regarder la chicane formée par la ruelle et la position des meurtrières. En parcourant le cœur du village, plusieurs échoppes donnent l’impression d’être prêtes à ouvrir. Le donjon (fin XIIème siècle), siège de la Mairie, met en avant la pierre de calcaire, par opposition aux autres bâtiments qui allient avec bonheur l’utilisation des pierres blanches et des pierres noires du Coiron. La porte des Cavaliers permettait d’accéder au village à cheval. Une meurtrière en assure la défense. Dans tout le village, de nombreux petits détails architecturaux méritent d’être découverts par le promeneur.L’église, reconstruite au XVIIème siècle sur l’emplacement de celle laissée en ruine lors des guerres de religions, occupe le point haut du village. Un environnement varié. Selon le point d’observation, le paysage qui s’offre au regard est très différent. A l’ouest, plaine agricole avec le plateau du Coiron en arrière plan qui est constitué d’une table basaltique sur des sédiments. La montagne d’Andance d’où est extraite la diatomée complète la vision. Au nord, ouverture vers la vallée du Rhône et le fleuve qu’on aperçoit. A l’est, la forêt domaniale du Barrès qui comporte encore une hêtraie relique, c'est-à-dire qui s’est développée sans que l’homme n’y ait mis la main. Autant d’horizons qui offrent de nombreuses possibilités de ballades qui permettront de découvrir, demeures et hameaux qui se trouvent aux pieds du promontoire (Le Serre, La Dame, le Geai…). ROCHEMAURE Le donjon roman, bâti sur un dyke (cheminée volcanique), est constitué d’une tour carrée comme on les faisait au début du XIIe siècle, surmontée d’une tour pentagonale construite à la fin du même siècle. Comme tout le bâti ancien à Rochemaure, les pierres de construction sont noires (basalte) et blanches (calcaires). C’est ce qui fait l’originalité des constructions de ce village. Le monument est classé. Les remparts du XIIIe siècle partent du château et descendent dans la vallée. On les appelait vintenum parce que les habitants qui habitaient intra muros devaient donner le vingtième de leurs récoltes au seigneur pour l’entretien de l’ouvrage et la solde des soldats. Monument classé. La tour du Guast, construite au XIIIe siècle, fait partie des remparts. À l’intérieur, une partie d’habitation conserve notamment les restes d’une cheminée finement ciselée. C’était probablement l’habitation du co-seigneur de Rochemaure. Monument classé Le château de Joviac, construit en 1597, est une « maison forte » et un domaine agricole remarquablement bâti selon les prescriptions du grand agronome Olivier de Serres, avec un système hydraulique perfectionné. Monument et système hydraulique classés. Le vieux village a été construit autour de la voie romaine d’Antonin le Pieux et autour du château. Site inscrit. L'ancien pont suspendu sur le Rhône a été construit en 1858 par les collaborateurs de Marc Seguin, inventeur des ponts en fil de fer. Monument inscrit. Le site volcanique se situe aux contreforts des volcans du Coiron. Vous pouvez admirer le pic du Chenavari, les cheminées volcaniques sur lesquelles sont construites le château médiéval et la tour du Guast, de nombreuses orgues basaltiques. Le nom de Rochemaure vient du bas latin roca maura qui veut dire "roche noire", donc roche basaltique LE TEIL N 44.55138° E 04.68972°aire Situé le long du Rhône, à seulement 5 kilomètres de Montélimar (Drôme), le Teil est une des portes d’entrées en Ardèche. Première ville ardéchoise sur la route Montélimar Aubenas, le Teil est un véritable pôle de vie : administration, commerces, artisans, établissements scolaires et tissu associatif dynamique La petite ville du Teil naît autour du château construit au XIII° par le seigneur d’Adhémar mais détruit en 1634 par le Cardinal de Richelieu. A cette époque, la ville vit de la taille du chanvre. Mais elle prend de plus en plus d’importance grâce à l’activité du port fluvial (commerce de tissus, toiles, livres ainsi que les fruits de la vallée du Rhône). La ville est donc choisie pour devenir l’un des dépôts de Sel Royal. Ainsi, la rue Kléber est un formidable témoignage de cette époque de prospérité et de richesse. On peut encore y voir de nombreux hôtels particuliers et de vieux immeubles Au XX°siècle, le commerce sur le Rhône laisse place au chemin de fer. La ville sera un dépôt de locomotive à vapeur, de la compagnie des chemins de fer PLM jusqu’en 1960 et pouvant accueillir jusqu’à 56 machines. Le premier pont traversant le fleuve et reliant le Teil à Montélimar fut construit au XIX° et le pont actuel, le quatrième, date de 1946 La fabrication de la chaux date depuis très longtemps. Les usines Lafarge se sont installées en 1868 et participent fortement au développement économique du Teil. Elle sont aussi connu et reconnu pour avoir entre autre participé à la construction du canal de Suez. Ne quittez pas Le Teil sans avoir visité l’église romane Saint Etienne de Mêlas. Construite au IX° siècle, elle est l’une des plus ancienne église romane de France et possède un baptistère antérieur au XI° ou IX° selon les historiens et archéologues. Elle fut classée monument historique. Il y a aussi le musée départemental de la résistance et de la déportation en Ardèche qui retrace cette période de l’histoire grâce à de nombreux documents d’archives et des photographies historiques. Le Teil s’anime tous les jeudi matin pour son marché hebdomadaire mais aussi tous les vendredi de 17h à 20h, de mai à octobre, pour son fameux marché des producteurs qui propose de nombreux produits régionaux. le "Musée départemental de la résistance et de la déportation en Ardèche" présente des salles d'expositions avec des documents d'archives et des photos historiques. Table d'orientation avec vue sur la vallée du Rhône Vieilles rues (grenier à sel) et vieux immeubles Patrimoine industriel (importante carrière de ciment) Borne milliaire de Mélas 44° 33′ 32″ - Nord - 4° 39′ 07″ Est Alba-la-Romaine ALBA LA ROMAINE Au centre du village, à côté de la maison de retraite N 44.55341° E 004.59727 03/07/2011 Très belle aire d'accueil, services bien accessibles. Avons passé une nuit au calme. 