Banne, ce village du sud de l`Ardèche bâti en pente s`étend sur

Transcription

Banne, ce village du sud de l`Ardèche bâti en pente s`étend sur
BANNE
BANNE A côté de l'église
N 44.36516° E 4.15611°
10/04/2011 De passage le 06/04/2011, la borne est toujours en panne d'eau donc impossible de rester. La balade
vaut le coup le village est merveilleux.
01/01/2011 De passage, l'aire est calme, bien située pour des randonnées, pas très loin du bois de Païolive
(circuits de 1h ou 1h30 ou 2h). Je confirme que la boucherie de Saint-Paul le Jeune vaut le détour.
Par contre, la borne n'était pas utilisable à cause d'une fuite.
08/06/2009 Prendre la rue à gauche de l'église en contrebas de celle ci, le panneau n'est pas très visible. Nuit très
calme, joli village à visiter. Attention, pour atteindre la borne, les barrières en bois ont tendance à
venir sur les parechocs !!!
06/05/2009 Joli village et des habitants très sympas. Le 4 avril la borne était hors service et le terrain détrempé.
Nous avons passé la nuit sur le parking un peu plus loin. Pour les commerces, aller à Saint Paul le
Jeune où il y a une très bonne charcuterie à l'entrée du village en venant de Barjac.
30/09/2008 Très sympa. Calme, beauté, parking en montant à droite avant l'église juste après le petit escalier.
Sans les cloches. A voir château, les vans. Dommage pas de commerce.
Banne, ce village du sud de l'Ardèche bâti en pente s'étend sur 3268 hectares au pied
des Cévennes. On appelle "Bannards" les habitants de Banne. Situé dans le canton
des Vans, entre les territoires de Malbosc, Brahic, Naves, Chassagnes, Berrias, SaintAndré de Cruzières et Saint-Paul le Jeune. Banne s'ouvre sur le Gard au sud vers
Gagnières et Bordezac. Outre ses gites et campings, le
village de Banne, au centre de la commune, se partage
entre l'église et le château.
Dans le "quartier du fort", les maisons se trouvent sous
les ruines du château. Beaucoup de ces vieilles
demeurent ont l'architecture spéciale du bas Vivarais
calcaire
Les demeures étaient très pittoresques (escalier extérieur conduisant au premier
étage à une terrasse couverte et aux locaux d'habitation, le rez- de-chaussée est
généralement occupé par les écuries et le cellier). La tuile ronde, fabriquée
anciennement dans le pays, a pris avec le temps des nuances variées et
harmonieuses. Autour de la place ornée d'une fontaine
et de platanes se dressent des maisons moins anciennes
mais plus confortables. Le quartier de l'église rassemble
autour du clocher un groupe de maisons ainsi que la mairie et l'école
Banne est une commune riche en dolmens, elle dispose d'un patrimoine important
sur le plateau de Champs Grands et au nord du hameau de La Lauze qui témoigne de
son passé néolithique. La moitié de ce territoire est constitué de garrigues, et 1400
hectares sont boisés. L'agriculture n'exploite que 285 hectares.
Encore quelques kilomètres et nous apercevons longtemps à l'avance l'église de
dont le clocher capte tous les regards.
Banne
Nous montons à travers les arbres pour déboucher sur une placette à l'ombre des platanes et
des marronniers où les boulistes sont nombreux.
Notre camping-car se glisse dans des rues larges de trois mètres par endroits pour arriver
finalement sur une terrasse où se trouve l'aire de services.
LES VANS
Rue Ferdinand Nadal Parking du Carrefour Market N 44.40623° E 4.13705
Les églises romanes au pays des Vans
NAVES
Ce village médiéval a su garder son caractère. L' église romane est l'une des plus anciennes du pays des Vans.
Vouée à Saint Jacques le Majeur, elle est l'expression de l'art roman primitif et a été détruite plusieurs fois. Elle a
subi de nombreuses vicissitudes au cours des siècles, dues aux évènements de l'histoire et surtout à l'instabilité
du sol. Des chapelles latérales ont été construites au XIXème siècle en partie pour servir de contreforts. Comme
l'ensemble du village, elle est bâtie sur un massif rocheux formé par différentes couches de calcaire dur et de
marnes tendres.
GRAVIERES
Le village est au pied du Serre de Barre, en pleine zone de transition entre le bas Vivarais et la montagne.
L'église, alliance de roman et de gothique, offre un ensemble original et unique dans le pays. Elle date du XIIème
siècle et a été classée monument historique en 1907. Le clocher à contrefort culmine à 27 m et date de la
deuxième moitié du XVIème siècle ; on peut y voir encore les impacts des arquebuses des protestants. Le portail,
avec ses arcs en accolade, est de style flamboyant ( rappelant l'église des Salelles).A l'intérieur la nef possède
deux travées voûtées en berceau. Les colonnes soutenues par des chapiteaux historiés s'élèvent jusqu'à 9,40m.
L'arbre de Jessé tout en pierre sculptée est placé dans le chœur à droite. Il représente à partir de Jessé, père de
David roi d'Israël, la généalogie du Christ. Autour de l'autel doré, des fresques et des enluminures décorent les
murs. Dans le village ou les hameaux, les belles maisons témoignent de la prospérité d'une époque où l'on
éduquait les vers à soie.
THINES Ce site grandiose au cœur des Cévennes est d'une sauvage beauté. Le village aux maisons de schiste
perchées sur un serre rocailleux, domine la vallée de la Thines. Son église du XIIème siècle, Notre Dame de
Thines, est un joyau d'architecture, de sculpture et de décoration. Construite en granit clair et grès rouge et beige,
elle réunit à elle seule tous les éléments qui font la beauté de l'art roman. Il est difficile de trouver une église aussi
accomplie, équilibrée, qui présente en un même édifice et sans surcharge, une telle convergence d'éléments
généralement dissociés. Une église dans laquelle chaque élément se fond pour donner ce chef-d'œuvre
architectural.
CHAMBONAS
Ce bourg conserve de nombreuses traces du passé à découvrir .On y accède par un pont médiéval (XIIème) dont
les maîtres d'œuvres furent certainement les moines de l'abbaye de Saint Gilles (Gard). L'église (XIIIème) est
d'une richesse iconographique remarquable (modillons). Elle est blottie contre le château, célèbre pour ses
jardins à la française déssinés par les élèves de Le Nôtre (Vaux le Vicomte). L'aspect architectural de l'édifice
(linteaux de voûte finement sculptés,fenêtres à meneaux),les placettes, les ruelles étroites et sinueuses donnent
du caractère à ce lieu intelligemment préservé.
SAINT PIERRE LE DECHAUSSELAT
Village perché sur les premiers contreforts de la montagne. On y découvre des maisons paysannes du XIVème
siècle en moellons de grès soigneusement appareillés qui donnent une couleur chaude au paysage. L'église se
situe au bout du village, au sommet de la montagne. Depuis le parvis de l'église en grès rose, nous avons une
vue splendide sur la vallée de la Sure.
SAINT JEAN DE POURCHARESSE
Les hameaux de St Jean s'étagent au milieu des châtaigniers, jusqu'à 800 mètres. Les grandes maisons aux toits
de lauzes sont construites en schiste. L'église date du XIIème siècle. Elle est surmontée par un clocher-peigne
typiquement cévenol. Dominant la vallée de la Sure, il s'agit certainement d'une des plus étonnantes églises de la
région. Le clocher visible de loin se présente à nous dans toute sa beauté dès l'entrée du village. L'église a été
érigée sur un terrain avec un léger dénivelé ce qui lui donne l'impression d'un léger déséquilibre.
Naves
44.400771, 4.11372
Accroché aux premiers reliefs des Cévennes, Naves sent bon le Sud, lové dans ses
collines d’oliviers. Il connut son heure de gloire au XIXe siècle avec le développement
de la sériciculture et de l’élevage des vers à soie, activité qui, déclinant peu à peu, le
fit tomber dans l’oubli. Aujourd’hui, il renaît de ses cendres, et a su préserver sa
beauté rude, son charme rustique. Une cour de justice
Un site défensif
L’éperon rocheux sur lequel fut élevé Naves, se casse à l’est en trois marches, trois
petits plateaux. Le village actuel se dresse sur la plus basse et s’agrippe sur ses flancs.
C’est de cette situation qu’il tirerait son nom, dont l’origine viendrait de “nava” mot
préceltique qui signifie “lieu plat, plateau”. Le choix de cette position dominante fut
avant tout défensif, comme en témoignent le château et les ruines des remparts.
Mentionné pour la première fois vers l’an mille, Naves aurait possédé successivement
trois châteaux, les deux premiers ruinés par le mouvement du sol. Le troisième (XIIe
siècle) dont il subsiste de nombreuses traces se déploie au sud-ouest, légèrement à
l’écart du village, sur un emplacement au relief moins tourmenté. Plus proche du
“castrum” que de l’habituel château, il est composé d’un anneau de maisons reliées
par un mur d’enceinte.
La plus vaste était la résidence des seigneurs de Naves, qu’ils n’occupèrent que
rarement et dont il subsiste une salle voûtée en pierre. Ici point de faste, les familles
nobles du pays avaient pour habitude, jusqu’au XVIe de vivre sans grand confort et
plutôt à l’étroit. Si le village a conservé un caractère moyenâgeux, il s’exprime
davantage dans ses ruelles étroites, ses portes, ses petits passages voûtés que par
l’architecture de ses maisons maintes fois rebâties. Une balade dans ce dédale de
venelles réserve bien des surprises. L’œil vif, la curiosité en éveil, le promeneur sera
séduit par un jardin en cascades, un escalier étroit grimpant à pic, une cheminée
cévenole, les jeux subtils de la lumière sur les couleurs changeantes des pierres des
murs, les pavés, les tuiles canal gris rosé. L’église romane est mentionnée dès 1096
dans un acte de cession de l'évêque d'Uzès à l'abbé de Saint-Ruf d'Avignon. Elle fut en
partie reconstruite au XVIIe siècle avec son clocher en pierres de taille de grès se
révèle un petit bijou.
Le retable de son église, en noyer sculpté et œuvre de Pierre et Jean Duhamel. L'église date du XIVe
siècle et est classée monument historique.
Le site gallo-romain de Tintignac situé à la sortie de la ville.
Le viaduc du Pays de Tulle de 150 m de haut (aire de repos avec panorama après la sortie de la ville).
N 44.402944, E 4.109455
LA BLACHERE (France Passion)
Quartier Notre Dame La Ferme Théâtre N 44.45494° E 4.22053°
Spectacle Jean Ferrat Jeudi 4 Lundi 8 Jeudi 11
JOYEUSE N 44.480099, E 4.242133
MARCHE LE Mercredi
Connue comme la citée de Charlemagne, qui y livra bataille, Joyeuse doit son nom, si
on en croit la légende, à sa célèbre épée. Ce village médiéval situé entre 2 rivières, la
Baume et la Drobie, est l'étape idéale pour partir à la découverte des Cévennes
Ardéchoises. Les gites, campings ou restaurants de Joyeuse vous accueilleront
chaleureusement. Capitale de l'ancien duché de Joyeuse, la vieille ville atteste d'un
passé historique très riche, avec le château des Ducs de Joyeuse du XVI e siècle et sa
Tour de la Recluse, les restes de remparts et ses portes Sainte Anne et de Jales, ainsi
que l'église St Pierre qui est l'ancienne chapelle ducale. urant une semaine début
août, le Festival de la Joye met en scène ce passé à travers des spectacles de rue à
connotations historiques, un défilé d'une centaine de figurants en costume et de
nombreuses troupes théâtrales. L'espace historique et légendaire propose aussi de
découvrir ce passé prestigieux, durant tout l'été, à travers son musée et des visites
théâtralisées dans la vieille ville. Joyeuse est aussi une ancienne capitale de la soie,
avec magnaneries, moulinages et vieilles échoppes qui revivent chaque année en
octobre lors de son traditionnel salon gourmand. Autre atout de cette petite ville, son
musée de la châtaigne, qui raconte l'histoire de l'arbre à pain qui peut vivre mille ans
et de son fruit, qui a nourri de nombreuses générations. Petite ville très
commerçante, son marché du mercredi matin est très animé. Des sorties à thèmes
sont organisées, à pied ou en vélo, par les joyeux randonneurs et d'autres
associations, l'office de tourisme Beaume Drobie tient de nombreux topo guide à la
disposition des touristes ballade à cheval, visite des vignobles des villages voisins et
dégustation du Chatus, ce vin issu des vignes centenaires, sont aussi des activités à la
fois ludiques et culturelles proposées
Le lendemain, c'est le grand soleil. Nous arrivons guillerets à Joyeuse où nous faisons le plein d'eau à la borne
du poste à essence du supermarché Champion. Emergeant d'un paysage doucement vallonné, dominée par les
vestiges de son château Renaissance, cette petite ville cache de biens jolis trésors historiques et architecturaux
derrière ses remparts médiévaux.
Flânerie dans les vieilles rues escarpées qui montent jusqu'au château. Il abrite aujourd'hui la mairie. Ici, tout
n'est que maisons anciennes et passages couverts. Il y a de très belles vues sur la ville basse.
