MILLAU. Boulevard Saint-Antoine (AVEYRON) MAISON DU PEUPLE
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MILLAU. Boulevard Saint-Antoine (AVEYRON) MAISON DU PEUPLE
MILLAU. Boulevard Saint-Antoine (AVEYRON) MAISON DU PEUPLE NOTE COMPLÉMENTAIRE Un dossier d'urgence a été réalisé sur la Maison du Peuple de Millau en mars 2002, en raison d'un projet de démolition lié à la construction d'un théâtre. L'examen du bâtiment et la recherche documentaire sur place ont été limités à une journée ; celle-ci a cependant été grandement facilitée par M. François Leyge, conservateur du musée, qui a mis sa documentation à notre disposition, et M. Jacques Frayssenge, conservateur des archives municipales, qui a très aimablement repéré pour nous les séances du conseil municipal au cours desquelles le projet et les travaux de la Maison du Peuple ont été examinés. Cette note ne saurait cependant être considérée comme une étude de l'édifice, qui reste à faire. I. HISTORIQUE Le projet d'une Maison du Peuple est présenté au Conseil municipal par Bompaire (membre de la majorité radicale, et qui deviendra maire de Millau après les élections de 1904) lors de la séance du 20 novembre 1902 (A.M. Millau, 1.D.42) : "Je vais prier le Conseil Municipal de prendre [...] une décision de principe au sujet d'un projet que j'ai caressé depuis longtemps [...]. Il s'agit de la création dans notre ville d'un établissement social, destiné à tous les groupements ouvriers, à toutes les associations ou corporations syndicales ou mutualistes [...], un établissement [...] que nous appellerions comme on l'a fait ailleurs avec un bonheur rare la Maison du Peuple. [...] Je ne veux pas revendiquer seul l'idée de cette conception. Je sais que plusieurs y ont déjà pensé, et parmi eux notre ami Balitrand [député] avec lequel je me suis entretenu à plusieurs reprises [...]." Le rapporteur rappelle que la Ville prête les salles de l'Hôtel de Ville, mais que les réunions nombreuses provoquent des gênes d'autant que les salles sont malcommodes. Une opportunité est en outre donnée par "des citoyens cultivés" qui pensent à créer, comme dans d'autres villes, une université populaire. Il faudrait donc pouvoir disposer d'une salle de conférences en amphithéâtre, pouvant accueillir trois ou quatre cents personnes. Pour éviter des dépenses trop importantes, Bompaire propose de restaurer la vieille halle, place de l'Hôtel de Ville, et d'y installer la Maison du Peuple, l'Université populaire et la Bourse du travail. Le Conseil en accepte le principe et nomme une commission. Le 29 mai 1903, les plans et devis (qui n'ont pas été retrouvés) du projet dressé par Lacure, architecte de la Ville, sont approuvés : le coût de la construction nouvelle, qui sera établie sur la deuxième partie du jardin de l'Hôtel de Ville (c'est-à-dire la partie basse, sur l'emplacement des remparts, du jardin de l'hôtel devenu depuis le musée) est évaluée à 60 000 francs. Afin de réduire l'effet du chômage des tanneurs, il est décidé d'ouvrir un chantier communal pour les déblais nécessaires au nivellement du sol où doit être édifiée la Maison du Peuple. 1 Lors de la séance du 27 février 1904, il est constaté que les travaux de construction "sont poussés avec une activité qui fait espérer un prompt achèvement. Il y a lieu de se préoccuper de l'installation intérieure ; à cet effet, il [le rapporteur] a fait préparer par M. l'architecte un projet de fourniture de bancs et planchers des passages [...]." Pendant toute cette période, la presse d'opposition (voir le Messager de Millau, républicain libéral) attaque le projet jugé dispendieux. Le 15 juillet 1904, il est décidé d'équiper la Maison du Peuple de becs de gaz Moulin. L'achèvement des travaux est proche mais on décide de reporter l'inauguration au printemps suivant, en raison des faibles ressources de la ville et de la crise qui touche les industries locales. De fait, il semble que la Maison du Peuple n'a jamais été inaugurée officiellement : la Fédération ouvrière demande en effet le 18 août 1904 de pouvoir en disposer le plus rapidement