20/11/2010 Grand parking pour stationner au calme et en sécurité, services gratuits mais l'électricité ne fonctionnait pas. Merci à la municipalité. 25/10/2010 Merci à la municipalité car stattionnement et services gratuits. Opérations simples, cadre agréable sur cailloux ou herbe pour env 20 CC, calme, malheureusement mal indiquée. Très beau village à visiter. § 17/05/2010 De passage pour le week-end de l'Ascencion, aire de stationnement très tranquille dans un site agréable avec les commerces à 100 mètres, merci à la commune d'Alba la Romaine. 15/06/2009 Arrêt pour visite et déjeuner. Grand champ pour stationner, pas d'ombre et pas très bucolique mais fonctionnel. Vision d’une plaine où s’épanouit la vigne, et, au loin, dressé sur un neck volcanique, le château, au pied duquel se serre un enchevêtrement de toits… Alba a le cœur qui bat au rythme de deux mille ans d’histoire. Le village médiéval d'Alba-la-Romaine ("Aps") Chronique romaine Ancienne capitale des Helviens, Alba porta du Ie au IVe siècle les atours d’une cité gallo-romaine active : centre monumental, forum, sanctuaires, bâtiments publics à portiques, boutiques, cardo, théâtre, domus… rien ne manquait à celle qui a conservé, enfouies sous les sarments de vignes, les traces de son riche passé antique. Les vestiges gallo-romains retrouvés en font un site archéologique remarquable, où s’entend toujours l’écho lointain des chars qui ont laissé leurs empreintes sur la voie dallée. Au IVe siècle, le christianisme s’installe à Alba qui devient le siège du premier évêché du Vivarais. De noir et de blanc Aujourd’hui c’est un village médiéval ramassé dans son enceinte de la fin du XIIIe siècle que découvre le visiteur. Même s’il affiche des allures de robuste fort, le château fut restauré au XVIIe siècle après les guerres de religion. Anciennes portes, échauguettes et tours ont gardé le souvenir des remparts médiévaux.Tout le village est habillé de noir et de blanc. Le basalte et le calcaire, matériaux locaux traditionnels utilisés pour la construction des maisons et édifices composent des damiers sur les façades qui donnent son atmosphère si particulière à Alba. Il fait bon se perdre dans le labyrinthe de petites ruelles étroites et voûtées conduisant d’arches en cours intérieures, de petites chapelles à la tour de l’horloge ou au château, elles sont la mémoire vivante d’Alba. Inscriptions, linteaux de porte décorés, petites figures sculptées encadrant les fenêtres, hauts reliefs, chacune murmure son histoire au promeneur attentif. Juste à côté, le hameau de La Roche permet de poursuivre cette balade buissonnière en terre médiévale. Muse d'artistes Depuis de nombreuses années, des artistes et artisans ont succombé à la séduction de ce village. Les vieilles pierres aiment décidément les arts. Concerts de jazz à La Roche, expositions de peintures, représentations théâtrales dans le théâtre antique et la cour du château sont des rendez-vous réguliers qui rythment les saisons. Dans un paysage où s'épanouit la vigne, un château dressé sur un piton volcanique visible à plusieurs kilomètres qui domine un enchevêtrement de toits : c'est Alba-la-Romaine qui nous accueille pour commencer cette visite de l'Ardèche. En compagnie d'Annick, nous garons les camping-cars à côté de la borne de service (gratuite) qui est sur le parking proche de la maison de retraite. Nous y passerons la nuit. Sans perdre de temps, nous partons à la découverte de la ville. C'était une cité gallo-romaine très active : centre monumental, forum, sanctuaires, bâtiments publics à portiques, boutiques, théâtre, thermes, aqueduc, cirque et nombreux temples... Rien ne manquait à celle qui a conservé, enfouies sous les sarments de vigne, les traces de son riche passé antique. C'est un site archéologique remarquable où les fouilles se poursuivent encore de nos jours. Aujourd'hui, c'est un centre médiéval ramassé dans son enceinte que nous découvrons. Même s'il affiche des allures de fort, le château fut restauré au XIIIe siècle après les guerres de religion. Anciennes portes, échauguettes et tours ont gardé le souvenir des remparts médiévaux. Curieusement, tout le village est habillé de noir et de blanc. Le basalte et le calcaire, matériaux locaux traditionnels utilisés pour la construction des maisons composent des damiers sur les façades qui donnent son atmosphère si particulière à Alba. Cette promenade est très agréable. Il fait bon se perdre dans le labyrinthe des petites ruelles étroites et voûtées conduisant d'arches en cours intérieures, de petites chapelles à la tour de l'horloge ou au château. Juste à côté, le