Consulter
Transcription
Consulter
Confé érence Nationa N ale sur le e Comm merce Ex xtérieurr Palais des d Nattions - Club C des s Pins – Alge er, les 3 30 et 31 1 mars 2015. 2 So ommaire Co ommerce extérieur e : La nécessité d’une vission claire soulignée aavec insisttance source El Mo oudjahid 2 P.2 Co ontribution de M. Issaad REBRAB B, Présiden nt du u Groupe Cevital C “Production nationalee et exportation e n’’ (so ource Liberrté) P.7 7 Isssad Rebrab b à proposs de la pro omotion de es ex xportations : «Il faut une volonté po olitique» (source El W Watan) P.10 0 Exportatiions : Lam mamra veu ut mettre « «la diplom matie au se ervice des entreprise es» (source El Watan n) P.11 1 Algérie: d des mesurres pour un ne meilleu re maîtrise e du comm merce exté rieur prévu ues dans la LFC 2015 5 (source aps) a 2 P.12 L'intégrattion région nale, une des d pistes p pour diversifier les exportation s algérienn nes (source aps) 3 P.13 Clôture d de la confé érence natio onale sur lle commerce extérieu ur (source Horizons) P.14 4 Conféren nce nationa ale sur le commerce c eextérieur (source l'É Éconews) La diverssification de es exportations, une urgence P.16 6 1 Source jjournal: El E Moudjah hid mercred di 01 avril 2015 Comme erce extérrieur : La nécessité n é d’une vis ision claire re souligné née avec insistance in e Des co onventions de coopé ération et d’assistan nce ont été signées avec le CCI, IAMM, l’UE et prrochainement avec le PNUD. n de promootion du commerce Une st ratégie nationale ur, le renfforcement des instruuments d’’appui à la extérieu promoti on du co ommerce extérieur e eet, l’améliioration de l’environ nnement de d l’acte d’exporter sont les principaux axes q ui ont co onstitué l’assise auux recomm mandation ns restituéees, hier, en e plénière e, par les ateliers mis en place en marge e de la con nférence. Lesquelle es recomm mandationss sont censsées orienter la stratégie envi sagée en matière de régulatio on et de ré éorganisatio on du com mmerce exttérieur et de d cadragee de l’acte d’exporterr. on qui demeure d ttributaire de chang gement dde mentalité et de Une recconfiguratio comporte ement, ma ais beaucou up plus, d’’une vision claire de la l démarchhe préconisée dans le cadre de e cette nou uvelle orien ntation. Un ne nécessité d’ailleurrs soulignéée, aussi bien b par le es experts q que les ch hefs d’entrreprises lo ors des intterventionss qui ont marqué la a deuxième journée d de la confé érence. Le présid dent du CN NES qui a inauguré i laa séance a indiqué que q « le chhangementt de régime de croisssance orienté sur la diversificaation écon nomique, hors h hydroocarbures, dégagean nt une vale eur ajouté ée dépend étroitemeent du dév veloppeme ent de l’éllément hu umain.» M. M Mohamed d Seghir Babès B s’estt prononcéé en faveu ur d’un « hub » pouur canalise er le savoirrfaire. Aussi, le préssident du CNES C a afffirmé que l’Algérie « a les ingrrédients po our occupe er venir « une e plateform me incontou urnable de es une posittion géostrratégique, en Afriquee », et dev échangess dans la région Euro o-Med ». Le présid dent de l’Ag gence nationale de p promotion des d exporttations (Annexal) a, po our sa partt, mis en avant less contraintes admin nistratives et financ cières au développe ement de es exportatiions hors hydrocarrbures tou ut en plaidant pou ur « une approche modulaire concerna ant les exp portations ». » M. Ali B Bey Nasri pointera, p ainsi, du dooigt la réglementation relative au change e qui pén nalise l’exp portateur au titre du d délais dde rapatriement de es ait, dans b bien des ca as « l’expo ortateur nee peut fairre valoir sa recettes d’exportattion. En fa bonne fo oi devant le e juge ». 2 « Il faut extraire de la loi le délai de rapatriement comme étant une infraction aux règles de changes car les incidents de paiement existent de par le monde. » Le président de l’Anexal plaidera, par conséquent, la nécessité de rassurer l’exportateur. M. Ali Bey Nasri dira également ce besoin, « d’aller vers les pré-requis à commencer par la dépénalisation de l’acte d’exporter. » Dans le même ordre d’idées, il a déploré le retard enregistré dans l'installation du Conseil national consultatif de la promotion de l'exportation et les blocages résultant de la réglementation encadrant le régime douanier de l'admission temporaire ainsi que l'obligation de solliciter un accord préalable de la Banque d'Algérie. M. Abderrahmane Benkhalfa, expert, a abordé le thème inhérent au « développement des instruments de financement adaptés pour accompagner les entreprises exportatrices » pour dire l’importance « de l’aspect financier de l’acte d’exporter qui reste essentiel » étant donné que le premier risque frontal pour l’exportateur réside dans le risque », a-t-il souligné. « Aussi, le préfinancement doit être financé, sur une période courte ou moyenne », de