rétrospective 2015 ecole de coiffure isec

Transcription

rétrospective 2015 ecole de coiffure isec
L’école
passionnément
coiffure
revue de presse
Année 2015, 17 parutions
02/2015 Coiffure de Paris
Ecole dynamique
02/2015 L’Eclaireur des coiffeurs
Nouvelles formations au management
03/2015 L’Eclaireur des coiffeurs
Les élèves dans les profondeurs marines
04/2015 Coiffure de Paris
Le Grand Bleu
04/2015 Coiffure de Paris
Nicolas Goudeau, ancien élève mis à l’honneur
04/2015 Paris Neuf
Le salon de coiffure de l’école ISEC
05/2015 Studyrama
L’école de coiffure ISEC propose un module de maquillage optionnel
06/2015 Coiffure de Paris
Ca tourne
06/2015 Studyrama
J’ai testé... le salon de l’école de coiffure ISEC
09/2015 L’Eclaireur des coiffeurs
Challenge créatif à l’Isec
09/2015 L’Eclaireur des coiffeurs
Fondation Guillaume, des attaches de toute beauté
09/2015 L’Eclaireur des coiffeurs
Tournage à l’Isec
.../...
Nous suivre :
L’ISEC est un établissement technique privé Certifié ISQ - OPQF
28, rue de Trévise • 75009 Paris • 01.47.70.83.49
www.ecole-isec.com
09/2015 Coiffure de Paris
Ca tourne
10/2015 Biblond
30 novembre
11/2015 Coiffure de Paris
L’Isec fête ses 70 ans
12/2015 Coiffure de Paris
Emmanuelle Matte, portrait d’un ancienne élève de l’Isec
12/2015 Paris Pas Cher
Le salon de coiffure de l’école ISEC
Magazine Coiffure de Paris, février 2015
Ecole dynamique
L’institut Européen de la Coiffure (Isec), situé à Paris, a le vent en poupe. Le 4
février, l’établissement privé réalisera les coiffures d’une nouvelle émission encore
tenue secrète, conçue par Endemol et diffusée sur TF1. Le 13 février prochain,
l’école organisera un challenge coiffure, baptisé Grand Bleu, au studio Wella. Le
défi ? Chaque élève doit réaliser un chignon en 1h30 sur le thème des profondeurs
marines.
Magazine L’Eclaireur des Coiffeurs, février 2015
Nouvelles formations au management
Toutes ces formations en management comblent un vrai manque en coiffure.»
Emilie Rolland, 25 ans, responsable d’un salon Intermède, Paris 11ème.
«Après mon BP, j’ai commencé à travailler chez quelqu’un qui avait 5 salons
franchisés. Assez vite, j’ai eu envie de prendre des responsabilités , et je suis
devenue coresponsable d’un des salons. Au bout de 2 ans, j’ai souhaité reprendre
des études, et j’ai pensé au BM III; mais la formation dure 2 ans, et la partie
«pratique professionnelle» y est assez importante aussi. C’est surtout le côté
management que je voulais approfondir avec une formation. J’ai donc préparé un
CQP responsable de salon à l’ISEC. (…) Aujourd’hui, mon patron m’a confié la
responsabilité d’un de ses salons. Le BP ne suffisait pas !»
Pendants des décennies, dans la coiffure, il était impossible d’aller plus loin que
le BP pour se former, en matière de gestion. En 2011 est né le CQP Manager
de salon, devenu depuis CQP responsable de salon. Il est enseigné dans une
quinzaine d’écoles en France. Il s’agit d’une formation courte (9 mois), élaborée
en lien avec la profession et reconnue par le RNCP (Répertoire National des
Certifications Professionnelles), l’organisme qui répertorie les diplômes de
l’éducation nationale ainsi que les titres et certification qui bénéficient d’une
reconnaissance nationale.
Quels débouchés ?
Le CQP repose sur 3 volets principaux : la gestion d’équipe, le marketing, la gestion
financière. On y accède après le BP, ou un niveau équivalent ou supérieur. Pas
forcément un BP coiffure, mais c’est préférable… Catherine Glémain est directrice
de l’ISEC (Paris 9ème), qui propose le CQP responsable de salon depuis 3 ans
: «C’est l’occasion pour le jeune d’acquérir une nouvelle vision de l’entreprise,
d’évoluer dans sa capacité à gérer un groupe, de passer d’une posture purement
salariale à la supervision d’une entreprise».