hameau de La Roche permet de poursuivre cette balade buissonnière en terre médiévale. C'est une copie conforme d'Alba-la-Romaine : le village se développe lui aussi autour d'un impressionnant piton basaltique autrefois fortifié. Le plan des rues est le même et elles portent exactement le même nom. L'enceinte comportait à l'origine sept tours et trois portes dont on peut encore distinguer plusieurs vestiges. Après une nuit calme et réparatrice sur le parking, nous faisons le plein d'eau à la borne. Il fait beau et chaud. Nous sortons du village pour voir le théâtre antique situé au coeur du centre archéologique. Il faut beaucoup d'imagination pour retrouver l'importance que cette ville antique pouvait avoir. D'un diamètre de 70 mètres, le théâtre pouvait accueillir 3000 spectateurs. On y joue des représentations encore aujourd'hui. C'est presque à regret que nous quittons cette charmante commune qui a su nous séduire. VIVIERS Saint-Montan Derrière la cave coopérative. N 44.43194° E 4.64434 12/08/2010 Nous y avons passé un week-end parfait en avril. Aire calme derrière la coopérative. Magnifique village à visiter. Vins à déguster, un petit rosé léger 6° sucré un régal... 20/03/2010 Aire de stationnement derrière la coopérative, calme. Point de départ pour visiter le village à pied, très pittoresque. 28/12/2009 L'aire est réellement située sur la RD262, à 300m du carrefour de l'ex RN86, mais très bien signalée et derrière la coopérative. 02/11/2008 De passage fin octobre, aire simple, gratuite, avec toilettes, table de pique-nique, vidanges WC, eaux usées avec seau, eau potable. Bon accueil et vin local AOC rosé excellent. Calme. A le mérite d'exister, village superbe à visiter ! Il était une fois, dit la légende, un ermite prénommé Montan qui vivait au Ve siècle en Picardie. Comme il avait prédit la destinée d’un enfant qui devint Saint Rémy, chacun accourut le visiter pour se faire prédire l’avenir. Victime de son succès, le saint homme prit la poudre d’escampette pour installer son ermitage en Ardèche méridionale, dans un petit vallon. Le village de Saint Montan était né. La passion des vieilles pierres Un ancien ermitage S’il n’y a plus d’ermite à Saint Montan, il ne compte pas moins de trois églises. A l’entrée du village, l’église de Saint André de Mitroys, probablement élevée sur un ancien sanctuaire dédié au dieu Mithra, dévoile la simplicité des lignes d’une église romane du XIIe siècle. Constituée par la juxtaposition d’une chapelle du XIIe et d’une église beaucoup plus vaste remaniée à diverses époques, Sansamonta qui signifie "Saint Montan", était l’ancienne église paroissiale, aujourd’hui classée. Enfin, Sainte Marie Madeleine, au milieu du village, date du XIXe siècle. Le curé de l’époque ne put jamais terminer les travaux de la partie haute du clocher, il manquait 800 francs... Plus vrai que nature Construit sur l’éperon rocheux de l’Agache, c’est le château fort que vous remarquerez en premier lieu. Il appartint à une quarantaine de seigneurs qui s’en partagèrent les revenus jusqu’aux guerres de religion au XVIe siècle. Ces imposants vestiges remontent aux XIIe, XIIIe et XIVe siècle, et dominent les habitations du village médiéval, pressées contre les enceintes fortifiées qui assuraient leur protection. Petites ruelles pavées, maisons de pierre pimpantes, le village est restauré avec passion, par l’association des Amis de Saint Montan qui travaille main dans la main avec la municipalité actuelle. En vous promenant, vous aurez l’impression saisissante, sous l’effet de quelques sortilèges, de vous retrouver au cœur du Moyen Age. La magie n’est pas loin. Autour, le paysage est resté presque intact depuis l’arrivée de notre ermite au Ve siècle : le Val Chaud, combe sauvage aux rochers calcaires, la grotte de Saint Montan, les gorges de la Conche ainsi que les constructions en pierres sèches élevées par les paysans pour dégager les terres et les rendre cultivables du mieux qu'ils ont pu. BOURG ST ANDEOL Accès Chemin de la Barrière Parking de la coopérative N 44.37519° E 4.64305° 20/11/2010 Grand parking pour manoeuvrer, pas de problème pour l'eau mais pas d'électricité malgré les infos des documents de l'office de tourisme. Merci pour les services existants gratuits. 16/07/2009 Bonjour. Immense parking pour stationner, le long de la voie ferrée. Pas de problème pour la vidange et la borne possède deux sources de ravitaillement en eau. L'électricité ne fonctionnait pas ce jour. Merci à la municipalité pour cette réalisation. Bas-relief du Dieu Mithra A l’époque romaine, ce bas-relief constitue le fond du temple du dieu Mithra sculpté à même le rocher, entre les deux sources, au cœur du Vallon de Tourne. On voit le jeune dieu enfonçant le poignard dans le cou du taureau. Par ce sacrifice, il assure le salut du monde menacé par les forces du mal représentées ici, par le serpent et le scorpion. De l’animal jaillit une vie nouvelle, illustrée par l’épi de blé que l’on distingue à l’extrémité de la queue du taureau. Le soleil et la lune à l’extérieur de la scène donnent une dimension cosmique au sacrifice. Aux IIe et IIIe siècles, le culte de Mithra, d’origine iranienne, réservé aux hommes, est très répandu dans le monde romain. La Tour Nicolaÿ Cet Hôtel particulier fut construit par la famille Nicolay en deux temps, à la fin du XVème et au début du XVIème siècle. Il