même qu’il faille « mobiliser les créances nées sur l’étranger ». Au registre des propositions, l’intervenant a également suggéré que « les banques s’organisent pour offrir à leurs clients l’origine du contrat de crédit à moyen terme », et que les crédits de prospection soient couverts par les banques. » M. Abderrahmane Benkhalfa a insisté, par la même occasion, sur l’intérêt à ce que « la relation banque/Cagex soit huilée », dans le sens que la « banque doit relayer la Cagex par des crédits de trésorerie ». La gestion et la couverture du risque lié au change est l’autre aspect sur lequel insistera l’intervenant. En définitive, la banque doit « accompagner, l’exportateur, l’écouter, l’orienter, l’informer et le conseiller », indiquera M. Abderrahmane Benkhalfa qui dira la nécessité de réviser la loi pénalisant le manquement au rapatriement des produits de l’exportation. L’intervention du directeur général de la Compagnie algérienne d'assurance et de garantie des exportations (Cagex), M. Djilali Takiret, ne sortira pas de ce contexte puisqu’il a mentionné les contraintes qui découragent les opérateurs économiques à aller vers les marchés internationaux, notamment celles résultant de la législation des changes qui malgré l’existence d’une assurance qui garantit le rapatriement des fonds à la faveur de l’ordonnance 96-06, sera suivie d’une autre ordonnance n°96-22, laquelle sanctionne l’exportateur qui ne rapatrie pas ses fonds dans les délais, de peines de prisons, d’amendes lourdes et d’interdiction d’export. Une véritable contradiction entre deux ordonnances est relevée à ce niveau par ce responsable. 3 Optimiser l’offre exportable La conclusion tirée des analyses et constats présentés lors de la conférence nationale sur le commerce extérieur est que l’Algérie ne s’est pas dotée d’une vision stratégie à l’export, un facteur supplémentaire qui concourt à la vulnérabilité et à la fragilité des équilibres macro-économiques du pays étant mono-exportateur et à économie essentiellement dominée par les hydrocarbures. Le constat ressort que toutes les mesures prises jusque-là pour contribuer à la diversification et la promotion de notre économie hors hydrocarbures n’ont pas eu les effets escomptés. Les experts réunis à cette conférence, qui devra mettre en place les rudiments d’une réelle politique d’exportation, ont été unanimes à dire la nécessité d’identifier, comme première action, les filières à fort potentiel à l’export à même de cibler les projets d’investissements à engager, en priorité, et en définitive, optimiser l’offre exportable, en quantité et en qualité, les normes étant une exigence première pour placer les produits nationaux sur les marchés extérieurs, notamment dans l’UE qui reste intransigeante sur ce point. Les experts ont également souligné l’importance de la gouvernance économique, l’amélioration de la compétitivité des entreprises à travers la mise à niveau et le développement humain. Aussi, les propositions sont allées vers l’introduction de mesures de facilitation au profit des entreprises projetées dans l’exportation. La législation n’a pas été en reste puisqu’elle fera l’objet de propositions de révision à tous les niveaux d’intervention (banques, douanes, administration) pour faciliter les opérations d’export. A ce titre, le rôle des banques a été particulièrement évoqué tant elles constituent l’interface entre l’exportateur et le marché extérieur, et un acteur accompagnateur indispensable pour l’aboutissement des actions d’exportation. Des préoccupations que le ministre s’est engagé à prendre en charge en annonçant que la nouvelle stratégie du commerce extérieur devra tirer son ancrage de la cohérence entre les politiques sectorielles et celle du commerce extérieur. Aussi, les conventions de coopération et d’assistance signées avec le CCI, IAMM et l’UE (P3A) et prochainement avec le PNUD devraient concourir à améliorer le volet technique inhérent à l’acte d’exporter. D. Akila 4 L'intégration régionale, une des pistes pour diversifier les exportations algériennes Des représentants d'organisations internationale et régionale spécialisées ont considéré, hier à Alger, que la diversification des exportations algériennes doit passer par l'intégration régionale maghrébine, arabe et africaine. Intervenant à la Conférence nationale sur le commerce extérieur, un représentant du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Khalifa Tounakti, a estimé que l’intégration de l’Algérie dans ces trois zones régionales, où les échanges commerciaux du pays restent très réduits, représente un atout pour développer le potentiel économique non exploitable de l’Algérie. Pour cet expert, cette option permet de contourner le problème de la difficulté d’exportation vers le marché européen qui est, a-til avoué, "exigeant" et "très concurrentiel". Néanmoins, a relevé le