Magazine L’Eclaireur des Coiffeurs, mars 2015
Les élèves dans les profondeurs marines
«ISEC : des élèves dans les profondeurs marines
La finale du grand challenge de l’Isec (Paris 9ème) s’est tenue au sutdio Wella
(Paris 1er) le 13 février dernier. Le thème de cette année : le grand bleu et les
profondeurs marines. A charge pour les élèves de créer un dossier d’inspiration,
d’imaginer des éléments de stylisme et au final de créer une coiffure sur tête
malléable en 1h30. Un projet pédagogique autant qu’un challenge pour ces
jeunes pas encore titulaires d’un CAP, avec en prime une présentation orale
des techniques utilisées devant un jury. Plusieurs semaines de recherches (art
plastique, français, pratique coiffure) et d’entraînement, qui ont permis à ces jeunes
de peaufiner leurs idées et de les r»éaliser avec une minutie et une maîtrise plus
qu’honorables. Ils ont donnée à voir des réalisations plus ou moins librement ou
littéralement inspirés d’hippocampes, de coquillages, de coraux, de pieuvres, de
crabes, de filets, de poissons ou de vagues. La gagnante est Camille Debouzy avec
son hippocampe. Le 2ème prix revient au filet de pêche de Laure Morin, le 3ème à
Maëlle Baron-Cosset, qui s’est inspirée du bernard l’hermine, et le prix spécial du
jury à Charlotte De Ascencao. Le jury était constitué de William Lepec, directeur
artistique, Elie Jacquet, lauréat du Trend Vision Color de Wella, Nicolas Duboulet,
du studio Wella et Brice Thiron, de l’Eclaireur.»
Magazine Coiffure de Paris, article paru
dans le N° 1212 d’avril 2015.
Le grand bleu
Mi-février, l’Isec, école privée de coiffure située
à Paris, a organisé un concours de chignon,
ouvert aux élèves de CAP au studio Wella à
Paris. Le but de l’opération ? Décliner un coiffage
sur le thème des profondeurs marines. Camille
Debouzy a remporté le 1er prix grâce à son
hippocampe. Laure Morin, avec son filet de
pêche, a raflé le 2è place. Maëlle Baron-Cosset,
avec son bernard-l’ermite, a obtenu la 3è place.
Prix spécial du jury : Charlotte De Ascensao,
pour son coquillage capillaire.
Magazine Coiffure de Paris,
article paru dans le N° 1212 d’avril
2015.
Nicolas Goudeau
ancien élève de l’école de
coiffure ISEC fait l’objet
d’une page complète sur son
parcours.
Magazine Paris Neuf, article paru dans le N°
d’avril 2015.
A l’école de coiffure ISEC, faitesvous coiffer selon vos souhaits
(coupe, brushing, couleur…). Une
cliente témoigne « Voilà 2 ans que j’y
fais couper mes cheveux : élèves très
pros, bien encadrés, on est chouchouté,
écouté… il faut savoir être patient mais
quand on voit le résultat, ça vaut vraiment
le coup ! Pour le prix, j’ai recommandé
à tous mes proches et j’y retourne sans
hésiter ».
Parution Web, Studyrama, paru le 5/05/2015
L’ÉCOLE DE COIFFURE ISEC PROPOSE UN MODULE DE
MAQUILLAGE OPTIONNEL
Les élèves de CAP de l’école de coiffure ISEC ont désormais accès à un
module de maquillage optionnel. S’ajoutant à la formation coiffure, son objectif
est d’acquérir une compétence supplémentaire dans le domaine de la mise en
beauté, de procurer un atout de plus aux élèves pour faire la différence et de
s’ouvrir des perspectives sur le conseil en image et le total look.
La formation est assurée par la maquilleuse professionnelle Mariana Miteva
et se déroule de octobre à février. Au programme : maquillage beauté
naturel, maquillage beauté festif, maquillage plateau, maquillage studio pour
finir par un shoot studio en fin de formation. Il s’agit d’un programme dense
et particulièrement complet. Il aborde les grands aspects du maquillage
professionnel.