marque le passage entre le style gothique finissant (façade Est et tour) et la Renaissance (double galerie et clef pendante). La tour octogonale renferme un bel escalier à vis à noyau hélicoïdal évidé. Deux corps de bâtiment ont disparu durant le bombardement du 15 août 1944. Cette famille acquit une notoriété nationale au XVIème siècle avec Jean II de Nicolay qui exerça, en Italie auprès de Louis XII, les fonctions de Chancelier du Royaume de Naples ; puis en 1505, celle de Premier Président de la Chambre des Comptes à Paris. Ses successeurs occupèrent cette charge jusqu’à la Révolution en 1791. Eglise St Polycarpe St Polycarpe, évêque de Smyrne et successeur de St Jean, aurait envoyé St Andéol en Gaule pour l’évangéliser. La légende indique qu’après son martyr en 208, le corps de St Andéol échoua à peu de distance de l’église actuelle. Sa dépouille aurait été recueillie et enterrée par une Romaine convertie à la religion chrétienne. Cette église romane du XIIème fut église paroissiale (Bourg Saint-Andéol en comptait trois) jusqu’au XVIIIème siècle. Elle est originale par son organisation : elle possède un chœur surélevé sur une crypte de plan tréflé, sous laquelle s’est trouvé un temps, l’emplacement du tombeau de Saint Andéol. Ses reliques firent jusqu’à la Révolution, l’objet de culte et de pèlerinage. Couvent de la Visitation Le monastère de la Visitation Sainte Marie fut édifié à Bourg de 1670 à 1708. En 1792, en pleine Révolution, les religieuses (une trentaine) sont expulsées de leur maison. Les bâtiments deviennent biens nationaux et servent alors de maisons de réclusion, puis sont vendus aux enchères. En 1815, les acquéreurs le revendent à leur tour à Marie Rivier, modeste fondatrice d’un nouvel institut religieux établi à Thueyts en 1796 et destiné à l’éducation chrétienne de la jeunesse Devenu Maison-Mère de la Présentation de Marie, le couvent est agrandi autour d’une vaste cour intérieure pour abriter sœurs, école, pensionnat. Aujourd’hui, il est toujours le cœur de cette congrégation répandue sur quatre continents. Couvent des Recollets Depuis la Révolution, l’hôpital hospice occupe les bâtiments d’un ancien couvent des Récollets. Les Franciscains s’installent hors des remparts à la fin du XVe siècle. On observe plus particulièrement le cloître médiéval, l’élégant clocher XVIIe et la chapelle classée. A l’extérieur une belle montée d’escalier XVIIIe mène à la route nationale. Hôtel de Digoine Monsieur Giraud, négociant en soie de la fin du XVIIIe, aménage cette demeure par la réunion de deux immeubles contigus, le sien et celui de la famille de Digoine. Cet hôtel particulier est composé d’un corps de logis principal flanqué de deux ailes autour d’une cour pavée. La grille en ferronnerie présente un couronnement décoré de feuilles et des initiales des propriétaires. Sur la façade orientale, le balcon, également en fer forgé, domine le Rhône. A proximité Les Grandes Fontaines. Hôtel Doize Cet hôtel particulier appartenait à une ancienne famille bourgeoise de Bourg-Saint-Andéol, Les Doize, présente depuis le XVIème siècle. Daté du XVIIIème, l’Hôtel Doize se distingue des autres hôtels bourguésans par sa façade en belles pierres de taille qui le rapproche des constructions de l’architecte avignonnais Franque, à Viviers (palais épiscopal). Notez l’élégante cour d’entrée de l’hôtel avec ses trois niveaux et les mascarons. A l’intérieur, Musée de la dentelle, de la broderie et des textiles anciens. Fontaine monumentale de Dona Vierna La statue en marbre de Carrare représente le personnage légendaire de Dame Vierne de Balazuc, bienfaitrice de la ville pour lui avoir donné les bois communaux du Laoul. Les revenus provenant de l’exploitation de la forêt permirent à Bourg-Saint-Andéol de devenir une des premières villes de France à disposer de l’éclairage électrique et de l’eau potable dans ses rues. Pour célébrer cette arrivée, ce monument fut érigé au cœur du nouveau quartier, entre les remparts et la gare. Cette œuvre est celle de marbriers bourguésans, Bouvas, Pinoti et Imbert, qui s’inspirèrent d’un modèle réduit de Delorme, Grand Prix de Rome. Les trois faces de la fontaine évoquent la végétation et la faune des Bois du Laoul. Eglise St Andéol Cette église fut dédiée à St Andéol. Du premier âge roman, elle est datée de la fin du XIème siècle. Elle comporte une abside à l’Ouest, type exceptionnel en France. Vue du Sud Est, on apprécie la progression des élévations jusqu’aux différents étages du clocher. A l’origine, la porte d’entrée était latérale, orientée vers le sud. A l’intérieur, à la croisée du transept, la coupole en bel appareil, est d’un type rare avec ses quatre séries d’arcatures aux chapiteaux sculptés entre les trompes. Le tombeau de St Andéol, situé à l’intérieur, à droite du chœur, est un sarcophage antique, qui fut réutilisé pour recevoir les reliques du Saint. Sa quatrième face fut sculptée au début du XIIème siècle. Les Grandes Fontaines Vous observez une des deux fontaines publiques qui ont été édifiées au début du XVIIe siècle pour desservir en eau potable les quartiers orientaux de la ville. Autour du bassin, datant de la fin du XVIIIe, on remarque deux pilastres cannelés reliés par un entablement et une urne encastrée dans une niche. La restauration de la fontaine alors en très mauvais état s’est achevée en 2008. Cette fontaine se trouve à côté