représentant de cette agence de l'ONU, le succès de cette vision est tributaire non seulement du développement des infrastructures et structures logistiques mais aussi de l’engagement de "profondes réformes" permettant de fructifier les avantages compétitifs du pays. Il a aussi préconisé de promouvoir la coopération économique à travers la conclusion d’accords bilatéraux régionaux favorisant notamment l’exportation. De son côté, l’expert de la Banque africaine du développement (BAD), Hervé Lohoues, a noté que la diversification du commerce extérieur, qui constitue une priorité pour l’Algérie, est en ligne avec la stratégie de cette banque du continent tracée pour la période 20132022. Cette stratégie, a-t-il expliqué, mise sur l’intégration économique africaine comme un véritable levier de développement pour les pays de la région grâce au potentiel de leurs complémentarités. Selon lui, cette intégration peut permettre à l’Algérie de jouer un rôle d’intermédiaire entre l’Afrique et l’Europe grâce à sa position géographique stratégique. A rappeler que la nécessité de s’orienter vers le marché africain a été implicitement évoquée par le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, qui avait plaidé, lundi, lors de son intervention à cette conférence, pour un redéploiement du commerce extérieur de l’Algérie vers les pays émergents et en voie de développement pour pouvoir "réaliser le potentiel propre de l’Algérie". D’autres intervenants ont plaidé, hier, pour le développement des instruments de financement adaptés pour accompagner les entreprises exportatrices en introduisant de nouveaux produits financiers destinés à accompagner l'activité d'exportation. Ils ont également appelé à l'installation des guichets à l’exportation au niveau des banques et établissements financiers pour accompagner les exportateurs. 5 La feuille de route du gouvernement L’idée directrice qui ressort du discours du Premier ministre, M. Abdelmalek Sellal, lors de cette conférence nationale sur le commerce extérieur se veut une définition des règles du jeu, une identification des actions à engager pour la diversification des exportations hors hydrocarbures et une meilleure présentation de l’offre. En clair, une mobilisation de toutes les potentialités du pays pour la promotion de la production nationale et la relance réelle et effective d’une économie génératrice de richesses et créatrice d’emplois. Le ton est donné pour la remise à niveau du tissu industriel et la motivation des opérateurs privés pour s’intégrer, grâce aux formules de partenariat, dans ce vaste et immense marché mondial soumis exclusivement aux paramètres de la rigueur et de l’efficacité, de la qualité et de la productivité, de la concurrence et de la compétitivité. Une prise de conscience certaine est relevée au niveau du gouvernement qui œuvre à l’assainissement de l’environnement d’affaires en brisant tous les tabous par l’amélioration des conditions de développement de l’entreprise nationale publique ou privée. L’organisation de cette manifestation économique intervient à la suite d’actes accomplis par le département de l’industrie et des mines au profit des opérateurs aujourd’hui plus que jamais persuadés de l’ effort de redressement, convaincus de la volonté politique affichée par le Président de la République quant à la reprise impérative d’un appareil économique jusque-là caractérisé par la faiblesse de la diversité des structures de production et d’exportation et de l’intégration aux chaînes de valeur mondiale d’une part, et dépendant en majorité des ressources des hydrocarbures. Accords de partenariat, développement de plusieurs types d’industrie particulièrement dans l’automobile et la sidérurgie, extension et création de nouvelles zones industrielles, une véritable course contre la montre est livrée pour rendre une économie nationale compétitive et attractive au plan international dans la perspective de valoriser, voire de percevoir une notion d’exportation. Les ambitions manifestées pour occuper le marché africain et arabe incitent à l’optimisme et interpellent le commun des acteurs et partenaires à œuvrer dans le sens de cette stratégie nationale qui a le mérite de se consacrer à l’essentiel, c’est-à-dire à la force du travail et à l’esprit d’innovation, d’imagination et de créativité des opérateurs nationaux balayant, de facto, le pli de la dépendance d’un secteur pétrolier au caractère précaire et révocable. De grands défis sont à relever à la suite de la tenue de cette conférence dont les résolutions constitueront une feuille de route ou un carnet de bord à suivre pour arriver à destination… A. Bellaha 6 Source jjournal: Liberté L 01 avril a 2015.. Contribu bution de M. M Issad REBRAB, R Présiden nt du Grou upe Cevita tal “Produc ction natio onale et exportatio e on’’ du group Issad Rebrab, R président p pe