descriptif enseignements master CITS 2010

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descriptif enseignements master CITS 2010
DÉ PA RTEMENT DES
SCIENCES DE L’ÉD UC ATION
UFR Sciences psychologiques et Sciences de l'éducation
Master cadre d’inter vention
en ter rains sensibles
(Master CITS)
année 2010-2011
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Vous trouverez dans ce document :
I- La liste des membres de l’équipe 2010-2011 intervenant dans le master « cadres d’intervention en
terrains sensibles » : enseignants permanents, chargés de cours, secrétariat.
II- Des informations sur CitéS, l’association des étudiants de la formation.
III- Des informations sur SpécifiCités, la revue de la formation
IV- Une présentation des objectifs généraux de la formation
V- Le descriptif des enseignements et leurs modes de validation 2010-2011
VI- Les cahiers des charges pour la rédaction des mémoires de M1 et les mémoires de M2
VII- Des informations sur l’équipe de recherche « Crise, école, terrains sensibles » porteuse du
master « Cadres d’intervention en terrains sensibles ».
VIII- Des informations institutionnelles concernant la vie du département des sciences de
l’éducation
IX- Le schéma des études supérieures à l’issue de la réforme LMD
X- La mise en œuvre du LMD 2 2009-2012 : Les modalités de contrôle des connaissances et des
compétences, règles déontologiques, charte des examens
Les étudiants sont invités à prendre soigneusement connaissance des règles votées par les Conseils
de l’université en matière de contrôle des connaissances et de gestion des absences.
XI- Informations pratiques : adresses et glossaire
Le calendrier des enseignements fait l’objet d’un document séparé.
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.
I
Equipe CITS 2010-2011
Permanents du département des sciences de l’éducation :
Halima Belhandouz, responsable relations internationales : [email protected]
Hervé Cellier, coordination pédagogique M1 : [email protected]
Marie Anne Hugon, responsable de la formation : [email protected]
Fanny Salane : congé 1er semestre 2010-2011
Alain Vulbeau , coordination pédagogique M2, stages : [email protected]
Intervenants, chargés de cours :
Elizabeth Bourgain, élue locale, militante associative,
Jonathan Kaplan, formateur,
Bénédicte de Lataulade, sociologue, consultante,
Dieynébou Fofana, Sciences de l’éducation, Université Rouen,
Sébastien Pesce, consultant, chargé de cours, Sciences de l’éducation , Université Tours,
Joelle Longerinas, formatrice, militante associative,
Yazid Kherfi, consultant en prévention urbaine,
Alain Lenfant, économiste,CREFOP,Nanterre,
Catherine Rhein, géographe,CNRS,
Bruno Robbes,Sciences de l’éducation,Université Cergy Pontoise,
Zina Ouaglal doctorante en Sciences de l’éducation (plate-forme de la formation CITS)
Secrétariat :
Laure Magne : [email protected]
Julien Magnier : [email protected]
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II
CitéS
L’association des étudiants de la formation
L’association CitéS a été fondée par des étudiants et anciens étudiants du master « Cadres
d’intervention en terrains sensibles ». Cette association vise à promouvoir la formation afin de
favoriser l’insertion des étudiants et le développement de leur activité professionnelle. L’association
développe différents projets et activités en lien étroit avec la formation et défend une culture des
terrains sensibles.
Elle soutient les projets montés chaque année par la promotion des étudiants de master 2. Elle est
impliquée dans la revue des terrains sensibles SpécifiCités. L’association monte également des
actions et des projets en relation avec la formation, favorisant ainsi les liens entre anciens étudiants
et étudiants en cours de formation.
Pour tout contact :
[email protected]
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III
La revue SpécifiCités
La revue SpécifiCités, créée en 2008, est une revue annuelle animée par des étudiants, d’anciens
étudiants et l’équipe des enseignants et intervenants du master CITS.
La revue est éditée par les éditions Matrice et l’association CitéS des cadres d’intervention en
terrains sensibles. Elle est dirigée par un des enseignants de la formation : Hervé Cellier (m. de
conf. HDR). Son rédacteur en chef est Olivier Brito (Master CITS promotion 2008-2009).
La revue édite une sélection d’articles dont les auteurs sont des étudiants et anciens étudiants du
master CITS, des universitaires et des professionnels des terrains sensibles.
En cours de formation, les activités de la promotion de master 2 sont en lien étroit avec la
réalisation d’un dossier pour la revue autour du thème prioritaire retenu pour l’année.
En 2009, le thème retenu était la notion d’«enfant fragile». Un dossier sous le titre
« Attention enfant fragile », coordonné par Hervé Cellier, est paru dans le numéro 2 de
SpécifiCités de janvier 2010.
Contact : [email protected]
En 2010, le thème retenu est : l’éducation dans la ville, par la ville. Un dossier intitulé :
« l’éducation par les territoires : villes éducatrices, villes apprenantes.», coordonné par Alain
Vulbeau paraîtra dans le numéro 3 de la revue, en janvier 2011.
Contact : alain.vulbeau @free.fr
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IV
Objectifs généraux de la spécialité de master professionnel en sciences
de l’éducation : « cadre d’intervention en terrains sensibles »
(extraits de la maquette 2010)
Merci de lire attentivement cette présentation des objectifs généraux de la formation avant de
prendre connaissance des contenus des enseignements
Objectifs d’apprentissage de la spécialité en termes de connaissances
Outre les fondements méthodologiques du travail universitaire, la spécialité « cadres d’intervention en
terrains sensibles » vise à faire acquérir des connaissances s’inscrivant dans différents champs de savoirs :
sociologie de la jeunesse, pédagogie de la difficulté, psychopathologie de l’adolescent, anthropologie
culturelle, géographie urbaine, analyse des institutions et de l’action publique locale, concernant les
différents niveaux de l’intervention éducative en terrains sensibles :
- connaissance de l’environnement social et juridique du champ ;
- la politique de la ville, les politiques scolaires et les politiques territorialisées ;
- la connaissance des espaces publics (usages et fonctions) ;
- les violences juvéniles et institutionnelles à l’école et autour de l’école ;
- les problématiques du décrochage et de la désaffiliation ;
- crise et changement dans les institutions et les territoires ;
- expérimentations et innovations : méthodologie et évaluation ;
- métiers de la crise en milieu urbain et interventions territorialisées ;
- les pédagogies de la ville, de l’établissement, de la classe ;
- les processus de coopération et de participation ;
- les apports des sciences humaines à la compréhension de la problématique ville /école.
Objectifs d’apprentissage de la spécialité en termes de compétences.
A l’issue de ce parcours, les étudiants auront acquis des compétences opérationnelles dans les domaines
suivants :
- la découverte et l‘exploration de terrains sensibles (cf.la géographie prioritaire de la politique de la
ville),
- le diagnostic territorial,
- l’expertise de situations de crise,
- l’intervention en terrains sensibles (établissements, quartiers d’habitat social…),
- l’animation d’équipes et la mobilisation des acteurs partenaires et plus généralement le travail avec
collectifs et réseaux,
- l’utilisation de différentes techniques de communication,
- la conception, la réalisation et l’évaluation de projets impliquant une approche territoriale et partenariale des
questions scolaires, éducatives, socio-culturelles et d'insertion des jeunes,
- les démarches de recherche action et de recherche intervention.
Objectifs d’apprentissage de la spécialité en termes de compétences métier.
- effectuer un diagnostic territorial à partir de la sélection et de l’analyse de données quantitatives et
qualitatives, globales et spécifiques
- formuler des préconisations
- concevoir des réponses adaptées et construire, développer ou faire développer des projets d’intervention
et mettre en place les outils d’évaluation adéquats
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-
faciliter l’expression, la participation et la coordination des partenaires impliqués
se constituer et faire vivre un réseau de personnes ressources`
On sera attentif à la très forte articulation entre les enseignements assurés par les enseignants chercheurs, les
enseignements assurés par les professionnels, les deux stages de terrain et les projets menés dans le cadre de
la formation. Ainsi en M1 S1, la notion de diagnostic territorial est centrale. Elle fait l’objet d’un
enseignement spécifique au premier semestre et irrigue l’ensemble des enseignements. Après un
entraînement collectif au diagnostic territorial dans le cadre d'initiations à l'enquête en S1, il est en effet
attendu de l’étudiant qu’il puisse dans le cadre de son stage individuel du second semestre poser un
diagnostic territorial pertinent. De même, les travaux conduits sur les concepts et notions dans les cours dits
théoriques doivent alimenter la construction de sa problématique.
En M1 S1, la notion de projet est abordée dans le cadre de cours communs à la spécialité de master CITS et à
la spécialité de master AEIS. En M2, cette notion est reprise et opérationnalisée : les étudiants conçoivent,
conduisent à terme et évaluent un projet collectif dont ils sont les maîtres d’œuvre pendant les deux
semestres de S3 et S4. Dans le cadre de la formation, ils expérimentent ainsi des situations professionnelles
de travail sur projet en collectif qu’ils seront amenés à connaître. Parallèlement, chaque étudiant est incité à
développer une analyse de son projet personnel de professionnalisation.
Diagnostic territorial et projet, ces deux termes concernent les professionnalités (chef de projet,
coordonnateur, etc) et le registre de l’ingénierie (conception réalisation évaluation) ; sur le fond , les
contenus des enseignements portent sur les crises qui affectent les terrains sensibles, ce qui amène à étudier
leurs formes (violence, décrochage, relégation, ethnicisation, etc), les dispositifs qui s’efforcent de les
prendre en charge (dispositifs innovants, pédagogies spécifiques, etc..) et les valeurs ou paradigmes en jeu
(reconnaissance, démocratie d’apprentissage, post-colonialisme, relations générations/institutions).
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V
Descriptif des enseignements de master 1 et master 2
Cadre d’intervention en terrains sensibles
MASTER 1 – CITS
PREMIER SEMESTRE
Unité Transversale : Connaissance des milieux professionnels PMSUT 121
( 3 ECTS)
PMS CM 105 - Connaissance des milieux professionnels
Coordination : Marie-Anne Hugon
Cet EC vise à présenter synthétiquement un panorama des environnements de travail et des diverses
professionnalités dans lesquels le Master 1 Cadres d’intervention en terrains sensibles (CITS) trouve ses
lieux d’exercice Les interventions des professionnels invités (9 séances sur dates) se déroulent les lundis et
mardis au premier semestre. La validation de l’EC portera sur la présentation d’une interview d’un
professionnel, retranscrite et analysée.
Unité Disciplinaire : Stage et note de stage
PMSUD121
(7 ECTS)
PMS ME102 - La problématique du travail de terrain
Collectif.
Le stage en immersion en milieu professionnel est un stage de découverte . Il peut être effectué dans les
espaces sociaux les plus variés : service jeunesse d’une collectivité territoriale, fondations, entreprise du
secteur de l’économie sociale ou de service public, association locale, équipement des secteurs sociaux,
éducatifs, scolaires et de formation.
Le stage peut être proposé par l’étudiant ou par les responsables de la spécialité.
Au premier semestre, le stage a pour but d’ouvrir les étudiants aux réalités et aux problématiques d’un
terrain. Le travail de terrain sera mené par un étudiant ou un petit groupe d’étudiants. Le séminaire est
consacré à l’accès au terrain et au repérage du paysage institutionnel local et à l’acquisition d’instruments
méthodologiques. Des séances spécifiques sont consacrées à la réalisation de la note d’étape. L’étudiant est
suivi par un tuteur.
Validation : A l’issue du premier semestre, l’étudiant remet à Hervé Cellier, coordonnateur de la formation
niveau master 1 une note d’étape qui permettra d’apprécier l’avancée du travail de l’étudiant concernant son
stage et la rédaction de son mémoire .