de l’Hôtel de Digoine Giraud. Hôtel Bonot de Villevrain La famille de Bonot est une très vieille famille bourguésanne enrichie dans le commerce du drap. Paul de Bonot acquiert et aménage cet hôtel particulier en 1748 pour le mariage de son fils Emmanuel, marquis de Villevrain, avec Marie-Élisabeth Robert d’Acquéria, issue d’une famille appartenant à l’ancienne noblesse. Il s’agit d’un hôtel entre cour et jardin, composé d’un corps principal et de deux ailes. La façade est harmonieuse, des motifs végétaux sur des cuirs enroulés sont disposés autour de la porte cochère. A noter la remarquable restauration du perron de la cour d’honneur. Lieu privé régulièrement ouvert pour des manifestations culturelles et patrimoniales. A noter, une restauration remarquable du perron de la Cour d’honneur. Mairie Cet ancien couvent des Ursulines fut construit au cours du XVIIème. Les religieuses instruisaient gratuitement les jeunes filles pauvres de la ville. Après la Révolution, l’Hôtel de ville s’y installa. Le bâtiment a été en grande partie démoli le 15 août 1944 lors du bombardement aérien qui visait le pont reliant les deux rives du Rhône. L’orgue Dimanche 7 décembre 2008, de nombreux Bourguésans ont pu entendre, avec joie, l’orgue de Bourg-Saint-Andéol, lors de sa bénédiction par l’Evêque du diocèse de Viviers. Commandé par Pierre Marchand en 1609 pour la Cathédrale de Viveirs, il fut agrandi en 1637. La Révolution le voit passer cette période sans encombre. En 1841 la paroisse de Bourg l’achète et il est installé sur une tribune au fond de l’église. En 1867 Vincent Cavaillé-Coll et Merklin renouvellent le vieil orgue et lui donnent son caractère Romantique : de nouveaux jeux sont posés, la partie mécanique est refaite. En 1931 l’intervention d’un facteur d’orgue peu délicat supprime des jeux ou en remplace d’autres (où sont passés ces jeux ? Mystère...). Dans les années 70-80 au cours de travaux dans l’église, l’orgue devait être démonté et mis en caisse. Pour empêcher ceci une demande de classement est faite et en 1987 l’orgue est classé Monument Historique « en témoignage de la facture de P. Marchand, de Cavaillé-Coll et de Merklin ». Sa restauration est décidée par la DRAC de Rhône-Alpes (Direction Régionale des Affaires Culturelles) et après une longue série de contretemps (faillite du facteur et de l’ébéniste, cessation d’activité de la décoratrice, tribune à consolider), il est restauré enfin par les facteurs Robert et Frère, pour la partie instrumentale et par Pascal Quoirin pour le buffet. Il retrouve ainsi ses 17 jeux et leur composition originelle. On peut désormais apprécier la puissance et la finesse de ce bel orgue romantique. Palais des Evêques Entre le Moyen-Age et le XVIIème siècle, cette résidence était celle des évêques de Viviers, Seigneurs de Bourg Saint-Andéol. La façade sur le Rhône, construite par Claude de Tournon au début du XVIème, est imposante avec ses poivrières (type de tour de guet) et ses fenêtres à croisée, encadrées de moulures et de colonnes torses. Les larmiers, destinés à canaliser les eaux pluviales pour éviter d’abîmer la façade, soulignent les horizontales. Une aile du XVIIème abrite une vaste salle voûtée qui servit de petit séminaire aux XVIIIème et XIXème siècles. A l’intérieur, subsistent de belles cheminées médiévales et des plafonds couverts de fresques du XVIIe. A cette époque, le cardinal Mazarin fit étape dans cette résidence.Le Palais des Evêques abrite le musée Margotton et organise chaque été des festivals de jazz ou d’art vocal. Les Petites Fontaines Au début du XVIIe siècle, les autorités locales font réaliser une adduction depuis le vallon de Tourne jusqu’au quartier de Briançon pour desservir en eau potable le sudest de la ville. Cette fontaine, aux pierres traitées en bossage, date de 1614 (encore lisible sous l’arc). Tombeau de St Andéol Ce tombeau romain en marbre blanc a d’abord servi de sépulture à un jeune enfant de sept ans avant d’être réutilisé au Moyen-Age pour renfermer le corps de StAndéol, martyr du début du IIe siècle et évangélisateur du Vivarais selon la tradition. La décoration de la quatrième face date du début du XIIe siècle. On y retrouve les caractères de la Renaissance de la sculpture romane dans la moyenne vallée du Rhône : l’art des frises, les entrelacs d’inspiration carolingienne, les traditions paléochrétiennes dans les personnages à l’intérieur des niches et enfin l’influence antique Tour gothique Cette tour est située au cœur de la vieille ville, sur la place publique où se trouvaient rassemblées les belles demeures des plus riches marchands de la ville depuis le Moyen-Age. La tour du XVème siècle renferme un escalier à vis qui desservait tout le bâtiment. Admirez la maison XVIIIème, en face, avec son balcon en fer forgé. Vallon de Tourne Ce site pittoresque classé en 1934, comprend deux fontaines vauclusiennes adossées aux falaises de calcaire : « le Petit Goul » ou goul de la tannerie, et le « Grand Goul » situé au pied du viaduc. Ces sources donnent naissance au ruisseau de Tourne qui se jette dans le Rhône quelques centaines de mètres plus loin. Bien avant le Moyen-Age, la légende populaire a attribué à ces sources de nombreuses vertus, notamment celle de discerner la lèpre. Le bas-relief antique, entre les deux gouls, est un des rares exemples français dans son site initial. Il se situait au