Les remparts élevés pour protéger la protéger des brigands et des paysans révoltés contre les taxes sont encore
visibles à de nombreux endroits.
VINEZAC N 44.53939, E 4.32494
Vers Vinezacp
15/06/2011 Autre solution:monter au joli village proche de Chassier(à visiter)le traverser sans
problème et aller au parking indiqué;choisir P1
Merveille médiévale
Après avoir cheminé entre les murets de pierre sèche, on découvre les vestiges des
fortifications élevées pendant la guerre de Cent ans et qui, jusqu’au XIXe siècle
enserraient la partie ancienne du village. A cette époque, trois seigneurs régnaient
sur Vinezac qui ne détient pas moins de trois châteaux. Au Sud, le château Julien a
conservé un important donjon (fin XIIe siècle), une tour ronde (XIVe siècle) et une
extension du XVIIe siècle avec un décor en gypserie représentant les 4 saisons, des
guirlandes et des danseurs avec tambourins. Ce château accueille l’épicerie-bar du
village et l’association "Savoir de Terroirs". Du château dit de La Motte, de style
roman, on ne devine plus que la présence, tandis que l’ancienne demeure de la
famille Charbonnel de Chauzon a été transformée en hôtel restaurant de prestige.
Une rue voûtée conduit à l’église romane du
XIIe siècle, classée Monument historique. Elle
fut plusieurs fois remaniée, tout en conservant
les caractéristiques des églises médiévales de
la région, et son clocher, fait rarissime, a été
déplacé, a troqué ses tuiles vernissées contre
des lauzes. Les peintures de la coupole, qui
datent probablement du XVIIIe siècle, révèlent
une qualité exceptionnelle, le bas-relief illustrant "Daniel dans la fosse aux lions", une
maladresse touchante.
Elle abrite encore le "ban des pénitents", en souvenir de la confrérie des Pénitents
noirs créée en 1612, pendant les guerres des religions. Une balade buissonnière à
travers le dédale de ruelles voûtées ou bordées de maisons qui se serrent les unes
contre les autres et sont bichonnées avec soins par les habitants ne constitue pas un
des moindres charmes de Vinezac. Les lauriers roses et rosiers courent le long des
façades de grès rouge, la place s’assoupit à l’ombre des mûriers, attendant, "à la
fraîche", les joueurs de pétanque.
Nous mettons le cap sur Vinezac.
C'est un petit village fortifié qui se donne des
airs de carte-postale : ces pierres teintées de
blanc et d'ocre orangé chatoient sous le soleil,
inondant de lumière le vert généreux des
vignes qui lui servent d'écrin.
Nous nous baladons à travers le dédale de
ruelles voûtées ou bordées de maisons qui se
serrent les unes contre les autres bichonnées
avec soin par les habitants. Les rosiers et les
lauriers roses courent le long des façades de
grès rouge.
Donjon, tour ronde et surtout une église romane du XIIe siècle sont les principaux points
d'intérêt.
Il se fait tard. Nous décidons de rejoindre une nouvelle fois l'endroit très tranquille que
constitue le parking de Vogüe pour passer la nuit.
LARGENTIERE
BORNES CAMPING CAR
CC A Largentière Parking de la Vergnade (près Shopi)
Déjeuner en extérieur sur le parking de la coopérative
MARCHE LE Mardi
Situation
Altitude 224 mètres - 2040 habitants
Cette cité médiévale, l'une des plus petites sous-préfecture de France, doit son nom
"argentaria" aux mines de plomb argentifères déjà exploitées par les Romains.
Puis du 10ème au 15ème siècle par les comtes de Toulouse et les évêques de Viviers.
En 1146, l'empereur germanique Conrad, accorde à la cité le droit de "battre la
monnaie", ce qui permit à la ville un grand essor économique et culturel.
En 1830, c'est le grand boom de la soie. Des moulinages s'établissent et prospèrent
en amont et en aval de la ville, jusqu'à l'arrivée des étoffes et soie d'Orient.
A voir
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Le château des évêques (12ème) se dresse sur
un éperon rocheux. Il accueille des expositions
en été. Inscrit aux Monuments Historiques
depuis 1927.
L'église Notre Dame des Pomiers (du latin
Pomérium) du 13ème. Elle est classée
Monument Historique depuis 1926.
La porte des Recollets (16ème), vestige des anciens remparts et le pont
(19ème) donnant accès à la vieille ville.
les remparts,
la tour des remparts encastrée dans l'église N.D. des Pomiers,
La porte de Tauriers,
La montée Mazon,
Le canal, visible du pont des Recollets. Il permettait d'alimenter les commerces
(moulin, tannerie) en eau.
La beauté et le charme des petites rues pavées qui recèlent des trésors
architecturaux.....
Le Château de Largentière
Le château domine de sa masse l'ensemble de la cité. Ancienne possession de
l'évèque de Viviers, il est vendu en 1716 au Comte de Brison qui fait de nombreux
travaux pour le rendre plus confortable. Au centre du Château, le Donjon carré ou
Bastide de Bonnegarde date du XIIème siècle. Epargné par la Révolution, il abrita le
tribunal et les prisons puis devint l'hopital local. Il abritera en 2004 le lycée
professionnel hôtelier de Largentière.
Une vingtaine de kilomètres et Largentière se dessine. Déjeuner en extérieur sur le
parking de la coopérative. Au pied des Cévennes, blottie au creux des gorges de la Ligne, la
sous-préfecture de l'Ardèche rompt par son animation avec le calme des villages superbes
mais désertés des vallées environnantes.
Là aussi de petites ruelles tortueuses sillonnent la vieille ville qui est dominée par son
puissant château.
De beaux hôtels particuliers, des escaliers de pierre et de nombreux recoins voûtés sont
également au programme de cette agréable balade.
Nous arrivons au Pont des Récollets d'où la vue sur le Palais de Justice aux allures de temple
grec est étonnante.
L'église gothique Notre Dame des Pommiers mérite une halte. Elle tient son drôle de nom du
terme latin "pomerium" qui désignait la limite entre la cité et la campagne alentour.
L'endroit étant très calme, c'est finalement sur le parking de la coopérative que nous
passerons la nuit en compagnie d'un autre camping-car.
BALAZUC N 44.50683 - E 4.37377
Nous nous garons au parking des cars situé à l'entrée du village
Perchée sur sa falaise en surplomb de l’Ardèche,
l’ancienne place forte des « Seigneurs de Balazuc » a
gardé de nombreuses traces de son passé médiéval.
A voir :
Dédale de ruelles tortueuses, passages voûtés, le fameux passage de « la Fachinière
»,
L’église romane Sainte Madeleine : L'Association de la Roche Haute organise des
concerts et des expositions de peintures en été.
La Tour de la Reine Jeanne : offre un panorama face au village.
Le sarcophage : réplique exacte du sarcophage gallo-romain découvert au hameau
des Salles et exposé actuellement au Musée de la Civilisation gallo-romaine de Lyon.
Le donjon carré du 12è siècle qui abrite actuellement le Point Info en été.
Le hameau pittoresque du Viel Audon : on y accède par un sentier 15 mn à pied en
longeant l’Ardèche. Des chantiers de jeunes viennent restaurer les ruines depuis 35
ans et redonnent vie à ce hameau abandonné depuis un siècle. Une boutique est
ouverte toute l’année et propose des produits confectionnés à la ferme sur place :
fromages de chèvre, sirops et sel aux plantes aromatiques, miel …
Un des Plus Beaux Villages de France
Il faut rejoindre la rive opposée de l'Ardèche pour avoir le recul suffisant et découvrir
ce superbe village dans son ensemble. Balazuc fut occupé aux VIIIe et IXe siècles par
les Maures, mais son architecture actuelle se compose d'éléments allant du XIIIe au
XVIIIe siècle. Autrefois protégées par des fortifications, les maisons se sont groupées
autour du château féodal, plusieurs fois remanié, mais conservant néanmoins une
portion de tour du Xe siècle. A côté, une église romane dresse son clocher à arcades
surmonté d'un clocheton. Pour la rejoindre, il faut suivre des petites rues tortueuses
et escarpées, bordées par endroits d'anciennes échoppes d'artisans. Merveilleux
cheminement où se succèdent arc-boutants, passages voûtés, portions d'escaliers.
Balazuc est au programme de cette matinée. Nous nous garons au parking des cars situé à
l'entrée du village. La rue principale est tellement étroite qu'il est impossible de se croiser à
certains endroits.
L'Ardèche a ouvert sur son chemin, dans un plateau calcaire planté de garrigue et de forêts,
une large trouée bordée d'impressionnantes falaises abruptes plongeant de 80 mètres
Surplombant la rivière, le village accroche ses pierres bleutées à flanc de paroi. C'est après
avoir traversé le pont que l'on a la plus belle vue sur le site.
Balazuc, c'est aussi un enchevêtrement de ruelles sinueuses, d'escaliers, de rampes
empierrées et d'arcades ombragées. Les restes des remparts mènent au château dont les
origines remontent au XIIIe siècle, la Tour carrée remontant quant à elle au Xè siècle. La
place de la vieille église a conservé intact son charme d'antan avec ses échoppes aux atours
médiévaux et ses maisons à fenêtre à meneaux.
Ce village est très séduisant et les touristes ne s'y trompent pas en venant nombreux.
VOGUË
N 44.55163 - E 4.41308°
N 44.5377 - E 4.417459
Classé « un des plus beaux Villages de France », puis « Village de caractère », Voguë,
situé entre les gorges de l'Ardèche et les montagnes échoises, est un village médiéval
bâti en amphithéâtre dans la falaise dominé par son beau château du XIIe siècle des
seigneurs de Vogüé. Ce village touristique offre des structures de locations : gites,
campings, chambres d'hôtes, hôtels, séjour en roulottes …
La dernière fierté du village est l’obtention du label «Station verte de Vacances». Un
labyrinthe de petites rues entrecoupées d’arcades, avec ses maisons pelotonnées,
conduit jusqu’au château.
Ses plus anciennes parties datent du XIème siècle. Il prend son aspect actuel avec ses
4 tours et poternes au XVIIème. Le château appartient actuellement au marquis
Pierre de Vogüé. Il est ouvert au public depuis 1977 et a été confié à l’association
Vivante Ardèche qui le fait vivre grâce à des manifestations et des expositions. Pour
le visiter, il suffit de se renseigner auprès
de l’office de tourisme de Vogüé. Aux
alentours, de très jolis villages
pittoresques
et
colorés
comme
Labeaume, situé au pied des gorges de la
Beaume; Balazuc, perché sur une falaise
dominant la rivière et quelques
incontournables tels Pont’Arc, Gerbier de
Jonc, musées ( châtaigneraie, lavande),
produits locaux (vins, miel, charcuterie, fromage de chèvre, nougats …)Vo
Vogüé est un petit village très animé, surtout en été, son marché du lundi matin
(juillet et août) connaît un gros succès. Et le dimanche matin, en juillet et en Août, à
partir de 11h, Vogüé aime ceux qui l’aiment, c’est pourquoi l’apéro est offert à tour
de rôle à tous les visiteurs et vacanciers dans une des 4 communes que regroupe
l’office du tourisme : Lanas, Rochecolombe, Saint Maurice d’Ardèche et Vogüé
Vogüé est un village qui se déguste, alors il faut prendre son temps pour le découvrir
d’une berge à l’autre, de bas en haut, de long en large, et les professionnels du
tourisme vous réserveront un accueil chaleureux dans ce lieu pittoresque
Altitude : 148 m
Nombre d’habitants : 736
Classé l’un des « plus beaux villages de France » et « village de caractère », Voguë est
un pittoresque village médiéval. Les tours et poternes du vieux château dominent les
maisons adossées à la falaise. Des jardins suspendus, un magnifique panorama sur la
vallée de l’Ardèche s’offre à vous. Le dédale de charmantes ruelles jalonnées
d’arcades, de passages voûtés, d’escaliers extérieurs vous conduirons au bord de la
rivière l’Ardèche au pied du village. Promenade, baignade, visite…
Nous voulions visiter Villeneuve-de-Berg, le marché en interdit l'accès en ce
mercredi. Tant pis, nous poursuivons sur Vogüe qui est un des "cent plus beaux villages
de France".
L'arrivée est saisissante : incrusté dans le calcaire doré par le soleil, le village semble faire
partie intégrante de la montagne. La masse imposante du vieux château des seigneurs de
Vogüe détache ses tours et poternes.
Bordant de vieilles ruelles entrecoupées d'arcades, les maisons sont pelotonnées au pied du
château. Beaucoup viennent tout droit du Moyen-Âge. Le vieux moulin seigneurial et la porte
Saint-Benoît apportent la dernière touche à cette miniature médiévale.
En bas sommeille l'Ardèche qui a ménagé une belle plage où il fait bon lézarder, bercé par le
champ des cigales. Il y a aussi le vieux pont de pierre qui enjambe la rivière.
Ailhon N 44.596614 - E 4.338929
Près d ’Aubenas, Ailhon a su conserver le cachet de ses maisons de grès et entoure
d’un écrin protecteur son joyau d’architecture, une église romane du XIII e siècle.