Unité Disciplinaire : Parcours spécifiques
PMSUD122
(10 ECTS)
PMS P1 105 – Découverte de la notion de projet (5ects)
Coordination : Alain Vulbeau
Par une série d’exposés, cet EC présente les principales caractéristiques de démarches de projets en tenant
compte des environnements de travail et des diverses professionnalités dans lesquels le parcours de Master 1
Cadres d’intervention en terrains sensibles (CITS) trouve ses lieux d’exercice. Seront présentés des
pratiques et des projets éducatifs dans des milieux variés à l’école et hors de l’école et dans les institutions
socio-éducatives On en tirera les grandes lignes des notions de projet, partenariat et réseau leurs invariants
et leurs spécificités.
Validation : rédaction d’une synthèse personnelle du séminaire sous forme d’article de revue, d’environ
20 000 signes.
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Indications bibliographiques :
Boutinet, J-P., (1990), Anthropologie du projet, Paris : Puf.
PMSCG 102 – Initiation aux techniques d’animation de réunion (5 ects)
Sébastien Pesce.
Par l’approche psychosociologique, cet EC à visée de sensibilisation a pour objectifs de définir et de
s’approprier des concepts, notions, démarches, comme autant de référents aux pratiques pour observer et
analyser les processus à l’œuvre dans les situations de réunions, évaluer et choisir des méthodes de travail et
des techniques adaptées dont disposent les professionnels concernés par l’animation d’équipes. Une
approche des savoir-faire est recherchée par des travaux en petits groupes, des exposés, des discussions, des
études de cas, des exercices individuels et collectifs.
Validation : une étude de cas réalisée en séance
Unité Disciplinaire : diversification thématique PMSUD 123
(10 ECTS)
PMSAN102 - Approches notionnelles : crise, école, terrains sensibles, violences juvéniles, violences
institutionnelles (5ects)
Hervé Cellier
Dans un premier volet, on présentera et analysera des phénomènes de violence qui affectent l’école, les
institutions éducatives et l’espace de la ville. On se focalisera d’une part sur les violences juvéniles dans et
hors des institutions éducatives et scolaires et d’autre part sur les violences institutionnelles. Les phénomènes
seront abordés dans plusieurs dimensions : la notion de violence et les théories qui la sous tendent, le
repérage et l’analyse de situations de violence, les actions de prévention. Dans un second volet, à partir de
l’étude multifactorielle des phénomènes de violence et de délinquance, on se focalisera sur les moyens de
prévenir et de réduire ces phénomènes.
Indications bibliographiques :
Cellier H., (2010), La démocratie d’apprentissage, Paris : L’Harmattan.
Cellier, H., Casanova R., Robbes B.(2005), Situations violentes : comprendre et agir, Paris : Hachette.
Kherfi, Y. (2000), Repris de justesse, Paris : La Découverte.
Validation :
1. Une étude individuelle sur un dispositif ville ( Cucs, réussite éducative ou autre) présentée en cours et
rendue à l'enseignant en format Word rtf.
2. Une fiche de lecture sur un article de la revue SpécifiCitéS ou un article de l'ouvrage suivant : Cellier, H.
& Rouag-Djenidi (2008). Algérie France: Jeunesse, ville et marginalité, Paris/Alger, Paris :
L’Harmattan/Chihab.
Prévoir l’achat d’un numéro de la revue (25€).
La note est constituée par la moyenne des deux travaux.
PMSDE102 - le diagnostic éducatif en milieu scolaire et urbain : approches théoriques et conduite
d’une enquête de terrain (5 ects)
Catherine Rhein/ Halima Balhandouz en collectif. Bénédicte de la Taulade g.1, Dieynébou Fofana g.2
L’objectif d’ensemble de cet enseignement est de fonder les bases d’une culture, d’une méthodologie
commune et d’un souci éducatif partagé entre les différents professionnels intervenant sur les questions
scolaires et de jeunesse. D’une part, on situera l’école dans la ville contemporaine en développant une
approche de la ville comme ressource éducative et scolaire. C’est dans la pensée de la ville que seront
analysés les espaces scolaires et éducatifs : la politique de la ville, son histoire et ses expressions actuelles
l’émergence de la prise en compte par les politiques scolaires de la préoccupation territoriale. D’autre part,
dans le cadre d’enquêtes de terrain, les étudiants seront initiés au diagnostic territorial appliqué au milieu
urbain et au milieu scolaire.
Indications bibliographiques :
Avenel, C.(2004). Sociologie des quartiers sensibles, Paris : Armand Colin.
Donzelot, J. (2003). Faire société, Paris : Seuil.
Payet, JP. (1997). Collèges de banlieue, Paris : Armand Colin.
Van Zanten, A. (2001). L’école de la périphérie, Paris : PUF.
Vieillard Baron, H., Anderson, A. (2003). La politique de la ville, ASH Eds. 2ème édition.
Evaluation : Dossier collectif à partir de l'étude d'un territoire
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MASTER 1 – CITS
SECOND SEMESTRE
U Transversale : langue PMSUT 221 (3 ECTS)
PMS LA205 - Recherche documentaire en langue étrangère (3ects)
Intervenant : Jonathan Kaplan
Objectif général de l’enseignement : Améliorer la maîtrise de l’anglais pour un usage professionnel et
universitaire.
Objectifs pédagogiques ou intermédiaires : S’exercer à la lecture des articles de niveau scientifique pour les
comprendre. Communiquer sur leurs contenus et exprimer ses propres idées oralement et par l’écrit. Le
vocabulaire utilisé dans l’éducation et la formation est le point focal.
Contenu du cours dans ses grandes lignes : Lecture d’articles en anglais parus dans des revues scientifiques,
échanges entre pairs, présentations et rédaction en anglais.
Mises en situation envisagées : Apprentissage coopératif incluant des tâches à réaliser individuellement et
collectivement.
Type d’évaluation : Formative et qualitative, basée sur la compréhension et le respect des consignes, la
réalisation des tâches, l’effectivité des échanges et de l’entraide, et sur une production finale (présentation
orale et/ou écrite).
Bibliographie : Articles parus durant l’année n-1 dans huit revues scientifiques en anglais, présents à la BU
U Disciplinaire : Stage et note de stage (10 ECTS)
PMS ME 202 - Stage en immersion, production d’un mémoire en fin de stage (10 ects)
Collectif sur dates
Séminaires sur dates rassemblant tuteurs et étudiants . Ces enseignements font suite à PMS SE 102.
Au second semestre, l’accent est mis sur la production du mémoire proprement dit. Le stage doit conduire à
la rédaction d’une monographie dans laquelle les éléments d’observation récoltés au cours du stage de
découverte sont remis en perspective par une analyse contextualisée où seront confrontées les données
recueillies avec les concepts de partenariat institutionnel, de pratiques territorialisées, de projet, de réseau
travaillés dans les autres enseignements. Le volume et les caractéristiques du travail demandé font l’objet
d’un cahier des charges. Le mémoire donne lieu à une soutenance orale.
Validation : mémoire + soutenance orale devant jury mixte.
U Disciplinaire : Repères pour les pratiques PMSSUT 222 (9 ECTS)
PMS ES 202 - Projet et intervention . Environnement social et juridique de la formation (3ects)
1ère partie : Alain Lenfant (12h) 2ème partie : Yazid Kherfi (12h)
La première partie du cours « Environnement social et juridique de la formation » prépare les étudiants à se
repérer dans le paysage institutionnel, à distinguer les périmètres d’intervention et les espaces de
coopération des différentes institutions et partenaires de l’action publique et à saisir leur structuration et
leur fonctionnement. Seront abordées en particulier les notions de décentralisation et de déconcentration.
Les étudiants seront également amenés à travailler sur le fonctionnement des associations loi 1901 Des
exemples d’intervention partenariale en milieu urbain seront présentés dans la 2ème partie intitulée « Projet et
intervention » .
Validation : simulation études de cas.
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PMSEI202 - Expérimentations et innovations à la ville et à l’école (3 ects)
En alternance : Marie Anne Hugon et Alain Vulbeau
Des expérimentations en termes de dispositifs pédagogiques et de projets institutionnels se font au quotidien
dans les quartiers, les institutions, les écoles. On peut en ce sens étudier dans la ville globale tout ce qui
participe de l’expérimental des sociétés d’aujourd’hui.
On s’intéressera dans cet enseignement à tous les réseaux éducatifs formels et informels qui prennent la ville
et le territoire pour appui ; une attention particulière sera apportée aux expériences d’apprentissage de la ville
et de la citoyenneté avec leurs effets en retour sur les apprentissages scolaires. A partir de cette réflexion sur
la thématique de l’expérimentation/innovation dans la ville et à l’école, on abordera diverses démarches de
recherches actions et d’action participative en collaboration avec les populations et les problèmes éthiques et
politiques que soulèvent ces pratiques sociales.
Indications bibliographiques :
Dubouchet, L. & Vulbeau, A. (1999). Des expérimentations sociales et des jeunes, Vigneux : Matrice
Hugon M-A, (2006), « Les pédagogies nouvelles : quel apport pour l’école d’aujourd’hui ? », in N.Mosconi
(dir.), traité des sciences et des pratiques de l’éducation , Paris : Dunod, pp 421-432.
Validation : dossier individuel sur l'analyse d'une innovation/expérimentation
PMS PD 202 - Pédagogie de la difficulté (3 ects)
Hervé Cellier
À propos de certains enfants et adolescents, on parle aujourd’hui de difficultés et de situations
d’inadaptation, de décrochage, de désaffiliation. Différents acteurs professionnels y consacrent leur métier.
On se propose dans cet EC de présenter des problématiques éducatives ayant trait à la difficulté, au
décrochage scolaire, à la situation de handicap ou encore à la précocité intellectuelle. Des démarches
spécifiques seront présentées.
Indications bibliographiques :
Cellier H., (2007), Précocité à l’école : le défi de la singularité, Paris : L’Harmattan.
Cellier, H.,(2004), Difficultés de lecture : enseigner ou soigner, Paris : Puf.
Hugon M-A, Pain J.(2002), Classes relais, l’école interpellée, Amiens : CNDP Amiens /Crap
Validation : Analyse d’un ensemble de documents devoir sur table.
U Disciplinaire : Diversification thématique PMSUT 223 (8 ECTS)
PMS SJ 202 - Sociologie de la jeunesse (5ects)
En collectif (15h) : Alain Vulbeau 15h, En groupes (15h) : g1 B de La Taulade, g2 D.Fofana
Cet enseignement fera le point sur la constitution de la catégorie « jeunesse», sur l’état des savoirs
concernant les jeunes et sur les politiques publiques en direction de la jeunesse. On montrera comment les
jeunes interpellent aujourd’hui les politiques de la ville. Une partie du cours s’effectue sur site dans le cadre
de diagnostics de terrain.
Indications bibliographiques :
Avenel, C. (2004). Sociologie des quartiers sensibles, Paris : Armand Colin
Donzelot, J. (dir) (2003). Faire société : la politique de la ville aux États-Unis et en France, Paris : Seuil
Validation : Dossier (possibilité de lien avec problématique de la note d’étape).
PMS PA 202- Problématique de l’altérité (3ects)
Halima Belhandouz
Cet EC a pour objet de questionner le champ social français dans ses rapports à l’altérité à travers trois de ses
instances institutionnelles fortes Ecole, Travail social, Justice. Deux paradigmes seront plus particulièrement
explorés : d’une part, les structures fondatrices (historique, idéologique, épistémologique, juridique……)
constitutives d’une certaine conception de l’autre, de « l’étranger » en France et d’autre part, les dimensions,
représentations et expressions de soi et de l’ordre social chez certaines cultures minoritaires fortement
présentes dans certains espaces sociogéographiques communément appelées « quartiers sensibles,
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banlieues… ». Le projet étant de dégager les situations de résistances voire de conflits de socialisation et de
sociabilités notamment juvéniles provoqués par les écarts de sens dans la compréhension de l’éducatif et du
« vivre ensemble ». Des ouvertures de cette analyse seront faites en approche comparée sur d’autres pays
européens
Indications bibliographiques :
Goffman E. (1974), Les rites d’interaction, Paris : Editions de Minuit.