fond du temple du Dieu Mithra. Le culte du Dieu Mithra était une religion à mystères, qui assurait le salut à ses initiés. Vous remarquerez sur le rocher, le fronton sur lequel s’appuyait la construction (Mithreum). Admirez aussi l’élégant lavoir du XIXème siècle d’inspiration antique, qui rappelle certains temples grecs. Entre le Moyen-Age et le milieu du XXème, ce quartier artisanal de la ville a compté des moulins à blé ou à drap, puis des tanneries. Ce vallon a inspiré de nombreux poètes, notamment Mistral, qui lui a consacré un chapitre de son poème « le Rhône ». Les vitraux contemporains de l’Eglise Saint Andéol 1989-1991 Les vitraux du XIXe siècle de l’église Saint-Andéol ont été complètement détruits lors du bombardement de 1944. C’est seulement une fois les travaux de restauration de l’édifice achevés que le remplacement des verrières a pu être envisagé. Côté Nature La commune de Bourg-Saint-Andéol dispose de plus de 3000 hectares de zones agricoles ou naturelles qui lui confèrent un cachet naturel. Elle est bordée par le Rhône à l’est, et traversée par les lônes du Rhône au nord et par la Tourne au sud. Les espaces agricoles couvrent 1142 hectares. Ils sont partagés entre les vignes, les cultures céréalières bio et les plantations d’arbres fruitiers : oliviers, amandiers, abricotiers, cerisiers, etc… qui façonnent le paysage. Les espaces naturels se situent sur les coteaux en dessus de la ville, dans la forêt du Laoul et sur les bords du Rhône. Les bords du Rhône Le Rhône délimite la commune et le département de l’Ardèche à l’est sur près de 8,5 kilomètres. Les bords du Rhône permettent des promenades en vélo, des balades faciles, en famille ou entre amis, en empruntant des voies « presque sans véhicule à moteur ». Les pêcheurs, un temps éloignés du fleuve, y reviennent pour taquiner les poissons, nombreux en ces eaux. La forêt du Laoul Elle est aujourd’hui un formidable espace de pleine nature, peuplé d’une faune et d’une flore très riches. Les sentiers de randonnée, praticables à pied, à VTT ou à cheval vous proposerons d’agréables balades, de tous les niveaux, praticables en toutes saisons. Ils sont intégrés au Plan Départemental des Itinéraires et Promenades de Randonnée et balisés conformément à la charte du département. Un topo-guide est à votre disposition à l’Office de Tourisme ou chez certains commerçants du Bourg. Gouls de Tourne De part et d’autre d’un site archéologique où l’on peut admirer la fresque du « Dieu Mithra », dieu romain d’origine indo-persane, au lieu dit « vallon de Tourne » jaillissent deux résurgences, le Goul de La Tannerie ou Petit Goul et le Goul du Pont ou Grand Goul. A gauche de l’entrée du site se situe également un lavoir antique alimenté par les deux sources et une ancienne tannerie qui a donné son nom d’un des deux gouls. ST MARTIN D’ARDECHE Saint Martin d'Ardèche est une petite commune de 650 habitants, située au sud-est du département de l'Ardèche, voisin du Gard, de lagites, campings, chambres d'hôtes ou hôtels sont à votre disposition pour vous héberger. ée de grottes et d'avens, aux pieds des gorges de l'Ardèche, Saint Martin d'Ardèche est un lieu idéal pour les amateurs de canoës et de kayaks. La rivière aux eaux claires et poissonneuses, après avoir traversé la réserve naturelle des gorges de l'Ardèche durant 30 kms, offre des magnifiques plages de sable, des criques, des falaises... Ce paisible village offre également de nombreuses activités de loisirs : Mini-golf, Quad, centre équestre, pédalos, location de vélos... et se trouve à proximité de grands lieux de culture comme Avignon, Nîmes, Orange, Vaison-la-Romaine ou Arles. De nombreux commerces sont à votre disposition : alimentation, presse, tabac, coiffure, souvenirs, vêtements et articles de plage... L'été, les marchés du mercredi matin et du dimanche matin situés sur le quai des Pescadou vous permettront de flâner et d'apprécier l'ambiance d'un village de l'Ardèche. A flanc de coteaux, face au soleil, Saint Martin d'Ardèche est un terroir prédestiné à la vigne. En effet depuis des décennies, les efforts des viticulteurs ont permis d'y élever, dans le cadre de l'appellation côtes du Rhône, d'excellents vins rouges, blancs et rosés, régulièrement médaillés lors de grands concours. Saint Martin d'Ardèche dispose de tous les atouts d'un village accueillant et attractif où les professionnels du tourisme auront plaisir de vous recevoir et sauront vous faire apprécier la qualité de vie à Saint Martin et ses alentours dans un cadre remarquable. VALLON PONT D’ARC Marché jeudi matin VALLON PONT D'ARC Chemin du Chastelas N 44.4052 E 004.39702 12/06/2011 l'aire est agréable les services sont bien acessible le marché est le jeudi la ville est superbe c'est aussi un bon départ pour les ballade pédestre et vélo ne pas manquer de voire "le pont d'arc"merci a la municipalité de vallon pont d'arc pour cette aire très agréable 04/04/2011 De passage début avril, très grande aire de stationnement et de plus en centre ville, merci Vallon pont d'arc !!! 