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Erev Pessach 5771, Paris Précisions sur les Dinim de Pessah Dayan Jermiyahu M. KOHEN, Av Beth Din de Paris Rav de Adath Israel Paris 11ème PESSAH CACHER VESAMEAH A la lueur de nos sages Chers Amis, Nous sommes tous conviés lundi 18 et mardi 19 avril à deux soirées exceptionnelles dont nos familles sont les héros: le seder de Pessah 5771 Durant cette soirée si particulière, chacun revivra à sa façon la sortie d’Egypte, les enfants seront particulièrement mis en avant et tous prononceront avec entrain de nombreuses louanges pour remercier le Roi du Monde de nous avoir pris comme peuple pour l’éternité. Dans la première partie du séder, nous recouvrons les matsot puis, une coupe de vin à la main, nous chantons le verset « véi chéamda laavoténou vélanou etc. », ce que l’on peut rendre dans une traduction volontairement proche du texte par : ce qui nous maintient en vie-et a maintenu nos pères malgré tous les persécuteurs qui ont ourdi notre disparition-, n’est autre que le Saint Beni soit-Il, qui nous a sauvés de leur main à chaque génération. Mais que signifie réellement cette ordonnance de recouvrir les matsot avant de prendre le verre de vin ? La Torah accorde au pain un statut particulier : il sera toujours prioritaire dans les bénédictions sur les aliments. Dans le cas précis du kiddouch où il passe en second, on a pris l’habitude de le couvrir afin qu’« il ne voit pas l’affront qu’on lui fait subir ». Telle est la réponse la plus classique à notre question. Pourtant, il y aurait dans cette pratique ancestrale un sens beaucoup plus profond. La consommation de matsa est spécifiée par la Torah elle-même. Il s’agit donc d’un commandement intemporel, appelé dans le jargon talmudique une mitzva déoraïta. Alors que le kiddouch sur le vin repose « uniquement » sur un décret rabbinique, on parle d’une mitzva dérabbanan. Est-ce à dire que la parole des sages peut supplanter celle de la Torah ? Qui peut nier aujourd’hui que l’attachement inconditionnel du peuple aux lois édictées par les Sages, constitua la principale protection des juifs durant leurs différents exils ? Certainement pas nos amis historiens ou autres universitaires. La Torah, elle-même, enjoint à chaque juif de ne pas s’écarter d’un iota des paroles des Maîtres. Respecter à la lettre ce qu’ont enseigné les Géants de notre peuple serait d’après le Talmud la plus grande source de bénédictions. La triste prophétie décrite dans la Torah s’est rapidement réalisée : le judaïsme a survécu uniquement dans les endroits où la parole des Rabbins fut précieusement conservée et s’est douloureusement éteint dans les régions où l’on s’est dit mieux comprendre la Torah que nos Sages. En moins de trois générations, des mondes de Torah ont pu être engloutis. D… nous en préserve. Nous couvrons donc les matsot, dont la consommation est déoraïta, et levons notre coupe en suivant l’opinion des rabbins dérabanan. Ce faisant, d’après le Rabbi de Vourka azaken, de mémoire bénie, nous élevons au sens propre du terme la pensée des Maîtres des générations passées et c’est précisément cet acte qui nous fait tenir (véi chéamda) et a fait tenir nos pères devant chaque vague de persécutions. Cette fidélité sans faille a permis la survie du peuple juif durant le si long exil, dans lequel nous évoluons encore aujourd’hui. Cette confiance doit continuer à guider chaque jour nos pas face au foisonnement d’idées séduisantes et pseudo-novatrices qui emplissent la sphère publique. Ces concepts et leur promoteur respectif ne sont qu’une menace nouvelle pour notre peuple, qu’ils reposent sur des fondements matériels ou spirituels : « éla che béchol dor vador omedim aleinou lékhaloténou» comme le dit notre verset (ceux qui de générations en générations se tiennent devant nous, pour nous exterminer). Une fois encore, D… nous viendra en aide car sa bonté est infinie. Lors de la nuit du séder, d’un seul coeur nous