Le territoire est habité depuis fort longtemps, comme en atteste une sépulture
préhistorique au Gay et de nombreux vestiges à Daüs. Au cours des siècles, la vie du
village a été principalement marquée par les guerres de religion au XVIe siècle, puis,
un siècle plus tard, par la révolte de Roure. Entre 1586 et 1591 les combats entre
catholiques et protestants font rage ; du fort d’Ailhon, pris et repris, il ne reste plus
qu’une tour noyée dans la maison Chabert au sud du village. Mais en 1593 un ormeau
est planté, comme dans de nombreuses paroisses, sur ordre de Sully, pour célébrer
l’adhésion de Henri IV à la religion catholique, étape importante vers la pacification
du royaume. Son tronc monumental est exposé dans le fond de l’église. De mai à
juillet 1670, Ailhon prend une part active à la révolte paysanne de Roure, provoquée
par de fausses rumeurs. La répression, menée par d’Artagnan, est très dure et
plusieurs Ailhonnais sont exécutés. Le village est puni, le clocher est écimé.
La Révolution apporte son lot de convulsions et de désordres en même temps que
l’avènement de la liberté. La bande de brigands de Fourniquet de Chassiers (exécuté
à St Cirgues de Prades en mai 1800) laisse de fort mauvais souvenirs. Au cours du
XIXe siècle, plusieurs sociétés minières exploitent les
filons de minerai de fer qui courent principalement de
Chaunes à Merzelet.Le plus beau joyau d’Ailhon est son
église, dont les parties les plus anciennes remontent au
XIIe siècle.
Elle a été agrandie et remaniée jusqu’au début du XVIe siècle, très harmonieusement,
et elle abrite de nombreuses sculptures remarquables. Mais il faut aussi se promener
dans les calades du village et dans les hameaux nichés dans la forêt de pins maritimes
(introduits vers 1825 seulement et principalement destinés au boisage des mines)
pour admirer de très belles maisons, avec de nombreuses fenêtres et portes
intéressantes : chacun de ces hameaux est un petit poème architectural... Créé en
1991, sur l’initiative commune de la mairie et de l’association des Amis d’Ailhon, avec
l’assistance de la Direction Départementale de l’Agriculture et de la Forêt et le Lion’s
Club d’Aubenas, l’Arborétum regroupe un nombre important d’essences très variées.
C’est à la fois la salle de classe en plein air d’une école d’arboriculture, et un lieu de
promenade et de détente très apprécié dans tout le bassin albenassien. Mais c’est
aussi un lieu du souvenir où est planté, chaque année, un arbre pour chacun des
enfants né dans une famille de la commune.
AUBENAS N 44.61075 - E 4.40953
Aubenas
11/10/2008 Il vaut mieux aller sur le parking de la mairie de Pont d'Ucel, en face de la riviere Ardèche.
Limité à 1 nuit.
Aucune difficulté pour se garer à Aubenas sur le parking Olivier de Serres situé près de la
Poste (N 44.621061 E 4.386806)
Place de l'Airette et table d'orientation pour admirer un paysage grandiose et pour
mieux comprendre l'histoire des hommes à travers leur environnement
Rue Valleton : vous découvrirez la dernière des sept portes d'Aubenas et la maison
d'une riche famille protestante dont l'entrée XVIIe est finement moulurée
Place du château : ce magnifique« édifice à métamorphoses » porte la marque des
six familles seigneuriales qui l'ont habité depuis le XIIe jusqu'à la Révolution
Terrasse « à l'échauguette » : on y accède par le portail à bossages du XVIIe; cette
terrasse domine le berceau industriel de la ville. En contrebas, vue sur le canal de
Baza, les moulinages et les filatures qui ont fait la richesse d'Aubenas
Maison Delichères : face au château l'une des plus riches demeures du XVe,
d'architecture gothique, ornée de gargouilles sculptées dans le grés
Grand'rue : la plus large de la cité au Moyen Age, elle descend doucement du
château vers l'église et a conservé sur ses abords de très belles maisons
Place Jeanne d'Arc et église Saint-Laurent : l'église primitive fut édifiée en 1220; sa
dernière reconstruction remonte à 1653. A noter la facade du XIXe siecle
Place des cocons : mémoire de l'activité soyeuse d'Aubenas aux XVIIIe et XIXe siècles
Place de la grenette, Dôme Saint Benoît : ancienne chapelle du couvent des
Bénédictines, halle aux grains sous la Révolution, aujourd'hui musée d'objets
Religieux
Chapelle des Cordeliers, attenante à un couvent de moines, aujourd'hui détruit.
Ornementations et tableaux du XVIIe, à découvrir en écoutant l'histoire des moines
de Saint-Antoine
Hôtel Goudard-Ruelle : ancien hôtel particulier du XIIIe abritant aujourd'hui la
bibliothèque municipale. Buste et fontaine dédiés à Jean Mathon, instigateur de l'eau
courante à Aubenas
Anciens remparts sur le boulevard Gambetta, tourelles de défense de la ville derrière
lesquelles s'abrite l'église primitive d'Aubenas
Monuments et lieux touristiques[modifier]
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Le Château d'Aubenas est classé monument historique. Originellement c'était
un château fort du XIVe siècle, remanié en élégante demeure aux XVIIe et XVIIIe
siècles. Il présente une riche collection de peintures, sculptures et gravures. Du
donjon, il offre un panorama exceptionnel.
La maison aux gargouilles (maison Delichères) du XVIe siècle, sur la place du
château.
Le Dôme Saint-Benoît des XVIIe et XVIIIe siècles est l'ancienne chapelle d'un
couvent de Bénédictines. On y a regroupé des objets d'art religieux et
transféré le mausolée en marbre du maréchal et de la maréchale d'Ornano
(qui se trouvait autrefois au Château).
l'Hôtel Goudart-Ruelle ancien hôtel particulier du XVIIIe siècle, devenu ensuite
la bibliothèque municipale jusqu'à la construction de la médiathèque.
Les remparts, tourelles de défense de la ville.
La place de l'Airette, d'où l'on domine la vallée de l'Ardèche (table
d'orientation).
Aucune difficulté pour se garer à Aubenas sur le parking
Olivier de Serres situé près de la Poste. Nous sommes à deux pas
de la vieille ville qui est assez pittoresque.
Bâtie sur un promontoire rocheux, elle domine l'Ardèche.
Parmi les curiosités à découvrir, il y a le Dôme Saint-Benoît qui
est l'ancienne chapelle d'un couvent de bénédictines. Il se
caractérise par une structure à tambour hexagonal et une coupole
imposante. Emergeant des maisons anciennes et se dressant audessus des remparts, il rappelle la riche histoire de la ville qui a
su conserver intacte au cours des siècles toute sa vitalité. Pendant
la révolution, il servit de grenier à grain.
L'église Saint-Laurent est surtout célèbre pour ses magnifiques boiseries intérieures.
Quant au château, c'est sa façade entourée de tours rondes qui attire l'attention. Une "maison
aux gargouilles" lui fait face. De pittoresques rues joignent ces monuments.
VALS LES BAINS N 44.664803 - E 4.36560
Vals les Bains s'est construite au pied des jeunes volcans, sur la rive gauche de la
rivière Ardèche. Vals les Bains est une ville touristique offrant des structures de
location saisonnière : gites, campings, chambres d'hôtes, Hôtels...
Station thermale renommée à la belle époque, Vals les Bains renoue depuis une
dizaine d'année avec son passé prestigieux ; son casino, l'eau minérale de Vals et ses
pastilles relancées sur le marché, ses thermes rénovés, en font désormais une vile
d'eau qui attire curistes et touristes.
Parmi ses nombreux atouts, son parc ombragé, dans lequel jaillit sa célèbre source
intermittente et au milieu duquel coule la rivière Volane, est un lieu de promenade et
de repos.
De nombreuses activités culturelles sont organisées toute l'année par la municipalité
et son office de tourisme ; pièces et spectacles dans le théâtre du casino, concerts
dans son parc, expositions artistiques, carnavals de printemps, festivals du jeu en été
drainent de nombreux spectateurs. D'autres manifestations, comme les concours de
pétanque, attirent la foule.
Depuis peu un musée exposition est ouvert au public, la maisonœuvres d'art. On
peut y apprendre de nombreuses choses sur
l'Ardèche et ses traditions. Le passage du rallye
historique Monte Carlo, le départ du rallye de
l'Ardèche ou l'exposition de vieilles voitures par le
évènements remarqués. Vals les Bains est aussi une
ville très commerçante, avec ses petites boutiques,
ses restaurants, ses glaciers disposés le long de ses
rues récemment aménagées pour faciliter la
circulation des piétons, et son marché du dimanche
matin.
Vals les Bains dispose de tous les atouts d'une véritable station thermale, au cœur de
l'Ardèche méridionale. Les professionnels du tourisme auront plaisir de vous recevoir
dans leurs hôtels, restaurants, gites, chambres d'hôtes, campings et villages de gites
et sauront vous faire apprécier la qualité de vie à Vals les Bains et ses alentours dans
un cadre remarquable.
Quelques kilomètres et nous voici à Vals-les-Bains, une station thermale tapie dans un
étroit couloir réputée pour son eau minérale.
Les parcs du casino sont agréables et nous offrent une belle promenade.
Alternance de nuages et d'éclaircies mais la température avoisine les 28°. C'est bien agréable
!
N'ayant pas peur du paradoxe, nous osons visiter une brasserie dans cette capitale de l'eau. Il
s'agit de la brasserie Bourganel qui nous fait connaître les secrets de la fabrication de ses
bières. Nous dégustons ses spécialités : la bière aux marrons et la bière aux myrtilles.
Jaujac 44.636263, 4.258219
Petit bourg ardéchois pittoresque, situé au bord du Lignon, à une altitude de 420
mètres, Jaujac a su conserver et valoriser un profond caractère médiéval. Cette
atmosphère est accentuée par ses ruelles pavées, son château de Castrevieille, le
château du Bruget. Mais ce village est aussi un site majeur du volcanisme ardéchois.
Le village tire son nom de l'ancienne seigneurie des Jaujac, qui vécurent au XIIe et
demeuraient au château de Chastelas sur la rive gauche de la rivière. Bourg médiéval
en forme d'étoile, il s'articule autour d'une place plantée d'arbres, ornée d'une
fontaine. Son originalité repose sur sa triade de château : Castrevieille, Le Bruget,
Rochemure.
Une triade de châteaux
Il existe trois châteaux sur la commune. Le château de Castrevieille, du XIIIe, se situe
à l'entrée du village et appartint au Comte d'Antraigues avant de devenir la propriété
de la commune. Masse imposante, il est caractéristique des bastides du sud de la
France : grand bâtiment principal flanqué de tours lui donnant l'aspect d'un fort. Il
abrite à l'heure actuelle la salle des fêtes, ainsi que plusieurs gîtes ruraux. Le château
du Bruget, situé sur la route des Roudils, est le berceau de l'ancienne famille des
Bruget vers l'an 1378.
Le château mérite le détour, il possède de belles armoiries,
une salle avec un magnifique plafond à la française ainsi qu'un
escalier tournant se terminant par une originale voûte en
palmier. Enfin le château de Rochemure et son domaine, situé
entre la bouche du volcan et le village, il a été transformé afin
de devenir la maison du Parc Naturel Régional des Monts
d'Ardèche.
Lieu chargé d'histoire le donjon du Chastelas fut construit au XIIe et XIIIe. Situé dans
le vieux quartier de Jaujac, fût construit par les De Jaujac, et rasé au XIVe. Il ne reste
actuellement que la base des murs dans le quartier du Chastelas.
A proximité se trouvent de nombreuses curiosités, comme la coupe de Jaujac, restes
d'un ancien volcan. Le pont "romain" du Chastelas qui permet de traverser un
affluent du Lignon en allant en direction de Neyrac. Les environs se prêtent
parfaitement à l'observation des anciennes coulées basaltiques qui ont donné de
magnifiques prismes à section octogonale, que l'on nomme des orgues basaltiques.
MEYRAS
Rue Grande, D26
Parking du stade
N 44.67946° E 004.26848
14/06/2011 Avons passés 1 nuit sur cette aire superbe,très propre . Merci à la municipalité ,nous
reviendrons,superette très sympathique et bien accueillis.
02/05/2011 Une aire comme on aimerait en avoir plus.
15/04/2011 § Avons passe 2 jours à Meyras,trés beau village à decouvrir,circuit des fresques à ne pas
manquer, nombreuses randonnées ,montée au volcan du Soulhiol4 euros pour stationner sur ce
bel emplacement Merci à la municipalité
13/08/2010 Aire très belle, employés municipaux sympas, concours de boules le 12 et 13 aout. Stationnement
gratuit. En plus, le village est très beau.
22/06/2010 C'est le type d'aire modèle que chacun souhaiterait rencontrer. La municipalité nous a offert
une belle étape et son prix n'est pas usurpé. Le village est très agréable, ce qui ne gâte rien.
Thueyts N 44.67266 - E 4.21928
Thueyts, qui provient du celte Attegia, signifie les huttes. Laissez-vous séduire par la
richesse et la beauté du patrimoine bâti, partez à la rencontre des vieilles pierres qui
dévoileront l'histoire du village, à travers les ruelles anciennes.