Sabatier, C ., Malewska H., Tanon F., (2002), Identités, acculturation et altérité, Paris : L’Harmattan.
Validation : Un dossier à deux étudiants maximum sera demandé proposant une étude de cas soutenue par
un cadrage théorique de la problématique étudiée.
MASTER 2 – CITS
PREMIER SEMESTRE
U Transversale : professionnalisation (3 ECTS)
PMS TS 302 - Intervenir en terrains sensibles : les problèmes éthiques et épistémologiques de
l’intervention , PMSRP 302 : Les réseaux à vocation professionnelle.
Hervé Cellier
Ces enseignements visent à promouvoir une réflexion axiologique sur les questions éducatives. Seront
abordées notamment la théorie de l’engagement et une réflexion sur les valeurs des éducateurs.
Indications bibliographiques :
Cellier H (2003), Une éducation à la démocratie, Paris : PUF.
Validation : Une note de lecture sur un ouvrage récent susceptible d’être publiée dans la rubrique de la revue
SpécifiCitéS « Notes de lecture ».
U Disciplinaire : Stage et note de stage
PMSUT221
(9 ECTS)
PMS ME302 - Approche du terrain
Collectif
Les stages auront lieu dans des terrains variés. Tous les lieux de dimension de socialisation et d’éducation
dans la ville peuvent être envisagés. Pour les professionnels, après accord de l’équipe pédagogique, le stage
peut être intégré dans la pratique professionnelle. L’accompagnement de l’étudiant est assuré par un tuteur
dans le cadre d’un séminaire sur dates. Ce séminaire est consacré à l’aide à la construction de la
problématique du mémoire et à des conseils méthodologiques.
Validation : A l’issue du premier semestre, l’étudiant remettra à Alain Vulbeau, coordonnateur du niveau 2
de la formation, une note d’étape qui permettra d’apprécier l’avancement des travaux concernant le stage et
la rédaction du mémoire.
Unité Disciplinaire : approfondissements théoriques (12 ECTS)
PMS CE302 – Séminaire Crise, école, terrains sensibles (6 ects)
Séminaire commun avec la formation master 2 recherche
PMS SC 302 – Analyse des situations de crise : méthodologie du diagnostic et de l’intervention (6 ects)
Yazid Kherfi / Bruno Robbes en alternance
Des situations concrètes de crise apportées par les enseignants voire par les étudiants seront analysées, à la
lumière d’approches théoriques et méthodologiques du diagnostic et du projet en terrain sensible. A partir du
repérage d’indicateurs pertinents, des réponses opérationnelles et contextualisées seront élaborées, de même
que la mise en place de dispositifs d’intervention de nature à apporter des réponses préventives durables.
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Cet enseignement se donne pour objectif de doter les participants d’une méthodologie du diagnostic et de
l’intervention face aux situations de crise qu’ils peuvent être amenés à rencontrer dans leur exercice
professionnel.
Indications bibliographiques :
Carra C., Faggianelli D.(2006), Ecole et violences,Paris : La documentation Française (Problèmes politiques
et sociaux, n°923)
Casanova R., Cellier H., Robbes B.(2005), Situations violentes à l’école : comprendre et agir, Paris :
Hachette.
Lagrange H., Oberti M. (dir.)(2006), Emeutes urbaines et protestations. Une singularité française, Paris :
Presses de Sciences Po.
Le Goaziou V., Mucchielli L. (dir.)(2006), Quand les Banlieues brûlent… Retour sur les émeutes de
novembre 2005, Paris : La Découverte.
Site de l’académie de Versailles, Du diagnostic de sécurité de l'établissement scolaire au plan de prévention
de la violence, http://www.caaee.ac-versailles.fr/DSES.HTM
Souliez C.(2001), Lexique de la sécurité, Paris : P.U.F.
Validation : L’évaluation comportera deux aspects : un dossier écrit individuel portant sur l’analyse d’une
situation de crise (urbaine ou en milieu scolaire), une présentation orale de ce dossier.
U Disciplinaire : approfondissement méthodologique
(6 ECTS)
PMSVE302 - Analyse de démarche de partenariat ville/école (3 ects)
Marie Anne Hugon et Alain Vulbeau en alternance
Dans cet EC dans la continuité de l’EC de M1 « expérimentations et innovations à la ville et à l’école », on
se propose de construire les bases d’une culture commune et d’un souci éducatif partagé entre les différents
professionnels intervenant sur les questions scolaires et de jeunesse. Les dispositifs et les acteurs des
politiques de la ville et des politiques d’éducation prioritaire seront analysés pour aller vers la compréhension
des logiques des systèmes. Seront approfondies et discutées les notions de territoires, réseau, partenariat,
ville éducative.
Indications bibliographiques :
Vilarrasa A., Bier B., Richez J-C., (dirs.) (2007), « Villes éducatrices. L’expérience du projet de Barcelone »,
Cahiers de l’action n°17.
CNDP (2006), « Ville éducatrice, ville humaine », Diversité, n°145.
Validation : dossier individuel sur l'analyse d’un dispositif partenarial (possibilité de lien avec la
problématique du mémoire)
PMSPT302 - Conduite de projet en terrains sensibles (3 ects)
Joelle Longérinas
Cet EC est articulé avec les EC PMS CP 402 (Joëlle Longérinas) et PMS ES 402 (Hervé Cellier)
Ces EC sont pris en charge par un enseignant au premier semestre et par deux enseignants au second
semestre mais ils permettent de mettre en lien et en oeuvre tous les enseignements de la formation.
L'ensemble de l'équipe enseignante du Master est en effet engagée dans la mise en oeuvre du projet par les
étudiants. Ces enseignements ont pour objectif de sensibiliser les participants aux questions méthodologiques
et théoriques qui se posent lors de l’élaboration d’un projet. Sont examinées les différentes étapes d’un
projet de sa conception à sa mise en oeuvre et à son évaluation. Les apports en question sont opérationnalisés
à travers la conception et la réalisation de projets collectifs rassemblant l’ensemble de la promotion
d’étudiants. Ces projets varient selon les années. Le projet qui se déroule sur les deux semestres
universitaires, sert de support à l’évaluation des étudiants.
Validation : au premier semestre, la validation se fait sur un travail individuel ; au second semestre la note
attribuée à la fin de cet EC validera la qualité et l’avancée de la réalisation collective. .
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MASTER 2 CITS
SECOND SEMESTRE
U Transversale : langue (3ECTS)
PMS LA405 - Recherche documentaire en langue étrangère (3 ects)
Intervenant : Jonathan Kaplan
Objectif général de l’enseignement : Améliorer la maîtrise de l’anglais pour un usage professionnel et
universitaire.
Objectifs pédagogiques ou intermédiaires : S’exercer à la lecture des articles de niveau scientifique pour les
comprendre. Communiquer sur leurs contenus et exprimer ses propres idées oralement et par l’écrit. Le
vocabulaire utilisé dans l’éducation et la formation est le point focal.
Contenu du cours dans ses grandes lignes : Lecture d’articles en anglais parus dans des revues scientifiques,
échanges entre pairs, présentations et rédaction en anglais.
Mises en situation envisagées : Apprentissage coopératif incluant des tâches à réaliser individuellement et
collectivement.
Type d’évaluation : Formative et qualitative, basée sur la compréhension et le respect des consignes, la
réalisation des tâches, l’effectivité des échanges et de l’entraide, et sur une production finale (présentation
orale et/ou écrite).
Bibliographie : Articles parus durant l’année n-1 dans huit revues scientifiques en anglais, présents à la BU.
U Disciplinaire - Stage et mémoire professionnel (12 ECTS)
PMSME402 - production d’un mémoire en fin de stage
Collectif
Le mémoire doit présenter en premier lieu une analyse des lieux à dimension de socialisation et d’éducation
observés au cours du stage dans l’intention de dresser une topographie culturelle problématisée des
ressources du territoire étudié. Ces observations et les analyses qui en découlent doivent aboutir à la
construction d’un projet en vraie grandeur et donc à l’élaboration de matériaux utiles pour la réflexion et
l’action des acteurs et des institutions dans la ville qui portent la question de la jeunesse. Ces recherches
doivent pouvoir contribuer au ressourcement des acteurs et des institutions concernées . L’étudiant est suivi
par un tuteur membre de l’équipe pédagogique dans le cadre du séminaire d’accompagnement. Le volume et
les caractéristiques font l’objet d’un cahier des charges. Le mémoire fait l’objet d’une soutenance devant un
jury mixte composé d’universitaires et de professionnels.
Validation : mémoire+ soutenance orale
U Disciplinaire : Compléments théoriques et méthodologiques (15 ECTS)
PMS SH 402 - Apport des sciences humaines pour la compréhension des questions éducatives et
scolaires en terrains « sensibles » (5 ects)
Halima Belhandouz et différents intervenants
Diverses approches disciplinaires ( histoire, anthropologie, sociologie, géographie, économie….) sont
sollicitées pour comprendre et analyser les situations de crise dans les instances éducatives et scolaires
formelles et informelles dans les quartiers « vulnérables » car vulnérabilisés par l’histoire des lieux, les
conditions économiques, les conflits de représentation liées aux substrats culturels des codes sociaux…..
Le projet de cet EC est de déconstruire pour reconstruire des indicateurs scientifiques de connaissance et
d’évaluation des espaces qui se caractérisent ou sont caractérisés comme étant des « territoires sensibles ».
Indications bibliographiques :
Noiriel Gérard (2002), Atlas de l’immigration en France, Editions Autrement.
Tissot S, (2007), L’État et les quartiers. Genèse d’une catégorie de l’action publique, Paris : Seuil.
Validation : une étude de cas de situation éducative problématisée, en lien possible avec le lieu de stage,
impliquant une entrée disciplinaire particulière.
14
PMSCP402 - Conception et réalisation de projet niveau II ( 5 ects)
Joelle Longérinas
Cet EC est articulé avec les EC PMS CP 302 (Joëlle Longérinas) et PMS ES 402 (Hervé Cellier)
Il est consacré à la finalisation du projet collectif initié au 1er semestre dans le cadre de l’EC PMS CP 302 et
à un retour réflexif sur les stratégies et dispositifs mis en place à l’occasion de ce projet.
Validation : L’évaluation collective portera sur le projet développé par les étudiants pendant l’année .
PMS ES 402 - Les enjeux sociaux de l’intervention, la question des valeurs et la construction de
l’identité professionnelle (5 ects)
Hervé Cellier
Cet EC fait suite aux EC PMS TS 302 et PMSRP 302. Il vise à promouvoir une réflexion axiologique sur les
questions éducatives. Validation : l’évaluation portera sur les articles collectifs écrits en vue d’une
publication dans la revue Spéci fiCitéS.
15
VI
Cahiers des charges
Mémoire de Master CITS 1ère année
En niveau M1, le stage est centré sur le suivi d’un projet éducatif territorialisé. Le mémoire a pour
but de produire une analyse du projet éducatif à partir de ce suivi et de l’ensemble des apports de la
formation.
Volume : 100000 signes, bibliographie comprise.
Le mémoire comprend au moins les parties suivantes :
Table des matières
Présentation : le parcours de l’étudiant jusqu’à l’arrivée en stage
Données générales
Concepts et notions en jeu.
Dispositifs et mesures au plan national.
Problématique traitée dans le mémoire.
Données contextuelles
Le territoire (données historiques et géographiques).
Le contexte du projet ( données administratives, politiques, sociales).