renforçons les fondements de la tradition juive, dont nous acceptons l’héritage avec enthousiasme. Puissions-nous toujours porter avec fierté le flambeau de nos ancêtres pour éclairer nos pas. Que leur lumière soit ! Les Halachoth qui suivent viendront enrichir encore, je l’espère, notre attachement au Créateur et à nos Sages. Hag Sameah vécacher à tous. Rav Jermiyahu M. Kohen, Av Beth Din Paris. Dinim de Pessach Vente du Hamets 1- La Torah interdit à tout Juif durant la fête de Pessah de posséder du Hamets. Thériquement, il devrait être entièrement brûlé ou sorti de la maison hors de notre contrôle. Depuis à peine plus de 200 ans les Sages ont évoqué une solution pour éviter une perte d’argent : la vente du hamets à un goï. On peut distinguer 5 niveaux d’application pour se déposséder de son hamets, énumérés par ordre de piété : Sortir le Hamets de chez soi et le vendre au goï, avec un rachat possible au sorti de Pessah mais sans en poser les conditions au préalable (pas de tnaï). Consacrer un endroit fermé à clefs chez soi où le hamets sera rassemblé. On louera l’endroit à un goï et bien entendu on lui donnera la clef. Ceci était la façon de faire la plus répandue dans le monde orthodoxe d’avant-guerre. Ecrire un mandat au Rav, stipulant qu’il peut disposer librement de mon hamets dans tout endroit où il se trouve. Il faut absolument passer par un Beth Din qui assure la transaction d’après la règle stricte : quatre kinianim (agav karka, halipin, maot et hatser). La coutume voulait que l’on rémunère symboliquement le Rav pour « son rôle présumé d’avocat ». Ecrire un accord pré-rempli comme on trouve un peu partout aujourd’hui. Vous l’aurez compris, cette solution de facilité est loin d’être la panacée. Cyber-Vente en remplissant un formulaire de vente sur internet. La fibre du e-commerce a même touché Pessah… Ceci ne fonctionne que bédiavad. 2- Les personnes qui passent Pessah loin de leur habitation doivent prendre certaines précautions. Le lieu de leur villégiature peut se trouver sur un fuseau horaire différent de leur lieu de résidence et de fait le hamets peut se trouver en leur possession par inadvertance. En tout état de cause, ils ont tout intérêt à donner leur procuration de vente du hamets à partir de leur résidence habituelle. Recherche du Hamets 1- On vérifie attentivement les poches des costumes ainsi que celles des pantalons, là où on dépose le hamets par mégarde. N’oublions pas les bas de pantalon, véritable cache de hamets. Bien entendu on vérifiera les sacs et autres cases susceptibles de dépôt du hamets au cours de l’année. 2- La voiture sera bien nettoyée et débarrassée de toute poussière de hamets avant la recherche. Si elle reste au garage pendant la fête, elle sera vendue comme ustensile hamets. Consommation du Séder 1- Les matsot utilisées à Pessah doivent avoir l’aval d’un rabbin spécialisé en la matière maîtrisant les règles spécifiques de cette fête, yiré chamaïm et talmid hacham. On ne doit pas garder les matsot qui ont été utilisées toute l’année à la maison comme le hamets de crainte de les manger par mégarde pendant Pessah. Ne pas les laisser non plus pour un employé sous prétexte qu’il n’est pas juif. Il est préférable de lui donner de l’argent pour qu’il puisse manger en dehors de la maison pendant les huit jours de fête. 2- Pour les soirées du Séder il est recommandé de consommer exclusivement de la matsa «chmoura». La plupart des décisionnaires s’accordent à dire que seule la consommation de matsa chmoura nous acquitte de notre obligation du séder. Plus encore on cherchera à utiliser une matsa chmoura fabriquée à la main pour embellir la mitzva. 3- Chaque ben Israël doit s’efforcer à bien peser un kazaït de matsa pour accomplir la mitzva comme il se doit. Si on veut agir de façon méticuleuse, on consommera deux kazétim de matsa chmoura un pour le motsi et l’autre pour la mitzva de matsa. Pour rappel : le poids minimum d’un kazaït est 15g et 30g en moyenne d’après les décisionnaires. 