Dossier de presse - Retour à l`Affiche

les Frères Taloche
mise en scène d’Emmanuel Vacca
14, rue de Trévise - 75009 PARIS
métro Grands Boulevards / Cadet
www.theatre-trevise.com
Reprise pour toute la saison
à partir du 3 septembre 2002 à 20h30
du mardi au samedi
RESERVATION : 0 820 800 400
(0,118 € ttc la minute)
FNAC, VIRGIN MEGASTORE, AGENCES
www.fnac.com
PRIX DES PLACES : 23,6 € - tarif réduit 20,3 €
Relations médias :
Brigitte Berthelot
01 46 26 32 06 / fax : 01 46 26 04 09
[email protected]
4, villa des Grimettes - 92190 Meudon
Momus Productions :
Françoise Maucq
01 45 01 68 15
Contact tournée
Jean-Luc Perret
03 26 40 20 00
www.taloche.com
www.taloche.com
Théâtre Trévise
les Frères
Taloche
Au Théâtre Trévise
à partir du 3 septembre
2002
à 20 h 30
Ils ont dit d’eux
Raymond Devos :
parrain du spectacle au théâtre Trévise.
“Les Frères Taloche, j’adore ... C’est la force
du geste, le geste poussé jusqu’à la caricature,
mais proprement... Ca se lie bien et c’est fort.
On a l’impression d’une succession d’images, c’est
comme les comiques américains, la violence
des images qui s’arrêtent.”
Gérard Oury :
parrain du précédent spectacle
“J’ai follement ri à des duos d’acteurs et même
à des solos comme, en son temps, le numéro
Cachard de l’extravagant M.W.C. Fields, sans parler
du Dieu Chaplin, de Buster Keaton, de Tati, des Marx
Brothers et aujourd’hui de Woody Allen.
Tous ces gens-là ne sont-ils pas des bienfaiteurs d’une
humanité triste parce que le monde tourne mal et que
les problèmes quotidiens nous serrent à la gorge ?
Alors, rire à gorge déployée - et c’est ce qui m’est
arrivé un soir de cafard au théâtre Caumartin
en découvrant deux extraordinaires jeunes belges
en vadrouille à Paris - quel merveilleux cadeau !
En fait de vadrouille, je me suis bien amusé dans
la vie avec Bourvil, de Funès et Montand, Pierre
Richard et Lanoux, Boujenah et Anconina,
j’en passe et des meilleurs.
Et voilà que m’arrivent en pleine figure deux types
étonnants, jonglant avec un comique visuel fort
et fin à la fois, doués d’une force de frappe
efficace et jamais vulgaire.
D’où venaient donc ces garçons ?
Ils cassaient la baraque, les Frères Taloche.
Je retournai plusieurs fois voir ce spectacle,
y emmenant ma famille et mes amis proches aussi
enthousiastes que moi.
Les gifles que vous assènent à tout va les Taloche ne
sont point en vérité des taloches mais des exocets
comiques qui font mouche à tout coup, et je suis
heureux d’être le parrain de leur spectacle . Bravo,
bonne chance et bon vent, les Taloche !”
Michel Boujenah :
“On peut penser que ce qu’ils font est facile !
Eh bien non. C’est formidable d’aller au bout du
burlesque sans jamais être vulgaire.
Ils sont vraiment drôles et en plus, tendres parce
que fragiles. Tout cela, madame, monsieur, c’est
les Frères Taloche.”
Jean-Claude Brialy :
“Trouvailles acoustiques, visages élastiques,
ces deux belges sont très drôles.
Leurs maîtres, les Marx Brothers, seraient heureux
de les reconnaître comme leurs enfants inspirés
et poétiques. Le burlesque sans bassesses !”
Emmanuel Vacca :
Metteur en scène de ce spectacle
“Les Frères Taloche forment un duo comique unique
d’une originalité surprenante.
Ni clown blanc ni Auguste, ils sont les deux
à la fois. Changeant de rôles au fil des sketches
aussi bien visuels que parlés, ils ont l’art de nous
entraîner irrésistiblement vers cette émotion universelle, sans âge et sans frontières : le rire, frais, vrai,
celui de notre enfance.”
les Frères Taloche
Bruno et Vincent sont frères en Belgique et complices sur scène.