Fonctionnement du projet : ressources, partenaires, organigramme, communication
interne et externe , actions développées , acteurs : missions, rôle
Analyse du stage
Déroulement du stage : analyse des positionnement du stagiaire, des missions
effectuées, de son implication
Modes de collecte et d’analyse des données : documentation écrite,entretiens etc…
Situations observées : analyse de ces situations
Propositions d’actions concrètes
Retour sur l’ensemble de la démarche
Bibliographie
Résumé sur le quatrième de couverture avec mots-clé.
Le mémoire devra satisfaire aux exigences d’un travail académique (correction de la langue et de la
présentation du document : références, bibliographie raisonnée, table des matières
,problématisation, analyse critique des informations).
On devra pouvoir repérer :
La maîtrise des compétences de type académique
La qualité de l’investissement dans le stage
La capacité à l’analyse des situations rencontrées
La capacité à concevoir des propositions d’actions pertinentes et opérationnelles
L’ avancement du travail fait l’objet de mises au point régulières avec le tuteur de mémoire. Le
mémoire fait l’objet d’une soutenance orale devant un jury mixte.
16
Cahier des charges
Mémoire de Master CITS 2ème année
En niveau 2, le stage se fonde sur la connaissance d’un dispositif ou d’un service dans ses relations
avec le thème de l’éducation territorialisée. Le mémoire de stage a pour objectif de rendre compte et
d’analyser le service ou le dispositif à partir de la connaissance du terrain, des professionnalités et
des apports de l’ensemble de la formation .
Volume : 150000 signes , bibliographie comprise .
Le mémoire comprend au moins les parties suivantes :
Table des matières
Présentation : le parcours de l’étudiant jusqu’à l’arrivée en stage
Données générales
Concepts et notions en jeu
Dispositifs et mesures au plan national
Problématique traitée dans le mémoire
Données contextuelles
Le territoire (données historiques et géographiques)
Le contexte ( données administratives, politiques, sociales)
Fonctionnement du projet : ressources, partenaires, organigramme, communication interne
et externe, actions développées, acteurs : professionnalités, missions, rôles.
Analyse du stage
Déroulement du stage : analyse des positionnements du stagiaire, des missions effectuées, de
son implication.
Modes de collecte et d’analyse des données : documentation écrite,entretiens etc.
Situations observées : analyse de ces situations avec focalisation sur les modes
d’intervention des acteurs.
Propositions d’actions concrètes concernant les postes de travail et les missions des acteurs
Définition de fiches de postes.
Retour sur l’ensemble de la démarche
Bibliographie
Résumé sur le quatrième de couverture avec mots-clé
Le mémoire devra satisfaire aux exigences d’un travail académique (correction de la langue et de la
présentation du document : références, bibliographie, table des matières, problématisation, analyse
critique des informations).
On devra pouvoir repérer :
La maîtrise des compétences de type académique.
La qualité de l’investissement dans le stage.
La capacité à l’analyse des situations en relation avec l’analyse des postes de travail.
La capacité à concevoir des propositions d’actions pertinentes et opérationnelles.
L’avancement du travail fait l’objet de mises au point régulières avec le tuteur de mémoire. Le
mémoire fait l’objet d’une soutenance orale devant un jury mixte.
17
VII
L’ Equipe de recherche « Crise, École, Terrains sensibles »
(extraits brochure)
L’équipe a été fondée en 1993 par Jacques Pain, professeur émérite. Elle est actuellement dirigée par Alain
Vulbeau. C’est une des six équipes qui constituent le « Centre de recherche éducation et formation » (CREFEA 1589) de l’université Paris Ouest Nanterre La Défense. Elle comprend des chercheurs statutaires,
associés et invités et des doctorants.
Chercheurs statutaires : Valérie Becquet (MCF Sociologie, UCP), Halima Belhandouz (MCF SE), Hervé
Cellier (MCF HDR SE,), Marie-Anne Hugon (PR SE), Jean-François Nordmann (MCF Philosophie, UCP),
Bruno Robbes (MCF SE, UCP), Fanny Salane (MCF SE), Alain Vulbeau (PR SE) et de jeunes docteurs :
Diyenebou Fofana, Sébastien Pesce, Fréderic Vajas, Charles Calamel, Jean-Marie Bataille.
Chercheurs associés : Dominique Groux (PR SE, IUFM Antilles-Guyane), Catherine Le Cunff (MCF HDR
Sciences du langage, Université Nanterre), Jacques Pain (PR Émérite SE),
Chercheurs invités : Véronique Bordes (MCF SE, Université Toulouse 2), Alain Lenfant (ingénieur de
recherche, CREFOP, Université Nanterre), Gilbert Longhi (proviseur de lycée ), Catherine Rhein (Directrice
de recherche CNRS, UMR GéographieCités n°8504), Marie-Laure Viaud (maître de conférences Université
d'Artois/IUFM Valenciennes), Dominique Ulma (MCF Sciences du langage, Université Lyon 1/ IUFM).
Doctorants : Nicole Armoudon, Pierric Bergeron, Alice Benaio, Philippe Bernier, Olivier Brito, JeanGabriel Busy, Philippe Chavaroche, Pierre-Yves Chiron, Corinne Covez, Mohammed Darmame, Véronique
Delille, Patricia Drahi, Pierre Enoque François, Annie Grante, Stéphane Groseil, Mélanie Guikova, Pow Wei
Huang, Hend Jabbés, Kinda Moussa, Joseph Nguema Ango, Pamela Orenella, Zina Ouaglal, Meniar
Ouaghlani, Adriana Parra, Zakia Radi-Smaïl, Geneviève Quemeneur, Youmna Sfeir, Freddy Tudeau, Hélène
Vandelle.
Problématique et approches
Les recherches portent d’une part, sur les institutions et dispositifs d’intervention sociale, éducative,
scolaire et pédagogique en « terrains sensibles », sur les phénomènes de crise et en particulier de violence qui
s'y jouent ; d’autre part, sur les essais de résolution de ces crises par les innovations et les expérimentations
que conduisent les acteurs vivant et travaillant dans ces terrains. Elles s’intéressent aux recompositions
actuelles qui interrogent les clivages institués entre éducation formelle et informelle, entre scolaire et
éducatif, entre centre et périphérie, entre urbain et social. Elles étudient également les différents territoires et
usages de la pédagogie dans la ville, dans l’école et dans la classe.
Les recherches sont conduites selon une triple approche :
- une approche sensible et de longue durée, afin d’arriver à une connaissance en profondeur des ressources
locales, des lieux et des personnes et plus généralement à une sensibilité à l’émergence de conflits
imperceptibles dans des approches surplombantes ;
- une approche partenariale. L’analyse que les acteurs des terrains (professionnels de l’intervention sociale,
éducative ou scolaire ou/et publics usagers de ces dispositifs) ont des situations qu’ils vivent, est toujours
18
sollicitée et prise en considération. Les modalités de l’association avec les acteurs varient selon les
recherches. Dans plusieurs d’entre elles, les protocoles sont construits en vue de favoriser un travail en
coopération, dans une démarche de recherche action ;
- une approche en réseau. Dans et à partir d’un espace défini, le travail de recherche consiste précisément à
lier, à relier des actions, des personnes, des institutions, des niveaux d’analyse dans et hors cet espace. La
notion de réseau permet de construire des problématiques nouvelles et de décrire sous un jour inédit les
situations examinées en tenant compte, notamment, des dimensions interculturelles.
L’équipe est repérée dans la communauté scientifique et chez les acteurs institutionnels par sa
problématisation des questions de jeunesse, d'éducation et de scolarisation en terrains sensibles.
Mots-clefs`
Action publique. Autorité. Citoyenneté. Crise(s). Cultures urbaines. Démocratie d’apprentissage.
Éducation comparée. Enfance. Espace(s) public(s). Expérimentations sociales. Innovations
pédagogiques. Inscriptions sociales. Interaction générations/ Institutions.Illétrisme. Interculturalité.
Jeunesse. Migrants. Minorités involontaires. Mutations sociales. Parcours de vie. Pédagogies
coopérative, interactive, institutionnelle, autogestionnaire. Socialisations. Trajectoires scolaires. Villes
et territoires. Violences Anthropologie de l’éducation. Philosophie de l’éducation. Sociologie et sociopolitique de l’éducation. Recherche action. Socio-ethnographie. Psychosociologie à dimension clinique
Terrains impliqués
Réseaux urbains. Espaces d’accueil. Conseils de jeunes. Enseignements primaires et secondaires.
Enseignement spécialisé. Lieux d’enfermement / Milieu carcéral. Réseaux d’éducation prioritaire.
Formation des enseignants. Protection de la jeunesse. Secteur médico-psychologique. Service Civil.
Formations
Les membres de l’équipe proposent des enseignements en rapport avec leurs thèmes de recherche. Ils
interviennent à tous les niveaux de la formation en Sciences de l’éducation, du certificat préparatoire à la
thèse de doctorat.
L’équipe anime un séminaire doctoral adressé aux étudiants en thèse inscrits dans l’équipe. `
L’équipe anime une spécialité de master professionnel en Sciences de l’éducation « cadres d’intervention en
terrains sensibles » (CITS). Responsable : Marie-Anne Hugon
Contact : [email protected]
Réseaux
Les membres de l’équipe participent à différents réseaux de recherche (AECSE, AFS, AISLF, InterGap) et à
des réseaux professionnels. Depuis sa fondation, l’équipe entretient des liens étroits avec des institutions
éducatives, des mouvements pédagogiques et des écoles, en particulier avec les mouvements de pédagogie
institutionnelle. Actuellement, elle développe des collaborations de recherche avec différentes structures
innovantes dans et hors l’Éducation nationale, notamment avec des collectivités territoriales et des réseaux
de professionnels des métiers de la ville. Elle travaille également par convention avec des mouvements
pédagogiques et d’éducation populaire : INFOP-CEMEA, FOEVEN et des institutions de formation :
CNFPT, IFCS, INSHEA.
Contact : [email protected]
Revue
Une revue « Spécificités » a été fondée en 2008. Elle rassemble des articles de professionnels, de chercheurs
et d’étudiants de la formation de master professionnel CITS ou en thèse. Elle est dirigée par un membre de
l’équipe (Directeur de la publication : Hervé Cellier), avec des étudiants de la formation de master CITS qui
participent au comité de rédaction.
Contact : [email protected]
L’équipe entretient des liens étroits avec les éditions coopératives Matrice.
Collaborations internationales
L'équipe a noué depuis plusieurs années des conventions et des collaborations de recherche et de formation
avec les universités de Liège (Belgique), Cadix, Séville (Espagne), Constantine, Oran (Algérie), Paraiba,
Campina, Parana, Serjipe, Sao Paulo (Brésil), Palerme, Rome (Italie), Tunis (Tunisie) et avec l’ESE de
Setubal (Portugal).
19
Contact : [email protected]
Quelques références
Becquet V. (2009), « L’engagement des jeunes dans l’espace public », in Roudet B. (dir.), Regard sur les
jeunes en France, Canada, Presses de l’université Laval/INRS/INJEP, pp. 103-122.
Becquet V. (2008), Dix ans de conseils de la jeunesse. De l’expérimentation à la reconnaissance
institutionnelle, Publication de l’INJEP n°88, Marly-le-Roi, INJEP, 189 p.
Becquet V. (2007), « Moment étudiant, moment d’engagement : regards sur les activités bénévoles des
étudiants », in Legois J.-P., Monchablon A., Morder R. (coord.), Cent ans de mouvements étudiants, Coll.
GERME, Paris, Syllepse, pp. 141-155.
Belhandouz H.(2008), « L’écolier dans la ville : Faits et effets des apprentissages scolaires dans la
construction des identités sociales » in Algérie France : ville, école, marginalisation, Paris/Alger,
L’Harmattan, Chihab.
Belhandouz H.(2005), « Pour une approche anthropologique de l’éducation familiale. La question de la
socialisation des filles maghrébines en France » in Culture et bientraitance, Bruxelles, De Boeck
Cellier H., Rouag A. (dir.) (2008), Algérie France : ville école, marginalisation, Paris, L’Harmattan, 400 p.