Parution Web, Studyrama, paru le 4/06/2015
J’AI TESTÉ... LE SALON DE COIFFURE-ÉCOLE DE L’ISEC
L’ISEC est une école «passionnément coiffure» qui officie depuis 1945. Elle forme au
CAP Coiffure, mais aussi au BP Coiffure et au CQP Responsable de salon, et propose
à ceux qui le souhaitent une option maquillage. Quand la directrice m’a proposé de
tester le salon de coiffure-école, j’ai foncé : ma coupe avait sérieusement besoin d’un
rafraîchissement, c’était l’occasion ou jamais !
Par Julie Mleczko
Nous étions le vendredi 15 mai, mais à l’ISEC, les étudiants ne font pas le pont, ils
sont sur le pont ! En arrivant devant le salon de coiffure-école, bien qu’avec 10 minutes
d’avance, je me rends compte que d’autres personnes connaissent cette bonne adresse
: attendent déjà devant la porte un couple, 2 étudiantes, et 2 dames d’un certain âge.
Une atmosphère de travail
Les portes s’ouvrent et c’est dans un véritable salon de coiffure, équipé comme il se
doit, que je fais mon entrée. Au comptoir d’accueil, l’une des responsables reçoit les
clients, appelés ici également «modèles» et voient avec eux ce qu’ils désirent. Ces
derniers règlent leur note (pour une somme jusqu’à 3 fois moins élevé que chez un
coiffeur classique !) et la responsable leur attribue un ou une étudiant(e) : mise en plis,
brushing, coupe + couleur... on se partage le travail ! Parfois, selon les demandes des
clients, certains étudiants travaillent en binôme : un 2e année de CAP «coache» ainsi
son camarade de 1re année.
Pour ma part, c’est My, étudiante en 2e année de CAP Coiffure à l’ISEC, qui me
prend en charge. Tout commence par un traditionnel shampoing. Dans le salon, les
échanges vont bon train : entraide entre élèves, conseils et avis se partagent volontiers.
La classique discussion avec les clients n’en est pas moins oublié : l’ambiance est
chaleureuse et studieuse à la fois.
Une fois installée devant mon miroir et Mi devant son poste de travail, vient la fameuse
question «qu’est-ce qu’on fait ?». Là, je n’ai pas beaucoup aidé My : «on coupe, je veux
me dégager la nuque, le reste je vous fais confiance». Loin de s’en inquiéter, My me
pose des questions en véritable professionnelle. Sa responsable de formation passe
alors checker avec elle et définir l’angle d’attaque. Et c’est parti !
Des élèves à la technique déjà éprouvée
Dans le salon de coiffure-école, les échanges entre les professeurs présents et les
élèves, soucieux de soigner leur travail et de donner satisfaction à leurs clients, ne
tarissent pas. Nous, clients, ne comprenons pas tout car des mots techniques sont
utilisés et des pratiques apprises en cours sont restituées.
Parfois les apprenti(e)s coiffeurs/coiffeuses reçoivent des remontrances un peu
destabilisantes, surtout devant le client, mais comme leur dira d’ailleurs leur cliente pour
les réconforter « c’est normal qu’on vous reprenne, vous êtes là pour apprendre ! «
Plutôt anxieuse de nature, à aucun moment je n’ai pourtant eu peur que My rate ma
coiffure : elle a largement réussi sa mission en prenant son temps et demandant parfois
conseil à son professeur. Bien partie, My ne compte pas s’arrêter là : «Après mon
CAP, je souhaiterais passer le BP à l’ISEC pour avoir des compétences en gestion et
management». Ses yeux pétillent quant elle me parle des nombreuses manifestations
ou autres concours de coiffure auxquels les élèves de l’ISEC participent : «on rencontre
des pros en pleine action, on croise des gens connus dans le domaine de la coiffure,
c’est vraiment motivant !»
Coiffage, séchage : ma coupe terminée, c’est une responsable qui est venue féliciter My
et lui montrer «les finitions» sur cheveux secs.
Je repars, bluffée par le travail réalisé par cette expériences : la motivation des élèves,
l’implication de leurs professeurs et le résultat : pour ma part, j’adore ma nouvelle coupe,
et il paraît que j’ai le cheveux «facile»... ma journée est faite !
Magazine Coiffure de Paris,
article paru dans le N° de juin 2015
Ca tourne !