4- Pour les verres de vin à boire pendant le Séder il ne peut y avoir moins de 86g (définition classique d’un kos) soit 8,6 cl. Certains possekim parlent de 100 et 120g quand le Hazon Ich va jusqu’à 150g, soit 15cl. 5- Les herbes amères ont été assimilées à de la salade. Il faut évidemment bien nettoyer la salade pour ne pas commettre une faute pendant l’accomplissement de cette mitsva. Les salades sont truffées de vers et autres insectes. Il vaut mieux utiliser la salade dans son coeur : plus blanche, plus facile à nettoyer et à digérer. On peut s’acquitter de cette mitsva par la salade dite « vitlof » ou endive ou mieux encore par de la laitue romaine. Dans tous les cas, une recherche méticuleuse s’impose. Sachez que cette année le Beth Din du Consistoire a repéré une marque de salade dont la chaîne de production réduit de façon drastique les risques d’infection d’insectes (tolaïm) si bien qu’une vérification ne serait pas nécessaire, behezkat naki. Cette salade sera commercialisée sous la marque « Salatov » par la société Primfruit à un prix plus que raisonnable. 6- Les communautés Achkénazes ont pris l’habitude ancestrale de consommer du raifort en lieu et place des herbes amères. D’autres préfèrent les deux. Acheter le raifort entier est préférable à celui pré épluché. Le non-juif qui a éventuellement épluché le raifort a peut être utilisé un couteau non cacher. L’amertume du raifort introduit l’interdit du couteau. C’est pourquoi il vaut mieux enlever un morceau de la largeur d’un doigt sur la longueur du raifort pour sortir de tous les doutes. Généralités 1- Il est interdit de profiter du hamets des goïm (assour béanaa). On entend par là également l’odeur d’une boulangerie durant la fête. A diffuser… 2- Les femmes sont soumises aux lois de Pessah dans leur ensemble. Il est vrai que ces lois positives limitées dans le temps auraient du être dispensées aux femmes. Mais un autre principe les soumet à cette loi. C’est le principe « quiconque est soumis à la loi négative de ne pas manger hamets, est soumis à la loi positive de manger Matsa », elles ont obligation de boire les quatre verres comme les hommes. On doit être vigilant sur ces points. 3- Les petites et petits qui atteignent l’âge de l’éducation (relatif à chaque enfant) sont soumis à toutes les règles et coutumes de Pessah. 4- A Hol Hamoed, mi-fêtes, il est permis de travailler pour éviter une perte ou pour sa propre subsistance. Il y a une étude d’un traité du Talmud « Moed Katan » qui explicite ces règles. Il ne faut pas marchander avec ces lois pour ne pas être considéré comme un « profanateur des solennités ». Rappel sur les produits permis et interdits pendant Pessah 1 - Les boissons Les bouteilles de soda et les eaux gazeuses posent problème. C’est pourquoi elles ne sont pas autorisées à Pessah, qu’elles contiennent des boissons simples ou alcoolisées. Toutes les boissons doivent avoir été fabriquées pour Pessah. Aucune boisson manufacturée sans le label « cacher lépessah » n’est autorisée. Les eaux gazeuses dans des bouteilles plastiques à utilisation unique, sont autorisées à être consommées à Pessah sans aucune surveillance particulière. Pour plus de détails consulter la liste des produits éditée par le Beth Din de Paris (cf www.consistoire.org). 2 - Les huiles Pour les communautés ashkénazes, toute huile tirée de produits « kitniot » est interdite à la consommation pendant Pessah, ce qui est le cas de la plupart des huiles commercialisées. Pour ceux qui consomment des kitniot, ils doivent savoir que la fabrication de ces huiles ainsi que leur transvasement d’un endroit à un autre doivent être soumis à une surveillance spécifique. Selon la plupart des décisionnaires, seule l’huile d’olive est acceptée pour Pessah. C’est aussi l’opinion du Peri Hadach. L’huile tirée des noix est également autorisée. Dans la liste des produits figurent les huiles sous surveillance rabbinique. 