Cellier H. (2007), Précocité à l’école : le défi de la singularité, Paris, L’Harmattan, 158 p.
Hugon M.-A. (2008), « De l'approche de pédagogie interactive à l'approche coopérative des apprentissages
scolaires en collège et lycée », in Rouiller, Y., Lehraus, K. (éds), Vers des apprentissages en coopération :
rencontres et perspectives, Berne, Peter Lang.
Hugon M.-A. (2006), « Les pédagogies nouvelles : quel apport pour l’école d’aujourd’hui ? », in Mosconi,
N. (dir.), Traité des sciences et des pratiques de l’éducation, Paris, Dunod, pp. 421-432.
Hugon M.-A., Pain J. (2006), « La place des absents : psychopathologie et pédagogie de l’absence d’école »,
in Huerre, P. (dir.), L’absentéisme scolaire, Paris, Hachette, pp. 97-114.
Dominguez F., Nordmann J.-F. (2009, sous presse). « Enseignement et commémoration de l'esclavage, des
traites négrières et de leurs abolitions en France aujourd'hui », in : Cuaderno de Trabajo Afrodesc « Pedagogia
Francia-Colombia ».
Enaudeau C., Nordmann J.-F., Salanskis J.-M., Worms F. (dir.) (2008), Les transformateurs Lyotard, Paris,
Sens & Tonka, 398 p.
Nordmann J.-F. (2008). « J.-F. Lyotard : anamnèse et politique », in Les transformateurs Lyotard, op. cit.,
Paris, Sens & Tonka, p. 319-344.
Pain J. (dir.) (2009), La pédagogie institutionnelle de Fernand Oury, Vigneux, Matrice.
Pain J., Belhandouz H., Cellier Hervé, Hugon M-A, Vulbeau A, (2007), article « Banlieues » in
Dictionnaire des Inégalités Scolaires, Paris, L’Harmattan, 2007.
Pain J. (2006), L’école et ses violences, Paris, Anthropos-Economica.
Casanova R., Cellier H., Robbes B. (2005), Situations violentes à L’école. Comprendre et agir, Paris,
Hachette Éducation, 288 p.
Robbes B. (2006, janvier), « L’autorité de l’enseignant comme savoir d’action, nouvelle prévention des
violences en milieu scolaire ? », in Spirale, n° 37, pp. 111-122.
Robbes, B. (2006, décembre), « Autorité de l’enseignant et sécurité. Eléments pour une approche clinique »,
in Ville Ecole Intégration diversité, n° 147, pp. 31-38.
Robbes B. (2010), L’autorité éducative dans la classe. Douze situations pour apprendre à l’exercer, Paris,
ESF, 272 p.
Salane F. (2010), Être étudiant en prison. « L’évasion par le haut », Collection Études & recherche, La
documentation française, Paris, 251 p.
Salane F. (2009). « Être étudiant en prison : continuité ou redressement de la trajectoire scolaire? », Swiss
Journal of Sociology, n°2, vol.35, n°2, pp. 337-355.
Salane F. (2008). « L’éducation en milieu carcéral : ″effet institution″ et ″effet établissement″ », Diversité,
Ville-École-Integration, n°155, décembre, pp. 186-190.
Casanova R., Vulbeau A. (dir.) (2008), Adolescences entre défiance et confiance, Nancy, Presses
Universitaires de Nancy, 366 p.
Vulbeau A. (2009), « L'éducation tout au long de la ville », in Brougère G., Ulmann A.-L. (dir.), Apprendre
de la vie quotidienne, Paris, Presses Universitaires de France, p. 43-54.
Vulbeau A. (2006), « Surveillance et gouvernance : deux objets pour une sociologie de l'enfance », in Sirota
R. (dir.), Eléments pour une sociologie de l'enfance, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, pp. 195-204.
20
VIII
Les autres activités du département
Le CREF poursuit des recherches sur le champ des pratiques sociales d’éducation et de formation :
familles, institutions socio-éducatives, école, ville, institutions d'enseignement supérieur et de formation
d’adultes. Cette caractéristique permet de répondre à des demandes de recherche ou d’encadrement
scientifique dans un nombre important de domaines des Sciences de l’éducation.
La constitution délibérément pluridisciplinaire de l’équipe d'Accueil 1589 autorise une authentique
complémentarité épistémologique et méthodologique. Les chercheurs se répartissent ainsi entre plusieurs
approches : sociologie, clinique d’orientation psychanalytique, psychosociologie, psychologie
sociocognitive, ingénierie et anthropologie. Cette diversité, construite progressivement pour permettre de
réels croisements d’approches, de méthodes, d’outils et d’objets, favorise une conception interdisciplinaire
ouverte de la recherche menée au CREF.
Pour le contrat quadriennal 2009-2012, les chercheurs du CREF travaillent au sein de 6 équipes :
- Apprenance et formation des adultes
- Clinique du rapport au savoir
- Ecole : crise, terrains sensibles (cf plus haut)
- Education familiale et interventions sociales auprès des familles
- Enseignement supérieur
- Genre, savoirs et éducation
■■■ LES CONVENTIONS
Le département des Sciences de l’éducation gère, avec des centres de formation professionnelle, plusieurs
conventions d’enseignement qui, pour la plupart, présentent différentes caractéristiques.
Plutôt qu’un cursus intégré, il s’agit d’un double cursus : les étudiants obtiennent à l’issue du parcours un
diplôme, certificat ou attestation professionnel(le) et un diplôme universitaire ; ce qui signifie
concrètement que certains enseignements du cursus de formation professionnelle donnent lieu à dispense
(ou dans certains cas à validation) d’enseignements du cursus universitaire, que des enseignements
universitaires peuvent être effectués de façon spécifique dans le cadre du cursus de formation
professionnelle, qu’enfin les étudiants suivent des enseignements à l’université.
Chaque partenaire conserve ainsi la maîtrise des modalités de validation des enseignements dont il est
responsable.
Une double coordination, institutionnelle et pédagogique, permet un pilotage et un suivi du dispositif,
notamment lorsqu’il s’agit d’adapter les modalités de formation en fonction des réaménagements qui ne
manquent pas de survenir (réforme des formations professionnelles, changement de “maquette ” des cursus
universitaires…).
C’est avec l’ETSUP (École supérieure de travail social) que la première convention d’enseignement a été
signée en 1982. Depuis, d’autres conventions ont été signées :
– pour le DEASS (Diplôme d’État d’Assistant de Service Social), à partir de 1991, pour la formation initiale
professionnelle d’assistant/es de services sociaux (en double cursus avec la Licence de Sciences de
l’éducation) ;
– pour la formation de formateurs terrain (FFT), à partir de 1996 (accès en Licence de Sciences de
l’éducation) ;
– pour le DEES (Diplôme d’État d’Éducateur Spécialisé), à partir de 2002, (en double cursus avec la Licence
de Sciences de l’éducation).
Par ailleurs, le département de Sciences de l’éducation a signé des conventions d’enseignement avec d’autres
centres de formation, notamment de travailleurs sociaux :
– l’Institut de Formation Sociale des Yvelines (IFSY), à partir de 1994, pour la formation de formateurs
terrain (FFT) (accès en Licence de Sciences de l’éducation) ;
– l’École de Formation Psycho-Pédagogique (EFPP) à partir de 2009, pour la formation au Certificat
d’Aptitude aux Fonctions d’Encadrement et de Responsable d’Unité d’Intervention Sociale (CAFERUIS)
(accès en Licence et Master de Sciences de l’éducation) ;
21
– l’Institut de Formation des Cadres de Santé (IFCS) du centre hospitalier Sainte-Anne, à partir de 2001,
pour la formation menant au diplôme de cadre de santé (accès en Licence et Master de Sciences de
l’éducation) ;
– l’Institut de Formation Professionnelle (INFOP) des Centres d’Entraînement aux Méthodes d’Education
Active (CEMEA) en Ile-de-France, à partir de 2008, pour la formation menant au menant au Diplôme d’Etat
de la Jeunesse, de l’Education Populaire et du Sport (DEJEPS), en double cursus avec la licence de Sciences
de l’éducation.
■■■ LA VIE INSTITUTIONNELLE
Le département des Sciences de l’éducation constitue avec d’autres départements l’unité de formation et de
recherche (UFR) des Sciences psychologiques et des Sciences de l’éducation. À ce titre, il participe à la
représentation de l’UFR aux trois conseils qui gèrent l’université : conseil d’administration, conseil scientifique,
conseil des études et de la vie universitaire.
Trois types d’assemblées organisent la vie du département : les réunions étudiants-enseignants, les réunions de
tous les enseignants du département et les réunions des enseignants permanents du département.
■■■ LES RELATIONS INTERNATIONALES
Le département tient à favoriser l’ouverture de la formation dans le cadre d’échanges internationaux tant au
niveau des étudiants que des enseignants. C'est ainsi que de nombreuses conventions et des collaborations de
recherche et de formation ont été établies avec des universités et des organismes supérieurs de formation en
Europe, en Amérique et en Afrique.
La mobilité étudiante peut être financée par un certain nombre de bourses:
- Les bourses Erasmus: les étudiants peuvent bénéficier de séjour de formation académique et/ou de stage dans un
nombre conséquent de centres universitaires !liste non exhaustive): Université de Varsovie, Pologne ; Faculté de
psychologie et pédagogie de Leuven, Belgique ; Université de Leiden, Pays-Bas ; Université de Murcie, Espagne ;
Université de Cadix, Espagne ; …
- Les bourses du conseil régional d'Ile de France qui financent des départs vers certaines universités africaines...
- Une convention particulière lie le département des Sciences de l'éducation avec l'université de Montréal qui
propose chaque année d'accueillir 10 étudiants en master en les exonérant des frais d'inscription.
Le diplôme est bien sûr validé par l’université de départ. Les enseignements suivis à l’étranger sont comptabilisés
sous forme d’ECTS (European Credit Transfer System). Chaque EC donne 6 ECTS. Une année universitaire
compte 60 ECTS.
N’hésitez donc pas à prévoir dans votre cursus universitaire une année à l’étranger. Elle vous sera très profitable.
Mobilité enseignante :
Le département a reçu dans le courant de l’année universitaire 2002-2003 un certain nombre d’enseignants
étrangers qui sont intervenus à tous les niveaux du cursus. De même, des enseignants du département
interviennent dans d’autres universités européennes.
POUR PLUS DE RENSEIGNEMENTS :
Service des Relations Internationales - Bâtiment A, bureau 106, 1er étage.
Au sein du département des Sciences de l’éducation, vous pouvez contacter Halima Belhandouz.
[email protected]
22
IX
Le schéma des études supérieures à l’issue de la réforme LMD
Grade de docteur
Doctorat
Grade de Master
300 crédits
Deux derniers semestres du
master professionnel
Deux premiers semestres
du master professionnel
Grade de Licence
180 crédits
Licence professionnelle
BTS
DEUST
DUT
Deux derniers semestres du
master recherche
Deux premiers semestres
du master recherche
Grandes
écoles
Deux derniers semestres de la
licence
4 premiers semestres de la licence
CPGE
Baccalauréat ou Diplôme d’Accès aux Etudes Universitaires
Formation universitaire non sélective
Formation universitaire sélective
Formation non universitaire
23
X
La mise en œuvre du LMD 2 2009-2012 : Les modalités de contrôle
des connaissances et des compétences
Pour chaque diplôme de licence ou de master, les informations concernant les modalités de contrôle des
connaissances et des compétences sont adoptées en Conseil d’UFR et transmises au CEVU, avant d’être validées
par le CA, ce avant le commencement de l’année universitaire. Ces informations concernant les modalités de
contrôle figurent dans la brochure présentant les contenus d’enseignement de chaque diplôme. Des rectifications,
pour répondre à des situations particulières, peuvent être proposées par les UFR pour adoption par les instances
de l’université au plus tard à la fin de la 4e semaine du 1e semestre de l’année universitaire.