Parmi les chaînes Youtube, Skizz
Family est celle qui fait mouche
chez les jeunes ! Famille, école,
amour, amitié… Tous les petits
et grands moments du quotidien
y sont décryptés par cette bande
de jeunes humoristes 2.0. Suite à
l’écriture d’un sketch se déroulant
dans un salon de coiffure, l’équipe
à même débarqué pour quelques
heures, mi-avril, dans le salon
école de l’école de coiffure précisée
Isec à Paris. «Le tournage a débuté
vers 17h après les cours, afin de ne
pas perturber le rythme de l’école.
Néanmoins, les élèves ont eu le
temps de prendre une photo avec
toute l’équipe, et ils ont adoré !»,
s’amuse à dire Catherine Glémain,
directrice de l’établissement.
Magazine L’Eclaireur des Coiffeurs, article paru dans le N° du 29 juin 2015
Fondation Guillaume, des attaches de toute beauté !
Concours de Coiffure de la Fondation Guillaume, Vincent Shum, élève en BP coiffure à
l’école de coiffure ISEC à Paris, à l’honneur. Article paru dans l’Eclaireur des Coiffeurs :
Extrait de l’article : «Tandis que les excellents Vincent Shum (salon Christophe-Nicolas
Biot) et Romain Durand (salon Alexandre de Paris) ont respectivement trusté les 2ème
et 3ème places du podium avec des silhouettes qui, chacune auraient largement pu
disputer la 1ère place - Vincent Shum remportant au passage, le Prix de la Coloration
avec son magnifique roux flamboyant.»
Magazine L’Eclaireur des Coiffeurs, article paru dans le N° du 29 juin 2015
Challenge créatif à l’Isec
«Le traditionnel challenge coupes Redken qui réunit chaque année la promotion sortante des CAP
Coiffure à l’ISEC (Paris 9ème), s’est déroulé le 28 mai dernier. Christophe Monteiro, Redken Artist,
qui travaille au sein de l’enseigne Coiffirst, avait déjà assuré 3 semaines auparavant une journée
de préparation pour les élèves, et était de nouveau présent le jour J. Les jeunes ont dû affronter
4 épreuves : 3 coupes (une longue, une intermédiaire et une courte) avec pour challenge de se
rapprocher le plus possible du modèle présenté en photo, et un coiffage libre sans modèle, ce qui a
permis à chacun d’exprimer sa créativité.
C’est Fiona Fulbert qui a remporté le 1er prix, et Chloé Delabasserue le 2ème, tandis qu’Eva
Modanèse se classait 3ème.
Les 17 et 19 avril dernier, des élèves de l’école ont par ailleurs coiffé le spectacle donné au Casino
de de Paris, par Musical Essec (l’association de comédie musicale de l’école de commerce), sur le
thème de l’Egypte ancienne. Enfin, le site de l’école, www.ecole-isec.com, s’enrichit d’une nouvelle
rubrique, Success Stories, celle-ci met en avant le parcours d’anciens élèves comme par exemple
celui de Benjamin Tandre, aujourd’hui coiffeur à New York chez Frédéric Fekkaï, ou de Kevin
Compère, manager
du Bar des Coloristes
de Christophe Nicolas
Biot. De quoi booster
les vocations !»
Magazine L’Eclaireur des Coiffeurs, article paru dans le N° 644 du 28 sept. 2015.
Tournage TV à l’ISEC
L’école ISEC (Paris 9ème) a servi de cadre, juste avant l’été, au tournage d’une émission présentée
par William Carnimolla, qui faisait à cette occasion son come-back à la télévision (rappelons que
William Carnimolla, lui-même fils de coiffeur, était le présentateur de l’émission «Belle toute nue»,
sur M6). La société de production -celle de feu Jean-Luc Delarue, Réservoir Prod- a choisi de ne
pas révéler le concept exact de l’émission. Mais on sait déjà qu’il s’agit d’une émission centrée sur
la coiffure, en 10 épisodes, qui sera diffusée en prime time sur June TV, une chaîne du câble, à
partir du mois d’octobre.»
Magazine Coiffure de Paris, article paru dans le N° d’octobre
2015.