3 - Le lait L’habitude a été prise et c’est bien ainsi de ne consommer que le lait trait la veille de Pessah. Pour celui qui doit prendre un lait de vache trait pendant Pessah, il doit s’assurer que l’animal n’a pas mangé des produits hamets. Les bidons utilisés pour contenir ce lait doivent êtres bien spécifiés pour cette fête. 4 - Les produits cosmétiques Il faut faire attention à ne prendre que des produits qui ne contiennent aucun élément hamets, dans leur composition. Gare notamment aux liquides ayant une essence alcoolisée provenant d’un élément hamets. On doit également prendre garde aux dentifrices ou aux crèmes contenant des glycérines, interdites d’ailleurs durant toute l’année. 5 - Les médicaments Il faut consulter la liste des médicaments proposée par le Consistoire de Paris en allant sur le site internet : www.consistoire.org . 6 - L’eau Nous avons l’habitude de mettre un filtre spécial au robinet d’eau pour être certain que cette boisson est purifiée de tout élément extérieur interdit. 7 - Le sel Le paquet de sel hermétique doit être sous surveillance afin de s’assurer qu’il n’a eu aucun contact avec des paquets de farine. On peut compter sur les fabriques de sel pour les autoriser à Pessah. 8 - Le sucre Le sucre doit être sous surveillance rabbinique pour Pessah. Nous surveillons à l’usine le mode de fabrication. La matière qui blanchit le sucre notamment doit être surveillée à cause de la stéarine. On surveille aussi l’antiphoné, le sucre cristal (se rapporter à la liste). 9 - Les conserves Tout produit en conserve n’est pas autorisé pour Pessah, sauf celui qui est sous surveillance. Les compotes ou autres confitures même les plus élémentaires contiennent souvent des produits interdits pendant toute l’année. Il faut privilégier uniquement les produits surveillés. 10 - Le café Avant que les grains soient grillés, bien vérifier leur mélange à d’autres grains. Nous surveillons le produit pendant sa torréfaction et sa mouture (privilégier la liste) 11 - Le thé Vérifier que le thé est un produit frais sans ajouts de goûts divers pouvant contenir du hamets. Le thé doit être soumis à la surveillance rabbinique. 12 - Les épices Toute épice doit provenir de produit sous surveillance rabbinique pour Pessah. Sans ce label, leur consommation est prohibée. Certaines épices contiennent des éléments interdits même pour toute l’année, comme les agents antimottants. 13 - Les poissons Certains préfèrent acheter des poissons vivants pour pouvoir les surveiller sans restriction. Dans l’impossibilité d’en trouver sur le marché, vérifions la tête et la bouche. D’autre coupent cette partie haute du poisson et la jettent. D’autres encore ne mangent pas de poisson pendant Pessah pour éviter une consommation anodine de hamets. 14 - Les légumes Il est un bon usage de couper les légumes à la maison de telle sorte d’être certain qu’il n’y a eu aucun contact avec le hamets. Dans le cas contraire bien laver les légumes tranchés. 15 - Les légumineuses Les légumineuses pour ceux qui sont autorisés à les consommer, doivent êtres soumises à une surveillance particulière. On vérifiera s’il n’y a pas de mélange avec des produits interdits à Pessah. Les ashkénazes ne consomment pas ces produits, pour autant il n’est pas nécessaire de les vendre avec les produits hamets. 16 - Les noix On achètera uniquement des noix entières. Les décortiquées doivent être « cacher lépéssah ». 17 - Les fruits secs Ces produits ne sont pas autorisés à Pessah parce que certains sont mélangés à de la farine. Actuellement, on enduit ces produits d’huiles ou de graisse pour leur garder un aspect brillant. Préférer des produits sous surveillance. 18 - Les ustensiles On a pris l’habitude de vendre le hamets contenu dans les ustensiles de toute l’année. Attention à ne pas vendre les ustensiles de peur de refaire la Tévila, puisqu’ils vont être rachetés d’un non juif. A posteriori cependant, il est inutile de refaire la Tévila si cette vente fut réalisée par inadvertance. 