Au VIIe sera construite la chapelle Saint Bauzile détruite en 1572, elle deviendra
chapelle Saint Roch lors de la reconstruction en 1718. En 938, la chapelle St Bauzile et
la seigneurie reviendront aux moines de l'abbaye St Chaffre du Monastier sur Gazeille
(Haute Loire). Le château de Blou, construit vers le XIIe par la famille des Pressis,
passera aux mains de la famille de Blou en 1461, par le mariage de Marguerite des
Pressis avec François de Blou. Il fut remanié à de nombreuses reprises, et devint un
château de plaisance au XVIIIe siècle. En 1986, la commune en devient propriétaire.
On peut y voir des toits de tuiles vernissées, une cheminée dite Sarrazine, et des
salles voûtées restaurées.
Thueyts possède plusieurs édifices classés : la Tour
Pouget ou Gaschet, érigée à la Renaissance, elle est
dotée de belles particularités architecturales comme un
escalier en vis avec voûtes sur croisée d'ogives, une
porte moulurée avec blason flammé ou des fenêtres à
meneaux moulurés.
L'église St Jean Baptiste, d'époque Romane, fut de nombreuses fois remaniée avant
d'être entièrement reconstruite au XIXe siècle. L'ancien prieuré situé rue de la
Fontaine, fut la maison des moines de St Chaffre, et devint collège clérical au XVIIe
siècle. Rue Mercière, on peut admirer deux belles demeures Renaissance ; l'ancienne
maison du notaire Eschallier ainsi que la demeure des seigneurs des Goys. Rue Haute
une maison Renaissance, possède un bel escalier de pierres et un plafond à la
française. Dans le quartier des Higoux, on peut voir la Maison Gast, demeure de la
famille notariale De Gast au XIIIe. Place de la fontaine, la Maison Touvieille, demeure
Sieur Pierre Fournier en 1640 devint au XIXe l'habitation de Emmanuel Tourvieille,
médecin et maire de Thueyts de 1846 à 1848. Dans les environs se trouvent de
nombreux sites naturels comme la chaussée des Géants, coulée basaltique parmi les
plus hautes d'Europe. L'Echelle du Roi, faille naturelle dans la coulée basaltique, à son
arrivée plusieurs belvédères offrent une vue panoramique sur la vallée de l'Ardèche
et le Pont du Diable. L'Echelle de la Reine avec ses 215 marches permet de découvrir
la vallée de la Vernède. La cascade de la Gueule d'Enfer, alimentée par le ruisseau le
Merdaric, fait un saut vertigineux de 80 mètres.
BURZET N 44.739867 - E 4.245551
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Ruines et vestiges de plusieurs châteaux
Eglise Saint André, datant du 16ème siècle, avec son (clocher à peigne) est une
église qui fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 3
novembre 19302.
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Le Prieuré de Belvezet (ancien) fait l'objet d'un classement au titre des
monuments historiques depuis le 23 février 19813.
CASCADE DU RAY PIC 44.78969, 4.262642 ?
Située sur la commune de Péreyres, petit village sur l’une des routes menant à la
montagne ardéchoise, la cascade du Ray Pic est un spectacle grandiose pour les yeux
et ainsi un des hauts lieux du tourisme en Ardèche. Site classé depuis 1931, la
cascade du Ray Pic jaillit au milieu des orgues basaltiques. C’est le seul passage qu’a
trouvé la Bourges au milieu des coulées volcaniques. La Cascade du Ray Pic est
formée de deux chutes : la première, que l’on ne voit pas en étant au pied du bassin,
est a environ une soixantaine de mètre au dessus et la seconde chutes, la principale,
fait 35 mètres. La rivière s’écoule ensuite sur plus de 20 kilomètres. Cette cascade a
rendu célèbre le volcan du Ray Pic (ou coupe de la Fialouse) qui, il y a encore
quelques milliers d’années, débordait d’activité. Ce volcan est à l’origine d’une des
plus longues coulées de lave de France (20kms). Pour vous rendre au pied de la
cascade, il vous faut continuer sur la D215 entre Burzet et Lachamp-Raphaël et vous
arrêter sur un parking aménagé le long de la route. Vous accéderez à la cascade par
un petit chemin aménagé dans les bois en une quinzaine de minutes. La cascade est
un site géologique très intéressant car il s’agit d’un site naturel volcanique où l’eau de
la rivière Bourges tombe de plus de 60m. De plus, deux belvédères ont été aménagés
avec tables d’orientation. L’un sur la route qui suit la vallée de la Bourges et qui
conduit à la cascade du Ray Pic et l’autre en bordure de la D215 avec un point de vue
magnifique sur le site du Ray Pic. La cascade du Ray Pic est donc la plus belle chute
d’eau du département de l’Ardèche.
LACHAMP RAPHAËL
Entre le Mont Gerbier de Jonc et Mezilhac
N 44.81079° E 004.2887
21/06/2011 Nous sommes passés par cette aire au début du mois de mai. Nous avons été
désagréablement surpris de trouver une borne en très mauvais état. Nous nous étions
arrêtés à l'ouverture et c'était parfait. J'avais même adressé un mèl de félicitations à la
mairie.
23/04/2011 de passage en ce mois de avril nous avons passer une nuit vraiment calme merci a la
commune.
09/08/2009 De passage le 23.07. Aimant beaucoup cette région, nous avons apprécié le calme de
cette aire, les environs et surtout l'effort fait par une commune de 60 habitants pour
accueillir les camping-caristes. Merci à la municipalité et aux habitants!
LE CHEYLARD
AIRE Parking du Super U
N 44.912° Décimaux E 4.44135°
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L'Arche des Métiers : présente l'ensemble des savoir-faire et des métiers du bassin de Le
Cheylard4.
Le château de La Chèze : place-forte protestante au XVIe siècle. Il est actuellement restauré
par l'Association pour la Sauvegarde du Patrimoine Boutièrois (A.S.P.B. - château de La
Chèze)5.
la vieille ville de Le Cheylard.
La fontaine sur la place de l'église : offerte par François de Saléon-Terras (député-maire).
La Palisse : quartier du Cheylard ou se concentre les grandes surfaces, le stade de foot, la
salle des fêtes.
La base aquatique Eyrium.
L'amphithéâtre de la vieille ville
DESAIGNES
Le village médiéval
Flânez dans ses ruelles à la découverte de ses trésors.
A voir: trois portes médiévales, des fragments du rempart, de
vieilles maisons gothiques, l'auberge du Lion d'Or, l'église de
style roman, le temple de l'église réformée accolé à la première
forteresse du XIIè siècle, le château du XIVè siècle, la forge,
l'atelier de sabotier et l'échoppe de l'artisanat.
Visites accompagnées en Juillet et en Août au départ de l'Office
du tourisme le jeudi à 10h.
Durée:1h Tarif:2€,enfant:demi-tarif
Visites accompagnées toute l'année sur réservation à partir de
10 personnes.
Le château-musée
La partie la plus ancienne du château date du XIVè siècle. Le
musée municipal est installé dans ses murs. Il présente la vie
rurale d'autrefois, l'histoire locale à travers de nombreuses
expositions ( les écoles, la vie du château, l'architecture
médiévale, le cahier de doléances de la ville, l'édit de Nantes, la
résistance lors de la dernière guerre...). A voir aussi, le
magnifique escalier à vis et de monumentales cheminées.
Ouverture de Pâques à la Toussaint le samedi et le dimanche de
14h à 18h, en Juillet et en Août jusqu'aux journées du
patrimoine du mardi au dimanche de 14h à 18h.
Tarifs:adultes:3€,
Visites guidées toute l'année sur réservation à partir de 10
personnes
LAMASTRE
Parking N 44.987011° E 004.579720°
Un ancien moulin devenu une brasserie artisanale
Suivez le parcours du grain dans les étages de cet ancien moulin à grain du 19ème siècle et partez à la
découverte du plus ancien des breuvages : la bière.
Visite libre de l’ancien moulin, présentation de la brasserie artisanale et dégustation de bières ou jus
de fruits pour les enfants.
http://www.leschopesdumoulin.com/
- Église, prieuré et vieux village de Macheville :
Le chevet de l’église avec la fenêtre du chœur et ses modillons est roman (XII° siècle). A l’intérieur, dix
chapiteaux, que l’on peut dater du XI° siècle, ont été probablement réemployés lors de la
reconstruction partielle de l’église par les Jésuites au XVII° siècle. Le clocher et les premières travées de
la nef sont de la fin du XIX° siècle.
De l’ancien prieuré subsistent une tour et une belle porte du XV° siècle surmontée de sa bretèche.
- Ruines du château de Peychelard (X° siècle) :
Le château de Peychelard, construit sur un éperon barré, était la première résidence des seigneurs de
Lamastre. Les pierres des maisons de la ville haute, peu à peu abandonnées, ont été réutilisées pour
construire les maisons de la ville basse, le Lamastre actuel.
- Ruines du château de Retourtour (X° siècle) :
Bâti sur un monticule, ce château doit peut-être son nom au latin "Retortoris" à cause de la presqu’île
fermée par le Doux.
Des querelles de succession au XIV° siècle sont probablement à l’origine de la ruine du château. On
raconte qu’au début du XVII° siècle y vivait encore un petit seigneur "brigand" qui rançonnait les environs
...
- Le Parc Seignobos :
Halte fraîcheur au cœur du village.
Riche en essences rares, il est un bel exemple de jardin du 19ème siècle, appelé pompeusement "parc"
par les gens du pays. Ne manquez pas d’observer le gingko biloba, l’araucaria et les autres essences
rares, plantées voilà plus de cent ans.
Ce petit havre de paix accueille en été des spectacles et de nombreux gourmands le temps d’un piquenique
LA VOULTE SUR RHONE
N 44.80078° E 4.78214°
Marché le vendredi matin: ne pas stationner dans la nuit de jeudi à vendredi
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Le Château de La Voulte-sur-Rhône (datant du début XIVe siècle et terminé aux XVIe et XVIIe
siècles). Il est classé Monument historique
La vieille ville est constituée de ruelles montantes et étroites, de passages voûtés
La chapelle des Princes (classée Monument historique)
L'église Saint-Vincent
La fontaine Giroud (classée Monument historique)
Le site des fonderies avec 4 hauts fourneaux (classés Monument historique)
Le viaduc ferroviaire de La Voulte-sur-Rhône, premier viaduc ferroviaire en béton
précontraint construit en France, en 1952-1955, par la société Boussiron suivant la
conception de Nicolas Esquillan, pour la SNCF.
Le pont suspendu de La Voulte-sur-Rhône, construit entre 1889 et 1891 par l'ingénieur
Ferdinand Arnodin.
(COL DE L’ESCRINET) ?
Le col est situé à une altitude de 787 mètres et se situe sur la Route nationale 304
entre Aubenas et Privas (France, département de l'Ardèche). Il ouvre sur la vallée de
l'Ardèche et les plaines du Languedoc au sud-ouest, et sur la vallée du Rhône au nordest.
Géologie[modifier]
Le col de l'Escrinet est traversé par un étroit dyke volcanique qui émerge du substrat marno-calcaire. Il forme
l'extrémité nord du massif du Coiron, massif caractérisé par une inversion de relief spectaculaire : il y a
quelques millions d'années, des coulées volcaniques ont envahi des vallées creusées dans un substrat marnocalcaire. Ces coulées se trouvent aujourd'hui bien au-dessus des terrains environnants.
Au col, sur la butte de la Tourrasse, une stèle rappelle, lapidairement, la
mémoire de Jacques de Sugny et ses trois identités. Né à Lyon, originaire du
nord de l'Ardèche, Jacques de Sugny (1910-1986) fut en effet résistant au
nazisme sous le nom de Loyola et premier préfet de l'Ardèche lors de la
libération de Privas par la résistance. Puis sous le nom de Jacques Trémolin, il
devint écrivain et chroniqueur naturaliste sur France-Inter vers 1970.
Ses chroniques pleines de vie sont à l'origine de plus d'un engagement en
faveur de la protection de la nature. Ses cendres ont été épandues en 1986
au col de l'Escrinet, lieu d'un affrontement avec l'occupant en 1944.
PRIVAS
Parking ? 44.736758, 4.598637
Longitude : 4.59848000 Latitude : 44.73254000
Adresse :
chemin du Mèzayon, derrière la gendarmerie.
07000 Privas
Je conseille 2 villages proche de Privas:
Allisas et Chomérac. Prendre la direction de Montélimar par la D102. * Pour
Allisas (N :44.712906, E 4.632626) (environ 5kms), passer devant le SuperU et au
rond-point du viaduc prendre à droite, à 100m un parking à gauche en contre
bas de la route à coté * Pour Chomérac (2 kms plus loin), grand parking sous
les arbres, vers stade et proche du centre du village.
Privas est la première " Ville porte " du Parc Naturel des Monts d'Ardèche en venant
de la vallée du Rhône. Située en plein cœur du département, la ville est le lieu idéal
pour partir à la découverte de toute l'Ardèche. Gites, campings, hôtels ou chambres
d'hôtes vous permettront de séjouner dans les environs de Privas. Bâtie sur un
éperon rocheux qui surplombe les étroites vallées de
l'Ouvèze et du Charalon, haut lieu du protestantisme,
elle dispose d'un patrimoine historique et religieux,
constitué des ruines de l'ancienne cité huguenote
ardéchoise du XVIème siècle, qui fut brûlée par Louis
XIII, puis reconstruite. Le pont de pierre sur l'Ouvèze
porte le nom du roi Louis XIII, à voir aussi le Cloître
des Récollets, la Tour Diane de Poitiers, la porte aux
Diamants.