possible, demande entendue par la commission ad hoc puisque l'affection des salles est faite le 26 septembre ; au cours de la même séance, il est décidé de placer sur les deux corps de bâtiment latéraux les inscriptions "Bourse du Travail" et "Mutualité". Le Messager de Millau signale que "les groupements ouvriers, syndicats ou mutualistes, ont pris possession des locaux qui leur sont affectés à la Maison du Peuple" le 5 octobre, en soulignant que la salle présente un important défaut d'acoustique, défaut dû à son étendue ou à la "coupole de verre qui couronne l'édifice ?" (15 octobre 1904, p. 2). Le même journal se fait l'écho, dans son édition du 19 novembre 1904, de réclamations concernant l'installation de poêles pour chauffer la salle. Le décompte général des travaux (1.D.42, f° 223-224) fait apparaître le nom du sculpteur, Lautier, qui a réalisé le blason du fronton ; lors d'un nouveau décompte, la réception de la vitrerie du dôme central est réservée en raison de la défectuosité des carreaux jaunes. Une pénalité de 10 % est finalement appliquée le 22 mai 1905, parce que "les carreaux du dôme central étaient toujours de couleur différente et d'un très mauvais effet" (1.D.42, f° 294). La réception définitive des travaux est faite en juin 1905 : le montant total s'élève à 6005,17 francs (1.D.43, f° 26-27). Des photographies, éditées en cartes postales, témoignent de l'activité qu'a connue la Maison du Peuple, bientôt devenue un haut lieu de la vie ouvrière : réunions dans la grande salle (Doc. 5-6), utilisation des "ruelles" par les barbiers et les cuisines communistes lors de la grève des gantiers de 1913-1914 (Doc. 34). C'est devant sa façade sur le boulevard que se rassemblent les grandes manifestations (Doc. 1). II. DESCRIPTION La Maison du Peuple a été édifiée sur l'emplacement du mur d'enceinte médiéval de la ville (lui-même établi sur une zone occupée pendant l'Antiquité romaine, développant sa façade sur le boulevard créé sur les anciens fossés (actuel boulevard Saint-Antoine). La déclivité du terrain (Fig. 4) a imposé un décaissement en deux terrasses (objet du chantier communal ouvert en 1903 pour le nivellement) reliées par deux escaliers extérieurs. La grande salle du bâtiment principal est de ce fait partiellement enterrée sur l'arrière. L'édifice se compose de trois corps de bâtiments séparés par deux "couloirs" ou "ruelles" (Fig. 1) : le corps principal, au centre, correspond à la salle de réunion, la Maison du Peuple proprement dite, les pavillons latéraux à la Bourse du Travail, à gauche, à la Mutualité, à droite. 2 L'élévation du bâtiment principal (Fig. 1-2), à un seul niveau, est rythmée par cinq grandes baies couvertes en plein cintre ; la corniche est surmontée par une balustrade. L'accent est mis sur les trois travées centrales avec un avant-corps à quatre colonnes doriques portant une architrave surmontée d'un fronton triangulaire où figure le blason de la Ville ; la porte d'entrée est précédée de quelques marches. Les pavillons latéraux sont un peu plus bas et ne présentent que deux fenêtres rectangulaires. L'unité avec le bâtiment central se fait par le matériau et la balustrade du couronnement. Elle était encore accentuée par les grilles des "ruelles", dont les amortissements ont cependant aujourd'hui disparu (cf. Doc. 1). La salle de réunion de la Maison du Peuple a été transformée, et banalisée, dans la seconde moitié du XXe siècle, l'état actuel remontant aux années 1970 (Fig. 28-35). Les deux escaliers intérieurs qui encadrent la scène appartiennent sans doute à cette campagne de travaux ; le sol du parterre a été repris et probablement décaissé devant la scène pour étager les rangs de sièges ; la structure d'origine, conservée, a été presque entièrement masquée par des revêtements et un faux-plafond. La salle se présentait à l'origine comme un vaste hall auquel on accédait par la porte ouvrant sur le boulevard. Elle était couverte par une charpente métallique reposant sur les quatre murs et quatre supports en fonte, formés de deux colonnes superposées, portant à mi-niveau les poutres, légèrement