14/03/2011 Aire agréable, proche de la ville, marché le vendredi matin. Le restaurant "Le Chelsea" mérite le détour, très bon et le patron "Martin" est très gentil. Vallon Pont d'Arc se situe aux portes de l'un des plus beaux sites touristique de France : Les gorges de l'Ardèche. Le célèbre Pont d'Arc, arche naturelle de plus de 30 mètres de hauteur creusée par la rivière Ardèche et classé Grand Site de France, lui a donné son nom. Ce village d'Ardèche est le carrefour du tourisme en Ardèche, de nombreux gites, campings, chambres d'hôtes ou hôtels vous proposeront de passer un séjour touristique à Vallon Pont d'Arc. Vallon Pont d'Arc est également un haut lieu de la préhistoire et du tourisme culturel. C'est un petit village d'environ 2000 habitants l'hiver, qui voit sa population décupler en été. Son Hôtel de Ville, un château construit en 1639 sous Louis XIII, abrite sept tapisseries d'Aubusson figurant les croisades, exposées dans la salle d'honneur. Depuis la découverte en 1994, de la grotte ornée nommée grotte Chauvet Pont d'Arc du nom de son inventeur, et qui renferme de nombreuses peintures rupestres, une exposition musée a été installée pour répondre à la curiosité des touristes. Réalisée par les services du muséum d'histoire naturelle, cette exposition retrace la vie des hommes préhistoriques qui peuplaient les gorges de l'Ardèche il y a environ 35000 ans, date à laquelle ses œuvres ont été dessinées sur les parois de la grotte. On peut y découvrir des reproductions, des photographies ainsi qu'un film réalisé par les inventeurs. Vallon Pont d'Arc est un passage obligé pour partir à la découverte des magnifiques paysages de cette belle région. La réserve naturelle des gorges de l'Ardèche a été créée en 1980 afin de préserver ce site exceptionnel. Du Pont d'Arc à St Martin d'Ardèche, la rivière a creusée un profond canyon que l'on peut suivre en voiture par la route panoramique surplombant les gorges sinueuses et ses falaises. Vous trouverez dans son office de tourisme tous les renseignements concernant les activités proposés, circuits pédestres, escalade, spéléo, baignade, descente de l'Ardèche en canoë kayak, musées et grottes à visiter, mais aussi cabaret, discothèques, bowling, mini golf, parcours dans les arbres, etc…C'est un village très vivant, surtout l'été, avec en son centre de nombreux commerces, restaurants et cafés avec terrasses, ainsi que ses marchés du vendredi matin et mardi en nocturne, qui connaissent un gros succès. Chaque été de nombreux évènements y sont organisés ; la fête de la lavande et depuis cette année la fête de l'olivier, les journées de la préhistoire avec expositions, ateliers, conférences et projections qui se déroulent sur une semaine après le 15 août, le marathon international des Gorges de l'Ardèche. Les professionnels du tourisme auront plaisir de vous recevoir dans leurs hôtels, restaurants, gites, chambres d'hôtes, campings et villages de gites et sauront vous faire apprécier la qualité de vie à Vallon Pont d'Arc et ses alentours dans un cadre remarquable. L'Hôtel de Ville; un château construit de 1630 à 1639 sous Louis XIII) abrite sept tapisseries d'Aubusson figurant les croisades, exposées dans la salle d'honneur. Le château, acquit par la famille Merle de Lagorce en 1748, fut acheté en 1847 par la commune de Vallon pour 42 000 Francs. La place couverte, place de la halle aux grains; c'est la plus ancienne place de Vallon. L'église Saint Saturnin; Selon la tradition, un seigneur de retour de la première croisade fit construire une chapelle dédiée à Saint Saturnin sur une eminence qui dominait la plaine de Vallon couverte de chênes. A la fin de la Guerre de Cent Ans, les habitants du vieux Vallons vinrent s'installer autour de cette chapelle. Cette chapelle fut remplacée par une église de style roman qui fut en partie détruite par les protestants dès le début des guerres de religions. La pratique de la religion catholique fut alors interrompue pendant 61 ans, de 1560 à 1621, jusqu'à l'intervention des troupes catholiques de Henri II de Montmorency. Jusqu'au début du XIXe siècle, l'église était entouré de son cimetière. Au milieu du XIXe siècle, la population catholique étant importante, le conseil municipal fit construire, de 1862 à 1866, l'église actuelle, en partie sur les fondation de l'ancienne. Le temple protestant; Un premier temple exista entre 1601 et 1629 dans une autre partie de la ville. Le temple actuel fut terminé en 1823. Il était alors au milieu des vergers et des vignes. Les immeubles cossus qui l'entourent datent du milieu du XIXe siècle. Raveyron - Le mas Gonthier; Ce hameau est mentionné au XIV et au XVe siècles dans des reconnaissances paysannes et aux Estimes de 1464, était très nettement séparé de Vallon jusqu'au XIXe siècle. la place Armand Puaux, anciennement place du Verger; En 1773, la commune acheta cet espace pour créér, hors les murs de la ville, un champ de foire. La Grotte Chauvet est non visitable. Un site d'exposition, copie conforme de la grotte, est ouvert au public qui peut ainsi découvrir les plus anciennes peintures paléolithiques — 32 000 av. J.