Plusieurs musées témoignent de cette époque où l'influence de la cité Privadoise
s'étendait du pays des Boutières jusqu'au Rhône, le musée du Vivarais protestant à
Pranles, les archives départementales.
L'office de tourisme vous propose de suivre la visite commentée de la vieille ville.
Autres sites à découvrir, les trois croix du Montoulon, la forêt de pins domaniale Le
Bois Laville, avec vue imprenable sur le massif volcanique de Chamarouan,
l'arboretum aux essences rares de feuillus et de résineux, le sentier des 5 ponts à
travers la Cévenne privadoise.
Privas a été classée " Site remarquable du goût " par le Conseil national des arts
culinaires. Sa notoriété en tant que capitale du marron glacé est liée à celle de
Clément Faugier, né en 1882, qui a su adapter de façon industrielle la recette
traditionnelle du marron glacé, désormais apprécié dans le monde entier.
Privas, préfecture de l'Ardèche bénéficie de toutes les infrastructures et
équipements sportifs et culturels d'une ville moyenne, piscine couverte, stade,
théâtre, cinémas, salles des fêtes
De nombreuses activités peuvent y être pratiqué, ballade à vélo, vtt, escalade,
tennis, accrobranche, randonnées pédestres, etc... Son commerce est très
dynamique que ce soit dans le centre ville où son marché a lieu tous les samedis
matins ou dans sa zone commerciale et artisanale en périphérie.
Le Beffroi
La première pierre fut posée en 1937, ce bâtiment est à l’image de l’architecture de
l’entre deux guerres.
(Particularités : vitrail, peinture…)
- Le Montoulon qui surplombe la ville, fut le théâtre de l'ultime combat qui opposa
en 1629, les gardes suisses de Louis XIII aux derniers huguenots privadois, réfugiés
dans le fort qui le couronnait alors. Du Montoulon, point de vue imprenable d'où l'on
découvre toute la région, de la montagne du Charray et de la Roche de Gourdon
(Ouest) aux premiers contreforts des Alpes (Est). Belle vue sur les toits de la ville et
sur la Chapelle- cathédrale Sainte-Marie.
Curieux cône volcanique qui domine Privas du haut de ses trois croix illuminées la
nuit. Emplacement idéal pour un poste de vigie, il fut le théâtre de luttes acharnées
(1627-1629). En 1826, le père Chiron commence un ministère auprès des malades
mentaux. Il y fera dresser en 1840 trois grandes croix de bois. Altérées par les
intempéries, elles seront réédifiées à l'identique. La pietà du sculpteur Carlo
Sarrabezolles sera sculptée sur place et plaquée contre le rocher, en 1957.
Le site du Montoulon, est la propriété de l'hôpital Sainte-Marie. Il est possible d'y
accéder par un sentier au départ de la place des Récollets ; ce belvédère offre une
vue magnifique sur la ville de Privas
La Tour Diane de Poitiers
La Tour Diane de Poitiers fut construite au XV ème siècle par la puissance famille des
comtes de Poitiers, ducs de Valentinois et barons de Privas. De pur style renaissance,
elle est constituée d'un escalier à vis qui desservait des appartements qui, au cours
des siècles, furent les demeures des administrateurs de la baronnie de Privas. A
découvrir sur la place de la République, centre-ville Privas.
Le Pont Louis XIII
Le Pont Louis XIII, au 12ème siècle est situé sur une voie de communication très
importante, reliant Baix sur le Rhône à la Montagne ardéchoise. Très endommagé par
les combats du siège de Privas en 1629, le roi Louis XIII le fait réparer non par
générosité, mais avec le dessein d'améliorer toutes les routes menant à Privas ; cela
bien sûr, afin de permettre le passage de ses troupes en cas de nouvelles révoltes !
La Chapelle et le Parc des Récollets
A Privas, derrière l'église des Récollets "cet ancien jardin de curé", offre aux curieux
quiétude et sérénité.
L'histoire débute en 1599. Jacques de Chambaud, capitaine huguenot, rachète au
petit-fils de Diane de Poitiers la baronnie de Privas. Sur les ruines d'un fortin du
XIème siècle (Le Château des Récollets date du 12ème siècle), il fait édifier un
château. Achevé en 1620, mais au coeur d'une rivalité passionnelle entre catholiques
et protestants, « la guerre des amoureux », il sera entièrement détruit par les
Privadois en 1621. Après le siège de Privas, les Récollets s'installent en 1644.
A la révolution, il devient le siège du tribunal révolutionnaire puis un ordre religieux y
installe un collège de garçons qui devient laïque et ensuite mixte (ancêtre du collège
Bernard de Ventadour et du Lycée Vincent d'Indy). Actuellement, il est le siège du
conservatoire de Privas
Privas possède trois monuments historiques8.
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Le Pont sur l'Ouvèze dit de Louis XIII est classé au titre des monuments
historiques par arrêté du 9 mars 19239.
Une borne militaire gallo-romaine est classé au titre des monuments
historiques par arrêté du 26 septembre 190310.
La tour Diane de Poitiers, dont la porte et tourelle d'escalier sont inscrits au
titre des monuments historiques par arrêté du 5 avril 193511.
Autres lieux[modifier]
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La Porte aux diamants
Le couvent des Récollets - Privas
Le belvédère du Mont-Toulon, volcanique, porte une Piéta monumentale,
sculpture de Carlo Sarrabezolles (1955)
Le hameau médiéval de la Tour du Lac
La chapelle de Lubilhac
Hôtel de ville (1937)
Église Saint-Thomas
Monument aux morts de
la Résistance, par Carlo
Sarrabezolles
Un temple
Le Mézayon au pont du
RN304
Moulin-usine en ruine au
bord du Mézayon
Saint-Vincent-de-Barrès
Parking ? 44.662094, 4.70939
Un site médiéval, fortifié et perché, exceptionnellement préservé.
Situé sur un promontoire rocheux en forme de goutte d’eau, le village domine la
plaine du Barrès, mettant en valeur les vestiges de son passé médiéval. Dès la route
départementale 2 qui passe en contrebas, on aperçoit parfaitement les 3 tours
principales.
Un peu d'histoire.
La première mention d’un édifice religieux remonte à
l’an 1020, date à laquelle l’église dédiée à St Vincent a
été confié aux moines de Cluny. Dés le XIe siècle, la
population a commencé à se rassembler autour de
l’église puis de la demeure seigneuriale (XIIe). Située
aux marges du Royaume de France et du Saint Empire
Romain Germanique, St Vincent a, à plusieurs reprises,
changé de domination (1213 à l’évêché de Viviers, 1256
aux comtes de Valentinois, 1424 au Duché de Savoie,
1448 au Dauphiné et Royaume de France,…).
Les dernières fortifications (grosses tours rondes) ont été achevées à la fin de la
guerre de cent ans (début XVe). Puis ce fût une petite place forte protestante (fin
XVIe) dont le démantèlement a été oublié en 1622, ce qui explique qu’à la fin du XIXe
siècle, les fortifications étaient encore quasiment intactes.
Un village qui se découvre.
Lorsque le visiteur arrive par la porte des Notables, qui était le principal accès, il peut
voir la configuration particulière qui permettait d’en assurer la défense. Il n’y a qu’à
regarder la chicane formée par la ruelle et la position des meurtrières. En parcourant
le cœur du village, plusieurs échoppes donnent l’impression d’être prêtes à ouvrir. Le
donjon (fin XIIème siècle), siège de la Mairie, met en avant la pierre de calcaire, par
opposition aux autres bâtiments qui allient avec bonheur l’utilisation des pierres
blanches et des pierres noires du Coiron. La porte des Cavaliers permettait d’accéder
au village à cheval. Une meurtrière en assure la défense. Dans tout le village, de
nombreux petits détails architecturaux méritent d’être découverts par le
promeneur.L’église, reconstruite au XVIIème siècle sur l’emplacement de celle laissée
en ruine lors des guerres de religions, occupe le point haut du village.
Un environnement varié.
Selon le point d’observation, le paysage qui s’offre au regard est très différent. A
l’ouest, plaine agricole avec le plateau du Coiron en arrière plan qui est constitué
d’une table basaltique sur des sédiments. La montagne d’Andance d’où est extraite la
diatomée complète la vision. Au nord, ouverture vers la vallée du Rhône et le fleuve
qu’on aperçoit. A l’est, la forêt domaniale du Barrès qui comporte encore une hêtraie
relique, c'est-à-dire qui s’est développée sans que l’homme n’y ait mis la main.
Autant d’horizons qui offrent de nombreuses possibilités de ballades qui permettront
de découvrir, demeures et hameaux qui se trouvent aux pieds du promontoire (Le
Serre, La Dame, le Geai…).
ROCHEMAURE
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Le donjon roman, bâti sur un dyke (cheminée volcanique), est constitué d’une tour carrée
comme on les faisait au début du XIIe siècle, surmontée d’une tour pentagonale construite à
la fin du même siècle. Comme tout le bâti ancien à Rochemaure, les pierres de construction
sont noires (basalte) et blanches (calcaires). C’est ce qui fait l’originalité des constructions de
ce village. Le monument est classé.
Les remparts du XIIIe siècle partent du château et descendent dans la vallée. On les appelait
vintenum parce que les habitants qui habitaient intra muros devaient donner le vingtième de
leurs récoltes au seigneur pour l’entretien de l’ouvrage et la solde des soldats. Monument
classé.
La tour du Guast, construite au XIIIe siècle, fait partie des remparts. À l’intérieur, une partie
d’habitation conserve notamment les restes d’une cheminée finement ciselée. C’était
probablement l’habitation du co-seigneur de Rochemaure. Monument classé
Le château de Joviac, construit en 1597, est une « maison forte » et un domaine agricole
remarquablement bâti selon les prescriptions du grand agronome Olivier de Serres, avec un
système hydraulique perfectionné. Monument et système hydraulique classés.
Le vieux village a été construit autour de la voie romaine d’Antonin le Pieux et autour du
château. Site inscrit.
L'ancien pont suspendu sur le Rhône a été construit en 1858 par les collaborateurs de Marc
Seguin, inventeur des ponts en fil de fer. Monument inscrit.
Le site volcanique se situe aux contreforts des volcans du Coiron. Vous pouvez admirer le pic
du Chenavari, les cheminées volcaniques sur lesquelles sont construites le château médiéval
et la tour du Guast, de nombreuses orgues basaltiques. Le nom de Rochemaure vient du bas
latin roca maura qui veut dire "roche noire", donc roche basaltique
LE TEIL
N 44.55138° E 04.68972°aire
Situé le long du Rhône, à seulement 5 kilomètres de Montélimar (Drôme), le Teil est une
des portes d’entrées en Ardèche. Première ville ardéchoise sur la route Montélimar Aubenas, le Teil est un véritable pôle de vie : administration, commerces, artisans,
établissements scolaires et tissu associatif dynamique
La petite ville du Teil naît autour du château construit au XIII° par le seigneur d’Adhémar
mais détruit en 1634 par le Cardinal de Richelieu. A cette époque, la ville vit de la taille du
chanvre. Mais elle prend de plus en plus d’importance grâce à l’activité du port fluvial
(commerce de tissus, toiles, livres ainsi que les fruits de la vallée du Rhône). La ville est donc
choisie pour devenir l’un des dépôts de Sel Royal. Ainsi, la rue Kléber est un formidable
témoignage de cette époque de prospérité et de richesse. On peut encore y voir de
nombreux hôtels particuliers et de vieux immeubles
Au XX°siècle, le commerce sur le Rhône laisse place au chemin de fer. La ville sera un dépôt
de locomotive à vapeur, de la compagnie des chemins de fer PLM jusqu’en 1960 et pouvant
accueillir jusqu’à 56 machines. Le premier pont traversant le fleuve et reliant le Teil à
Montélimar fut construit au XIX° et le pont actuel, le quatrième, date de 1946
La fabrication de la chaux date depuis très longtemps. Les usines Lafarge se sont installées
en 1868 et participent fortement au développement économique du Teil. Elle sont aussi
connu et reconnu pour avoir entre autre participé à la construction du canal de Suez.
Ne quittez pas Le Teil sans avoir visité l’église romane Saint Etienne de Mêlas. Construite au
IX° siècle, elle est l’une des plus ancienne église romane de France et possède un baptistère
antérieur au XI° ou IX° selon les historiens et archéologues. Elle fut classée monument
historique.
Il y a aussi le musée départemental de la résistance et de la déportation en Ardèche qui
retrace cette période de l’histoire grâce à de nombreux documents d’archives et des
photographies historiques.
Le Teil s’anime tous les jeudi matin pour son marché hebdomadaire mais aussi tous les
vendredi de 17h à 20h, de mai à octobre, pour son fameux marché des producteurs qui
propose de nombreux produits régionaux.
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le "Musée départemental de la résistance et de la déportation en Ardèche" présente

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

des salles d'expositions avec des documents d'archives et des photos historiques.