Ca tourne
Il y a quelques semaines, William Carnimolla, l’ex-animateur de
l’émission «Belle toute nue» diffusée sur M6, a investi les locaux de
l’Isec à Paris. «Il y a tourné la finale d’une série qui sera diffusée
sur June TV. Chaque candidat était jugé pour son travail de
stylisme, de maquillage et de coiffure, précise Catherine Glémain,
directrice de l’établissement. William qui est fils de coiffeur, m’a
avoué adorer le monde de la coiffure!»
Magazine Biblond, article paru dans le N° de novembre 2015.
30 novembre, Show de coiffure des 70 ans de l’école ISEC à Paris
Pour fêter ses 70 ans, l’école ISEC organise un show avec,
au programme, 7 coiffures retraçant les 7 décennies écoulées
depuis sa création. Parmi les anciens élèves constituant l’équipe
de coiffeurs figurent Nicolas Goudeau (DA de la Fondation
Guillaume), Kevin Compère (manager du Bar des Coloristes),
Emmanuelle Matte (perruquière à l’Opéra de Paris) ou encore
Mickael Désir (coiffeur studio au-yant travaillé avec Voque Italie,
Harper’s Bazar France...)
Magazine Coiffure de Paris, article paru dans le N° de
novembre 2015.
L’ISEC fête ses 70 ans
Le 30 novembre prochain, l’école privée de coiffure Isec
située à Paris fêtera dignement ses 70 ans ! Et, pour
l’occasion, l’établissement organise un show de coiffure bien
spécifique. En effet, au fil de la soiréee, 7 coiffure illustreront
les 7 décennies qui se sont écoulées de 1945 à aujourd’hui.
Joli clin d’oeil, l’équipe artistique réunira d’anciens élèves
qui commencent à se faire un nom dans la coiffure. C’est
le cas de Nicolas Goudeau, promotion 2015, aujourd’hui
directeur artistique de la fondation Guillaume; Kevin
Compère, promotion 2009, manager du Bar des Coloristes;
Emmanuelle Matte, promotion 2009, perruquière à l’Opéra
de Paris et Cedric Galissard, promotion 2014, coiffeur studio
au salon Studio Marisol à Paris.
Magazine Coiffure de Paris, article paru dans
le N° de décembre 2015.
2 questions à Catherine Glémain
Coiffure de Paris : «L’établissement que vous dirigez,
fête cette année ses 70 ans d’existence. Quelles ont
été ses grandes évolutions depuis sa création ?»
Catherine Glémain : «l’école a évolué en fonction
des exigences de la profession et des textes officiles.
Lorsque M. Chantoiseau, coiffeur, créé l’Isec, la
formation était essentiellement pratique et peu
théorique. Dans les années 50, l’arrivée du Brevet
Professionnel a insufflé une nouvelle orientation.
Depuis 2012, nous proposons le CQP (certificat de qualification professionnelle). En matière de
pédagogie, les choses ont aussi beaucoup évolué. En 1945, le porfesseur inculquait de manière
plus autoritaire ses cours. Aujourd’hui nous prônons, à l’Isec, un échange constant entre le
professeur et l’élève.»
CdP : «Quels sont vos projets ?»
CG : «En 2016, l’Isec continuera d’intégrer le digital et l’interactivité au quotidien des élèves.
Depuis cette année, nos élèves ont pas ex., la possibilité de communiquer via messenger et
notre page Facebook avec l’école. Nous traitons de manière rapide les demandes. Nous avons
également organisé un système de relance par SMS pour les personnes qui nous servent de
modèles. Cela facilite le flux et la manière de travailler.»
Magazine Coiffure
de Paris, article
paru dans le N° de
décembre 2015.
Portrait consacré
à Emmanuelle
Matte, Isec promotion
2009, aujourd’hui
perruquière à l’Opéra
Paris Pas Cher 2016,
paru fin 2015.
Mieux que bien des
salons de coiffure
professionnels
Cette école de coiffure sort
de l’ordinaire, autant par
son décor (celui d’un vrai
salon de coiffure chic) que
par les prestations offertes,
élèves bien formées et
très attentifs, professeurs
constamment présents et
intervenants : on peut choisir
sa propre coiffure ; en cas
de doute, un professeur
vient vous conseiller. Il
contrôlera toutes les étapes
de votre transformation.
Quand l’élève hésite, il
appelle son professeur
qui coupe ou prodigue le
soin lui-même. Massage
du cuir chevelu en sus.
On sort nettement embelli.
(Application de couleur
possible.)