L’exposé des formules de contrôle des connaissances et des compétences décrit, pour chaque étudiant et
pour chaque étape de diplôme, les modalités générales de son évaluation.
Trois formules peuvent être appliquées :
1.La formule standard de contrôle des connaissances et des compétences:
(CEVU du 15 juin 2009, Délibération du CA du 22 juin 2009)
Elle s’applique à tous les étudiants inscrits dans une formation diplômante de Licence ou de Master à l’université
Paris Ouest, à l’exception de ceux qui préparent leur(s) diplôme(s) dans le cadre de l’enseignement à distance et
sauf situation particulière donnant droit à la formule dérogatoire. Pour chaque élément pédagogique (UE ou EC)
au niveau duquel s’opère l’évaluation de l’étudiant, la formule d’examen standard peut comporter un ou deux
volets, selon l'élément pédagogique concerné: a) le contrôle continu et b) l’épreuve finale. Lorsque les deux volets
sont présents, leur pondération respective est fixée par l'équipe de formation.
a) Le contrôle continu est composé d’épreuves qui visent à vérifier ponctuellement les acquis de l’étudiant.
Parmi ces épreuves, certaines peuvent prendre la forme d'un contrôle organisé sous la direction du responsable de
l’équipe pédagogique, commun donc à tous les étudiants inscrits à l'élément pédagogique. Ce contrôle est
usuellement dénommé « partiel ».
b) L'épreuve finale est une épreuve récapitulative, portant donc sur l’ensemble du programme, qui se déroule
à la fin de l’enseignement. Cette épreuve finale peut prendre deux formes :
• le devoir final, organisé et corrigé par l’enseignant dans le cadre des groupes qui composent la population
inscrite à l’élément pédagogique. Celui-ci peut prendre différentes formes : devoir, dossier, mémoire,
compte-rendu de stages, etc.
• l'examen de fin de semestre (épreuve sur table), commun à tous les étudiants inscrits à l’élément
pédagogique.
2. La formule de contrôle des connaissances et des compétences pour l’enseignement à distance :
Elle s’applique à tous les étudiants qui sont inscrits à l’université Paris Ouest dans le cadre de l’EAD. Pour tous
les éléments constitutifs de l’étape de diplôme ou du diplôme, la formule d’examen prend la forme d’un examen
terminal.
Le calendrier des examens s’appliquant aux étudiants inscrits en EAD auprès du service commun COMETE sera
annoncé en début de chaque année universitaire.
3. La formule dérogatoire de contrôle des connaissances et des compétences:
Elle s’applique aux étudiants qui ne peuvent pas ou ne souhaitent pas bénéficier de l’enseignement à distance et
qui sont dispensés d’assiduité aux enseignements présentiels. Pour tous les éléments pédagogiques de l’étape de
diplôme ou du diplôme auxquels est inscrit l’étudiant, elle prend la forme d’un examen terminal.
Les conditions de dispense d’assiduité doivent figurer dans le livret de l’étudiant. Ces conditions sont en
conformité avec le cadre général qui a été approuvé par les instances de l’université1.
1
La formule d’examen dérogatoire s’applique à titre dérogatoire aux étudiants autres que les apprentis et les bénéficiaires
des dispositifs de formation continue, qui le souhaitent, à la condition qu’ils aient une activité professionnelle dont la quotité
de travail est supérieure ou égale à 50%, qu’ils soient sportifs de haut niveau ou handicapés. Pour bénéficier de cette formule
24
•
La session de rattrapage :
Quel que soit le type de contrôle des connaissances et compétences adopté, les étudiants n’ayant pas validé
l’ensemble des enseignements de l’année sont convoqués à une deuxième session d’examen, dite session de
rattrapage, où ils devront obligatoirement repasser tous les éléments pédagogiques qui n’ont pas été validés (voir
modalités de validation ci-dessous).
Pour chaque élément pédagogique, et quel que soit le régime d’inscription de l’étudiant pour l’année universitaire
en question, les modalités de contrôle (durée de l’épreuve, oral ou écrit ; contenus du programme exposé dans la
brochure) en vigueur à la 2e session dite session de rattrapage seront identiques à celles proposées à la 1e session
aux étudiants inscrits à la formule dérogatoire.
La prise en compte des absences, des dispenses et des crédits acquis
Les absences
Un étudiant reconnu absent au cours du semestre à plus de trois séances de TD organisés dans le cadre d’un EC
est déclaré défaillant à celui-ci, que l’absence soit justifiée ou non. L’étudiant se verra attribuer le résultat ABI
pour l’EC concerné. Lorsque le nombre de séances obligatoires est de 10 ou moins de 10, au-delà de 25 %
d’absences (arrondis à l’entier supérieur), l’étudiant sera déclaré défaillant.
Un étudiant reconnu absent à une épreuve portant sur un élément constitutif d’une UE ou sur une UE, est
déclaré défaillant à cet élément pédagogique, que l’absence soit justifiée ou non. Dans ce cas, l’étudiant
se verra attribuer la note de ABI pour l’EC concerné, ou pour l’UE concernée, si l’épreuve porte sur l’UE.
Les dispenses
Un étudiant à qui on attribue une dispense pour un élément pédagogique particulier voit celui-ci neutralisé dans le
calcul des résultats. La neutralisation se fait par affectation à l’élément pédagogique concerné d’un coefficient de
pondération égal à zéro. Les crédits associés à cet élément ne sont acquis qu’à l’issue de la session d’examen qui se
traduit par l’obtention par l’étudiant de l’UE, du semestre ou de l’année comprenant l’élément pédagogique en
question.
La validation des acquis
L’étudiant qui bénéficie de validations d’acquis au titre d’éléments constitutifs ou d’unités d’enseignement acquis
et capitalisés voit les crédits correspondants transférés. Les éléments pédagogiques ainsi validés sont neutralisés
dans la détermination des résultats par l’affectation d’un coefficient de pondération égal à zéro.
Les règles de compensation, de capitalisation et de progression en
licence
•
La composition des unités d’enseignement
Disposition n° 1 : Une unité d’enseignement peut être composée d’un ou de plusieurs éléments constitutifs.
L’évaluation des étudiants peut être organisée au niveau de l’UE, y compris lorsqu’il y a plusieurs éléments
constitutifs.
•
La détermination du résultat de l’étudiant
Disposition n° 2 : Lorsque l’évaluation des étudiants s’opère au niveau de chacun des éléments constitutifs de
l’UE, le résultat obtenu à celle-ci est donné par la moyenne pondérée des notes acquises aux différents éléments
constitutifs (compensation intra UE).
Disposition n° 3 : Les UE d’un même semestre se compensent entre elles, compte tenu de leur coefficient de
pondération (Compensation intra semestre).
Disposition n° 4 : Les premier et deuxième semestres de la licence se compensent. Il en est de même des
troisième et quatrième semestres et des cinquième et sixième semestres.
d’examen dérogatoire, ils doivent présenter lors de leur inscription administrative, respectivement leur contrat de travail ou les
déclarations à l’URSAFF attestant de la quotité de travail, l’attestation de leur fédération sportive ou l’attestation du service de
médecine préventive de l’Université. Pour certains des éléments pédagogiques de l’étape de diplôme à laquelle ils sont inscrits
ils peuvent alors être dispensés d’assiduité et leur évaluation prendre la forme d’un examen terminal dérogatoire écrit ou oral.
25
Disposition n° 5 : Si le résultat obtenu à l’année est supérieur ou égal à 10, l’étudiant est déclaré admis. Une
mention est alors attribuée selon le résultat obtenu à l’année. Le calcul de ce résultat se fait en intégrant
l’ensemble des UE qui entrent dans la structuration des parcours de formation, en tenant compte de la pondération
qui a été affectée à chaque élément pédagogique.
Passable si :
Assez bien si :
Bien si :
Très bien si :
Sinon l’étudiant est déclaré non admis.
Disposition n° 6 : Si le résultat obtenu à un semestre est supérieur ou égal à 10, l’étudiant est déclaré admis à
celui-ci. Aucune mention n’est attribuée pour le résultat d’un semestre. Si le résultat obtenu au semestre est
inférieur à 10 mais que l’étudiant est admis à l’année, il est aussi déclaré admis par compensation au semestre
considéré. Si le résultat obtenu au semestre est inférieur à 10 et que l’étudiant est non admis à l’année, il est aussi
déclaré non admis au semestre considéré.
Disposition n° 7 : Si le résultat obtenu à une UE est supérieur ou égal à 10, l’étudiant est déclaré admis à celle-ci.
Cependant, aucune mention n’est attribuée.
- Si le résultat obtenu à une UE est inférieur à 10 mais si l’étudiant est déclaré admis, par compensation ou
non, au semestre qui comprend cette UE, il est déclaré admis par compensation à celle-ci.
- Si le résultat obtenu à une UE est inférieur à 10 et si l’étudiant est déclaré non admis au semestre qui
comprend cette UE, il est déclaré non admis à celle-ci.
- Si la compensation « intra UE » ne peut s’effectuer en raison d’une défaillance à l’un de ses EC, l’étudiant
est déclaré défaillant à cette UE.
- Tout résultat « ABI » à un élément pédagogique particulier donne lieu à un résultat général de Défaillant au
semestre en question.
•
La capitalisation des unités d’enseignement
Disposition n° 8 : Une unité d’enseignement est acquise et capitalisée dès lors que l’étudiant est déclaré admis ou
admis par compensation à celle-ci.
Disposition n° 9 : Les éléments constitutifs des unités d’enseignement non acquises sont capitalisables, dès lors
que l’évaluation des étudiants est organisée au niveau de chaque EC et que la note obtenue à l’EC concerné est
supérieure ou égale à 10.
•
La progression dans les parcours de formation
Disposition n° 10 : L’étudiant inscrit à une année n est autorisé à poursuivre à l’année n+1 dès lors qu’il est admis
à l’année n.
L’étudiant inscrit à une année n et non admis à celle-ci est autorisé à poursuivre conditionnellement en année n+1
si et seulement s’il ne lui manque au maximum que la validation d’un seul semestre de l’année immédiatement
inférieure (n).
Disposition n° 11 : Pour les licences « droit-français–droit étranger », « économie ou gestion -langues et
civilisation étrangères » et « Histoire-langue et civilisation étrangères :anglais », les règles de compensation
appliquent le principe général de compensation « intra UE » et de compensation entre les UE d’une même
discipline ou « blocs ». Ainsi, à titre d’exemple, la moyenne générale du bloc « droit » ne se compense pas avec
la moyenne générale du bloc « langues. » Les règles de progression dans le parcours de formation sont établies en
application de ce principe de « non-compensation » entre les deux blocs.
La présente disposition s’appliquera à toute licence de type « bidisciplinaire » qui pourra être créée au cours du
contrat 2009-2012.
Disposition n° 12 : Les règles en vigueur pour la licence à l’université Paris Ouest en 2009-2012 prévoient la
possibilité d’attribuer à un EC « disciplinaire » ou à une UE « disciplinaire » une pondération qui peut être
majorée par rapport à son poids en crédits ECTS. La définition d’une UE « disciplinaire » est celle exposée dans
les dispositions arrêtées par le CA du 26 novembre 2007 pour l’offre LMD 2009-2012. La pondération adoptée
sera approuvée par l’UFR responsable du diplôme avant transmission au CEVU pour avis et au CA pour
validation.
26
Disposition n° 13 : En 1e année, l’étudiant qui s’est inscrit dans une mention ou dans une spécialité dont la
progression est organisée dans le cadre d’un socle (1e semestre) et portail (2e semestre) peut se réorienter de droit
vers une autre mention ou spécialité ayant fait partie du socle (1e semestre) ou portail (2e semestre) qu’il a suivis.