Table d'orientation avec vue sur la vallée du Rhône
Vieilles rues (grenier à sel) et vieux immeubles
Patrimoine industriel (importante carrière de ciment)
Borne milliaire de Mélas 44° 33′ 32″ - Nord - 4° 39′ 07″ Est
Alba-la-Romaine
ALBA LA ROMAINE
Au centre du village, à côté de la maison de retraite
N 44.55341° E 004.59727
03/07/2011 Très belle aire d'accueil, services bien accessibles. Avons passé une nuit au calme.
20/11/2010 Grand parking pour stationner au calme et en sécurité, services gratuits mais
l'électricité ne fonctionnait pas. Merci à la municipalité.
25/10/2010 Merci à la municipalité car stattionnement et services gratuits. Opérations simples,
cadre agréable sur cailloux ou herbe pour env 20 CC, calme, malheureusement mal
indiquée. Très beau village à visiter. §
17/05/2010 De passage pour le week-end de l'Ascencion, aire de stationnement très tranquille
dans un site agréable avec les commerces à 100 mètres, merci à la commune d'Alba la
Romaine.
15/06/2009 Arrêt pour visite et déjeuner. Grand champ pour stationner, pas d'ombre et pas très
bucolique mais fonctionnel.
Vision d’une plaine où s’épanouit la vigne, et, au loin, dressé sur un neck volcanique,
le château, au pied duquel se serre un enchevêtrement de toits… Alba a le cœur qui
bat au rythme de deux mille ans d’histoire. Le village médiéval d'Alba-la-Romaine
("Aps")
Chronique romaine
Ancienne capitale des Helviens, Alba porta du Ie au IVe
siècle les atours d’une cité gallo-romaine active : centre
monumental, forum, sanctuaires, bâtiments publics à
portiques, boutiques, cardo, théâtre, domus… rien ne
manquait à celle qui a conservé, enfouies sous les
sarments de vignes, les traces de son riche passé
antique.
Les vestiges gallo-romains retrouvés en font un site archéologique remarquable, où
s’entend toujours l’écho lointain des chars qui ont laissé leurs empreintes sur la voie
dallée. Au IVe siècle, le christianisme s’installe à Alba qui devient le siège du premier
évêché du Vivarais.
De noir et de blanc
Aujourd’hui c’est un village médiéval ramassé dans son enceinte de la fin du XIIIe
siècle que découvre le visiteur. Même s’il affiche des allures de robuste fort, le
château fut restauré au XVIIe siècle après les guerres de religion. Anciennes portes,
échauguettes et tours ont gardé le souvenir des remparts médiévaux.Tout le village
est habillé de noir et de blanc. Le basalte et le calcaire, matériaux locaux traditionnels
utilisés pour la construction des maisons et édifices composent des damiers sur les
façades qui donnent son atmosphère si particulière à Alba. Il fait bon se perdre dans
le labyrinthe de petites ruelles étroites et voûtées conduisant d’arches en cours
intérieures, de petites chapelles à la tour de l’horloge ou au château, elles sont la
mémoire vivante d’Alba. Inscriptions, linteaux de porte décorés, petites figures
sculptées encadrant les fenêtres, hauts reliefs, chacune murmure son histoire au
promeneur attentif. Juste à côté, le hameau de La Roche permet de poursuivre cette
balade buissonnière en terre médiévale.
Muse d'artistes
Depuis de nombreuses années, des artistes et artisans ont succombé à la séduction
de ce village. Les vieilles pierres aiment décidément les arts. Concerts de jazz à La
Roche, expositions de peintures, représentations théâtrales dans le théâtre antique
et la cour du château sont des rendez-vous réguliers qui rythment les saisons.
Dans un paysage où s'épanouit la vigne, un château dressé sur un piton volcanique visible à
plusieurs kilomètres qui domine un enchevêtrement de toits : c'est Alba-la-Romaine
qui nous accueille pour commencer cette visite de l'Ardèche.
En compagnie d'Annick, nous garons les camping-cars à côté de la borne de service
(gratuite) qui est sur le parking proche de la maison de retraite. Nous y passerons la nuit.
Sans perdre de temps, nous partons à la découverte de la ville. C'était une cité gallo-romaine
très active : centre monumental, forum, sanctuaires, bâtiments publics à portiques, boutiques,
théâtre, thermes, aqueduc, cirque et nombreux temples... Rien ne manquait à celle qui a
conservé, enfouies sous les sarments de vigne, les traces de son riche passé antique. C'est un
site archéologique remarquable où les fouilles se poursuivent encore de nos jours.
Aujourd'hui, c'est un centre médiéval ramassé dans son enceinte que nous découvrons. Même
s'il affiche des allures de fort, le château fut restauré au XIIIe siècle après les guerres de
religion. Anciennes portes, échauguettes et tours ont gardé le souvenir des remparts
médiévaux.
Curieusement, tout le village est habillé de noir et de blanc. Le basalte et le calcaire,
matériaux locaux traditionnels utilisés pour la construction des maisons composent des
damiers sur les façades qui donnent son atmosphère si particulière à Alba.
Cette promenade est très agréable. Il fait bon se perdre dans le labyrinthe des petites ruelles
étroites et voûtées conduisant d'arches en cours intérieures, de petites chapelles à la tour de
l'horloge ou au château.
Juste à côté, le hameau de La Roche permet de poursuivre cette balade buissonnière en
terre médiévale. C'est une copie conforme d'Alba-la-Romaine : le village se développe lui
aussi autour d'un impressionnant piton basaltique autrefois fortifié. Le plan des rues est le
même et elles portent exactement le même nom.
L'enceinte comportait à l'origine sept tours et trois portes dont on peut encore distinguer
plusieurs vestiges.
Après une nuit calme et réparatrice sur le parking, nous faisons le plein d'eau à la borne. Il fait
beau et chaud.
Nous sortons du village pour voir le théâtre antique situé au coeur du centre archéologique.
Il faut beaucoup d'imagination pour retrouver l'importance que cette ville antique pouvait
avoir. D'un diamètre de 70 mètres, le théâtre pouvait accueillir 3000 spectateurs.
On y joue des représentations encore aujourd'hui. C'est presque à regret que nous quittons
cette charmante commune qui a su nous séduire.
VIVIERS
Saint-Montan
Derrière la cave coopérative.
N 44.43194° E 4.64434
12/08/2010 Nous y avons passé un week-end parfait en avril. Aire calme derrière la coopérative.
Magnifique village à visiter. Vins à déguster, un petit rosé léger 6° sucré un régal...
20/03/2010 Aire de stationnement derrière la coopérative, calme. Point de départ pour visiter le
village à pied, très pittoresque.
28/12/2009 L'aire est réellement située sur la RD262, à 300m du carrefour de l'ex RN86, mais
très bien signalée et derrière la coopérative.
02/11/2008 De passage fin octobre, aire simple, gratuite, avec toilettes, table de pique-nique,
vidanges WC, eaux usées avec seau, eau potable. Bon accueil et vin local AOC rosé
excellent. Calme.
A le mérite d'exister, village superbe à visiter !
Il était une fois, dit la légende, un ermite prénommé Montan qui vivait au Ve siècle en
Picardie. Comme il avait prédit la destinée d’un enfant qui devint Saint Rémy, chacun
accourut le visiter pour se faire prédire l’avenir. Victime de son succès, le saint
homme prit la poudre d’escampette pour installer son ermitage en Ardèche
méridionale, dans un petit vallon. Le village de Saint Montan était né.
La passion des vieilles pierres
Un ancien ermitage
S’il n’y a plus d’ermite à Saint Montan, il ne compte pas moins de trois églises. A
l’entrée du village, l’église de Saint André de Mitroys, probablement élevée sur un
ancien sanctuaire dédié au dieu Mithra, dévoile la simplicité des lignes d’une église
romane du XIIe siècle. Constituée par la juxtaposition d’une chapelle du XIIe et d’une
église beaucoup plus vaste remaniée à diverses époques, Sansamonta qui signifie
"Saint Montan", était l’ancienne église paroissiale, aujourd’hui classée. Enfin, Sainte
Marie Madeleine, au milieu du village, date du XIXe siècle. Le curé de l’époque ne put
jamais terminer les travaux de la partie haute du clocher, il manquait 800 francs...
Plus vrai que nature
Construit sur l’éperon rocheux de l’Agache, c’est le
château fort que vous remarquerez en premier lieu. Il
appartint à une quarantaine de seigneurs qui s’en
partagèrent les revenus jusqu’aux guerres de religion
au XVIe siècle.
Ces imposants vestiges remontent aux XIIe, XIIIe et XIVe siècle, et dominent les
habitations du village médiéval, pressées contre les enceintes fortifiées qui
assuraient leur protection. Petites ruelles pavées, maisons de pierre pimpantes, le
village est restauré avec passion, par l’association des Amis de Saint Montan qui
travaille main dans la main avec la municipalité actuelle. En vous promenant, vous
aurez l’impression saisissante, sous l’effet de quelques sortilèges, de vous retrouver
au cœur du Moyen Age. La magie n’est pas loin. Autour, le paysage est resté presque
intact depuis l’arrivée de notre ermite au Ve siècle : le Val Chaud, combe sauvage aux
rochers calcaires, la grotte de Saint Montan, les gorges de la Conche ainsi que les
constructions en pierres sèches élevées par les paysans pour dégager les terres et les
rendre cultivables du mieux qu'ils ont pu.
BOURG ST ANDEOL
Accès Chemin de la Barrière
Parking de la coopérative
N 44.37519° E 4.64305°
20/11/2010 Grand parking pour manoeuvrer, pas de problème pour l'eau mais pas
d'électricité malgré les infos des documents de l'office de tourisme. Merci pour
les services existants gratuits.
16/07/2009 Bonjour. Immense parking pour stationner, le long de la voie ferrée. Pas de
problème pour la vidange et la borne possède deux sources de ravitaillement en
eau. L'électricité ne fonctionnait pas ce jour. Merci à la municipalité pour cette
réalisation.
Bas-relief du Dieu Mithra
A l’époque romaine, ce bas-relief constitue le fond du
temple du dieu Mithra sculpté à même le rocher, entre
les deux sources, au cœur du Vallon de Tourne.
On voit le jeune dieu enfonçant le poignard dans le cou
du taureau. Par ce sacrifice, il assure le salut du monde
menacé par les forces du mal représentées ici, par le
serpent et le scorpion.
De l’animal jaillit une vie nouvelle, illustrée par l’épi de blé que l’on distingue à
l’extrémité de la queue du taureau. Le soleil et la lune à l’extérieur de la scène
donnent une dimension cosmique au sacrifice.
Aux IIe et IIIe siècles, le culte de Mithra, d’origine iranienne, réservé aux hommes,
est très répandu dans le monde romain.
La Tour Nicolaÿ
Cet Hôtel particulier fut construit par la famille Nicolay en deux
temps, à la fin du XVème et au début du XVIème siècle. Il
marque le passage entre le style gothique finissant (façade Est
et tour) et la Renaissance (double galerie et clef pendante). La
tour octogonale renferme un bel escalier à vis à noyau
hélicoïdal évidé. Deux corps de bâtiment ont disparu durant le
bombardement du 15 août 1944.
Cette famille acquit une notoriété nationale au XVIème siècle avec Jean II de Nicolay qui
exerça, en Italie auprès de Louis XII, les fonctions de Chancelier du Royaume de Naples ; puis
en 1505, celle de Premier Président de la Chambre des Comptes à Paris. Ses successeurs
occupèrent cette charge jusqu’à la Révolution en 1791.
Eglise St Polycarpe
St Polycarpe, évêque de Smyrne et successeur de St
Jean, aurait envoyé St Andéol en Gaule pour
l’évangéliser.
La légende indique qu’après son martyr en 208, le corps
de St Andéol échoua à peu de distance de l’église
actuelle. Sa dépouille aurait été recueillie et enterrée par
une Romaine convertie à la religion chrétienne. Cette
église romane du XIIème fut église paroissiale (Bourg
Saint-Andéol en comptait trois) jusqu’au XVIIIème siècle.
Elle est originale par son organisation : elle possède un chœur surélevé sur une crypte
de plan tréflé, sous laquelle s’est trouvé un temps, l’emplacement du tombeau de
Saint Andéol. Ses reliques firent jusqu’à la Révolution, l’objet de culte et de
pèlerinage.
Couvent de la Visitation
Le monastère de la Visitation Sainte Marie fut édifié à
Bourg de 1670 à 1708. En 1792, en pleine Révolution, les
religieuses (une trentaine) sont expulsées de leur
maison. Les bâtiments deviennent biens nationaux et
servent alors de maisons de réclusion, puis sont vendus
aux enchères.
En 1815, les acquéreurs le revendent à leur tour à Marie
Rivier, modeste fondatrice d’un nouvel institut religieux
établi à Thueyts en 1796 et destiné à l’éducation
chrétienne de la jeunesse
Devenu Maison-Mère de la Présentation de Marie, le couvent est agrandi autour
d’une vaste cour intérieure pour abriter sœurs, école, pensionnat. Aujourd’hui, il est
toujours le cœur de cette congrégation répandue sur quatre continents.