inclinées vers l'intérieur, de la galerie qui se développait sur trois des côtés (Doc. 5-6, Fig. 2831). On accédait à cette galerie par les deux escaliers extérieurs et des coursières sur lesquelles ouvraient des portes aujourd'hui murées (Fig. 6, 26). Le dôme était à l'origine entièrement vitré (cf. ci-dessus) : le verre a été remplacé à une époque indéterminée par un hourdis de brique recouvert de zinc (Fig. 12-18, 36-40). Des photographies anciennes montrent que cette grande salle servait à la fois de salle de réunion pour les syndicats et les mutuelles et de salle de spectacle (Doc. 5-6). Pièces de théâtre et conférences doivent être rattachées au projet d'Université populaire et au souci constant des programmes des maisons du peuple d'offrir un cadre à des manifestations culturelles, de divertissement autant que de formation. III. CONCLUSIONS L'originalité du programme tient au regroupement dans un même édifice de la Bourse du Travail, de la Mutualité et de l'Université populaire. Une erreur de perspective serait de juger les façades sur le boulevard à l'aulne du néo-classicisme, et de n'y voir qu'une réplique sans imagination de modèles qui s'étaient imposés en particulier pour les palais de Justice dans la seconde moitié du XIXe siècle. Le choix d'une façade qu'il faut plutôt qualifier de néo-antique s'explique surtout par référence à la démocratie grecque ; l'ordre dorique lui confère solidité et gravité, en accord avec le propos de la salle de réunion des mouvements syndicalistes et mutualistes et de l'Université populaire. Le "temple du Peuple" s'inscrit ainsi dans le paysage urbain à égalité avec les autres monuments publics. C'est au contraire un parti moderne qui est retenu pour la salle proprement dite, couverte par une charpente métallique portant une verrière. En 1903, le recours à l'acier n'est pas novateur, mais permet de répondre parfaitement au programme en respectant le budget initialement prévu. L'architecte semble avoir ainsi répondu aux trois termes de l'équation. Le choix d'une verrière en couverture demanderait à être explicité, les arguments fonctionnels (éclairage 3 d'une grande salle de réunion) pouvant se doubler d'arguments symboliques. De fait, le détail du projet architectural nous échappe. L'architecte Lacure ne semble pas autrement connu, et il est donc actuellement impossible de replacer la Maison du Peuple dans l'ensemble de sa carrière. En revanche, une rapide enquête a permis de dresser un début de liste des villes du bassin industriel du Tarn et de l'Aveyron où se trouvaient des maisons du peuple ou des édifices apparentés : Graulhet, Carmaux, Decazeville, Aubin... Ce sont des bâtiments qui ont été adaptés à leur nouvelle fonction ou qui présentent un moindre intérêt architectural. La Maison du Peuple de Mazamet était au contraire un édifice extrêmement intéressant, construit dans les années 1930 : il a été détruit dans les années 1990. En résumé, il s'agit d'un édifice particulièrement représentatif des maisons du peuple, autant dans son projet que par son architecture et l'idéologie qu'elle met en oeuvre. C'est sans doute l'une des plus précoces dans la région et probablement en France. La première est l'Edifice communal de Montluçon (Allier) construit entre 1897 et 1899, réalisé dans un style très différent mais où l'on retrouve le même souci de monumentalité de la façade et une salle de réunion à charpente métallique, dotée d'une galerie et largement éclairée par une très grande fenêtre ouverte dans le pignon arrière (cf. dossier M.H. par Jacques Raflin, conservation régionale des Monuments historiques, DRAC Auvergne). La Maison du Peuple de Saint-Claude, en Franche-Comté, n'est construite qu'en 1908-1910 (cf. notice Mérimée). La Maison du Peuple de Millau est, de plus, l'une des rares, voire la seule, à avoir à été conservée dans la région. Il s'agit en outre d'un lieu de mémoire aussi significatif de la mémoire ouvrière que les tanneries et mégisseries de la ville. Une politique raisonnée du patrimoine industriel de Millau pourrait envisager la conservation des