for immediate release - BSA Global Software Survey
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Contact presse : Elke Jeurissen, 0476/505454 La valeur des logiciels PC volés a presque doublé dans le monde depuis 2003 Dans les pays émergents, forte croissance du marché PC et taux de piratage moyen de 69% D’après une étude de la Business Software Alliance, 81 pour cent des utilisateurs d’ordinateurs jugent les logiciels légaux plus sûrs et fiables ; souvent, cependant, ils ne sont pas conscients de l’illégalité de leurs programmes Belgique, le 12 mai 2011. Selon l’étude 2010 Global Software Piracy Study de la Business Software Alliance (BSA), la valeur commerciale des logiciels sans licence installés sur les ordinateurs personnels en Belgique atteignait plus de 176 millions d’euros en 2010. Cela signifie que 25 pour cent des programmes déployés sur les PC durant l’année étaient piratés. À l’échelle mondiale, la valeur commerciale des logiciels PC illégitimes a augmenté de 14 pour cent en 2010, passant à plus de 44 milliards d’euros. Le chiffre a presque doublé en termes réels depuis 2003. Pour $100 de logiciels légaux vendus en 2010, $63 de produits sans licence sont arrivés sur le marché. L’essentiel de la tendance est le fait des économies émergentes, où le marché de l’ordinateur personnel s’étend plus rapidement qu’ailleurs. Le taux moyen de piratage s’élève à 26 pour cent dans les pays développés, alors que dans les marchés émergents, il atteint 69 pour cent. La moyenne mondiale du piratage se situe à 42 pour cent. Dans l’Union Européenne, le taux reste stable depuis 2003 (35 pour cent), avec une variation de 1 pour cent sur les 7 dernières années. Réalisée en liaison avec IDC, l’étude dresse le bilan du piratage logiciel dans le monde. La méthodologie fait appel à 182 sources de données discrètes, représentant 116 pays et régions du monde. « Comme la plupart des pays d’Europe occidentale, la Belgique connaît un taux de piratage stable (25%) pour la quatrième année consécutive. Mais cela représente encore 1 logiciel PC illégal sur 4. Les campagnes de sensibilisation régulières et les actions en justice sont nécessaires pour limiter les pertes de revenu des développeurs locaux et des partenaires de distribution », déclare Jacco Brand, Chairman BSA Benelux Committee. L’étude de cette année intègre une nouvelle dimension : un sondage Ipsos Public Affairs sur les attitudes et comportements sociaux des utilisateurs de PC face au piratage logiciel. Le sondage révèle un vigoureux soutien en faveur des droits de propriété intellectuelle : sur 10 personnes interrogées, sept déclarent vouloir payer les inventeurs pour leurs créations afin de promouvoir le progrès technologique. On note avec intérêt que le soutien à la propriété intellectuelle est le plus fort dans les pays où le piratage est intense. Toujours d’après l’étude, le public admet généralement qu’un programme avec une licence valable vaut mieux qu’un produit piraté, pour des raisons de sécurité et de fiabilité. Malheureusement, les méthodes d’achat courantes – acquisition d’une licence unique pour plusieurs machines, téléchargement sur un réseau de pairs – ne permettent pas toujours de savoir clairement si le logiciel ainsi obtenu est légal ou illégal. 1 « Des études menées en Belgique en 2007 ont montré que les acheteurs de logiciels pensent souvent : ‘Si je paie, c’est sûrement légal.’ En réalité, rien n’est moins sûr. La nouvelle étude rappelle que le client ignore souvent ce qui est légal ou non. Nous allons donc intensifier cette année notre effort d’information des utilisateurs professionnels sur ce point, » ajoute Brand. 1 Enquête sur le téléchargement illégal chez les jeunes, Karel de Grote Hogeschool, 2007. Voici quelques autres conclusions de l’étude : Dans la moitié des territoires étudiés en 2010, le taux de piratage atteint ou dépasse 62 pour cent. La moyenne mondiale se situe à 42 pour cent. Les économies émergentes conservent une place majeure dans le piratage des logiciels PC. Dans les pays en développement, le taux de piratage est 2,5 fois supérieur à ce qu’il est dans le monde développé. La valeur commerciale des logiciels piratés ($31,9 milliards) représente plus de la moitié du total mondial. Les avantages des logiciels légaux le plus souvent cités dans le monde sont l’accès à l’assistance technique (88 pour cent), puis la protection contre les pirates et les logiciels malveillants (81 pour cent). Souvent, les utilisateurs de logiciels pirates achètent un exemplaire unique pour l’installer sur plusieurs ordinateurs. En grande majorité, les utilisateurs de PC dans le monde croient que les droits de propriété intellectuelle et leur protection apportent des bénéfices économiques tangibles : pour 59 pour cent des personnes interrogées, ces droits profitent aux économies locales, et pour 61 pour cent, ils créent des emplois. « La nouvelle étude révèle que si le piratage reste une menace pour l’économie mondiale, le public réalise manifestement l’importance de la propriété intellectuelle, en particulier son rôle de moteur de la croissance économique », déclare Robert Holleyman, président et CEO de la BSA. « Le vol de logiciels étouffe l’innovation informatique, la création d’emplois et le développement économique dans le monde entier. Le rapport ne laisse aucun doute quant à la nécessité de sensibiliser les entreprises, les administrations et les usagers aux risques de ces pratiques, et de leur expliquer ce qu’ils peuvent faire pour y mettre fin. » FIN L’étude La ‘BSA Global Software Piracy Study’ de 2010 couvre la piraterie de tous les logiciels qui tournent sur les PC, y compris les desktops, les portables et les ultra-portables (dont les netbooks). L’étude porte sur les systèmes d’exploitation, les logiciels système (bases de données, outils de sécurité…) et les applications, ainsi que les logiciels gratuits légaux ou open source. Nouveau cette année : BSA a demandé à Ipsos Public Affairs de sonder plus de 15.000 entreprises et particuliers utilisateurs de PC afin de mieux connaître les attitudes et comportements sociaux liés à la propriété intellectuelle et à l’utilisation de logiciels avec ou sans licence. Les enquêtes ont été réalisées en ligne ou face à face, sur 32 marchés formant un échantillon global représentatif de la diversité géographique, informatique et culturelle. Pour plus de détails sur la méthodologie et le texte complet de l’étude, rendez-vous sur www.bsa.org/globalstudy BSA La Business Software Alliance (www.bsa.org) est le premier défenseur des intérêts de l’industrie logicielle dans le monde. Dans 80 pays, elle s’attache à développer les marchés tout en créant les conditions de l’innovation et de la croissance. Gouvernements et partenaires commerciaux attendent de la BSA des approches judicieuses face aux grands problèmes stratégiques et juridiques, conscients que les logiciels jouent un rôle critique dans le dynamisme économique et le progrès social de toutes les nations. Les entreprises membres de la BSA investissent chaque année des milliards de dollars dans les économies locales, dans des emplois solides et dans des solutions d'avenir qui apportent aux utilisateurs du monde entier productivité, connectivité et sécurité. On trouve parmi les membres de la BSA Acronis, Adobe, Apple, Asseco Poland S.A., Autodesk, Bentley Systems, CNC, Corel, Dassault Systèmes SolidWorks Corporation, DBA Lab S.p.A., LMS International, Microsoft, NedGraphics, Progress Software, Siemens, Symantec, Tekla et The MathWorks. Pour en savoir plus au sujet de IDC, rendez-vous sur www.idc.com. Pour en savoir plus au sujet d’Ipsos Public Affairs, rendez-vous sur www.ipsos.com.
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