La réorientation s’effectuera conformément aux procédures administratives en vigueur. Pour la progression de
l’étudiant dans la mention ou spécialité choisie dans le cadre de la réorientation, les règles de validation en
vigueur sont les règles générales qui conditionnent le passage à l’année n+1, en l’occurrence à la 2e année.
Disposition n° 14 : Les EC de langue qui font partie des UE transversales sont organisés par niveau de
compétence linguistique : ces niveaux sont au nombre de trois. L’étudiant progressera à l’EC de langue du niveau
supérieur s’il obtient une note supérieure ou égale à 10 à l’EC de niveau immédiatement inférieur. L’inscription
par niveau à l’EC de langue se fait annuellement.
Un étudiant qui a validé le niveau 3 d’une langue vivante dès sa L1 ou dès sa L2 peut choisir pour l’année n+1
d’étudier une autre langue, dans le cadre d’une UE transversale. Pour les filières du domaine ALL, un étudiant
qui a validé le niveau 3 dès son L1 ou son L2 peut s’inscrire dans un EC qui relève de l’offre LLCE de la langue
en question, si l’EC qui correspond à son année d’inscription et représente la même valeur en ECTS. à la
condition que cette possibilité ait été acceptée par l’équipe de formation de la mention et prévue dans la
modélisation du diplôme.
Disposition n° 15. Un étudiant peut s’inscrire dans un EC qui relève de l’offre d’enseignements « libres »qui a
été validée par les instances de l’université. Dans ce cas, les enseignements « libres » donnent droit, s’ils sont
validés à des crédits supplémentaires au-delà des 30 crédits par semestre de la structuration générale du diplôme
ou étape de diplôme. La validation d’un enseignement « libre » donne lieu à des points de bonification qui entrent
dans le calcul des moyennes semestrielles et à être enregistrées sur l’annexe descriptive au diplôme. Le jury du
diplôme ou de l’étape de diplôme accordera des points de jury au titre d’un EC libre à condition que l’étudiant a
déjà été admis à l’année sur la base de la moyenne établie pour les 60 ECTS de l’année. Le jury décidera du
nombre de points de bonification pouvant être accordés au titre de l’enseignement libre validé par l’étudiant. Les
règles d’attribution des points de jury pour les enseignements libres seront approuvées par le conseil de l’UFR
responsable de la filière.
Les règles pour la transition entre LMD1 et LMD2
Disposition n° 28 : Tous les étudiants admis en 2008-2009 à la première année de la licence, à la deuxième année
de licence, ou à la licence, sont autorisés à s’inscrire dans la même filière, respectivement :
 Aux semestres 3 et 4 de la licence correspondante dans l’offre LMD2
 Aux semestres 5 et 6 de la licence correspondante dans l’offre LMD2
 Aux semestres 1 et 2 de Master si l’accès à ceux-ci n’est pas sélectif.
Disposition n° 29 : Tous les étudiants ajournés en 2008-2009 dans un diplôme de L ou de M de l’université Paris
Ouest sont autorisés à s’inscrire en 2009-2010 dans la filière qui lui correspond dans la nouvelle offre LMD2 et
dans la même année ou étape de ce diplôme. Une convention pédagogique sera établie par l’UFR, sous le
contrôle des responsables de l’ équipe de formation concernée, précisant les éléments pédagogiques validés
antérieurement et les rattrapages à effectuer en LMD2, conformément aux règles de capitalisation des UE et des
EC qui sont en vigueur. Ce document est établi en deux exemplaires, le premier est destiné à l’étudiant, le second
est conservé par à l’UFR. S’agissant de la conversion des acquis antérieurs, lorsque la note obtenue à un élément
pédagogique validé et capitalisé est supérieure ou égale à 10, ce résultat est repris dans la détermination des
résultats futurs. Lorsque la note obtenue à un élément pédagogique validé est inférieure à 10, ce résultat est
neutralisé dans la détermination des résultats futurs par l’affectation d’un coefficient de pondération égal à 0
(dispense).
Disposition n° 30 : En licence, aucun rattrapage supplémentaire ne peut être demandé en 2009-2010 à un étudiant
au titre des enseignements nouveaux introduits dans le cadre du LMD2, s’il a été inscrit en 2008-2009 en année n
et admis en N+1 en 2009-2010, mais avec des rattrapages à effectuer dans un semestre du niveau n. Le rattrapage
imposé portera sur des UE ou sur les EC qui, dans la nouvelle maquette, correspondent à aux UE ou aux EC qui
n’ont pas été validées en 2008-2009 ou antérieurement.
Disposition n° 31 : Dans l’éventualité où un élément pédagogique faisant partie d’une étape n d’un diplôme dans
le schéma LMD1 a été validé par un étudiant, et que ce même élément pédagogique figure à l’étape n+1 dans le
schéma LMD2, les crédits attachés à cet élément sont considérés comme définitivement acquis par l’étudiant. Il
sera dispensé d’enseignement et d’examen pour cet élément pédagogique. Celui-ci sera neutralisé par l’affectation
d’un coefficient de pondération égal à 0 dans la détermination des résultats que l’étudiant obtiendra à l’étape n+1
dans le nouveau schéma LMD2.
Disposition n° 32 : Ces modalités de contrôle des connaissances ne s’appliquent pas aux diplômes « DUT ».
27
Règles de déontologie
Règles en matière d’« Emprunts, citations et exploitation de sources diverses lors de la rédaction de travaux
universitaires »
Les règles qui suivent sont reprises telles quelles d’un document émanant du Conseil académique de l’Université
Catholique de Louvain et de la Faculté des Sciences de l’Education de l’Université de Genève.
L'utilisation de l'information doit respecter des règles éthiques simples mais strictes : le respect de la propriété
intellectuelle et de la vérité interdit que l'on fasse passer pour sien, fût-ce par omission, un travail que l'on n'a pas
accompli.
Il importe donc de citer clairement ses sources, ce qui permet aussi de soumettre le travail au contrôle critique du
lecteur qui peut ainsi apprécier par lui-même la qualité de l'information.
En particulier, l'étudiant-e veillera à toujours bien distinguer ce qui revient à d'autres et ce qui lui est personnel :
les citations d'auteurs sont signalées par des guillemets ou par les règles en usage dans la discipline; si elles sont
modifiées légèrement, fût-ce par la mise en évidence de certains mots, on le signalera (par exemple au moyen des
mots " souligné par nous "); les commentaires qui suivent de près un texte ou les travaux qui sont de simples
adaptations doivent être signalés comme tels ("ici, nous suivons les idées de X, en les adaptant à notre contexte");
les traductions mentionneront leur auteur, qui peut être l'étudiant-e lui/elle-même; les apports personnels peuvent
bien entendu être signalés comme tels et sont à encourager.
La bibliographie doit être précise et permettre de toujours retrouver la source (livres, articles, etc.). La courtoisie
recommande de signaler les informations non écrites importantes recueillies oralement. L'usage n'a pas encore
codifié l'utilisation des informations recueillies sur site Internet, mais l'éthique veut ici aussi que les sources d'un
travail scientifique soient signalées; ici comme ailleurs, il n'est en tout cas pas admissible que l'étudiant-e fasse
passer pour siens des travaux tout faits qu'il aurait recueillis sur un site ou l'autre.
On pourra suivre en cette matière les recommandations proposées à l’adresse suivante :
http://www.scd.univlille3.fr/methodoc/Notices/cours/citerpageweb.htm
Au moment des inscriptions pédagogiques, l’étudiant-e qui signe son « contrat pédagogique » s’engage à respecter
ces règles simples. En cas de manquement, et donc de fraudes, son cas sera soumis à la commission disciplinaire
de l’Université.
28
Charte des examens
(Votée par le CEVU du 15/05/1995 et le CA du 22/05/1995, actualisée par le CEVU du 17/06/2002 et ratifiée par
le CA du 24/06/2002.)
La Charte des examens a pour but d’assurer la régularité dans la forme des examens de l’université afin de
garantir la qualité des diplômes décernés ; à cette fin, elle énonce des principes et énumère des droits et devoirs
des enseignants, des étudiants et des personnels administratifs de l’université.
Elle s’applique à tous les UFR, instituts et services communs pour tous les partiels de la formule d’examen
standard et pour tous les examens terminaux des formules d’examen standard, pour l’enseignement à distance et
dérogatoire.
Les mêmes règles s’appliquent en principe aux étudiants présentant un handicap, y compris lorsqu’ils bénéficient
d’aménagements en leur faveur (temps majoré, assistance d’un secrétariat ou aide technique, etc.).
1. Les enseignants
Les enseignants doivent, pour les matières dont ils ont la responsabilité, fournir un sujet, en précisant la durée de
l’épreuve, la modalité et, s’il y a lieu, les documents et matériels autorisés pour cette épreuve. Ils doivent
surveiller personnellement et effectivement le déroulement de l’examen, en corriger les copies, reporter les notes
sur les documents adéquats et participer aux délibérations de jury rendant ces notes définitives, et, conformément
aux dispositions réglementaires, ils doivent recevoir les étudiants qui en font la demande après la délibération.
2. Les étudiants
L’étudiant doit respecter les règles usuelles des examens ainsi que celles qui sont propres à l’épreuve qui leur est
proposée. Il est notamment rappelé :
1) L’étudiant doit composer personnellement et seul, sous réserve des dispositions applicables aux étudiants
handicapés. Il ne doit pas communiquer avec les étudiants qui composent dans la même salle.
2) Les étudiants présentant un handicap (provisoire ou permanent) doivent obligatoirement avoir consulté le
service de médecine préventive (SMPU) avant la période de préparation des sessions d’examens. Le SMPU
détermine les mesures d’aménagements spécifiques (temps majoré, assistance technique, secrétariat…)
individuelles et les communique aux UFR.
Les problèmes particuliers dans les cas exceptionnels où certaines règles communes s’avéreraient inapplicables
aux étudiants handicapés bénéficiant de mesures d’aménagements devront être examinés et réglés, dans la période
de préparation de chaque session, par une commission réunissant, sous la présidence du vice-président du CEVU,
les responsables du SMPU, du service handicaps et accessibilités, les responsables administratifs et les
responsables pédagogiques (le directeur de l’UFR ou un enseignant appartenant à l’équipe de direction de l’UFR)
de chaque UFR. En cas d’urgence, les décisions devront être prises par le directeur de l’UFR ou son représentant.
Les litiges sont tranchés par le président de l’université.
3) L’étudiant ne doit pas conserver par devers lui de documents relatifs à l’épreuve en cours sauf indications
contraires portées sur le sujet. Quand des documents, nécessaires à l’épreuve, sont apportés par l’étudiant, ils sont
à son usage et ne doivent pas être communiqués à d’autres. Il ne doit disposer d’aucun matériel de
télécommunication.
4) L’étudiant compose sur une copie anonymable, des intercalaires et des brouillons fournis par l’université. Il
doit remettre une copie et une seule, même blanche. Les copies et intercalaires, avant, durant et après l’examen
sont et restent la propriété de l’université.
5) Aucun étudiant ne peut abandonner l’épreuve durant le premier tiers de sa durée, ni avant la formalité
d’émargement. Celui qui quitte la salle d’examen sans remettre de copie sera considéré comme défaillant.
6) L’étudiant qui arriverait après la distribution des sujets est autorisé à composer pendant le temps restant. Il est
entendu que cette possibilité n’est accordée que si son retard n’excède pas le tiers du temps de l’épreuve et si
aucun sujet n’a été sorti de la salle.
7) Les étudiants ont droit à passer leurs épreuves dans les meilleures conditions. En particulier, ils ne doivent pas
être au coude à coude et la circulation du personnel chargé de la surveillance ou de l’émargement doit être rendue
possible en laissant vide une travée sur deux. L’interdiction de fumer prescrite par la loi doit être absolue. Les
étudiants ne doivent pas être gênés par des conversations inopportunes.