usines et la récupération des machines, et celle de la Maison du Peuple. Deux spécialistes de l'histoire ouvrière, MM. Alain Boscus, directeur du Musée Jaurès à Castres et chargé de cours l'Université de Toulouse-Le Mirail, et Rémy Cazals, professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Toulouse-Le Mirail, confirment que sa destruction serait une perte. Quel que soit le devenir de l'édifice, il est indispensable de faire réaliser un minimum de relevés conservatoires : plan et coupe, détail des structures métalliques... Les plans du projet initial n'ont, en effet, pas été retrouvés et les photographies ne peuvent rendre suffisamment compte de la structure. L'étude devrait en outre être au moins complétée par un dépouillement plus systématique de la presse locale des années 1890-1920 et par un repérage des édifices équivalents dans la région. Maurice Scellès mars 2002 SOURCES A.M. Millau 1.D.42 : Registre des délibérations du 6 février 1902 au 22 mai 1905, f° 74-76, 20 novembre 1902 (présentation du projet de maison du peuple), f° 116, 29 mai 1903 (approbation des plans et devis ; chantier communal pour le nivellement du sol), f° 177, 27 février 1904 (les travaux avancent rapidement, budget pour le mobilier), f° 202, 15 juillet 1904 (éclairage par des becs Moulin), f° 203, 15 juillet 1904 (report de l'inauguration), f° 212, 18 août 1904 (demande de mise à 4 disposition des locaux), f° 219, 26 septembre 1904 (affectation des salles), f° 223 v°-224 (décompte général des travaux), f° 264 (décompte général des travaux ; réserve sur la vitrerie du dôme), f° 294 (réception des travaux). 1.D.43 : Registre des délibérations du 1er juin 1905 au 17 octobre 1908, f° 26-27 (réception définitive des travaux). SOURCES IMPRIMEES Messager de Millau, 15 octobre 1904, p. 2 (prise de possession des locaux ; critique de l'acoustique) ; 19 novembre 1904, p. 2 (demande d'installation de poêles). BIBLIOGRAPHIE Un siècle d'images millanoises, Maury Imprimeur, 1973, non paginé, 698 illustrations ; n° 192, 193. 5 ILLUSTRATIONS Plan cadastral 1970 Ech. 1/500e Parcelles : 1970.AN.143 Doc. 1 Carte postale ancienne, collection Christian Costecalde. Repro F. LEYGE, Musée de Millau H. GALZIN, PHOTOGRAPHE-EDITEUR Grève des gantiers de 1913-1914 : rassemblement devant la Maison du Peuple. Doc. 2 Carte postale ancienne, collection Christian Costecalde. Repro F. LEYGE, Musée de Millau Grève des gantiers de 1913-1914 : clique des grévistes. Doc. 3 Carte postale ancienne, collection Christian Costecalde. Repro F. LEYGE, Musée de Millau H. GALZIN, PHOTOGRAPHE-EDITEUR Grève des gantiers de 1913-1914 : cuisines communistes dans l'une des "ruelles". Doc. 4 Carte postale ancienne, collection Christian Costecalde. Repro F. LEYGE, Musée de Millau H. GALZIN, PHOTOGRAPHE-EDITEUR Grève des gantiers de 1913-1914 : barbiers communistes dans l'une des "ruelles". Doc. 5 Carte postale ancienne, collection Christian Costecalde. Repro F. LEYGE, Musée de Millau H. GALZIN, PHOTOGRAPHE-EDITEUR Grève des gantiers de 1913-1914 : groupe dans la salle de la Maison du Peuple. 6 Doc. 6 Carte postale ancienne, collection Christian Costecalde. Repro F. LEYGE, Musée de Millau Grève du 27 décembre 1934 à fin mai 1935 : meeting dans la salle de la Maison du Peuple. Fig. 1 Photo. IVR73_021200047ZA PH. POITOU Ensemble des façades sur le boulevard, vues depuis l'est. Fig. 2 Photo. IVR73_021200001NUC PH. POITOU Façade du corps principal sur le boulevard, vue depuis l'est. Fig. 3 Photo. IVR73_021200033NUC PH. POITOU Ensemble vu depuis le nord-est. Fig. 4 Photo. IVR73_021200034NUC PH. POITOU Bâtiment de la Mutualité (actuellement locaux de la CFDT), à l'angle du boulevard Saint-Antoine et de la rue Pasteur. Fig. 5 Photo. IVR73_021200032NUC PH. POITOU "Ruelle" entre la Maison du Peuple, à droite, et la Bourse du Travail, à gauche, vue depuis l'entrée. 