Cevital.. ©Zehan ni/Liberté on de Ce evital exp plique que e l’Algérie e peut de evenir un n pays ex xportateu ur Le patro pour pe eu que ce ertaines condition c ns soient réunies et e que la a volonté é politique e existe. Pour exp porter, il fa aut d’abord d produire en quantiité et en qualité q des produits compétitifs c s. Quand le es produitss regroupent ces deu ux qualités, il n’y a aucun probblème à less placer su ur le march hé internattional. Avant tout invvestisseme ent, il faut préalablem ment faire une étude de march hé : - analyse er les coûtss ; cherche er des avan ntages com mparatifs p par rapportt à ses concurrents innternationa aux ; investirr dans une taille critiq que afin dee réduire le es charges fixes ; investirr dans des équipements et des technologies de dern nière géné ration ; investirr dans la fo ormation du personneel et la transmission de compéttence ; réduire ses coûts logistiquess. amental. Ce C ne sonnt pas seu ulement le es Le choixx du lieu de l’investtissement est fonda entreprisses qui doivvent être compétitive c es mais aussi le pays. Un produ uit peut êttre compéttitif au niveeau d’une entreprise e mais pass au niveau u d’un payys pour dess problèmes portuaire es. À titre d d’exemple,, je peux vous citer uun cas conccret : 7 Cevital peut exporter plus d’un million de tonnes de sucre blanc par an, mais elle n’en exporte que 500 000 tonnes/an parce que tout simplement le port de Béjaïa est saturé et nous n’arrivons pas à faire accoster tous nos bateaux à l’export. La rade nous cause des surcoûts de fret et des surestaries. On avait demandé à construire notre propre quai. Le gouvernement, à l’époque de Belkhadem, nous avait donné l’autorisation et quelque temps après Amar Tou, ministre des Transports, avait remis en question la décision du gouvernement. Faire passer notre pays du stade d’importateur au stade d’exportateur dans plusieurs secteurs d’activités et pour des milliers de produits est à notre portée. Faut-il, toutefois, qu’il y ait une volonté politique ! Cevital a fait passer notre pays du stade d’importateur au stade d’exportateur dans plusieurs activités et plusieurs produits tels que : - les huiles végétales raffinées ; • le sucre blanc (50% pour couvrir les besoins nationaux et 50% pour l’export) ; • le verre plat et ses dérivés (30% couvrent les 100% des besoins du pays et 70% sont exportés). Elle compte le faire aussi pour les fenêtres double vitrage et l’électroménager dès l’année prochaine. Pour l’électroménager seulement, Cevital compte exporter pour plus de 1,5 milliard de dollars par an dans les deux prochaines années. Je peux citer plusieurs exemples où on peut faire encore mieux et exporter pour plusieurs milliards de dollars hors hydrocarbures tout en réduisant nos importations. • Aujourd’hui, l’Algérie importe les 100% de ses huiles végétales brutes et de ses tourteaux de soja pour un montant de 1,5 milliard de dollars par an. Nous avons un projet réalisé à 50% depuis dix ans qui doit non seulement couvrir les besoins du pays mais dégager plus de 1,5 milliard de dollars à l’export. Mais le projet attend toujours l’autorisation pour son achèvement. • En attendant la mise en production de Samha 2 qui doit créer 7 500 emplois et produire près de 10 millions d’articles électroménagers par an dont 90% destinés à l’exportation, nous avons sollicité une autorisation au mois de décembre dernier du ministère de l’Industrie pour importer une ligne de production de machines à laver à 70% neuves appelée à produire immédiatement 500 000 machines à laver destinées au marché européen. À ce jour, nous attendons toujours l’autorisation. • Nous avons un projet dans la pétrochimie qui pouvait fournir de la matière première compétitive à plus de 3 000 PMI algériennes qui peuvent toutes être exportatrices. 8 Malheureusement, après plusieurs passages au CNI, notre projet n’a toujours pas vu le jour. • Le projet de Cap 2015 de Cap Djinet qui devait dégager plus de 35 milliards de dollars à l’export tout en couvrant les besoins du marché national n’a jamais été autorisé. C’est pourquoi j’en conclus que ce n’est pas un problème technique, mais un problème de volonté politique. Quand il y a une volonté politique, les problèmes techniques sont faciles à résoudre. Lors du dernier Africa Ceo Forum de Genève, le Premier ministre de la Géorgie nous a déclaré qu’il a fait passer son pays de la 108e place mondiale à la 9e place en moins de quatre ans pour les facilités des investissements. Il a déclaré que “les réformes doivent être radicales, profondes et rapides”. Si la Géorgie l’a fait, pourquoi pas l’Algérie ? Notre pays a tous les moyens de diversifier son économie, de créer le plein emploi, de développer ses exportations hors hydrocarbures jusqu’à dépasser nos importations et ne plus dépendre des hydrocarbures pour peu que la volonté politique