-C. — et les modes de vie de l'homme de Cro-Magnon Le musée de la Grotte Chauvet Les Gorges de l'Ardèche Le Pont d'Arc La Réserve naturelle des Gorges de l'Ardèche RUOMS Tout d'abord, très recherchés par les juilletistes et aoûtiens, les marchés : - hebdomadaire toute l'année, les vendredis matin, place de Général de Gaulle. – nocturne tous les mercredis soir, avenue de la gare, en juillet et août Ruoms se situe à 25 km d'Aubenas, en direction des gorges de l'Ardèche, à 9 km de Vallon Pont d'Arc. Pour s'y rendre, on peut aussi passer par les défilés de Ruoms, route sinueuse parfois creusée dans le roc, qui longe le profond canyon des berges de la rivière Ardèche. Les professionnels du tourisme auront plaisir de vous recevoir dans leurs gites, campings, hôtels, restaurants, chambres d'hôtes et sauront vous faire apprécier la qualité de vie au pays ruomsois dans un cadre remarquable. Ruoms est un vieux village médiéval de caractère fondé à la fin du X ème siècle autour de la Chapelle Notre Dame des Pommiers. Ses vieux remparts dotés de 7 tours rondes et d'une église d'architecture romane, furent érigés au XIV ème siècle, lors de guerre de cent ans. Le Pays Ruomsois est un pays de carrières, encore exploitées il y a cinquante ans. La pierre calcaire de Ruoms a été utilisée pour la réalisation de nombreux monuments et ouvrages d'art, dont le socle de la statue de la Liberté à New York. Ce fut aussi une petite citée industrielle avec ses brasseries, fermées depuis 1967, la bière ayant été remplacée aujourd'hui par le vin. C'est à Ruoms que se trouve la plus grande coopérative vinicole, les Vignerons Ardéchois. Petite ville très animée et commerçante, surtout en été, son marché du vendredi matin connaît un très gros succès. Le deuxième dimanche d'août donne lieu au plus grand rassemblement de touristes de la région autour de la fête du vin des Vignerons Ardéchois. Durant toute la journée ; défilé, dégustations de vins et de produits régionaux, marché et jeux se succèdent pour terminer par un superbe spectacle gratuit le soir à la belle étoile. Depuis plusieurs années, Ruoms dispose de son musée sur le vin ; Vinimage, situé au centre du vieux village. A proximité de 4 rivières, l'Ardèche, la Beaume, la Ligne et le Chassezac, Ruoms est le lieu de nombreuses activités, dont la baignade, la pêche et le canoë kayak, mais aussi le point de départ de nombreux circuits de randonnées. Labeaume Vous pénétrez dans les contreforts des Cévennes. Le relief est accidenté, le paysage aride, presque lunaire… Et d’un seul coup vous découvrez Labeaume, blotti contre ses falaises millénaires creusées de grottes, oasis de fraîcheur se moirant dans les eaux bleues de la rivière. Le regard prend alors toute la mesure de la volonté et de la force de caractère qu’il a fallu pour apprivoiser la roche, cultiver la terre, l’irriguer. Couleurs musicales Sous le soleil exactement Entouré de toutes parts de falaises, de rochers ruiniformes aux formes tourmentées, le village déploie en amphithéâtre son labyrinthe de petits passages et de calades étroites et tortueuses bordées de maisons rustiques en galets ou de belles demeures à arcades et balcons couverts. Le rez-de-chaussée voûté servait autrefois de cave et d’étable. La glycine et la vigne vierge courent le long des pierres. Une beauté toute simple et pleine de poésie. Perché sur son rocher, le château veille jalousement sur les habitations troglodytiques et le village du XIXe siècle. En contrebas se découpent les vestiges du château vieux, très ancien manoir, jadis propriété de la noble famille des comtes de Labeaume. Le moulin seigneurial tient toujours debout, des jardins suspendus se pelotonnent contre les falaises. Chacun se retrouve et se salue sur la place du Sablas, au bord de la rivière, à l’ombre des platanes centenaires. L’air sent bon le thym, la sarriette et le laurier, le chant des cigales trouble le murmure de la fontaine. L’église dresse fièrement dans le bleu azur du ciel son surprenant clocher soutenu par d’immenses colonnes. Un étonnant pont submersible défie les eaux capricieuses de La Baume. Longtemps les habitants vécurent de l’industrie de la soie et de la culture de l’olivier. On aperçoit encore quelques mûriers et d’anciens pressoirs. Calvaires et dolmens rythment la promenade. Loin du village se niche le hameau de Chapias. Pendant la Révolution, deux abbés réfractaires vinrent se réfugier ici. Ils firent le vœu de bâtir une chapelle. A quelques centaines de mètres de là, une tour couronnée d’une vierge permet d’embrasser tout le paysage, hérissé d’une vingtaine de clochers. On aperçoit toujours le “rocher des Curés” où les deux abbés se cachèrent SAINT ALBAN AURIOLLES RD 208 Derrière le foyer rural N 44.4283° E 4.30334° 15/04/2011 Endroit tranquille pour découvrir la région à vélo,à pieds ,tous commerces,la coiffeuse ,le marchand de produits régionaux tous trés sympa, Stationnement gratuit,services borne relais 16/08/2008 Nous y avons fait étape fin juillet. Ce lieu est calme, les services y sont aisés, le village offre tous les services indispensables. Même par nuit d'orage (ce qui fut notre cas), l'étape est agréable. 28/10/2006 De passage en septembre, j'ai trouvé cette aire triste. Avec les gravillons cela faisait de la poussière. Mais bravo pour l'initiative de cette petite commune. GROSPIERRE Du latin "gurges petra" (gouffre dans la pierre), évoquant certainement la résurgence vauclusienne de la "Font-Vive", source au pied du rocher portant les vestiges du vieux village et de son château "Le Chastelas". A voir, la vieille chapelle de Nôtre Dame des Songes et l'église romane. Les dolmens, le Tumulus de la Roche et la grotte du Goupil, témoins de la préhistoire de la commune Résurgence vauclusienne de la Font-Vive Chapelle Notre-Dame-des-Songes d'origine romane Château du Chastelas (XIVe siècle) Château de la Selve Vieilles maisons de Comps, ruelles, portes anciennes Village et camp touristique du Rouret