7 Fig. 6 Photo. IVR73_021200035NUC PH. POITOU "Ruelle" entre la Maison du Peuple, à droite, et la Bourse du Travail vue depuis l'entrée. Fig. 7 Photo. IVR73_021200012NUC PH. POITOU "Ruelle" entre la Maison du Peuple, à gauche, et la Bourse du Travail, à droite, vue depuis le fond. Fig. 8 Photo. IVR73_021200022NUC PH. POITOU Portail entre la Maison du Peuple et la Bourse du Travail vu depuis la "ruelle". Fig. 9 Photo. IVR73_021200011NUC PH. POITOU Bâtiment de la Bourse du Travail vu depuis le fond de la "ruelle". 8 Fig. 10 Photo. IVR73_021200010NUC PH. POITOU Bâtiment de la Bourse du Travail vu depuis le haut de l'escalier sud. Fig. 11 Photo. IVR73_021200009NUC PH. POITOU Vue arrière (depuis le sud) de la Maison du Peuple avec l'escalier d'accès à la couverture. Fig. 12 Photo. IVR73_021200002NUC PH. POITOU La couverture de la Maison du Peuple vue depuis le musée, à l'ouest (au second plan, les maisons du boulevard). Fig. 13 Photo. IVR73_021200003NUC PH. POITOU La couverture de la Maison du Peuple vue depuis le musée, à l'ouest (au second plan, les maisons du boulevard). Fig. 14 Photo. IVR73_021200004NUC PH. POITOU Terrasse et dôme de la couverture de la Maison du Peuple vus depuis l'angle nord-ouest. 9 Fig. 15 Photo. IVR73_021200005NUC PH. POITOU Terrasse et dôme de la couverture de la Maison du Peuple, liaison avec le fronton de la façade vue depuis le sud. Fig. 16 Photo. IVR73_021200006NUC PH. POITOU Terrasse et dôme de la couverture de la Maison du Peuple vus depuis l'angle sud-ouest. Fig. 17 Photo. IVR73_021200023NUC PH. POITOU Dôme, terrasse et balustrade du couronnement de la façade, partie sud. Fig. 18 Photo. IVR73_021200007NUC PH. POITOU Terrasse et dôme de la couverture de la Maison du Peuple vus depuis l'angle sud-ouest, détail. Fig. 19 Photo. IVR73_021200013NUC PH. POITOU "Ruelle" nord, entre la Maison du Peuple, à gauche, et le Bâtiment de la Mutualité, à droite, vue depuis l'entrée à l'est. 10 Fig. 20 Photo. IVR73_021200014NUC PH. POITOU "Ruelle" nord, entre la Maison du Peuple, à gauche, et le Bâtiment de la Mutualité, vue depuis l'entrée à l'est. Fig. 21 Photo. IVR73_021200015NUC PH. POITOU "Ruelle" nord, entre la Maison du Peuple et le Bâtiment de la Mutualité, à droite, vue depuis l'entrée à l'est. Fig. 22 Photo. IVR73_021200016NUC PH. POITOU "Ruelle" nord, entre la Maison du Peuple et le Bâtiment de la Mutualité, à droite, vue depuis l'entrée à l'est. Fig. 23 Photo. IVR73_021200018NUC PH. POITOU Grille de fenêtre, sur la ruelle nord, des locaux de la CFDT (bâtiment de la Mutualité). Fig. 24 Photo. IVR73_021200019NUC PH. POITOU Pancarte de la CFDT sur le palier de l'escalier nord. 11 Fig. 25 Photo. IVR73_021200041NUC PH. POITOU Toilettes sur le palier de l'escalier nord. Fig. 26 Photo. IVR73_021200020NUC PH. POITOU Escalier nord et coursière vus depuis le palier. Fig. 27 Photo. IVR73_021200021NUC PH. POITOU Rampe de l'escalier nord et de la coursière. Fig. 28 Photo. IVR73_021200031NUC PH. POITOU Partie sud de la scène : on distingue au fond le support en fonte et les poutres métalliques e la structure d'origine. Fig. 29 Photo. IVR73_021200024NUC PH. POITOU Moité sud de la salle vue depuis la scène. 12 Fig. 30 Photo. IVR73_021200025NUC PH. POITOU Moité nord de la salle vue depuis la scène. Fig. 31 Photo. IVR73_021200026NUC PH. POITOU Le balcon, vue de la partie nord. Fig. 32 Photo. IVR73_021200027NUC PH. POITOU Sièges de la salle de spectacle aménagée dans les années 1970. Fig. 33 Photo. IVR73_021200028NUC PH. POITOU Détail d'un siège de la salle de spectacle aménagée dans les années 1970. Fig. 34 Photo. IVR73_021200029NUC PH. POITOU Luminaire de la salle de spectacle aménagée dans les années 1970. 13 Fig. 35 Photo. IVR73_021200030NUC PH. POITOU Luminaire de la salle de spectacle aménagée dans les années 1970. Fig. 36 Photo. IVR73_021200036NUC PH. POITOU Charpente métallique, actuellement masquée par un plafond suspendu : vue du quart sud-ouest. Fig. 37 Photo. IVR73_021200037NUC PH. POITOU Charpente métallique : vue en direction de l'ouest. Fig. 38 Photo. IVR73_021200038NUC PH. POITOU Charpente métallique : détail d'un doubleau. Fig. 39 Photo. IVR73_021200039NUC PH. POITOU Charpente métallique : lierne et doubleau. Fig. 40 Photo. IVR73_021200040NUC PH. POITOU Charpente métallique : retombée d'un doubleau sur le côté nord. 14 15