libère et encourage toutes les initiatives créatrices d’emplois et de richesses. En 2025 — et c’est demain —, l’Algérie atteindra, voire dépassera, les 50 millions d’habitants. Nous consommerons plus de gaz, plus d’électricité et plus de carburants issus des hydrocarbures qui viendraient en déduction des quantités exportées aujourd’hui. Nous aurons plus de 10 millions de nouveaux demandeurs d’emploi et serons en cessation de paiement avec toutes ses conséquences. Si des décisions appropriées et immédiates ne sont pas mises en œuvre, ce sera le chaos. I. R. Allocution prononcée par M. Issad Rebrab, lors de la Conférence nationale sur le commerce extérieur tenue les 30 et 31 mars 2015 9 Source jjournal: El E Watan 01.04.15 Par: Rou umadi Melissa Issad R Rebrab à propos p de e la prom motion dess exporta ations : «I «Il faut un ne volonté té politiqu ue» Invité à la conférrence nattionale su ur le comm merce exttérieur, le e patron du d groupe e privé Ce evital, Iss sad Rebra ab, n’y estt pas allé é par quattre chemi ns pour évoquer é la a nécessitté de réfo ormes pro ofondes e et radicale es. Réagissa ant aux ap ppels en faveur f de plus de fa acilitation aux a exporttateurs, M. M Rebrab a estimé q que pour exporter, e il faut d’ab bord produ uire en qu uantité et en qualité é pour être compétittif. Il conssidère, ce ependant, que l’on peut être e compéti tif à l’éch helle d’une entreprisse, mais pa as au nivea au d’un payys. Et c’est tout le nœ œud du problème p p atron de Cevital C qu ui a indiqu ué, tout en pour le pa exposantt les obsttacles entrravant l’acctivité des exportate eurs algérriens, que le groupe dispose d de capacittés pour l’e exportation n d’un million de ton nnes de suucre, maiss n’en vend d que la m moitié à l’étranger, en raison de la saturattion du porrt de Béjaïaa et de l’im mpossibilité é, pour lui, d’y faire accoster sess bateaux à l’export. M. Rebra ab a égalem ment consiidéré que ssi l’on veutt aujourd’h hui faire paasser le pay ys du stade d’importa ateur à celui c d’exp portateur d dans plussieurs activ vités, il fa faudrait d’’abord une «volonté politique !» Or, ce patron seemble croire que la démarchee actuelle pèche pa ar manque de volonté é. Il en ve eut, pour eexemple, le es projets que son ggroupe matture depuis de nomb breuses an nnées pourr substitueer les expo ortations aux a importtations dans diverse es filières, ccomme l’a agroalimentaire, la p pétrochimie e, ou enco ore le proojet Cap-2015 et qu ui attenden nt toujours l’aval des autorités. Issad Rebrab estim me dans ce sens que l’Algérie a les moyen ns de «diveersifier son n économie e, de créer le plein em mploi, de développer d r ses exporrtations hors hydrocaarbures (…), pour peu que la vo olonté polittique libère e et encou urage toute es les initia atives créattrices d’em mplois et de richessess». A ce sujjet, le pattron du grroupe Ceviital dévelo oppe une vision qui ne s’arrête pas aux urgencess à court te erme et à la fébrilité induite pa ar la baisse e des courss du brut. Il a indiqué qu’il y a urgence,, car en 2025, 2 l’Alg gérie atteindra les 50 5 millionss d’habitants. «Nous consomm merons plu us de gaz et d’électtricité (…), nous au urons 10 m millions de e nouveaux demande eurs d’emp ploi», nous risquons, selon lui, d’être d en cessation c dde paiemen nt. Et 2025 5, c’est dem main. C’esst pourquo oi des «m mesures ap ppropriées et imméédiates» do oivent être prises, co onclut-il. 10 Source jjournal: El E Watan 01.04.15 Par: Ali B Boukhlef Exporta ations : La amamra veut v metttre «la dip plomatie au a service ce des enttreprises» » Pour ten nter de «s sortir» de e sa coqu uille, le go ouvernement algérrien devra a déploye er son app pareil dipllomatique e au «serrvice de l’’économie e». Le miinistre de es Affaires étrangè ères, Ramtane e Lamamra a, qui s’estt exprimé, lundi, lorrs de la re encontre déédiée à l’e exportation n, indique que son départem ment organ nisera, prrochaineme ent, une rencontre entre le es ambassadeurs algé ériens en poste et des homm mes d’affaires en vuue de «mettre notre appareil diplomatiq que au serv vice de l’écconomie alg gérienne».. La réunion vise, selon s le chef c de laa diplomattie algérien nne, dontt les propo os ont été rapportéss par la Radio na ationale, à saisir «les oppo ortunités» d’investisssement et e d’exporta ation vers d’autres pays. Po ur lui, la diplomatiie doit «m mettre en œuvre la diversificcation des partenaires du pays» » et s’attelle à établiir des relattions économiques et e commercciales porté ées par «u une volontté d’équilib bre par le haut». Seelon M. Lamamra, un redéploie ement du commerce c extérieur de l’Algérie vers les pays émeergents et en voie de développ pement «d devient plus qu’un e nécessiité, compte tenu de leur dynamisme économiq que», et ce e, pour pouvoir «réalliser le pottentiel prop pre