Couvent des Recollets
Depuis la Révolution, l’hôpital hospice occupe les
bâtiments d’un ancien couvent des Récollets.
Les Franciscains s’installent hors des remparts à la fin
du XVe siècle. On observe plus particulièrement le
cloître médiéval, l’élégant clocher XVIIe et la chapelle
classée. A l’extérieur une belle montée d’escalier XVIIIe
mène à la route nationale.
Hôtel de Digoine
Monsieur Giraud, négociant en soie de la fin du XVIIIe,
aménage cette demeure par la réunion de deux
immeubles contigus, le sien et celui de la famille de
Digoine.
Cet hôtel particulier est composé d’un corps de logis
principal flanqué de deux ailes autour d’une cour pavée.
La grille en ferronnerie présente un couronnement décoré
de feuilles et des initiales des propriétaires.
Sur la façade orientale, le balcon, également en fer forgé,
domine le Rhône. A proximité Les Grandes Fontaines.
Hôtel Doize
Cet hôtel particulier appartenait à une ancienne famille
bourgeoise de Bourg-Saint-Andéol, Les Doize, présente
depuis le XVIème siècle.
Daté du XVIIIème, l’Hôtel Doize se distingue des autres
hôtels bourguésans par sa façade en belles pierres de
taille qui le rapproche des constructions de l’architecte
avignonnais Franque, à Viviers (palais épiscopal).
Notez l’élégante cour d’entrée de l’hôtel avec ses trois
niveaux et les mascarons. A l’intérieur, Musée de la
dentelle, de la broderie et des textiles anciens.
Fontaine monumentale de Dona Vierna
La statue en marbre de Carrare représente le personnage
légendaire de Dame Vierne de Balazuc, bienfaitrice de la
ville pour lui avoir donné les bois communaux du Laoul.
Les revenus provenant de l’exploitation de la forêt
permirent à Bourg-Saint-Andéol de devenir une des
premières villes de France à disposer de l’éclairage
électrique et de l’eau potable dans ses rues.
Pour célébrer cette arrivée, ce monument fut érigé au
cœur du nouveau quartier, entre les remparts et la gare.
Cette œuvre est celle de marbriers bourguésans, Bouvas, Pinoti et Imbert, qui
s’inspirèrent d’un modèle réduit de Delorme, Grand Prix de Rome. Les trois faces de
la fontaine évoquent la végétation et la faune des Bois du Laoul.
Eglise St Andéol
Cette église fut dédiée à St Andéol. Du premier âge roman, elle est datée de la fin
du XIème siècle. Elle comporte une abside à l’Ouest, type exceptionnel en France.
Vue du Sud Est, on apprécie la progression des élévations jusqu’aux différents
étages du clocher. A l’origine, la porte d’entrée était latérale, orientée vers le sud.
A l’intérieur, à la croisée du transept, la coupole en bel appareil, est d’un type rare
avec ses quatre séries d’arcatures aux chapiteaux sculptés entre les trompes. Le
tombeau de St Andéol, situé à l’intérieur, à droite du chœur, est un sarcophage
antique, qui fut réutilisé pour recevoir les reliques du Saint. Sa quatrième face fut
sculptée au début du XIIème siècle.
Les Grandes Fontaines
Vous observez une des deux fontaines publiques qui ont
été édifiées au début du XVIIe siècle pour desservir en eau
potable les quartiers orientaux de la ville.
Autour du bassin, datant de la fin du XVIIIe, on remarque
deux pilastres cannelés reliés par un entablement et une
urne encastrée dans une niche. La restauration de la
fontaine alors en très mauvais état s’est achevée en 2008.
Cette fontaine se trouve à côté de l’Hôtel de Digoine
Giraud.
Hôtel Bonot de Villevrain
La famille de Bonot est une très vieille famille
bourguésanne enrichie dans le commerce du drap. Paul
de Bonot acquiert et aménage cet hôtel particulier en
1748 pour le mariage de son fils Emmanuel, marquis de
Villevrain, avec Marie-Élisabeth Robert d’Acquéria, issue
d’une famille appartenant à l’ancienne noblesse.
Il s’agit d’un hôtel entre cour et jardin, composé d’un corps principal et de deux ailes.
La façade est harmonieuse, des motifs végétaux sur des cuirs enroulés sont disposés
autour de la porte cochère. A noter la remarquable restauration du perron de la cour
d’honneur. Lieu privé régulièrement ouvert pour des manifestations culturelles et
patrimoniales. A noter, une restauration remarquable du perron de la Cour
d’honneur.
Mairie
Cet ancien couvent des Ursulines fut construit au cours
du XVIIème. Les religieuses instruisaient gratuitement les
jeunes
filles
pauvres
de
la
ville.
Après la Révolution, l’Hôtel de ville s’y installa. Le
bâtiment a été en grande partie démoli le 15 août 1944
lors du bombardement aérien qui visait le pont reliant
les deux rives du Rhône.
L’orgue
Dimanche 7 décembre 2008, de nombreux Bourguésans
ont pu entendre, avec joie, l’orgue de Bourg-Saint-Andéol,
lors de sa bénédiction par l’Evêque du diocèse de Viviers.
Commandé par Pierre Marchand en 1609 pour la
Cathédrale de Viveirs, il fut agrandi en 1637. La Révolution
le voit passer cette période sans encombre. En 1841 la
paroisse de Bourg l’achète et il est installé sur une tribune
au fond de l’église. En 1867 Vincent Cavaillé-Coll et
Merklin renouvellent le vieil orgue et lui donnent son
caractère Romantique : de nouveaux jeux sont posés, la
partie mécanique est refaite.
En 1931 l’intervention d’un facteur d’orgue peu délicat supprime des jeux ou en
remplace d’autres (où sont passés ces jeux ? Mystère...). Dans les années 70-80 au
cours de travaux dans l’église, l’orgue devait être démonté et mis en caisse. Pour
empêcher ceci une demande de classement est faite et en 1987 l’orgue est classé
Monument Historique « en témoignage de la facture de P. Marchand, de Cavaillé-Coll
et de Merklin ». Sa restauration est décidée par la DRAC de Rhône-Alpes (Direction
Régionale des Affaires Culturelles) et après une longue série de contretemps (faillite
du facteur et de l’ébéniste, cessation d’activité de la décoratrice, tribune à
consolider), il est restauré enfin par les facteurs Robert et Frère, pour la partie
instrumentale et par Pascal Quoirin pour le buffet. Il retrouve ainsi ses 17 jeux et leur
composition originelle. On peut désormais apprécier la puissance et la finesse de ce
bel orgue romantique.
Palais des Evêques
Entre le Moyen-Age et le XVIIème siècle, cette résidence
était celle des évêques de Viviers, Seigneurs de Bourg
Saint-Andéol.
La façade sur le Rhône, construite par Claude de Tournon
au début du XVIème, est imposante avec ses poivrières
(type de tour de guet) et ses fenêtres à croisée, encadrées
de moulures et de colonnes torses.
Les larmiers, destinés à canaliser les eaux pluviales pour éviter d’abîmer la façade,
soulignent les horizontales. Une aile du XVIIème abrite une vaste salle voûtée qui
servit de petit séminaire aux XVIIIème et XIXème siècles. A l’intérieur, subsistent de
belles cheminées médiévales et des plafonds couverts de fresques du XVIIe. A cette
époque, le cardinal Mazarin fit étape dans cette résidence.Le Palais des Evêques
abrite le musée Margotton et organise chaque été des festivals de jazz ou d’art vocal.
Les Petites Fontaines
Au début du XVIIe siècle, les autorités locales font réaliser
une adduction depuis le vallon de Tourne jusqu’au
quartier de Briançon pour desservir en eau potable le sudest de la ville. Cette fontaine, aux pierres traitées en
bossage, date de 1614 (encore lisible sous l’arc).
Tombeau de St Andéol
Ce tombeau romain en marbre blanc a d’abord servi de
sépulture à un jeune enfant de sept ans avant d’être
réutilisé au Moyen-Age pour renfermer le corps de StAndéol, martyr du début du IIe siècle et évangélisateur du
Vivarais selon la tradition. La décoration de la quatrième
face date du début du XIIe siècle.
On y retrouve les caractères de la Renaissance de la
sculpture romane dans la moyenne vallée du Rhône : l’art
des frises, les entrelacs d’inspiration carolingienne, les
traditions paléochrétiennes dans les personnages à
l’intérieur des niches et enfin l’influence antique
Tour gothique
Cette tour est située au cœur de la vieille ville, sur la place
publique où se trouvaient rassemblées les belles demeures des
plus riches marchands de la ville depuis le Moyen-Age. La tour
du XVème siècle renferme un escalier à vis qui desservait tout
le bâtiment. Admirez la maison XVIIIème, en face, avec son
balcon en fer forgé.
Vallon de Tourne
Ce site pittoresque classé en 1934, comprend deux fontaines vauclusiennes adossées
aux falaises de calcaire : « le Petit Goul » ou goul de la tannerie, et le « Grand Goul »
situé au pied du viaduc.
Ces sources donnent naissance au ruisseau de Tourne qui se jette dans le Rhône
quelques centaines de mètres plus loin. Bien avant le Moyen-Age, la légende
populaire a attribué à ces sources de nombreuses vertus, notamment celle de
discerner la lèpre.
Le bas-relief antique, entre les deux gouls, est un des rares
exemples français dans son site initial. Il se situait au fond
du temple du Dieu Mithra. Le culte du Dieu Mithra était
une religion à mystères, qui assurait le salut à ses initiés.
Vous remarquerez sur le rocher, le fronton sur lequel
s’appuyait la construction (Mithreum).
Admirez aussi l’élégant lavoir du XIXème siècle
d’inspiration antique, qui rappelle certains temples grecs.
Entre le Moyen-Age et le milieu du XXème, ce quartier artisanal de la ville a compté
des moulins à blé ou à drap, puis des tanneries. Ce vallon a inspiré de nombreux
poètes, notamment Mistral, qui lui a consacré un chapitre de son poème « le Rhône
».
Les vitraux contemporains de l’Eglise Saint Andéol 1989-1991
Les vitraux du XIXe siècle de l’église Saint-Andéol ont été
complètement détruits lors du bombardement de 1944.
C’est seulement une fois les travaux de restauration de
l’édifice achevés que le remplacement des verrières a pu
être envisagé.
Côté Nature
La commune de Bourg-Saint-Andéol dispose de plus de 3000 hectares de zones
agricoles ou naturelles qui lui confèrent un cachet naturel. Elle est bordée par le
Rhône à l’est, et traversée par les lônes du Rhône au nord et par la Tourne au sud.
Les espaces agricoles couvrent 1142 hectares. Ils sont partagés entre les vignes, les
cultures céréalières bio et les plantations d’arbres fruitiers : oliviers, amandiers,
abricotiers, cerisiers, etc… qui façonnent le paysage. Les espaces naturels se situent
sur les coteaux en dessus de la ville, dans la forêt du Laoul et sur les bords du Rhône.
Les bords du Rhône
Le Rhône délimite la commune et le département de
l’Ardèche à l’est sur près de 8,5 kilomètres. Les bords du
Rhône permettent des promenades en vélo, des balades
faciles, en famille ou entre amis, en empruntant des voies
« presque sans véhicule à moteur ». Les pêcheurs, un
temps éloignés du fleuve, y reviennent pour taquiner les
poissons, nombreux en ces eaux.
La forêt du Laoul
Elle est aujourd’hui un formidable espace de pleine
nature, peuplé d’une faune et d’une flore très riches. Les
sentiers de randonnée, praticables à pied, à VTT ou à
cheval vous proposerons d’agréables balades, de tous les
niveaux, praticables en toutes saisons. Ils sont intégrés
au Plan Départemental des Itinéraires et Promenades de
Randonnée et balisés conformément à la charte du
département. Un topo-guide est à votre disposition à
l’Office de Tourisme ou chez certains commerçants du
Bourg.
Gouls de Tourne
De part et d’autre d’un site archéologique où l’on peut
admirer la fresque du « Dieu Mithra », dieu romain
d’origine indo-persane, au lieu dit « vallon de Tourne »
jaillissent deux résurgences, le Goul de La Tannerie ou
Petit Goul et le Goul du Pont ou Grand Goul. A gauche de
l’entrée du site se situe également un lavoir antique
alimenté par les deux sources et une ancienne tannerie
qui a donné son nom d’un des deux gouls.
ST MARTIN D’ARDECHE
Saint Martin d'Ardèche est une petite commune de
650 habitants, située au sud-est du département de
l'Ardèche, voisin du Gard, de lagites, campings,
chambres d'hôtes ou hôtels sont à votre disposition
pour vous héberger. ée de grottes et d'avens, aux
pieds des gorges de l'Ardèche, Saint Martin
d'Ardèche est un lieu idéal pour les amateurs de
canoës et de kayaks.
La rivière aux eaux claires et poissonneuses, après avoir traversé la réserve naturelle
des gorges de l'Ardèche durant 30 kms, offre des magnifiques plages de sable, des
criques, des falaises...
Ce paisible village offre également de nombreuses activités de loisirs : Mini-golf,
Quad, centre équestre, pédalos, location de vélos... et se trouve à proximité de
grands lieux de culture comme Avignon, Nîmes, Orange, Vaison-la-Romaine ou Arles.