8) La sortie durant l’épreuve est exceptionnelle, ne peut intervenir avant le premier tiers de sa durée et ne peut être
autorisée qu’à un étudiant à la fois dans le cas où la disposition des lieux ne permet pas d’avoir des toilettes
attenantes à la salle d’examen. L’étudiant ne devra emporter ni sujet, ni copie, ni communiquer, ni consulter de
document ayant trait à l’épreuve. Tout manquement, toute absence indûment prolongée seront impérativement
29
consignés au procès verbal de l’épreuve.
9) L’étudiant a le droit de voir une fois sa copie d’examen, en présence d’un membre du personnel enseignant ou
du personnel administratif ; ce droit peut s’exercer pendant une année après la délibération de jury ayant rendu la
note définitive. Durant cette consultation, l’administration ne se dessaisit pas de la copie. L’étudiant peut
demander, à ses frais, une reproduction de sa copie d’examen.
3. Le personnel administratif
Le personnel administratif concourt au bon déroulement des épreuves d’examens qui ont lieu dans l’université,
notamment :
– en fournissant la liste d’émargement des étudiants de l’épreuve,
– en préparant les salles et disposant les copies selon le plan prévu,
– en prenant les dispositions adaptées aux étudiants handicapés,
– en s’assurant, le cas échéant, assisté du responsable de la salle, de l’identité de l’étudiant, et en le faisant
émarger,
– en assistant au décompte des copies en fin d’épreuve,
– en conservant les notes et les copies des examens terminaux après délibérations.
En aucun cas le personnel administratif ne peut se substituer aux enseignants pour les tâches qui leur incombent.
4. Les épreuves
Les partiels et les examens terminaux (les épreuves d’examen) se déroulent dans les locaux désignés par le
président de l’université ou son représentant ; ils sont organisés de telle manière que nul ne puisse mettre en doute
la validité des notes et des diplômes qu’ils contribuent à décerner. Les dispositions suivantes précisent leur
organisation :
1) Tous les étudiants inscrits à un même élément constitutif et à une même formule d’examen (formule d’examen
standard, formule d’examen pour l’enseignement à distance ou formule d’examen dérogatoire) subissent des
épreuves de même type et de même nature.
2) Les épreuves sont organisées de manière à minimiser les chevauchements. Les UFR prennent les dispositions
quand les chevauchements sont inévitables.
3) Seuls sont admis à pénétrer dans la salle et à composer les étudiants inscrits à l’épreuve dans le mode de
contrôle correspondant. Si un étudiant affirme devoir composer et ne figure pas sur la liste d’émargement, il
compose sous réserve de vérification, son nom est ajouté à la liste d’émargement. Au cas où l’étudiant aurait
composé à tort, la note de cette nouvelle composition ne peut en aucun cas modifier une note précédente
éventuelle.
4) L’ouverture des sujets est effectuée par les enseignants responsables avant la distribution des sujets.
5) Les épreuves sont surveillées par au moins deux enseignants, dont l’un de la matière enseignée. En cas de
pluralité de salles, l’enseignant responsable de la matière assurera la coordination entre les salles.
6) L’identité des étudiants qui composent est vérifiée par la présentation de la carte d’étudiant ou, à défaut, d’une
pièce avec photographie justifiant son identité ; les étudiants signent la feuille d’émargement qui est conservée par
l’administration avec les copies dont elle suit le sort.
7) À l’issue de l’épreuve, toutes les copies remises doivent être anonymes.
L’anonymat ne peut être levé qu’au moment de la collecte des notes.
8) Pour chaque épreuve, il est dressé un procès-verbal d’examen comportant la date et la nature de l’épreuve, le
nom et l’émargement des surveillants, le nombre de signatures et celui des copies relevées, ainsi que les incidents
de toute nature, y compris les fraudes et tentatives de fraudes, qui ont marqué l’épreuve et pourraient entacher sa
validité partielle ou totale.
5. Les jurys
Les jurys sont désignés par le président de l’université. Ils sont constitués des enseignants ayant contribué à la
formation, et d’eux seuls. Le secrétaire des étudiants handicapés est présent à titre consultatif. Les jurys délibèrent
souverainement sur les résultats qui leur sont communiqués en vue de décerner les diplômes ; ils arrêtent la liste
des étudiants reçus et décernent les mentions. Lorsque des notes sont modifiées par le jury pour admettre un
candidat, la mention passable (délibération spéciale) figure sur le procès-verbal collectif de délibération.
1) Rendues définitives par la délibération, les notes ne peuvent être modifiées que par le jury, et seulement en cas
d’erreur matérielle. En cas d’impossibilité de réunir le jury, le président du jury et le directeur de l’UFR procèdent
à la rectification et en informent le président de l’université.
2) Les jurys sont informés des fraudes, tentatives de fraude et présomptions de fraude qui ont été notées durant
l’épreuve. Ils transmettent les faits à la section disciplinaire de l’université.
6. Les fraudes
Les fraudes aux examens sont des délits de nature disciplinaire régies par la loi du 23 décembre 1901.
30
Les fraudes de quelque nature qu’elles soient doivent être mentionnées sur le procès-verbal si elles sont décelées
au cours de l’épreuve. En cas de flagrant délit, le responsable saisit les pièces en cause pour les joindre au rapport
qu’il établira. En cas de substitution de personnes, troubles persistants, insultes ou menaces envers les enseignants
ou le personnel, etc., le responsable de la salle, agissant par délégation du président, peut procéder à l’expulsion
immédiate du ou des fautifs. Dans des cas plus graves, l’épreuve peut être annulée et reportée.
L’établissement du procès verbal sur les faits constatés n’interrompt pas le déroulement des épreuves. Le
responsable note les faits et rédige un rapport circonstancié. Les témoins éventuels contresignent le rapport qui est
présenté au président de l’université pour saisine de la section disciplinaire.
Si la fraude est décelée lors de la correction des épreuves, un rapport est établi dans les mêmes conditions. Les
fraudes portant sur des objets autres que les examens – production de certificats frauduleux ou falsifiés,
falsification de documents, certificats et diplômes de l’université – sont transmises à la justice civile avec une
plainte pour faux en écritures publiques, indépendamment de l’action devant la section disciplinaire de
l’université.
31
XI
Informations pratiques
■■■ SERVICE DE LA DIVISION ÉTUDIANTE
Service
Accessibilité handicaps
Bibliothèque universitaire
Bibliothèque de l’UFR SPSE
Bourse
CACIOPE (Centre d'Accompagnement, de Conseil, d'Information
et d'Orientation sur les Parcours personnalisés des Etudiants)
Diplômes
Droits universitaires
Équivalences
Étudiants étrangers
FETE (français pour étudiants étrangers)
FIT (Formation Interactive Tutorée)
Information et orientation
Informations sur les concours de l’enseignement
Libre-service informatique
Médecine préventive
Objets trouvés
Scolarité générale – inscriptions administratives, transferts
Service des relations internationales (étudiant en candidature
individuelle)
Service des relations internationales (étudiant en programme
d’échange)
Service Social étudiant - CROUS
SUFOM (Service Universitaire de Formation des Maîtres)
Bâtiment
DD
Salle
r05
C
rez-de-chausée
tel
01 40 07 58 79
01 40 97 72 01
01 40 97 74 24
E
19
01 40 97 47 78
E
E3, E14 et E19
01 40 97 75 34
A
F
A
A
205
r16
103a
104b
01 40 97 74 08
01 40 97 58 30
01 40 97 73 73
01 40 97 73 32
L
F
E
114
212
14
01 40 97 70 75
01 40 97 59 67
01 40 97 75 42
T
128
01 40 97 73 43
DD
E
B
A
5
Loge rdc
01 40 97 75 33
01 40 97 74 49
A
103
01 40 97 73 32
A
106
01 40 97 74 06
B
T
128
01 41 20 32 08
01 40 97 73 43
■■■ CENTRES IUFM DE L’ACADÉMIE DE VERSAILLES
SIEGE DE L'IUFM
45, avenue des États-Unis - BP 171 - 78000 VERSAILLES
CENTRE D’ANTONY JOUHAUX
26, avenue Léon-Jouhaux - 92160 ANTONY
CENTRE D’ANTONY VAL-DE-BIÈVRE
96, rue Adolphe-Pajeaud - 92160 ANTONY
CENTRE DE CERGY
avenue Bernard-Hirsch - BP 308 - 95027 CERGY CEDEX
CENTRE D’ÉTIOLLES
Domaine du Saulchoir - 91450 SOISY-SUR-SEINE
CENTRE DE SAINT-GERMAIN
5, rue Pasteur - 78100 SAINT-GERMAIN
01 39 24 20 69
01 46 66 42 50
01 46 66 21 90
01 30 31 11 81
01 60 75 98 06
01 30 87 47 00
32
GLOSSAIRE
■■■ STRUCTURES
U.F.R. : Unité de Formation et de Recherche
S.P.S.E. : Sciences Psychologiques et Sciences de l'Education
■■■ ÉTUDES ET DIPLÔMES
Le système des diplômes est structuré en trois niveaux. A chacun de ces niveaux, correspond un grade
universitaire obtenu par l’accumulation de crédits (ECTS) :
1er niveau : grade de Licence (BAC + 3)
2ème niveau : grade de Master (BAC + 5)
3ème niveau : grade de Doctorat (BAC + 8)
■■■ ENSEIGNEMENTS
CM : Cours Magistraux
TD : Travaux Dirigés
UE : Unité d’Enseignement ; regroupement d’un ensemble d’enseignements
EC : Eléments Constitutif, terme désignant chacun des enseignements dispensés durant un semestre dans le
cadre d’une UE.
■■■ CONTRÔLE DES CONNAISSANCES2
Coefficient : facteur qui permet de moduler la valeur d’un EC ou d’une UE dans les calculs des crédits acquis.
Contrôle continu : contrôle composé d'épreuves qui visent à vérifier ponctuellement les acquis de l'étudiant.
Crédits ou ECTS (European Credit Transfert System) : crédits associés à un élément pédagogique, un semestre ou
une année constituant une unité de compte européenne commune exprimant le charge de travail global nécessaire
pour réussir l'élément pédagogique, le semestre ou l'année. Cette charge de travail recouvre les heures
d'enseignement mais aussi de travail personnel.
Equivalence : dispense accordée par la commission d’équivalence des disciplines au vu d’acquis antérieurs.
Examen : épreuve de fin de semestre en temps limité commune à tous les étudiants inscrits à l'élément
pédagogique.
Formule de contrôle standard des connaissances : Régime normal d’évaluation pouvant comprendre deux volets le
contrôle continu et l'épreuve final.
Formule dérogatoire de contrôle des connaissances : Autre régime d’évaluation ayant lieu uniquement en fin de
chaque semestre, réservé aux étudiants dont la demande justifiée de dispense d'assiduité a été acceptée au moment
des inscriptions administratives et pédagogiques.
Sessions d’examens : ensembles d'épreuves organisées à la fin de chaque semestre (premières sessions d'examen)
et en septembre (deuxième session d'examen) pour les étudiants n'ayant pas validé l'ensemble des enseignements
de l'année (session de rattrapage).
La session d’examens de septembre est ouverte aux étudiants des deux régimes d’évaluation et comprend des
épreuves pour les EC du premier et du second semestre.
Session de rattrapage : deuxième session d'examen recouvrant un ensemble d'épreuves organisé en septembre au
cours de la quelle les étudiants repasse obligatoirement les éléments pédagogiques qui n'ont pas été validés en
première session d'examen et ce quel que soit le régime d'inscription de l'étudiant.
Validation des acquis : reconnaissance officielle des EC, des UE et des diplômes obtenus. Cette validation est
régie par voie réglementaire.
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voir également les textes officiels présentés dans ce livret.
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