de l’Alggérie». Cette réo orientation s’effectuera notamm ment vers les pays affricains, noote M. Lam mamra. Pou ur lui, ces p pays repré ésentent des d opporttunités pou ur l’Algérie e «qui asssume plein nement son identité africaine et contrib bue activem ment au règlement des confflits et criises et esst ue le prom moteur des causes afrricaines au uprès des institutionss multilatérrales et de es redevenu grandes puissancess économiq ques». arations de e M. Lama amra font suite à de e multipless rencontrees entre le es homme es Les décla d’affairess algérienss et leurs homologu ues africaiins. Beauc coup de ppatrons alg gériens on nt exprimé le souhait d’investir ou o d’exporrter vers de es pays afrricains. C’est le ccas notamm ment de NC Rouiba ((jus et necctars), Cevital (agroa limentaire)) et Condo or (électrom ménager). Mais les conditions de partenariat entre ces socciétés algé ériennes et e leurs hom mologues africaines a sont s bloquéées, notam mment par la législatiion algérienne. 11 Source aps lundi, 30 mars 2015 Algérie: des mesures pour une meilleure maîtrise du commerce extérieur prévues dans la LFC 2015 (Sellal) Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a annoncé, lundi à Alger, que le gouvernement prévoyait l'élaboration, dans les prochains mois, d'une loi de finances complémentaire (LFC) qui comprendra des mesures visant une meilleure maîtrise du commerce extérieur et de l'économie nationale en général. S'exprimant à l'ouverture de la Conférence nationale sur le commerce extérieur, qui se tient lundi et mardi au Palais des nations (Alger), M. Sellal a affirmé que la LFC 2015 "comprendra des décisions et des mesures visant à assurer une meilleure maîtrise du commerce extérieur à travers, notamment, la lutte contre la corruption et la fraude dans le financement des importations pour mettre fin à l'anarchie qui caractérise cette activité". "Il est temps de lutter énergiquement contre la corruption et la fraude, et ce, conformément aux lois de la République", a insisté M. Sellal, ajoutant que le gouvernement "n'hésitera pas à utiliser la force de la loi pour réprimer de telles pratiques". Par ailleurs, le Premier ministre a considéré que le retour au crédit à la consommation, qui entrera prochainement en vigueur, contribuera également dans l'amélioration de la maîtrise du commerce extérieur en soutenant la production nationale et, partant, en réduisant la facture des importations. Evoquant le projet de loi sur les licences d'importation, qui sera soumis au parlement durant sa session actuelle de printemps, M. Sellal a soutenu que ce nouveau texte ne signifie, en aucune manière, un retour au monopole du commerce extérieur qui était appliqué dans les années 1970 et 1980. Cette loi, a-t-il expliqué, "va permettre aux autorités publiques de mieux maîtriser les importations". 12 Source a aps mard di, 31 marrs 2015 L'intégrration rég égionale, une des es pistes pour diversifier d r les exp portation ns algérien nnes ALGER - Des reprrésentants d'organisaations inte ernationale e et régionnale spéciialisées on nt considéré é, mardi à Alger, qu ue la diverrsification des exportations alggériennes doit passe er par l'intégration rég gionale ma aghrébine, arabe et africaine. a Intervena ant à la Conférence C e nationalee sur le commerce c extérieur, un repré ésentant du Programm me des Na ations Unie es pour le développe ement (PNU UD), Khaliffa Tounaktti, a estimé que l’inté égration de e l’Algérie dans d ces trrois zones régionaless, où les écchanges co ommerciaux du pays restent trè ès réduits, représentee un atout pour déve elopper le ppotentiel économiqu é e non explo oitable de l’Algérie. Pour cett expert, cette option perm met de co ontourner le problèème de la a difficulté d’exporta ation verss le marcché europ péen qui est, a-t-il avoué, "exigeantt" et "trè ès concurrentiel". Néanmoiins, a relevvé le repré ésentant d de cette ag gence de l''ONU, le ssuccès de cette c vision utaire non n seuleme ent du d développem ment des infrastrucctures et structure es est tribu logistique es mais au ussi de l’en ngagemen nt de "proffondes réfo ormes" pe rmettant de d fructifie er les avanttages comp pétitifs du pays. Il a ausssi préconissé de promouvoir laa coopérattion écono omique à ttravers la conclusion d’accordss bilatérauxx régionau ux favorisan nt notamm ment l’expo ortation. De son ccôté, l’expe ert de la Banque B afrricaine du développement (BAD D), Hervé Lohoues, a noté que e la diversiffication du commercee extérieurr, qui consstitue une ppriorité pour l’Algérie e, est en lig gne avec la stratégie e de cette banque du continen nt tracée ppour la pérriode 2013 32022. 