Dans un spectacle éclectique dont les sketches, économisant les mots,
sont de véritables ballets, ils nous invitent à un voyage où le mime
musical, les numéros burlesques à la Buster Keaton ou à la Harold
Lloyd, s'enchaînent avec brio :
Les Sports, qui après une visite olympique dans différents pays,
se termine par un étonnant tableau de plongée sous-marine;
Chez Le Dentiste, les dialogues et le bruit perçant de la roulette
sont exprimés à coups de sifflets ;
Le défilé, qui se transforme en un strip-tease torride ;
Laurel ; pour un hommage tout en poésie ;
J'ai encore rêvé d'elle, la retranscription gestuelle de ce grand texte
philosophique de la chanson française, devenu leur tube.
Le succès se confirme, Les Taloche jouent les prolongations jusqu’en
mars 2001 où ils jouent à guichets fermés. Après une nouvelle tournée
francophone, ils reviennent au Théâtre Trévise, à 20h30, à partir
de septembre 2002.
Également le 3 Septembre 2002, sortie de la vidéo du spectacle en
DVD chez Universal Vidéo, enregistrée le 4 janvier 2002 au Théâtre
Trévise.
Liste des sketches (sous réserve de modifications)
1. Le matelas 2. Les sports 3. L'ascenseur 4. La brosse à dents
5. Ecole de braquage 6. Dessin animé 7. Les frites 8. Le dentiste
9. Laurel 10. Débat politique 11. J'ai encore rêvé d'elle 12. Le défilé
Les Taloche à la télévision
Après les Blancs-Manteaux, la Comédie Caumartin, la Pépinière Opéra,
une tournée en Suisse et en Belgique (40 000 spectateurs en 1999),
Les Taloche créent en septembre 2000, leur 3ème spectacle au Théâtre
Trévise, mis en scène par Emmanuel Vacca (alias ‘Ildebrando Biribo’),
avec la bénédiction de Raymond Devos qui a choisi de les parrainer.
Parallèlement à la scène, les Taloche collaborent depuis quelques
années avec la RTBF : leur dernière émission "Signé Taloche"
se classe dans les meilleurs taux d'audience en Belgique. Elle est aussi
diffusée sur TV5 et RTBF Satellite.
La presse a dit d’eux
(revue de presse du Théâtre Trévise 2000-2001)
Le Figaroscope - Jean-Luc Jeener
Le Parisien - Géraldine Thomas
Ils sont deux frères et ils se nomment Taloche.
(...) Leur comique, c'est celui du burlesque
mais un burlesque mâtiné de douceur, de poésie,
voire de psychologie. (...) Et le premier sketch,
en ce sens, est admirable : un grand lit qui bouge
de la cour au jardin et un dormeur aux membres
gigantesques qui s'étire, s'étonne, se fait peur.
Il récupère de temps en temps ses membres avec
une jubilation de bien portant. Les deux frères
ne sont qu'un seul et il naît de cela quelque chose
de vraiment fort.
Les Taloche n'aiment pas causer pour ne rien dire
et on n'entend que bien rarement le son de leur
voix. Bref, ils font souvent dans le muet et ça
pourrait lasser. Mais quelle présence, quel talent,
quelle précision dans les gestes. Ce spectacle,
on le sent bien, est très travaillé.
Ce n'est pas la moindre de ses qualités. L'autre
soir, au Trévise, la salle était en joie. Moi aussi.
Délirants, épatants et surtout bourrés de talent,
les Frères Taloche réussissent chaque soir un coup
de maîtres sur la scène du théâtre Trévise, devant
une salle complètement hilare, de la première
à la dernière minute de spectacle.Frères à la ville
et complices sur scène, les Taloche - qui sont
de véritables stars en Belgique, leur pays
d'origine - ne ressemblent à personne et c'est
sans doute ce qui fait leur force. Parrainés
par Raymond Devos, le maître des mots, ils offrent
cependant un spectacle qui fonctionne à merveille
sans paroles, ou presque, nous ramenant aux grandes heures du cinéma burlesque. Si l'on
ne peut s'empêcher de repenser à Laurel et Hardy,
Buster Keaton ou encore Jacques Tati, les Frères
Taloche ont pour tant un st yle très personnel
oscillant entre le mime, la comédie, le cirque et la
danse. Avec ces deux personnages surréalistes qui
semblent sortis d'un cartoon de Tex Avery, on ne
s'ennuie pas. Leurs sketches, tous aussi tordants
les uns que les autres, se suivent sans jamais
se ressembler.
(...)
Irrésistibles, les Taloche multiplient les genres
et les talents et nous conduisent, vitesse grand V,
dans leur univers où tout n'est qu'humour,
tendresse et poésie. Un petit monde terriblement
drôle et émouvant.
VSD - Béatrice Bon
Les Frères Taloche, parrainés par Raymond Devos,
sont la révélation comique de cette année.
Leur spectacle est fondé sur le burlesque, le mime
de Buster Keaton et de Charlie Chaplin.