De nombreux commerces sont à votre disposition : alimentation, presse, tabac,
coiffure, souvenirs, vêtements et articles de plage... L'été, les marchés du mercredi
matin et du dimanche matin situés sur le quai des Pescadou vous permettront de
flâner et d'apprécier l'ambiance d'un village de l'Ardèche.
A flanc de coteaux, face au soleil, Saint Martin d'Ardèche est un terroir prédestiné à
la vigne. En effet depuis des décennies, les efforts des viticulteurs ont permis d'y
élever, dans le cadre de l'appellation côtes du Rhône, d'excellents vins rouges, blancs
et rosés, régulièrement médaillés lors de grands concours. Saint Martin d'Ardèche
dispose de tous les atouts d'un village accueillant et attractif où les professionnels du
tourisme auront plaisir de vous recevoir et sauront vous faire apprécier la qualité de
vie à Saint Martin et ses alentours dans un cadre remarquable.
VALLON PONT D’ARC
Marché jeudi matin
VALLON PONT D'ARC
Chemin du Chastelas
N 44.4052 E 004.39702
12/06/2011 l'aire est agréable les services sont bien acessible le marché est le jeudi la ville est
superbe c'est aussi un bon départ pour les ballade pédestre et vélo ne pas manquer
de voire "le pont d'arc"merci a la municipalité de vallon pont d'arc pour cette aire
très agréable
04/04/2011 De passage début avril, très grande aire de stationnement et de plus en centre ville,
merci Vallon pont d'arc !!!
14/03/2011 Aire agréable, proche de la ville, marché le vendredi matin. Le restaurant "Le
Chelsea" mérite le détour, très bon et le patron "Martin" est très gentil.
Vallon Pont d'Arc se situe aux portes de l'un des plus beaux sites touristique de
France : Les gorges de l'Ardèche. Le célèbre Pont d'Arc, arche naturelle de plus de 30
mètres de hauteur creusée par la rivière Ardèche et classé Grand Site de France, lui a
donné son nom.
Ce village d'Ardèche est le carrefour du tourisme en Ardèche, de nombreux gites,
campings, chambres d'hôtes ou hôtels vous proposeront de passer un séjour
touristique à Vallon Pont d'Arc. Vallon Pont d'Arc est également un haut lieu de la
préhistoire et du tourisme culturel. C'est un petit village d'environ 2000 habitants
l'hiver, qui voit sa population décupler en été. Son Hôtel de Ville, un château
construit en 1639 sous Louis XIII, abrite sept tapisseries d'Aubusson figurant les
croisades, exposées dans la salle d'honneur. Depuis la découverte en 1994, de la
grotte ornée nommée grotte Chauvet Pont d'Arc du nom de son inventeur, et qui
renferme de nombreuses peintures rupestres, une exposition musée a été installée
pour répondre à la curiosité des touristes. Réalisée par les services du muséum
d'histoire naturelle, cette exposition retrace la vie des hommes préhistoriques qui
peuplaient les gorges de l'Ardèche il y a environ 35000 ans, date à laquelle ses
œuvres ont été dessinées sur les parois de la grotte. On peut y découvrir des
reproductions, des photographies ainsi qu'un film réalisé par les inventeurs. Vallon
Pont d'Arc est un passage obligé pour partir à la découverte des magnifiques
paysages de cette belle région. La réserve naturelle des gorges de l'Ardèche a été
créée en 1980 afin de préserver ce site exceptionnel. Du Pont d'Arc à St Martin
d'Ardèche, la rivière a creusée un profond canyon que l'on peut suivre en voiture par
la route panoramique surplombant les gorges sinueuses et ses falaises. Vous
trouverez dans son office de tourisme tous les renseignements concernant les
activités proposés, circuits pédestres, escalade, spéléo, baignade, descente de
l'Ardèche en canoë kayak, musées et grottes à visiter, mais aussi cabaret,
discothèques, bowling, mini golf, parcours dans les arbres, etc…C'est un village très
vivant, surtout l'été, avec en son centre de nombreux commerces, restaurants et
cafés avec terrasses, ainsi que ses marchés du vendredi matin et mardi en nocturne,
qui connaissent un gros succès. Chaque été de nombreux évènements y sont
organisés ; la fête de la lavande et depuis cette année la fête de l'olivier, les journées
de la préhistoire avec expositions, ateliers, conférences et projections qui se
déroulent sur une semaine après le 15 août, le marathon international des Gorges de
l'Ardèche. Les professionnels du tourisme auront plaisir de vous recevoir dans leurs
hôtels, restaurants, gites, chambres d'hôtes, campings et villages de gites et sauront
vous faire apprécier la qualité de vie à Vallon Pont d'Arc et ses alentours dans un
cadre remarquable.
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L'Hôtel de Ville; un château construit de 1630 à 1639 sous Louis XIII) abrite
sept tapisseries d'Aubusson figurant les croisades, exposées dans la salle
d'honneur. Le château, acquit par la famille Merle de Lagorce en 1748, fut
acheté en 1847 par la commune de Vallon pour 42 000 Francs.
La place couverte, place de la halle aux grains; c'est la plus ancienne place de
Vallon.
L'église Saint Saturnin; Selon la tradition, un seigneur de retour de la première
croisade fit construire une chapelle dédiée à Saint Saturnin sur une eminence
qui dominait la plaine de Vallon couverte de chênes. A la fin de la Guerre de
Cent Ans, les habitants du vieux Vallons vinrent s'installer autour de cette
chapelle. Cette chapelle fut remplacée par une église de style roman qui fut en
partie détruite par les protestants dès le début des guerres de religions. La
pratique de la religion catholique fut alors interrompue pendant 61 ans, de
1560 à 1621, jusqu'à l'intervention des troupes catholiques de Henri II de
Montmorency. Jusqu'au début du XIXe siècle, l'église était entouré de son
cimetière. Au milieu du XIXe siècle, la population catholique étant importante,
le conseil municipal fit construire, de 1862 à 1866, l'église actuelle, en partie
sur les fondation de l'ancienne.
Le temple protestant; Un premier temple exista entre 1601 et 1629 dans une
autre partie de la ville. Le temple actuel fut terminé en 1823. Il était alors au
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milieu des vergers et des vignes. Les immeubles cossus qui l'entourent datent
du milieu du XIXe siècle.
Raveyron - Le mas Gonthier; Ce hameau est mentionné au XIV et au XVe
siècles dans des reconnaissances paysannes et aux Estimes de 1464, était très
nettement séparé de Vallon jusqu'au XIXe siècle.
la place Armand Puaux, anciennement place du Verger; En 1773, la commune
acheta cet espace pour créér, hors les murs de la ville, un champ de foire.
La Grotte Chauvet est non visitable. Un site d'exposition, copie conforme de la
grotte, est ouvert au public qui peut ainsi découvrir les plus anciennes
peintures paléolithiques — 32 000 av. J.-C. — et les modes de vie de l'homme
de Cro-Magnon
Le musée de la Grotte Chauvet
Les Gorges de l'Ardèche
Le Pont d'Arc
La Réserve naturelle des Gorges de l'Ardèche
RUOMS
Tout d'abord, très recherchés par les juilletistes et aoûtiens,
les marchés : - hebdomadaire toute l'année, les vendredis matin, place de Général de
Gaulle. –
nocturne tous les mercredis soir, avenue de la gare, en juillet et août
Ruoms se situe à 25 km d'Aubenas, en direction des gorges de l'Ardèche, à 9 km de
Vallon Pont d'Arc. Pour s'y rendre, on peut aussi passer par les défilés de Ruoms,
route sinueuse parfois creusée dans le roc, qui longe le profond canyon des berges de
la rivière Ardèche. Les professionnels du tourisme auront plaisir de vous recevoir
dans leurs gites, campings, hôtels, restaurants, chambres d'hôtes et sauront vous
faire apprécier la qualité de vie au pays ruomsois dans un cadre remarquable. Ruoms
est un vieux village médiéval de caractère fondé à la fin du X ème siècle autour de la
Chapelle Notre Dame des Pommiers. Ses vieux remparts dotés de 7 tours rondes et
d'une église d'architecture romane, furent érigés au XIV ème siècle, lors de guerre de
cent ans. Le Pays Ruomsois est un pays de carrières, encore exploitées il y a
cinquante ans. La pierre calcaire de Ruoms a été utilisée pour la réalisation de
nombreux monuments et ouvrages d'art, dont le socle de la statue de la Liberté à
New York.
Ce fut aussi une petite citée industrielle avec ses
brasseries, fermées depuis 1967, la bière ayant été
remplacée aujourd'hui par le vin. C'est à Ruoms
que se trouve la plus grande coopérative vinicole,
les Vignerons Ardéchois. Petite ville très animée et
commerçante, surtout en été, son marché du
vendredi matin connaît un très gros succès.
Le deuxième dimanche d'août donne lieu au plus grand rassemblement de touristes
de la région autour de la fête du vin des Vignerons Ardéchois. Durant toute la journée
; défilé, dégustations de vins et de produits régionaux, marché et jeux se succèdent
pour terminer par un superbe spectacle gratuit le soir à la belle étoile. Depuis
plusieurs années, Ruoms dispose de son musée sur le vin ; Vinimage, situé au centre
du vieux village. A proximité de 4 rivières, l'Ardèche, la Beaume, la Ligne et le
Chassezac, Ruoms est le lieu de nombreuses activités, dont la baignade, la pêche et le
canoë kayak, mais aussi le point de départ de nombreux circuits de randonnées.
Labeaume
Vous pénétrez dans les contreforts des Cévennes. Le relief est accidenté, le paysage
aride, presque lunaire… Et d’un seul coup vous découvrez Labeaume, blotti contre ses
falaises millénaires creusées de grottes, oasis de fraîcheur se moirant dans les eaux
bleues de la rivière. Le regard prend alors toute la mesure de la volonté et de la force
de caractère qu’il a fallu pour apprivoiser la roche, cultiver la terre, l’irriguer.
Couleurs musicales
Sous le soleil exactement
Entouré de toutes parts de falaises, de rochers ruiniformes aux formes tourmentées,
le village déploie en amphithéâtre son labyrinthe de petits passages et de calades
étroites et tortueuses bordées de maisons rustiques en galets ou de belles demeures
à arcades et balcons couverts. Le rez-de-chaussée voûté servait autrefois de cave et
d’étable. La glycine et la vigne vierge courent le long des pierres. Une beauté toute
simple et pleine de poésie. Perché sur son rocher, le château veille jalousement sur
les habitations troglodytiques et le village du XIXe siècle.
En contrebas se découpent les vestiges du château vieux, très
ancien manoir, jadis propriété de la noble famille des comtes
de Labeaume. Le moulin seigneurial tient toujours debout, des
jardins suspendus se pelotonnent contre les falaises. Chacun se
retrouve et se salue sur la place du Sablas, au bord de la rivière,
à l’ombre des platanes centenaires.
L’air sent bon le thym, la sarriette et le laurier, le chant des cigales trouble le
murmure de la fontaine. L’église dresse fièrement dans le bleu azur du ciel son
surprenant clocher soutenu par d’immenses colonnes. Un étonnant pont submersible
défie les eaux capricieuses de La Baume. Longtemps les habitants vécurent de
l’industrie de la soie et de la culture de l’olivier. On aperçoit encore quelques mûriers
et d’anciens pressoirs. Calvaires et dolmens rythment la promenade. Loin du village
se niche le hameau de Chapias. Pendant la Révolution, deux abbés réfractaires
vinrent se réfugier ici. Ils firent le vœu de bâtir une chapelle. A quelques centaines de
mètres de là, une tour couronnée d’une vierge permet d’embrasser tout le paysage,
hérissé d’une vingtaine de clochers. On aperçoit toujours le “rocher des Curés” où les
deux abbés se cachèrent
SAINT ALBAN AURIOLLES
RD 208 Derrière le foyer rural
N 44.4283° E 4.30334°
15/04/2011 Endroit tranquille pour découvrir la région à vélo,à pieds ,tous commerces,la
coiffeuse ,le marchand de produits régionaux tous trés sympa,
Stationnement gratuit,services borne relais
16/08/2008 Nous y avons fait étape fin juillet. Ce lieu est calme, les services y sont aisés, le village
offre tous les services indispensables. Même par nuit d'orage (ce qui fut notre cas),
l'étape est agréable.
28/10/2006 De passage en septembre, j'ai trouvé cette aire triste. Avec les gravillons cela faisait
de la poussière. Mais bravo pour l'initiative de cette petite commune.
GROSPIERRE
Du latin "gurges petra" (gouffre dans la pierre), évoquant certainement la résurgence
vauclusienne de la "Font-Vive", source au pied du rocher portant les vestiges du vieux
village et de son château "Le Chastelas". A voir, la vieille chapelle de Nôtre Dame des
Songes et l'église romane. Les dolmens, le Tumulus de la Roche et la grotte du Goupil,
témoins de la préhistoire de la commune
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Résurgence vauclusienne de la Font-Vive
Chapelle Notre-Dame-des-Songes d'origine romane
Château du Chastelas (XIVe siècle)
Château de la Selve
Vieilles maisons de Comps, ruelles, portes anciennes
Village et camp touristique du Rouret