13 Cette strratégie, a--t-il expliqué, mise sur l’intég gration éco onomique africaine comme un véritable levier de développe ement pou r les pays de la région grâce au potentiel de leurrs complém mentarités. Selon lui,, cette inté égration pe eut permetttre à l’Algé érie de jou uer un rôle d’interméd diaire entre l’Afrique et l’Europe e grâce à sa s position géographique straté égique. A rappeller que la nécessité é de s’orieenter vers le march hé africain a été im mplicitemen nt évoquée par le ministre m des Affaires étrangère es, Ramtan ne Lamam mra, qui av vait plaidé é, lundi, lorrs de son interventio on à cette conférencce, pour un redéploiiement du commerce extérieurr de l’Algérrie vers less pays émeergents ett en voie de d développpement po our pouvoiir "réaliser le potentie el propre de d l’Algérie"". ants ont plaidé, p maardi, pour le dévelo oppement des instruments de D’autres intervena financem ment adapttés pour accompagn ner les enttreprises ex xportatricees en intro oduisant de nouveauxx produits financiers destinés à accompag gner l'activ vité d'expoortation. Ils ont ég galement appelé a à l'installation des guichets à l’exportation auu niveau des banque es et établisssements financiers f pour p accom mpagner le es exportatteurs. Source jjournal: Horizons H le e 31 mars 2 2015 Par: Wasssila Ould Hamouda Clôture e de la con nférence nationale n e sur le co ommerce extérieur e r ns appelle ent à leve er les obsttacles Experts et patron Parmi les recom mmandations impo ortantes découlan nt ence nattionale ssur le commerce c e de la confére extérie eur dont les trava aux ont p pris fin hier, h il y a celle q qui souligne la nécessité n pour l’A Algérie de e tracer une vis sion clairre concerrnant sa capacité é d’intég gration da ans l’espa ace mond ial et régional. Les ex perts qui sont intervenus, h ier, à la conférence nationale e sur le commerce c extérieur,, s’accorde ent à sou uligner quee beaucou up d’effortts restent à faire, nottamment en e matièree de législa ation et de e réglemenntation adm ministrative et d’amélioration de e l’environnement daans lequel exercent le es exporta teurs algériens. Ils sont nombreuxx à souligner l’impéératif de promouvoir en premiier lieu la production nationale e, de la diversifier d et e d’en am méliorer la a qualité pour p pouvvoir la placcer sur le es marchés internation naux. 14 En outre, les potentialités devraient être capitalisées et orientées vers des marchés moins concurrentiels et exigeants comme ceux de l’Afrique et des pays arabes. « Les efforts doivent être concentrés autour de l’entreprise créatrice de richesse », a résumé le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed Seghir Babès. Et pour que l’entreprise s’implique davantage dans cette perspective de renforcement du commerce extérieur, elle doit, selon lui, se mettre à niveau pour renforcer sa compétitivité. Les pouvoirs publics sont appelés à leur faciliter l’accès aux programmes d’appui à l’exportation. Le président de l’association des exportateurs algériens, Ali Bey Nasri a fait observer que pour relancer cette activité, de nombreuses contraintes doivent être levées. Il a dans ce contexte prôné la dépénalisation de l’acte d’exportation. « L’exportateur est ligoté. Il risque des sanctions pénales si le délai de rapatriement des fonds est dépassé », a-t-il rappelé. De la dépénalisation de l’acte d’exportation Abondant dans le même sens, le directeur de la Compagnie algérienne d’assurance et de garantie des exportations (Cagex), Djilali Tarikat a demandé la révision du règlement de la Banque d’Algérie inhérent à cet aspect de rapatriement de la devise. Selon lui, il est primordial d’accompagner les exportateurs pour atteindre l’objectif qui est de donner de l’essor à cette activité. Une perspective défendue également par Abderahmane Benkhalfa, expert en finances : « Il devrait y avoir une flexibilité en matière de rapatriement des devises », at-il estimé, observant qu’il faut développer de nouveaux produits financiers dédiés à l’exportation. Il a cité, entre autres, les crédits de prospection lesquels faciliteront l’implantation commerciale à l’étranger et les crédits fournisseurs qui permettront de renforcer la production et la création de la compétitivité. Selon Benkhalfa, il est important de créer l’interface entre les banques et les institutions chargées de l’exportation telle la Cagex. Les exportateurs sont également confrontés à d’autres contraintes et obstacles que les experts et les chefs d’entreprise ont appelé à lever. Selon le président de l’association des producteurs algériens de boissons, Ali Hamani, il est plus facile d’importer en Algérie que de produire, « alors que dire de l’exportation ! ». Il a déploré le manque de logistique ainsi que d’outils favorisant la promotion du commerce extérieur. Il a recommandé plus d’efforts pour la création des zones au niveau des ports réservées aux entreprises exportatrices, l’amélioration de la qualité des services 15 en matiè ère de fret et de transsport marittime et la