Les deux belges tournent en dérision l'actualité
et la chanson. Leur chorégraphie sur le tube
«J'ai encore rêvé d'elle» est hilarante.
Zurban - Jean-Philippe Card
France-Soir - Caroline Pouzet
Les duettistes belges partent à l'assaut du public
parisien. Économie de mots, mimiques élastiques :
on n'est pas si loin de l'univers de Marcel
Marceau. Quelques sketches savoureux :
un défilé dérapant vers le strip-tease improvisé,
une représentation visuelle de la chanson
«J'ai encore rêvé d'elle»... Raymond Devos,
parrain du spectacle, ne tarit plus d'éloges sur
le talent des frangins : "La force du geste, poussé
jusqu'à la caricature, mais proprement..."
Si le maître le dit...
Difficile de caser les Frères Taloche dans un genre.
Avec eux, l'humour par t dans tous les sens.
Mais sans trop de bruit. Dotés d'un physique élastique, Bruno et Vincent se révèlent des as
du mime, des pros du sketch gestuel et de l'économie de mots. Inutile d'entrer dans les détails :
il faut le voir pour le croire. Leur spectacle est un
régal d'éclectisme où s'enchaînent les baffes
monumentales et les moments de pure poésie.
Que ce soit burlesque ou sentimental, on apprécie
sur tout leur talent pour amuser sans aucune
vulgarité, ce qui se fait rare.
(...)
La presse a dit d’eux
(revue de presse du Théâtre Trévise 2000-2001)
Le Figaro Magazine - Jean-Luc Jeener
Fluide Glacial - Yves Frémion
D'abord, il y a le physique, dans le spectacle, c'est
important. Deux frères qui se ressemblent sans
vraiment se ressembler, avec des gueules, des
vraies, des bouches, notamment, qui font merveille
sur l'affiche. Ils sont belges et leur précédent
spectacle avait fait un malheur. Celui-ci récidive,
avec Devos pour parrain. C'est du mime, du sketch,
de l'acrobatie, du numéro de clowns, presque
de la danse, à peine du texte, et l'ensemble toujours hilarant.(...)
C'est simplement un des spectacles les plus drôles
depuis des années dans la capitale (...).
L'événement - Pascale Courtin
(...) Un spectacle comique, intelligent, sympathique, rafraîchissant, à voir à tout âge ; par exemple, les mille et une manières d'endormir un bébé
: un délice d'invention.(...)
C'est un véritable voyage à remonter le temps,
un retour vers notre enfance, où tout était prétexte à jeu, un bout de bois devenait épée de chevalier, une boîte en carton, un coffret à bijoux.
Une merveille de loufoquerie.
Pariscope - Marie-Céline Nivière
(...) et puis le meilleur où, collés l'un à l'autre
dans une gestuelle pour "mal comprenant", les
Taloche nous retranscrivent ce grand texte de la
chanson française "J'ai encore rêvé d'elle" du
groupe "Il était une fois".
C'est la cerise sur le gâteau, le feu d'artifice,
le clou du spectacle, vous pleurez à chaudes larmes de rire, on crie grâce, on trépigne et on en
redemande. Préparez vos mouchoirs et courez les
voir.
Ils sont deux, ils sont frères et ils sont bourrés
de talent. Ils s’appellent Taloche, sans doute
par amour du risque : pour inciter les journalistes
critiques à intituler leur papier “à gifler”. Mais des
gifles, on n’a pas vraiment envie de leur en donner
! Dans la petite famille des comiques, nos deux
bonshommes sont d’une race à part : rien au-dessous de la ceinture, un travail au cordeau, aucune
complaisance pour le fonds de commerce habituel
des humoristes. C’est rafraîchissant et très professionnel. Ce qu’il y a de fort, c’est que les deux frères jouent d’une ressemblance qu’ils n’ont pas. Le
premier sketch, en ce sens, est une véritable
anthologie : un dormeur gargantuesque, aux membres qui n’en finissent pas, tente de se réveiller.
Ce dormeur, ce sont les deux frères réunis en un
seul, un étrange géant en souffrance de son corps.
L’impression est magique. Ils n’ont pas le même
visage
pour tant,
ni
la
même
taille,
l’un est plus râblé que l’autre, plus populaire, l’autre est encore joli garçon (ils ne sont plus très
jeunes). Et pourtant, on y croit. Les Frères Taloche
font dans le burlesque comme les poissons vivent
dans l’eau. Mais un burlesque psychologique, cohérent, qui touche la métaphysique. C’est un régal
d’intelligence et de précision. Des comiques qui
vous grandissent, ce n’est pas si courant, non ?