19 - Les ustensiles en verre Préférer des ustensiles en verre neufs. Les verres usagés pourront être utilisés à condition de les remplir d’eau durant une journée entière, de verser cette eau, puis de les remplir à nouveau durant un autre jour de 24 heures, et de recommencer l’opération une troisième journée. L’eau utilisée doit être propre et on entend par jour vingt-quatre heures d’affilée. 20 - Les détergents On utilise les produits de nettoyage « cacher lépessah », ou des produits connus comme bons pour Pessah. Certains produits peuvent contenir des éléments hamets surtout les détergents utilisés avec les ustensiles de cuisine. 21 - Le savon Le savon doit être sous surveillance, qu’il s’agisse d’un produit vaisselle ou d’un savon corporel. Il existe dans le commerce des savons à base d’huile de coco ou de palme ou encore des savons synthétiques, cachers. 22 - Les brosses à dents Des brosses neuves devront être étrennées pour pessah. Les autres utilisées toute l’année contiennent assurément du hamets ramassé entre les dents. 23 - Cachérisation des ustensiles Les ustensiles qui sont cachérisables doivent être nettoyés de l’intérieur comme de l’extérieur, entre les anses et rester sans utilisation vingt-quatre heures avant utilisation pour Pessah. 24 - Micro-ondes Celui qui tient à le cachériser doit le nettoyer parfaitement. On y introduira un grand verre rempli d’eau. On mettra en marche le micro-onde jusqu’à ébullition de l’eau. Le plateau de l’intérieur qui sert de support doit être changé. Les éléments à chauffer pour Pessah devront être couverts d’un papier spécial. 25 – Le lave-vaisselle Celui qui tient à le cachériser doit procéder à un nettoyage méticuleux. Si le tiroir où l’on dépose la vaisselle est d’une seule pièce, il faut faire bouillir de l’eau puis placer une pierre chauffée à blanc à l’intérieur. On asperge les parois, porte comprise, d’eau bouillante en ajoutant la pierre brûlante. Enfin on met en marche la machine vide de tout ustensile. Un dernier rinçage et la machine est prête pour Pessah. 26 - Les éviers et les plateaux de travail de la cuisine On utilise de l’eau bouillante et une pierre chauffée à blanc. Puis on couvre l’évier d’une nappe en plastique posée à l’intérieur avec un trou pour l’évacuation de l’eau. Les ustensiles ne sont pas donc pas en contact direct avec l’évier. Tous les plans de travail de la cuisine seront recouverts de papier en aluminium. On fera attention de bien nettoyer les parties en porcelaine qui touchent les éviers et les plans de travail après les avoir lavés d’eau bouillante. 27 - Les jouets des enfants N’oublions pas de les laver ces jouets parce qu’ils ont été au contact du hamets pendant toute l’année. 28 - Les pots de fleurs Bien nettoyer les pourtours. Certains pots ont été au contact de céréales séchées, c’est du hamets dont il faut se débarrasser avant pessah. 29 - La cuisinière Il existe toute sorte de cuisinières différentes. On questionnera un Rav qui précisera un son mode de cachérisation pour chaque modèle. 30 - Les fascicules de chants du Chabbat et les Bircat Hamazone Leur usage a été durant l’année sur une table ayant servie du hamets, il vaut mieux soit les nettoyer, feuille par feuille, soit en acheter de nouveaux pour la fête. 31 - Aquarium La nourriture des poissons peut contenir du hamets. Il faut donc bien nettoyer l’aquarium et n’utiliser qu’une nourriture cacher lépessah. Autre possibilité : donner la quantité de nourriture avant pessah pour les huit jours durant sans oublier de vendre l’aquarium avec la vaisselle de Hamets. Nous ne garantissons pas leur état de santé. 32 - Téléphone C’est un outil que l’on utilise durant l’année pendant le repas hamets. Il se peut qu’il contienne des adhérences hamets. C’est pourquoi il faut bien le nettoyer. Les téléphones portables méritent également un vrai nettoyage.
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