multiplicattion des esspaces et des d aires de stockage e et d’emmagasineme ent sécurissés. a Issad Re ebrab, pré ésident du groupe C Cevital, un n des gra ands expo rtateurs algériens, a témoigné é que l’actte d’exporttation est lloin d’être une sinéc cure. A titrre d’exemp ple, il a fait savoir qu ue son entreprise « peut p exporrter plus de e un million de tonnees de sucre blanc pa ar an mais e elle n’en exxporte que e 500.000 ttonnes parrce que le port de Beejaïa est sa aturé ». « La rade e nous cause des su urcoûts dee fret et des suresta aries », a-tt-il souligné, ajoutan nt qu’un prroduit peutt être com mpétitif au niveau d’’une entreprise maiss pas au niveau n d’un pays pou ur des problèmes po ortuaires. R Rebrab a également é souligné ll’importancce de dote er les exportateurs d’un passep port diplom matique ett de leur donner la priorité à l’accès au foncier. Source jjournal: l''Éconews 31 3 mars 15 5 Par: You ucef Abbass Confére ence natio onale sur le comme erce exté érieur La diverrsification n des exportationss, une urgence La po oursuite de la con ntraction d des expo ortations à causse du nive eau très faible de es cours mondiaux x de p pétrole brrut a mis s les pou voirs pub blics dans l’urg ence de cherche er une ssolution rapide à l’érossion de e l’excéd dent co ommercial qui a enre gistré en n 2014 so on solde le plus bas b depuis prés de deux décennies. Une nouvelle politiique nation nale d’acco ompagnem ment et de e développpement du commerce motion dess exportations hors hydrocarbbures dem meure ainssi extérieurr axée sur la prom nécessairre pour red dresser la situation. s C’est dan ns cette op ptique que e la Conférrence nationale sur le commeerce extérie eur, prévue lundi et m mardi au Palais P des Nations N (Al ger), a été é inscrite. Cette co onférence, organisée e par le m ministère du d Comme erce, aura donc pou ur principa al objectif d de débattre e les nouv velles ligness directrice es de la po olitique nattionale en matière de promotio on des expo ortations hors h hydroccarbures. 16 L’approche « techniciste » basée sur l'élimination d’obstacles à la libre circulation des marchandises, adoptée il y a plus de 20 ans par les pouvoirs publics dans la libéralisation du commerce extérieur, devrait désormais laisser la place à une approche politique fondée sur la diversification et le rééquilibrage des échanges extérieurs, pour venir à bout des vulnérabilités actuelles, selon une note du ministère du Commerce. Devant réunir des représentants des institutions impliquées dans le commerce extérieur, des opérateurs économiques nationaux et des experts ainsi que des représentants d’institutions régionales et internationales, cet évènement s’inscrit, en effet, dans l’objectif de restructurer les politiques publiques pour renforcer les résultats à l’exportation mais aussi de lancer la réflexion sur une stratégie nationale de développement des exportations hors-hydrocarbures et assurer l’encadrement d’un commerce extérieur plus équilibré. Sur le même chapitre, l’amélioration de la bonne gouvernance des opérations de commerce extérieur, la relance des activités productives pour constituer une offre exportable diversifiée, le renforcement des institutions d’encadrement et des instruments de promotion et d’appui aux exportations hors hydrocarbures sont les principaux axes de la nouvelle politique de commerce extérieur que les pouvoirs publics aspirent à mettre en œuvre à terme. En outre, l’entreprise algérienne sera aussi au cœur du débat avec un accent particulier sur ses capacités et limites à s’insérer avantageusement dans les chaînes de valeurs mondiales et pénétrer les marchés extérieurs. Aussi, le renforcement de ses capacités et l’amélioration de son environnement constituent-ils une priorité dans cette phase cruciale de redéploiement de l’économie nationale. En effet, la promotion d’une politique d’exportations hors-hydrocarbures plus agressive questionne le système économique dans ses dimensions institutionnelles, économique, managériale mais aussi dans son paradigme fondateur, souligne à cet effet le ministère. Il s'agit, dans ce sens, de faciliter l'accès aux intrants, d'encourager les nouveaux investissements et assurer l'information sur les marchés, sans oublier la conclusion rapide en conformité avec les intérêts du pays, des négociations commerciales en cours avec les institutions régionales et multilatérales qui constituent la clé de tout développement d’envergure du commerce extérieur de l’Algérie, a-t-on résumé. Enfin, la conférence de deux jours prévoit dans son ordre du jour la tenue de trois ateliers qui débattront de thématiques liées à la stratégie nationale de promotion du commerce extérieur, le renforcement des instruments d’appui et de promotion du commerce extérieur et de l’amélioration de l’environnement du commerce extérieur. 17